os 10 produits à votre service
|
|
- Jean-Baptiste Jolicoeur
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 os 10 produits à votre service Solutions de sécurité pour votre industrie
2 1. Procédure d évaluation de la conformité CE La Directive Machines décrit le cadre légal pour l évaluation de la conformité CE. La dernière version de cette Directive (2006/42/CE), en vigueur depuis fin 2009, comporte de nouvelles procédures, offrant plus de devoirs, mais également plus de possibilités. En fonction du type de la machine, la Directive Machines préconise des procédures obligatoires différentes pour l'évaluation de leur conformité CE. Exemple : aux machines les plus dangereuses, listées dans une annexe de la Directive Machines, s applique une procédure d homologation CE particulière. Nos consultants en sécurité vous assisteront durant chaque étape du processus de l homologation CE comme p.ex. - l identification de la procédure à suivre - l identification des normes en vigueur - la constitution du dossier technique
3 2. Appréciation du risque selon EN Les résultats de l appréciation du risque doivent être pris en considération dès le processus de développement de la machine pour toutes ses phases de vie et modes opératoires. L appréciation du risque lors de la conception est ainsi un processus itératif et non plus uniquement une analyse de risque à un instant donné. Le fabricant d'une machine ou son mandataire doit veiller à ce qu'une appréciation du risque soit effectuée afin de déterminer les exigences de santé et de sécurité qui s'appliquent à la machine. La machine doit ensuite être conçue et construite en prenant en compte ces résultats. Par le processus itératif d'appréciation du risque le fabricant ou son mandataire : détermine les limites de la machine, comprenant son usage - normal et mauvais - raisonnablement prévisible, recense les dangers pouvant découler de la machine et les situations dangereuses associées, estime les risques selon la sévérité d'une éventuelle blessure ou atteinte à la santé et de leurs probabilités, évalue les risques pour déterminer si une réduction du risque est nécessaire, conformément à l'objectif de la présente Directive.
4 3. Propositions pour la réduction du risque Lors de la phase de conception de la machine ou de l installation, il est essentiel de réduire les risques afin de pouvoir les éliminer. Une solution efficace consiste à modifier la conception ou le processus de travail de la machine. Ce processus de réduction des risques peut s avérer difficile voir impossible. Il faut alors garantir la conformité aux exigences en appliquant les normes harmonisées adaptées sur lesquelles est basée la Directive Machine. Au cours de ce processus d'appréciation des risques, la conclusion peut être la nécessité de la réduction des risques, dans ce cas, il faudra établir une stratégie de réduction des risques. Schmersal vous propose des solutions techniques pour la réduction de risque en respectant l ordre défini par la EN ISO 12100: 1. Mesures de conception intrinsèques 2. Protections et mesures de protection complémentaires 3. Information d utilisation (signes, marquages, manuels)
5 4. Elaboration d un concept de sécurité Une des tâches principales des consultants de sécurité consiste à fournir des réponses rapides et qualifiées aux questions des clients : - Quelle solution de sécurité faut-il utiliser? - Comment l'intégrer dans le système de contrôle-commande de la machine? - Comment configurer les systèmes de sécurité électroniques programmables? Pour répondre à ces questions nos consultants de sécurité sont à même de vous aider. Ils réalisent les différentes tâches suivantes - Détermination des fonctions de sécurité en accord avec les impératifs de production et d ergonomie (p.ex. ouverture d une porte, fonction d arrêt d urgence, fonction d inhibition, fonction de validation, ) - Choix de composants de sécurité (p.ex. interverrouillage, arrêt d urgence, barrière immatérielle, bouton homme mort, module de sécurité, ) - Conseils dans la réalisation des interfaces relatives à la sécurité (électriques, hydrauliques, pneumatiques, ) - Analyse des modes de défaillances des composants relatifs à la sécurité («AMDEC») Nos suggestions respectent vos exigences d ergonomie et de productivité.
6 5. Mesure du temps d arrêt Dans de nombreux domaines de la sécurité des machines, le temps d'arrêt des mouvements dangereux est un paramètre important. Il doit être calculé pour toute machine sujette à des mouvements dangereux et d inertie d'arrêt. Dans ce cas, il faut s'assurer que l'interverrouillage de sécurité maintienne le protecteur verrouillé jusqu'à l'arrêt complet du mouvement dangereux. La maîtrise du temps d'arrêt est également importante pour les dispositifs de protection optoélectroniques. Dans ce cas, la distance entre le dispositif de protection et le mouvement dangereux doit être calculée. En pratique, le temps d'arrêt peut évoluer au cours de la vie de la machine en raison de l'usure mécanique ou de l'utilisation d'un autre outillage. L'opérateur risque alors de ne plus être efficacement protégé. Pour empêcher cette situation, il convient d'effectuer régulièrement des mesures lors du fonctionnement de la machine. Le Groupe Schmersal propose ce service de mesure du temps d arrêt sur les installations nouvelles ou existantes.
7 6. Détermination du PL atteint selon EN La norme EN exige de calculer et de documenter les probabilités de défaillances dangereuses de tous les circuits relatifs à la sécurité. Ce calcul doit prouver que les niveaux de performance PL atteint par le concept de sécurité choisi est supérieur ou égal au PL requis dans l appréciation du risque. Les consultants de sécurité SCHMERSAL prennent en charge : - La détermination du schéma fonctionnel relatif à la sécurité pour tous les modes opératoires. - La détermination des fonctions relatives à la sécurité. - La détermination du schéma relatif à la sécurité selon EN pour tous les modes opératoires. - Le calcul des niveaux de performance PL atteint pour tous les modes opératoires. - La modélisation, le calcul et la rédaction d un rapport à l aide du logiciel SISTEMA.
8 7. Vérification et validation La vérification fonctionnelle prouve et garantit que le système de sécurité mis en œuvre satisfait aux exigences de la norme et établit la pertinence de la fonction de sécurité. La vérification doit être menée en continu pendant le processus de mise en œuvre. Toutes les fonctions de sécurité doivent être vérifiées pour garantir la réduction du risque conformément aux exigences établies lors de l appréciation du risque. La conception des parties de contrôle commande relatives à la sécurité doit être validée. La validation doit démontrer que chaque fonction de sécurité satisfait à toutes les recommandations applicables de la norme EN
9 8. Etablissement du dossier technique La Directive Machine CE exige la constitution d un dossier technique, afin de démontrer la conformité de la machine aux exigences de la présente Directive. Il doit couvrir la conception, la fabrication et le fonctionnement de la machine. Pour une machine, le dossier technique doit être mis à disposition des autorités compétentes pendant la période légale. Les quasi-machines sont soumises à établissement d un dossier technique différent mais tout aussi obligatoire pour leur marquage CE. Chaque machine doit être accompagnée d'une notice d'instructions dans la langue officielle de la CE dans lequel la machine est mise sur le marché. La notice d'instructions doit fournir toutes les informations utiles et nécessaires à la bonne utilisation de la machine pendant tous ces modes opératoires et toutes ses phases de vie. La non présentation du dossier technique pourrait constituer une raison suffisante pour douter de la conformité CE de la machine en question. Nos consultants de sécurité se chargent de rassembler les documents émis, vérifiés et validés au cours de l'étude, puis rédigent et mettent en forme le dossier technique.
10 9. Rédaction de la déclaration de conformité CE La finalité principale du Safety Consulting est d assister nos clients pour obtenir la déclaration de conformité CE. La Directive Machines décrit le chemin à suivre par le constructeur de machines afin d apposer le marquage CE. La dernière version de la Directive Machines 2006/42/CE en vigueur depuis fin 2009, comporte de nouvelles obligations pour les fabricants d équipements. Pour une Machine : La rédaction de la déclaration CE de conformité obéit à des exigences légales et formelles. Pour une Quasi-machine : La rédaction de la déclaration d'incorporation répond à d autres points de la Directive Machine mais reste tout aussi obligatoire pour la mise en service de la quasi-machine. Toute erreur ou manquement pourrait conduire à la nullité des documents émis et faire perdre du temps de mise sur le marché au fabricant de la machine.
11 10. Marquage CE Nos consultants de sécurité sont à même de vous assister dans toute la procédure d application des initiales "CE" selon la Directive Machines 2006/42/CE L application du marquage CE sur une machine obéit à des règles strictes. Un manquement malheureux d éléments obligatoires pourrait conduire à une remise en cause la conformité CE. Notre expertise vous assure le plein succès dans cette étape finale.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailLignes directrices concernant les contrôles à l importation dans le domaine de la sécurité et de la conformité des produits
COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE FISCALITÉ ET UNION DOUANIÈRE Sécurité et sûreté, facilitation des échanges et coordination internationale Protection des citoyens et application des DPI Lignes
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailRISQUES PROFESSIONNELS RISQUES MÉCANIQUES
Hygiène Industrielle - Santé au Travail RISQUES PROFESSIONNELS Ingénieurs en Sécurité Industrielle RISQUES MÉCANIQUES I - OÙ SONT PRÉSENTS LES RISQUES MÉCANIQUES?... 1 II - QUELS SONT LES RISQUES?... 2
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailValidation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel)
Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel) Traduction non officielle du document Réponses et décisions de EK-Med 3.9 B 18 publié sur le site Web de l organisme
Plus en détailMECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) Électromécanique
AU 2 e ETUDES SUPERIEURES EN RELATION DIRECTE MECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) 3 e degré Technique de Qualification Électromécanique 7TQ Mécanicien(ne) des moteurs diesels et engins hydraulique
Plus en détailLA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION
INTERNATIONAL CONFEDERATION OF INSPECTION AND CERTIFICATION ORGANISATIONS LA VALEUR AJOUTEÉ DE LA TIERCE PARTIE EN INSPECTION ET CERTIFICATION QUI SOMMES NOUS ET QUE FAISONS NOUS? CEOC international est
Plus en détailCADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL
CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL Coopératives de services financiers Publication initiale : Décembre 2007 Mise à jour : TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction... 3 2. Principes généraux...
Plus en détailGuide Sécurité des machines
Guide Sécurité des machines Six étapes pour une machine sûre Six étapes pour une machine sûre Sommaire Sommaire Six étapes pour une machine sûre Six étapes pour une machine sûre Lois, directives, normes
Plus en détailPROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834
1 PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN 2 SYNTHESE DES REVISIONS Révision 0 : Révision 1 : édition originale de la procédure modification du paragraphe 3.3.1 c) : critères pour évaluation des coordonnateurs
Plus en détailMarquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés
Marquage CE Mode d emploi Août 2014 SOMMAIRE : I. Les produits concernés II. Les acteurs concernés a. Le fabricant b. Le mandataire c. L importateur d. Le distributeur III. La mise en conformité des produits
Plus en détailLe marquage CE vous ouvre les portes du marché européen!
Le marquage CE vous ouvre les portes du marché européen! Commission européenne Entreprises et industrie Table des matières Qu est-ce que le marquage CE? Qu est-ce que le marquage CE? 3 Obligations légales
Plus en détailSécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies
Sécurité des machines CE neuves Grille de détection d anomalies ED 4450 Document uniquement téléchargeable sur www.inrs.fr Afin de ne pas exposer les opérateurs à des risques d accident ou de maladie professionnelle,
Plus en détailManuel d utilisation pour la Presse à Transfert Grand Format Pneumatique Double Poste
Manuel d utilisation pour la Presse à Transfert Grand Format Pneumatique Double Poste GF-8060P2A N de série de l appareil : ZI des Chanoux - 25, rue Louis Ampère 93330 Neuilly-sur-Marne FRANCE Tél. : +33
Plus en détailInstruction de montage avec notice d'utilisation et données techniques
BA 4.3 - M/NSK Boîtier de fin de course type NSK et MSK Instruction de montage avec notice d'utilisation et données techniques selon la directive CE relative à la basse tension 73/23/CEE selon la directive
Plus en détailLE LIVRE BLANC. Pour véhicules Légers (autos, motos et 4x4) et Utilitaires Légers (camionnettes)
Pour véhicules Légers (autos, motos et 4x4) et Utilitaires Légers (camionnettes) Edition 2012 Règlements HOMOLOGATION PAR TYPE (Critères de sécurité d utilisation du pneu) Directive 92/23/CEE (31/03/92)
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailGI.BI.DI. BENELUX NV. Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos
Paddegatstraat 51 B-1880 Kapelle o/d Bos Installateur: (Nom, adresse, téléphone) GUIDE UNAC N. 4 POUR LA MOTORISATION DE PORTES SECTIONNELLES POUR GARAGES CONFORMEMENT A LA DIRECTIVE MACHINES 98/37/CE
Plus en détailMoyen acceptable de de conformité. Performances des freins d immobilisation SAM F 007
Document technique Matériel Moyen acceptable de de conformité SAM F 007 Applicable sur : RFN Edition du 04/07/2012 Version n 1 du 04/07/2012 Applicable à partir du : 04/07/2012 Remplace : IN 2851 (version
Plus en détailI OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISSION PARITAIRE NATIONALE DE L'EMPLOI DE LA METALLURGIE Qualification : 1989 05 54/88 0030 Catégorie : B Dernière modification : 18/04/2012 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Assistance en gestion
Plus en détailLes organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives
Les organismes notifiés et les dispositifs médicaux : du constat aux perspectives Fabien Roy 1 Dans l Union européenne, les dispositifs médicaux sont gouvernés par trois directives qui sont destinées à
Plus en détailE/ECE/324/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4 E/ECE/TRANS/505/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4
6 décembre 2012 Accord Concernant l adoption de prescriptions techniques uniformes applicables aux véhicules à roues, aux équipements et aux pièces susceptibles d être montés ou utilisés sur un véhicule
Plus en détailNotice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)
IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailGuide de configuration d'une classe
Guide de configuration d'une clae Viion ME Guide de configuration d'une clae Contenu 1. Introduction...2 2. Ajouter de cour...4 3. Ajouter de reource à une leçon...5 4. Meilleure pratique...7 4.1. Organier
Plus en détailRayonnages. Guide de bonnes pratiques en matière de sécurité au travail. Inspection & Entretien
Guide de bonnes pratiques en matière de sécurité au travail Rayonnages Inspection & Entretien De l'inspection par les experts au remplacement des pièces de rayonnages défectueuses selon la norme DIN EN
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailSûreté de fonctionnement. Cyber-sécurité et sécurité informatique Similitudes d approche avec la sécurité fonctionnelle
Sûreté de fonctionnement Cyber-sécurité et sécurité informatique Similitudes d approche avec la sécurité fonctionnelle Sommaire Evolution des réseaux industriels et conséquences Modèle de prévention selon
Plus en détailMOBILITÉ 2014. Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu
MOBILITÉ 2014 Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu ASSURER LA MOBILITÉ DE DEMAIN L ACA ET LA FIA DEMANDENT AUX DÉCIDEURS EUROPÉENS : d assurer le développement cohérents de la «voiture connectée»,
Plus en détailREGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION
Plus en détailCOMMISSION EUROPÉENNE ENTREPRISES ET INDUSTRIE. Guide pour l application de la directive «Machines» 2006/42/CE
COMMISSION EUROPÉENNE ENTREPRISES ET INDUSTRIE Guide pour l application de la directive «Machines» 2006/42/CE 2 e édition Juin 2010 Présentation de la deuxième édition La directive 2006/42/CE est une
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailMARQUAGE CE POUR MACHINES
MARQUAGE CE POUR MACHINES Actualisé suite à la refonte de la Directive machines version 2006/42/CE du 17 mai 2006, paru au Journal officiel de l UE n L 157 du 9 juin 2006. Rectification publiée au Journal
Plus en détailPhase 2 : Mettre en œuvre. Gestion des projets. Gestion documentaire. Gestion du changement. R Collomp - D Qualité D 2 Ges4on documentaire
Phase 2 : Mettre en œuvre Gestion des projets Gestion Gestion du changement Gestion Plusieurs documents dans un organisme : Documentation technique Documentation sociale Documentation commerciale Documentation
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détailGestion des Incidents SSI
Gestion des Incidents SSI S. Choplin D. Lazure Architectures Sécurisées Master 2 ISRI/MIAGE/2IBS Université de Picardie J. Verne Références CLUSIF Gestion des incidents de sécurité du système d information
Plus en détailSYNTHESE D INSPECTIONS
Direction de l Inspection et des Etablissements Département Inspection en Contrôle du Marché Unité Inspection des dispositifs médicaux SYNTHESE D INSPECTIONS THEME : Prothèses Dentaires Il importe de souligner
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailManuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain
Manuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain Mentions légales: GIFAS-ELECTRIC GmbH CH-9424 Rheineck www.gifas.ch Sous réserve d'erreurs et de modifications techniques. Ce manuel est propriété
Plus en détailI. Définitions et exigences
I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type
Plus en détailISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité
NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 19770-1 Deuxième édition 2012-06-15 Technologies de l information Gestion des actifs logiciels Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité Information technology
Plus en détailJournal officiel de l'union européenne
L 157/24 DIRECTIVE 2006/42/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 17 mai 2006 relative aux machines et modifiant la directive 95/16/CE (refonte) (Texte présentant de l'intérêt pour l'eee) LE PARLEMENT
Plus en détailMonte escalier à siège ou pour chaise roulante. sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond
GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Luxembourg, le 10 février 2006 ITM-CL 317.1 Monte escalier à siège ou pour chaise roulante sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond Prescriptions de sécurité types
Plus en détailLa cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE
La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE Définitions Successivement la cartographie a été: L'Art de dresser les
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e SÉCURITÉ DES JOUETS
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 1929 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 120 110 1522 juillet mai 2009 2013 S o m m a i r e SÉCURITÉ DES
Plus en détailPage 1. Le Plan de Prévention
Page 1 Le Plan de Prévention 01 LA REGLEMENTATION Rappel : Le document Unique d Evaluation des Risques Dans toute entreprise, le chef d entreprise a pour obligation d assurer la sécurité et la santé de
Plus en détailNotice d'utilisation originale Safety Standstill Monitor Contrôleur d'arrêt de sécurité DA101S 7390872 / 00 05 / 2013
Notice d'utilisation originale Safety Standstill Monitor Contrôleur d'arrêt de sécurité DA101S FR 7390872 / 00 05 / 2013 Contenu 1 Remarque préliminaire 4 1.1 Symboles utilisés 4 2 Consignes de sécurité
Plus en détailEntente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)
Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailREF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3
Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement
Plus en détailSystèmes d entraînement \ Systèmes d automatisation \ Intégration de systèmes \ Services. Manuel. MOVITRAC LTP B Sécurité fonctionnelle
Systèmes d entraînement \ Systèmes d automatisation \ Intégration de systèmes \ Services Manuel MOVITRAC LTP B Sécurité fonctionnelle Version 10/2013 20225768 / FR SEW-EURODRIVE Driving the world Sommaire
Plus en détailSources. la Newsletter. Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012
Sources 8 la Newsletter Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012 Edito Thierry Platz, Gérant Norme EN 1433 Conformité, sécurité des caniveaux hydrauliques et responsabilité pénale. NORME
Plus en détailAdministration en Ligne e-démarches. Console du gestionnaire. Guide utilisateur. Aout 2014, version 2.1
Administration en Ligne e-démarches Console du gestionnaire Guide utilisateur Aout 2014, version 2.1 Table des matières 1. INTRODUCTION... 3 2. LES MENUS... 4 2.1. Mon organisation / Informations... 5
Plus en détailCONVENTION ASSURANCE QUALITÉ (QAA) FONCTION NÉGOCIANT
1. Préambule 1.1 Généralités La présente convention d assurance qualité (QAA) définit les exigences posées aux fournisseurs REHAU en matière d assurance qualité. La QAA REHAU constitue des règles destinées
Plus en détailBrevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE
Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE l ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE Direction de l enseignement supérieur Service des contrats et
Plus en détailANNEXE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME. Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5
ANNEE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5 RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES 1. Définition La mention complémentaire Maintenance
Plus en détailLA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT
LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT 1 - AVANTAGES DE LA GMAO ACCEDER POUR ENSEIGNER 2 - GENERALITES POUR L EXPLOITATION EN BAC PRO ET BTS 3 LA GMAO ET LE NOUVEAU REFERENTIEL BTS 2014 MAINTENANCE
Plus en détailService HP Support Plus Services contractuels d assistance clientèle HP
Service HP Support Plus Services contractuels d assistance clientèle HP Des services complets pour matériel et logiciels vous permettent d améliorer la disponibilité de votre infrastructure informatique.
Plus en détailINITIATIVE DE LA CEDEAO SUR LES NORMES ET ETIQUETTES
INITIATIVE DE LA CEDEAO SUR LES NORMES ET ETIQUETTES TERMES DES REFERENCES Pour Le développement des Normes Minimales de Performance Energétique pour les Climatiseurs et Réfrigérateurs dans la Région CEDEAO
Plus en détailSurveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"
Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.
Plus en détailisrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle
isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle 2 isrs 7 : pour la santé de votre entreprise Pour répondre à l accroissement des multiples exigences de vos Parties Intéressées,
Plus en détailLEXIQUE. Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr. NF EN ISO 9000 octobre 2005
LEXIQUE DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) Extraits du document AFNOR (Association Française de Normalisation) www.afnor.fr NF EN ISO 9000 octobre 2005 DEFINITIONS NORMALISEES (ISO 9000) - GENERAL ISO
Plus en détailSIRIUS Safety Integrated. Système de sécurité modulaire 3RK3
Exemple fonctionnel CD-FE-I-046-V10-FR SIRIUS Safety Integrated Système de sécurité modulaire 3RK3 ARRÊT D URGENCE et surveillance de protecteur mobile avec verrouillage (par ressort) de catégorie 3 suivant
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailLes responsabilités des professionnels de santé
Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailInterface Quad Disque Dur Externe. Guide utilisateur Français
Interface Quad Disque Dur Externe Guide utilisateur Français 1 Sommaire Introduction 3 Commandes, branchements et indicateurs 3 Face avant 3 Face arrière 3 A propos du disque dur 4 Placement du disque
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détailL application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures d autorisation préalable
COMMISSION EUROPÉENNE Direction générale des entreprises et de l industrie Document d orientation 1 Bruxelles, le 1 er février 2010 - L application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures
Plus en détailI OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISSION PARITAIRE NATIONALE DE L'EMPLOI DE LA METALLURGIE Qualification : 1997 03 42 69 0156 Catégorie : C* Dernière modification : 10/09/2009 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Chargé (e) de travaux
Plus en détailFood Safety System Certification 22000. fssc 22000
Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole
Plus en détailKeContact P20-U Manuel
KeContact P20-U Manuel Remarques générales à propos de ce manuel Ce manuel contient des informations et des mises en garde sur les dangers potentiels. La signification des symboles utilisés est la suivante
Plus en détailAborder la norme NF EN ISO 13849-1 via la conception d une fonction de sécurité basique NS 302 NOTE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
Aborder la norme NF EN ISO 13849-1 via la conception d une fonction de sécurité basique NS 302 NOTE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Aborder la norme NF EN ISO 13849-1 via la conception d une fonction de sécurité
Plus en détailRÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE
RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailConditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE
DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010
Plus en détailR E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES
R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES A PROPOS DE NOUS Conscio Technologies développe des solutions complètes de formation et de communication afin de
Plus en détailNOTICE DE MISE EN SERVICE
NOTICE DE MISE EN SERVICE Dispositif de Surpression à Variation, pompe de 2,2kW 1. GENERALITES Avant de procéder à l installation, lire attentivement cette notice de mise en service. CONTROLE PRELIMINAIRE
Plus en détailLa règlementation autour du cadeau d affaire et promotionnel
La règlementation autour du cadeau d affaire et promotionnel Le cadeau d affaires et l objet promotionnel n échappent pas à la règlementation fiscale. Qu il s agisse d un cadeau de fin d année pour un
Plus en détailNotice d utilisation Cafetère isotherme programmable CL-ISPR12X - 938896 FR-1. Version 2013.08.27
Notice d utilisation Cafetère isotherme programmable CL-ISPR12X - 938896 FR-1 Version 2013.08.27 INSTRUCTIONS DE SÉCURITÉ Cet appareil peut être utilisé par des enfants à partir de 8 ans et par des personnes
Plus en détailMISE EN CONFORMITE DES CONTRATS DE PREVOYANCE, SANTE ET RETRAITE SUPPLEMENTAIRE
MISE EN CONFORMITE DES CONTRATS DE PREVOYANCE, SANTE ET RETRAITE SUPPLEMENTAIRE MISE EN CONFORMITE DES CONTRATS DE PREVOYANCE, SANTE ET RETRAITE SUPPLEMENTAIRE - Sommaire 2 SOMMAIRE PAGES MISE EN CONFORMITE
Plus en détailSont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur;
Arrêté royal du 4 décembre 2012 concernant les prescriptions minimales de sécurité des installations électriques sur les lieux de travail (M.B. 21.12.2012) Section I er. - Champ d'application et définitions
Plus en détailPréambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2
Charte professionnelle visant à organiser et assurer l hygiène et la sécurité des salariés en situation de coactivité pendant les opérations de montage et de démontage des manifestations commerciales Préambule....
Plus en détailRÈGLES DU JEU DISPOSITIONS COMMUNES AUX DISCIPLINES. Point 1 : Ancien article 4. Matériel et équipement
Modifications des règles sportives Saison sportive 2014/2015 ski-alpinisme Département Compétition - Pour une mise en application au 1 er novembre 2014 RÈGLES DU JEU DISPOSITIONS COMMUNES AUX DISCIPLINES
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailCircuit du médicament informatisé
Circuit du médicament informatisé Points de vigilance axe technique SOMMAIRE... 1 FICHE N 1- DISPONIBILITE ET PERFORMANCE... 2 FICHE N 2- ENVIRONNEMENT DE TEST... 4 FICHE N 3- VERSIONNING... 5 FICHE N
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailGuide d Utilisation :
Guide d Utilisation : Fauteuil élévateur pour escalier droit E120 / D160 SOMMAIRE Ce monte escalier est conçu pour être utilisé par une personne seulement lors des déplacements. Une mauvaise utilisation
Plus en détailGE Security. KILSEN série NK700 Centrale de détection et d alarme Incendie conventionelle. Manuel d utilisation
GE Security KILSEN série NK700 Centrale de détection et d alarme Incendie conventionelle Manuel d utilisation g ination imag at work Kilsen is a brand name of GE Security. www.gesecurity.net COPYRIGHT
Plus en détailProposition de directive relative au timeshare 1
Proposition de directive relative au timeshare 1 - Avis de l ULC - Les sollicitations et engagements de timeshare concernant les consommateurs luxembourgeois s effectuent essentiellement à l étranger d
Plus en détailMV Consulting. ITIL & IS02700x. Club - 27001- Toulouse Sébastien Rabaud Michel Viala. Michel Viala
MV Consulting Michel Viala ITIL & IS02700x Club - 27001- Toulouse Sébastien Rabaud Michel Viala ITIL & ISO2700x : Présentation Intervenants Michel VIALA : Consultant ITIL confronté à la prise en compte
Plus en détailMise au point sur LA MAINTENANCE DES DISPOSITIFS MEDICAUX. Octobre 2011. www.afssaps.fr. Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé
Octobre 2011 Mise au point sur LA MAINTENANCE DES DISPOSITIFS MEDICAUX Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé 143-147 boulevard Anatole France F-93285 Saint-Denis Cedex www.afssaps.fr
Plus en détailLA GESTION DE LA RELATION CLIENT
Conquérir un prospect coûte beaucoup plus cher que de fidéliser un client. C est la raison pour laquelle un grand nombre d entreprises orientent leur stratégie autour des services proposés à leurs clients.
Plus en détailRappelons d abord l événement dans ses grandes lignes.
Étude de cas : Hydro-Québec et la tempête de verglas par Steve Flanagan Présenté au colloque «Les communications en temps de crise» Organisé par l Université du Québec à Montréal janvier 1999 L analyse
Plus en détailMODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK. "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme "
Organisme certificateur 11, avenue Francis Le Pressensé F 93571 SAINT-DENIS LA PLAINE CEDEX MODALITES D'APPLICATION DE LA KEYMARK "Refroidisseurs de lait en vrac à la ferme " N d identification AFAQ AFNOR
Plus en détail