Sources de lumière colorée

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sources de lumière colorée"

Transcription

1 Sources de lumière colorée PARtiE 1 Manuel unique, p. 44 ( Manuel de physique, p. 42) séquence Le programme notions et contenus Différentes sources de lumière : étoiles, lampes variées, laser, DEL Domaines des ondes électromagnétiques. Couleur des corps chauffés. Loi de Wien. observer Sources de lumière colorée Compétences attendues Distinguer une source polychromatique d une source monochromatique caractérisée par une longueur d onde dans le vide. Connaître les limites en longueur d onde dans le vide du domaine visible et situer les rayonnements infrarouges et ultraviolets. Exploiter la loi de Wien, son expression étant donnée. Pratiquer une démarche expérimentale permettant d illustrer et de comprendre la notion de lumière colorée. Les compétences à acquérir dans la séquence 1. Connaître différentes sources de lumière. 2. Comprendre la notion de lumière colorée.. Exploiter la loi de Wien. Évaluation diagnostique p. 44 Situation 1 Le Soleil est une source (primaire) de lumière : il produit la lumière qu il émet. La Lune est un objet diffusant : elle renvoie dans toutes les directions une partie de la lumière qu elle reçoit du Soleil. L activité 1 permet de lister différentes sources de lumière et de distinguer trois types de sources. Situation 2 Dans l entrepôt, les fruits sont éclairés par un tube fluorescent, ce qui explique des couleurs plus bleutées sur le cliché a. L activité 2 permet de comparer la composition en lumières colorées de différentes sources. Situation Contrairement à la terminologie utilisée en peinture, les étoiles rouges sont plus froides que les étoiles bleues. L activité montre comment la loi de Wien permet de déterminer la température d un corps chaud à partir de la longueur d onde d émission maximale. 25

2 Activités Activité 1 Les lampes électriques p a Lampe à filament ; b DEL ; c lampe halogène ; d tube néon ; e lampes fluorescentes. 2. Non, certaines émettent de la lumière colorée, comme les DEL et le tube néon.. Les lampes à filament sont trop consommatrices d énergie électrique, leur rendement est faible car il y a trop d énergie dissipée sous forme thermique. 4. a. Les gaz inertes (ou gaz nobles) appartiennent à la dernière colonne du tableau périodique (cf. programme de 2 de ). Exemples : l hélium He, le néon Ne, l argon Ar, le krypton Kr, le xénon Xe et le radon Rn. b. Les halogènes sont les éléments chimiques situés dans l avant-dernière colonne de la classification périodique (cf. programme de 2 de ). Exemples : le fluor F, le chlore Cl, le brome Br, l iode I et l astate At. 5. Une lampe à décharge contenant seulement du mercure gazeux à basse pression ne peut pas servir à l éclairage car elle émet essentiellement des rayonnements ultraviolets, qui n appartiennent pas au visible. 6. Sources incandescentes : lampe à filament et lampe halogène. Sources luminescentes : lampes fluorescentes, tube néon et DEL. Activité 2 Les couleurs d une lumière p La longueur d onde est représentée en abscisse. 2. a. La lumière émise par un tube fluorescent est polychromatique car elle est constituée de plusieurs radiations de longueurs d onde différentes. b. Le spectre de la lampe fluorescente «lumière du jour» contient pratiquement toutes les radiations du visible, son spectre est continu. Celui de la lampe fluorescente «basic» présente des trous (certaines radiations du visible ne sont pas émises) ; son spectre est discontinu.. a. Les spectres de la lumière émise par un tube fluorescent contiennent les radiations visibles du spectre de la lumière du jour, mais l intensité lumineuse de chaque radiation est différente. Les profils spectraux des lampes fluorescentes présentent des pics pour certaines longueurs d onde, alors que l intensité lumineuse des différentes radiations de la lumière du jour varie progressivement, avec un maximum dans le bleu-vert. Le profil de la lampe fluorescente «lumière du jour» présente trois pics importants (dans le bleu, dans le vert et dans le jaune-orange). Celui de la lampe fluorescente «basic» présente deux pics importants (l un dans le vert et l autre dans le jaune-orange), mais certaines longueurs d onde ont une intensité lumineuse faible ou quasi nulle. Remarque : la lumière du jour est la lumière solaire après sa traversée de l atmosphère terrestre, elle varie donc en fonction de la saison, de l heure de la journée, du lieu, des conditions climatiques b. Pour qu une lumière génère des sensations colorées proches de celles de la lumière du jour, il n est pas nécessaire que son profil spectral soit identique à celui de la lumière du jour, mais il faut que les différentes radiations colorées soient globalement «équilibrées», ce qui est le cas pour la seconde lampe fluorescente. En revanche, la lumière émise par la première lampe fluorescente présente une intensité lumineuse trop faible pour certaines radiations (comme les radiations bleu-cyan ou rouges) et au contraire trop forte pour d autres (comme les radiations orange). 4. a. Le profil spectral de la lumière est la courbe donnant l intensité lumineuse des radiations de la lumière en fonction des longueurs d onde de ces radiations. C est en quelque sorte une carte d identité de celle-ci. b. Les profils spectraux mettent en évidence la composition spectrale de la lumière, c est-à-dire la qualité de la lumière. 5. L œil ne contient que types de cônes pour recevoir l information couleur d une lumière. Les sensations colorées ressenties par l œil en présence d un faisceau lumineux résultent de l addition des composantes monochromatiques de ce faisceau. 26

3 Activité Corps noir et lumière blanche p. 48 Si le laboratoire ne dispose pas de spectroscope à fibre optique ou d un dispositif pour enregistrer l intensité lumineuse, observer les lumières avec un simple spectroscope et donner (ou projeter) aux élèves les profils spectraux (de nombreuses ressources numériques sont disponibles). La correction correspond à l utilisation d une lampe à filament classique (pas une lampe halogène). 1. a. Lorsque la température augmente, la couleur de la lumière émise est rouge, puis orange, jaune et enfin blanc-jaune. b. Même lorsque la température du filament est la plus élevée, la lumière n est pas aussi «blanche» que la lumière solaire, elle présente une dominante jaune. 2. a. La lumière du Soleil est blanche et son spectre continu contient toutes les radiations visibles, du violet (80 nm) au rouge (780 nm). La courbe d intensité lumineuse présente un pic autour de 500 nm l (nm) b. Oui, car le spectre de la lumière solaire est continu, c est un spectre d origine thermique.. a. ª 490 nm. b. T = 2, , d où T ª K ª C. Compte tenu de la détermination approximative de la valeur de , la température du Soleil ne peut pas être donnée avec plus de 2 chiffres significatifs. 4. a. Lorsque la température est faible (lumière rouge), le spectre continu ne contient que des radiations rouges (l > 600 nm), de faible intensité lumineuse. Lorsque la température est élevée (lumière blancjaune), le spectre continu contient des radiations allant du violet-bleu au rouge, avec une intensité lumineuse qui croît avec la longueur d onde. b. Contrairement à celui de la lumière solaire, le profil spectral de la lumière émise par un filament chauffé ne contient pas toutes les radiations visibles et ne présente pas de pic. 5. a. Non, car les profils obtenus ne présentent pas de pic d émission lumineuse. b. T = 2, , d où lmax 1, m ª 1mm ª nm > 800 nm : le pic lumineux se situe dans l infrarouge. 6. Non, car il faudrait porter le filament à une température d environ C. exercices CoMPÉtEnCE 1 : Connaître différentes sources de lumière 1 a. Vrai. b. Faux. Un écran de cinéma est un objet diffusant, il renvoie dans toutes les directions une partie de la lumière qu il reçoit du projecteur. PARTIE 1 Séquence Sources de lumière colorée 27

4 c. Faux. Les vapeurs de mercure excitées émettent un rayonnement dans le domaine de l UV. Ce sont les substances fluorescentes présentes sur la paroi interne du tube qui, soumises à ces UV, émettent la lumière. d. Faux. Une DEL est une source à luminescence Incandescence et luminescence. 2. Non, la luminescence n est pas un phénomène thermique.. Le tungstène est le métal qui a la température de fusion la plus élevé. Sources à incandescence : la flamme d un briquet, une lampe halogène, le Soleil, du métal en fusion, les braises. Sources à luminescence : un laser, une DEL, un écran d ordinateur, un tube fluorescent, les lucioles, les éclairs Le filament de tungstène, porté à haute température (environ C) par le passage d un courant électrique, émet de la lumière visible (par incandescence). 2. Le gaz inerte permet d éviter la détérioration du filament. 5 Sous l effet de décharges électriques, le mercure contenu dans le tube émet un rayonnement ultraviolet qui excite le revêtement fluorescent, provoquant ainsi l émission de lumière visible La phosphorescence. 2. Des substances fluorescentes sont déposées sur la paroi interne du tube des lampes fluocompactes, sur les panneaux routiers ; dans les colorants pour tissus (jaune fluo des gilets de sécurité), pour papier (post-it ), pour encre (surligneur). Des substances phosphorescentes sont utilisées dans la confection des bandes placées sur les gilets de sécurité (mais aussi sur certains cartables, blousons, chaussures et autres) ; les étoiles que l on colle au plafond 7 Avantages : longue durée de vie, économique en énergie, moins fragile et chauffe très peu. Inconvénients : le rendu des couleurs n est pas toujours très bon, cher à très cher. Remarque : Les lampes à diodes sont récentes (apparues à la fin des années 1990) et encore en développement. Leurs performances évoluent très rapidement. 8 Produire de la lumière blanche avec des DEL Il y a deux manières de produire une lumière blanche avec les LEDS (diodes électroluminescentes ou DEL en français). La première, introduite au Japon en 1996, utilise une LED bleue recouverte d une couche de phosphore. La deuxième méthode utilise la synthèse additive : on superpose la lumière émise par trois LEDs rouge, verte et bleue. 1. Quelles sont les deux approches possibles pour produire de la lumière blanche avec des DEL? 2. Quels sont les avantages de produire de la lumière blanche avec des DEL? Vous pouvez utiliser les données de l exercice Première méthode : utiliser une DEL bleue recouverte de phosphore. Deuxième méthode : utiliser la synthèse additive par convergence de la lumière émise par des DEL rouge, verte et bleue. 2. Pour l éclairage, on a besoin de lumière blanche. Les DEL blanches ont l avantage d être économes en énergie, de ne pas chauffer et d avoir une durée de vie importante. COMPÉTENCE 2 : Comprendre la notion de lumière colorée 9 a. Une lumière monochromatique est une lumière qui ne peut pas être décomposée par un système dispersif. b. Sa longueur d onde dans le vide. c. Une lumière monochromatique de 670 nm est rouge. 28

5 d. L œil humain n est pas capable de discerner les différentes composantes d un rayonnement et ne perçoit que la résultante, fonction des différentes longueurs d onde qui le composent et de leur intensité lumineuse respective. e. L œil humain est capable de voir des rayonnements dont la longueur d onde est comprise entre 80 et 780 nanomètres. f. La longueur d onde des rayonnements ultraviolets est inférieure à 80 nm, tandis que celle des rayons infrarouges est supérieure à 780 nm. 10 La lumière blanche est la superposition de lumières colorées. 11 La seule source monochromatique est la lampe sodium basse pression La lumière émise par la lampe est polychromatique car elle est composée de 5 lumières colorées monochromatiques. 2. a. Le filtre ne laisse passer qu une seule radiation (celle de longueur d onde égale à 486 nm), le spectre de la lumière transmise ne contient qu une seule raie. b. La lumière transmise est une lumière monochromatique de 486 nm : c est une lumière cyan. CoMPÉtEnCE : Exploiter la loi de Wien 14 a. Faux. La longueur d onde à laquelle un maximum d intensité lumineuse est émis par un corps noir est inversement proportionnelle à sa température. b. et c. Vrai. d. Faux. Le spectre d émission d un corps noir est d origine thermique et il ne dépend que de la température de ce corps (l état de surface du corps n intervient pas). e. Vrai. 15 La température de Bételgeuse Utiliser la loi de Wien pour estimer la température de l étoile super-géante rouge Bételgeuse. Bételgeuse apparaît rouge, mais son profil spectral présente en fait un pic dans l infrarouge à une longueur d onde de 855 nanomètres. T = Cte, avec Cte = 2, m K. 2, D où T, 9 10 K, C T = 2, m K d où T = 2, /1, = 2,6 K I ( 10 1 W m 2 ) l (nm) 2. = 460 nm.. Température de surface du Soleil : T 2, avec = m soit T = 6, 10 K. PARTIE 1 Séquence Sources de lumière colorée 29

6 19 1. Pour les deux lampes, > 780 nm : le maximum d émission se fait dans l infrarouge. 2. ( b ) < ( a ), donc, d après la loi de Wien, T( b ) > T( a ).. La présence de composés halogénés permet d augmenter la température du filament. Exercices de synthèse 20 Température en C Température en K Maximum d émission Domaine d émission UV/visible/IR Arcturus nm visible Rigel nm UV Filament de lampe ,04 mm IR Lave en fusion ,00 mm IR Fer à repasser ,06 mm visible Corps humain ,5 mm IR Surface de la Lune de 150 C à C de 42 K à 12 K de 6,85 à 2,6 mm IR Limites des longueurs d onde dans le vide du spectre visible : 80 nm (violet) < l < 780 nm (rouge). 2. a. et b. L œil est le plus sensible pour l ª 550 nm, c est-à-dire pour le vert.. D après la courbe, la sensibilité aux rayonnements lumineux de couleur violette est très faible car, pour l ª 400 nm (violet), la sensibilité de l œil n atteint même pas 5 % de la sensibilité maximale (pour l ª 550 nm) a. et b. Le Soleil n émet pas uniquement dans le domaine du visible, il émet aussi dans le domaine des ultraviolets (l < 80 nm) et des infrarouges (l > 780 nm). 2. a. Le maximum d émission est dans le domaine du visible : l max 500 nm = 5, m. b. En utilisant la loi de Wien, on obtient : T = 2, / = 5,8 x 10 K soit environ C.. a. Les maxima d émission du Soleil et de la sensibilité de l œil humain sont proches, respectivement 500 nm et 550 nm, donc dans le vert. b. Si la température de surface de notre étoile était plus élevée, son maximum d émission serait déplacé vers les plus faibles longueurs d onde (loi de Wien). Il en serait probablement de même pour le maximum de sensibilité de l œil a. = 2, /T = 2, /(0,0 + 27) = 9, m = 9,56 mm. b. 9,47 mm 9,6 mm lorsque la température cutanée passe de 28,0 C à,0 C. 2. a. les valeurs de sont largement supérieures à la limite du visible (0,780 mm), donc le rayonnement cutané est dans l infrarouge. b. Cette technique d imagerie ne présente aucun danger pour la santé car c est un examen non invasif puisqu il se limite à analyser, sans contact (et donc sans douleur), un rayonnement émis par la peau. c. Les caméras infrarouge servent : aux pompiers pour rechercher des victimes, pour localiser un foyer ou un point chaud à l armée ou à la police lors des opérations de nuits pour détecter la présence d individus ou d animaux ; aux recherches des zones froides (diagnostic thermique) ou humides (recherche de fuite) d un bâtiment ; à détecter les personnes ayant de la fièvre, par exemple dans un aéroport lors d une épidémie. 0

7 24 1. Le rayonnement émis par ces différentes diodes est polychromatique. 2. a. Le profil spectral des diodes a, c et d présente un pic d émission respectivement pour les longueurs d onde d environ 680 nm, 600 nm et 470 nm. b. Non, car la loi de Wien ne permet de déduire que la température d un corps chaud qui rayonne comme un corps noir, or l émission d une diode n est pas d origine thermique.. Le pic de ce profil spectral se situe dans l infrarouge pour des longueurs d onde (> 850 nm) qui ne peuvent être analysées par le spectroscope utilisé au laboratoire. 4. a. La diode b est l élément principal d une télécommande puisque c est la seule qui émet dans l infrarouge. b. La diode a est la «diode laser», car son pic d émission est très étroit, le rayonnement est «pratiquement» monochromatique La lumière blanche est obtenue par synthèse additive. 2. a. Le premier pic assez étroit se situe à 460 nm (bleu), le second très large se situe vers 550 nm (vertjaune) b. Le premier pic correspond à la lumière émise par la DEL bleue, le second à l émission des phosphores excités par la lumière bleue de la DEL.. a. Comme le spectre «lumière du jour», le spectre d une diode blanche est continu et s étale sur tout le domaine du visible, mais l intensité lumineuse présente des pics et des creux (intensité très importante des radiations bleues, intensité très faible des radiations cyan et d une partie des radiations vertes et rouges). b. La lumière jaune (lumière verte + lumière rouge) émise par les phosphores coïncide assez bien avec la courbe de la sensibilité de l œil, tandis que la lumière bleue très intense émise par la DEL bleue est fortement atténuée par l œil (zone de faible sensibilité) : par synthèse additive, on peut donc considérer comme blanche la lumière émise par la diode. En route vers la Terminale a. Les pics présents dans le spectre de la lumière émise par un tube fluorescent correspondent aux raies d émission des vapeurs de mercure. b. Les poudres permettent d obtenir une lumière dont le spectre continu contient toutes les lumières monochromatiques du visible. 2. Oui, car si les poudres fluorescentes produisent de la lumière visible, c est que la vapeur de mercure contenue dans le tube émet un rayonnement compris entre 200 et 00 nm, donc en dehors du visible.. On constate que l intensité relative des différentes radiations n est pas la même pour les deux tubes (la couleur de la lumière émise est différente), donc la nature de la poudre fluorescente déposée est différente. PARTIE 1 Séquence Sources de lumière colorée 1

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

La recherche d'indices par fluorescence

La recherche d'indices par fluorescence La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» Sources : syndicat de l éclairage et CNIDEP A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales L éclairage a pour vocation : - D assurer de bonnes conditions de travail,

Plus en détail

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse

Plus en détail

D Utilisation des Spectromètres à CCD

D Utilisation des Spectromètres à CCD D Utilisation des Spectromètres à CCD (de marque Ocean Optics, Avantes ou Getspec version USB2000 et USB650) I PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU SPECTROMETRE : La lumière à analyser est transmise au spectromètre

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

La lumière. Sommaire de la séquence 10. t Séance 4. Des lumières blanches. Des lumières colorées. Les vitesses de la lumière

La lumière. Sommaire de la séquence 10. t Séance 4. Des lumières blanches. Des lumières colorées. Les vitesses de la lumière Sommaire de la séquence 10 La lumière t Séance 1 Des lumières blanches t Séance 2 Des lumières colorées t Séance 3 Les vitesses de la lumière t Séance 4 Je fais le point sur la séquence 10 Ce cours est

Plus en détail

Mémento à l usage du personnel des laboratoires

Mémento à l usage du personnel des laboratoires Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l

Plus en détail

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants & INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Guide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique

Guide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Guide de l éclairage to energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Sommaire Pour y voir plus clair 3 L essentiel en bref 4 Comparatif anciennes/nouvelles ampoules 6 Ampoules basse consommation

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

Comparaison des performances d'éclairages

Comparaison des performances d'éclairages Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence

Plus en détail

Dossier enseignant Etude d un tableau. grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on

Dossier enseignant Etude d un tableau. grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris www.universcience.fr Dossier enseignant Etude d un tableau grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on Chloé LAVIGNOTTE SOMMAIRE INTRODUCTION...p3

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324

Plus en détail

THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.

THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des

Plus en détail

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés

Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être

Plus en détail

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

1028 Lampes Tubes Fluorescents

1028 Lampes Tubes Fluorescents 1028 Lampes Tubes Fluorescents legende photo appli 2 Lampes Tubes Fluorescents 1029 Tubes Fluorescents Les tubes fluorescents sont des lampes à décharge tubulaires à vapeur de mercure basse pression dont

Plus en détail

HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE

HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON LES AVANTAGES En comparant

Plus en détail

eduscol Ressources pour le lycée général et technologique Physique - Chimie Ressources pour la classe de première générale et technologique Série S

eduscol Ressources pour le lycée général et technologique Physique - Chimie Ressources pour la classe de première générale et technologique Série S eduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de première générale et technologique Physique - himie Série S es documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

L'éclairage des tunnels par LED

L'éclairage des tunnels par LED NOTE D'INFORMATIONn 19 L'éclairage des tunnels par LED Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement Centre d'études des Tunnels www.cetu.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels

Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels Direction de la Santé - Division de la Santé au Travail SOMMAIRE [ p. 4 - p. 5 ] Introduction [ p. 6 - p. 7 ] Législation Obligations de l

Plus en détail

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille

Plus en détail

INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES

INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES index ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATIONS DL 2101ALA DL 2101ALF MODULES INTERRUPTEURS ET COMMUTATEURS DL 2101T02RM INTERRUPTEUR INTERMEDIAIRE DL 2101T04 COMMUTATEUR INTERMEDIAIRE

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

Guide de référence de L ÉCLAIRAGE

Guide de référence de L ÉCLAIRAGE Guide de référence de L ÉCLAIRAGE CLAUSE DE NON-RESPONSABILITÉ : Ni CEA Technologies Inc., ni les auteurs, ni les commanditaires, ou toute autre personne agissant en leur nom, ne seront en aucun cas tenus

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Eclairage artificiel

Eclairage artificiel Eclairage artificiel Directions de lumière Effets de la source Mise en Scène Mise en Valeur Eléments de Projet Directions de lumière La composition lumineuse d une scène suppose la maîtrise des directions

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.

Plus en détail

Étude et modélisation des étoiles

Étude et modélisation des étoiles Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur

Plus en détail

Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation

Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation Auteurs_ Pr. Irina K. Lutskaya, Dr Natalia V. Novak & Valery P. Kavetsky, République de Biélorussie Fig. 1 Fig. 2 Fig. 1_Revêtements

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est

Plus en détail

Les LEDs et les plantes

Les LEDs et les plantes Les LEDs et les plantes Ing. Samuël Colasse 1, Ir. Julien Louvieaux 2,Dr. Thierry Marique 3 et Dr. Cécile Nanbru 4 L emploi des diodes luminescentes (ou LED pour «light emitting diode») devient de plus

Plus en détail

Bien choisir son éclairage

Bien choisir son éclairage L habitat AGIR! Bien choisir son éclairage Meilleur pour l environnement, moins coûteux pour vous et efficace partout Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction De la lumière sans gaspillage....

Plus en détail

LES PROJECTEURS : FLUORESCENTS

LES PROJECTEURS : FLUORESCENTS Les tubes fluorescents ayant faits d'énormes progrès en terme de qualité de lumière et de puissance, de nombreux fabricants ont lancés sur le marché des projecteurs puissants et légers utilisant ces sources.

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

RDP : Voir ou conduire

RDP : Voir ou conduire 1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01 Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)

Plus en détail

ALARME DOMESTIQUE FILAIRE

ALARME DOMESTIQUE FILAIRE ALARME DOMESTIQUE FILAIRE DOSSIER RESSOURCES Académie de LYON BAC Pro Électrotechnique, Énergie, Équipements Communicants Page 1 sur 15 SOMMAIRE Introduction... page 3/15 Le sous-système : maquette alarme

Plus en détail

Lampes à DEL EcoShine II Plus

Lampes à DEL EcoShine II Plus Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre

Plus en détail

Recycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!

Recycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif

Plus en détail

La Photographie - Page 1 / 13

La Photographie - Page 1 / 13 La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil

Plus en détail

Nom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX

Nom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du

Plus en détail

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la

Plus en détail

L énergie durable Pas que du vent!

L énergie durable Pas que du vent! L énergie durable Pas que du vent! Première partie Des chiffres, pas des adjectifs 9 Lumière S éclairer à la maison et au travail Les ampoules électriques les plus puissantes de la maison consomment 250

Plus en détail

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.» Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.

Plus en détail

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Spectrophotomètres. Spectrophotomètres modèle 6700. Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques

Spectrophotomètres. Spectrophotomètres modèle 6700. Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques Spectrophotomètres Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques Forte de son expérience en spectrophotométrie, la société Jenway a mis au point une série de spectrophotomètres nouvelle génération.

Plus en détail

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)

Plus en détail

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: 1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d

Plus en détail

Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois

Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois Modèle T8-18 W (60 cm) / 36 W (120 cm) / 58 W (150 cm) 830 (Blanc Chaud) / 840 (Blanc Deluxe) / 865 (Lumière du Jour) Les Tubes Fluorescents

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4 Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?

Plus en détail

Contrôle Non Destructif C.N.D.

Contrôle Non Destructif C.N.D. Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres

Plus en détail

Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)

Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) 1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Spectrophotomètres. www.jenway.com

Spectrophotomètres. www.jenway.com Imlab Oude Vijvers 1 B-3370 Boutersem Spectrophotomètres www.jenway.com Bibby Scientific France - ZI du Rocher Vert - BP 79-77793 Nemours Cedex Tél. : 01 64 45 13 13 - Fax : 01 64 45 13 00 - email : bsf@bibby-scientific.fr

Plus en détail

Le LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus

Le LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus Séminaire à Namur - le 24 octobre 2014 Le LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus Ingrid Van Steenbergen Consultante en

Plus en détail

Collimateur universel de réglage laser

Collimateur universel de réglage laser Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage

Plus en détail

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique

Le triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue

Plus en détail

BC LABEL Location de bornes photos numériques

BC LABEL Location de bornes photos numériques BC LABEL Location de bornes photos numériques Mise a jour le 11-09-2014 page 1 / 63 Clé USB Pivotante Couleur Délais de livraison : 10 2, 32Go, 64 Go Tampographie, Gravure Laser Rouge, Vert, Jaune, Bleu

Plus en détail