Lycée franco-mexicain Cours Olivier Verdun L ART ET L ARTISANAT

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1 L ART ET L ARTISANAT «Il reste maintenant à dire en quoi l artiste diffère de l artisan. Toutes les fois que l idée précède et règle l exécution, c est industrie. Et encore est-il vrai que l œuvre souvent, même dans l industrie, redresse l idée en ce sens que l artisan trouve mieux qu il n avait pensé dès qu'il essaye ; en cela il est artiste, mais par éclair. Toujours est-il que la représentation d une idée dans une chose, je dis même d une idée bien définie comme le dessin d une maison, est une œuvre mécanique seulement, en ce sens qu une machine bien réglée d abord ferait l œuvre à mille exemplaires. Pensons maintenant au travail du peintre de portrait ; il est clair qu il ne peut avoir le projet de toutes les couleurs qu il emploiera à l œuvre qu il commence ; l idée lui vient à mesure qu il la fait ; il serait même rigoureux de dire que l idée lui vient ensuite, comme au spectateur, et qu il est spectateur aussi de son œuvre en train de naître. Et c est là le propre de l artiste. Il faut que le génie ait la grâce de nature, et s étonne lui-même. Un beau vers n est pas d abord en projet, et ensuite fait ; mais il se montre beau au poète ; et la belle statue au sculpteur à mesure qu il la fait ; et le portrait naît sous le pinceau. La muisique est ici le meilleur témoin, parce qu il n y a pas alors de différence entre imaginer et faire ; si je pense, il faut que je chante.» Alain, Système des beaux arts, livre I, chap.7. 3) Quelle est la principale différence entre un artisan et un artiste selon Alain? Comment le texte est-il organisé? 4) Pourquoi l'artisan peut-il être artiste «mais par éclairs»? Pourquoi l'artiste est-il «spectateur aussi de son œuvre en train de naître»? 5) Faut-il distinguer l artiste de l artisan? 1) Quelle est la principale différence entre un artisan et un artiste, selon Alain? Dans ce texte extrait du Système des beaux-arts, Alain se demande ce qui distingue l artiste de l artisan ou du technicien en général. L artiste et l artisan créent tous les deux des objets singuliers différents les uns des autres et doués d une personnalité; l ébéniste et le sculpteur, par exemple, accomplissent peu ou prou les mêmes gestes, en ce sens que l un et l autre s attachent à transformer une matière première dans le but de produire un objet (un meuble, une statue) dont la forme soit plaisante, ou belle, à regarder. Pour autant, l artiste ne produit pas comme l artisan: il ne possède aucune règle préalable, aucun principe qui présiderait à la création de son œuvre; il ne sait pas avant de commencer à la faire ni comment elle sera réalisée, ni ce qu'elle sera exactement à la fin, une fois terminée. Alors que le même objet artisanal, aussi réussi soit-il, peut être reproduit à l infini, l habileté de l artiste est chaque fois spécifique et donc nouvelle.

2 L'artisan, au contraire, invente mais ne crée pas : l'objet artisanal est conçu avant d'être réalisé. C'est cette différence entre les pratiques qui distingue les artistes des artisans et donc les œuvres d'art des œuvres de l'art. Le texte se déploie en deux étapes principales. La première («Il reste à dire mille exemplaires») établit que dans l industrie ou l artisanat, tout ce qui est produit est prémédité et mécanique, de sorte que l activité productive pourrait être effectuée par une machine à des milliers d exemplaires. A travers l exemple du peintre de portrait, Alain souligne ensuite («Pensons maintenant il faut que je chante») que dans l art, la règle du beau est immanente à l œuvre; le beau n'est pas prévu mais découvert par l'artiste malgré lui. D où le caractère intransmissible de l œuvre et l'impossibilité de la refaire comme telle. 2) Pourquoi l'artisan peut-il être artiste mais «par éclair»? Expliquez le passage: «l idée lui vient ensuite, comme au spectateur ( ), il est spectateur aussi de son œuvre en train de naître». Alain constate néanmoins que l artisan peut être artiste «par éclair». Le terme «éclair» indique qu il s agit d une manifestation soudaine, passagère, qui n autorise pas pour autant à confondre l art et l artisanat. Ainsi parle-ton d un éclair de génie ou de lucidité. A de rares moments, lorsque son œuvre «redresse l idée», l artisan ressemble à l artiste et entrevoit ce qui se trame dans la création artistique. Le verbe «redresser» signifie que l artisan peut être amené à effectuer des corrections, des rectifications, des améliorations au fur et à mesure qu il avance dans son travail; il s aperçoit, en cours de route, que ce qui était prévu n'est pas possible, qu'on pouvait faire autrement ou tout simplement améliorer le projet initial: «l artisan trouve mieux qu il n avait pensé dès qu il essaye». Il ne faut toutefois pas confondre création et rectification, création et production : même si l artisan infléchit son intention liminaire dans le dessein de la parfaire, sa créativité reste limitée par les exigences de la fonction que l objet artisanal doit remplir. Toutes les fois, en effet, que la fonction dicte par avance sa forme à l objet, c est industrie, production utilitaire en série. Même s il arrive à l artisan de prendre des libertés par rapport à ce qu il est censé réaliser, sa dextérité est toujours liée à la connaissance et à l application de règles préexistantes et transmissibles. C'est précisément dans cet écart entre l intention de départ et le produit final que réside la spécificité de la création artistique. Alain donne l exemple du peintre de portrait: «l idée lui vient à mesure qu il fait; il serait même plus rigoureux de dire que l idée lui vient ensuite, comme au spectateur, et qu il est spectateur aussi de son œuvre en train de naître». Le mot-clé est ici celui de «spectateur». Un spectateur est un témoin oculaire d un événement, un observateur qui assiste à un spectacle, à une manifestation, à une cérémonie. Le terme de «spectateur» suggère une distance, une extériorité entre la chose observée et l observateur. Une telle distance est du reste au fondement de la connaissance objective. Or on pourrait penser que l artiste, en sa qualité de créateur, est le mieux placé pour comprendre ce qu il fait: lui seul serait à même de dévoiler le sens de son œuvre, la source de son inspiration. Le génie serait ainsi capable de formuler des règles servant de préceptes pour communiquer à autrui ses talents. Alain affirme cependant qu il n en est rien: le créateur génial, à la différence de l artiste médiocre, ne sait pas comment ses idées se trouvent en lui. Aussi paradoxal que

3 cela puisse paraître, le peintre de portrait, contrairement à l artisan (un peintre en bâtiment, par exemple), ignore, avant de commencer, ce qu il va faire et ce que sera son œuvre une fois son travail achevé. L'idée ne précède pas le geste, mais l accompagne et ne vient qu'ensuite, comme au spectateur. Tout se passe comme si, en somme, le processus créatif échappait en partie au créateur qui se retrouve dans la même position d extériorité qu un quelconque observateur. La création n est certes pas affranchie des règles (les artistes ne font pas n importe quoi!), mais celles-ci ne préexistent pas à la genèse de l'œuvre: l artiste n obéit qu à celles que lui-même se donne librement. 3) Pourquoi le travail d'un artisan pourrait-il être fait par une machine? Dans le cas de l'objet artisanal ou industriel, la fonction qu'il devra dicte par avance sa forme. On objectera évidemment que chacune des productions d un ébéniste est unique puisque réalisée manuellement et non simplement reproduite mécaniquement, en série, de façon standardisée, par une machine; la capacité à réaliser une œuvre achevée du point de vue esthétique est du reste ce qui distingue l artisanat de la production industrielle (dans le système du compagnonnage, l ouvrier devait autrefois réaliser un chef-d œuvre pour acquérir le statut d artisan). Mais l unicité de l œuvre artisanale ne relève pas d une vocation inhérente à l artisanat: elle répond toujours à une demande extérieure; l œuvre doit plaire afin d être vendue, en sorte que l artisan reproduira, si besoin est, ce qu il a déjà fait, comme le souligne Alain dans son texte. La démarche de l artiste est très différente: il ne reproduit pas stricto sensu son œuvre; si on peut bien sûr dupliquer l œuvre à des milliers d exemplaires (une photographie, un film, un morceau de musique, etc.), il est impossible de reproduire le sens (la vision, la pensée) qui lui est donné par l artiste, lequel est original, unique et exemplaire. Ainsi la multiplication des copies d une œuvre cinématographique concerne-t-elle non l œuvre en tant que telle, qui est une création originale, mais la bande magnétique. Alors que le film est créé, la bande magnétique est produite. 4) L'artisan est-il un artiste? Introduction On admire souvent une œuvre d art pour la maitrise technique dont l artiste a su faire preuve en la réalisant, de même que les œuvres artisanales les mieux réussies et les plus belles sont parfois envisagées comme de véritables œuvres d art (un fauteuil «Louis XIV» ou une chaise dessinée par Philippe Starck, par exemple,). On distingue néanmoins spontanément le peintre qui expose ses tableaux (c'est un artiste) et le peintre en bâtiment (c'est un artisan); la gastronomie est volontiers considérée comme de l artisanat, alors que peindre un plat ou une nature morte relève de l art. L'artisan est-il dès lors un artiste? A- t-on raison de différencier l'art et l'artisanat quant à leurs statuts et productions respectifs? A la différence de l art, l artisanat aurait moins besoin, en effet, de personnalité et de talent, tandis que la technique pourrait se passer tout à fait de l une et de l autre. Cette distinction est-elle la conséquence d une technique particulière? N estelle pas plutôt le fait d une finalité différente de l œuvre réalisée? Plus généralement,

4 peut-on opposer l esprit de la technique, qui ne viserait que l utile, à celui de l art, qui serait une activité désintéressée consacrée à un idéal, le beau? Développement Dans le paragraphe 43 de Critique de la faculté de juger, Kant, après avoir expliqué que l art et l artisanat ont en commun d être des œuvres de l art et non de la nature, distingue art «libéral» et art «mercantile». L art, entendu comme l ensemble des activités qui portent la marque d une personnalité, d un savoir-faire, d un talent particulier, d un génie, et dont la finalité essentielle est de produire des œuvres pour leur forme, est qualifié de «libéral» : production fondée sur le libre développement de la fantaisie créatrice, l art est une activité désintéressée, agréable par elle-même, n ayant pas en vue l utilité, semblable en cela au jeu. L art, qui plus est, est le domaine de la réussite individuelle ; le génie de l artiste est un don strictement individuel, incommunicable, même si son originalité exceptionnelle est en même temps exemplaire. L art, en somme, est la production d une œuvre qui trouve sa fin en elle-même, dont les procédés ne peuvent être rigoureusement conçus et définis. Kant range l artisanat dans la catégorie de l art «mercantile». Par là il faut entendre le métier, le travail, c est-à-dire une occupation en soi désagréable, pénible, contraignante, attrayante par son effet seulement (le salaire), qui a toujours peu ou prou partie liée avec la nécessité. D une façon générale, la technique est une production fondée sur la méthode, susceptible d un progrès collectif, - méthode qui peut être exposée, expliquée dans toutes ses démarches, reprise et donc dépassée. Du coup, la technique prend pour règle l efficacité à tout prix : tous les moyens d agir sur la réalité sont bons pourvu qu ils soient efficaces ; la technique réduit ainsi toute chose à l usage ou à la consommation qu on peut en faire. La technique est intrinsèquement utilitariste et instrumentaliste. L œuvre de l artisan a nécessairement une utilité pratique, même si l objet technique peut être beau, plaisant, décoratif. L œuvre d art, au contraire, se dégage de toute finalité pratique. Elle désigne un objet sensible dont l appréhension est ontologiquement neutralisée et prend le sens d une contemplation. L œuvre d art est séparée du reste de la réalité ordinaire; elle est l objet d une satisfaction désintéressée qui porte sur sa simple apparence formelle ou plastique. L intention de l artiste est donc de faire obstacle à tout usage réel de l objet. Une poterie, par exemple, est certes un objet utilitaire mais si on l expose dans un musée, elle accèdera alors au statut d œuvre d art : d abord parce que, dans un musée, elle ne sera plus utilisée comme moyen en vue d une fin déterminée et sera donc dégagée de sa finalité originelle (servir à quelque chose) pour être simplement admirée ; une poterie aura ensuite d autant plus de valeur qu elle sera rare et unique (ainsi exposera-ton des amphores antiques plutôt que des poteries en usage aujourd hui, à moins que ces dernières, dans leur conception, présentent un caractère exceptionnel). Si l on peut distinguer les objets artisanaux, qui sont créés pour qu on en use réellement, des objets artistiques, qui sont faits pour être retirés de l usage réel, il existe néanmoins des cas mixtes, intermédiaires, lorsque l intention esthétique est présente dans le projet créateur d un objet artisanal et qu elle devient manifestement dominante. On

5 parle alors d artisanat d art lorsque la fonction esthétique devient à ce point dominante qu un créateur est amené à sacrifier le confort d une chaise à la seule pureté de ses lignes. Il est, en effet, des instruments si richement ornés que leur usage réel tend à s effacer derrière leur fonction décorative. Quand une chaise, par exemple, a été fabriquée par un artisan de renom (Philippe Starck, par exemple), elle peut être exposée dans un musée d objets d art ; le design produit des objets d art industriels. Autre exemple : dans la haute couture, la finalité pratique du vêtement, celle d'habiller, qui n'a pourtant pas disparu, tend à s'effacer au profit de son esthétique seule; les vêtements présentés lors des défilés sont du reste volontiers jugés difficiles à porter. Où l on voit que si les pratiques artistiques sont radicalement multiples et hétérogènes, elles mettent toutes en jeu une même fonction : quel que soit le travail auquel a été soumis l objet artistique, il a été finalisé par une intention esthétique. Seul compte le fait que l artiste ait produit son œuvre pour induire son appréhension déréalisante chez le spectateur. Mais l œuvre d art tient aussi, et surtout, dans son caractère unique, irremplaçable. C est notamment ce qui permet d expliquer pourquoi certaines toiles de grands maîtres atteignent des sommes d argent exorbitantes dans les salles de vente : il n y a pas plus rare que ce qui n existe qu en un seul exemplaire! La production artisanale, au contraire, est destinée à être reproduite en série, quel que soit par ailleurs le soin que l artisan apporte individuellement à ses œuvres. Dans la reproduction, on assiste à une déchéance de l individualité, à une violence faite à l objet en quelque sorte, à une retombée dans l ordre de l utilité. On objectera évidemment que chacune des productions d un ébéniste est unique puisque réalisée manuellement et non simplement reproduite mécaniquement; la capacité à réaliser une œuvre achevée du point de vue esthétique est du reste ce qui distingue l artisanat de la production industrielle (dans le système du compagnonnage, l ouvrier devait autrefois réaliser un chef-d œuvre pour acquérir le statut d artisan). Mais l unicité de l œuvre artisanale ne relève pas d une vocation inhérente à l artisanat : elle répond toujours à une demande extérieure ; l œuvre doit plaire afin d être vendue, en sorte que l artisan reproduira, si besoin est, ce qu il a déjà fait, comme le souligne Alain dans son texte. La démarche de l artiste est très différente : il ne reproduit pas stricto sensu son œuvre ; si on peut bien sûr dupliquer l œuvre à des milliers d exemplaires (une photographie, un film, un morceau de musique, etc.), il est impossible de reproduire le sens (la vision, la pensée) qui lui est donné par l artiste, lequel est original, unique et exemplaire. Ainsi la multiplication des copies d une œuvre cinématographique concernet-elle non l œuvre en tant que telle, qui est une création originale, mais la bande magnétique. Alors que le film est créé, la bande magnétique est produite. En ce sens, l'œuvre d art se définit par l originalité qu il faut distinguer de la banalité : un art original est celui qui assure par sa force la condition d une poursuite possible ; un artiste est avant tout un inventeur qui rend impossible tout retour à une manière de faire antérieure. Et c est précisément ce qui fait que l esthétique ne peut devenir une science : s il n y a de science que du général, comme le pense Aristote, l art n est fait que de singularités, il est une suite d exceptions. Cette singularité inhérente à l art se détermine comme style : grâce au style, une identité esthétique est reconnue ; quelques notes, quelques vers suffisent au connaisseur pour reconnaître tel ou tel artiste. Cette identité que constitue le style ne va pas sans la

6 différence qui la fonde : une forme n a de style que dans ce qui la pose en soi et l oppose aux autres. Le style se différencie par ailleurs de ses formes dégradées que sont la manière (ensemble de savoir-faire qui n a pu se hisser jusqu au style, qui peut contribuer à faire une mode, mais pas un art) et le procédé (ensemble de recettes) où, au lieu d inventer, on se contente d appliquer des règles, un style mort et stéréotypé. Si l artiste, à l opposé de l artisan, crée une œuvre unique, cette dernière n est jamais achevée au sens où elle est toujours infinie. L œuvre d art est une réserve de sens inépuisable. L œuvre de l artisan, nous l avons vu, répond à une exigence productive qui impose qu elle soit achevée. En d autres termes, sa signification s épuise dans sa réalisation et la reproduction de l œuvre marque justement cet épuisement. Alors que pour l artisan l œuvre est d abord utile avant d être belle ou significative, l artiste conçoit son œuvre en vue d une fin qui n est pas utilitaire mais qui a pour but de faire sens, d être singulière, originale et exemplaire à la fois. Pour qu il y ait œuvre d art, en effet, il faut que l objet artistique mette en jeu une virtuosité remarquable, une grande maîtrise technique, une complexité symbolique produisant un effet de vérité ou de connaissance, lequel engage une interprétation en droit infinie. La véritable importance d une œuvre d art ne se mesure ni à sa valeur commerciale, ni au culte dont elle fait l objet, ni au nombre de thèses, de tee-shirts, de cartes postales qui lui sont consacrés. Elle peut se mesurer, en revanche, au pouvoir qu elle possède de nous faire réfléchir à quelque chose que, sans elle, nous n aurions pas perçu. L artiste est celui qui voit et qui fait voir comme nous ne savons plus regarder les choses. En ce sens, l œuvre d art joue un rôle analogue à celui d une théorie scientifique ou philosophique : elle constitue une construction de l esprit destinée à nous faire mieux comprendre la structure profonde de la réalité. Elle contribue, en somme, à accroître notre connaissance. Conclusion L'artisan est-il donc un artiste? Malgré leurs points communs (le savoir-faire, la technicité, la beauté de l œuvre, le soin apporté au travail) et la similitude apparente de leur démarche, tout les oppose quant au sens et à la finalité de leurs productions respectives. La fonction que devra remplir l objet artisanal dicte nécessairement par avance sa forme, quelles que soient l originalité et la richesse de cet objet. On peut certes rendre beaux les objets techniques, mais toujours dans les limites qui sont au préalable imposées par les exigences de la fonction. Il arrive que, lorsque l artisan ne conçoit pas son œuvre comme il envisage ses productions habituelles, l artisanat confine à l art. Dans ce cas, comme nous le rappelle Alain, l artisan est un artiste «par éclair». Mais outre le fait que chaque œuvre d art porte en elle les règles mêmes qui en régiront la forme et les critères d évaluation, l artiste crée une œuvre qui nous donne à voir indépendamment de toute finalité pratique et utilitaire. L'œuvre d'art fascine d'autant plus qu'elle nous fait oublier sa genèse. Alors que l œuvre artisanale fait partie du monde, celle de l artiste nous invite à réfléchir sur le monde.

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