Les élèves en début de sixième

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1 ISSN JUILLET Àlarentrée2000, l évaluation en début de sixième, en mathématiques et en français, a été effectuée pour la douzième année consécutive. Au-delà des constats annuels, elle doit conduire les enseignants à engager une analyse champ par champ, item par item, au sein des classes et des établissements. Cette analyse permettra de mettre en avant les compétences acquises sur lesquelles l enseignant pourra s appuyer pour élaborer ses progressions et adapter aux besoins réels de chacun des élèves les situations pédagogiques ainsi que les pratiques mises en œuvre. L évaluation a un «effet en retour» sur les habitudes des enseignants, qu il faut inciter, dans les cycles précédents, à effectuer un travail régulier dans des domaines de compétences dont la maîtrise ne sera effective qu à long terme. Les élèves en début de sixième Évaluation de septembre 2000 Àla rentrée 2000, l évaluation en début de sixièmea étéeffectuée pourla douzième année consécutive. Cette évaluation nationale garde un objectif diagnostique et apporte chaque année une information statistique et des repères aux enseignants. Elle pointe des éléments importants des savoirs et savoirfaire des élèves et constitue un outil qui permet aux enseignants de mieux déceler, en début d année scolaire, les acquis et les lacunes de leurs élèves. Les compétences évaluées sont susceptibles de changer d un protocole à l autre. Le nombre d items de chaque compétence peut varier sensiblement. Les supports utilisés influent sur le niveau de difficulté des exercices et, depuis 1989, l analyse des difficultés des élèves s est affinée. Les scores moyens de réussite présentés ne sont qu un indicateur et ne rendent pas compte de la diversité des réponses des élèves. La prise en compte, par champ, de la variété des difficultés des items et de la répartition des réussites de chaque élève aidera les enseignants dans l individualisation des parcours de formation des élèves et dans la planification de leur enseignement en classe de sixième. Les enseignants pourront ainsi tenir compte à la fois des besoins d un groupe particulier d élèves et de ceux de l ensemble de la classe. RÉSULTATS PAR CHAMP Les protocoles de mathématiques et de français ne recouvrent pas tous les apprentissagesprévusparlestextesréglementaires. Les compétences évaluées sont réparties selon des champs spécifiques. Les traitements par champ permettent une analyse plus fine des acquis et difficultés des élèves. En français Le score moyen global de réussite des élèves de sixième en français est cette année de 68,5 % ; en moyenne, deux tiers des items sont donc réussis par les élèves. TABLEAU I Scores moyens en français (sur 100) Compréhension (35 items) 80,4 Production de texte (20 items) 67,1 Outils de la langue pour lire et écrire (32 items) 56,3 Score global (87 items) 68,5 La réussite moyenne dans les trois champs dans lesquels a été classé l ensemble des items est relativement hétérogène. Le score moyen dans le champ «compréhension», composé de 35 items, s élève à 80,4 %.

2 Comme dans les protocoles précédents, l échelonnement des items va de la prise d informations, avec des scores de réussite allant jusqu à 98,3 %, à des exercices de construction de l information pour lesquels les taux de réussite sont logiquement plus bas. Le score de réussite à ce champ est toutefois globalement élevé. Il est probable que la volonté de mettre au service du sens toutes les activités menées dans le domaine de la lecture et du français porte à présent ses fruits. On notera cependant que ce score élevé estobtenu grâce auxitemsde prélèvement direct. Les tâches relevant du traitement de l information et des inférences posent à certains élèves des problèmes qu il ne faut pas négliger. Par ailleurs, il faut signaler que c est dans ce champ celui où la réussite moyenne est la meilleure que les élèves faibles éprouvent le plus de difficultés. Pour aider ces élèves, il serait donc préférable de faire une plus large place aux activités de lecture et de compréhension qu à celles qui entrent dans le champ des «outils de la langue» même si ce champ obtient aux évaluations un score global inférieur au champ «compréhension». Lechamp«outils de la langue», composé de 32 items, est cette année le moins réussi, avec un score de 56,3 %. Ce résultat peut cependant être nuancé : on constate en effet que le score obtenu dans le sous-champ «maîtrise des outils de la langue pour lire» s élève à 62,0 alors que le souschamp «maîtrise des outils de la langue pour écrire» atteint le score de 50,6. Les élèves sont donc relativement à l aise lorsqu il s agit de tirer du contexte le sens d un mot inconnu, ou encore de construire le sens d un texte en utilisant les accords. Les compétences liées à la «maîtrise des outils de la langue pour écrire» semblent plus fragiles que celles qui concernent la «compréhension» et la «maîtrise des outils de la langue pour lire»oula«production de texte». Une analyse plus fine des résultats révèle clairement que les scores les plus faibles touchent des domaines précis : morphologie nominale et son métalangage, orthographe grammaticale et ponctuation. Cependant, il ne faudrait pas que ces résultats incitent à revenir à une étude systématique des formes linguistiques et à l acquisition superficielle du vocabulaire grammatical (exercices hors contexte) mais il convient plutôt d organiser des activités de structuration qui permettent l appropriation des outils de la langue, pour lire et pour écrire. Le score moyen du champ «production de texte»s élèveà67,1%.ilestcomposé de 20 items. L écart que l on constate entre «outils de la langue pour lire et pour écrire»et «production de texte» peut laisser penser que les élèves possèdent bien les compétences linguistiques nécessaires à la production d un récit. Mais les résultats précédents («maîtrise des outils de la langue pour écrire») révèlent des difficultés à mettre en pratique ces compétences dans des exercices qui permettent de les évaluer une à une. En mathématiques En 2000, à l évaluation nationale à l entrée en sixième en mathématiques, les élèves ont réussi en moyenne 55,6 items sur les 86 proposés, soit un score moyen global de64,6%deréussite. TABLEAU II Scores moyens en mathématiques (sur 100) Numération et écriture des nombres (14 items) 70,8 Techniques opératoires (30 items) 70,0 Problèmes numériques (10 items) 48,5 Figures géométriques et mesures (16 items) 67,8 Traitement de l information (16 items) 56,2 Score global (86 items) 64,6 Dans le champ «numération et écriture des nombres», même si les élèves réussissent plus de deux items sur trois (70,8 % de réussite), c est toujours le sens de l écriture décimale qui suscite des difficultés. Pour le champ «techniques opératoires», les élèves réussissent en moyenne plus de deux items sur trois (taux de réussite 70,0). La maîtrise des additions et des soustractions sur les nombres entiers est meilleure que celle des multiplications et divisions sur ces mêmes nombres, en particulier la connaissance des tables est certainement un point faible. D autres difficultés rencontrées par les élèves sont liées à l emploi des décimaux ou à une maîtrise insuffisante du calcul réfléchi. Les troisquartsdesitemsdecechampavaient déjà été proposés à l évaluation de Mis à part les items de calcul mental et ceux portant sur des suites d opérations avec parenthèses qui subissent une légère baisse, on constate une stabilité des résultats pour les autres items de ce champ. Pour le champ «problèmes numériques», on constate des résultats de 23,1 % à 66,3 % selon le niveau de difficulté des items proposés. Le pourcentage moyen de réussite s est trouvé tiré vers le bas en raisondufaiblerésultatauxitemsdemiseen relation des éléments présents dans le texte et sur la figure (item 73) et de recherche du complément au reste d une division euclidienne (item 84). Notons que dans le cadre de la résolution d un problème pouvant conduire à une division, la majorité des élèves utilisant une division euclidienne savent correctement en interpréter le quotient. Dans le champ «travaux géométriques et mesures», cesont,commeen 1999, des exercices apportant des informations sur la conception du cercle par les élèves ainsi que sur la reconnaissance d axes de symétrie qui ont été choisis. La disparité des réussites dans tout ce champ est notamment liée aux niveaux de difficulté des compétences testées et/ou à la situation présentée. Il en est ainsi de l identification, par coloriage, d une face d un cube (réussi à 95,6 %) et de la reconnaissance d un carré, en position inhabituelle pour les élèves, dans une figure complexe (réussi à 42,2 %). Dans le champ «traitement de l information», les items relevant du prélèvement explicite d informations sans qu aucune construction ne soit demandée à l élève sont bien réussis (de 76,9 % à 88,8 %). Ceux qui demandent une analyse de l énoncé ou une organisation d une démarche devant prendre en compte plusieurs contraintes simultanées donnent lieu à des scores moins élevés. NOTE D INFORMATION Page 2

3 GRAPHIQUE 1 Répartition selon les scores en français des élèves de sixième GRAPHIQUE 2 Répartition selon les scores en mathématiques des élèves de sixième Pourcentage d'élèves 15,3 18,9 25,5 21,4 Pourcentage d'élèves 14,6 17,9 18,3 18,3 0,1 1,1 1,2 3,3 7,3 5,8 0,5 1,6 3,8 7,0 9,9 8, Score sur 100 Lecture : 25,5 % des élèves en début de sixième ont un score sur 100 compris entre 70 et 80 en français Score sur 100 Lecture : 17,9 % des élèves en début de sixième ont un score sur 100 compris entre 60 et 70 en mathématiques RÉSULTATS GLOBAUX DES ÉLÈVES Les distributions des scores montrent que moins d un élève sur vingt en mathématiques et moins d un élève sur quarante en français réussit moins de 30 % de l ensemble des items du protocole (graphiques 1et2). Les 10 % d élèves qui réussissent le mieux l épreuve, en mathématiques ou en français, réussissent en moyenne environ trois fois plus d items que les élèves que leur score place parmi les 10 % les plus faibles (tableau III). Dans tous les cas, il convient d analyser pour chacun d entre eux les résultats par champ puis par item pour faire ressortir les compétences acquises ou en cours d acquisition. Celles-ci pourront servir de levier pour pallier les difficultés de ces élèves. Considérer un élève à travers ses acquis et non uniquement à travers ses manques ne peut que contribuer à changer l image qu il a de lui-même. ANALYSES COMPLÉMENTAIRES Ilestpossibledecompléterl analysedes scores moyens, globaux et par champ, par une analyse des taux de réussite en fonction de variables de trois types : les variables de type socio-démographique qui caractérisent l élève en fonction de son âge, son sexe, son origine sociale ; les variables relatives au parcours scolaire de l élève, notamment à ses éventuels TABLEAU III Scores globaux en mathématiques et en français (sur 100) Moyenne Médiane Écart-type redoublements au cours de sa scolarité avant l entrée en sixième, à son apprentissage des langues vivantes ou bien encore au fait qu il a ou non été suivi par le réseau d aide ; 10 % les plus faibles 10 % les plus forts Français 68,5 70,1 16,4 35,3 91,7 Mathématiques 64,6 67,4 19,8 26,4 92,4 Lecture : le groupe de 10 % d élèves ayant le mieux réussi l épreuve de français a un score moyen de 91,7. C est-à-dire que les élèves de ce groupe réussissent en moyenne 91,7 items sur 100 proposés. Les distributions des scores étant davantage tassées vers les 100 % (voir les graphiques), la médiane est légèrement supérieure à la moyenne, en mathématiques comme en français. TABLEAU IV Scores selon les caractéristiques socio-démographiques des élèves Français Mathématiques Sexe garçon 65,8 64,7 A fille 71,4 64,7 A Âge un an d avance 80,1 76,9 «à l heure» (nés en 1989) 72,8 69,5 un an de retard (nés en 1988) 56,8 51,4 deux ans ou plus de retard 51,9 47,7 Trimestre janvier-mars 69,1 B 65,8 D de naissance avril-juin 69,7 B 66,4 D juillet-septembre 68,3 B C 65,0 D octobre-décembre 67,4 C 61,9 Origine sociale cadres et professions libérales 78,0 74,9 professions intermédiaires 73,4 70,5 employés 69,5 E 64,9 artisans, commerçants 67,9 E 66,5 agriculteurs exploitants. 68,7 E 64,5 ouvriers 63,0 59,1 inactifs 59,2 53,7 Lecture : pour une même variable, les données recueillies ne permettent pas de mettre en évidence un écart significatif entre les taux de réussite suivis de la même lettre. Par exemple, les enfants nés de juillet à septembre et les élèves nés au dernier trimestre n obtiennent pas des résultats significativement différents en français. En français, pour la variable origine sociale, les enfants d employés, les enfants d agriculteurs et ceux d artisans-commerçants ont, en moyenne, des taux de réussite non significativement différents entre eux (lettres E en français et F en mathématiques). En revanche, les enfants d ouvriers réussissent significativement moins bien, en moyenne, que les enfants d artisans-commerçants. les variables qui caractérisent l établissement dans lequel se trouve l élève, à savoir s il est situé en zone d éducation prioritaire (ZEP) ou non, ou bien encore si c est un établissement du secteur public ou privé. NOTE D INFORMATION Page 3

4 Caractéristiques socio-démographiques Au vu du tableau IV plusieurs constats bien connus s imposent : les élèves en avance ont des scores moyens plus élevés que les enfants plus âgés ; on observe aussi des différences entre les élèves issus de catégories socioprofessionnelles favorisées et ceux issus de catégories défavorisées, et entre les filles et les garçons en français. En mathématiques, les filles et les garçons obtiennent le même score moyen. On peut noter également que les élèves nés au dernier trimestre enregistrent de moins bonnes performances que les autres élèves, tous âges confondus, même si le phénomène est moins marqué qu au CE2. Toutefois, ce résultat doit être lu à la lumièred uneanalyseàâgeéquivalent(voir l analyse de variance), puisque, d une part, les élèves nés en fin d année sont plus nombreux à redoubler et que, d autre part, les enfants nés en début d année sont plus souvent en avance. Variables de cursus scolaire Les élèves entrant pour la première fois en sixième ont de meilleurs résultats en moyenne que les redoublants (tableau V). En ce qui concerne l apprentissage d une langue vivante, on a distingué nettement le fait d avoir bénéficié d un enseignement d une langue vivante à l école primaire et le choix de la langue vivante à l entrée en sixième. L enseignement d une langue vivante à l école élémentaire est répandu : il concerne 74 % des élèves. Parmi eux, près des deux tiers l ont suivi pendant un an, un quart pendant deux ans et 15 % pendant trois ans et plus, et ce, toutes langues confondues. L écart de réussite (d environ 1,5 point dans les deux disciplines) en faveur des élèves ayant bénéficié de cette initiation n est pas significatif. Le choix de la langue vivante à l entrée en sixième, en revanche, révèle une différence : les élèves ayant choisi l allemand ont de meilleurs résultats, en mathématiques comme en français, que les «anglicistes». Caractéristiques de l établissement La comparaison brute des scores des élèves des secteurs public (y compris les collèges de ZEP et de REP) et privé est à Situation scolaire Langue vivante * Initiation langue vivante TABLEAU V Scores selon le cursus scolaire des élèves Français Mathématiques entrant en sixième 69,5 65,6 redoublant en sixième 59,4 56,7 allemand 74,8 70,4 anglais 68,1 64,1 a bénéficié 69,3 A 65,6 B n a pas bénéficié 67,8 A 64,0 B Réseau d aide a dû être soutenu par le... 45,5 40,3 n a pas été soutenu par le... 70,7 66,9 École d origine en ZEP 58,6 52,2 hors ZEP 70,2 66,4 * Il s agit de la langue vivante I, en début de sixième. TABLEAU VI Scores selon les caractéristiques de l établissement Français Mathématiques Secteur Public 67,6 63,8 Privé 72,1 68,1 ZEP/REP ZEP 60,8 54,6 REP hors ZEP 65,2 60,7 Hors ZEP et REP 69,8 66,4 l avantage des élèves scolarisés dans les établissements privés (tableau VI). Les résultatsmoyensdesélèvesscolarisés enzepouenrep(oùlescatégoriesles plus défavorisées sont surreprésentées) sont sensiblement plus faibles que ceux des autres élèves, quelle que soit la discipline considérée. Les élèves de REP hors ZEP ont des résultats sensiblement meilleurs en mathématiques et en français que les élèves scolarisés en ZEP. Hormis le sexe, toutes les caractéristiques évoquées (origine sociale, âge, secteur, etc.) entretiennent des liens assez forts. Aussi, les chiffres bruts ne sauraient être interprétés en termes de causalité puisqu ils peuvent refléter les effets conjugués des diverses caractéristiques des élèves ; le recours à un modèle statistique qui permet d estimer les effets spécifiques de chaque variable se révèle donc nécessaire. Dans ce modèle, l information relative au réseau d aide est éliminée apriorien tant que variable explicative puisque l introduction de cette variable masque l effet d autres caractéristiques. Dans les tableaux VII et VIII ne figurent que les variables qui présententun«effetpropre». «TOUTES CHOSES ÉGALES PAR AILLEURS» Conformément à ce que l on observe habituellement, l âge est la variable la plus étroitement liée auxrésultatsdesélèves. En effet, cette variable rend compte de près d un tiers de la variance «expliquée» par le modèle. Les élèves ayant une année au moins de retard vraisemblablement induite par un redoublement enregistrent des scores nettement plus faibles que leurs camarades moins âgés «toutes choses égales par ailleurs». À l opposé, les élèves ayant acquis une année d avance avant leur entrée en sixième ont de meilleurs résultats que leurs camarades «à l heure». Evidemment le retard scolaire n est pas indépendant de l origine sociale. La catégorie socioprofessionnelle des parents a également un impact très fort sur la réussite des élèves dans les deux disciplines : près de 10 points séparent les enfants issus de milieux favorisés de ceux dont les parents sont ouvriers ou inactifs, à caractéristiques (âge, sexe, secteur ) constantes. Par ailleurs, certaines caractéristiques évoquées dans la partie précédente apparaissent, grâce au modèle, non pertinentes pour expliquer les résultats des élèves. Ainsi, l enseignement à l école primaire d une langue étrangère n a pas «d effet propre» sur les taux de réussite des élèves en français et en mathématiques. En outre, l incidence du mois de naissance sur la réussite aux épreuves de l évaluation sixième 2000 est neutralisée lorsque l on tientcompte du retard scolaire. En effet, les redoublants sont proportionnellement plus nombreux parmi les élèves nés en fin d année. NOTE D INFORMATION Page 4

5 Pour le français Après l âge et l origine sociale, le sexe a l influence la plus nette en français : «toutes choses égales par ailleurs», les filles l emportent sur les garçons de 4,6 points, en moyenne (tableau VII). Pour les mathématiques Comme pour le français, l âge rend compte de la plus grande part de la variance «expliquée» par le modèle (près du tiers de la variance expliquée par le modèle) ; vient ensuite l origine sociale (tableau VIII). En revanche, le secteur de l établissement n apparaît pas comme facteur explicatif de réussite ni en mathématiques ni en français lorsque l on tient compte des autres facteurs du modèle, en particulier des deux précédents. Dans les deux cas, les modèles spécifiés expliquent entre un quart et un tiers de la variance totale de la réussite : d autres facteurs (par exemple d environnement social, économique, scolaire, familial, éducatif), non mesurables ou non mesurés, interviennent dans la réussite des élèves en début de sixième en français et en mathématiques. Virginie Andrieux, Claire Dupé et Isabelle Robin, DPD D1 POUR EN SAVOIR PLUS Évaluations CE2-Sixième Repères nationaux Septembre 2000, Dossier n 124, MEN-Direction de la programmation et du développement, août Sur Internet : TABLEAU VII Analyse de variance Français Variable Modalité de référence Modalités Coefficients t de Student Constante 70,9 Âge «àl heure» enavance 5,0 2,9 en retard -12,9-19,3 Origine sociale ouvriers agriculteurs, artisans, commerçants 3,5 3,6 cadres et assimilés 10,4 11,0 professions intermédiaires 7,3 8,6 employés 3,6 4,0 retraités, inactifs -3,1-2,9 Sexe filles garçons -4,6-8,1 Langue vivante * anglais allemand 5,0 54,9 ZEP/REP hors ZEP/REP ZEP/REP -3,9-4,8 Part de variance expliquée par le modèle 30,8 % Lecture : «toutes choses égales par ailleurs» (âge, origine sociale, langue vivante), les filles réussissent mieux que les garçons d environ 4,6 points en moyenne. Le t de Student est un indicateur du degré de significativité des coefficients associés à chaque modalité. Plus il est élevé en valeur absolue, plus le coefficient a de chances d être significativement différent de 0 et donc de jouer un rôle important dans le modèle. Tous les coefficients sont significatifs au seuil de 5 %. * Il s agit de la langue vivante 1 en début de sixième. TABLEAU VIII Analyse de variance Mathématiques Variable Modalité de référence Modalités Coefficients t de Student Constante 65,7 Âge «àl heure» enavance 3,7* 4,0 en retard - 14,8-17,7 Origine sociale ouvriers agriculteurs, artisans, commerçants 5,2 4,2 cadres et assimilés 10,5 8,7 prof. intermédiaires 7,7 7,1 employés 2,5 2,3 inactifs -4,3-3,2 ZEP/REP hors ZEP/REP ZEP/REP -6,0-6,0 Langue vivante ** anglais allemand 4,4 3,4 Part de variance expliquée par le modèle 24,4 % Lecture : «toutes choses égales par ailleurs» (âge, origine sociale, sexe, langue vivante), en début de sixième, un élève scolarisé dans un établissement situé en ZEP ou en REP réussit, en moyenne, moins bien qu un élève scolarisé dans un établissement hors ZEP/REP de près de 6 points. Le t de Student est un indicateur du degré de significativité des coefficients associés à chaque modalité. Plus il est élevé en valeur absolue, plus le coefficient a de chances d être significativement différent de 0 et donc de jouer un rôle important dans le modèle. Tous les coefficients sont significatifs au seuil de 5 %, sauf ceux qui sont suivis d un astérisque qui ne sont pas significativement différents de 0 (valeur prise par la modalité de référence). **Il s agit de la langue vivante 1 en début de sixième. NOTE D INFORMATION Page 5

6 L ÉCHANTILLON L évaluation en début de sixième concernait tous les élèves inscrits en septembre 2000 en classe de sixième dans des établissements publics ou privés sous contrat. Les résultats présentés ont été calculés sur la base d un échantillon stratifié d environ élèves de métropole parmi lesquels figurent des élèves de SEGPA. Les calculs sont effectués en affectant à chaque strate un poids proportionnel à son effectif dans la population (20,3 % des élèves sont scolarisés dans le secteur privé, 63,5 % dans des établissements publics hors ZEP/REP, 2,7 % en REP hors ZEP et 13,5 % en ZEP). Les pourcentages présentés dans le tableau sont très voisins de ceux que l on observe pour l ensemble des élèves de sixième scolarisés dans les établissements publics ou privés sous contrats, ce qui confirme la représentativité de l échantillon national. L échantillon comporte 48,9 % de filles et 51,1 % de garçons. La répartition par âge fait apparaître un assez fort pourcentage d élèves en retard en sixième (27 %). Ce chiffre est à rapprocher de la proportion d élèves redoublant la sixième (8,1 % des élèves). 85 % des entrants en sixième n ont pas subi de redoublement lors des trois cycles précédant leur entrée au collège. Parmi les élèves qui ont connu un redoublement à l école primaire, la quasi-totalité n a effectué qu un seul redoublement. En ce qui concerne la langue vivante en début de sixième, on constate la prépondérance de l anglais dans le choix des familles (90,0 % d anglicistes). L allemand est étudié par près d un élève sur dix en sixième, l étude des autres langues concernant moins d un élève sur cinquante. Pourcentage d élèves Sexe Garçon 51,1 Fille 48,9 Âge un an d avance (nés en1990) 2,8 «à l heure» (nés en 1989) 70,5 un an de retard (nés en 1988) 22,9 deux ans ou plus de retard 3,8 Origine sociale cadres et professions libérales 15,0 professions intermédiaires 19,7 employés 17,1 artisans, commerçants 8,9 agriculteurs exploitants. 2,6 ouvriers 27,2 inactifs, autres 9,4 Situation entrant en sixième 91,9 scolaire redoublant en sixième 8,1 Langue allemand 8,5 vivante * anglais 90,0 * Il s agit de la langue vivante 1 en début de sixième. Direction de la programmation et du développement Directeur de la publication Jean-Richard CYTERMANN Rédactrice en chef Francine LE NEVEU Maquette et impression DPD édition & diffusion SERVICE VENTE DPD,édition & diffusion 58 bd du Lycée, VANVES ABONNEMENT ANNUEL France : 42,69 euros (280 F) Étranger : 45,73 euros (300 F) NOTE D INFORMATION Page 6

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