ENTRETIEN DES TOURS DE REFROIDISSEMENT À L EAU PRÉVENIR LA LÉGIONELLOSE. Alain Blais, ing. Président
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- Huguette Audy
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1 ENTRETIEN DES TOURS DE REFROIDISSEMENT À L EAU PRÉVENIR LA LÉGIONELLOSE Alain Blais, ing. Président
2 Objectifs de la formation De nommer les principaux éléments de la nouvelle règlementation concernant les tours de refroidissement à l eau; De reconnaître les risques de contamination de la bactérie Legionella Pneumophila; De déterminer le contenu d un programme d entretien quant aux aspects mécaniques et chimiques; D identifier les actions à prendre en cas de risque élevé et/ou de contamination par la bactérie légionelle; De connaître les normes de sécurité quant aux travaux d entretien, de décontamination de la tour de refroidissement à l eau; De reconnaître l importance de maintenir le registre à jour.
3 Plan de la formation Retour sur l éclosion de Québec, regard sur la bactérie LP, la nouvelle règlementation La tour de refroidissement, l utilisation de l eau et le traitement Les facteurs de risque (internes/externes) + étude d un cas Procédures (désinfection, décontamination, etc.) Le Groupe AquaCion Inc.
4 Plan de formation Suivi et analyses Santé et sécurité Le registre et la responsabilité Conclusion Le Groupe AquaCion Inc.
5 Les dernières manchettes Legionnaires Disease Outbreak In Alabama Kills Elderly Woman: 5 Things To Know About Legionella Bacteria By Philip Ross on October :12 PM Legionnaires' disease in Lehigh Valley: Six cases reported, campus remediated, Integrated Health Campus says By Express-Times staff on October 30, 2013 at 3:02 PM, updated October 30, 2013 at 6:37 PM Two fountains have been turned off, one in and one just outside of the building. Water samples from the fountains and other locations in the building are being tested for Legionella bacteria. Le Groupe AquaCion Inc.
6 Les dernières manchettes Legionnaires disease cases traced to Naperville gym ASSOCIATED PRESS November 14, :34AM Water cooling towers treated as more suffer Legionnaires' Linzi Watson Friday 2 August 2013 Water cooling towers in and around a Scots town have been treated with anti-legionnaires' disease chemicals after the numbers of people with the infection in the area reached double figures. 2 dead and 150 ill from Legionnaire's in German town of Warstein News about: Germany Date: Thu 5 Sep 2013 Source: Euronews [edited] Le Groupe AquaCion Inc.
7 Encore une manchette 3 tours de refroidissement à Val-d'Or touchées par la légionellose Le 21 janvier :19 mducas@rncmedia.ca Les tours de refroidissement de la Ville de Val-d'Or ont été touchées par la bactérie de la légionellose. La Ville a reçu un rapport de la Régie du Bâtiment lui soulignant que les trois tours de refroidissement, au centre aircreebec, à l'aréna Kiwanis et au Club de curling Belvédère, contiennent la bactérie qui avait fait 14 morts à l'été 2012, dans la région de Québec. Le maire de Val-d'Or, Pierre Corbeil, rassure la population en affirmant qu'elle ne court aucun danger, et que les mesures de correction suivront rapidement. Le Groupe AquaCion Inc.
8 Inhalation de fines gouttelettes Le Groupe AquaCion Inc.
9 Légionelle et règlementation Retour sur l éclosion de Québec en 2012, La légionelle: caractéristiques, La nouvelle règlementation: comment et pourquoi?
10 Éclosion à Québec Du 26 juillet au 1er octobre, décès sur 188 personnes infectées (7%) Moyenne d âge des personnes infectées: 62 ans Enquête de la Santé Publique: 131 tours de 70 bâtiments.
11 . La coupable
12 La bactérie légionelle Bactérie Gram négatif qui se retrouve dans l eau et dans le sol: lacs, rivières, sols humides, eau stagnante, On compte 52 espèces différentes, La légionellose est contractée lorsque des fines gouttelettes contaminées (< 5 microns) par des bactéries sont inhalées ou aspirées, On estime à 3 km le rayon de dispersion critique, Toutefois, à Québec, une personne a contracté la légionellose à 9 km de la source.
13 La légionellose Maladie à déclaration obligatoire; Deux formes de la maladie: - fièvre de Pontiac - maladie du légionnaire Ne se transmet pas de personne à personne; La quantité de bactéries inhaleés qui va résulter en maladie est inconnue et probablement variable; Les personnes à risque élevé: personnes agées, fumeurs, immuno-déficients; Le Groupe AquaCion Inc.
14 Des conditions favorables Le Groupe AquaCion Inc.
15 La légionelle se reproduit entre C Legionella Pneumophila
16 Le Groupe AquaCion Inc.
17 1er échantillonnage 70 bâtiments (Legionella Pneumophila) 26% des bâtiments analysés avaient des conditions dangeuses en termes de légionelles. Ces tours ont été désinfectées immédiatement. Le Groupe AquaCion Inc.
18 LE DÉCRET Dispositions relatives à l entretien d une tour de refroidissement à l eau Le Groupe AquaCion Inc.
19 Article 401 Les installations et équipements des tours de refroidissement à l eau doivent être entretenus suivant un programme d entretien
20 Article 402 Le programme d entretien doit être élaboré et signé par un ou plusieurs membres d un ordre professionnel selon leur champ d exercice et dont les activités sont reliées au domaine des tours de refroidissement à l eau. Il doit contenir: 1. La procédure de mise en hivernage et de redémarrage, le cas échéant; 2. La procédure des arrêts et des redémarrages pendant la période de service; 3. La procédure de décontamination.
21 Article 402 (suite) 4. les mesures visant la diminution de la corrosion, de l entartrage et de l accumulation de matières organiques; 5. Un plan schématisé du réseau de l écoulement de l eau de refroidissement; 6. La procédure de maintien de la qualité de l eau afin de minimiser le développement de bactéries dont celles des espèces de légionelle; 7. La liste des produits et des substancs chimiques à utiliser et leur description, le cas échéant; Le Groupe AquaCion Inc.
22 Article 402 (suite) 8. Les mesures visant la vérification des composantes mécaniques de l installation et des équipements des tours de refroidissement à l eau; Il doit être élaboré en tenant compte des documents suivants: Guideline-WTB-148(08)-Best Practices for Control of Legionella publié par Cooling Technology Institute (CTI) Les documents de l American Society of Heating, Refrigeration and Air-Conditioning Engineers (ASHRAE) notamment le Guideline Minimizing the Risk of Legionellosis Associated with Building Water Systems; Legionella 2003: An update and Statement by the Association of Water technologies (AWT).
23 Article 403 Le programme doit tenir compte de l historique de l installation, dont: - un bris majeur, - les réparations effectuées suite à ces bris, - l utilisation de la procédure de décontamination lorsque la qualité de l eau a atteint un seuil de risque sanitaire qui justifie une action immédiate;.
24 Article 404 Le programme doit être révisé, par un ou plusieurs membres d un ordre professionnel selon leur champ d exercice et dont les activités sont reliées au domaine des tours de refroidissement à l eau, tous les 5 ans ou à la suite d un des événements suivants: - une modification majeure de l installation ou un remplacement de l équipement, - un changement de la procédure de maintien de la qualité de l eau, - l utilisation de la procédure de décontamination lorsque la qualité de l eau a atteint un seuil de risque sanitaire qui justifie une action immédiate
25 Article 406 le registre Pendant l existence du bâtiment, doivent être consignés dans un registre, disponible sur les lieux à des fins de consultation par la Régie, les renseignements ou les documents suivants se rapportant à une tour de refroidissement à l eau: - le nom et les coordonnées du propriétaire, - s ils sont disponibles, la copie des plans relatifs à la conception et à l installation des tours de refroidissementà l eau tels qu exécutés, et tout document ou renseignement technique relatif aux modifications qui y ont été apportées; - le manuel d opération et d entretien du fabricant; - le programme d entretien; - les résultats des analyses de l eau des 2 dernières années; - l historique et la description de l entretien, des réparations, des remplacements et des modifications réalisés; - le nom du responsable et du personnel affectés à l entretien ainsi que leur numéro de téléphone..
26 En résumé Le propriétaire de la tour de refroidissement est maintenant le vrai responsable de la salubrité; Mettre en place le programme, Vérifier l exécution par un contrôle judicieux des opérations, entretiens et suivis, Programme de contingence en cas de dépassement des indicateurs, Documentation à jour et complète (par qui?) Revision des contrats: assurance, sous-traitant, Formation interne Révision annuelle (minimum) des documents et des risques.
27 Qu est-ce qu une tour de refroidissement à l eau? À quoi sert-elle?
28 Utilisation de l eau dans le circuit Évaporation et entraînement vésiculaire, Traitement de l eau (chimique) Eau d appoint Tour Circuit ouvert 95 F Introduit des minéraux, des bactéries et autres,dans le système Purge Eau concentrée 85 F Pompe Cycles de Concentration Échangeur à plaques pour free cooling Cycles = salinité circuit salinité appoint. Refroidisseur
29 Tour (air induit) Air chaud saturé entraînement vésiculaire ventilateur Eau chaude Air frais Eau froide pare-gouttelettes distribution d eau surface d échange grilles d entrée d air bassin contrôle niveau
30 Le Groupe AquaCion Inc. Tour à air induit
31 Une tour à évacuation d air horizontale Distribution d eau Surface d échange Bassin Éliminateurs.
32 Tour à circuit fermé
33 Tour à circuit fermé Volume d eau minime Faible exposition aux rayons du soleil Traitement de l eau: le temps de rétention pour les biocides plus court
34 Le Groupe AquaCion Inc.
35 Condenseur évaporatif Circuit d ammoniac fermé en contact avec l eau de refroidissement Habituellement utilisée avec réservoir intérieur À sec quand la température extérieure est suffisamment basse Très utilisé en réfrigération industrielle Le Groupe AquaCion Inc.
36 Composantes Surface d échange Pare gouttelettes
37 Où sont les pare gouttelettes?
38 Où sont les pare gouttelettes?
39 Où sont les pare gouttelettes? Que notez-vous?
40 La dernière barrière Les pare gouttelettes sont la dernière barrière contre la dissémination des légionelles dans l air. D où l importance de leur efficacité (conception) et de leur bonne condition (entretien).
41 Tour à circuit fermé Pouvez-vous identifier les composantes principales? Pompe de recirculation Gicleurs Entrée fluide (chaud) Éliminateurs Ventilateurs Bassin
42 Le guide explicatif (RBQ) Contient des recommandations pour élaborer un programme d entretien efficace. Explique fles facteurs qui favorisent la prolifération et la dispersion de la légionelle. Donne des moyens de les contrôler. Recommandations sur la vérification du programme d entretien, notamment des concentrations de Légionelle Pneumophila. Le Groupe AquaCion Inc.
43 Facteurs de dispersion et de prolifération Température Abondance de biofilm Protozoaires Corrosion et entartrage Stagnation de l eau Concentration de nutrients Dispersion des aérosols
44
45 La tour de refroidissement Milieu très propice au développement de la Légionelle Température d opération: entre C, dans la plage de croissance optimale Est en fait un laveur d air efficace qui amène des particules de l air dans l eau qui vont servir de support et nourriture aux micro-organismes Produit de fines gouttelettes (< 5 microns) qui peuvent abriter les légionelles La performance des pare-gouttelettes, comme dernière barrière est très importante
46 Utilisation de l eau dans le circuit Évaporation et entraînement vésiculaire, Traitement de l eau (chimique) Eau d appoint Tour Circuit ouvert 95 F Introduit des minéraux, des bactéries et autres,dans le système Purge Eau concentrée 85 F Cycles de Concentration Échangeur à plaques pour free cooling Cycles = salinité circuit salinité appoint Pompe Refroidisseur
47 Utilisation d eau Évaporation (É) Purge (P) Entraînement (D) Fuites (F) Appoint = É + P + D + F Cycles = salinité circuit salinité appoint P = É / (cycles 1)
48 Purge Économie d eau Réduction de la purge: La réduction de la purge permet de réduire la consommation d eau. À Québec et Montréal, les tours sont opérées entre 3,5-5 cycles. Cycles de concentration
49 Quelques constituants de l eau
50 .
51 La taille des particules dans l eau Le Groupe AquaCion Inc.
52 Amibe et Légionella Pneumophila Le Groupe AquaCion Inc.
53 Formation du biofilm Source: MSU Center for Biofilms Le biofilm est d abord l attachement de bactéries libres sur les parois de la tour ou dans la tuyauterie. Les bactéries forment des colonies qui s agglutinent avec des matières organiques, minérales et des micro-organismes. Des bactéries, colonies et microorganismes se détachent et vont se fixer sur d autres surfaces.
54 .
55 Lutte contre le biofilm Pour réduire les risques d encrassement biologique Lutte contre les dépôts incrustants (tartre) & non incrustants (boues) ET Lutte contre l altération des matériaux (corrosion / dégradation) ET Élimination des eaux stagnantes ou à vitesse faible ET Nettoyage permanent de toutes les surfaces en contact avec l eau ET Utilisation de biocides pour désinfecter
56 Facteurs de prolifération et de dispersion de la légionelle Température L abondance du biofilm Les protozoaires La corrosion et l entartrage La stagnation de l eau La concentration de nutriments La dispersion des aérosols.
57 Comment contrôler les facteurs de dispersion et de prolifération? Le traitement de l eau La gestion hydraulique La gestion des matières solides La limitation de la dispersion des aérosols
58 Traitement de l eau: les objectifs Désinfecter l eau de recirculation, Réduire l accumulation de biofilm, Minimiser la corrosion, Minimiser l entartrage, Minimiser l encrassement.
59 Traitement de l eau Le traitement est généralement fait à l aide de produits chimiques Il est aussi fait par certaines technologies non chimiques (physiques) Le Groupe AquaCion Inc.
60 Désinfection Utilisation de biocides 1- Les biocides oxydants Spectre d action large Deux fonctions. Action oxydante: destruction de la matière organique. Action biocide: désinfection de l eau circulante Ex: Chlore, Brome, Bromochlorodimethylhydantoine (BCDMH) Les biocides non oxydants Spectre d action réduit Molécules de synthèse Ex: DiBromoNitriloPropionAmide (DBNPA), Isothiazolones, Glutaraldéhyde, Ammonium quaternaire, THPS, etc. Le Groupe AquaCion Inc.
61 Biocides oxydants Les biocides oxydants réagissent avec les éléments contenus dans l'eau du circuit. Les matières minérales Les matières organiques Certains inhibiteurs d'entartrage ou de corrosion Certains biocides non oxydants (comme le DBNPA* ou le Glutéraldéhyde) La destruction des micro-organismes est possible: Si la quantité d'oxydant disponible est supérieure à la quantité consommée par les matières organiques et autres composés oxydables apportés par l eau, Si le PH de l eau est adapté au type d oxydant
62 Pouvoir oxydant et ph Effet biocide du chlore : 5<pH<8 Effet biocide du brome : 6<pH<10 Le ph de l eau des circuits de refroidissement est généralement >8 L eau de Javel n est pas efficace.
63 Biocides non oxydants Molécules de synthèse de stabilité variable La décomposition de la molécule active en sous produits (rarement efficaces vis à vis de la désinfection) dépend de plusieurs facteurs notamment: du ph de la température de la présence de biocides oxydants Ces molécules génèrent la formation de produits indésirables dans les rejets lors des purges de déconcentration. L'activité désinfectante du biocide non oxydant est fonction de la concentration et du temps de contact entre la molécule et le microorganisme
64 Biocides non oxydants En traitement (injection) choc. La concentration est déterminée en fonction du volume du circuit.. La vitesse d injection doit être rapide (généralement < 30 min.). La réalisation de deux injections chocs rapprochées dans le temps est plus efficace, pour retrouver la maîtrise du circuit.. Privilégier dans la mesure du possible l alternance de deux biocides, pour limiter le risque de sélection de souches de légionelles résistantes. L efficacité n est pas fonction de la dose donnée Inutile d augmenter la concentration injectée. Respecter l environnement. Traitement qui peut être corrosif
65 Biodispersants Rupture des liaisons entre le biofilm et les supports, donc, favorisent la réduction de l épaisseur du biofilm, Permet au biocide oxydant de pénétrer le biofilm et de détruire les bactéries, Lutte contre la reformation du biofilm. Les biocides oxydants tels dioxyde de chlore, l ozone donnent des résultats similaires aux biodispersants face au biofilm. Le Groupe AquaCion Inc.
66 Biodispersants Action des biodispersants Biodispersant Biofilm Surface.
67 Injection automatique de produits chimiques Eau traitée Valve de purge Eau à traiter Pompes doseuses Contrôleur
68 Inconvénients des traitements chimiques 8 Impact sur la qualité des rejets dans l environnement via les purges de déconcentration, 8 Risque de corrosion sur l installation Respecter les concentrations définies Contrôler la vitesse de corrosion des matériaux (coupons, sondes) Contrôler la qualité des rejets (réglementation) 4 Risque de sélectionner des souches de légionelles résistantes Favoriser le nettoyage des installations, Ne pas utiliser les biocides non oxydants de façon systématique, Garantir l efficacité des traitements biocides
69 Procédés physiques Utilisation Souvent proposés pour contrôler l entartrage et la corrosion alors que certains ont, selon les fabricants, un pouvoir oxydant qui fait en sorte que les biocides, biodispersants et inhibiteurs de corrosion ne sont pas utilisés: Ionisation, Électromagnétique, Ozone, Ultrasonique. Efficacité Leur efficacité doit être suivie de plus près et des produits chimiques devraient pouvoir être disponibles rapidement en cas de dépassement des paramètres et indicateurs de qualité de l eau, incluant, les légionelles.
70 Les facteurs de risque.
71 Stagnation Zones de stagnation: - les canalisations d alimentation des pompes secours, - les bypass, - les canalisations assurant le refroidissement de procédés ou machines utilisées ponctuellement (exemple: groupes électrogènes), - les appareils à l arrêt temporaire (exemple : adoucisseur). Définir et mettre en oeuvre une procédure préventive Le Groupe AquaCion Inc.
72 Écoulement laminaire La vitesse d écoulement a une influence importante dans la formation de depôts et biofilms sur les surfaces. L écoulement lent favorisera la formation de biofilm..
73 L efficacité des éliminateurs est affectée par ŸL augmentation du débit d eau en circulation, L augmentation de la pression au niveau des distributeurs d eau (entartrage par exemple), L augmentation de la vitesse de l air, ŸLa modification du type de distributeurs d eau, Les dépôts, algues, saletés,
74 Pare gouttelettes défectueux.
75 Facteur de risque - localisation Le Palais de Justice de Saint-Jean-sur- Richelieu est situé dans une zone urbaine où des établissements abritant ou où séjournent des personnes considérées à risque élevé de contracter la maladie du Légionnaire, sont localisés entre 150 et 500 mètres du Palais de Justice. Photo prise du toit près de la tour - Centre d hébergement Georges Phaneuf -150 m au sud Palais de justice École / garderie Centre d hébergement
76 Facteur de risque dû à l accessibilité La conception actuelle des tours ne permet pas les inspections fréquentes (ou ne les facilite pas) L inspection visuelle est souvent difficile faute d accès: Dessus de la tour, Éléments internes (corps d échange, la rampe de distribution d eau, Pare gouttelettes. Le démontage/remontage des éléments constitutifs est délicat. La conception du bassin ne facilite pas toujours le nettoyage mécanique.
77 Accessibilité pour inspection
78 Prise d air frais Aspiration d air (tour) Prise d air frais
79 Facteur de risque - implantation Le confinement des tours favorise: La mauvaise évacuation du panache et sa stagnation au dessus des tours, Le recyclage du panache (ré-aspiration du panache des tours) est un risque de prolifération d algues sur le dessus des tours, La proximité d une source potentielle de contamination de l air présente un risque : - Rejet de cuisine: apport de nutriments pour les microorganismes. - Carrière, émissions de groupes électrogènes, travaux de construction: apport de matières en suspension et salissures.
80 Bras mort 2 pompes 1 tour 3 pompes 2 tours
81 Zone morte 3 pompes 2 tours: La pompe de secours est une zone morte ou bras mort temporaire (eau stagnante). Chaque tour opère indépendamment. Éliminer le risque???.
82 Facteur de risque - solides Source externe: Eau d appoint, pollen, poussière, débris, insectes, Source interne: Dépôts de corrosion, tartre, croissance d algues, débris Les solides réduisent l efficacité du traitement de l eau, Stratégie; Purge/nettoyage des tamis, du bassin, filtration.
83 Les solides Video: un tamis qui cause problème Le Groupe AquaCion Inc.
84 Tartre, corrosion Tartre: Favorise l adhésion du biofilm à la surface en formant une pellicule isolante, Réduit l efficacité de l échange de chaleur, Risque de corrosion sous dépôt (underdeposit corrosion)
85 Tartre, corrosion, biofilm Corrosion: (fer, zinc, etc.) Création de dépôts d oxydes sur les surfaces, Bouchages, Corrosion sous les dépôts, Réduit l efficacité de l échange de chaleur, Nutriments pour les bactéries, Surconsommation d inhibiteurs.
86 Paramètres indicateurs Identification de paramètres indicateurs de l efficacité des actions mises en oeuvre Établir les limites critiques pour chaque paramètre valeur cible - valeur d alerte - valeur d action Identification des actions correctives à mettre en oeuvre si un paramètre dérive Rédaction de procédures préventives & de remédiation Surveillance de l évolution des paramètres indicateurs Mise en oeuvre immédiate des procédures en cas de dérive Recherche de l origine de la dérive Corrections et feedback
87 Légionelle seuils RBQ Analyses suggérées (par culture): suivi mensuel LP au démarrage, après l hivernage au redémarrage après un arrêt prolongé changement majeur Source: Régie du bâtiment du Québec
88 Procédures à implanter Procédure de maintien de la qualité de l eau, Procédure d arrêt et de redémarrage pendant la période de service, Procédure de mise en hivernage et de redémarrage, Procédure de décontamination, Vérification des composantes mécaniques et équipements..
89 Maintien de la qualité de l eau Traitement: liste des produits /techniques utilisés et dosages requis pour le contrôle bactériologique, de la corrosion et de l entartrage, Suivi: détermination des paramètres à surveiller, les actions à prendre en cas de dépassement, à documenter et la fréquence: Journalier, hebdomadaire, mensuel, annuel
90 Procédure d arrêt et de redémarrage pendant la période de service (ASHRAE) Lors de l arrêt > 3 jours: drainer. Si drainage impossible, traiter l eau avec biocides appropriés avant le redémarrage. Démarrage d un système drainé: Enlever les débris, remplir le système, traiter avec biocide, maintenir 5 mg/l résiduel pour 6 heures, démarrer ventilateur et programme de traitement usuel. Analyse légionelle suggérée au démarrage.
91 Procédure d arrêt et de redémarrage pendant la période de service (ASHRAE) Démarrage d un système en eau stagnante: Enlever les débris accessibles de la tour ou des réservoirs, Effectuer une désinfection (selon procédure) sans circuler l eau sur les surfaces d échange, donc directement au bassin, Lorsque le contrôle biocide est réalisé, il est possible alors de circuler l eau sur la surface (sans ventilateur), Enfin, les ventilateurs peuvent entrer en fonction, Le traitement régulier est effectué. Analyse légionelle suggérée
92 Décontamination (CTI) Arrêt des ventilateurs, pompes en marche, Ajouter biocide pour obtenir 25 à 50 mg/l d halogène résiduel, Ajouter un biodispersant, Maintenir un résiduel de 10 mg/l pour 24 heures, Drainer, Remplir et refaire la même procédure, Inspecter: s il n y a pas d évidence de biofilm, nettoyer la tour mécaniquement. S il y a encore biofilm, répéter la procédure, Remplir le système et maintenir 10 mg/l pour une heure, drainer, Remplir le système et rétablir le traitement normal. Traitement hautement corrosif
93 Désinfection (en opération) Consiste à maintenir un résiduel d halogène à 5 mg/l pour au moins 6 heures, Il est suggéré d utiliser un biodispersant pour aider à déloger le biofilm, Pour traiter des situations d encrassement biologique,
94 Plan de surveillance
95
96 Le système idéal L eau circule constamment, Pas de zone morte ou d eau stagnante, Bassin et parois internes protégées du soleil, Absence de boues, débris et algues, Pare gouttelettes efficaces et en bonne condition, Pas d apparence d aérosols ou d entraînement, Système éloigné de résidences pour personnes agées, hôpital ou de quartier résidentiel, Peu de personnes potentiellement exposées, Biocide oxydant utilisé, Biodispersant en usage, Programme de traitement de l eau adéquat, Dosage automatique de produits chimiques, Contrôle automatique, Personnel bien formé sur le maintien du système et sur les points critiques à surveiller, Vigilence appropriée, Plan de contingence en place
97 Suivi et analyses Suivi des paramètres physico-chimiques: Ex: Ph, température, dureté, chlorures, conductivité, inhibiteurs, biocide libre, flore bactérienne, etc.; Valeurs acceptables des paramètres (seuils); Mesures correctives définies ou déterminées par le professionnel qui a fait le programme de traitement de l eau;
98 Suivi bactéries (dipslide) Indication visuelle après 48 heures Colonies / ml
99 Culture Échantillon d eau de 250 ml, Culture sur des pétris les bactéries vivantes vont croître, Incubation à 35 C, Durée de jours, Identification des espèces (légionelle spp), Identification de la Legionella Pneumophila Identification des sero-groupes (ex: 1 et 2-14) Donne le compte en UFC/L
100 Test de culture
101 Culture Exemple de résultats d analyse légionelle:
102 Test PCR PCR: Quantitative Polymerase Chain Reaction Test génétique sur ADN, Résultat en heures, Décompte total des légionelles viables et non viables, Ne distingue pas spécifiquement la Legionella Pneumophila (LP) Test considéré comme qualitatif et utile pour la détection: présence / absence
103 Test Hydrosense Détecte seulement la Legionella Pneumophila serogroupe 1, Anticorps provenant de la surface de la cellule, Filtration d un volume de 250 ml, Test qualitatif, Résultat en 25 minutes, Niveau de détection bas: 100 UCF/L, Test fait directement sur place, Ne remplace pas le test culture mais peut complémenter la stratégie d intervention.
104 Santé et sécurité Le propriétaire doit fournir un accès sécuritaire à la tour et aux composantes. L exposition des intervenants aux aérosols contenant des légionelles doit être limité. On devrait toujours considérer les environs de la tour comme contaminé et porter un masque N95 ou P100, selon la nature du travail à réaliser: inspection, inspection poussée, prise d échantillon à la tour, nettoyage, etc. Les ventilateurs devraient être arrêtés lors des inspections, Les opérations de nettoyage devraient s effectuer avec des équipements appropriés en raison des produits utilisés et de la production d aérosols, Les entrées d air frais près de la tour devraient être fermées et bouchées lors des nettoyages, Les fenêtres et portes fermées dans le voisinage immédiat lors du nettoyage, Formation du personnel sur le repérage des risques, sur les précautions à prendre, sur le port des équipements de protection respiratoire, En cas de maladie, informer le médecin de l exposition potentielle à des légionelles,
105 Exemple d équipement pour nettoyage
106 Le registre doit contenir Nom et coordonnées du propriétaire; Plans de conception et installation si disponibles; Manuel d opération et d entretien du fabricant; Nom et numéro de téléphone du responsable et du personnel affecté à l entretien; Les programmes d entretien; Les résultats d analyses des 2 dernières années; L historique et la description des opérations d entretien, des réparations, des remplacements et des modifications réalisées L information doit être compilée au registre depuis le 12 mai 2013.
107 Programme d entretien efficace Description du système incluant le schéma de l écoulement de l eau, Analyse des risques et facteurs de risques, Définir les seuils d intervention Plan de contingence Définir le suivi, les analyses, les modifications et recommandations à faire au système pour rencontrer les exigences du règlement Les procédures de traitement et d entretien à mettre en place et à effectuer selon les fréquences établies, incluant la santé et sécurité La documentation incluant le registre
108 Conclusion Le management du risque légionelle doit: Être intégré à la vie de l exploitation, Devenir un critère de bonne gestion, au même titre que les performances énergétiques ou financières. La lutte efficace contre le biofilm exige un nettoyage permanent de toutes les surfaces en contact avec l eau. Il est nécessaire de considérer tous les aspects de l installation susceptibles de générer un risque......conception, Implantation, Exploitation, Maintenance et Surveillance.
109 Conclusion L efficacité des traitements dépend: Des conditions de mise en oeuvre des biocides, De la surveillance des paramètres indicateurs, De la coordination des intervenants, De la mise en place d actions préventives adaptées. Il est nécessaire de: Former les opérateurs, Réaliser une «analyse des risques» méthodique sur les installations....conception, Implantation, Exploitation, Maintenance et Surveillance
110 ????? Un cas de maladie du légionnaire est déclaré dans votre région, près de vos installations. Qu arriverait-il si les autorités (RBQ ou la Santé Publique) faisaient une investigation poussée et/ou une inspection de vos installations? Seriez-vous prêt? Est-ce que votre programme serait défendable?
111 Le Groupe AquaCion Inc.
112 Tour - ouvert /fermé
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