MATHEMATIQUES FINANCIERES et INDUSTRIE BANCAIRE le point actuel ; quelques perspectives

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MATHEMATIQUES FINANCIERES et INDUSTRIE BANCAIRE le point actuel ; quelques perspectives"

Transcription

1 MATHEMATIQUES FINANCIERES et INDUSTRIE BANCAIRE le point actuel ; quelques perspectives Mardi 1 er avril 2008 Salle Hugot, Académie des sciences de l Institut de France 23 quai de Conti, PARIS Table ronde et débat organisés par la SMF et la SMAI sous les auspices de l Académie des sciences avec le concours des Professeurs Peter BANK, Technische Universität, Berlin Mark DAVIS, Imperial College, Londres Paul EMBRECHTS, ETH, Zurich Nicole EL KAROUI, Ecole polytechnique, Palaiseau Damien LAMBERTON, Université de Marne-la-Vallée

2 Les mathématiciens nourrissent des collaborations nombreuses, non seulement avec l industrie bancaire, mais avec presque toutes les composantes du monde industriel. En particulier, on sait, ou on croit savoir, le rôle des mathématiques financières dans la gestion des banques. L actualité a fait porter aux mathématiques et aux mathématiciens une attention parfois exagérée, ayant quelquefois tendance à les rendre responsables de désordres auxquels ils n ont pas de part directe. Toutefois, les mathématiciens dans leur ensemble, et particulièrement ceux dont l activité de recherche et d enseignement est en prise avec les activités financières, se doivent d éclairer et de discuter des problèmes et des enjeux qui surgissent de leur activité. C est pourquoi, à l invitation de l Académie des sciences, la SMF et de la SMAI vont animer un débat sur les sujets suivants : 1. Succès et difficultés spécifiques dans les collaborations avec l industrie bancaire 2. Interactions entre mathématiques financières et industrie bancaire, vues sous différents angles en Europe. Transferts et échanges de connaissances entre monde académique et monde industriel 3. Essaimage des étudiants dans tous les secteurs où leur formation est utile. ooo La table ronde sera introduite par les Présidents de la SMF et de la SMAI, et comportera une série d exposés, faits par des collègues ayant une large vue des différents aspects des mathématiques financières en Europe, et en France en particulier. Le débat qui suivra est ouvert à tous les membres de l Académie et des Sociétés savantes qui souhaitent participer à la rencontre, ainsi qu aux professionnels intéressés. Pour la participation à cette demi-journée, il est indispensable de s inscrire auprès de Mme Fabienne Bonfils, Service des colloques de l Académie des sciences (cf bulletin d inscription). Si, en outre, vous souhaitez intervenir dans le débat, il serait souhaitable que vous précisiez votre question. Il est envisagé qu à l issue de la rencontre, des recommandations pertinentes soient dégagées de concert par l Académie des sciences, la SMF et la SMAI.

3 MATHEMATIQUES FINANCIERES et INDUSTRIE BANCAIRE le point actuel; quelques perspectives Mardi 1 er avril 2008, Académie des sciences de l Institut de France Salle des 5 Académies, 23 quai de Conti, PARIS Programme de la Table Ronde 16h Accueil Jean DERCOURT, Secrétaire perpétuel de l Académie des sciences Ouverture : Présentation succincte de l ensemble Jean-Pierre KAHANE, de l Académie des sciences 16h10 Inventaire des formations concernées en France Damien LAMBERTON, Professeur à l Université de Marne-la-Vallée 16h15 Présentation de la Table ronde et du Débat Denis TALAY, Président de la SMAI Stéphane JAFFARD, Président de la SMF 16h35 Point et perspectives dans quatre pays européens In Germany: Peter BANK, Technische Universität, Berlin In Great Britain: Mark DAVIS, Imperial College, Londres In Switzerland: Paul EMBRECHTS, ETH, Zurich En France: Nicole EL KAROUI, Ecole Polytechnique, Palaiseau 17h35 18h35 Débat ouvert Public concerné : Académiciens, probablement concernés par les applications industrielles responsables M2 (ex. DEA) professionnels. étudiants Clôture Marc Yor, de l Académie des sciences, Professeur à l Université P.& M. Curie Organisation : Service des colloques de l Académie des sciences. Inscription auprès de Fabienne Bonfils : / 87 fabienne.bonfils@academie-sciences.fr

4 Damien LAMBERTON Professeur à l Université de Marne-la-Vallée Professeur de mathématiques à l Université de Marne-la-Vallée depuis Responsable du master Mathématiques et Applications (Universités de Marne-la-Vallée, Paris XII et Evry Val d Essonne, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées), anciennement DEA Analyse et Systèmes Aléatoires. Habilité à diriger des recherches en Enseignant-chercheur à l Ecole des Ponts de 1983 à 1991.

5 Inventaire des formations concernées en France Damien LAMBERTON, Université Marne-la-Vallée Le but de cette note est de présenter les principales formations dans le domaine des mathématiques financières en France. Cette présentation ne prétend pas à l exhaustivité. Elle se concentre sur les formations principalement tournées vers les méthodes mathématiques et ne traite pas des formations centrées sur la gestion ou l économie. 1. Masters à orientation recherche Dans les années soixante-dix, les travaux de Black, Scholes et Merton fondent la théorie des options sur un modèle où le mouvement brownien et le calcul stochastique d Itô jouent un rôle fondamental. A la suite des travaux de Harrison, Kreps et Pliska, le cadre mathématique de la théorie des options se précise et, dans les années quatre-vingts, les mathématiciens, notamment des probabilistes, investissent ce nouveau champ d application. Parallèlement, les marchés financiers se développent, des produits de plus en plus complexes apparaissent et la mise au point de nouveaux modèles et de méthodes numériques adaptées devient un enjeu important pour l industrie financière. Les banques commencent alors à recruter, pour leurs activités sur les marchés financiers, des jeunes de formation scientifique, en particulier des diplômés d écoles d ingénieurs. Les écoles commencent à inclure dans leur cursus des cours d introduction aux mathématiques financières. Dans le même temps, des universitaires s attachent à présenter dans leurs cours de DEA les applications des probabilités à la finance, et, peu à peu, apparaissent des cursus complets orientés vers la finance de marché. C est ainsi que naissent l option Probabilités et Finance du DEA Probabilités et Applications de Paris VI, ancêtre de l actuel master El Karoui, et l option Statistique et Modèles Aléatoires en Finance du DEA Modélisation Aléatoire de Paris VII. Ces deux formations, devenues des masters, sont aujourd hui deux références pour la profession, tant en France qu à l étranger, et produisent de l ordre de cent à cent cinquante diplômés par an. D autres universités de la région parisienne proposent des masters recherche de mathématiques appliquées à la finance, notamment les universités Paris-Dauphine et Paris I, qui ont une tradition de recherche en mathématiques appliquées à l économie, et l université de Marne-la-Vallée : master MASEF (Mathématiques de l Assurance, de l Economie et de la Finance), à Paris- Dauphine; master MAEF (Mathématiques Appliquées à l Economie et à la Finance), à Paris I; parcours finance du master Mathématiques et Applications à l Université de Marne-la- Vallée, en partenariat avec l Ecole des Ponts. Ces divers masters, tout en offrant une formation de base similaire (autour de la modélisation probabiliste et du calcul stochastique) développent leurs propres spécificités : accent sur les aspects statistiques plus marqué à Paris VII, liens avec l économie mathématique à Dauphine et Paris I, méthodes numériques à Marne-la-Vallée. En province, on peut citer le master de l université de Besançon, adossé à une solide équipe de recherche. La plupart des masters de probabilités des grands centres de province (Rennes, Toulouse, Marseille...) contiennent au moins un cours présentant les applications du calcul stochastique à la finance. 2. Masters à orientation professionnelle La distinction entre masters à orientation recherche (anciens DEA) et masters à orientation professionnelle (anciens DESS) tend à s estomper. De fait, les masters précédemment évoqués ont des traits communs avec des DESS (certains ont d ailleurs officiellement la double orientation recherche et professionnelle), notamment par leur volonté de coller aux attentes de la profession et de faire intervenir des praticiens dans la formation. L orientation recherche reste cependant assez marquée. Elle est liée à la sophistication des modèles et

6 des techniques mathématiques utilisés. Elle se justifie par l utilité de former des professionnels maîtrisant les fondements théoriques des outils qu ils manipulent, de façon à pouvoir les adapter à des situations nouvelles issues du développement incessant des marchés. Par ailleurs, des formations plus tournées vers la mise en oeuvre, s adressant à des étudiants dont les goûts ou les capacités les portent moins vers l approfondissement théorique ou l abstraction, se sont récemment développées. Elles combinent généralement une présentation plus opératoire des méthodes mathématiques et une formation poussée en informatique. On peut citer le master ingénierie financière de l Université d Evry-Val d Essonne; le master ISIFAR (Ingénierie Statistique et Informatique de la Finance, de l Assurance et du Risque) des Universités Paris VII et Paris X; le master IFMA (Ingénierie Financière et Modèles Aléatoires) de l Université Paris VI. D autres masters à orientation professionnelle, plus ou moins spécialisés en finance ou en assurance sont proposés en région parisienne et en province. Leur énumération serait fastidieuse. On peut se reporter au site pour un annuaire assez complet des formations. 3. Autres formations Comme il a été mentionné plus haut, les grandes écoles ont depuis plusieurs années introduit des cours de mathématiques financières dans leurs cursus. Plus récemment, elles ont renforcé des partenariats avec des universités, dans le cadre de masters recherche cohabilités. Ainsi, l Ecole Polytechnique est partie prenante du master recherche de Paris VI. Le master de Paris VII est cohabilité avec Télécom Paris et a une convention avec l ENSAE, qui est également associée au master de Dauphine. L Ecole des Ponts a développé une filière propre de mathématiques financières, dont certains cours sont des cours du master cohabilité avec l université de Marne-la-Vallée. Des partenariats du même type se développent ailleurs (Dauphine/ENSAE, Paris I/ENSTA, etc.). Parmi les autres écoles développant des filières en mathématiques financières, on peut citer, l ENSIMAG, Supaéro, l Ecole Supérieure d Ingénieurs Léonard de Vinci, l Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l Information (à Cergy), l Ecole Centrale de Paris (récemment dotée d une chaire financée par BNP Paribas). On peut noter, dans la période récente, que les grandes écoles tendent d une part à renforcer les partenariats (avec les universités, avec d autres écoles) et d autre part à développer leurs propres filières en interne. Souhaitons qu à l avenir, les atouts complémentaires des universités et des grandes écoles pourront continuer à se combiner pour former les professionnels de haut niveau scientifique dont l industrie financière a besoin.

7 Denis TALAY Président de la SMAI Directeur de recherche à l INRIA. Professeur chargé de cours à l Ecole Polytechnique. Responsable scientifique des Équipes Projets OMEGA ( ) et TOSCA (2006) à l'inria Sophia Antipolis : Président de la Société de Mathématiques Appliquées et Industrielles (SMAI) : Vice-président de la Fondation d'entreprise IXIS-CIB sept.2002 : Président du groupe Modélisation Aléatoire et Statistiques de la SMAI.

8 Présentation de la Table Ronde et du Débat Denis TALAY, Président de la SMAI Les mathématiques ont constamment été enrichies, motivées, diversifiées, par de multiples dynamiques internes conduisant à créer de nouveaux outils et à étudier de nouveaux objets abstraits. Les mathématiques ont aussi été enrichies, motivées, diversifiées, par de multiples autres domaines scientifiques ou technologiques : la physique, bien sûr, mais aussi, plus récemment, l informatique et la biologie, ainsi que diverses industries pour lesquelles le savoir-faire technique doit être complété par des modélisations sophistiquées ou des simulations numériques complexes. La théorie des probabilités illustre particulièrement bien la dualité de la dynamique mathématique. En effet, elle est née de phénomènes physiques particuliers (les jeux de hasard), a été fondée par les travaux axiomatiques de Kolmogorov, s est complètement renouvelée en développant le calcul différentiel stochastique sous des impulsions diverses dont le traitement du signal et la physique théorique, s est nourrie d interactions naturelles et fécondes avec la théorie du potentiel, l analyse harmonique, l analyse des équations aux dérivées partielles, la géométrie, etc., autant que de ses succès en modélisation de phénomènes turbulents, de systèmes complexes soumis à des excitations désordonnées, d incertitudes sur des conditions d expériences, etc. De plus, les succès en algorithmique, traitement du signal et traitement d images, analyse numérique, illustrent que les probabilités s utilisent aussi pour traiter des problèmes qui s expriment naturellement de manière déterministe et qui, néanmoins, s attaquent efficacement grâce à des interprétations probabilistes artificielles. Parmi les applications spectaculaires des probabilités, les mathématiques financières ont un statut particulier à plusieurs égards. Tout d abord, il est remarquable que beaucoup de notions familières aux praticiens des salles de marché aient d abord été élaborées pour répondre à des besoins théoriques : ainsi, les processus adaptés sont parfaits pour représenter des prix en l absence de délits d initiés; les théorèmes de représentation de martingales fournissent des stratégies de couverture d options; le théorème de Girsanov est un outil-clef pour définir l absence d opportunité d arbitrage, etc. Par ailleurs, il est évident que les applications financières ont largement contribué : au développement d outils récents de l analyse stochastique comme, par exemple, les équations différentielles stochastiques rétrogrades; au renouvellement d outils plus anciens passés un peu de mode comme le contrôle stochastique; à l émergence de questions originales en statistique des processus et en calibration de modèles stochastiques, en probabilités numériques, en optimisation, en calculs explicites sur les lois de fonctionnelles de processus stochastiques; à l introduction de concepts nouveaux, comme les mesures de risques, dont l étude fait appel à l analyse fonctionnelle; à l interaction de disciplines très différentes comme la météorologie et l économie pour traiter des risques climatiques; à l essor de techniques d analyse et de méthodes numériques qui s appuient à la fois sur les équations aux dérivées partielles et les processus stochastiques. Ainsi la finance quantitative est un champ transverse à des pans entiers de l analyse. Par ailleurs, elle suscite de manière féconde des questions numériques non classiques ainsi que des questions d ordre informatique puisque les codes de calcul doivent tantôt fournir des réponses précises en quelques secondes (cas des calculs de prix d actifs dérivés pour les traders), tantôt traiter des problèmes en très grande dimension (cas des calculs de risques pour le back-office). Il est donc naturel que la communauté des mathématiques appliquées et l industrie financière se soient rapprochées depuis que les praticiens se sont accordés à fonder leur travail sur les modèles stochastiques et la formalisation mathématique des notions d arbitrage, de liquidité, de risque, etc. La création récente du Grand Prix Natixis- SMAI décerné par l Académie des Sciences est une vitrine de ce rapprochement.

9 Pour mémoire, ce prix est destiné à récompenser des travaux en finance qualitative, et son premier lauréat, Huyêm Pham, est mathématicien. Cela étant, la finance moderne n est pas tout-à-fait un domaine comme les autres : les modèles mathématiques servent habituellement à tenter d expliquer, ou tout au moins de décrire, le monde réel; en finance, ils contribuent largement à la création de valeurs virtuelles : en quelque sorte, les mathématiques en salle de marché contribuent à élaborer le monde qu il s agit d étudier; depuis près de vingt ans l industrie financière est un extraordinaire vivier d emplois de niveau mastère ou doctorat en mathématiques appliquées et à fortes rémunérations; ce succès est d autant plus grand pour les filières françaises que les étudiants diplômés sont très recherchés à l étranger; le revers de la médaille est la fuite d étudiants brillants vers ces carrières attractives plutôt que vers des carrières de chercheur ou d enseignantchercheur à faible rémunération, à contraintes croissantes au moment du recrutement (post-docs souhaitables) et dans l exercice des fonctions (effets du pilotage de la recherche par d innombrables guichets); en devenant quants, bien des étudiants ont le sentiment de réussir à faire de la recherche, sans doute plus appliquée que dans un laboratoire, mais mieux considérée et bien mieux rémunérée; dans une certaine mesure, l industrie financière contribue ainsi à remplir les mastères et à vider les doctorats; les relations entre les institutions financières et le monde académique ont longtemps été mal équilibrées puisque, entre autres pour des raisons de confidentialité, les collaborations étaient largement fondées sur des contrats individuels de consultance voire pas de contrats du tout!; ce mode de fonctionnement a tendance à évoluer grâce à la création de chaires et à l augmentation des contrats de recherche passés avec des laboratoires, ce qui permet à ces derniers de bénéficier d un sorte de retour sur investissement pour avoir si bien formé les ingénieurs financiers dont les salles de marché ont besoin, et pour savoir organiser tant de séminaires, colloques, cours, auxquels ces ingénieurs ont accès gratuitement; enfin, les enjeux de la finance et les sommes astronomiques échangées en salle de marché rendent les médias et l opinion publique friands de tout événement sortant de l ordinaire; à certaines occasions, dont la récente affaire Société Générale est un exemple prototypique, les rumeurs les plus absurdes circulent sur le rôle catastrophique des modèles mathématiques même quand, à l évidence, les faits relèvent de falsifications informatiques, de délits d initiés, ou d erreurs plus ou moins involontaires de gestion; néanmoins, on ne peut nier que les mathématiques financières ont servi de caution, auprès des autorités politiques et bancaires, au développement des crédits à risques et des produits financiers correspondants mais les mathématiques ne sont tout de même pas la cause de la crise des subprimes : il faudrait surtout parler des politiques commerciales agressives et dangereuses pour développer, au-delà de toute mesure, d une part les endettements des consommateurs et des entreprises, d autre part le marché des produits financiers adossés au risque de crédit; il faudrait aussi parler des raisons pour lesquelles le risque de crédit a été autant sous-évalué par les institutions financières et les pouvoirs politiques. Faut-il s inquiéter de la fuite de cerveaux et des divagations de certains journalistes? Les débats de ce soir nous apporteront quelques éclaircissements. Mon avis (momentanément ce n est plus le président de la SMAI qui s exprime) est que la fuite des cerveaux vers les banques relève de la politique générale de la recherche française et de l image de marque que nous, scientifiques, donnons de notre métier et de la science; quant aux media, il nous faut tenter de faire passer le message que la finance moderne, loin de comporter trop de mathématiques, n en utilise pas assez à bon escient, c est-à-dire pour rationaliser les marchés, contrôler les risques, détecter les délits, et éviter que la Bourse ne dénature ses fonctions d assurance et de levier économique en se transformant épisodiquement en casino.

10 Stéphane JAFFARD Président de la Société Mathématique de France Fonction depuis le 1er Septembre 1995 : Professeur à l Université Paris XII : Membre de l Institut Universitaire de France. 1er Trimestre 1999 : Invité par le Newton Institute de Cambridge pour le trimestre Applications des Fractals : Habilitation à diriger des Recherches en Mathématiques (Soutenue à l Université Paris Dauphine) : Chercheur à l Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (Ingénieur du Corps des Ponts et Chaussées) : Membre de l Institute for Advanced Study (Princeton) : Thèse de l Ecole Polytechnique; sujet : Construction et propriétés des bases d ondelettes; remarques sur la contrôlabilité exacte (sous la direction d Yves Meyer) : Elève de l Ecole Polytechnique.

11 Présentation de la Table Ronde et du Débat Stéphane JAFFARD, Président de la Société Mathématique de France Les mathématiques financières sont aujourd hui au cœur d un paradoxe : d un côté elles sont reconnues comme l un des fleurons actuels de la science en France, et le développement rapide et remarquable de cette discipline est cité couramment en exemple par les instances scientifiques. Cependant, la crainte est apparue que ce succès ne soit générateur de déséquilibres, voire de dysfonctionnements au sein de notre discipline. Ceci ne peut être seulement attribuée à la jalousie de scientifiques extérieurs au domaine puisque, au sein même de la discipline, des interrogations et des doutes apparaissent. Ainsi, Marc Yor a suggéré d organiser, avec la SMF et la SMAI cette table ronde, afin que nous examinions ensemble ces questions. Puisque j interviens en ouverture, je vais présenter ma courte intervention sous forme d une série de questions, volontairement provocatrices, afin de lancer le débat. En ce qui concerne l enseignement, le succès des mathématiques financières est-il, un atout (en attirant des étudiants vers les mathématiques, et aussi en permettant de faire vivre des M2 de mathématiques plus généralistes grâce à la présence d une filière finance)? Sontelles au contraire une menace, en tarissant à leur seul profit les autres filières? Les M2 de mathématiques financières dénaturent-ils la vocation des M2 recherche, au sens où la motivation des étudiants n est en général pas de poursuivre par un doctorat, mais d être recrutés par une banque? Cette question se pose d ailleurs dans le cadre plus général de la dévalorisation des doctorats de sciences fondamentales en France, par comparaison avec nos voisins (Allemagne et Royaume-Uni par exemple). Pourquoi le titulaire d un doctorat en mathématiques financières essaierait-il d obtenir un poste de Maître de conférence ou de chargé de recherche, souvent obtenu seulement après plusieurs années d ATER et de post-doc, alors que des banques lui offre aussitôt un salaire sans commune mesure? Au sein de la communauté des chercheurs et enseignants chercheurs, il existe un attrait puissant à travailler en mathématiques financières, attrait largement dû aux capacités des banques à rémunérer les recherches dans ce domaine de façon bien supérieure à la plupart des industriels «classiques». Ce phénomène risque-t-il de créer un déséquilibre parmi les thématiques traitées au sein de notre communauté? Courons-nous le risque d un appauvrissement de certains domaines des mathématiques, notamment les plus proches thématiquement, comme les probabilités appliquées? Ce phénomène ne risque-t-il pas d être accru du fait de l autonomie des universités, celles-ci étant tentées de flécher les postes de mathématiques en priorité vers un domaine si médiatique, et le Ministère ne jouant plus son rôle de régulateur national? Risque-t-on de voir apparaître une nouvelle catégorie de «financiers mathématiciens», qui se déconnecte de la communauté mathématique, et dont le type de travail et le mode de fonctionnement s éloignent des standards de notre communauté? Enfin, nous devons peut-être aussi réfléchir sur l actualité immédiate : la grande médiatisation des mathématiques financières, avec les raccourcis et les à-peu-près qui l accompagnent inévitablement, risque-t-elle d être nuisible à l image de marque des mathématiques? Les conséquences d une crise financière toujours possible risquerait-elle d être imputée aux spécialistes de mathématiques financières? Les outils qu ils développent influeraient-ils sur la formation d une telle crise? Si oui, comprend-on aujourd hui selon quels mécanismes, et avec quels effets probables?

12 Peter BANK Technische Universität, Berlin Peter Bank holds a Diploma in Mathematics from Universität Bonn. He graduated as a Ph.D. from Humboldt-Universität with a dissertation in Mathematical Finance and Economics in From 2002 through 2004 he served as one of the first Junior Professors at Humboldt- Universität before joining the Department of Mathematics of Columbia University in the City of New York. Having worked there as an Assistant Professor and Associate Professor for three years, he returned to Berlin in 2007 to join the Department of Mathematics of Technische Universität and to work as a scientific director of the Quantitative Products Laboratory, a joint venture of Deutsche Bank AG, Humboldt-Universität and Technische Universität Berlin.

13 Point et perspectives : in Germany Peter BANK, Technische Universität, Berlin Historical Survey Long standing tradition in Insurance Mathematics (Deutsche Aktuarvereinigung 1903) Since end of 1970s programs in business mathematics Lectures in Mathematical Finance since early 1990s (earlier only as part of lectures on Probability Theory and its applications) First public funding for research projects devoted to Mathematical Finance since early 1990s First chairs in Mathematical Finance: early 1990s Internships in quantitative research groups at German banks since mid 1990s First degree programs (Diploma) in Financial Mathematics end of 1990s Since 2001: Fraunhofer research group in Mathematical Finance Several more research labs founded since then: RiskLab (Munich), HVBInsitut (Munich), Quantitative Products Laboratory (Berlin) Students, Jobs, Employers Insurance industry well established (Munich Re, Allianz,...) and adding financial products requiring quantitative skills German banks late to move into investment banking (e.g. Deutsche Bank early 1990s) German Landesbanken even later... No large hedge funds in Germany About 50% of students in Mathematics end up working in financial industry, mostly as actuaries and quants (other employers: IT, consulting) Fraction of students interested in Mathematical Finance keeps rising Quantitative Products Laboratory Joint venture of Deutsche Bank AG as sponsor, Humboldt-Universität and Technische Universität Berlin Research in Quantitative Finance: Mathematics, Economics, Statistics Practical applications: direct access to and close collaboration with practitioners at Deutsche Bank (mostly quants, traders) Training of young researchers: > 20 doctoral and postdoctoral positions Data and IT infrastructure provided by Deutsche Bank Conclusions Comparably little high-level investment banking in Germany (Deutsche Bank only truly global player), longer tradition in insurance Virtually no German hedge funds Strong interest in Mathematical Finance (or comparable analytic skills) both from students and from industry New research challenges arising at the interface of Mathematics, Finance, and Insurance New funding opportunities for mathematical teaching and research: joint ventures, master programs, consulting

14 Mark DAVIS Department of Mathematics, Imperial College London Mark Davis is Professor of Mathematics at Imperial College London, specializing in stochastic analysis and mathematical finance, in particular in credit risk models, pricing in incomplete markets and stochastic volatility. From he was Head of Research and Product Development at Tokyo-Mitsubishi International, leading a front-office group providing pricing models and risk analysis. Dr Davis holds a PhD in Electrical Engineering and Computer Science from the University of California Berkeley. He is the author of three books on stochastic modelling and optimisation, and has recently published, with Alison Etheridge, an annotated translation of Bachelier s Théorie de la Spéculation. He was a founding co-editor of the journal Mathematical Finance ( ).

15 Point et perspectives : in Great Britain Mark DAVIS, Department of Mathematics, Imperial College London Q1: Involvement of mathematics in the UK with Mathematical Finance and the Banking Industry * Centuries-long tradition in insurance and actuarial mathematics. * Key dates Incoming Thatcher government removes exchange controls. - Bichteler-Dellacherie Theorem - First IBM PC 1986 Big Bang wholesale change in regulatory regime in the City of London. After 20 years, 26% of UK corporate tax receipts are from financial services industry. * After 1990 Increasing employment of PhDs (physics, mathematics, engineering...). Completely international market. Masters degrees post Q2: How are UK mathematicians involved along the chain of specific topics related to banking? Mathematical theories: Pioneer in UK was Lucien Foldes (LSE) general semimartingale models in papers from 1970s. Later: mainly PDE approach and physics-based analytic techniques. Later than that: stochastic analysis. No formal educational programmes until mid-1990s. FORC (Financial Options Research Centre, Stewart Hodges) at Warwick University. Statistics and Engineering (signal processing): Traditionally (and continuing) econometrics and time series analysis for macroeconomic data. More recently * Volatility modelling. * Large-scale data analysis for retail banking (fraud detection..) * Algorithms for automated trading (investment banks and hedge funds). Computing and Information Technology: Huge expenditure! (2nd biggest cost, after salaries) * Provision of trading systems, data services, settlement systems etc. * Efficient processes for risk management hardware/software interface in algorithm implementation. Constant need for - and shortage of - qualified people in these areas. Q3: How do links with the banking industry mainly occur? At Imperial College, most collaborations are between individual academics and individuals in the industry, or between small groups (e.g. the Math Finance group at Imperial and some trading desk at Merrill Lynch.) Very little institutional collaboration (except possibly at the Tanaka Business School). Occasional endowed Chairs/research facilities, such as the MANOxford Research Institute. Collaboration generally takes the form of * Consultancy arrangements (possibly including PhD students). * PhD sponsorship * Masters degree projects

16 Q4: Proportion of students directing themselves towards the financial services industry? A substantial proportion of mathematics first-degree graduates are heading for the financial services industry in some form, such as * Specialized higher degree (Masters or PhD - the latter not necessarily in finance) * Investment banks * Insurance/actuarial science * Accountancy * Professional services companies (KPMG etc.) * Asset management or hedge funds Students from engineering courses are also going for these jobs. Q5: Comparison to other industries? Other major employment is in * Life sciences/health care (pharmaceutical companies ) * Energy (major oil companies...) * Government service (statistics, economic modelling,...) *... Is the balance right? In UK, a job at Goldman Sachs would be regarded as top of the tree. In Japan, maybe a job at Hitachi Research Labs is top of the tree. Who is right? A new Society: the SPPNWF. Q6: Lessons from personal involvement? (a) I certainly found working as a quant challenging and rewarding (both senses). It requires many skills beyond straightforward technical competence. - Communication skills, in particular the ability to listen. - The ability to size up a problem: how much can you say given what you know now? Which factors matter and which can be ignored? Can you get a zero th order approximation in 15 minutes? [Mathematicians often have little training in this sort of skill, in contrast to engineers and physicists.] - However hard you try, you can never get away from information technology! (b) In my view the UK is clearly over-dependent on the financial services industry. However, this does not mean we should walk away from it, and the industry (worldwide) is clearly in a critical phase: an opportunity for the talented and ambitious.

17 Paul EMBRECHTS Department of Mathematics, ETH Zurich Paul Embrechts is since 1989 Professor of Mathematics at the ETH Zurich. He has written over 130 scientific publications, including successful textbooks like Modelling Extremal Events for Insurance and Finance (Springer, 1997) and Quantitative Risk Management: Concepts, Techniques, Tools ( Princeton UP, 2005). He has been a keynote speaker at numerous international conferences and is a nonexecutive board member of companies in the financial industry. He holds an honorary degree from the University of Waterloo (Canada). International teaching positions held include Centennial Professor of Finance, LSE and the Cattedra Galileiana, Scuola Normale in Pisa. For further details, see:

18 Point et perspectives : in Switzerland Paul EMBRECHTS, Department of Mathematics, ETH Zurich Question 1: Can you give a brief summary about the involvement of mathematicians in Switzerland with Mathematical Finance and the Banking Industry? The wider context 1) For over a hundred years mathematicians have been employed by the Insurance Industry, especially the Life Insurance Industry, and more recently the Non-Life and Reinsurance Industry. 2) Also more recently, Regulators (national as well as international), Consulting Companies, specialised Software Companies, Government Services have taken an increasing interest in mathematicians. 3) Other branches using financial mathematics skills: Energy Sector, Transport Services (Railways, Road Systems, Air Traffic, ). The Banking Industry Though mathematicians have sporadically been employed by the banking sector pre-1980, and this mainly in IT Departments and also in Portfolio Management, the main revolution came in the early nineties. due to the explosive growth of regulatory guidelines for capital adequacy, i.e. the Basel Accords. In the USA and the UK, the involvement of mathematicians started earlier because of the birth of derivatives (options, futures, ) markets (1973+, say). As a consequence, mathematicians went either as quants within the trading departments of larger international banks (UBS, Credit Suisse, ) in London or New York, or entered (and this more recently) Quantitative Risk Management (QRM) groups. The latter is mainly due to the fact that the head offices of these banks are in Switzerland. The Evolution of Quantitative Risk Management Tools 1952 Markowitz mean-variance framework 1963 Sharpe's single-factor beta model 1966 Multiple-factor models 1973 Black-Scholes option-pricing model, "Greeks" 1983 RAROC, risk-adjusted return 1986 Limits on exposure by duration bucket 1988 Limits on "Greeks", Basel I 1992 Stress testing 1993 Value-at-Risk (VAR) 1994 RiskMetrics 1996 Basel I ½ (Ammendment to Basel I) 1997 CreditMetrics Integration of credit and market risk Enterprisewide risk management Basel II (Jorion (200)7 PE (2008)

19 Question 2: Can you describe how mathematicians in Switzerland are involved along the long chain of specific knowledge? In Switzerland, most mathematicians in the banking industry work on QRM related issues, hence less on pricing and hedging but more on risk measurement and management. Hence key mathematical skills used are statistical data analysis, portfolio analysis/optimisation (OR techniques), IT expertise (simulation methodology, scenario testing), numerical analysis, advanced reporting for management and regulators. Given an excellent mathematical background, great emphasis is put on communication skills. Within the insurance industry, specific actuarial techniques like (stochastic) reserving, Solvency II methodology, rate making, credibility, valuation and hedging of embedded options, asset-liability modelling, market consistent valuation of insurance liabilities, biometric estimation are called for. We also witness an increasing interest in actuarial (insurance mathematics) skills from the banking and financial consulting industry. Question 3: About links with the banking industry, how do mainly they occur? Several possible collaborations exist: - individual bank-to-individual academic: example Delbaen-Credit Suisse - banks to-academia: Swiss Finance Institute (SFI, global support of finance to several Swiss Universities, 40 Mio CHF) leading to new Chairs in Finance, research grants, aiming at a Swiss wide collaboration on education and (PhD)-research - banks-to-students: scholarships, conferences, - banks to-universities: endowed chairs, contributions to Foundations (mostly between one industry partner and one university; this kind of support is on the increase) - specific support: RiskLab, Zurich Information Security Centre (both at ETH), Question 4: Proportions of young mathematicians working in the financial industry (broad estimates/personal experience). Of the total number of mathematics students, about a third till half will end up working in the broader financial (including insurance) industry: these can be described as Quants. The percentage has been steadily rising over the last ten years. In Switzerland, fewer are ending up in trading, mainly due to the market competition from New York, London, places where several of our students end up (less than 5%). In view of the importance of the financial industry for Switzerland, these numbers are indeed important and sustainable (so far!).

20 Question 5: Comparison to other industries. The broader financial industries (as discussed above, by far top the ranking for employing mathematicians). It is also important to point out that there is a strong competition from students from quantitative economics, physics and (financial) engineering (increasing!). Several Swiss Universities start (or have started) educational programmes in Financial Engineering either fully away from mathematics or in collaboration with mathematics. Question 6: Conclusion for Switzerland Increasing interest in more holistic skills as needed in Quantitative Risk Management. Also increasing need for basic, additional skills in economics, law, accounting, or at least a willingness to get more involved with those aspects of banking and finance. For Swiss industry in general, and the financial and insurance industry more in particular, I expect a continuing strong demand for mathematically trained students. Question/discussion: possible consequences of the subprime crisis?

Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche

Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche Masters de Mathématiques à l'université Lille 1 Mathématiques Ingénierie Mathématique Mathématiques et Finances Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche Mathématiques appliquées

Plus en détail

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine Mot du directeur Le département «Master Sciences des

Plus en détail

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS DAUPHINE Département Master Sciences des Organisations de l'université ParisDauphine Mot du directeur Le département «Master Sciences des

Plus en détail

Application Form/ Formulaire de demande

Application Form/ Formulaire de demande Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application

Plus en détail

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking European Commission DG MARKT Unit 02 Rue de Spa, 2 1049 Brussels Belgium markt-consultation-shadow-banking@ec.europa.eu 14 th June 2012 Natixis Asset Management Response to the European Commission Green

Plus en détail

The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles

The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles 03/06/13 WHAT? QUOI? Subject Sujet The assessment of professional/vocational skills (3 hours) Bilan de compétences

Plus en détail

Implications and Opportunities Presented by the Securitization of Catastrophe (Re)insurance

Implications and Opportunities Presented by the Securitization of Catastrophe (Re)insurance Implications and Opportunities Presented by the Securitization of Catastrophe (Re)insurance M. Morton N. Lane, Ph. D. Président, Lane Financial LLC Directeur, M. Sc. en ingénierie financière Université

Plus en détail

The UNITECH Advantage. Copyright UNITECH International Society 2011. All rights reserved. Page 1

The UNITECH Advantage. Copyright UNITECH International Society 2011. All rights reserved. Page 1 The UNITECH Advantage Copyright UNITECH International Society 2011. All rights reserved. Page 1 Two key aspects of UNITECH Distinctive by being selective Standing out while fitting in The Wide and Varied

Plus en détail

DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002

DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002 Département d économie politique DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS Semestre d hiver 2001-2002 Professeurs Marc Chesney et François Quittard-Pinon Séance

Plus en détail

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM APPLICATION FORM / FORMULAIRE DE CANDIDATURE Note: If there is insufficient space to answer a question, please attach additional

Plus en détail

«Rénovation des curricula de l enseignement supérieur - Kazakhstan»

«Rénovation des curricula de l enseignement supérieur - Kazakhstan» ESHA «Création de 4 Ecoles Supérieures Hôtelières d'application» R323_esha_FT_FF_sup_kaza_fr R323 : Fiche technique «formation des enseignants du supérieur» «Rénovation des curricula de l enseignement

Plus en détail

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,

Plus en détail

IDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION

IDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION vice Direction des Partenariats Internationaux Pôle Mobilités Prrogrramme de bourrses Intterrnattiionalles en Mastterr (MIEM) Intterrnattiionall Mastterr Schollarrshiip Prrogrramme Sorrbonne Parriis Ciitté

Plus en détail

Expériences des Universités européennes dans l enseignement de la Finance islamique. Zineb Bensaid, Senior Consultant ISFIN

Expériences des Universités européennes dans l enseignement de la Finance islamique. Zineb Bensaid, Senior Consultant ISFIN Expériences des Universités européennes dans l enseignement de la Finance islamique Zineb Bensaid, Senior Consultant ISFIN 40 millions EUROPEENS sont musulmans (Ex Turquie) CROISSANCE de la finance islamique

Plus en détail

Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction

Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction Website: https://dce.yorku.ca/crhn/ Submission information: 11th Annual Canadian Risk and Hazards Network Symposium

Plus en détail

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Bonjour Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d être avec vous aujourd hui pour ce Sommet AéroFinancement organisé

Plus en détail

Catella Asset Management

Catella Asset Management Catella Asset Management Asset management immobilier Catella Asset Management se consacre aux activités d investissement, asset et property management immobiliers pour le compte de tiers Investisseurs

Plus en détail

Examen Final. Indications

Examen Final. Indications DANS LE SECTEUR BANQUE-ASSURANCE NOM : MATRICULE : PRENOM : Examen Final Problèmes Indications Veuillez respecter les indications suivantes: 1. Vous avez 3 heures à disposition 2. Veuillez vérifier que

Plus en détail

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association

Plus en détail

Cloud Computing: de la technologie à l usage final. Patrick CRASSON Oracle Thomas RULMONT WDC/CloudSphere Thibault van der Auwermeulen Expopolis

Cloud Computing: de la technologie à l usage final. Patrick CRASSON Oracle Thomas RULMONT WDC/CloudSphere Thibault van der Auwermeulen Expopolis Cloud Computing: de la technologie à l usage final Patrick CRASSON Oracle Thomas RULMONT WDC/CloudSphere Thibault van der Auwermeulen Expopolis ADOPTION DU CLOUD COMPUTING Craintes, moteurs, attentes et

Plus en détail

UNIVERSITE DE YAOUNDE II

UNIVERSITE DE YAOUNDE II UNIVERSITE DE YAOUNDE II The UNIVERSITY OF YAOUNDE II INSTITUT DES RELATIONS INTERNATIONALES DU CAMEROUN INTERNATIONAL RELATIONS INSTITUTE OF CAMEROON B.P. 1637 YAOUNDE -CAMEROUN Tél. 22 31 03 05 Fax (237)

Plus en détail

Industrial Phd Progam

Industrial Phd Progam Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.

Plus en détail

Miroir de presse. International Recruitment Forum 9-10 mars 2015

Miroir de presse. International Recruitment Forum 9-10 mars 2015 Miroir de presse International Recruitment Forum 9-10 mars 2015 Contenu 1. L Agefi, 9'510 ex., 02.03.2015 2. Market, online, 12.3.2015 3. Studyrama, online, 13.3.2015 4. Venture Magazine, online, 15.3.2015

Plus en détail

CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE

CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE 1 st Cycle (1 Ciclo) (I livello) DEGREE (Grado) 240 ECTS (European Credit Transfer System) credits* over four years of university study). The equivalent

Plus en détail

The space to start! Managed by

The space to start! Managed by The space to start! Managed by ESA Business Incubation Centers (ESA BICs) : un programme de soutien à la création d entreprises L Agence Spatiale Européenne (ESA) dispose d un programme de transfert de

Plus en détail

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique

Plus en détail

La solution idéale de personnalisation interactive sur internet

La solution idéale de personnalisation interactive sur internet FACTORY121 Product Configurator (summary) La solution idéale de personnalisation interactive sur internet FACTORY121 cité comme référence en «Mass Customization» au MIT et sur «mass-customization.de» Specifications

Plus en détail

Bologne à l EPFL. Réforme de Bologne Implications pour l EPFL. Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master

Bologne à l EPFL. Réforme de Bologne Implications pour l EPFL. Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master Bologne à l EPFL Réforme de Bologne Implications pour l EPFL Prof. Dominique Bonvin, Doyen Bachelor-Master EPFL Quelques chiffres 6 600 Etudiants, 23% femmes, 38% étrangers, 109 nationalités 1 400 Doctorants

Plus en détail

Scénarios économiques en assurance

Scénarios économiques en assurance Motivation et plan du cours Galea & Associés ISFA - Université Lyon 1 ptherond@galea-associes.eu pierre@therond.fr 18 octobre 2013 Motivation Les nouveaux référentiels prudentiel et d'information nancière

Plus en détail

8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form

8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form F-8a-v1 1 / 7 8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form Nom de famille du candidat Langue de correspondance Français

Plus en détail

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations

Plus en détail

46 000 Alumni. 15 Double Degrees. ESSEC Business School Global key figures. Founded in1907 AACSB, EQUIS. 4 400 Fulltime. BBA, Masters, MBA, PhD

46 000 Alumni. 15 Double Degrees. ESSEC Business School Global key figures. Founded in1907 AACSB, EQUIS. 4 400 Fulltime. BBA, Masters, MBA, PhD ESSEC s value MSc in Management vs. MBA Campus / Location & Transportation Courses Accommodation Events Places to visit in Paris Contacts Today s Agenda ESSEC Business School Global key figures Founded

Plus en détail

RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' RESUME

RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE' RESUME RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' ERTUGRULALP BOVAR-CONCORD Etwiromnental, 2 Tippet Rd. Downsviel+) ON M3H 2V2 ABSTRACT We are faced with various types

Plus en détail

ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE:

ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE: 8. Tripartite internship agreement La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract defines the

Plus en détail

UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140

UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140 UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : 0202 Corps : Professeur des universités Article : 51 Chaire : Non Section 1 : 01-Droit privé et sciences

Plus en détail

JSPS Strasbourg Office http://jsps.u-strasbg.fr/

JSPS Strasbourg Office http://jsps.u-strasbg.fr/ Japan Society for the Promotion of Science s International Programs JSPS Strasbourg Office http://jsps.u-strasbg.fr/ 1 Postdoctoral Fellowships For Post-doc research in Japan Long-Term Program Duration

Plus en détail

Grenoble Institute of Technology Esisar department. Speaker : Laurent.Lefevre@grenoble-inp.fr

Grenoble Institute of Technology Esisar department. Speaker : Laurent.Lefevre@grenoble-inp.fr Grenoble Institute of Technology Esisar department Speaker : Laurent.Lefevre@grenoble-inp.fr Grenoble INP 6 Departments organized along the European standard «Bachelor, Master, Doctorate» Ense3 Energy,

Plus en détail

Private banking: après l Eldorado

Private banking: après l Eldorado Private banking: après l Eldorado Michel Juvet Associé 9 juin 2015 Toutes les crises génèrent de nouvelles réglementations Le tournant de 2008 Protection des clients MIFID, UCITS, FIDLEG Bilan des banques

Plus en détail

Master en Histoire Européenne Contemporaine. Master académique

Master en Histoire Européenne Contemporaine. Master académique Master en Histoire Européenne Contemporaine Master académique an interdisciplinary faculty accompanying the development of society in its social, economic, cultural, political and educational aspects «une

Plus en détail

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES)

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 1 Project Information Title: Project Number: SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 Year: 2008 Project Type: Status:

Plus en détail

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Program

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Program Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Program Année universitaire / Academic Year: 2013 2014 INTITULE

Plus en détail

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Année universitaire / Academic Year: 2013 2014 A REMPLIR

Plus en détail

RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données

RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données Parmi les fonctions les plus demandées par nos utilisateurs, la navigation au clavier et la possibilité de disposer de champs supplémentaires arrivent aux

Plus en détail

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing?

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Alexandre Loire A.L.F.A Project Manager July, 5th 2007 1. Changes to roles in customer/supplier relations a - Distribution Channels Activities End customer

Plus en détail

Marc Haan. Belgian/Belge

Marc Haan. Belgian/Belge Marc Haan Belgian/Belge 41 years old/41 ans Partner/Associé Marc Haan has been promoted partner in the Advisory department of KPMG Luxembourg. He has gained extensive experience in the Investment Management

Plus en détail

I. COORDONNÉES PERSONNELLES / PERSONAL DATA

I. COORDONNÉES PERSONNELLES / PERSONAL DATA DOSSIER DE CANDIDATUREAPPLICATION FORM 2012 Please tick the admission session of your choice FévrierFebruary SeptembreSeptember MASTER OF ART (Mention the subject) MASTER OF SCIENCE (Mention the subject)

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Ingénierie mathématique de l Université d Evry-Val-d Essonne - UEVE Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations

Plus en détail

MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET

MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET ATTENTION : Tout formulaire de candidature qui présentera des erreurs ou anomalies dans le remplissage des champs

Plus en détail

Nathalie REY DIPLOMES UNIVERSITAIRES

Nathalie REY DIPLOMES UNIVERSITAIRES Nathalie REY Fonction (depuis septembre 1999) : Maître de Conférences en Sciences Economiques Université Paris 13, Sorbonne Paris Cité CEPN, UMR 7234 U.F.R. Sciences Économiques et de Gestion, Bureau J308

Plus en détail

Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises

Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical

Plus en détail

Bienvenue / Welcome 27 mars 2014

Bienvenue / Welcome 27 mars 2014 Bienvenue / Welcome HEC Executive Mission Mettre à jour et acquérir de nouvelles connaissances Update and expand your knowledge, learn new topics Obtenir des qualifications supplémentaires Obtain new or

Plus en détail

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Ce manuel est écrit pour les utilisateurs qui font déjà configurer un compte de courrier électronique dans Mozilla Thunderbird et

Plus en détail

MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET

MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET ATTENTION : Tout formulaire de candidature qui présentera des erreurs ou anomalies dans le remplissage des champs

Plus en détail

Master Développement Durable et Organisations Master s degree in Sustainable Development and Organizations Dossier de candidature Application Form

Master Développement Durable et Organisations Master s degree in Sustainable Development and Organizations Dossier de candidature Application Form Master Développement Durable et Organisations Master s degree in Sustainable Development and Organizations Dossier de candidature Application Form M / Mr Mme / Mrs Nom Last name... Nom de jeune fille Birth

Plus en détail

Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement

Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Session 3 Big Data and IT in Transport: Applications, Implications, Limitations Jacques Ehrlich/IFSTTAR h/ifsttar

Plus en détail

Nouveautés printemps 2013

Nouveautés printemps 2013 » English Se désinscrire de la liste Nouveautés printemps 2013 19 mars 2013 Dans ce Flash Info, vous trouverez une description des nouveautés et mises à jour des produits La Capitale pour le printemps

Plus en détail

SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL

SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL AGENDA 14:15-14:30 Bienvenue & Introduction Jérôme Berthier et Manuel Fucinos 14:30-14:45 Le concept de la Data Viz et

Plus en détail

DiFiQ. Diplôme Finance Quantitative. Une formation en partenariat. Ensae Dauphine Bärchen

DiFiQ. Diplôme Finance Quantitative. Une formation en partenariat. Ensae Dauphine Bärchen DiFiQ Ensae Dauphine Bärchen Diplôme Finance Quantitative Une formation en partenariat bonnes raisons 5de s inscrire au DiFiQ 1. Gagnez une maîtrise incontournable des techniques quantitatives en finance

Plus en détail

Marie Curie Individual Fellowships. Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France

Marie Curie Individual Fellowships. Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France Marie Curie Individual Fellowships Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France Deux Soumissions de Projet Marie Curie International Incoming Fellowship Finance

Plus en détail

Forthcoming Database

Forthcoming Database DISS.ETH NO. 15802 Forthcoming Database A Framework Approach for Data Visualization Applications A dissertation submitted to the SWISS FEDERAL INSTITUTE OF TECHNOLOGY ZURICH for the degree of Doctor of

Plus en détail

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 WORKING DOCUMENT from : Presidency to : delegations No prev. doc.: 12621/08 PI 44 Subject : Revised draft

Plus en détail

La coopération dans un contexte de recherches doctorales Cooperation amongst PhD researchers. Josée Charbonneau Anne- Marie Merrien 28 mai 2014

La coopération dans un contexte de recherches doctorales Cooperation amongst PhD researchers. Josée Charbonneau Anne- Marie Merrien 28 mai 2014 La coopération dans un contexte de recherches doctorales Cooperation amongst PhD researchers Josée Charbonneau Anne- Marie Merrien 28 mai 2014 Pourquoi sommes- nous ici? Étudiantes au doctorat, bourse

Plus en détail

Prior to joining L'Oréal, he spent 11 years working for various Pharmaceutical companies.

Prior to joining L'Oréal, he spent 11 years working for various Pharmaceutical companies. CAILLAUD Frédéric Directeur du Licensing L'ORÉAL Frédéric Caillaud joined L'Oréal in 1994 as Director of the Licensing and Business Development Department in charge of negotiating alliances, licensing

Plus en détail

CEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT

CEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT CEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT I. BASIC DATA Organization Legal Name: Conservation International Madagascar Project Title (as stated in the grant agreement): Knowledge Management: Information & Monitoring.

Plus en détail

IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board

IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board 1 L élaboration de la norme IPSAS 32 Objectif : traitement comptable des «service concession arrangements»

Plus en détail

Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012

Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012 Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien 10 Septembre 2012 Les défis de la chaine de la logistique du transport maritime Danielle T.Y WONG Director Logistics Performance

Plus en détail

8th EUA-CDE Annual Meeting The Future of Doctoral Education Where do we go from here? An introduction to Doctoral Education

8th EUA-CDE Annual Meeting The Future of Doctoral Education Where do we go from here? An introduction to Doctoral Education 8th EUA-CDE Annual Meeting The Future of Doctoral Education Where do we go from here? An introduction to Doctoral Education Dr. Paule Biaudet Institute of Doctoral Education University Pierre and Marie

Plus en détail

BNP Paribas Personal Finance

BNP Paribas Personal Finance BNP Paribas Personal Finance Financially fragile loan holder prevention program CUSTOMERS IN DIFFICULTY: QUICKER IDENTIFICATION MEANS BETTER SUPPORT Brussels, December 12th 2014 Why BNPP PF has developed

Plus en détail

Frequently Asked Questions

Frequently Asked Questions GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the

Plus en détail

An EU COFUND project 2014 2018

An EU COFUND project 2014 2018 An EU COFUND project 2014 2018 Part of the Marie Curie programme Contributing to their TRAINING Encouraging their MOBILITY To support people who chose research as professional CAREER WHRI-ACADEMY is a

Plus en détail

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca Francoise Lee De: Francoise Lee [francoiselee@photoniquequebec.ca] Envoyé: 2008 年 11 月 17 日 星 期 一 14:39 À: 'Liste_RPQ' Objet: Bulletin #46 du RPQ /QPN Newsletter #46 No. 46 novembre 2008 No. 46 November

Plus en détail

Mémo 2013. www.telecom-bretagne.eu

Mémo 2013. www.telecom-bretagne.eu Mémo 2013 www.telecom-bretagne.eu Une grande École d ingénieurs A prestigious graduate engineering school Télécom Bretagne compte 1 097 élèves* dans ses effectifs 2012-2013 / Télécom Bretagne has 1,097

Plus en détail

Cours de didactique du français langue étrangère (*) French as a foreign language (*)

Cours de didactique du français langue étrangère (*) French as a foreign language (*) FORMULAIRE DESTINE AUX DEMANDES DE BOURSE DURANT L ETE FORM TO BE USED FOR APPLICATIONS FOR A SUMMER SCHOLARSHIP Wallonie-Bruxelles International Service des Bourses d études 2, Place Sainctelette 1080

Plus en détail

Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences

Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences PUSG, UFR 413 35, avenue Abadie 33072 Bordeaux Cedex celine.barredy@u-bordeaux4.fr TEL +33(0)685431233 Education 2005: PhD in Management Sciences

Plus en détail

Integrated Music Education: Challenges for Teaching and Teacher Training Presentation of a Book Project

Integrated Music Education: Challenges for Teaching and Teacher Training Presentation of a Book Project Integrated Music Education: Challenges for Teaching and Teacher Training Presentation of a Book Project L enseignement intégré de la musique: Un défi pour l enseignement et la formation des enseignants

Plus en détail

ADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing.

ADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing. LA MAÎTRISE D UN MÉTIER Depuis plus de 20 ans, ADHETEC construit sa réputation sur la qualité de ses films adhésifs. Par la maîtrise de notre métier, nous apportons à vos applications la force d une offre

Plus en détail

AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES

AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE / APPLICATION FORM Espace réservé pour l utilisation de la fondation This space reserved for foundation use

Plus en détail

Networking Solutions. Worldwide VSAT Maintenance VSAT dans le Monde Entretien. Satellite Communications Les Communications par Satellite

Networking Solutions. Worldwide VSAT Maintenance VSAT dans le Monde Entretien. Satellite Communications Les Communications par Satellite www.dcs-eg.com DCS TELECOM SAE is an Egyptian based Information Technology System Integrator company specializes in tailored solutions and integrated advanced systems, while also excelling at consulting

Plus en détail

AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE

AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE PURPOSE The Audit Committee (the Committee), assists the Board of Trustees to fulfill its oversight responsibilities to the Crown, as shareholder, for the following

Plus en détail

Lean approach on production lines Oct 9, 2014

Lean approach on production lines Oct 9, 2014 Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production

Plus en détail

Provide supervision and mentorship, on an ongoing basis, to staff and student interns.

Provide supervision and mentorship, on an ongoing basis, to staff and student interns. Manager, McGill Office of Sustainability, MR7256 Position Summary: McGill University seeks a Sustainability Manager to lead the McGill Office of Sustainability (MOOS). The Sustainability Manager will play

Plus en détail

PANKA. PORTFOLIO Karina Pannhasith. Karina Pannhasith. URBANIA Ipad Magazine School Project 2012 Photoshop Illustrator Dreamweaver Hype - HTML5

PANKA. PORTFOLIO Karina Pannhasith. Karina Pannhasith. URBANIA Ipad Magazine School Project 2012 Photoshop Illustrator Dreamweaver Hype - HTML5 PORTFOLIO PANKA Web Designer URBANIA Ipad Magazine School Project 2012 Photoshop Illustrator Dreamweaver Hype - HTML5 MASSIMO VIGNELLI The life of a designer is a life of fight : fight against the ugliness.

Plus en détail

Le Fol Gaëlle. Current Position - Status. Former positions. Education and qualification. Full professor. gaelle.le_fol@dauphine.fr

Le Fol Gaëlle. Current Position - Status. Former positions. Education and qualification. Full professor. gaelle.le_fol@dauphine.fr Le Fol Gaëlle Full professor gaelle.le_fol@dauphine.fr Current Position - Status Head of an education program : Master 203 - Financial Markets Department of attachment : MSO Centre of Research : Dauphine

Plus en détail

affichage en français Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society

affichage en français Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society LIONS VILLAGE of Greater Edmonton Society affichage en français Informations sur l'employeur Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society Secteur d'activité de l'employeur *: Développement

Plus en détail

Summer School * Campus d été *

Summer School * Campus d été * Agri-Cultures 2013 Summer School * Campus d été * French intensive courses and discovery of French culture and agriculture Français Langue Étrangère découverte de la culture et du monde agricole français

Plus en détail

RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5

RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5 RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS General Rules for Manner of Service Notices of Application and Other Documents 5.01 (1) A notice of application or other document may be served personally, or by an alternative

Plus en détail

WEST AFRICA INTERNET GOVERNACE FIFTH GLOBAL INTERNET GOVERNACE FORUM. 14th to 17th Septembre 2010 VILNIUS, LITHUANIA. Participants REPORT

WEST AFRICA INTERNET GOVERNACE FIFTH GLOBAL INTERNET GOVERNACE FORUM. 14th to 17th Septembre 2010 VILNIUS, LITHUANIA. Participants REPORT WEST AFRICA INTERNET GOVERNACE FIFTH GLOBAL INTERNET GOVERNACE FORUM 14th to 17th Septembre 2010 VILNIUS, LITHUANIA Participants REPORT Introduction : The fifth Global forum on internet governance was

Plus en détail

F-7a-v3 1 / 5. 7. Bourses de mobilité / Mobility Fellowships Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form

F-7a-v3 1 / 5. 7. Bourses de mobilité / Mobility Fellowships Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form F-7a-v3 1 / 5 7. Bourses de mobilité / Mobility Fellowships Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form Nom de famille du candidat Langue de correspondance Français Family name of participant

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT

CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract

Plus en détail

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

PRÉSENTATION GÉNÉRALE PRÉSENTATION GÉNÉRALE Février 2009 LA CHAIRE FINANCE ET DÉVELOPPEMENT DURABLE «Mission statement» Une communauté de recherche scientifique de premier plan, motivée et soudée nourrissant une ambition d

Plus en détail

Contents Windows 8.1... 2

Contents Windows 8.1... 2 Workaround: Installation of IRIS Devices on Windows 8 Contents Windows 8.1... 2 English Français Windows 8... 13 English Français Windows 8.1 1. English Before installing an I.R.I.S. Device, we need to

Plus en détail

Dans une agence de location immobilière...

Dans une agence de location immobilière... > Dans une agence de location immobilière... In a property rental agency... dans, pour et depuis vocabulaire: «une location» et «une situation» Si vous voulez séjourner à Lyon, vous pouvez louer un appartement.

Plus en détail

Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées

Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride Mission commerciale Du 29 septembre au 2 octobre 2015 Veuillez remplir un formulaire par participant Coordonnées

Plus en détail

Deadline(s): Assignment: in week 8 of block C Exam: in week 7 (oral exam) and in the exam week (written exam) of block D

Deadline(s): Assignment: in week 8 of block C Exam: in week 7 (oral exam) and in the exam week (written exam) of block D ICM STUDENT MANUAL French 2 JIC-FRE2.2V-12 Module Change Management and Media Research Study Year 2 1. Course overview Books: Français.com, niveau intermédiaire, livre d élève+ dvd- rom, 2ième édition,

Plus en détail

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees For Immediate Release October 10, 2014 Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees The Senate Standing Committee on Banking, Trade, and Commerce resumed hearings

Plus en détail

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Applicant(s) (In most cases, the applicant will be a children s aid society.) Full legal name & address for service street & number, municipality,

Plus en détail

NOUVEAU POSTE AU CRM CENTRE DE RECHERCHES MATHÉMATIQUES UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

NOUVEAU POSTE AU CRM CENTRE DE RECHERCHES MATHÉMATIQUES UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL NOUVEAU POSTE AU CRM CENTRE DE RECHERCHES MATHÉMATIQUES UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Période d'affichage: 3 septembre au 15 octobre 2014 Affichage no FS 14-09-01 Titre du poste : Agent(e) de développement (partenariats)

Plus en détail

Lesson Plan Physical Descriptions. belle vieille grande petite grosse laide mignonne jolie. beau vieux grand petit gros laid mignon

Lesson Plan Physical Descriptions. belle vieille grande petite grosse laide mignonne jolie. beau vieux grand petit gros laid mignon Lesson Plan Physical Descriptions Objective: Students will comprehend and describe the physical appearance of others. Vocabulary: Elle est Il est Elle/Il est Elle/Il a les cheveux belle vieille grande

Plus en détail

Editing and managing Systems engineering processes at Snecma

Editing and managing Systems engineering processes at Snecma Editing and managing Systems engineering processes at Snecma Atego workshop 2014-04-03 Ce document et les informations qu il contient sont la propriété de Ils ne doivent pas être copiés ni communiqués

Plus en détail

Face Recognition Performance: Man vs. Machine

Face Recognition Performance: Man vs. Machine 1 Face Recognition Performance: Man vs. Machine Andy Adler Systems and Computer Engineering Carleton University, Ottawa, Canada Are these the same person? 2 3 Same person? Yes I have just demonstrated

Plus en détail