Séance 1 : à la découverte de Maupassant L histoire de Maupassant racontée par lui-même

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1 Séance 1 : à la découverte de Maupassant L histoire de Maupassant racontée par lui-même Trouvez une Bonjour, je me nomme de représentation de Maupassant. Je suis né le au château Maupassant et colle-la à de en Durant cet endroit mon enfance, je passe mes vacances à., au bord de la mer. Mais, en, mes parents Ce fut une tragédie pour moi! Dès lors, je deviens un galopin et multiplie les bêtises. Ma mère, qui s appelle, décide alors, en, de m envoyer dans un.. à Yvetot. Je suis plutôt un bon élève! En effet, j intègre en le lycée à Rouen. Et c est là que je compose mes premiers vers! C est également à cette période que je rencontre un grand ami de ma mère, cet homme est aussi un célèbre écrivain, il s appelle (1) Mais en je me retrouve dans une terrible guerre. Ce conflit entre la France et la Prusse va me traumatiser, mais je finis par rentrer à Paris, en C est là que j obtiens un poste de.. Ah Paris! Ce n est pas une ville propice au travail. En effet, je passe mon temps à faire la fête sur les bords de Seine. Heureusement que mon illustre ami (2) est là pour me rappeler que je dois écrire! Il m aide beaucoup et, après une dizaine d années, il finit par m autoriser à publier en En quelques semaines, je deviens si célèbre! Mais mon ami, mon mentor, (3) meurt le, juste après la parution de mon livre. Quelle tristesse! Mon maître est mort! Pourtant je continue à écrire. En 1881, je publie puis, en 1884, Mais je ne m arrête pas là, je vais en tout écrire six romans et près de nouvelles. Et puis une chose atroce se produit. En, mon frère Hervé meurt à moitié fou. En, je connais moi-même mes premières hallucinations, ainsi qu une forte dépression. On finit par m envoyer dans un En 1886, je publie un conte qui montre bien la folie qui commence à naître dans mon esprit, ce conte s appelle Je souffre tant qu en, je tente de me Mes hallucinations s aggravent et je finis par mourir le, à l âge de 43 ans. On m enterre au cimetière à Paris.

2 Séance 2 : La Chevelure de Maupassant Questionnaire de lecture I/ La structure de la nouvelle 1 ) A quoi servent les quatre premiers paragraphes de la nouvelle? Appartiennent-ils vraiment au récit principal? Où commence alors celui-ci? 2 ) Au début de la nouvelle, quel est le statut du narrateur? Quel est le point de vue adopté? Dans quelle partie du texte retrouve-t-on ensuite ce narrateur? 4 ) Analysez la temporalité entre les lignes 1 à 29 et le récit contenu dans le cahier. II/ / Le récit du cahier 1 ) A partir de la ligne 30, quel est le statut du narrateur? Quel est le point de vue adopté? 2 ) Quelle est la situation initiale du récit? Avez-vous l impression d avoir affaire à un récit fantastique? 3 ) Quel est l évènement perturbateur? En quoi peut-on dire qu il introduit le fantastique? 4 ) Faites la liste des différents éléments surnaturels qui interviennent dans la suite du récit. Observez les lignes 141 à 158, quel type de phrase est principalement employé? Que révèle ce type de phrase sur l état d esprit du narrateur? 5 ) Quel est l élément de résolution? 6 ) Quel est la situation finale? Pourquoi peut-on dire que le lecteur sort perplexe de sa lecture? Séance 2 : La Chevelure de Maupassant Questionnaire de lecture I/ La structure de la nouvelle 1 ) A quoi servent les quatre premiers paragraphes de la nouvelle? Appartiennent-ils vraiment au récit principal? Où commence alors celui-ci? 2 ) Au début de la nouvelle, quel est le statut du narrateur? Quel est le point de vue adopté? Dans quelle partie du texte retrouve-t-on ensuite ce narrateur? 4 ) Analysez la temporalité entre les lignes 1 à 29 et le récit contenu dans le cahier. II/ Le récit du cahier 1 ) A partir de la ligne 30, quel est le statut du narrateur? Quel est le point de vue adopté? 2 ) Quelle est la situation initiale du récit? Avez-vous l impression d avoir affaire à un récit fantastique? 3 ) Quel est l évènement perturbateur? En quoi peut-on dire qu il introduit le fantastique? 4 ) Faites la liste des différents éléments surnaturels qui interviennent dans la suite du récit. Observez les lignes 141 à 158, quel type de phrase est principalement employé? Que révèle ce type de phrase sur l état d esprit du narrateur? 5 ) Quel est l élément de résolution? 6 ) Quel est la situation finale? Pourquoi peut-on dire que le lecteur sort perplexe de sa lecture?

3 Séance 2 : bilan sur les types de narrateur Dans un récit, il faut se poser une question essentielle : qui raconte? Il n y a que deux cas possibles, soit le narrateur raconte à la : première personne. Dans ce cas, le narrateur : utilise le pronom personnel sujet «je», «nous», «on», et les pronoms compléments «me», «moi» utilise les déterminants possessifs «mon», «ma» participe aux actions de l'histoire, c est un narrateur- personnage. troisième personne. Dans ce cas, le narrateur : utilise le pronom personnel troisième personne («il», «ils», «elle», «elles») utilise les déterminants possessifs «son», «leur» ne participe pas aux actions de l'histoire. Il est extérieur aux actions de l'histoire MAIS il peut intervenir ponctuellement dans le récit en faisant des commentaires à la première personne («je», «nous» ou «on»). Le narrateur peut aussi s'adresser directement au lecteur en utilisant les pronoms personnels "tu" et "vous". Séance 2 : bilan sur les types de narrateur Dans un récit, il faut se poser une question essentielle : qui raconte? Il n y a que deux cas possibles, soit le narrateur raconte à la : première personne. Dans ce cas, le narrateur : utilise le pronom personnel sujet «je», «nous», «on», et les pronoms compléments «me», «moi» utilise les déterminants possessifs «mon», «ma» participe aux actions de l'histoire, c est un narrateur- personnage. troisième personne. Dans ce cas, le narrateur : utilise le pronom personnel troisième personne («il», «ils», «elle», «elles») utilise les déterminants possessifs «son», «leur» ne participe pas aux actions de l'histoire. Il est extérieur aux actions de l'histoire MAIS il peut intervenir ponctuellement dans le récit en faisant des commentaires à la première personne («je», «nous» ou «on»). Le narrateur peut aussi s'adresser directement au lecteur en utilisant les pronoms personnels "tu" et "vous".

4 Séance 2 : l expression du doute et du mystère Fiche vocabulaire à enrichir les adjectifs : mystérieux incompréhensible inexplicable surprenant bizarre curieux inconnu étrange singulier insolite étonnant extraordinaire anormal stupéfiant incroyable prodigieux terrifiant terrible. les verbes : croire sembler paraître ne plus savoir ignorer douter de sa raison douter de sa lucidité. l hypothèse : on eût dit, on aurait pu croire Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée! Séance 2 : l expression du doute et du mystère Fiche vocabulaire à enrichir les adjectifs : mystérieux incompréhensible inexplicable surprenant bizarre curieux inconnu étrange singulier insolite étonnant extraordinaire anormal stupéfiant incroyable prodigieux terrifiant terrible. les verbes : croire sembler paraître ne plus savoir ignorer douter de sa raison douter de sa lucidité. l hypothèse : on eût dit, on aurait pu croire Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée! Séance 2 : l expression du doute et du mystère Fiche vocabulaire à enrichir les adjectifs : mystérieux incompréhensible inexplicable surprenant bizarre curieux inconnu étrange singulier insolite étonnant extraordinaire anormal stupéfiant incroyable prodigieux terrifiant terrible. les verbes : croire sembler paraître ne plus savoir ignorer douter de sa raison douter de sa lucidité. l hypothèse : on eût dit, on aurait pu croire Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée!

5 Séance 2 : exercices d application Exercice 1 : identifie le type de narrateur dans les textes suivants. Tu devras répondre à l aide d une phrase complète. a- Je m attendais à dormir vite et profondément. J avais fondé de grandes espérances sur une bonne nuit. Mais, au bout de dix minutes, je dus reconnaître que cette gêne nerveuse ne se décidait pas à s engourdir. J entendais des tic-tac, des craquements brefs du bois et des murs. Sans doute des horloges-de-mort 1. Chacun des bruits imperceptibles de la nuit se répondait, en tout mon être, par un coup électrique. Villiers de l Isle-Adam, L intersigne b- Le moulin du père Merlier, par cette belle soirée d été, était en grande fête. Dans la cour, on avait mis trois tables, placées bout à bout, et qui attendaient les convives. Tout le pays savait qu on devait fiancer, ce jour-là, la fille Merlier, Françoise, avec Dominique, un garçon qu on accusait de fainéantise, mais que les femmes, à trois lieues à la ronde, regardaient avec des yeux luisants, tant il avait bon air. Emile Zola, L attaque du moulin c- Il était déjà quatre heures lorsque Dantès avait été conduit dans sa chambre. On était, comme nous l avons dit, au 1er mars ; le prisonnier se trouva donc bientôt dans la nuit. Alexandre Dumas, Le comte de Monte-Cristo Exercice 2 : introduis des marques d incertitude dans les phrases ci-dessous. Varie au maximum les procédés. Exemple : quelqu un était entré j avais l impression que quelqu un était entré. a) La statue le regardait. b) Le corps de la défunte reprenait vie. c) Une page de mon livre venait de se tourner toute seule. d) Les soldats de plomb sortirent de leur boîte. e) Son miroir lui renvoya l image d un autre. f) Le pied de la momie avait bougé. g) La jeune femme revenait à la vie. h) Il entendit un miaulement plaintif qui venait de la muraille. 1 insectes qui rongent le bois et font entendre un bruit semblable à celui du tic-tac d une horloge

6 Séance 3 : bilan sur les points de vue Dans un récit, il faut se demander qui raconte mais aussi qui voit. interne : le narrateur ne propose qu'une vision limitée de l'histoire, celle d'un personnage particulier. Ce personnage est clairement identifiable dans l'histoire. externe : Observateur externe, le narrateur ne connaît ni les sentiments, ni les pensées des personnages. On ne voit alors que ce que le narrateur voit. omniscient : Dans ce cas, le narrateur ne participe pas aux actions de l'histoire. Il est extérieur à l'histoire mais il sait tout et il voit tout. Séance 3 : bilan sur les points de vue Dans un récit, il faut se demander qui raconte mais aussi qui voit. interne : le narrateur ne propose qu'une vision limitée de l'histoire, celle d'un personnage particulier. Ce personnage est clairement identifiable dans l'histoire. externe : Observateur externe, le narrateur ne connaît ni les sentiments, ni les pensées des personnages. On ne voit alors que ce que le narrateur voit. omniscient : Dans ce cas, le narrateur ne participe pas aux actions de l'histoire. Il est extérieur à l'histoire mais il sait tout et il voit tout. Séance 3 : bilan sur les points de vue Dans un récit, il faut se demander qui raconte mais aussi qui voit. interne : le narrateur ne propose qu'une vision limitée de l'histoire, celle d'un personnage particulier. Ce personnage est clairement identifiable dans l'histoire. externe : Observateur externe, le narrateur ne connaît ni les sentiments, ni les pensées des personnages. On ne voit alors que ce que le narrateur voit. omniscient : Dans ce cas, le narrateur ne participe pas aux actions de l'histoire. Il est extérieur à l'histoire mais il sait tout et il voit tout.

7 Séance 3 : exercices sur les points de vue Exercice 1 : dans chacun des textes ci-dessous, identifie le type de narrateur et le point de vue adopté. Tu répondras à l aide d une phrase complète. a- Depuis plus d un an, Marius remarquait dans une allée déserte du Luxembourg, l allée qui longe le parapet de la pépinière, un homme et une toute jeune fille presque toujours assis côte à côte sur le même banc, à l extrémité la plus solitaire de l allée, du côté de la rue de l Ouest. Chaque fois que ce hasard [ ] amenait Marius dans cette allée, et c était presque tous les jours, il y retrouvait ce couple. L homme pouvait avoir une soixantaine d années, il paraissait triste et sérieux. Victor Hugo, Les misérables b- D Artagnan, resté seul avec Mme Bonacieux, se retourna vers elle : la pauvre femme était renversée sur un fauteuil à demi évanouie. D Artagnan l examina d un coup d œil rapide. C était une charmante femme de vingt-cinq à vingt-six ans, brune avec des yeux bleus, ayant un nez légèrement retroussé, des dents admirables, un teint marbré de rose et d opale. Alexandre Dumas, Les trois mousquetaires c- Les deux garçons s enfoncèrent dans l obscurité. A onze heures et demie, ils foulaient l herbe épaisse du cimetière. C était un vieux cimetière comme on en rencontre tant en Europe. Il était accroché au flanc d un coteau à environ deux kilomètres du village. La palissade folle qui l entourait penchait tantôt en avant, tantôt en arrière, mais n était jamais droite. Les mauvaises herbes y régnaient en maîtresses incontestées. Les sépultures anciennes étaient toutes effondrées. Il n y avait pas une seule pierre tombale, mais des stèles de bois arrondies au sommet et dont les planches mangées des vers oscillaient en équilibre instable sur les tombes. «A la chère mémoire de Untel», y lisait-on jadis. Les lettres effacées étaient maintenant presque toutes illisibles, même en plein jour. Exercice 2 : lis attentivement le texte suivant. Détermine rapidement le point de vue adopté puis réécris ce texte avec d autres points de vue. Paul arriva au collège à huit heures. L endroit était désert. Il passa la grille avec inquiétude, traversa le hall puis pénétra dans la cour. Du matériel de construction traînait dans un coin. Paul se dirigea vers le bâtiment des sciences. Il força la porte d entrée, monta l escalier et s arrêta devant la salle 21. Point de vue adopté :.

8 Séance 3 : Fiche vocabulaire le champ lexical de la peur chercher à ramener l inconnu au connu :chercher à se raisonner, à se prouver que La peur :appréhension crainte confuse frayeur angoisse terreur épouvante trembler comme une feuille être paralysé par la frayeur être frappé d horreur sentir son cœur battre se sentir défaillir éprouver un frisson d angoisse - avoir les mains crispées, les cheveux dressés être glacé avoir le front trempé de sueur les nerfs qui tressaillent le cœur qui bat la chamade Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée! Séance 3 : Fiche vocabulaire le champ lexical de la peur chercher à ramener l inconnu au connu :chercher à se raisonner, à se prouver que La peur :appréhension crainte confuse frayeur angoisse terreur épouvante trembler comme une feuille être paralysé par la frayeur être frappé d horreur sentir son cœur battre se sentir défaillir éprouver un frisson d angoisse - avoir les mains crispées, les cheveux dressés être glacé avoir le front trempé de sueur les nerfs qui tressaillent le cœur qui bat la chamade Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée! Séance 3 : Fiche vocabulaire le champ lexical de la peur chercher à ramener l inconnu au connu :chercher à se raisonner, à se prouver que La peur :appréhension crainte confuse frayeur angoisse terreur épouvante trembler comme une feuille être paralysé par la frayeur être frappé d horreur sentir son cœur battre se sentir défaillir éprouver un frisson d angoisse - avoir les mains crispées, les cheveux dressés être glacé avoir le front trempé de sueur les nerfs qui tressaillent le cœur qui bat la chamade Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée! Séance 3 : Fiche vocabulaire le champ lexical de la peur chercher à ramener l inconnu au connu :chercher à se raisonner, à se prouver que La peur :appréhension crainte confuse frayeur angoisse terreur épouvante trembler comme une feuille être paralysé par la frayeur être frappé d horreur sentir son cœur battre se sentir défaillir éprouver un frisson d angoisse - avoir les mains crispées, les cheveux dressés être glacé avoir le front trempé de sueur les nerfs qui tressaillent le cœur qui bat la chamade Cette liste peut bien sûr être régulièrement complétée!

9 Séance 3 : le champ lexical de la peur exercice d application Retrouvez le texte original en le complétant à l aide de ces mots ou expressions. Liste des mots : «vacillèrent», «palpita», «intolérable», «une sensation de glace», «convulsivement», «instantanément». Je regardai ; et un engourdissement,.. pénétrèrent.. tout mon être. Mon cœur, mes genoux, toute mon âme fut prise d une horreur.. et inexplicable. Je respirai., j abaissai la lampe encore plus près de la face. Rédigez maintenant un paragraphe de dix lignes où vous décrirez l être ou la chose horrible. Vous commencerez votre texte par «je vis» et vous insérerez six expressions appartenant au champ lexical de la peur. Séance 3 : le champ lexical de la peur exercice d application Retrouvez le texte original en le complétant à l aide de ces mots ou expressions. Liste des mots : «vacillèrent», «palpita», «intolérable», «une sensation de glace», «convulsivement», «instantanément». Je regardai ; et un engourdissement,.. pénétrèrent.. tout mon être. Mon cœur, mes genoux, toute mon âme fut prise d une horreur.. et inexplicable. Je respirai., j abaissai la lampe encore plus près de la face. Rédigez maintenant un paragraphe de dix lignes où vous décrirez l être ou la chose horrible. Vous commencerez votre texte par «je vis» et vous insérerez six expressions appartenant au champ lexical de la peur.

10 Séance 5 : le plus-que-parfait et le passé antérieur Deux temps composés de l indicatif I/ Le plus-que que-parfait de l indicatif Le plus-que-parfait est un temps composé de l indicatif. Il est formé de l auxiliaire être ou avoir, conjugué à l imparfait et du participe passé du verbe. Auxiliaires à l imparfait Etre Avoir + participe passé du verbe J Tu Il Nous Vous Ils J Tu Il Nous Vous Ils II/ Le passé antérieur de l indicatif Le passé antérieur est un temps composé de l indicatif. Il est formé de l auxiliaire être ou avoir, conjugué au passé simple et du participe passé du verbe. Auxiliaires au passé simple Etre Avoir + participe passé du verbe Je Tu Il Nous Vous Ils J Tu Il Nous Vous Ils Pour le passé antérieur comme pour le plus-que que-parfait, attention aux règles d accord du participe passé! avec l auxiliaire être, le participe passé s accorde avec le sujet : Marie était venue. Théo et Marie étaient venus. avec l auxiliaire avoir, le participe passé s accorde avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe. Marie les (Théo et son frère) avait vus hier. Théo l (Marie) avait vue hier. COD COD Rendez-vous sur (rubrique «verbes» puis «temps composés de l indicatif») pour des exercices!

11 Séance 5 : le plus-que-parfait et le passé antérieur Exercices complémentaires Exercice 1 : dans la liste suivante, souligne les verbes conjugués au plusque-parfait. J eus navigué - ils avaient rejoint - je peignais - nous étions partis - ils auraient rejoint - tu crierais - nous partions - il aurait navigué - vous avez essuyé - nous partons - nous peignons - vous essuyiez - tu criais - il avait navigué - vous essuyez - vous aviez essuyé - ils rejoignaient - je peignai - nous serions partis. Exercice 2 : dans la liste suivante, souligne les verbes conjugués au passé antérieur. Elle aura voulu - il eut obtenu - nous avions surpris - j ai pris - elle eût voulu - ils firent savoir - j eus raconté - vous avez ri - nous aurions souhaité - tu eus atteint. Séance 5 : le plus-que-parfait et le passé antérieur Exercices complémentaires Exercice 1 : dans la liste suivante, souligne les verbes conjugués au plusque-parfait. J eus navigué - ils avaient rejoint - je peignais - nous étions partis - ils auraient rejoint - tu crierais - nous partions - il aurait navigué - vous avez essuyé - nous partons - nous peignons - vous essuyiez - tu criais - il avait navigué - vous essuyez - vous aviez essuyé - ils rejoignaient - je peignai - nous serions partis. Exercice 2 : dans la liste suivante, souligne les verbes conjugués au passé antérieur. Elle aura voulu - il eut obtenu - nous avions surpris - j ai pris - elle eût voulu - ils firent savoir - j eus raconté - vous avez ri - nous aurions souhaité - tu eus atteint. Séance 5 : le plus-que-parfait et le passé antérieur Exercices complémentaires Exercice 1 : dans la liste suivante, souligne les verbes conjugués au plusque-parfait. J eus navigué - ils avaient rejoint - je peignais - nous étions partis - ils auraient rejoint - tu crierais - nous partions - il aurait navigué - vous avez essuyé - nous partons - nous peignons - vous essuyiez - tu criais - il avait navigué - vous essuyez - vous aviez essuyé - ils rejoignaient - je peignai - nous serions partis. Exercice 2 : dans la liste suivante, souligne les verbes conjugués au passé antérieur. Elle aura voulu - il eut obtenu - nous avions surpris - j ai pris - elle eût voulu - ils firent savoir - j eus raconté - vous avez ri - nous aurions souhaité - tu eus atteint.

12 Séance 6 : Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête De Tim Burton Questionnaire Séquence sélectionnée : l arrivée d Ichabod Crane dans Sleepy Hollow 1 ) Quel est le type de plan utilisé au début de la scène? 2 ) Quel est le point de fuite?. 3 ) Que remarquez-vous au niveau de l organisation spatiale du village? 4 ) Quel mouvement adopte la caméra? 5 ) En vous appuyant sur vos réponses précédentes, expliquez l effet qu a voulu produire le réalisateur dans cette scène. 6 ) Quels jeux de caméra sont ensuite adoptés pour décrire l avancée d Ichabod dans le village?. 7 ) Quel est l effet produit? 8 ) Observez attentivement la scène où l on découvre la tour de garde, identifiez à travers quel regard est vu le village. 9 ) Où le personnage pénètre-t-il à la fin de la scène? Que symbolise ce passage?. 10 ) Quels autres éléments contribuent à créer cette atmosphère?

13 Séance 7 : synthèse sur le vocabulaire du fantastique 1. Des faits étranges, dans un monde réel et quotidien : a. Le récit fantastique se déroule dans un univers : les lieux, les personnages appartiennent à un monde réel. Il ne faut donc pas confondre le fantastique avec la science-fiction, genre proche mais qui se déroule dans un futur imaginaire. b. Dans cet univers, certains lieux et certains moments sont propices à l irruption d événements. Ex : lieux réels mais angoissants. c. Le fantastique commence lorsque un événement, auquel le narrateur ne peut pas donner d explication, surgit. Ex :. Cet événement s appelle un phénomène. d. La réaction du personnage principal ( qui est souvent le narrateur) prend donc les formes du trouble, du doute, de la peur, de l affolement, de la panique. Le personnage cherche, en permanence à se rassurer pour ne pas céder à une réaction (= qui ne repose pas sur l analyse claire, par la raison, de l événement). Dans un premier temps, le personnage constate le phénomène («Je donne toujours à ma porte deux tours de clé. Je la trouvai simplement tirée et cela me frappa») puis, dans un deuxième temps, il essaie de se rassurer en trouvant une explication («Une supposition très vraisemblable me traversa l esprit : celle qu un de mes amis était venu me voir») ; survient ensuite quand le personnage s aperçoit que cette explication n est pas la bonne. e. Le récit fantastique se termine, généralement, sans qu une explication ait été apportée. Le dénouement laisse donc le lecteur dans le. 2. Les caractéristiques du récit fantastique : a. Le récit fantastique utilise pour s exprimer les quatre types de discours ( discours,, discours,, discours et discours ). Il s agit donc, à la fois de raconter, d observer, de comprendre et de raisonner sur les événements étranges qui surgissent. b. Le récit fantastique utilise, très souvent, pour s exprimer le genre de la, c est-à-dire d un récit bref, concentré autour d un événement ( ici, le phénomène) qui survient dans la vie d un personnage. La, en réduisant l action, le nombre de personnages et les explications entraîne le lecteur dans un récit à forte intensité dramatique, surtout si le récit est écrit à la première personne ( point de vue interne). c. Le récit fantastique utilise pour s exprimer le de la mais également celui. Ex : «quelque chose, on, c était comme si, on aurait dit, peut-être, probablement».

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