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1 Magazine N 2 - SEYCHELLES - JAN 2014

2 Merci à nos partenaires techniques et financiers. Leur soutien et leur confiance renouvelés permettent depuis 30 ans l essor de la coopération indianocéanique. Ce magazine est édité par l Unité de communication de la Commission de l océan Indien. Janvier COI. Blue Tower, 3 e étage, rue de l Institut, Ébène, Ile Maurice. Tél : (+230) / magazine n o 2

3 Sommaire Message du ministre des Affaires étrangères de la République des Seychelles 4 Message du Secrétaire général de la Commission de l océan Indien 5 Principaux programmes et actions mis en œuvre par la COI et par ses projets pour les Seychelles 6-14 Retombées des projets récents ou en cours aux Seychelles 15 / magazine n o 2 3

4 Message du ministre Monsieur Jean-Paul Adam Ministre des Affaires étrangères de la République des Seychelles Porter la voix de nos petits territoires insulaires en développement, tant sur la scène régionale qu internationale, est une mission que la Commission de l océan Indien (COI) mène avec éloquence et réussite. Elle a accompli de grands projets pour la promotion de nos territoires et de nos spécificités. Mais de nombreux défis encore sont à venir. Le caractère d insularité en développement, qui fait la fierté et l attribut de l Indianocéanie, nécessite une attention toute particulière. Les Seychelles et la COI œuvrent ensemble pour faire reconnaître les challenges auxquels ils font face et faire valoir les atouts qui sont les leurs. Les challenges sont nombreux. Nous vivons dans un environnement en perpétuel mouvement, toujours plus proche, toujours plus connecté. Renforcer nos liens mutuels et renforcer nos liens avec le reste du monde est une priorité. Ces développements ne sauraient cependant se faire sans assurer l efficacité, la pérennité et la sécurité de nos réseaux. L approfondissement de la coopération régionale et l intégration de l Indianocéanie aux marchés internationaux sont la voie que nous avons tracée pour faire du sud-ouest de l océan Indien une force émergeante, basée sur des atouts solides et des potentialités infinies. Nos richesses sont grandes. Nos complémentarités sont une chance. Nos similitudes nous ont réunis pour faire de nous des îles-sœurs. C est donc avec honneur que les Seychelles, avec l appui de la COI et des territoires qui la composent, ont initié un chantier dont il convient, ensemble, de consolider les fondations. Développer et promouvoir les opportunités que présente l océan que nous avons en partage est une tache que nous embrassons avec enthousiasme, solidarité et confiance. C est donc avec un plaisir et une émotion particuliers que les Seychelles accueillent la célébration du trentième anniversaire de l Accord de Victoria. Cet événement sera l occasion de réfléchir aux bilans et perspectives de la COI. Je désire rendre un respectueux hommage aux personnes qui ont travaillé et continuent à travailler à bâtir une Indianocéanie forte, stable et résiliente. Je salue également le travail des rédacteurs de la COI pour ce numéro spécial et vous souhaite à tous une excellente lecture. 4 / magazine n o 2

5 Message du Secrétaire général Monsieur Jean Claude de l Estrac Secrétaire général de la Commission de l océan Indien Connectés à une destinée commune La deuxième édition du magazine IndianOcéaniques est dédiée aux Seychelles et aux actions entreprises ces dernières années par la Commission de l océan Indien dans l archipel. Le premier numéro avait été publié en août pour nos amis des Comores. Sobre dans son apparence, ce magazine illustre notre détermination : la mission de la COI consiste d abord et surtout à se mettre au service des populations de l Indianocéanie afin de participer à leur épanouissement et à leur prospérité. L environnement naturel exceptionnel des Seychelles montre à quel point la richesse intrinsèque d un pays est dépendante des facteurs climatiques et des effets du développement humain. Au-delà de la somme des projets et des fonds alloués, la coopération et la mise en commun des expertises, à travers des échanges humains et technologiques, est un véritable enjeu pour préserver les générations futures. Le partage, celui des femmes et des hommes qui peuplent nos îles, est souvent invisible. Il est pétri d amitié, de fraternité, de culture, de coutumes séculaires et de différences. Les sourires des insulaires expriment la même envie de communiquer avec nos îles sœurs et avec le reste du monde. Les échanges, économiques, technologiques, scientifiques, sont au cœur de la coopération régionale. Plus visibles, ils nécessitent d importants moyens et c est pourquoi ce magazine doit refléter l effort permanent de nos partenaires. En d autres termes, nous sommes interconnectés et condamnés à être de mieux en mieux coordonnés pour exister. Pour cela, le magazine IndianOcéaniques se veut une passerelle, un outil au service de celles et ceux qui participent à notre ambition d intégration régionale. Il n existe pas de petit projet. Le tableau qui clôt ce magazine fait un bilan chiffré des actions de la COI. S il affiche, pour ces dernières années, un montant de plus de cinq millions d euros, le bénéfice pour les Seychelles dépasse en réalité largement le seul aspect comptable. Il s exprime également de manière qualitative et à long terme à travers le transfert de savoir-faire et les formations. Cette année, les Seychelles bénéficieront directement de nouveaux projets COI liés aux énergies renouvelables, à la biodiversité et à la gestion du milieu marin. Il s agit de donner et de recevoir. Les Seychelles sont un exemple pour nombre de petits États insulaires dans ce domaine et il est important qu elles puissent s appuyer sur nos partenaires pour développer et partager ce savoir-faire. / magazine n o 2 5

6 nos projets Environnement Les Seychelles, naturelles, vulnérables Une grande partie des projets de la COI aux Seychelles, réalisés ou en cours, concerne directement la protection de l environnement naturel de l archipel. Cette tendance est cohérente, car les principales menaces qui pèsent sur ce «point chaud» de biodiversité mondialement reconnu concernent l exploitation des ressources marines, les bouleversements climatiques globaux et la dégradation du littoral. Les effets du changement climatique incluent l augmentation de l érosion et l intensification des tempêtes tropicales. La hausse de la température de la surface de la mer menace les récifs coralliens qui forment une barrière protectrice naturelle pour les plateaux côtiers où vit 90 % de la population. Ces récifs constituent également un attrait touristique majeur et sont un atout essentiel pour la pêche et la conservation de la biodiversité. Pour les années à venir, sur financement de l Union européenne, les Seychelles vont bénéficier de nouveaux projets de la COI dans la gestion de la biodiversité et des énergies renouvelables, la lutte contre l érosion côtière et contre la pollution, la gestion des pêches. Enfin, l expérience des Seychelles sera valorisée par le projet «Contribution à la gestion du milieu marin», financé par le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM). 6 / magazine n o 2

7 L érosion sur les plages est amplifiée par le changement climatique. Environnement ProGeCo, Programme pour la gestion des ressources marines et côtières ( ). Un environnement côtier et marin durable Destiné à la gestion durable des zones côtières et sur financement de l Union européenne, ce projet a été mis en œuvre avec succès. Un premier volet a permis de soutenir le secteur public, dont le ministère de l environnement et la Seychelles Fishing Authority, pour la préparation de la stratégie des Seychelles pour le développement durable : conception de cartes, appui au rapport d orientation pour l élevage des concombres de mers et la mariculture Du matériel informatique, entre autres, a été fourni au centre de formation maritime, au centre de formation pour l agriculture et à l académie du Tourisme. Un deuxième volet concernait les ONG locales et les petits projets sur l érosion côtière, avec notamment de structures anti-érosion à Anse Royale et Anse Boileau. Le recyclage du verre, La taille légale pour la vente des concombres de mer. la gestion des déchets, le soutien aux parcs nationaux et aux aires marines protégées, à travers la communication, les rénovations de structure d accueil ou des installations de recherche comme celle d Aldabra : les actions ont été nombreuses pendant ces cinq années de collaboration. Montant total : environ RAMP, Réseau des Aires Marines Protégées ( ). La maîtrise des parcs marins Sur financement du Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM), le projet a apporté un appui à la gestion de parcs marins à travers des formations. La fourniture d un radar a permis d améliorer la surveillance des aires marines sur Aride et Cousin. L appui à la gestion durable de l atoll d Aldabra s est effectué avec l ONG Seychelles Island Foundation. Montant total : L eau, source de vie. / magazine n o 2 7

8 nos projets Environnement Autoroute maritime et prévention de la pollution côtière et marine ( ). S armer contre les marées noires Mis en place conjointement par la COI et la South African Maritime Safety Authority (SAMSA), financé par le FFEM, ce projet visait à lutter principalement contre les marées noires : anticipation, formation, aspects juridiques et préparation de cartes sur les zones sensibles. À cela, on peut ajouter la préparation d un plan national sur les substances nocives et la révision du plan national d urgence en cas de déversement d hydrocarbures. Enfin, un nouveau phare a été installé à Aldabra. Acclimate, adaptation au changement climatique ( ). Répondre aux facteurs de risques Sur financement du FFEM, des agents des services météorologiques, de l Agriculture et de la Santé ont été formés afin de renforcer la capacité de réponse aux divers facteurs de risques : montée du niveau de l océan, forte exposition aux événements climatiques extrêmes, surcotes de tempête, modification des conditions naturelles affectant l agriculture et le tourisme. Montant total : Suivi des récifs coralliens ( ). Sur financement de la Banque mondiale, la COI est intervenue avec des actions ponctuelles pour la protection des récifs : fourniture d équipement de plongée, formation pour les plongeurs, suivi de l évolution des récifs Programme régional environnement ( ). Restauration des zones côtières Sur financement de l Union européenne, ce projet a permis, sur des projets pilotes, de restaurer la zone côtière à Grande Anse Mahé, de réhabiliter la mangrove et la forêt de vacoas à Barbarons et d élaborer des cartes de récifs coralliens. Plongeurs et techniciens ont été formés à cet effet. Le FFEM (Fonds Français pour l Environnement Mondial) est un fonds public bilatéral créé en 1994 par le gouvernement français à la suite du Sommet de Rio. Le FFEM subventionne, dans des projets de développement durable, la préservation des grands équilibres de notre planète relatifs à la biodiversité et aux changements climatiques. 8 / magazine n o 2

9 L équipe complète de l UAP aux Seychelles. Exercice de simulation. Sécurité maritime Maritime Security (MASE) Une unité anti-piraterie pour l indianocéanie (uap) 2012 La piraterie, au large des côtes somaliennes, est une menace persistante pour toute la région du sud-est de l Afrique et de l océan Indien. Elle génère une insécurité importante pour les populations et le secteur maritime, affecte l économie et la réputation de cette vaste zone indianocéanique ouverte au tourisme. LA COI, sur proposition du gouvernement seychellois, a mis en place l Unité anti-piraterie (UAP) aux Seychelles en juin Il s agit de la seule équipe de la COI délocalisée depuis sa création en Le projet MASE (Sécurité maritime), financé par l Union européenne, a démarré avec 2 millions d euros pour la phase initiale de 18 mois, suivie d une phase principale opérationnelle d un montant de 37,5 millions d euros sur cinq ans. L unité, qui collabore avec les pays voisins et les instances internationales comme Interpol, est composée de cinq experts nationaux dont son directeur, Jacques Belle, un Seychellois et de trois employés administratifs et financiers. Ses objectifs principaux sont de renforcer les capacités maritimes des États de la région et d établir un mécanisme d échanges d information pour la région. Ce travail s effectue en collaboration avec les autres organisations régionales des pays de l Afrique australe, orientale et de l océan Indien (IGAD, COMESA et EAC) ainsi qu avec les partenaires clés ou coalitions étrangères comme ATALANTA, première opération navale de l Union européenne. Depuis le début des opérations de l UAP, de nombreuses activités ont été menées telles que des missions d évaluation dans les États de la région, des réunions de coordination au siège de la COI, la participation active des experts de l UAP à des séminaires internationaux du groupe de contact contre la piraterie, des remises d équipements légers aux gardes-côtes. Plusieurs réunions officielles ont eu lieu aux Seychelles, notamment avec le Haut comité seychellois de lutte contre la piraterie, présidé par Joël Morgan, le ministre seychellois de l Intérieur, de l Environnement, des Transports et de l Énergie et avec Jean-Paul Adam, le ministre des Affaires étrangères. En août, a eu lieu une rencontre de travail avec EUCAPNESTOR, la mission de renforcement des capacités maritimes en Afrique de l Est et océan Indien. Cette mission «est désormais pleinement opérationnelle à Djibouti et aux Seychelles» indiquait en octobre le diplomate Étienne de Poncins, nouveau chef de mission qui a remplacé l amiral Launay. AMESD, African Monitoring of Environment for Sustainable Development ( ). Ressources halieutiques et météo marine L accès aux données satellitaires d une région est précieux pour la climatologie, la pêche et les marins. Ce projet commun avec l Union Africaine sur financement de l Union européenne a vu l installation de stations de réception satellite et la fourniture d équipement et logiciels à la Seychelles Fishing Authority. Logiquement, la formation des techniciens permet ensuite de manipuler les images pour les utilisateurs maritimes et l équipement des centres météo d assurer le suivi et la gestion des données. Montant de l équipement : / magazine n o 2 9

10 nos projets Développement durable ISLANDS ( ). Développement durable des états insulaires Le changement climatique et l élévation du niveau de la mer menacent les populations et les ressources naturelles des pays de l océan Indien occidental. Ces derniers se sont engagés à faire front commun. Ainsi est né le Western Indian Ocean Coastal Challenge (WIO-CC). Initiée par les Seychelles, cette collaboration a été mise en œuvre grâce à l appui du projet ISLANDS de la Commission de l océan Indien (COI), financé par l Union européenne. La vision sur 20 ans adoptée par le WIO-CC est la suivante : «en 2032 ( ), le Western Indian Ocean Coastal Challenge sera un partenariat incontournable entre les îles, les États côtiers et les parties prenantes de la région de l océan Indien occidental ( ). Le but est de trouver un équilibre entre la valorisation des ressources marines et côtières et la conservation de la biodiversité pour sécuriser l avenir des communautés côtières.» Les actions spécifiques de la COI aux Seychelles : mise en place du partenariat entre l Université des Seychelles et University of Sunshine Coast (Australie) pour la création d un master en changement climatique dans la région ; un site pilote pour les récifs coralliens et l appui aux gestionnaires des aires marines protégées ; appui à la mise en place du réseau national «récifs coralliens» des Seychelles ; appui à la mise en place de la plateforme Risk Financing. Montant total : Western Indian Ocean Coastal Challenge (WIO-CC) Le WIOCC sera officiellement lancé lors de la 3 e réunion internationale des Petits États insulaires en développement (UNSIDS 2014) qui a lieu à Apia, Samoa, en septembre La côte nourricière Plus de 30 millions de personnes des îles de l océan Indien occidental (WIO) et des communautés côtières de l Afrique de l Est dépendent de l environnement côtier pour les biens et les services et comme source de moyens de subsistance et de revenus. La valeur économique des biens et des services éco-systémiques est estimée à plus de 25 milliards de dollars annuellement, la pêche et le tourisme étant les deux principaux contributeurs aux économies des pays de la région. 10 / magazine n o 2

11 Risques Naturels ( ). Réduire l impact des catastrophes Sur les trente dernières années, les catastrophes naturelles ont causé dans l Indianocéanie des dégâts évalués à 2,8 milliards de dollars. Mais il ne s agit pas d une fatalité. Au-delà du changement climatique avéré, l homme a aussi une lourde part de responsabilité dans l amplification de ses effets : déforestation, urbanisation incontrôlée La mise en œuvre d un cadre d actions cohérent, mettant l accent sur la prévention, l information et des actions impliquant les populations réduit l impact de ces catastrophes. Ainsi, grâce au soutien du projet, la Croix-Rouge seychelloise a lancé en 2013 une campagne de sensibilisation aux risques afin que les jeunes scolarisés prennent conscience des risques auxquels leurs îles sont exposées. Campagne de sensibilisation L apport d un cadre structuré de coopération régionale permet de réduire l impact des risques naturels sur les populations et l économie. Le projet accompagne le gouvernement seychellois dans sa politique d aménagement du territoire, d amélioration de l habitat et de sensibilisation aux règles de l hygiène. Il participe également aux efforts menés pour l éducation en matière de risques. Montant total : La construction de structures antiérosives est souvent nécessaire, pas toujours suffisante. Développement durable / magazine n o 2 11

12 nos projets RSIE, Réseau Surveillance et Investigation Épidémiologique ( ). Santé Veille et réponse sanitaires Depuis 2009, la COI, via le projet RSIE-Réseau SEGA, financé par l AFD, apporte son soutien au ministère de la Santé des Seychelles pour le renforcement de la veille sanitaire. Au total les Seychelles ont bénéficié de euros sur 4 ans pour ce projet. La phase 2, toujours financée par l AFD pour un montant de 6 millions d euros, a été lancée en novembre Un service de surveillance, la Disease Surveillance and Response Unit, a été créé au sein du ministère de la Santé et des moyens matériels et financiers ont été fournis pour ses missions. Une première stagiaire seychelloise a été formée sur le terrain pendant deux années à l épidémiologie et renforce dorénavant les compétences du service de surveillance. D autres formations pratiques ont déjà commencé à Maurice pour une deuxième promotion. Ces services font partie intégrante du réseau régional SEGA et disposent en temps réel des informations sanitaires de portée régionale susceptibles d affecter la santé de la population seychelloise. Un système de surveillance des maladies, dont la grippe, basé sur le web, permet Équipe régionale d appui à la surveillance (Jeux des îles 2011). une détection précoce des alertes. En 2011, lors des jeux des îles de l océan Indien, une équipe régionale de neuf épidémiologistes a été envoyée aux Seychelles afin de renforcer le système de surveillance et d alerte de la Santé. Montant total : AIRIS, Appui à l Initiative Régionale de prévention IST, VIH/Sida ( ). Lutte contre les maladies sexuellement transmissibles Cette campagne de prévention et d appui, financée par la Banque Africaine de Développement a eu pour objectif de freiner la transmission du VIH/Sida et des IST. La 1 re phase de ce projet, mieux connu sous le sigle AIRIS-COI, visait à renforcer les compétences des ressources humaines, notamment les médecins, les paramédicaux, les laborantins, et tous ceux qui sont impliqués dans le traitement du VIH. AIRIS a aussi accordé un appui dans la sensibilisation des populations, et plus particulièrement les plus vulnérables. Enfin, AIRIS donne un appui dans la surveillance de la pandémie, en renforçant les systèmes nationaux de surveillance du VIH et de la tuberculose. La 2 e phase de ce projet s est concentrée sur une échelle plus large incluant la mise en place d une unité de veille sanitaire dans chacun des pays à la hauteur d une somme estimée à plus de 10 millions de dollars. Montant total : La collaboration avec le ministère de la Santé est indispensable. 12 / magazine n o 2

13 Ressources marines SmartFish ( ). Inspecteurs des Pêches. PRSP, Plan Régional de Surveillance des Pêches ( ). Lutte contre la pêche illégale Le Maya Dugong en patrouille. Avec un espace maritime de 2,4 millions de km 2, la zone économique exclusive des Seychelles détermine l importance de la pêche pour l économie. Une gestion responsable des ressources halieutiques est donc cruciale. Depuis 2007, la COI met en œuvre une stratégie régionale de surveillance des pêches qui permet de renforcer le niveau de contrôle. À travers des patrouilles régionales qui complètent les activités nationales, le PRSP contribue à la surveillance de l immense espace maritime où thoniers senneurs européens et palangriers asiatiques sont régulièrement contrôlés en mer. Aux côtés du patrouilleur Maya Dugong affrété par la Seychelles Fishing Authority, les patrouilleurs malgaches et français effectuent régulièrement des missions. Par ailleurs, fortement impacté par la menace de piraterie maritime, le PRSP a contribué, dès 2009, à renforcer la sécurité des activités de pêche en mer. Patrouilleurs et avions de patrouille ont travaillé en collaboration avec la force européenne Atalanta de lutte contre la piraterie. À partir de février 2014, un dispositif régional de fusion des informations sur les activités de pêche (VMS régional) entre en service. Ce système d information géo-maritime régional renforcera l efficacité de la surveillance. Montant total : Gestion et gouvernance des pêches SmartFish, un projet mis en œuvre par la COI et la FAO, apporte son soutien aux Seychelles à travers la gestion et la gouvernance des pêches. Le projet contribue à l amélioration du plan d aménagement de la pêcherie du concombre de mer. Il participe à la préparation d un document stratégique pour la future politique des pêches et à l élaboration des bases d un observatoire économique. SmartFish a octroyé à la Seychelles Fisheries Authority une bourse permettant d organiser des patrouilles de surveillance conjointes. Par ailleurs, de nombreuses formations ont été dispensées : mesures du Ressort de l État du Port (obligations auxquelles un navire de pêche doit se conformer pour son entrée au port) ; évaluation des risques et du partage d information pour la surveillance des pêches en partenariat avec la CTOI (Commission Thonière de l Océan Indien). Les Seychelles ont participé à une douzaine de formations et ateliers régionaux organisés dans d autres pays du programme. Au niveau de la transformation et de la commercialisation du poisson, le projet SmartFish s est concentré sur l industrie thonière à travers une étude sur l utilisation des captures accessoires, l analyse des performances des usines de traitement et une étude de faisabilité de l éco-certification du thon Montant total : Marquage de thons ( ). Gestion des données et des stocks de thons Financé par l Union européenne, ce programme a permis de renforcer les capacités des Seychelles en matière de gestion et d exploitation des ressources thonières. Il a fourni des données fiables pour estimer l état des stocks et renforcé la contribution du secteur au développement économique et social. Deux bateaux ont été affrétés par la Commission des Thons de l Océan Indien (CTOI). Basée aux Seychelles, la CTOI a joué un rôle d agence d exécution du projet de la COI. Elle est mandatée pour gérer les thonidés dans l océan Indien et les mers adjacentes. / magazine n o 2 13

14 nos projets Genre IRACC, Initiative Régionale Agroécologie Changement Climatique ( ). Sur financement du FIDA (Fonds International pour le Développement Agricole), ce projet de coopération agricole a eu pour objectif de promouvoir des techniques dites agroécologiques, préservant l environnement et la biodiversité, tout en optimisant les rendements. Il s agissait de soutenir l adaptation des systèmes de production des petits agriculteurs aux changements pour améliorer les revenus et les conditions de vie de l agriculture familiale. Le programme a encouragé les activités durables, notamment l intégration de l agro-écologie aux politiques nationales et aux priorités de développement des partenaires de coopération. Les Seychelles, une référence en matière d égalité des sexes. Plateformes pour la femme seychelloise EFOI, Femmes Entrepreneures Océan Indien (2013). La COI a soutenu la mise en place de la plateforme seychelloise en janvier 2013 à Mahé, à la veille du Conseil des ministres de la COI, en présence de Jean-Paul Adam, ministre des Affaires étrangères des Seychelles (alors président en exercice de la COI) et de Laura Gucci, présidente du réseau mondial des femmes chefs d entreprise (FCEM). Montant total : PRPV, Programme Régional de Protection des Végétaux ( ). Coopération phytosanitaire Sur financement de l Union européenne, ce programme régional a œuvré sur plusieurs plans : l achat d équipement de laboratoire pour Union Vale et la formation du personnel, la révision de la loi sur la protection des végétaux et de celle sur les pesticides, la formation sur les protocoles de recherche. Sous l égide de Claudette Albert, présidente élue d EFOI Seychelles, la plateforme a mobilisé les Seychelloises afin d élaborer un plaidoyer, et de mettre en place un Secrétariat permanent commun à toutes les plateformes «genre» des Seychelles. FPOI, Femmes en Politique Océan Indien (2011). La troisième rencontre régionale des Femmes en politique s est tenue aux Seychelles en octobre 2012 sur le thème : «Paix et développement durable dans la région de l océan Indien Quel rôle pour les femmes?». Cette rencontre a été hautement symbolique car les Seychelles sont une référence en matière d égalité des sexes, de parité, d émancipation et d autonomisation de la femme. Financement BAD : Agriculture Ferme agro-écologique à Anse Royale. 14 / magazine n o 2

15 Retombées des projets récents ou en cours aux Seychelles Le tableau suivant indique les montants qui ont été dépensés au bénéfice des Seychelles, dans le cadre des projets récents. Il s agit des projets qui étaient en cours d exécution en 2012 dont certains sont désormais terminés mais aussi du Programme régional de gestion intégrée des zones côtières (ProGeCo), clôturé le 31 décembre Les sommes indiquées ici n offrent qu un reflet partiel de l apport réel de la COI à ses pays membres. En effet, la valeur intrinsèque des actions mises en œuvre et de leurs effets bénéfiques pour les pays, à moyen et long terme, ne saurait être réduite à ces seules dépenses. Enfin, de nombreuses actions qui ne peuvent être comptabilisées d un point de vue strictement budgétaire ne figurent pas ci-dessous. ISLANDS Équipements : Formations : Ateliers / Séminaires : Sous-total : SmartFish Formations : Ateliers / Séminaires : Missions de surveillance des pêches : Autres (études, etc.) : Sous-total : Plan régional de surveillance des pêches (PRSP) Équipements : Formations : Ateliers / Séminaires : Missions de surveillance des pêches : Autres (appels à propositions, divers appuis) : Sous-total : IRACC Formations : Ateliers / Séminaires : Sous-total : ProGeCo Équipements : Appel à projets et autres appuis institutionnel (excluant formation/atelier/séminaires ) : Réseau de Surveillance et d investigation des épidémies (RSIE) Équipements : Formations : Ateliers / Séminaires : Autres (appels à propositions, divers appuis) : Sous-total : Risques naturels Équipements : Formations : Ateliers / Séminaires : Autres (appels à propositions, divers appuis) : Sous-total : AIRIS Équipements : Formations : Ateliers / Séminaires : Sous-total : Acclimate Formations : Ateliers / Séminaires : Sous-total : Appui de la Banque africaine de développement (BAD) Réunion des femmes en politique Ateliers / Séminaires : TOTAL Sous-total / magazine n o 2 15

16 La Commission de l océan Indien est une organisation intergouvernementale créée en 1982, à Port Louis et institutionnalisée en 1984, aux Seychelles, par l Accord de Coopération Régionale de Victoria. Elle regroupe cinq Etats membres : l Union des Comores, France/Réunion, Madagascar, Maurice et les Seychelles. Blue Tower, 3 e étage, Rue de l Institut, Ebène, Maurice Tél : (+230) Fax : (+230) secretariat@coi-ioc.org -

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