Dossier de lecture Titre : «Communication au service du développement durable»
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- Géraldine Lefebvre
- il y a 8 ans
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1 1 Dossier de lecture Titre : «Communication au service du développement durable» Auteurs : Fourastie Christelle Guillois Marion Cours ICL 2A 01c «Notions de base en sciences de l information et de la communication adaptées au contexte interculturel» INALCO C.I.L.M
2 2 1) Présentation générale du travail Rédiger un paragraphe de synthèse du projet 1) Objectif : Présenter la communication au service du développement durable au regard de l action menée par la FAO 2) Contenu : Présentation de l Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture Définition de la communication au service du développement durable Le département de communication de développement de la FAO Exemples : le cas du Mexique, la radio rurale Récapitulatif des supports, missions, acteurs de la communication du développement selon la FAO
3 3 2) Principaux résultats du travail La FAO : Food and Agriculture organization (organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture) Le slogan de la FAO est d «aider à construire un monde libéré de la faim.» Les 189 Etats membres, pays développés et en développements, se réunissent dans le cadre d un consensus neutre, afin de négocier des accords et de débattre de politiques, toujours sur un pieds d égalité. Depuis sa création en 1945, elle se consacre plus particulièrement au développement des zones rurales pour endiguer la pauvreté, la malnutrition La FAO, par son savoir-faire et ses connaissances, veille donc à ce que les êtres humains puissent mener une vie saine et active. Elle agit avec des compétences techniques, sur les difficultés des populations et des nations, pour les emmener à une autonomie, et qu elles puissent contribuer à l essor de l économie mondiale. La FAO s organise autour de quatre grands domaines d activité : - Mettre l information à la portée de tous : la FAO sert de réseau de connaissances, met à profit des compétences, des techniques avec l aide de professionnels. - Partager l expertise en matière de politiques et plus particulièrement de politiques agricoles ( planification des projets, mise en place de lois, stratégies nationales visant à atteindre les buts fixés.) - Servir de lieu de rencontre pour les Etats : la FAO est une tribune ou les Etats riches et pauvres, peuvent dialoguer entre eux sur les questions d alimentation et d agriculture. - Porter les connaissances sur le terrain : La FAO dirige des milliers de projets dans le monde avec l aide d autres organismes humanitaires. La FAO se compose de huit départements : - Agriculture et protection des consommateurs. - Développement économique et social.
4 - Pêches et aquaculture. - Forêts. - Ressources humaines, financières et matérielles. - Connaissances et communication. - Gestion des ressources naturelles et de l environnement. - Coopération technique. 4 La communication au service du développement durable : Définition : La communication est un processus social qui provoque des changements dans les connaissances, les attitudes et les comportements des individus et des groupes, en mettant à leur disposition des informations factuelles et techniques, en facilitant le processus d apprentissage et «l environnement» social. Ces éléments pourraient alors conduire à une meilleure maîtrise de compétences essentielles pour les individus et à une meilleure réalisation de divers buts déterminants. Parmi les autres effets possibles de la communication, on peut observer l augmentation de l estime de soi et du bien-être, par une participation à la vie sociale et communautaire, l amélioration de la qualité des relations inter-individuelles, le renforcement du respect mutuel et de la confiance en soi dans les groupes sociaux et l instauration de la confiance au sein des communautés. A titre d information, l indice de développement humain(idh) permet de constater que là ou les infrastructures et les technologies de communication sont les plus nombreuses : la radio, la télévision, le nombre de titres de livres publiés, les bureaux de poste, les lignes de téléphone, les utilisateurs d internet, le progrès social est le plus élevé. Donc véhiculer des informations permet des interactions sociales multiples, et la communication contribue au développement des sociétés. Le département de communication de développement durable au FAO : La FAO pratique la communication de terrain, ce qui implique de créer des conditions permettant aux intéressés d obtenir par eux même et selon leur propre termes, les connaissances nécessaires à opérer tous les changements utiles sans renier leur identité.
5 La communication au service du développement durable se sert de nombreux médias et approches (notamment les médias populaires, les groupements sociaux traditionnels, la radio rurale, la vidéo, le multimédia, Internet etc.). Ces divers moyens de communication tendent tous vers le même but : les populations doivent être encouragées à communiquer et à apprendre ensemble. La communication est un outil essentiel de réalisation des objectifs de développement durable (santé, réduction de la pauvreté, gouvernance ). L implication de la population dans ces actions est indispensable ; c est pourquoi il est nécessaire d encourager la mise en place de partenariats de communication entre les agences gouvernementales, les donateurs, les universités, les organisations internationales, les ONG et les populations concernées. Faire un travail de communication pour le développement, c est créer des ponts entre les communautés ( entre les dirigeants, les traditionnels ), faire que les urbains et les citadins se parlent. Cette mise en place de la communication au service du développement durable doit se faire dans un dialogue permanent entre les populations et les professionnels : il ne s agit pas de leur imposer des façons de voir, ni d effectuer un changement de comportement, influencé par ce qu ils pourraient y gagner, mais de comprendre pourquoi ils font telle ou telle chose. Un dialogue doit se créer. Durant les trente dernières années, le rôle de la communication a muté, nous sommes passés d un transfert unidirectionnel des connaissances de techniciens vers les paysans, à un processus qui part des agriculteurs et qui se base sur un partage interactif de l information entre partenaires égaux en communication.plaçant la population rurale au cœur du processus de développement, la communication participative est aujourd hui le lien principal entre les agriculteurs, les vulgarisateurs et les chercheurs pour organiser et exécuter des initiatives de développement durable. Pour pouvoir augmenter la production alimentaire, il est nécessaire d utiliser de nouvelles technologies, de nouvelles compétences, attitudes, pratiques et de nouvelles formes de collaboration. Pour se faire, les agriculteurs doivent avoir accès aux informations et aux savoir-faire. C est là que la communication intervient, à travers l éducation, et la formation des adultes. Durant les trois dernières décennies, la FAO a expérimenté sur le terrain des approches et méthodes en matière de communication pour le développement durable, visent à partager les informations et les connaissances et à promouvoir une action de développement à l aide de messages participatifs et de la combinaison de médias traditionnels et modernes. Le Groupe de la Communication au service du développement est un des acteurs les plus importants des trente dernières années dans le domaine de la communication au service du développement agricole et rural. Il diffuse son action par la publication de nombreux ouvrages, d outils de formation, de manuels de référence, de CD-ROM etc. 5
6 Il est essentiel d initier des projets et des campagnes thématiques de communication qui abordent des questions cruciales (réduction des maladies, en particulier le VIH / SIDA, l émancipation des femmes etc.) On peut constater le succès de ces politiques, grâce à l apport de la communication.mais aujourd hui la mobilisation se tourne vers les changements sociaux pour des comportements préventifs, ou l acceptation de personnes infectées du VIH par exemple ( ou les femmes violées les causes sont nombreuses), en étant prudent de ne pas créer des marginalisations ou des clivages sociaux. La Participatory Rural Communication Appraisal est par exemple un guide pratique à l usage des acteurs de la communication et du développement sur le terrain qui ont besoin d informations utiles à la conception et à la mise en œuvre effective de programmes et d initiatives de communication pour le développement durable. Le département de la gestion des ressources naturelles et de l environnement de la FAO met en place des ateliers régionaux et internationaux, des séminaires et des conférences pour former les agents de vulgarisation. La formation de ces agents s appuie sur des méthodes innovantes soutenues par les médias traditionnels et modernes (multimédia, vidéo, Internet, radio rurale, chants, tam-tam dans certaines régions d Afrique etc.). Ces ateliers régionaux, comme celui qui a eu lieu à Nimey au Niger, s organisent sur les méthodologies de mise en œuvre des politiques nationales et de stratégies de communication pour le développement. La FAO vise ainsi à faire partager ses techniques, mais aussi à toucher les pays voisins en Afrique, pour une autosuffisance alimentaire via un développement agricole plus soutenu et adapté à ses ressources naturelles et à ses contraintes. Ces pays sont en demande de politique nationale de communication. 6 Les radios rurales : Le service de la vulgarisation, de l éducation et de la communication de la FAO estime que la radio rurale est un moyen privilégié pour les communautés rurales d accéder aux informations et savoirs utiles, de dialoguer à travers l échange de leurs expériences, de leurs savoirs et techniques. Mise en place depuis plus de trente ans, elle valorise avant tout le savoir-faire local. Le but est que les populations participent aux différents programmes de développement durable et qu ils s engagent dans l action.
7 Après plusieurs étapes (radio-clubs, radios agricoles), l aspect éducatif a aujourd hui cédé la place à la dimension interactive et participative et à l apport mutuel. Aujourd hui la radio rurale a acquis plus d autonomie financière, ce qui lui permet de générer ses propres ressources. La première radio rurale voit le jour au Congo en 1976, rapidement suivie par la création de radios en Mauritanie, en Guinée, en Centrafrique, au Tchad, au Burkina Faso, au Mali, au Niger, en Guinée-Bissau. La radio en Afrique est le moyen de communication le plus approprié pour promouvoir le développement rural, car elle engage de faibles coûts et est facilement accessible. De plus, dans les régions rurales, elle est souvent le seul moyen de communication de masse qui peut diffuser rapidement des informations sur la météo, la santé, la production agricole et animale, la commercialisation des produits, et la protection et la conservation des ressources naturelles. La radio rurale constitue une réelle tribune de dialogue démocratique sur les problèmes économiques, sociaux et culturels de développement en milieu rural et urbain. Elle devient ainsi un outil d enquête sociale. Elle remplit également des fonctions d agent de changement social, d outil de gestion et de règlement de conflit et elle représente surtout un média de masse alternatif. Elle permet des résultats concrets, ainsi au Tchad en 1992, elle a permis de sensibiliser sur les feux de brousse intentionnels et a ainsi facilité leur réduction de 90%. La FAO mène des actions d expertise et de formation afin d aider les populations à assimiler les compétences techniques indispensables à la production, à la diffusion, à la gestion et à la maintenance des radios rurales. Aujourd hui, on réfléchit sur les applications possibles des NTIC à la radio et à comment la relier à Internet. Un atelier international a été organisé en 2001 sur les NTIC au service de la radio rurale. 7 Le Mexique : un exemple novateur L expérience de communication pour le développement rural mis en place par la FAO fut le plus vaste et le durable jamais réalisé.etendu sur une durée de vingt ans, avec des efforts continus, le gouvernement mexicain entrepris, en vue de favoriser la participation des agriculteurs et d autres acteurs, un processus de développement, par le biais de communications locales, régionales et nationales. Les experts de la FAO ont pu collaborer en terme de consultant international.
8 Le gouvernement lança à la fin des années soixante-dix le programme de développement rural intégré d abord pour les marécages tropicaux, et qui prévoyait la participation des paysans à ce programme, ce programme se propagea ensuite à l ensemble du pays. Différents acteurs se rencontrèrent et participèrent à la mise en œuvre du projet : les représentants du gouvernement, les cultivateurs, les chercheurs, les techniciens, les représentants des banques, les entreprises de construction, les commerces La FAO a prouvé par ce projet que l on peut intégrer des activités de communication au sein d une politique nationale de développement, avec des outils différents selon les approches. Encore aujourd hui, le gouvernement concentre ses efforts sur la dimension de pauvreté en milieu rural. La première campagne fut celle des «marécages» : on utilisa la vidéo, qui rencontra en franc succès, les paysans participaient aux documentaires, s investissaient. Les documents filmés créaient des interactions entre les paysans et les chercheurs. Des hauts parleurs furent également installés. Il s agissait, par le biais de la communication, de fournir aux agriculteurs des informations pour leur permettre de prendre eux même leurs décisions ; tout comme d identifier les problèmes physiques, techniques et socioéconomiques des paysans. Il fallait trouver des solutions appropriés et surtout acceptés par les populations. Le système de communication rurale fut utilisé pour appuyer le gouvernement dans une tâche immense : transférer la gestion des systèmes d irrigation aux agriculteurs. Plus tard, le gouvernement décida de développer «les basses terres», toujours pour lutter contre la pauvreté des populations, on appliqua là encore les activités de communication. Le programme mis en place par les experts du FAO en communication au service du développement et de la Banque mondiale recherchait un besoin d augmenter la production alimentaire, d augmenter les revenus, d améliorer les conditions de vie tout en protégeant les ressources naturelles. Par le même temps la FAO promulgua des campagnes d alphabétisation avec des populations ethniquement, culturellement, linguistiquement différentes, dans un milieu ou par manque d information aussi des maladies persistaient. Ce programme entraîna l élaboration de plans locaux et la construction de routes, la protection des sols, des crédits aux agriculteurs Les acteurs de la communication se formaient en petites équipes, avec les paysans, le débat fut lancé par le vidéo, ou ces derniers parlaient de leur passé, présent et avenir. 8
9 La vidéo servit aussi à la formation : on installa des hauts parleurs pour prévenir de réunions, de films vidéo, ce qui permis le développement des femmes, et une meilleure connaissances des règles d hygiène (diminution mort enfantine). Le système de communication rurale reporta une part de son énergie sur le secteur de la santé et du développement des communications. Il eu 700 vidéos, huit cent mille personnes formées, en vue de l étendu du modèle de communication, de nouvelles stratégies furent favorisées : que les organisations paysannes développent leur capacité de communication, malheureusement elles étaient si pauvres qu elles ne purent pas se prendre réellement en main L approche participative et démocratique rencontra un succès, il faut maintenant que les institutions l intègrent de façon durable aux futures politiques de développement durable. Actuellement, La FAO aide les agriculteurs mexicains à lutter contre les grands secteurs agricoles américains et canadiens en envoyant via l informatique, des bulletins météorologiques, le prix et l avenir des produits afin que son agriculture reste viable. Le Mexique qui traverse des problèmes économiques dans agriculture ne doit pas oublier ce qu elle a su faire, son développement avec le FAO. 9 Les acteurs, les supports, les missions de la communication au service du développement rural : Les supports : Pour qu une politique de communication soit efficace, on doit s efforcer de couvrir toutes les catégories de la population. Ainsi, il y a pleins de secteurs de communication : - Les pratiques culturelles et traditionnelles, - Les Médias imprimés et pas seulement les médias de masse, - Les médias électroniques, - Les médias radiodiffusés, - Le film, la vidéo - Le théâtre
10 - La publicité, - Le développement du langage, - L information : La FAO qui publie des centaines de bulletins d information, de rapports et d ouvrages, distribue des revues, crée des cédéroms et accueille des forums électroniques. - La communication utilise aussi des lieux informels : - Les associations de femmes - Les églises, festivals, rassemblements 10 Ses missions, ses objectifs : La FAO garde à l esprit que la science de la communication doit être un «bien public».elle agit : - pour un meilleure qualité de vie de la population, - pour le développement des médias, des technologies de l information notamment dans les milieux ruraux, et donc une liberté d expression et un accès équitable à l information, - pour promouvoir un dialogue national entre les citoyens, et donc une participation populaire, - pour protéger l identité culturelle, et donc une diversité et une intégration sociale - La FAO crée des partenariats avec les ministères qui dirigent les politiques de communication, pour garder une cohérence. Ses acteurs : Le premier Congrès mondial sur la Communication s est tenu du 25 au 27 octobre 2006, au siège de la FAO, à Rome, en partenariat avec la Banque Mondiale. Les experts de la communication se sont convenus que la communication est un outil essentiel à la réalisation des objectifs de développement. C est un engagement ou la population concernée doit être impliquée ; il faut encourager les partenariats de communication entre les agences gouvernementales, les donateurs, les universités, les organisations internationales et non gouvernementales. Les compétences d experts doivent être mises à profit : comme les agronomes, forestiers, spécialistes des pêches et de l élevage, nutritionnistes, économistes, statisticiens, experts en sciences sociales
11 11 «La clé de l émancipation, c est la communication», mots des fondateurs de la communication pour le développement. - Organisation des Nations Unies - Union internationale des télécommunications - Programme des Nations Unis pour le développement - Programme Alimentaire Mondial - Banque Mondiale Adresses utiles : - Réseau du système des Nations Unies sur le développement rural et la sécurité alimentaire Aspects positifs,négatifs : - un grand nombre d informations et de ressources en ligne - «trop d information tue l information» : il faudrait des jours pour tout lire, ce qui est assez frustrant car on doit se limiter et aller à l essentiel tout en se disant qu on passe peut-être à côté d informations pertinentes pour notre étude.
12 12 - organisation du site assez peu pratique à l utilisation puisqu on est sans arrêt renvoyé vers d autres liens, ce qui fait qu on se sent un peu perdu et désorienté face à toute cette masse d informations.
13 13 3) Références Nom du site Adresse du site FAO : food and agriculture organization
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