Secrétariat Marie-Noëlle Descamps INRA

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1 Comité IDEX Réunion du Groupe de travail en Sciences du Vivant COMPTE RENDU REUNION DU 15 février 2013 Participants Ecusés Michel-Ange Amorim U.Paris-Sud, STAPS Christian Auclair ENS Cachan Jacques Bittoun U. Paris-Sud, animation groupe Julie Bernauer INRIA Serge Bobin Doyen Médecine U.PSud Claude Bouchei INSERM Pierre Capy U. Paris-Sud Elli Chatzopoulou INSERM Claude Chappert CNRS, DG FCS Jean-François Delfraissy INSERM Bruno Colombo UEVE, responsable Master SGO Anne Flury-Herard CEA Hervé Daniel U. Paris-Sud Jacques Grassi INSERM Elisabeth Dufour- FCS, Dir. déléguée à la formation Hervé Guéguen Supelec Gergam Didier Dumur Supelec Loïc Josseran UVSQ Vivienne Fardeau CEA, INSTN Marc Humbert U. Paris-Sud Sylvain Fisson UEVE, Dir. Dept de Biologie Marc Lavielle INRIA Jean-Marc Grognet CEA Patricio Leboeuf FCS, Dir. délégué à la formation Jane Lecomte U. Paris-Sud Pierre Legrain Polytechnique Marianne Lefort INRA, animation groupe Dominique Porquet Doyen Pharma U.PSud Loïc Lepiniec INRA Pascale Pottier AgroParisTech Anne Mantel U. Paris-Sud Bruno Robert CEA, Représentant CAC Thierry Meinnel CNRS Tarek Sharshar UVSQ Bernard Mignotte UVSQ Bertrand Ney AgroParisTech Marc Pallardy U. Paris-Sud Gérald Peyroche ENS Cachan Laurent Theodore UPSud Bertrand Thirion INRIA Secrétariat Marie-Noëlle Descamps INRA L ordre du jour de la réunion concerne : 1. Validation du compte rendu de la réunion du 15 janvier dernier 2. Actualités à partir des éléments du séminaire FCS du 30 janvier rapport annuel IDEX et PSAMS schéma organisationnel 3. Point sur le renouvellement de l offre Masters bilan succinct, retour des lettres d intention, attentes de la FCS : E.Dufour-Gergam proposition de structuration en schools organisation et méthode de travail Etat de la réfleion dans les groupes préfigurant les schools 4. Point sur la réfleion des Ecoles Doctorales de biologie 5. Questions diverses Page 1/7

2 1. Validation du compte rendu de la réunion du 15 janvier Le groupe valide le compte rendu. Pour une question de visibilité et de transparence des discussions, l affichage des comptes rendus des réunions de notre groupe «Sciences du Vivant» sur le site de la FCS, serait à vérifier. M. Lefort interrogera C. Chappert à ce sujet. 2. Actualités à partir du séminaire FCS du 30 janvier dernier Marianne Lefort reprend les éléments apportés par Claude Chappert lors du séminaire FCS et en présente les principau éléments 1. Il s agit d une vision globale des actions à engager dans le cadre de l IDEX et de leurs financements respectifs, sur les quatre années avant la phase d évaluation de l IDEX (cf. PSAMS Plan Stratégique Actions, Moyens et Structures) et du futur schéma organisationnel (schools, départements, espace doctoral). Pour l accord de consortium entre les établissements, dont la signature est prévue le 30 avril prochain soit un an après la Convention d Aide Attributive- celui-ci devra préciser les éléments concernant : la répartition des tâches, des moyens humains et financiers et des livrables contenus dans le PSAMS et dans les rapports des LabEX ; le partage des droits de propriété intellectuelle des résultats obtenus dans le cadre du Projet : proposition sera faite au établissements sur la base des accords de consortium classiques ; le régime de publication : sur toutes les publications devrait être rajouté une ligne supplémentaire dans le référencement/adresse des auteurs mentionnant «l Université Paris-Saclay» ; la valorisation des résultats du Projet : inclus dans le nouveau dispositif SATT qui rassemblera tous les membres de la FCS hormis l INSERM. Rapport annuel et Plan Stratégique Actions, Moyens et Structures : Le tableau de la page 7 reprend, par type d actions, les programmes et montants à utiliser avant le 29 février Les fonds relatifs à la période probatoire sont de 144,74 M dont une petite moitié sont mobilisés pour le financement des labe et des Idefi. La totalité des fonds devront être engagés en assurant un flu de recrutement sans interruption (i.e. la rémunération des derniers contrats doctorau engagés à l automne 2015 sera assurée jusqu à leur terme, tout comme celle des bourses Master M1/M2). Dans le cadre de la stratégie internationale, un appel à projet de bourse internationale est en cours de finalisation ; il sera lancé après le 18 février. Un point d accord restant à trouver avec les responsables d établissements concernant les conditions d accueil des étudiants et plus particulièrement la prise en charge des coûts de frais d inscription/de scolarité, hétérogènes d un établissement à l autre. 1 1 ère partie de l annee jointe à ce compte rendu Page 2/7

3 Le schéma organisationnel : Il ressort des constations issues des différentes concertations que les départements (communautés scientifiques vitrines «recherche») et les schools (vitrines «formation») ont une importance égale dans la future organisation. Néanmoins leurs missions prioritaires sont différentes : voir pages 23 de la présentation anneée). La discussion sur les schools et l espace doctoral est développée dans les deu points suivants. La discussion sur les départements a d abord permis de réaffirmer le souhait collectif de ne créer qu un seul département en sciences du vivant, rassemblant une bonne partie des enseignantschercheurs et chercheurs contribuant au trois schools A, B, C (il a aussi été clairement rappelé qu une partie de ceu-ci rejoindraient les communautés disciplinaires les plus adaptées : maths, physique, SES, etc.) Pour la communauté/département «Sciences du Vivant», le tete qui avait été rédigé pour proposer la mise en place d un comité de pilotage dans ce domaine (comité que l Ide s était engagé à créer) semble être une bonne base pour en faire un tete support du futur département en sciences du vivant. Compte-tenu d une part des missions pressenties pour les départements (p23) et, d autre part, des effectifs grossièrement estimés pour le département «Sciences du vivant» (> 1500), il conviendrait de revoir un peu et compléter le tete initial : La gouvernance mériterait d être revue de façon à assurer une bonne représentation des différentes sensibilités en sciences du vivant (approches disciplinaires et intégratrices, échelles d organisation, etc.). Les missions doivent intégrer une fonction de prospective scientifique, à faire clairement apparaître dans le tete. Les modalités de fonctionnement en interne devraient être eplicitées : comment faire vivre une communauté de cette taille? Comment sont assurées les interactions entre le comité de pilotage et tous les acteurs du département? Comment sont promues les interactions avec les autres communautés? etc. Par ailleurs, l articulation entre schools et départements reste à préciser pour les thématiques «médecine» et «pharmacie» dont le pilotage actuel et futur sera réalisé au sein des UFR. Méthode et calendrier proposé : Une version réactualisée du tete «Comité de pilotage en sciences du vivant» sera envoyée la semaine précédant la réunion du 19 mars. La rédaction en est confiée à un groupe ad hoc, non décisionnaire, rassemblant Jacques Bittoun, Pierre Capy, Jean-Marc Grognet, Marianne Lefort, Loïc Lepiniec, Bernard Mignotte. 3. Point sur le renouvellement de l offre de formation Masters Bilan succinct du retour des lettres d intention des responsables des mentions et spécialités, et attentes de la FCS. Elisabeth Dufour-Gergam a reçu 518 formulaires, elle en présente une première synthèse et relève les points suivants (voir annee) : - pour le moment il n y a pas eu vraiment de discussion sur l articulation Licence-Master, l effort ayant porté sur le remaniement important au niveau des Masters ; ce dernier devra être poursuivi pour identifier les changements nécessaires au niveau des Licences ; - «l accompagnement» des étudiants reste à travailler ensemble ; il nécessite beaucoup de tutorat et d aide pour la recherche de stages ou encore pour la conduite de projet ; Page 3/7

4 - il y a déjà eu un effort significatif de rationalisation des filières de formation ; toutefois, il est nécessaire de regarder précisément le nombre de parcours qui sont rattachés au différentes filières ; - certaines formations (spécialités et mentions) peuvent apparaître dans plusieurs schools ; - le montage d un nouveau projet pédagogique commun à plusieurs partenaires notamment en M1 peut être décliné sur différents sites, dès lors que les contenus de programmes et acquis d apprentissage sont identiques (ceci pour surmonter les éventuelles difficultés liées à l implantation multi-sites de l UP-Sa). Il est également précisé : - qu un travail commun est à faire par les groupes des schools A et B sur la prise en considération de la biologie au sein de chacune d elles (redondance partielle ou totale de la mention et des spécialités associées ; développement de M1 spécifiques ou commun avec parcours typés ) ; - qu une attention particulière pourrait être portée à la façon de former des biologistes ayant une double compétence «maths/biologie», en complément de l offre offerte à des mathématiciens d acquérir une culture en biologie. Rappel sur le calendrier FCS : 3 avril Séminaire des directeurs d établissements : accord sur le découpage des schools et présentation d une première cartographie de l offre de formation 24 avril CA : vote sur le schéma organisationnel de l UP-Sa (schools, départements, écoles doctorales) 12 juin CA : validation des maquettes à faire porter par l UP-Sa Proposition de structuration en schools Jacques Bittoun reprend les conclusions de la réunion informelle du 6 février dernier dont l objectif était de voir comment notre groupe pouvait organiser son offre au sein des schools et notamment comment pourrait se positionner la mention «biologie-santé». L affichage d une school spécifique de «biologie fondamentale», en complément des schools pressenties autour des domaines thématiques «santé» et «AAE» n est pas évident. L option proposée lors de cette réunion serait de passer à 2 schools thématiques, avec un affichage clair de la biologie au sein de chacune d elles : School A : «santé/médecine/pharmacie» regroupant plusieurs mentions, dont une intitulée «biologie fondamentale» correspondant à l ensemble de ce que recouvre aujourd hui la mention «Biologie-santé (voir en page 29 de l annee «Vers deu Schools dans le champ des sciences du vivant?»). Shool B : «AAE» (intitulé provisoire) regroupant plusieurs mentions dont une de «biologie intégrative». Par ailleurs, Michel-Ange Amorim (PSud, UFR STAPS) mentionne un travail en cours pour la constitution d une autre school mettant en visibilité l activité liée au sport et au mouvement humain. Le groupe encourage la poursuite de ce travail qui devra lui être présenté de façon plus détaillée le 19 mars (périmètre/mentions et spécialités, articulation avec school A) et être soumise à l approbation du séminaire des directeurs, le 4 avril. Cette school School C /«science du sport et du mouvement humain» couvrirait un champ assez vaste, de l ingénierie au sciences du vivant ; elle associerait les équipes de Garches, l UVSQ, le LIMSI à Orsay et l UEVE. Page 4/7

5 Le principe de fonctionner en 3 schools concernant l offre de formation est retenu, les animateurs des groupes sont : School A School B School C "Sciences du sport et du "biologie/ santé" "e AAE" mouvement humain" Laurent Théodore Bertrand Ney AgroParisTech) Michel-Ange Amorim (P11/Staps) (P11/Sciences) Gérald Peyroche (ENS Cachan) Jane Lecomte (P11/Sciences) François Cottin (UEVE) Anne Mantel (P11/Santé) Jean-Paul Vanderlinden (UVSQ) XX (représentant UVSQ) Bernard Mignotte (UVSQ) Bruno Colombo (UEVE) Elisabeth Dufour-Gergam (FCS) Elisabeth Dufour-Gergam (FCS) Elisabeth Dufour-Gergam (FCS) Pour la pharmacie : Dominique Porquet et Marc Pallardy sont à ajouter dans les listes de diffusion. Dans une note à l attention des animateurs de ces groupes de travail «formation» par schools, Marianne Lefort et Jacques Bittoun se chargent de récapituler les attendus : - proposer un ou des intitulés pour le nom de la future school ce qui permettrait d une part de bien caler/articuler l affichage des trois schools et, d autre part, de décliner ensuite en connaissance de cause les intitulés des différentes mentions ; - préciser, dans la mesure du possible, les éléments pédagogiques fédérateurs supports de la school et/ou de ses différentes mentions ; - vérifier les informations récapitulées dans le tableau de synthèse dressé à partir des lettres d intention des différents partenaires et utiliser au mieu les éléments de ce dernier pour approfondir la réfleion déjà bien engagée au sein des groupes de travail antérieurs ; - identifier les éventuels M1 ou M2 manquants au sein de ce tableau de synthèse ; - identifier les mentions et spécialités qui pourraient être portées par l UP-Sa, dès le début de la vague E (2015), en précisant les raisons qui amènent à proposer ce portage ; - identifier les éventuels points bloquants en termes de rapprochement entre partenaires pour la co-habilitation ou la co-opération de mentions et spécialités ; - et, dans la mesure du possible, quantifier les effectifs potentiels d étudiants dans les nouvelles configurations. Etat de la réfleion dans les groupes préfigurant les schools Laurent Théodore présente un modèle de structuration de la mention du Master «Biologie XX» (voir annee). Les UE sont identifiées et s insèrent dans des plateformes typées (par e. «Biologie animale» ou «Microbiologie»), ouvrant progressivement sur une pré-spécialisation et évitant ainsi les formations tubulaires. Les remarques/questions soulevées sont relatives à : - Une logique de «parcours d établissements» faciliterait une mise en œuvre dès la rentrée 2015 : elle s appuierait sur une seule architecture de l offre de formation partagée et proposerait une déclinaison de celle-ci, selon les référentiels propres à chacun des établissements (par e. les volumes horaires seraient identiques mais ne seraient pas forcément dispensés dans des UE de base à ECTS identiques (certains établissements fonctionnant avec des modules de 3ECTS, d autres de 5 et d autres Page 5/7

6 encore de 6) : quelle marge les porteurs de projets collectifs ont-ils par rapport à ces contraintes d établissements? Il est convenu d être relativement souple sur ce sujet. - Quelle est la visibilité de la biologie au sein de la school B? Pourrait-on éventuellement envisager une «plateforme de biologie intégrative»? Il est convenu que les biologistes des deu schools A et B approfondissent cette question ensemble. Bertrand Ney epose l avancée des travau dans la school B (e-aae) : cf. présentation intitulée «formation par la recherche au profit de champs et objets sociau liés au vivant et à son environnement, à sa transformation et à sa gestion». Les points de vigilance mentionnés concernent : - Le statut des spécialités dans les sciences économiques, sociales et de gestion : rattachement premier versus secondaire, inscription dans une mention thématique plutôt que disciplinaire? - La question de la formation des biologistes en mathématiques pour le vivant ; si les mathématiciens de la School «Basic sciences» envisagent une formation complémentaire en biologie d étudiants en maths, il n y a pas de réelle formation de maths adaptée pour des étudiants en biologie. Faut-il en envisager une? Doit-on se contenter de parcours spécifiques en prenant quelques modules dans la school de basic sciences? Par ailleurs, ne faudrait-il pas envisager la mise en place d une formation tridisciplinaire dès la Licence (biologie-mathématiques-informatique). 4. Point sur le pavage des Ecoles Doctorales de la biologie : Pierre Capy Un tete martyr permettant de déceler les points communs et spécificité des ED en sciences du vivant, est en cours de finalisation avant circulation. Les recouvrements importants des ED de taille identique GAO et GGC ont conduit à proposer la fusion de celles-ci. La réfleion reste à affiner en soumettant à la discussion des conseils scientifiques de chaque ED la définition du périmètre. Puis, d ici fin avril, il sera organisé une AG avec les responsables d équipes d accueil afin de structurer cette proposition, encore complètement ouverte. Il est néanmoins important que toutes les équipes d accueil potentielles (EAD déjà affiliées à ces ED mais aussi susceptibles de venir d autres EDs notamment parisiennes puissent se reconnaître dans le pavage en cours de construction pour les sciences du vivant. A cet égard, il apparaît important de pouvoir informer et consulter l ensemble des EADs via les directeurs des unités de recherche pour qu elles puissent prendre connaissance de la structuration en cours ; elles pourraient en outre faire d éventuelles suggestions quant au contours envisagés et faire part de leurs positionnement pressenti au sein des EDs mais aussi des difficultés qu elles auraient à se positionner. Dans ce contete, il est prévu : un tete de cadrage générique coordonné par Pierre Capy avec des fiches correspondant au repérimétrage des différentes EDs en sciences du vivant (mots clés) Page 6/7

7 un envoi de ce tete par C. Chappert à tous les directeurs d unité concernés y compris UEVE afin de leur proposer une photographie de l état actuel de la réfleion et de les interroger sur les points ci-dessus. 4. Questions diverses Aucune question supplémentaire n a été soulevée. La prochaine réunion aura lieu mardi 19 mars 2013, de 14h à 17h, à l INRA de Jouy en Josas. Noter le changement eceptionnel de salle : bâtiment 222 «Micalis» (au-dessus du bâtiment de restauration). Ordre du jour, à confirmer : - Validation du compte rendu de la réunion du 15 février - Schéma organisationnel : o Schools : (i) proposition des intitulés pour les futures schools ; (ii) cartographie de l offre de formation Masters (mentions et spécialités) par school et présentation détaillée de la school «C». o Département : discussion sur le tete révisé relatif au fonctionnement et à la gouvernance du futur «département de sciences du vivant». o Espace doctoral : avancement du processus de consultation large des unités et équipes relevant des ED émargeant au sciences du vivant. - Questions diverses Page 7/7

8 Réunion du Groupe de travail Sciences du Vivant 15 février Réunion Groupe de travail Sciences du Vivant 21/11/2012

9 Ordre du jour 1. Approbation du CR du 15 janvier 2. Actualités Rapport annuel Ide et PSAMS Schéma organisationnel 3. Points sur la réfleion de l offre de formation «Master» 4. Point sur avancement réfleion sur ED en sciences du vivant 5. Questions diverses Réunion Groupe de travail Sciences du Vivant 15/02/2013

10 Actualités IDEX Paris Saclay 5 ème séminaire IDEX 30 Janvier 2013 Accord de Consortium, Rapport annuel IDEX, Plan stratégique Actions et Moyens Schéma organisationnel

11 Rapport annuel IDEX (dû le 15 Février 2013 repoussé au 15 Mars) Action proposée : préparer immédiatement les rapports financiers et scientifiques des Labe commencer à évaluer nos indicateurs Ide (cf Annee 4 de la CAA GT «indicateurs») préparer un PSAMS détaillé qui incluera: o le détail des dépenses 2012, incluant l engagement des partenaires o déjà bien avancé avec le travail réalisé sur les labe qui constituent l essentiel de l engagement des partenaires (75%) o un état d avancement des diverses «actions» de l Ide : gouvernance, organisation, formation, recherche, international, valorisation, etc., comparé au jalons o le plan stratégique (PSAMS) avec le détail des engagements IDEX et partenaires prévus pour 2013, et les prévisions pour les années suivantes jusqu à la fin de la phase probatoire mais, rien sur la gouvernance!!! valider ces documents lors du CA FCS du 27 Février 4 Groupe SdV, 15 février 2013

12 Accord de Consortium : dû le 30 Avril 2013 La FCS s appuiera sur la Convention Attributive d Aide (CAA) signée le 30 Avril «L Etablissement porteur devra conclure avec les Partenaires, un accord précisant notamment : 1. la répartition des tâches, des moyens humains et financiers et des livrables ; sera contenu dans le PSAMS et dans les rapports Labe 2. le partage des droits de propriété intellectuelle des résultats obtenus dans le cadre du Projet ; réfleion à initier sur la base des accords de consortium classiques (ANR, Carnot, EU) 1. le régime de publication / diffusion des résultats ; prévu : rajouter une ligne Université Paris Saclay à la liste des établissements sur les publications, et mentionner l ANR/IDEX dans les Acknowledments 2. la valorisation des résultats du Projet.» inclus dans le nouveau projet de SATT, sauf INSERM à contacter 5 Groupe SdV, 15 février 2013

13 2 Plan stratégique Actions, Moyens et Structures (PSAMS) 6 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

14 7 Les Actions et Programmes de l Ide Financement IDEX total : 144,74 M (dont 67,07 pour Labe et 6,02 pour IDEFI) Action Recherche P1 : Structurer et renforcer l ecellence P2 : Décloisonner, incuber et nourrir les initiatives P3 : Créer des Instituts de stature internationale P4 : Ouvrir l accès au technologies de pointe P5 : Mobiliser les énergies : l Académie Paris Saclay 15,6 + L (15,2 + 0,4/P5) Action Formation P1 : Mettre en place un espace doctoral mutualisé P2 : Créer un dispositif complet et coopératif «Cycle Master et formation d ingénieurs» P3 : Préparer à la recherche et à l innovation dés le niveau licence P4 : L internationalisation de la formation P5 : Développer la formation tout au long de la vie : «Eecutive education» Action Valorisation P1 : Organiser l écosystème de l innovation P2 : Inciter et supporter l entreprenariat P3 : Renforcer les liens avec les entreprises Action Vie de Campus P1 : Vie de Campus Actions Science & Société P1 : Diffuser la culture scientifique P2 : Construire un discours citoyen P3 : Favoriser l éthique et la responsabilité Action International P1 : International 18,24 + L 9,5 + L > 1,2 > 2,0 9,5 + L + Idefi + Int l 4,4 Gouvernance 13 M

15 8 Les Actions et Programmes de l Ide Financement IDEX total : 144,74 M (dont 67,07 pour Labe et 6,02 pour IDEFI) Action Recherche P1 : Structurer et renforcer l ecellence P2 : Décloisonner, incuber et nourrir les initiatives P3 : Créer des Instituts de stature internationale P4 : Ouvrir l accès au technologies de pointe P5 : Mobiliser les énergies : l Académie Paris Saclay 15,6 + L (15,2 + 0,4/P5) Action Formation P1 : Mettre en place un espace doctoral mutualisé P2 : Créer un dispositif complet et coopératif «Cycle Master et formation d ingénieurs» P3 : Préparer à la recherche et à l innovation dés le niveau licence P4 : L internationalisation de la formation P5 : Développer la formation tout au long de la vie : «Eecutive education» Action Valorisation P1 : Organiser l écosystème de l innovation P2 : Inciter et supporter l entreprenariat P3 : Renforcer les liens avec les entreprises Action Vie de Campus P1 : Vie de Campus Actions Science & Société P1 : Diffuser la culture scientifique P2 : Construire un discours citoyen P3 : Favoriser l éthique et la responsabilité Action International P1 : International 18,24 + L 9,5 + L > 1,2 > 2,0 9,5 + L + Idefi + Int l 4,4 Gouvernance 13 M

16 Action Recherche Mettre en place une stratégie de recherche unifiée à l échelle du plateau de Saclay, mobilisant les énergies sur les enjeu scientifiques et socio économiques pour atteindre le meilleur niveau mondial, avec des retombées dans les Actions de Formation et Innovation. A travers cette démarche, être le premier moteur de la construction de l Université Paris Saclay. Les Programmes de l Action Recherche Phase probatoire P1 Structurer et renforcer l Ecellence (labe) 67,07 M P2 Décloisonner, incuber et nourrir les initiatives 8,00 M P3 Créer des Instituts de stature internationale 3,90 M P4 Ouvrir l accès au technologies de pointe 3,30 M P5 Mobiliser les énergies: l Académie Paris Saclay 0,40 M TOTAL hors Labe : 15,60 M AAP 2012 et 2013 Des chaires Ide (recrutements de haut niveau)? 5M à trouver (10 chaires à 0,5 M ) la nécessité d anticiper en lien avec OR et EES Assurer la maturation de projets prêts à être lancés dès 2016!!! 9 Groupe SdV, 15 février 2013

17 Action Formation En combinant les qualités des deu modèles Université et Grande Ecole, mettre l étudiant au cœur du dispositif, et le rendre acteur de sa formation au service de son projet de vie. Il sera ainsi le premier vecteur du transfert de connaissances vers la société, un facteur déterminant du renforcement de la compétitivité économique de notre industrie, et un acteur majeur dans l évolution vers une société de la connaissance et de l innovation ouverte sur le monde. Les Programmes de l Action Formation Phase probatoire P0 IDEFI (IVICA et Ecotrophelia) 6,02 M P1 Un Espace Doctoral mutualisé pour la future Université Paris Saclay P2 Créer un dispositif complet et coopératif «Cycle Master et formation d Ingénieurs» 10 Groupe SdV, ,36 M (30 contrats/an oct. 2015) 4,45 M (Bourses M2, TP innovants) P3 Préparer à la recherche et à l innovation dès le niveau licence 0,23 M (AAP, e learning, Villebon) P4 L internationalisation de la formation (cf International/M1 M2) + (M2 labs int ) 0,90 M P5 La formation tout au long de la vie : Eecutive Education 0,30 M Total hors IDEFI : 18,24 M

18 P4 Internationalisation de la formation (en commun avec l Action International) Budget prévu : bourses d accueil M1/M2 ( 8,43 M sur budget International) accueil et formation des étudiants étrangers (0,9 M, mais 0,5 M international) Bourses de vie M1/M2 pour étranger : Objectif: recruter parmi les meilleurs étrangers, dès le M1. Les aider ensuite à rester en thèse dans les labos Paris Saclay. Priorité au M1 «Paris Saclay». 80 bourses, 10k + trajet 1,5 k 5,52 M 1 er lancement AAP Février 2012 (puis annuel 2014) sélection : en 3 vagues, services «International» des partenaires Bourse M2 stage «Mobilité eterne/objectif thèse dans labo Up Sa» Objectif: internationalisation de la formation M2, développer les collaborations internationale des équipes Paris Saclay. 80 bourses, 6 k 0,96 M lancement fin 2013 pour 2014 ((puis ) critère: collaboration, soutien labo étranger Formation en langue pour étudiants (TOEIC, etc.) 0,40 M TOTAL : 6,88 M 11 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

19 Action Valorisation et relation avec les Entreprises Devenir l une des di premières universités mondiales en matière d impact économique, et devenir un moteur important du développement de la région Ile de France et du renouvellement de son tissu industriel. Doubler en di ans et tripler en quinze ans, d une part le nombre d innovations et de brevets déposés et d autre part le nombre d entreprises technologiques créées annuellement. Les Programmes de l Action Formation Phase probatoire P1 Organiser l écosystème de l innovation sur le site 1,40 M P2 Inciter et supporter l entrepreneuriat 5,50 M P3 Renforcer les relations avec les entreprises 2,60 M Total : 9,50 M Impact structurant des évolutions sur le projet SATT Il est prévu de converger sur une solution avec le MESR et le CGI en fin février pour un démarrage officiel au début du deuième semestre Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

20 4 Valorisation Paris Saclay : Schéma proposé par le CGI/MESR (janv 2013) Ecosystème Relations Avec les entreprises Direction de la Valorisation et des relations avec les entreprises Conseil d administration de la SAS Comité d investissemen t Fonds de maturation Comité de maturation Fonds d Incubation Fonds eternes gérés par une SAS Conseil d Administration de l Association ATT (loi 1901 ) Comité de gestion du Portefeuille de PI Gestion des plates formes Technologiques Incitations à l Innovation et à l entrepreneuriat Gestion de la PI et détection de l Innovation Opérations de Maturation et Ventes Technos/PI Opérations d Incubation Périmètre opérationnel de l Association ATT 13 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

21 Action Valorisation et relation avec les Entreprises Devenir l une des di premières universités mondiales en matière d impact économique, et devenir un moteur important du développement de la région Ile de France et du renouvellement de son tissu industriel. Doubler en di ans et tripler en quinze ans, d une part le nombre d innovations et de brevets déposés et d autre part le nombre d entreprises technologiques créées annuellement. Les Programmes de l Action Formation Phase probatoire P1 Organiser l écosystème de l innovation sur le site 1,40 M P2 Inciter et supporter l entrepreneuriat 5,50 M P3 Renforcer les relations avec les entreprises 2,60 M Total : 9,50 M Impact structurant des évolutions sur le projet SATT Il est prévu de converger sur une solution avec le MESR et le CGI en fin février pour un démarrage officiel au début du deuième semestre Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

22 Action Vie de Campus Faire un campus ouvert sur le territoire et la société, où il fait bon travailler, habiter, se distraire, faire du sport; où le chercheur, l enseignant chercheur, et l entrepreneur entretiennent au quotidien un contact naturel avec la population. Action Sciences et Société Construire un lien étroit entre l Université Paris Saclay et les différentes composantes de la société. Trois actions conservées : coût sur phase probatoire : e learning 1,20 M services numériques 1,50 M Diagonale Paris Saclay 1,35 M 4,40 M Initiatives diverses (assoc. étudiants ) : 0,35 M 15 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

23 Action Développement de l International Notre objectif est d accroitre la reconnaissance internationale au meilleur niveau de future Université Paris Saclay, tant par la communauté académique, que par les étudiants, les entreprises et le monde socio économique en général. Toutes les actions de l IDEX contribuent à cette ambition directement ou indirectement. 4 Initiatives en direction des étudiants étrangers (bourses M1 M2) 8,43 M en direction des enseignants, chercheurs et ens. ch. en direction des entreprises étrangères 0,90 M en direction des universités étrangères 16 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

24 Stratégie internationale (1/2) Accroitre la notoriété : Position de l Université par rapport au classements internationau en particulier le nouveau classement européen Multi Rank Une signature commune des publications pour 2014 Attractivité : Promotion des Masters et des Doctorats à l international Mise en œuvre du programme international de bourses de Masters et de Doctorats, Projet «Accueil international des étudiants et chercheurs» Mise en œuvre du projet en mars Objectifs : organisation de l accueil (action pilote en automne), appui des membres et de la préfecture (machine à empreintes) 17 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

25 Stratégie internationale : les pays (2/2) Europe (Groupe Europe et SEREN) : Positionnement de l Université dans H2020 Développement d actions collectives type cofund, Marie Curie Présence de l Université dans les eperts européens Appui au membres (ERC, appels divers ) Partenariat privilégié avec l Allemagne? Hors Europe : Singapour : étude et proposition d actions pour 2014, voyage d études en 2013 Russie, intérêt eprimé par Skolkotech (étudiants russes pour l UPSa) Brésil, Chine : études de dossiers USA : équilibrage des échanges d étudiants Budget : 1,4 M Personnel FCS 1 pers., mise à disposition 1,5 pers. Support des membres 8 pers. 18 Séminaire IDEX 30 Janvier 2013

26 Actualités IDEX Paris Saclay 5 ème séminaire IDEX 30 Janvier 2013 Accord de Consortium, Rapport annuel IDEX, Plan stratégique Actions et Moyens Schéma organisationnel

27 Quelques constatations issues de l analyse de la concertation Retours du CAC, des GT Ide et des conseils de certains établissements «communautés scientifiques» (départements) et «schools» ont une importance égale dans la future organisation, mais des missions prioritaires différentes : «départements» : cohérence et vitrine de la recherche, «schools» : cohérence et vitrine de la formation les publics visés, les conditions de qualité, les mécanismes de reconnaissance nationale et internationales, sont très différents pour la recherche et l enseignement : pour être optimisés vers leurs objectifs, les distributions en «schools» et en «départements de recherche» sont nécessairement différentes! ce sont les personnels académiques qui portent le lien fondamental entre formation et recherche qui est au cœur de la mission des universités. Interdisciplinarité : à travers la règle de «non identité» départements schools, on induit nécessairement des dialogues entre communautés différentes 20 Séminaire Ide 30 Janvier 2013

28 Objectif pour les formations et la diplomation dans l Université Paris Saclay Doctorat, Masters, Licences : habilitations et accréditations portées par l Université Paris Saclay qui reçoit délégation de l Etat pour délivrer ces diplômes les établissements partenaires deviennent les opérateurs de l Université Paris Saclay: o s accordent sur l élaboration de la stratégie au sein de la school de rattachement des formations o inscrivent les étudiants (carte d étudiant Université Paris Saclay mentionnant l établissement d inscription) o mettent en place les moyens pour assurer la formation o participent à la délivrance du diplôme, sur lequel apparaît l établissement d inscription Un engagement sur : la rationalisation de l offre à tous niveau (y compris diplôme d Ingénieur), la qualité et l attractivité internationale l évolution de cette offre avec la construction de l Université Paris Saclay 21 Séminaire Ide 30 Janvier 2013

29 Les «schools» de l Université Paris Saclay Une vitrine : le point d entrée vers l Université des étudiants, de leurs futurs employeurs, et au delà de la société. doit permettre au publics visés (et en particulier les étudiants) d identifier aisément les parcours de formation adaptés à leur projet. la vitrine internationale en formation doit être conforme au standards internationau Un lieu de travail crucial pour l Université Paris Saclay : décision et suivi de l engagement de moyens dans les formations portées par Paris Saclay coordination de l affichage global de toutes les formations du consortium Paris Saclay rationalisation, cohérence et stratégie d évolution de l offre globale de formation de l Université Paris Saclay, en particulier en vue de la fin de phase probatoire et du contrat quinquennal Un impact qui ne peut pas être limité à la formation : Les moyens engagés par les établissements sont étroitement liés au missions spécifiques de chacun, et ne peuvent être totalement dissociés de leur stratégie de recherche (recrutement d enseignantschercheurs, relations industrielles et internationales, image etc ) la school est aussi un lieu de proposition dans l élaboration de la stratégie de recherche Une gouvernance en conséquence : qui fait intervenir les responsables des établissements d enseignement supérieur (engagement de moyens) qui peut intégrer des représentants des départements de recherche 22 Séminaire Ide 30 Janvier 2013

30 Les départements «de recherche» de l Université Paris Saclay Une vitrine internationale : plutôt disciplinaires (ESI), par opposition au Instituts sur enjeu thématiques Une lieu de travail crucial pour l Université Paris Saclay Elles pavent la communauté scientifique et académique de l Université Paris Saclay point de rencontre entre unités de recherche, organismes, établissements et l Université lieu d élaboration des propositions d un stratégie de recherche globale lieu de discussion et de mutualisation entre unités de recherche, source de propositions pour l Ide, avec trois grands aes d actions : animation scientifique de la communauté, en particulier : donner corps à la transversalité inter établissements, harmoniser et coordonner les différentes actions menées dans ce cadre. faciliter l émergence de projets partagés dans le cadre du Plan Stratégique Actions, Moyens, Structures (PSAMS) assurer le suivi des actions lancées par l IDEX, en proposer de nouvelles mise en commun et soutien de plateformes techniques force de proposition pour les formations innovantes Une gouvernance adaptée Leur gouvernance doit faire intervenir des eperts de la communauté scientifique et une participation des organismes de recherche et établissements (e: modèle RTRA de Saclay) Elle peut corriger des effets négatifs du découpage (eperts industriels, représentation des autres départements, etc.) 23 Séminaire Ide 30 Janvier 2013

31 Suite de la réfleion La qualité de fonctionnement du dialogue futur passe par l ingénierie des représentations des diverses forces (établissements, organismes, élus, DUs, etc ) et des liaisons entre les différents étages. En particulier, entre le niveau «départements schools» et le niveau «gouvernance». Quelques idées (dans le schéma EPCS actuel) : Conseil des schools dominés par établissements CA et Assemblée aussi : Le responsable de la school devrait dépendre directement du Président et de l éécutif de l EPCS Comité de pilotage des départements de recherche : scientifique représentant les établissements : nommés par eu. eperts : désignés par le Sénat? Membres du Sénat? responsable : élu par le Conseil? Ou si nommé, par qui? 24 Séminaire Ide 30 Janvier 2013

32 Agenda possible pour le schéma organisationnel échanges poursuivis entre GT et Comité Ide séminaire du 3 Avril 2013 : accord sur une répartition en schools, départements de recherche et Ecoles Doctorales proposition de gouvernance de ces niveau CA du 24 Avril 2013 : vote 25 Séminaire Ide 30 Janvier 2013

33 Etat de la réfleion sur l offre de formation «master» 1. Bilan rapide séminaire 2. Proposition de structuration en schools pour les Sciences du Vivant 3. Avancée de la réfleion dans les différents groupes de travail 4. Organisation et méthode de travail pour poursuivre 26 Réunion Groupe de travail Sciences du Vivant 21/11/2012

34 Etat de la réfleion dans les trois groupes de travail Master Faculté de Médecine de Paris Sud/UVSQ/ENS/(UEVE) * ou ** : 1 ou 2 spécialités internationales UVSQ/(UEVE)/Un. Paris Sud/ENS/ Un. Paris Sud/UVSQ/AgroParisTech/(UEVE) Ethique, Science, Santé, Société Imagerie moléculaire (EMMI) Physique médicale Santé publique Sciences de la motricité Métiers de la santé Biologie Santé Biologie intégrative Territoires, Ressources et Milieu Alimentation Bioproduits Sciences Economiques, Sociales et Vivant? 4 spés communes Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay Paris Saclay???? 28 Réunion Groupe de travail Sciences du Vivant 21/11/2012

35 Vers deu Schools dans le champ des sciences du vivant? SCHOOL A «SdV Santé» SCHOOL B «e AAE» Ethique, Science, Santé, Société Imagerie moléculaire (EMMI) Physique médicale Santé publique Sciences de la motricité Métiers de la santé Biologie fondamentale? Biologie intégrative? Territoires, Ressources et Milieu Alimentation (et santé?) Biomolécules, énergie Sciences Economiques, Sociales et Vivant? La mention «Biologie intégrative» de la School «B» : Un sous ensemble de la mention «Biologie fondamentale» avec son propre M1? L ensemble de la mention «Biologie fondamentale» avec un M1 commun?

36 GT Sciences du vivant 15 février

37 Licences Réunion spécifique 6 février à l X : 32 participants ORDRE DU JOUR: - Points générau sur les actions licence «Université Paris-Saclay» - Point concernant la Licence Villebon-Charpak - Point concernant les différents projets identifiés, en cours de discussion ou encore au stade de l idée au sein des différents établissements et qui concerne des actions mutualisées niveau licence. 2

38 Synthèse des lettres d intention MASTER (1) Réponses des filières sans filtrage des établissements pour connaitre l état d avancement des projets (renouvellement ou création) niveau master Envoi d une lettre d information + questionnaire avec retour au 25 janvier à tous les C et EC des établissements (réponses directes des responsables de mention, M1, M2, réponses centralisées de certains établissements,...) 3

39 Synthèse des lettres d intention MASTER (2) Au total : 276 filières traitées avec croisement des données (518 lettres) Synthèse par School avec plusieurs points critiques à traiter: - Mention de master «Biologie Santé» apparait dans un onglet spécifique «Sciences du Vivant» - STAPS PSUD mentionnent Schoolde rattachement STAPSSanté/Sciences du Sport - UVSQ mentionnent Schoolsde rattachement Humanités (SchoolHumanités mais SS rattachées à Economie et SHS) - Formations des Enseignants primaire et Capes : Onglet spécifique (pas Cachan) - Formation des Professeurs agrégés Schools (pas Cachan) Analyse à consolider (Vérification des chiffres, doublons et recouvrement, identification des fiches manquantesm1+ X + Evry + autres ) 4

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