LES CRISTAUX LIQUIDES
|
|
- Jules Grenier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Classes préparatoires à CPE Lyon Lyon, le 10 avril 2006 Institution des Chartreux Année scolaire place Abbé Larue Lyon LES CRISTAUX LIQUIDES Professeur accompagnateur : Monsieur BAYET A l attention de : Monsieur François Bois Les membres du jury Groupe n 36 Caroline BESSON Estelle LABOULLE Cécile LE VAN L objectif de ces TIPE est de répondre à la problématique : «en quoi la dualité, présente dans l état cristal liquide, permet-elle la mise au point d une nouvelle génération d afficheurs : les écrans LCD?». Pour répondre à cette question, nous avons d abord effectué un travail de recherche en nous rendant notamment aux bibliothèques de la Part Dieu et de l ENS puis en rencontrant Mr Galvan, professeur d optique à CPE LYON, qui nous a fourni une vaste documentation. A partir de ces informations, nous avons élaboré un plan permettant la rédaction du synoptique et la préparation de la soutenance orale et avons réalisé, en parallèle, une expérience au laboratoire d optique. INTRODUCTION En 1888, l autrichien Friedrich Reinitzer et son collègue Lehmann qui étudiaient les cristaux de benzoate de cholestérol, extraits de calculs biliaires, ont découvert qu ils possédaient l aspect caractéristique des cristaux lorsqu on les observe sous lumière polarisée mais qu ils coulaient comme des liquides. De là est né le nom de «cristal liquide» en Aujourd hui, ils trouvent leur principale application dans les afficheurs à cristaux liquides. 1. PROPRIÉTÉS PHYSICO-CHIMIQUES 1.1. Définition de l état de cristal liquide Les cristaux liquides sont caractérisés par un état intermédiaire entre la phase cristalline, où règne un ordre de position tridimensionnel et la phase liquide où aucun ordre n existe. Grâce à leur ordre de position partiel (dimension 1 ou 2), les cristaux liquides possèdent les propriétés d anisotropie des cristaux tout en ayant un aspect fluide. La plupart des cristaux liquides sont constitués de molécules organiques qui comportent aux moins deux parties différentes, par leur structure (une partie rigide et une partie flexible) et par leurs propriétés (l une hydrophile et l autre hydrophobe). Les molécules, globalement neutres, peuvent posséder un moment dipolaire ce qui permet de les assimiler à un dipôle électrique permanent Les différentes phases Il existe de nombreuses phases pour les cristaux liquides que l on peut répertorier dans 3 grandes «familles» : nématique cholestérique smectique A
2 . Phase smectique : elle possède un ordre de position à une seule dimension, le matériau étant stratifié en couches pouvant glisser les unes par rapport aux autres. Dans chacune des couches, les molécules possèdent la même orientation. Phase nématique : c est la plus employée pour les applications en électronique. Elle est caractérisée par l absence d ordre de position. Seul un ordre d orientation est présent et une direction moyenne est définie. Phase cholestérique : elle rejoint la phase nématique mais en plus, son vecteur directeur possède une orientation périodique hélicoïdale ce qui est très intéressant pour les applications en électronique Propriétés mécaniques Nous nous intéresserons uniquement à l élasticité et à la viscosité qui ont une incidence sur les afficheurs à cristaux liquides. L énergie élastique provient de l interaction entre les molécules. Elles apparaît dans les smectiques quand le vecteur directeur n a pas la même orientation : il y a alors création d une force de rappel pour un retour à l équilibre. L étude de l énergie élastique de torsion peut, sous application d un champ électromagnétique, provoquer un déplacement des molécules du fluide. f = dz (K 2 /2) (dθ/dz)² K 2 constante élastique de torsion θ angle de torsion z axe de torsion La viscosité est importante car elle intervient dans les temps de réponse. Celui d un nématique soumis à une torsion est : γ τ γ i /K 2 *(D/π) 2 i viscosité de torsion K 2 constante élastique de torsion D épaisseur du film 2. PROPRIÉTÉS OPTIQUES 2.1. Polarisation de la lumière Polariser la lumière revient à donner une direction spécifique au champ électrique qui la constitue. En effet, la lumière naturelle n est pas polarisée : elle se propage dans toutes les directions ; la direction du champ électrique est donc aléatoire. Si la lumière traverse un milieu dit polariseur, celle-ci ne sera transmise que selon un plan appelé «plan de polarisation». x E z Onde naturelle non polarisée y B Si le vecteur B ou le vecteur E conserve son orientation dans le plan (Oxy), l onde sera polarisée rectilignement. Les cristaux liquides ont de telles propriétés polarisantes qui sont utilisées pour l affichage.
3 2.2 Action d un champ électrique sur les cristaux liquides Les cristaux liquides ont des structures chimiques variables. Si le barycentre des charges positives de la molécule n est pas confondu avec celui des charges négatives, la molécule constitue un dipôle électrique permanent. Lorsque ces barycentres sont confondus, on peut appliquer aux molécules un champ électrique, qui du fait de l agitation, va créer un moment dipolaire induit. Les cristaux liquides se comportent donc comme des dipôles, permanents ou induits, qui sous l action d un champ électrique, sont soumis à un couple de forces et vont s orienter selon les lignes de ce champ. Il est possible de les diriger en changeant la direction du champ électrique qu on leur applique. 2.3 Mode nématique en hélice ou nématique twisté Voici la structure générale d une cellule à cristaux liquides en mode nématique twisté : les cristaux sont coincés entre deux plaques appelées couches d ancrage, elles-mêmes comprises entre deux polariseurs croisés. Les deux couches d ancrage sont des plaques gravées de sillons dont les directions sont perpendiculaires l une par rapport à l autre. Au repos, les cristaux qui s orientent selon ces sillons passe progressivement d une direction à l autre, pour former une «hélicoïde» qui tourne d un quart de tour. Ainsi, si une lumière passe à travers une couche de cristal, celle-ci va suivre la rotation de l'hélicoïde grâce au pouvoir polarisant des cristaux liquides. Les polariseurs étant croisés, c est-à-dire que les plans de polarisation sont orthogonaux, la lumière peut traverser la cellule. Si on applique un champ électrique aux cristaux liquides, ils vont s orienter dans la direction du champ. Le deuxième polariseur bloque alors la lumière, puisque les cristaux ne l auront plus dirigé dans le plan nécessaire à son passage. En sortie, il y a donc extinction de la lumière. 3. APPLICATIONS 3.1. Description d une cellule à cristal liquide permettant l affichage digital Schéma général d une cellule à cristal liquide : plaques support : joint (cale d épaisseur) 3 : cristal liquide 4 : bouchon : contacts 6 : électrodes 7 : contre-électrodes La cellule à cristal liquide est formée de deux plaques support, en général en verre, collées l une sur l autre par un joint périphérique qui ménage une cavité de faible épaisseur remplie de cristal liquide. L allumage ou l extinction d une électrode est rendu possible en appliquant, de l extérieur, une tension entre un contact d accès de la plaque supérieure et un contact de la plaque inférieure.
4 3.2. Principe de fonctionnement des afficheurs à cristaux liquides Il existe deux méthodes d adressage des afficheurs à cristaux liquides : l adressage direct qui ne concerne que les écrans ne comportant qu un nombre réduit de pixels, tels que ceux utilisés dans les calculatrices ou les montres, et l adressage matriciel qui permet d en commander un plus grand nombre et de réaliser ainsi des afficheurs beaucoup plus complexes tels que les écrans LCD. Cependant, ce dernier type d adressage nécessite un multiplexage temporel puisqu il est, dans ce cas, impossible d adresser les pixels en permanence. schéma 3.3. Limites des écrans LCD Les écrans LCD présentent des limites que les spécialistes tentent constamment de repousser. Le temps de réponse, la réflectance, la luminance, le contraste ou encore la directivité sont autant de critères qui peuvent encore être améliorés pour réduire le coût de ces écrans. La directivité est l une des plus grandes faiblesses de ces écrans. En effet, en s éloignant de l axe de l écran, on perd en luminosité, la couleur change parfois considérablement et surtout le contraste diminue jusqu à fournir une image totalement «délavée». Grâce à une cellule photoélectrique, nous avons mesuré cette variation de luminosité selon plusieurs axes (horizontal et vertical) et angles de vue sur un écran d ordinateur portable. La courbe ci-dessous correspond à l une de ces mesures.
5 CONCLUSION Cette expérience des TIPE nous a beaucoup appris tant sur le plan des connaissances, notamment en optique, que sur le plan personnel. En effet, il est intéressant de comprendre le mode de fonctionnement de ces nouvelles technologies que sont les écrans LCD qui s intègrent de plus en plus dans notre quotidien. BIBLIOGRAPHIE Sites Internet : Ouvrages : - Liquid crystals, Nature s Delicate Phase of Matter, Peter J. Collings - Les cristaux liquides, Oswald Patrick, Gordon Breach, Contacts : Mr GALVAN, professeur d optique à CPE - Lyon Mail : galvan@cpe.fr Bibliothèque de l ENS, 46 allée d Italie LYON 07 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier Monsieur GALVAN pour sa disponibilité et le temps qu il a consacré pour répondre à nos questions. Nos remerciements s adressent également à Monsieur BAYET qui nous a accompagnées durant l élaboration de nos TIPE ainsi qu à Monsieur BOIS.
contributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailImmersion - Vision 3D dans la RV.
Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques
Plus en détailCisco Certified Network Associate
Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailATTENTION! Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière.
Après quelques mois d utilisation, un ordinateur s encrasse et surtout son ennemi mortel est la poussière. En effet, l ordinateur est un appareil qui consomme de l électricité dont une partie importante
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailSEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX
SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).
Plus en détailAcquisition et conditionnement de l information Les capteurs
Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit
Plus en détailDentiste Numérique Zfx. Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx
Dentiste Numérique Zfx Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx Dentiste Numérique Zfx Des technologies novatrices parfaitement adaptées Zfx offre aux dentistes des technologies
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Série : Sciences et Technologies de Laboratoire Spécialité : Biotechnologies SESSION 2015 Sous-épreuve écrite de Biotechnologies Coefficient de la sous-épreuve : 4 Ce sujet est
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailErgonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva
Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva SICPPT fédéral AFFILIES Comité de gestion SIPPT 1 SIPPT SIPPT n 2 EMPREVA Management Office
Plus en détailAppel à Propositions. Thème : «Couplage CFD / CAA»
Appel à Propositions CORAC Feuille de route Propulsion Thème : «Couplage CFD / CAA» Référence de l Appel Titre de l appel Personne à contacter responsable de l appel à proposition (AàP) Date de début du
Plus en détailFermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme
* Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats
Plus en détailCIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES
V ACTIONNEURS PNEUMATIQUES : 51 Généralités : Ils peuvent soulever, pousser, tirer, serrer, tourner, bloquer, percuter, abloquer, etc. Leur classification tient compte de la nature du fluide (pneumatique
Plus en détailSDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique
Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailMESURES D'ÉNERGIE ÉLECTRICITÉ
P R O J E CENTRALISATION et EXPLOITATION des MESURES D'ÉNERGIE ÉLECTRICITÉ GAZ EAU T MISES EN JEU DANS LE LYCEE JEAN PROUVE Description du projet Mesure des énergies et fluide Les contraintes des milieux
Plus en détailTP SIN Traitement d image
TP SIN Traitement d image Pré requis (l élève doit savoir): - Utiliser un ordinateur Objectif terminale : L élève doit être capable de reconnaître un format d image et d expliquer les différents types
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailSYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS. fil. L œil sur la sécurité
L œil sur la sécurité SYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS fil SYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS fil AVANTAGES Protège votre maison et donne plus de sécurité à votre famille. La sécurité est une valeur fondamentale pour
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détail«Je tiens tout d abord à adresser mes plus sincères remerciements à Monsieur Jacques Terrasse, directeur régional Rhône-Alpes Sud (Dexia Crédit
«Je tiens tout d abord à adresser mes plus sincères remerciements à Monsieur Jacques Terrasse, directeur régional Rhône-Alpes Sud (Dexia Crédit Local), pour sa disponibilité, ses conseils et son aide tout
Plus en détailNOTA : article L.3221-11-1 pour les départements et article L.4231-8-1 pour les régions.
L ordonnance n 2005-645 du 6 juin 2005 relative aux procédures de passation des marchés publics des collectivités territoriales] introduit trois nouveaux articles au code général des collectivités territoriales
Plus en détaildu marketing digital
6 e édition Grand Prix stratégies du marketing digital 2014 Présentez vos meilleurs dispositifs et réalisations online et mobile Date limite de remise de vos dossiers : le 17 janvier 2014 Contact : Cécile
Plus en détailEnsemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact
Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailStation Totale Geomax Série Zoom30
Station Totale Geomax Série Zoom30 GeoMax Profil de l entreprise GeoMax est une entreprise fort de solides positions sur L étroite collaboration qui présente à l international et le marché des technologies
Plus en détailChap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES
Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailDERAILLEUR AVANT SR / R / CH - GAMME ACTUELLE
DERAILLEUR AVANT SR / R / CH - GAMME ACTUELLE 1 - SPÉCIFICITÉS TECHNIQUES 55 2 - COMPATIBILITÉ (GAMME ACTUELLE) ATTENTION! Les associations différentes de celles figurant dans le tableau pourraient entraîner
Plus en détailAssemblée Générale. Paul du Saillant. Priorités 2012. 11 mai 2012
Assemblée Générale Paul du Saillant Priorités 2012 11 mai 2012 Une stratégie au service de la mission d Essilor : améliorer la vision partout dans le monde INNOVATE INNOVER DEVELOPPER CROÎTRE GROW STIMULATE
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION PÉDAGOGIQUE 2015-2016
1 UNIVERSITÉ PIERRE & MARIE CURIE LABORATOIRE DE PROBABILITÉS ET MODÈLES ALÉATOIRES Adresse Postale : 4, Place Jussieu Boîte courrier 188 75252 PARIS CÉDEX 05 Téléphone : 01.44.27.53.20. - Télécopie :
Plus en détailFormation Bâtiment durable-energie Cycle 2013
Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013 Production d'électricité renouvelable : énergie solaire photovoltaïque et éolienne Ing. Jérémie DE CLERCK Service du Facilitateur Bâtiment Durable Spécialiste
Plus en détailECE : Les couleurs d un écran LCD
1S Thème : Observer ECE : Les couleurs d un écran LCD DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Compétences exigibles du B.O. Tâches à réaliser par le candidat Compétences évaluées Coefficients respectifs
Plus en détailTP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT
TP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT Introduction : Certaines substances, lorsqu on les frotte, sont susceptibles de provoquer des phénomènes surprenants : attraction de petits corps légers par une règle
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailTotem Digital LED 50 pouces touten-un
Totem Digital LED 50pouces touten-un EP5012-L Le totem digital 50pouces EP5012-L est une solution tout-en-un autonome d'une conception compacte et élégante. Ce modèle affiche des annonces très attrayantes
Plus en détailFiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie
ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13
Plus en détailLes techniques de multiplexage
Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe
Plus en détailLe boulon d ancrage sert à fixer les pattes d attache des panneaux de coffrage pour murs alignés d un seul côté.
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Le coffrage une face Rédaction : Adrian Vonlanthen / Etudiant ETC 3 Date : 7 octobre 2008 Système d ancrage et de stabilisation Les systèmes
Plus en détailNetbook Asus 1000H / Samsung NC10 et Ecran 3D ZALMAN
Netbook Asus 1000H / Samsung NC10 et Ecran 3D ZALMAN Les Netbooks par Daniel Chailloux et Jacques Claverie Récemment de nouveaux ordinateurs portables ont vu le jour. Ils font partie de la famille des
Plus en détailSystème 260. Système 260 Contrôle de processus. Caractéristiques clés. Logiciels Typiques
Système 260 Contrôle de processus La technologie novatrice de ce produit vous offrirait non seulement une analyse immédiate de systèmes mais aussi elle met en valeur leurs capacités. Étant à l avant-garde
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailTHEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT. Objectifs
Architecture Matérielle des Systèmes Informatiques. S1 BTS Informatique de Gestion 1 ère année THEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT Dossier 1 L environnement informatique. Objectifs Enumérer et
Plus en détailApproche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable
Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000
Plus en détail04 NoteCart. 10 NoteCart Simple. 15 NoteLocker SOMMAIRE. Équipements standards p.07 Équipements en option p.08 Références produits p.
SOMMAIRE 04 NoteCart Équipements standards p.07 Équipements en option p.08 Références produits p.28 10 NoteCart Simple Équipements standards p.13 Équipements en option p.14 Références produits p.30 15
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailFAG Detector II le collecteur et l analyseur de données portatif. Information Technique Produit
FAG II le collecteur et l analyseur de données portatif Information Technique Produit Application La maintenance conditionnelle Principe de fonctionnement Application Le FAG II est, à la fois, un appareil
Plus en détailSommaire Table des matières
Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape
Plus en détailGUIDE DE TRAITEMENT DES RECLAMATIONS CLIENT
REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier toutes les entreprises qui ont bien voulu nous faire part de leurs témoignages. Nous remercions le CERVIA pour nous avoir fourni des contacts indispensables à l établissement
Plus en détailFilière Master Sciences et Techniques
Département: CHIMIE Filière Master Sciences et Techniques «Management de la Qualité, de la Sécurité et de l environnement «MQSE» Coordonnateur Pr : AADIL Mina Objectif de la formation E. mail: minaaadil@y
Plus en détailCOMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques
ÉCOLE POLYTECHNIQUE FILIÈRE MP Option Physique et Sciences de l Ingénieur CONCOURS D ADMISSION 2010 COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR (Durée : 4 heures) L utilisation des calculatrices
Plus en détailSurf 3. Design Patrick DUBOIS
Surf 3 Design Patrick DUBOIS Le système SURF 3 permet la création d'un espace supplémentaire de rangement de proximité qui libère le plan de travail et contribue à optimiser l'utilisation des surfaces.
Plus en détailEquation LIDAR : exp 2 Equation RADAR :
Contexte scientifique Systèmes LIDAR/RADAR Equation LIDAR : exp Equation RADAR : p (r) : puissance rétrodiffusée r : altitude ou profondeur. C : constante instrumentale. β : coefficient de rétrodiffusion
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailLes attentes des consommateurs sont-elles satisfaites?
Les attentes des consommateurs sont-elles satisfaites? Point de vue européen Intro Prise en compte des intérêts des consommateurs, par les autorités publiques, n est pas récente, même si différences importantes
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTECHNOLOGIE D'AFFICHAGE SUR ÉCRAN TACTILE GUIDE DÉTAILLÉ
TECHNOLOGIE D'AFFICHAGE SUR ÉCRAN TACTILE GUIDE DÉTAILLÉ QU'EST-CE QU'UN ÉCRAN TACTILE CAPACITIF? Motif de linéarité des électrodes Un panneau d'écran tactile capacitif est recouvert d'un matériau qui
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailÉlan d ouverture. 30 fois plus rapide qu un battement de cil : ABB simule l extrême dans un disjoncteur CCHT
30 fois plus rapide qu un battement de cil : ABB simule l extrême dans un disjoncteur CCHT Daniel Ohlsson, Jakub Korbel, Per Lindholm, Ueli Steiger, Per Skarby, Christian Simonidis, Sami Kotilainen L une
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2008 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE POUR CAMPING-CAR
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SÉRIE SCIENCES ET TECHNIQUES INDUSTRIELLES GÉNIE ÉLECTROTECHNIQUE SESSION 2008 ÉPREUVE: ÉTUDE DES CONSTRUCTIONS Durée: 4 heures Coefficient : 6 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE
Plus en détailIMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB
IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques
Plus en détailPrésentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux
Présentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux SOMMAIRE Présentation générale de notre gamme Plans des différents modules Spécifications techniques Vues
Plus en détailContenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailB2i. Brevets Nouvelles Technologies. Brevet n 1. Brevet n 16. Ecole primaire de Boz Ec-Elementaire-Boz@ac-lyon.fr http://ecole.marelle.
Extrait du Bulletin Officiel du 23-11-2000 La rapide évolution des technologies de l'information et de la communication a engendré au cours de ces dernières années une progression notable des applications
Plus en détailPlan d études. Traitement visuel 2D. Techniques d intégration multimédia 582-105-HU. http://pedago.cegepoutaouais.qc.ca/media/ma legault/2d/ 1-2-2
Plan d études Techniques d intégration multimédia Traitement visuel 2D 582-105-HU 1-2-2 Enseignant : Mathieu Legault Courriel : malegault@cegepoutaouais.qc.ca Téléphone : 770-4012 # 2480 Bureau : 2.535
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailExemples de Projets SAFI
Exemples de Projets SAFI Analyse sismique simplifiée (CNB-95) Société Informatique SAFI Inc. 3393, chemin Sainte-Foy Ste-Foy, Québec, G1X 1S7 Canada Contact: Rachik Elmaraghy, P.Eng., M.A.Sc. Tél.: 1-418-654-9454
Plus en détailIntroduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.
Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel
Plus en détailTER Licence 3 Electronique des Télécoms Transmission GSM
Université de Savoie Module TER (Travaux d études et réalisation) TER Licence 3 Electronique des Télécoms Transmission GSM Note : L ensemble des documents du projet se trouve sur l espace étudiant du site
Plus en détail1AN. e n 19" FicheS Techniques. PLV - Dynamique. caractéristiques techniques. dimensions dela structure
Démarrage automatique du contenu audio et vidéo haut-parleurs integrés Totem métal pliable et transportable Ecran 19 4/3 Habillage quadri numérique sur panneaux aimantés inclus. Couleur : noir Poids :
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailAnalyse en Composantes Principales
Analyse en Composantes Principales Anne B Dufour Octobre 2013 Anne B Dufour () Analyse en Composantes Principales Octobre 2013 1 / 36 Introduction Introduction Soit X un tableau contenant p variables mesurées
Plus en détailCONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL
5 COM ITH/10/5.COM/CONF.202/INF.7 Paris, le 27 octobre 2010 Original : anglais/français CONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE
Plus en détailTRAITEMENT DE DONNÉES
Local Area Net works (LAN) SERVEURS CENTRES DE TRAITEMENT DE DONNÉES DISPOSITIFS POUR LES TÉLÉCOMMU- NICATIONS e-business (Parcs de serveurs, ISP/ASP/POP) API INDUSTRIELS DISPOSITIFS ÉLECTRO- MÉDICAUX
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détailSOMMAIRE... 1 ESPACE DU CLUB...
Documentation Extraclub Page 1/11 Sommaire SOMMAIRE... 1 ESPACE DU CLUB... 2 INTRODUCTION... 2 Bien utiliser la gestion du club... 2 Termes utilisés dans cet espace... 2 Par quoi commencer?... 2 L onglet
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailLes calottes polaires Isostasie Champ de température
1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité
Plus en détailConcours de création
Concours de création du visuel de la 6 e édition du Master U BNP PARIBAS DEMANDE INITIALE Le Comité Régional du Sport Universitaire de Haute-Normandie souhaite communiquer sur cet événement international
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailÉlectricité statique. Introduction. Quelques étapes historiques importantes
Électricité statique Introduction L'électricité statique peut apparaître comme peu importante de nos jours en regard de l'électrodynamique mais cette dernière a été précédée historiquement par l'observation
Plus en détail