Table des matières 3. I - Rayonnements solaire 7. A.Spectre solaire...7
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- Flavie Marion
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1 PEAU ET SOLEIL
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3 Table des matières Table des matières 3 I - Rayonnements solaire 7 A.Spectre solaire Radiations ionisantes Rayonnement optique: Ondes hertziennes...7 B.Arrivée au sol et pénétration dans la peau...7 II - Facteurs de risque photoclimatologiques 9 A.Facteurs de risque photoclimatologiques :...9 III - Effets biologiques sur la peau : 11 A.Agressions radicalaires...11 B.Effets bénéfiques Effet calorique Lumière et dépression Épaississement de l'épiderme...12 C.Effets pigmentogènes: Pigmentation immédiate Pigmentation retardée...12 D.Action immunologique...12 E.Effets néfastes Accidents aigus Accidents chroniques Risques oculaires...13 IV - Photoprotection naturelle 15 3
4 A.Pilosité...15 B.Barrière cornée...15 C.Barrière mélanique...15 D.Protection antiradicalaire...16 E.Notion de phototype...16 V - Photoprotection topique 17 A.Le photoprotecteur idéal...17 B.Caractéristique d'un photoprotecteur...17 C.Indications d'un photoprotecteur...17 D.Effets indésirables d'un photoprotecteur...18 E.Modalités pratiques d'utilisation...18 F.Les règles de bon sens
5 Préambule Les rayonnements issus du soleil et arrivant à la surface de la planète sont indispensables pour l'installation, le développement et l'épanouissement de la vie. Le soleil est symbole de vie, de pureté et de puissance. L'absorption des photons solaires par certaines molécules cutanées est à l'origine d'effets biologiques, bénéfiques ou néfastes se produisant à court ou à long terme. Si le soleil est indispensable à la vie, son énergie potentiellement destructrice impose à l'homme de savoir l'apprivoiser et de photoprotéger sa peau. 5
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7 I - Rayonnements solaire I Spectre solaire 7 Arrivée au sol et pénétration dans la peau 7 A.Spectre solaire ce sont les radiations ionisantes, le rayonnement optique et les ondes hertziennes. 1.Radiations ionisantes Comportent les rayons cosmiques, les rayons gamma, les rayons X. 2.Rayonnement optique: Comprend : le rayonnement ultraviolet (UV), non visible par l'oeil humain, divisé en trois zones: UVC de 200 à 280 nm (arrêtés par le quartz), UVB de 280 à 320 nm (arrêtés par le verre) et UVA de 320 à 400 nm (traversant le verre). la lumière visible de 400 à 800 nm, décomposée à travers un prisme ou dans un arc-en-ciel : violet, indigo, bleu, vert, jaune, orange et rouge. les infrarouges (IR) de 800 à nm produisent de la chaleur. 3.Ondes hertziennes n'ont pas d'effets biologiques connus : micro-ondes, ondes radar, télé et radio. Seule une faible partie va atteindre la terre, après avoir été «filtrée» par l'ozone stratosphérique. La couche d'ozone arrête les rayons cosmiques, les rayons gamma, les rayons X, les rayons UVC et les rayons UVB courts. Tous ces rayons sont nocifs. B.Arrivée au sol et pénétration dans la peau Au niveau du sol, arrivent les UVB longs (290 à 320 nm) (2% des UV), les UVA (320 à 400 nm) (98 % des UV), les rayons visibles (400 à 800 nm), les rayons infrarouges (800 à 2500 nm) et les ondes radio. Arrivées au contact de la peau, certaines radiations lumineuses sont plus ou moins absorbées par des molécules cutanées (kératines, mélanines). La majorité des UVB (70 %) sont arrêtés par la couche cornée ; cependant 20 % atteignent le corps 7
8 Rayonnements solaire muqueux et 10 % le derme superficiel. La majorité des UVA traversent la couche cornée mais seuls 20 à 30 % atteignent le derme profond. Le visible et l'ir traversent l'épiderme, le derme et parviennent jusqu'à l'hypoderme. 8
9 Facteurs de risque II - photoclimatologiqu es II Facteurs de risque photoclimatologiques : 9 A.Facteurs de risque photoclimatologiques : L'heure du jour : la quantité d'uv est maximale entre 11 h et 13 h. La saison : mois de juillet, août La latitude : l'effet «brûlant» des UV est multipliée par cinq lorsque l'on passe de l'europe du Nord aux tropiques. L'altitude: la quantité d'uv augmente de 4 % tous les 300 m (à m d'altitude, elle est supérieure de 40 % à celle du niveau de la mer). La couverture nuageuse et la pollution atmosphérique vont également influencer la transmission des UV. La réflexion par la surface des sols va s'ajouter à l'ensoleillement direct et diffusé par la ciel. Elle varie selon le type de sols (sable, eau, vitres). La vitre d'une fenêtre (3 mm d'épaisseur) permet de stopper 97 % du rayonnement UVB mais n'arrête que 15 % du rayonnement UVA, le pare-brise automobile arrête 90 % des UVB et 30 % des UVA. 9
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11 Effets biologiques III - sur la peau : III Agressions radicalaires 11 Effets bénéfiques 11 Effets pigmentogènes: 12 Action immunologique 12 Effets néfastes 12 A.Agressions radicalaires Les photons, en fonction de leur longueur d'onde, sont absorbés par certaines molécules, dénommées chromophores. Le chromophore activé établit des liaisons avec des macromolécules environnantes ou surtout transmet l'énergie absorbée à des molécules voisines avec création d'espèces réactives de l'oxygène (ERO) appelées radicaux libres. Ces radicaux libres sont des molécules extrêmement réactives, de puissants agresseurs oxydant de molécules biologiques altérant leurs fonctions biologiques. Les cibles de ces radicaux libres sont l'acide désoxyribonucléique (ADN), les lipides des membranes cellulaires et les acides aminés. Ces agressions radicalaires vont s'accumuler, altérant les cellules épidermiques et dermiques. Heureusement, ces cellules disposent de systèmes de défense antiradicalaire. B.Effets bénéfiques les réactions photochimiques induites par les UV dans la peau donnent de multiples réactions bénéfiques ou néfastes. 1.Effet calorique La «chaleur» du soleil est due aux rayons IR qui pénètrent profondément dans la peau, traversant l'épiderme jusqu'au derme et l'hypoderme, où ils provoquent une dilatation vasculaire (érythème immédiat) et une élévation de la température cutanée (insolation en cas d'exposition excessive). 2- Synthèse de vitamine D: intervenant dans la régulation du métabolisme phosphocalcique (action antirachitique). 2.Lumière et dépression La photothérapie par la lumière visible est un traitement antidépresseur 11
12 Effets biologiques sur la peau : 3.Épaississement de l'épiderme après des irradiations UVB répétées, l'épaisseur de l'épiderme sera pratiquement doublée, ce qui augmente la photoprotection naturelle par un facteur 2 à 4. En l'absence de nouvelles irradiations, la desquamation permet le retour progressif, en 5 semaines, de l'épiderme épaissi vers la normale. C.Effets pigmentogènes: 1.Pigmentation immédiate l'irradiation de l'épiderme par une quantité suffisante d'uva se traduit par une pigmentation immédiate grisâtre transitoire. 2.Pigmentation retardée correspond au «bronzage», débute 2 à 3 jours après l'irradiation, atteint son maximum après 20 jours en cas d'expositions répétées et disparaît très progressivement en 3 à 4 semaines. Les mélanocytes épidermiques, hyperfonctionnels, néosynthètisent la mélanine et la transfèrent aux kératinocytes des couches profondes de l'épiderme. Les radiations responsables du bronzage sont surout les UVB (280 et 320 nm). Selon le type de carnation, la photoprotection mélanique acquise sera plus ou moins importante et s'ajoute à l'épaississement épidermique UVB-induit. D.Action immunologique les UV (UVB et UVA) ont un effet suppresseur sur le système immunitaire. E.Effets néfastes si les effets bénéfiques des rayons UV sur l'organisme justifient les expositions solaires, celles-ci doivent cependant être modérées car tout dépassement d'un seuil personnel (lié au phototype de l'individu) s'accompagnera d'accidents aigus (coup de soleil, photosensibilisation) ou chroniques à long terme (héliodermie, carcinogenèse, cataracte), témoignant d'une amputation du «capital solaire» personnel. 1.Accidents aigus Érythème actinique : le classique «coup de soleil», véritable brûlure superficielle due à une surexposition solaire. Le pouvoir érythématogène est maximal pour les UVB (90 %), les UVA sont partiellement responsables (10 %). Le coup de soleil apparaît plusieurs heures après l'exposition, avec un délai d'autant plus court et un aspect clinique d'autant plus intense que la surexposition a été plus importante : - érythème rosé, peu douloureux, qui s'effacera en 1 à 2 jours, correspondant à la DEM (dose érythémale minimale) 12
13 Effets biologiques sur la peau : - érythème rouge vif, chaud et douloureux, qui persistera plusieurs jours et laissera un bronzage perceptible. - érythème violacé et oedémateux, avec sensation de cuisson intense. - érythème sévère avec décollement bulleux et signes généraux (fièvre, nausées, céphalées), séquelles cutanées dyschromiques et risque à long terme de carcinogenèse. Photodermatoses : les UV peuvent induire des accidents cutanés phototoxiques ou photoallergiques (dermite des prés, dermite pigmentaire aux parfums, photosensibilisations médicamenteuses, lucites) ou exacerber d'autres dermatoses (lupus érythémateux, porphyries cutanées, xeroderma pigmentosum, poïkilodermies congénitales, porokératose actinique, herpès récurrent...) 2.Accidents chroniques Le vieillissement cutané photo-induit, ou héliodermie, regroupe des modifications cliniques et histologiques spécifiques, liées exclusivement aux expositions solaires chroniques. Il résulte des effets cumulés et synergiques entre les UVB, les UVA et les IR sur les cellules épidermiques et dermiques. Le risque individuel d'héliodermie dépend de facteurs génétiques (phototypes clairs, prédisposition familiale) et de l'ensoleillement cumulé. Photocarcinogenèse : l'irradiation UV entraîne de nombreuses perturbations épidermiques dont certaines sont fortement suspectes de participer à la photocarcinogenèse, notamment les altérations de l'adn, la production de radicaux libres et l'immunosuppression photo-induite. L'effet carcinogène des UV explique la plus grande fréquence des carcinomes cutanés sur les régions exposées à la lumière (visage), chez les sujets à peau claire, travaillant à l'air libre (marins, agriculteurs), vivant dans des régions très insolées. 3.Risques oculaires On peut noter une inflammation (kératite), une cécité passagère, un vieillissement du cristallin (cataracte), une presbytie... 13
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15 IV - Photoprotection naturelle IV Pilosité 15 Barrière cornée 15 Barrière mélanique 15 Protection antiradicalaire 16 Notion de phototype 16 au cours de la vie, les expositions consomment progressivement le capital soleil, une fois les capacités d'adaptation épuisées, les dommages cutanés apparaîssent. La photoprotection naturelle est limitée. A.Pilosité surtout au niveau du cuir chevelu. La calvitie précoce expose en tout cas aux kératoses et aux carcinomes de la partie supérieure du crâne. B.Barrière cornée La couche cornée exerce un effet photoprotecteur par un double mécanisme : réflexion par les filaments de kératine des photons du spectre visible et IR ; absorption des UVB par les constituants du sébum, par la sueur, et surtout par la kératine. La couche cornée d'une peau blanche arrête ainsi 70 % des UVB. C.Barrière mélanique L'efficacité photoprotectrice des mélanines est fonction du nombre de mélanosomes matures dans l'épiderme, de leur nature, de leur taille et de leur dispersion dans les différentes assises épidermiques. La photoprotection mélanique est essentielle, permettant d'absorber plus de 90 % des UV ayant franchi la couche cornée et d'éponger les radicaux libres photo-induits. La photoprotection sera fondamentalement différente selon le phénotype d'autant plus efficace que l'individu est plus mat. Sur peau noire, 98 % des UVB (à 300 nm) sont arrêtés par l'épiderme. 15
16 Photoprotection naturelle D.Protection antiradicalaire à l'état physiologique, les cellules disposent de systèmes de défense antioxydante. Après irradiations UV et libération de radicaux libres, il existe dans un premier temps une réponse adaptative des systèmes antioxydants dont l'activité est globalement augmentée. Si les irradiations se poursuivent, les capacités d'adaptation ne se font plus, les taux d'antioxydants chutent et les radicaux libres vont dégrader les structures cutanées. E.Notion de phototype la notion de phototype est établie en fonction de l'aptitude au bronzage, de l'apparition de coups de soleil, de la couleur de la peau et des cheveux. Plus le phototype est bas, moins l'adaptation aux rayonnements solaires est importante et plus rapidement surviendra un coup de soleil. 16
17 V - Photoprotection topique V Le photoprotecteur idéal 17 Caractéristique d'un photoprotecteur 17 Indications d'un photoprotecteur 17 Effets indésirables d'un photoprotecteur 18 Modalités pratiques d'utilisation 18 Les règles de bon sens 18 A.Le photoprotecteur idéal doit être aisé à étaler et d'un confort acceptable, se fixer dans la couche cornée sans pénétration transépidermique, avec une résistance à l'eau et à la transpiration, une protection prolongée. Il doit posséder une excellente stabilité photochimique, une bonne résistance à la chaleur et à l'humidité,présenter une parfaite innocuité générale et cutanéo-muqueuse (absence de pouvoir irritant, allergisant ou photosensibilisant), absorber toutes les radiations nocives MAIS il a une action sur les UVA et le visible faible, une faible rémanence et la cosmétologie est parfois peu acceptable L'appélation d'ecran total est non justifié car la protection des UVB +++ mais protection des UVA est faible et la protection du spectre visible est nulle B.Caractéristique d'un photoprotecteur Composition Spectre d'action Degré et indice de protection Photosensibilité Rémanence C.Indications d'un photoprotecteur Photodermatoses Prévention du vieillissement cutané Prévention de la photocarcinogenèse 17
18 Photoprotection topique Prévention du coup de soleil * Bronzage D.Effets indésirables d'un photoprotecteur Intolérance : irritation ou allergie vrai Passage systémique Incitation à une surexposition solaire Coût E.Modalités pratiques d'utilisation Appliquer le produit 30 minutes avant l'exposition Appliquer de façon homogène sur une peau saine Renouveler l'application toutes les 2 à 3 heures Renouveler l'application après un bain ou une douche F.Les règles de bon sens Eviter l'exposition intensive entre 10 et 14 heures Ne pas négliger la protection vestimentaire Pratiquer des expositions solaires progressives Se méfier des circonstances à risque et des substances photosensibilisantes 18
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