Document de consultation Simplification des obligations TVA Le guichet unique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Document de consultation Simplification des obligations TVA Le guichet unique"

Transcription

1 COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE FISCALITÉ ET UNION DOUANIÈRE POLITIQUE FISCALE TVA et autres taxes sur le chiffre d'affaires TAXUD/ C3 /. Mars 2004 Document de consultation Simplification des obligations TVA Le guichet unique Note Le présent document est soumis pour consultation à toutes les parties intéressées par le projet de guichet unique TVA. Le seul objectif de cette consultation est d'alimenter le débat, de recueillir en retour des informations pertinentes et d'aider les services de la Commission à affiner leur réflexion dans ce domaine. Le présent document ne reflète pas nécessairement les vues de la Commission des Communautés européennes, et ne doit pas être interprété comme un engagement de la Commission en faveur d'une quelconque initiative officielle dans ce domaine. Les parties intéressées sont invitées à soumettre leurs commentaires d'ici au 31 juillet 2004 au plus tard. Ces commentaires peuvent être formulés par écrit, par fax ou par courrier électronique et seront adressés à l'attention de M. Werner Blockmans ou de M. Patrice Pillet. Courrier normal : Commission européenne Direction générale Fiscalité et union douanière TVA et autres taxes sur le chiffre d'affaires B-1049, Bruxelles Belgique Fax : Courrier électronique : taxud-c3@cec.eu.int

2 1. INTRODUCTION La Commission a présenté en octobre 2003 sa communication visant à dresser un bilan de sa stratégie TVA lancée en juin 2000, et d'exposer les nouvelles initiatives qu'elle entend prendre pour les années à venir dans le cadre de cette stratégie 1. La nouvelle communication identifie la simplification des obligations fiscales comme une des lignes directrices des travaux futurs. Cette simplification doit notamment se réaliser par un usage plus développé des moyens de communication électronique, dans les relations entre les opérateurs et l'administration fiscale, ainsi que dans les relations fiscales des Etats membres. A ce sujet, il est à noter que le Conseil a déjà accepté, dans le cadre du régime spécial sur le commerce électronique, le principe d'un lieu unique d'identification, de dépôt de déclarations périodiques et de paiement de la TVA pour toutes les services fournis par voie électronique par un opérateur non établi dans l'ue à des non assujettis établis dans l'ue (guichet unique). Dans la nouvelle communication, un usage développé d'un mécanisme du guichet unique est donc avancé comme l'élément clé dans l'exercice de simplification des obligations des opérateurs communautaires. En effet, selon les règles actuellement en vigueur, le lieu d'imposition d'une opération imposable détermine l'etat membre dans lequel les obligations fiscales déclaratives et de paiement pour cette opération doivent être remplies. Pour les opérations B2C, l'assujetti effectuant la livraison de biens ou la prestation de service est tenu de remplir ces obligations. Pour les opérations B2B, l'assujetti effectuant l'opération peut être déchargé de certaines de ces obligations dans la mesure où il n'est pas établi dans l'etat membre d'imposition et que cet Etat membre a fait usage de l'option prévue à l'article 21 de désigner le destinataire de la livraison de biens ou la prestation de service comme redevable de la taxe. Un assujetti ayant des activités dans plusieurs Etats membres risque donc d'être confronté à un faisceau d'obligations à remplir dans plusieurs Etats membres. Comme les Etats membres ont une grande liberté dans la détermination des obligations en matière de TVA, le contenu des déclarations à déposer ainsi que la périodicité des obligations peuvent être très différentes d'un Etat membre à un autre. Or, il ressort d'enquêtes menées par la Commission que 26% des opérateurs considèrent le régime de TVA et les obligations TVA comme un obstacle au Marché Intérieur 2. 10% des opérateurs estiment que la TVA est le domaine où les obligations sont les plus 1 COM(2003) 614 final, voir n 2 Nov 2000 Survey. 2

3 coûteuses pour les entreprises 3. De manière générale, les opérateurs ont classé la législation TVA en quatrième position (après les lois en matière d'emploi, en matière de conformité des produits et en matière d'environnement) en termes de coûts pour respecter les obligations. La Commission estime que l'usage du guichet unique pourrait, dans un grand nombre de cas, simplifier les obligations fiscales des opérateurs communautaires ayant des activités transfrontalières. La mise en place du guichet unique apporterait donc des facilités pour les opérateurs ayant des obligations déclaratives et de paiement dans des Etats membres où ils ne sont pas établis. L'étude PriceWaterhouseCoopers sur les obligations TVA 4 arrivait déjà à cette conclusion et les commentaires reçus lors de la consultation publique qui a eu lieu l'année passée sur ce sujet confirme que cette option est soutenue par les milieux professionnels. L'objectif du présent document est donc de présenter les différents aspects du mécanisme du guichet unique et de recueillir l'avis des milieux intéressés, en vue d'une proposition législative à l'automne. 2. LE CHAMP D'APPLICATION POTENTIEL DU GUICHET UNIQUE La Commission est d'avis que le concept du guichet unique devrait concerner en premier lieu les assujettis ayant des opérations pour lesquelles ils sont redevables de la taxe dans un Etat membre où ils ne sont pas établis. Le présent document vise donc uniquement ce type d'opérations (ventes à distance, livraisons avec installation ou montage, travaux immobiliers, ventes sur les foires et expositions, ventes sur les marchés et prestations de déménagement, ventes à bord des avions ). Le régime de guichet unique devrait en outre être limité aux opérations BtoC. En effet, les opérations BtoB pourraient être systématiquement soumises au régime de "reverse charge", qui semble être le régime le plus simple dans le contexte d'opérations effectuées par des assujettis non établis. Il convient également de noter que le guichet unique est par nature appelé à englober le régime spécial transitoire mis en place pour les opérateurs des pays tiers effectuant des livraisons virtuelles en Europe. Mais toutes les entreprises des pays tiers (même celles qui ne sont pas actives dans le domaine du "commerce électronique") devront également pouvoir avoir accès à un tel guichet unique, selon des modalités communes à définir. La Commission est d'avis que ces modalités devraient être aussi simples que possible, à l'image du régime spécial commerce électronique. 3 Sept 2001 Survey. 4 Cette étude est disponible sur le site Internet de la DG Fiscalité et Union Douanière, à l'adresse suivante : 3

4 3. ENTREE DANS LE REGIME ET IDENTIFICATION : 3.1. Entrée dans le régime Le premier service que doit offrir un guichet unique est celui de permettre aux opérateurs de s'identifier à la TVA en s'adressant uniquement à leur propre Etat membre, y compris dans les cas où ils sont redevables de la taxe dans plusieurs Etats membres. Concrètement, cela signifie qu'un opérateur d'un Etat membre A pourrait s'identifier à la TVA dans son propre Etat membre (c'est-à-dire celui où il est établi), à la fois au titre des opérations imposables effectuées en A mais également au titre des opérations imposables effectuées dans d'autres Etats membres à partir de cet établissement situé dans l'etat membre A. Afin qu'un tel système ne se traduise pas par des charges administratives disproportionnées pour les administrations et sur le modèle mis en place par la directive "commerce électronique", un tel système n'est envisageable que dans le cadre d'un système d'obligations entièrement électronique. Comme dans le cadre de la directive "commerce électronique", la solution la plus pragmatique consisterait à prévoir une identification électronique dans le cadre d'un système optionnel, c'est-à-dire d'un système laissant la possibilité aux opérateurs qui le souhaiteraient de continuer à traiter directement avec jusqu'à 25 administrations fiscales différentes Identification à la TVA Concrètement, un tel régime permettrait une identification unique au lieu où se trouve l'établissement. L'entreprise sera presque toujours déjà identifiée (au titre de ses opérations "nationales") et aura donc déjà un numéro TVA dans son propre Etat Membre; la solution de remplacer ce numéro national par un numéro de type "EUXXXXXXXXXX" (sur le modèle "commerce électronique") ne semble donc pas appropriée. Une telle entreprise demeurera en effet dans la plupart des cas principalement une entreprise redevable de la TVA dans son propre Etat membre. La meilleure solution est donc que l'assujetti soit identifié dans le guichet unique par son seul numéro TVA national. Il aurait ainsi un seul numéro TVA à mentionner sur ses factures et ses déclarations, c'est-à-dire celui attribué par son propre Etat membre. Cela ne devrait poser aucun problème en matière de droit à déduction dans la mesure où il s'agira exclusivement d'opérations BtoC Modalités pratiques En pratique, l'identification des assujettis dans le régime "guichet unique" pourrait être opérée selon les modalités suivantes : - Un formulaire électronique de demande d'identification devrait être transmis par l'assujetti à son administration. Un tel formulaire devrait comporter un minimum d'informations communes à tous les Etats membres (identification de l'assujetti, secteur d'activité, numéro TVA national et éventuellement numéros TVA étrangers déjà attribués), 4

5 - L'administration de l'etat membre d'établissement devrait ensuite considérer cette demande, éventuellement faire un contrôle préalable, puis l'accepter ou la refuser, - L'acceptation se matérialiserait par l'envoi d'un message électronique d'acceptation à l'assujetti qui entraînerait en même temps la transmission électronique automatique de tous les renseignements contenus dans le formulaire de demande à tous les Etats membres, - Tous les Etats membres pourraient ensuite vérifier si cet assujetti était déjà identifié en tant que non établi dans leur Etat membre, afin de procéder à la radiation éventuelle des numéros ainsi devenus obsolètes. Chaque Etat membre aurait en outre en permanence une base de données complète et à jour de tous les assujettis du guichet unique. 4. LA DECLARATION DE LA TVA DUE ET L'EXERCICE DU DROIT A DEDUCTION 4.1. La déclaration Une fois l'entreprise identifiée, elle utiliserait le guichet unique pour remplir des déclarations de TVA par voie électronique. Un formulaire de déclaration "multi-pays" au contenu harmonisé devrait ainsi être mis au point et placé sur le site Internet de chaque administration nationale. Une telle déclaration pourrait contenir: des informations générales sur l'assujetti; la déclaration proprement dite des opérations imposables. La déclaration électronique pourrait consister en plusieurs "pages électroniques" (une page pour chaque Etat membre) dont l'assujetti concerné remplit les pages qui le concernent. Le niveau de détail relatif aux différents taux serait défini par chaque Etat membre de consommation. Chaque page pourrait ainsi indiquer de manière automatique les taux de TVA applicables dans l'etat membre en question. L'intégration ou non d'une page "nationale" (obligations domestiques de l'assujetti) serait à décider par chaque Etat membre d'identification. Chaque Etat membre serait ainsi libre d'avoir un système d'obligations "domestiques" différentes (périodicité différente, formulaire différent, dates de paiement différentes ), de manière à ce que la mise en place du guichet unique n'ait pas pour conséquence la nécessité d'harmoniser l'ensemble des obligations domestiques. Voici un exemple montrant comment pourrait se présenter la partie de la déclaration périodique relative aux opérations imposables en Belgique sur le site Web d'un Etat membre autre que la Belgique. BELGIQUE 5

6 Montant des opérations pour lesquelles la TVA est due Taux applicable TVA 1 0 % ou exonéré 2 6 % 3 12 % 4 21 % 5 Total de TVA due ( ) 6 TVA déductible 7 Solde (8 ou 9 à remplir) 8 TVA à payer (si 5-6 = positive) 9 TVA à récupérer (si 5-6 = négative) 10 Crédit d'impôt de la période précédente 11 Résultat final : Montant à payer (si 8-10 = positive) 12 Résultat final : Montant à récupérer (si 8-10 = négative ou ) 13 Demande de remboursement effectif du montant à récupérer qui figure dans la case 12 La Commission suggère en outre une périodicité unique de 3 mois pour toutes les entreprises du régime spécial, assortie d'une obligation pour l'assujetti d'envoyer sa déclaration au plus tard un mois après. Il convient enfin de noter qu'un tel système ne rendrait en rien nécessaire une harmonisation des déclarations nationales (comme suggéré dans l'étude PriceWaterhouseCoopers) puisque les entreprises relevant du régime spécial pourraient être soumises à des obligations distinctes L'exercice du droit à déduction Le guichet unique concerne des assujettis ayant des activités imposables pour lesquelles ils sont redevables de la taxe dans plusieurs Etat membres. Aujourd'hui, ces assujettis exercent leur droit à déduction par imputation sur les déclarations périodiques qu'ils sont tenus de déposer dans les différents Etats membres. 6

7 Dans le cadre du guichet, les assujettis devraient pouvoir exercer le droit à déduction de la TVA dans la déclaration électronique (à déposer via le guichet unique). Ce droit à déduction serait exercé selon les règles de l'etat membre d'achat. Dans l'exemple précité, un assujetti établi en France ayant des opérations imposables en Belgique qu'il déclare par mécanisme du guichet unique, indique dans la case 6 le montant de TVA qui, selon la réglementation en vigueur en Belgique, est déductible en Belgique. Cette solution est comparable à la situation actuelle. En effet, aujourd'hui un assujetti non établi exerce son droit à déduction dans la déclaration qu'il dépose dans l'etat membre où il n'a aucune présence physique. L'Etat membre où la déduction est exercée, et non pas l'etat membre d'établissement, vérifie le bien fondé de ces déductions. La mise en place du guichet unique ne devrait pas modifier ce principe. Le fait que la déclaration ne soit plus déposée directement dans l'etat membre de déduction, mais que ces informations lui parviennent par l'intermédiaire du site Web de l'etat membre d'établissement, ne devrait pas affecter ses pouvoirs de contrôle L'avenir de la huitième directive Dans l'attente d'une adoption de la proposition de la Commission relative à la 8 directive et bien que les assujettis concernés par la 8 Directive soient dans la plupart des cas des assujettis qui ne seront pas des "clients" du guichet unique, les mêmes principes pourraient être envisagés afin de remplacer cette procédure papier par une procédure électronique. On pourrait ainsi envisager que les demandes au titre de la 8 Directive puissent transiter par voie électronique de l'assujetti non établi vers l'administration de l'etat membre d'identification puis vers l'etat membre de déduction. Les règles en matière de droit à déduction seraient ainsi inchangées, le droit de l'etat membre de consommation restant le seul droit applicable. Des formulaires spécifiques au contenu standardisé devraient être mis au point et pourraient ainsi être inclus sur les sites nationaux du "guichet unique". Il faudrait en outre revoir l'obligation de transmission systématique de toutes les factures, obligation peu compatible avec un système de transmission électronique. 5. LES PAIEMENTS ET EVENTUELS REMBOURSEMENTS En ce qui concerne le paiement, à nouveau il ne serait pas nécessaire d'harmoniser les dates de paiement dans les différents Etats membres. En revanche, les entreprises du régime spécial bénéficiant du guichet unique devraient payer leur taxe à une date harmonisée. La Commission suggère qu'un tel paiement soit effectué en même temps que la déclaration. Il est suggéré que le paiement soit fait par l'assujetti directement sur le compte national de chaque administration de consommation concernée, et dans la devise de ces Etats membres. 7

8 Il serait toutefois possible et souhaitable que les administrations fiscales de chaque Etat membre d'établissement négocient des accords avec leurs banques nationales afin d'offrir à leurs assujettis la possibilité de n'envoyer qu'un seul paiement. Ce paiement pourrait être généré via le site Internet national du guichet unique et contenir les informations nécessaires à la répartition des sommes aux différents Etats membres. Dans des cas exceptionnels, la déclaration génèrera un crédit d'impôt et non un paiement. Il s'agit là de cas très rares dans la mesure où en l'absence d'établissement dans le pays de consommation, les dépenses de l'assujetti générant un droit à déduction seront le plus souvent très limitées. Dans de tels cas, un mécanisme ou bien de report ou bien de remboursement devra être mis en place. Il est proposé qu'un remboursement effectif ne soit possible qu'à l'issue de deux périodes consécutives durant lesquelles est dégagé un crédit d'impôt. 6. L'INFORMATION DES ASSUJETTIS Si le système du "guichet unique" remplace 25 règles différentes en matière d'identification, de déclaration et de paiement, il n'unifie pas les règles de taxation ellesmêmes. Il y aurait donc toujours, dans le cadre d'un guichet unique, 25 systèmes différents de taux et d'exonérations. La mise en place du guichet unique devrait donc s'accompagner d'un système d'information performant des assujettis sur les règles à appliquer dans chaque Etat membre. Certains documents d'information existent déjà sur le site de la DG Taxud (Vademecum dans la Communauté européenne, taux de TVA dans la Communauté Européenne) mais ils ne seraient pas vraiment adaptés à un système de guichet unique. Il conviendra de s'inspirer de ces documents afin de mettre en place sur chaque site national des pages d'informations sur les exonérations et les taux de TVA de chaque Etat membre de manière à ce que chaque assujetti ait accès à ces informations dans sa propre langue. Ces pages d'informations devraient également contenir une description détaillée des règles de fonctionnement communes (et éventuellement spécifiques à chaque Etat membre) du guichet unique (identification, déclaration, paiement, contrôle ). 7. LA VERIFICATION DES DECLARATIONS, LE CONTROLE ET LE RECOUVREMENT 7.1. Vérification et contrôle Tout d'abord, il convient de rappeler que les déclarations seraient transmises immédiatement et automatiquement à l'etat membre de consommation concerné, sans aucune vérification préalable de l'etat membre d'identification. Sur base des déclarations reçues par chaque Etat membre, une première vérification serait pour sa part opérée par l'etat membre de consommation, selon ses propres procédures. 8

9 Dans les cas où cette déclaration génèrerait des questions, l'etat membre de consommation serait responsable de prendre contact directement avec l'assujetti (comme c'est le cas aujourd'hui). Seule la législation de l'etat membre de consommation serait en effet applicable pour toute question relative aux amendes, intérêts pour retard de déclaration ou de paiement, ainsi qu'en cas de recours. Si nécessaire, le contrôle pourrait également être réalisé de la manière suivante : - (1) Chaque Etat membre pourrait comme aujourd'hui demander à ses assujettis non établis la communication de pièces comptables, qui seront le plus souvent conservées hors du territoire national. - (2) En cas de difficulté à obtenir ces informations ou ces pièces, chaque Etat membre pourra comme aujourd'hui faire usage des mécanismes d'assistance mutuelle prévus en matière de TVA (demande d'information, de contrôle, de notification ). Du point de vue du contrôle, les capacités de chaque Etat membre ne seraient donc en rien réduites. Au contraire, le contrôle serait facilité par le fait que seraient disponibles des informations globales sur la situation des assujettis. Les moyens pour les entreprises d'échapper à toute taxation seraient par conséquent réduits. Enfin, le respect volontaire des obligations serait grandement facilité par le fait que les entreprises pourraient accomplir toutes leurs obligations via un seul contact administratif national et dans leur propre langue Procédures de contrôle coordonnées Même si les principes généraux relatifs aux compétences nationales en matière de contrôle étaient inchangés dans le cadre d'un régime de "guichet unique", il serait opportun d'améliorer ces procédures en favorisant autant que possible des contrôles communs. Il serait ainsi utile d'envisager une information systématique de tous les Etats membres lors d'un contrôle national opéré par l'administration de l'etat membre d'identification. Cela permettrait ainsi aux Etats membres de consommation qui le souhaitent de s'associer à ce contrôle afin d'en faire un contrôle global de la situation de l'assujetti concerné. Toutes les règles nécessaires en matière d'assistance mutuelle existent d'ores et déjà dans le règlement 2003/1798. Seule cette obligation d'information spécifique devrait y être introduite Recouvrement En ce qui concerne le recouvrement enfin, chaque administration fiscale continuerait d'être responsable du recouvrement des sommes qui lui sont dûes. Ce n'est qu'en cas de difficulté à recouvrer ces sommes que les Etats membres pourront utiliser les mécanismes d'assistance prévus par la directive "recouvrement", exactement comme ils le font aujourd'hui. 9

10 S'agissant des entreprises concernées, la mise en place d'un système de "guichet unique" devrait soulever moins de questions en termes de sécurité dans la mesure où, à l'inverse du commerce électronique, il concernerait des entreprises établies connues, déjà immatriculées. 10

Nouvelles règles TVA 2015. et leur impact sur le commerce électronique

Nouvelles règles TVA 2015. et leur impact sur le commerce électronique Nouvelles règles TVA 2015 et leur impact sur le commerce électronique Commission Européenne DG TAXUD Patrice PILLET Jeudi 17 Janvier 2013 1 Le système communautaire de TVA Les grands principes de la TVA:

Plus en détail

Texte de l'arrêté "Site e-business"

Texte de l'arrêté Site e-business Texte de l'arrêté "Site e-business" Arrêté relatif à l'octroi d'une prime aux entreprises qui créent un site e-business tel que modifié par l'arrêté du 15 juin 2006 (MB 12.07.2006) Le Gouvernement wallon,

Plus en détail

Les obligations juridiques et fiscales des entreprises étrangères réalisant des opérations en France

Les obligations juridiques et fiscales des entreprises étrangères réalisant des opérations en France Les obligations juridiques et fiscales des entreprises étrangères réalisant des opérations en France Opérations réalisées en France par l intermédiaire d un établissement stable Définition de l Établissement

Plus en détail

TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE

TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE ARTICLE 29 Groupe de travail sur la protection des données TRADUCTION EXTÉRIEURE NON RÉVISÉE 11601/FR WP 90 Avis 5/2004 portant sur les communications de prospection directe non sollicitées selon l'article

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 3 D-2-09 N 11 DU 4 FEVRIER 2009 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE. REMBOURSEMENT MENSUEL DES CREDITS DE TAXE DEDUCTIBLE NON IMPUTABLE. (C.G.I.,

Plus en détail

Solution de facturation électronique Signée

Solution de facturation électronique Signée Solution de facturation électronique Signée (Article 289V du Code Général des Impôt) Fiche d information Sommaire La facture... 2 En quoi consiste la dématérialisation fiscale de la facture?... 3 Qu est-ce

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 54 DU 14 MAI 2010 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 3 P-4-10 INSTRUCTION DU 14 MAI 2010 PRELEVEMENTS SUR LES JEUX ET PARIS. PROCEDURE D ACCREDITATION POUR LES PERSONNES

Plus en détail

Remarque préalable. Décision TVA n E.T. 126.003 dd. 10.10.2014. Exigibilité de la taxe Régime définitif

Remarque préalable. Décision TVA n E.T. 126.003 dd. 10.10.2014. Exigibilité de la taxe Régime définitif Administration générale de la Fiscalité Expertise Opérationnelle et Support Service TVA/Procédure de taxation et Obligations Taxe sur la valeur ajoutée Décision TVA n E.T. 126.003 dd. 10.10.2014 Exigibilité

Plus en détail

PREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître

PREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître PREFECTURE DE L OISE Direction des Relations avec les Collectivités Locales Bureau de l'urbanisme, des affaires foncières et scolaires Affaire suivie par : M. ABDELLATIF Mme LENGLIN Tel : 03 44 06 12 76/

Plus en détail

CONSEIL SUPERIEUR DES INDEPENDANTS ET DES PME

CONSEIL SUPERIEUR DES INDEPENDANTS ET DES PME CONSEIL SUPERIEUR DES INDEPENDANTS ET DES PME F PRAT COM - compétence territoriale A2 Bruxelles, le 26 mai 2011 MH/AB/JP A V I S sur UNE PROPOSITION DE LOI MODIFIANT LA LOI DU 6 AVRIL 2010 RELATIVE AUX

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE ET D UTILISATION

CONDITIONS GENERALES DE VENTE ET D UTILISATION CONDITIONS GENERALES DE VENTE ET D UTILISATION 1) Mentions Légales 1.1 - Le site internet FacileSMS est édité la société FACILE SOLUTION S.A.R.L. dont le siège est situé 68 Avenue de la Liberté, 1930 Luxembourg

Plus en détail

Circulaire du 07/01/2015

Circulaire du 07/01/2015 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des Finances et des Comptes publics BUDGET Circulaire du 07/01/2015 Modalités de mise en œuvre de l'article 1695 II du code général des impôts relatif à l'autoliquidation

Plus en détail

Les badges de chantier*

Les badges de chantier* Fabienne Muller Université de Strasbourg - Octobre 2013 Les badges de chantier* * Travail réalisé à partir de l'exploitation des questionnaires envoyés aux partenaires concernés par les dispositifs, éventuellement

Plus en détail

FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES

FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES 30/01/2014 La délivrance d'une facture est obligatoire entre professionnels sous peine de sanctions pénales et fiscales. Si le format du document, sa couleur, le fait qu'il

Plus en détail

Conseils & Accompagnement

Conseils & Accompagnement Conseils & Accompagnement Se lancer comme indépendant en personne physique ou en société? Aidez-vous de notre tableau comparatif pour prendre votre décision. N'hésitez pas à contacter nos conseillers pour

Plus en détail

Commerce électronique et assurance (Document de discussion destiné au groupe de travail)

Commerce électronique et assurance (Document de discussion destiné au groupe de travail) COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIERES Assurances MARKT/2522/02 FR Rev. 1 Orig. EN Commerce électronique et assurance (Document de discussion destiné au groupe de travail) 1

Plus en détail

téléprocédures des professionnels

téléprocédures des professionnels Fiche technique téléprocédures des professionnels Les téléprocédures fiscales : qu est-ce que c est? Les téléprocédures permettent aux professionnels de déclarer et payer les principaux impôts en utilisant

Plus en détail

COMITE DU COMMERCE DES AERONEFS CIVILS. Projet. Compte rendu de la réunion du Comité tenue le 14 mars 1988

COMITE DU COMMERCE DES AERONEFS CIVILS. Projet. Compte rendu de la réunion du Comité tenue le 14 mars 1988 "STRICTED '*9 988 Déciale COMITE DU COMMERCE DES AERONEFS CIVILS Projet Compte rendu de la réunion du Comité tenue le 14 mars 1988 Les délégations sont invitées à faire parvenir au secrétariat, d'ici au

Plus en détail

Tutoriel - flux de facturation

Tutoriel - flux de facturation 1 of 12 17.01.2007 01:41 Tutoriel - flux de facturation Le schéma ci-dessous illustre le flux de facturation classique : Lors de la création d'une facture, elle possède l'état de brouillon, ce qui veut

Plus en détail

A V I S N 1.593 ----------------------- Séance du mardi 30 janvier 2007 -------------------------------------------

A V I S N 1.593 ----------------------- Séance du mardi 30 janvier 2007 ------------------------------------------- A V I S N 1.593 ----------------------- Séance du mardi 30 janvier 2007 ------------------------------------------- Monitoring et contrôle de l'occupation de travailleurs étrangers : - projet d'arrêté

Plus en détail

AVIS DE MARCHE SERVICES

AVIS DE MARCHE SERVICES Département(s) de publication : 75 Annonce No 15997600 Services Date de mise en ligne 02/06/2015 I. II. III. IV. VI. AVIS DE MARCHE SERVICES Directive 2004/18/CE. SECTION I : POUVOIR ADJUDICATEUR I.1)

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES COMMISSION DES NORMES COMPTABLES - Sociétés de droit étranger établies en Belgique: Champ d'application des articles 81, 82, 83 et 107 du Code des sociétés Avis du 14 janvier 2009 (en remplacement de l

Plus en détail

conséquence, en cas d'une alarme pour les biens, d'une intrusion non permise ou d'une tentative, ou en cas d'une alarme pour les personnes, d'un

conséquence, en cas d'une alarme pour les biens, d'une intrusion non permise ou d'une tentative, ou en cas d'une alarme pour les personnes, d'un 25 AVRIL 2007. - Arrêté royal fixant les conditions d'installation, d'entretien et d'utilisation des systèmes d' et de gestion de centraux d' ALBERT II, Roi des Belges, A tous, présents

Plus en détail

LA LETTRE DES ADHÉRENTS

LA LETTRE DES ADHÉRENTS LA LETTRE DES ADHÉRENTS NUMÉRO SPÉCIAL LOI DE FINANCES - 15 JANVIER 2014 N 2/2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 INTRODUCTION La loi de finances rectificative pour 2013, définitivement adoptée

Plus en détail

TVA - Champ d'application et territorialité - Opérations imposables sur option - Personnes effectuant des locations immobilières

TVA - Champ d'application et territorialité - Opérations imposables sur option - Personnes effectuant des locations immobilières Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-TVA-CHAMP-50-10-20120912 DGFIP TVA - Champ d'application et territorialité

Plus en détail

LE CONSEIL DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES,

LE CONSEIL DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES, DIRECTIVE DU CONSEIL du 22 février 1990 modifiant la directive 87/102/CEE relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres en matière de crédit

Plus en détail

Fiche FOCUS. Les téléprocédures. Demander une adhésion aux services en ligne (mode expert)

Fiche FOCUS. Les téléprocédures. Demander une adhésion aux services en ligne (mode expert) Fiche FOCUS Les téléprocédures Demander une adhésion aux services en ligne (mode expert) Dernière mise à jour : avril 2015 Table des matières 1. Présentation...3 1.1 Objet de la fiche...3 1.2 A qui s'adresse

Plus en détail

Fiche FOCUS. Les téléprocédures

Fiche FOCUS. Les téléprocédures Fiche FOCUS Les téléprocédures Créer un espace et adhérer aux service (Mode de création simplifié) (accessible avec une adresse électronique / un mot de passe) Dernière mise à jour : avril 2014 Sommaire

Plus en détail

AVIS DE MARCHE SERVICES

AVIS DE MARCHE SERVICES Département de publication : 75 Annonce No 14500000 Service Date de mise en ligne 27/10/2014 AVIS DE MARCHE SERVICES Directive 2004/18/CE. SECTION I : POUVOIR ADJUDICATEUR I.1) Nom, adresses et point(s)

Plus en détail

ING Business Account Règlement

ING Business Account Règlement I. Objet et cadre du présent règlement ING Business Account Règlement Version 01/08/2015 Le présent règlement relatif à l'ing Business Account (ci-après dénommé le "Règlement") régit les relations entre

Plus en détail

CAP BOX Note utilisateurs

CAP BOX Note utilisateurs CAP BOX Note utilisateurs Sommaire ESPACE UTILISATEUR... Se connecter pour la ère fois sur son espace CAP BOX... Paramétrage du compte entreprise... Identité de l'entreprise.... Présentation des documents

Plus en détail

Obligation de publication des comptes annuels et consolidés de sociétés étrangères

Obligation de publication des comptes annuels et consolidés de sociétés étrangères Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96

DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 CONFERENCE DES REPRESENTANTS DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 Bruxelles, l (OR.dk) LIMITE NOTE DE TRANSMISSION Objet : Protection des consommateurs Les délégations trouveront

Plus en détail

Notes explicatives Règles de facturation en matière de TVA

Notes explicatives Règles de facturation en matière de TVA Notes explicatives Règles de facturation en matière de TVA (directive 2010/45/UE du Conseil) Pourquoi des notes explicatives? Les notes explicatives visent à mieux faire comprendre la législation adoptée

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES D'UTILISATION - WWW.CHRUS.CH/MYSMS

CONDITIONS GENERALES D'UTILISATION - WWW.CHRUS.CH/MYSMS CONDITIONS GENERALES D'UTILISATION - WWW.CHRUS.CH/MYSMS Les présentes conditions générales régissent l'utilisation par tout utilisateur, ci-après "le client", des services proposés par les dirigeants,

Plus en détail

La TVA intracommunautaire : où en sommes-nous? Atelier de la Profession

La TVA intracommunautaire : où en sommes-nous? Atelier de la Profession La TVA intracommunautaire : où en sommes-nous? Atelier de la Profession INTERVENANTS Stephen DALE associé Président du groupe de travail impôts indirects à la FEE Vice président International VAT Association

Plus en détail

1/ 12 BE001 23/01/2013 - Numéro BDA: 2013-501422 Formulaire standard 2 - FR Location de machines à café et fourniture de leurs consommables.

1/ 12 BE001 23/01/2013 - Numéro BDA: 2013-501422 Formulaire standard 2 - FR Location de machines à café et fourniture de leurs consommables. 1/ 12 BE001 23/01/2013 - Numéro BDA: 2013-501422 Formulaire standard 2 - FR Bulletin des Adjudications Publication du Service Fédéral e-procurement SPF P&O - 51, rue de la Loi B-1040 Bruxelles +32 27905200

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72. PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet:

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72. PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet: CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72 PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet: 3290 e session du Conseil de l'union européenne (AFFAIRES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

FOURNITURE DE MATERIEL DE SERRURERIE. Marché à bons de commande C.C.A.P.

FOURNITURE DE MATERIEL DE SERRURERIE. Marché à bons de commande C.C.A.P. FOURNITURE DE MATERIEL DE SERRURERIE Marché à bons de commande C.C.A.P. MAITRISE D OUVRAGE et MAITRISE D ŒUVRE HABITAT 70 (OPH) 26 rue de Fleurier B.P. 70309 70006 VESOUL Cedex 03.84.96.13.50-03.84.96.13.74

Plus en détail

MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN

MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN MODE D'EMPLOI DE LA CALCULATRICE POUR LES COURTS SÉJOURS DANS L'ESPACE SCHENGEN 1. Introduction Le règlement (UE) n 610/2013 du 26 juin 2013 a modifié la convention d'application de l'accord de Schengen,

Plus en détail

Comité sectoriel du Registre national. Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013

Comité sectoriel du Registre national. Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013 1/9 Comité sectoriel du Registre national Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013 Objet : demande d'avis relatif au projet d'arrêté royal autorisant la Banque Nationale de Belgique et les établissements

Plus en détail

La Commission de la protection de la vie privée (ci-après "la Commission") ;

La Commission de la protection de la vie privée (ci-après la Commission) ; 1/13 Commission de la protection de la vie privée Délibération STAT n 18/2013 du 17 juillet 2013 Objet : demande formulée par le Département des Études de la Banque nationale de Belgique afin d'obtenir

Plus en détail

AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS. ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 )

AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS. ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) Le présent texte pris dans le cadre de l'article 19 du décret n 77-608

Plus en détail

CODE DE CONDUITE POUR LES AGENTS DE COMMERCIALISATION DE GAZ

CODE DE CONDUITE POUR LES AGENTS DE COMMERCIALISATION DE GAZ CODE DE CONDUITE POUR LES AGENTS DE COMMERCIALISATION DE GAZ Règlement fait au titre de la partie 6 de la Loi sur la distribution du gaz de 1999 Commission des entreprises de service public du Nouveau-Brunswick

Plus en détail

COM (2015) 289 final

COM (2015) 289 final COM (2015) 289 final ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIEME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 22 juin 2015 Enregistré à la Présidence du Sénat le

Plus en détail

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME La Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) est une organisation

Plus en détail

p.2 p.6 ... Exposé des motifs Texte du projet de règlement grand-ducal Commentaire des articles Fiche financière Fiche d'évaluation d'impact p.

p.2 p.6 ... Exposé des motifs Texte du projet de règlement grand-ducal Commentaire des articles Fiche financière Fiche d'évaluation d'impact p. ... LE GOUVERNEMENT Projet de règlement grand-ducal déterminant les conditions d'accès du public et des administrations aux informations conservées par la Centrale des bilans et le tarif applicable. 1.

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

Conditions générales d abonnement en ligne et d utilisation du site

Conditions générales d abonnement en ligne et d utilisation du site Conditions générales d abonnement en ligne et d utilisation du site Ce site est édité par Veolia Eau - Compagnie Générale des Eaux, nommé Veolia dans la suite du document, SCA au capital de 2.207.287.340,98

Plus en détail

EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE

EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE JUIN 1999 Exigences minimales relatives à la protection des

Plus en détail

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de 15 MAI 2007. - Loi relative à la création de la fonction de gardien de la paix, à la création du service des gardiens de la paix et à la modification de l'article 119bis de la nouvelle loi communale (1)

Plus en détail

Fiche FOCUS. Les téléprocédures. Gérer vos comptes bancaires

Fiche FOCUS. Les téléprocédures. Gérer vos comptes bancaires Fiche FOCUS Les téléprocédures Gérer vos comptes bancaires Dernière mise à jour : avril 2015 Table des matières 1. Présentation...3 1.1 Objet de la fiche...3 1.2 A qui s'adresse cette procédure?...3 1.3

Plus en détail

30 AVRIL 1999 - Loi relative à l'occupation des travailleurs étrangers (M.B. 21 mai 1999) - coordination officieuse au 1 er juillet 2011

30 AVRIL 1999 - Loi relative à l'occupation des travailleurs étrangers (M.B. 21 mai 1999) - coordination officieuse au 1 er juillet 2011 30 AVRIL 1999 - Loi relative à l'occupation des travailleurs étrangers (M.B. 21 mai 1999) (coordination officieuse au 1 er juillet 2011 ; modifié par l arrêté royal du 20 juillet 2000 introduction de l

Plus en détail

EXAMEN PROFESSIONNEL DE VERIFICATION D APTITUDE AUX FONCTIONS D ANALYSTE-DEVELOPPEUR SESSION 2009

EXAMEN PROFESSIONNEL DE VERIFICATION D APTITUDE AUX FONCTIONS D ANALYSTE-DEVELOPPEUR SESSION 2009 EXAMEN PROFESSIONNEL DE VERIFICATION D APTITUDE AUX FONCTIONS D ANALYSTE-DEVELOPPEUR SESSION 2009 EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE DU 14 MAI 2009 ETUDE D UN CAS D AUTOMATISATION PERMETTANT D APPRECIER LA

Plus en détail

Convention Beobank Online et Beobank Mobile

Convention Beobank Online et Beobank Mobile Convention Beobank Online et Beobank Mobile Lisez attentivement cette Convention ("la Convention"). Lisez en tout cas la Section 1 - Conditions générales Beobank Online et Beobank Mobile. Ces conditions

Plus en détail

Monsieur Michel Sapin. Ministre des finances et des comptes publics

Monsieur Michel Sapin. Ministre des finances et des comptes publics Cour des comptes Paris, le 2 3 FEV. 2015 Le Premier président à Monsieur Michel Sapin Ministre des finances et des comptes publics Réf.: 71907 Objet : la gestion des impôts dus en France par les non-résidents

Plus en détail

Lettre d actualité de l urbanisme

Lettre d actualité de l urbanisme n 3 Février 2010 Lettre d actualité de l urbanisme de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Calvados 1- ACTUALITÉ DES DÉCISIONS DU CONSEIL D'ÉTAT Décision du conseil d'etat (CE) n

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

La reprise des contrats de financement dans les contrats globaux

La reprise des contrats de financement dans les contrats globaux Page 1 Documents 1. La reprise des contrats de financement dans les contrats globaux - Pratique par Valérie de SIGOYER Revue Droit Administratif Juin 2014 Type d'article : Pratique/Informations Professionnelles

Plus en détail

AVIS DE MARCHÉ FSE. Section I : Pouvoir adjudicateur. Section II : Objet du marché. I.1) Nom, adresses et point(s) de contact

AVIS DE MARCHÉ FSE. Section I : Pouvoir adjudicateur. Section II : Objet du marché. I.1) Nom, adresses et point(s) de contact AVIS DE MARCHÉ FSE Section I : Pouvoir adjudicateur I.1) Nom, adresses et point(s) de contact VILLE DE CHARENTON-LE-PONT 48 rue de Paris 94220 CHARENTON LE PONT A l'attention de : Monsieur M. le Maire

Plus en détail

ainsi que les formulaires qui y étaient associés :

ainsi que les formulaires qui y étaient associés : INSTRUCTION N Diffusion interne : PF le Diffusion externe : 0 Service rédacteur : DRH-DDS Plan de classement : 3.12.61 Direction Générale 2, av. de Saint-Mandé 75570 Paris Cedex 12 Objet : Compte épargne

Plus en détail

La signature électronique au service de l'émission de factures dématérialisées. Un cas B-to-C

La signature électronique au service de l'émission de factures dématérialisées. Un cas B-to-C La signature électronique au service de l'émission de factures dématérialisées Un cas B-to-C 1 Plan de la présentation Les origines de dématérialisation des factures Enjeux de la dématérialisation Rappel

Plus en détail

DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n cb 2014-09-19

DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n cb 2014-09-19 ETABLI ENTRE DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n cb 2014-09-19 Monsieur ou MAdame Domicilié(e) : xxxxxxx 83000 Toulon France FRANCE ET La Société Domiciliée : FREECADRE IMMOBILIER Les portes d'uzès

Plus en détail

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement

Plus en détail

d'engagements de la le 30/10/2006

d'engagements de la le 30/10/2006 Proposition d'engagements de la Société OENOBIOL le 30/10/2006 Cellule - Goordination^-Tephniqueau BUREAU de la PROCEDURE CONSEIL DE LA CONCURRENCE COURRIER ARRIVÉ OENOBIOl! 300CT,2008 LA PROCÉDURE Conseil

Plus en détail

LA GARANTIE LÉGALE DU VENDEUR

LA GARANTIE LÉGALE DU VENDEUR LA GARANTIE LÉGALE DU VENDEUR Tous les produits achetés auprès d'apple, y compris les produits qui ne sont pas de la marque Apple, bénéficient de la garantie légale de conformité de 2 ans du vendeur, prévue

Plus en détail

Livret fiscal du créateur d entreprise. Bénéfices agricoles

Livret fiscal du créateur d entreprise. Bénéfices agricoles Livret fiscal du créateur d entreprise Bénéfices agricoles Mars 2012 Régime du forfait Ce régime s'applique lorsque la moyenne des recettes (TVA comprise) mesurée sur deux années consécutives ne dépasse

Plus en détail

CONTRAT LOGICIEL CERTIFICATION

CONTRAT LOGICIEL CERTIFICATION CONTRAT LOGICIEL CERTIFICATION Conditions Générales Entre, la Société CERTIF.ME, Société par Actions Simplifiée au capital de 10 000, dont le siège social est fixé à CEBAZAT 63118 13 Rue du Stade, immatriculée

Plus en détail

RÈGLEMENT 52-109 SUR L'ATTESTATION DE L'INFORMATION PRÉSENTÉE DANS LES DOCUMENTS ANNUELS ET INTERMÉDIAIRES DES SOCIÉTÉS

RÈGLEMENT 52-109 SUR L'ATTESTATION DE L'INFORMATION PRÉSENTÉE DANS LES DOCUMENTS ANNUELS ET INTERMÉDIAIRES DES SOCIÉTÉS RÈGLEMENT 52-109 SUR L'ATTESTATION DE L'INFORMATION PRÉSENTÉE DANS LES DOCUMENTS ANNUELS ET INTERMÉDIAIRES DES SOCIÉTÉS PARTIE 1 DÉFINITIONS, CHAMP D'APPLICATION ET DISPOSITION TRANSITOIRE 1.1 Définitions

Plus en détail

Projets européens Vade-mecum : Inscription Compte PADOR

Projets européens Vade-mecum : Inscription Compte PADOR Association de la Ville et des Communes de la Région de Bruxelles-Capitale asbl Vereniging van de Stad en de Gemeenten van het Brussels Hoofdstedelijk Gewest vzw Projets européens Vade-mecum : Inscription

Plus en détail

LA DISPARITION PROGRAMMÉE DE LA CONVENTION FRANCO-SUISSE DU 31 DÉCEMBRE 1953 EN MATIÈRE D IMPÔTS SUR LES SUCCESSIONS ET SON REMPLACEMENT PAR

LA DISPARITION PROGRAMMÉE DE LA CONVENTION FRANCO-SUISSE DU 31 DÉCEMBRE 1953 EN MATIÈRE D IMPÔTS SUR LES SUCCESSIONS ET SON REMPLACEMENT PAR DROIT INTERNATIONAL PRIVÉ 65/2012 LA DISPARITION PROGRAMMÉE DE LA CONVENTION FRANCO-SUISSE DU 31 DÉCEMBRE 1953 EN MATIÈRE D IMPÔTS SUR LES SUCCESSIONS ET SON REMPLACEMENT PAR Dès 2011, la France avait

Plus en détail

Conditions débit argent DEGIRO

Conditions débit argent DEGIRO Conditions débit argent DEGIRO Table de matières Article 1. Definitions... 3 Article 2. Relation contractuelle... 3 Article 3. Enregistrement de crédit... 4 Article 4. Débit argent... 4 Article 5. Execution

Plus en détail

Livret fiscal du créateur d entreprise. Bénéfices agricoles

Livret fiscal du créateur d entreprise. Bénéfices agricoles Livret fiscal du créateur d entreprise Bénéfices agricoles Régime du forfait Ce régime s'applique lorsque la moyenne des recettes (TVA comprise) mesurée sur deux années consécutives ne dépasse pas 76 300

Plus en détail

AGA des CHIRURGIENS DENTISTES

AGA des CHIRURGIENS DENTISTES AGA des CHIRURGIENS DENTISTES - Compte rendu de Mission AGA - Télérèglement de l'impôt - Cotisation Foncière des Entreprises Compte Rendu de Mission Depuis l'an dernier, les Associations de Gestion Agréée

Plus en détail

5 EXEMPLES DES MEILLEURES PRATIQUES

5 EXEMPLES DES MEILLEURES PRATIQUES - 247 - MEILLEURES PRATIQUES 5 EXEMPLES DES MEILLEURES PRATIQUES 5.1 INTRODUCTION Les exemples de meilleures pratiques préparés par le Groupe de travail des problèmes douaniers intéressant les transports

Plus en détail

Belgique-Bruxelles: Logiciels de gestion de la relation clientèle 2013/S 213-369505. Avis de marché. Fournitures

Belgique-Bruxelles: Logiciels de gestion de la relation clientèle 2013/S 213-369505. Avis de marché. Fournitures 1/6 Cet avis sur le site TED: http://ted.europa.eu/udl?uri=ted:notice:369505-2013:text:fr:html Belgique-Bruxelles: Logiciels de gestion de la relation clientèle 2013/S 213-369505 Avis de marché Fournitures

Plus en détail

Les versements anticipés à l impôt des sociétés (ISoc)

Les versements anticipés à l impôt des sociétés (ISoc) Mise à jour : 05/03/2015 Parc scientifique Einstein - Rue du Bosquet 8A - B-1348 Louvain-La-Neuve Téléphone : +32 (0)10/811 147 Fax +32 (0)70/401 237 - info@filo-fisc.be Les versements anticipés à l impôt

Plus en détail

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES 1. INTRODUCTION La directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 1996

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMTPABLES. Avis CNC 2013/13 - L'emploi du compte de liaison entre une société étrangère et sa succursale belge

COMMISSION DES NORMES COMTPABLES. Avis CNC 2013/13 - L'emploi du compte de liaison entre une société étrangère et sa succursale belge COMMISSION DES NORMES COMTPABLES Avis CNC 2013/13 - L'emploi du compte de liaison entre une société étrangère et sa succursale belge Avis du 4 septembre 2013 1 I. Introduction 1. Pour le traitement comptable

Plus en détail

Les enjeux de la dématérialisation en assurance

Les enjeux de la dématérialisation en assurance Colloque de l'ajar 4 décembre 2012 Les enjeux de la dématérialisation en assurance Philippe POIGET, Directeur des affaires juridiques, fiscales et de la concurrence Fédération Française des Sociétés d'assurances

Plus en détail

CIEL GESTION COMMERCIALE 1

CIEL GESTION COMMERCIALE 1 CIEL GESTION COMMERCIALE 1 1. INSTALLATION...2 2. MON INTUICIEL...3 3. CREER UN DOSSIER...3 4. LES MENUS...4 5. LES LISTES...5 1 LES TABLES...5 2 LES FAMILLES D'ARTICLES...5 3 LES ARTICLES...6 4 LES PROSPECTS...7

Plus en détail

Mise à jour Stable Gestion des talents juin 2014 Mise à jour de la version stable St. Gallen 02.06.2014

Mise à jour Stable Gestion des talents juin 2014 Mise à jour de la version stable St. Gallen 02.06.2014 Mise à jour Stable Gestion des talents juin 2014 Mise à jour de la version stable St. Gallen Explication des icones Dans chaque communication de mise à jour, les icones utilisés ont la signification suivante:

Plus en détail

1. Préambule 1. 2. Législation et réglementation belges 6. 3.1. Règles de facturation 12 3.2. Assujettis, opérations et documents concernés 15

1. Préambule 1. 2. Législation et réglementation belges 6. 3.1. Règles de facturation 12 3.2. Assujettis, opérations et documents concernés 15 1 sur 26 06-05-14 23:31 Home > Circulaire AGFisc N 14/2014 (n E.T. 120.000) dd. 04.04.2014 Administration générale de la Fiscalité - Expertise Opérationnelle et Support Service TVA - Procédure de taxation

Plus en détail

A) Les modifications du champ d'application du Règlement n 1346

A) Les modifications du champ d'application du Règlement n 1346 La proposition de la Commission pour la révision du Règlement "faillite": une deuxième chance pour les entreprises en difficulté Durant le mois de mars 2012, une consultation publique a été lancée, sollicitant

Plus en détail

WEB@EDI - Solutions Complètes pour vous Simplifier l'edi Simplicité et Efficacité par @GP, Votre Prestataire WEB@EDI

WEB@EDI - Solutions Complètes pour vous Simplifier l'edi Simplicité et Efficacité par @GP, Votre Prestataire WEB@EDI Fac@EDI Factures EDI Guide de l'utilisateur WEB@EDI - Solutions Complètes pour vous Simplifier l'edi Simplicité et Efficacité par @GP, Votre Prestataire WEB@EDI 1/17 Sommaire PRESENTATION DU LOGICIEL...3

Plus en détail

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION

Plus en détail

Karine POTHIN-CORNU AVOCAT A LA COUR

Karine POTHIN-CORNU AVOCAT A LA COUR Karine POTHIN-CORNU AVOCAT A LA COUR 10, rue des 3 frères Bernadac 64000 PAU TEL : 05.59.98.51.30 FAX : 05.59.83.81.26 LA SEPARATION DE CORPS La séparation de corps ne doit pas être confondue avec le divorce

Plus en détail

LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE

LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE Vincent Sepulchre ( p. V s u larcier Table des matières Introduction. Les moyens et objectifs de la fiscalité environnementale 5 PARTIE I Les différents instruments

Plus en détail

DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n

DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n ETABLI ENTRE Madame Monsieur Domicilié(e) : ET DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n France La Société Domiciliée : FREECADRE Les portes d'uzès - 1 rue Vincent Faita 30000 Nîmes France Représentée par

Plus en détail

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités.

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Charte informatique Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Préambule L'entreprise < NOM > met en œuvre un système d'information et

Plus en détail

DURÉE DE CONSERVATION DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES

DURÉE DE CONSERVATION DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES In colaboration with DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES Vous trouverez ci-dessous un guide consacré aux durées de conservation des documents en vertu du droit luxembourgeois

Plus en détail

CODE PROFESSIONNEL. déontologie

CODE PROFESSIONNEL. déontologie déontologie Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis de la protection des données à caractère personnel 1 Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis

Plus en détail

OGA et Expert-Comptable

OGA et Expert-Comptable OGA et Expert-Comptable PRESENTATION GENERALE DES OGA 6 JANVIER 2011 Cyrille BOUSSEAU créé en 1976 sous le n 1 02 510 1200 adhérents créée en 2007 sous le n 2 04 510 150 adhérents LES «OGA» Les avantages

Plus en détail

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.

Plus en détail

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES La libre circulation des marchandises, la première des quatre libertés fondamentales du marché intérieur, est garantie par la suppression des droits de douane et des

Plus en détail

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 27 SEPTEMBRE 2011 7 I-1-11

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 27 SEPTEMBRE 2011 7 I-1-11 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 27 SEPTEMBRE 2011 7 I-1-11 COUR DE CASSATION CHAMBRE COMMERCIALE, FINANCIERE ET ECONOMIQUE ARRETS DU 31 JANVIER 2006 (n 150 FS-P+B ; Bull. Civ.

Plus en détail

GESTION DES BONS DE COMMANDE

GESTION DES BONS DE COMMANDE GESTION DES BONS DE COMMANDE P1 P2 Table des Matières LA GESTION DES BONS DE COMMANDE 4 PREMIERE EXECUTION DU LOGICIEL 5 DEFINITION DES PARAMETRES 8 Services 9 Comptes Utilisateurs 10 Adresse de livraison

Plus en détail