SOINS PÉNALEMENT OBLIGÉS S :
|
|
- Maurice Beauregard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SOINS PÉNALEMENT P OBLIGÉS S : Obligation de soins, injonction de soins, incitation aux soins
2 INTRODUCTION
3 INTRODUCTION Code PénalP Code de Procédure PénaleP Code de Santé Publique
4 INTRODUCTION Difficulté de conciliation avec la loi du 4 Mars 2002 : la question du consentement Pas de soins contraint en détentiond Soins pénalement p obligés: pas d obligation d de résultatr
5 OBLIGATION DE SOINS
6 OBLIGATION DE SOINS Premier type de soins pénalement p obligés s en France, en 1958: Injonction thérapeutique (art. L et du CSP): Condamné à peine assortie de sursis avec mise à l épreuve Usager de stupéfiants ou alcoolique «se soumettre à des mesures d examen d médical, m de traitement ou de soins, même sous le régime r de l hospitalisationl» Intervention du médecin m relais, qui fait connaître son avis motivé sur l opportunitl opportunité médicale de la mesure
7 OBLIGATION DE SOINS Extension de la population-cible: 1972: condamnés s en liberté conditionnelle 1983: condamnés à peine de prison assortie de sursis et TIG 1986: placement en ½ liberté 1998: placement extérieur
8 OBLIGATION DE SOINS Fait partie des obligations au même titre que : Les interdictions de se rendre dans certains lieux Interdiction d exercer d une activité professionnelle ou bénévole impliquant un contact habituel avec des mineurs Obligation de changer de résidencer Interdiction d entrer d en relation avec certaines personnes, dont mineurs Augmentation des mensualités s devant être versées es à la victime
9 OBLIGATION DE SOINS S adresse à: Mis en examen: Présentenciel : Contrôle Judiciaire (Art CPP) Ajournement avec mise à l épreuve (Art CP) Condamnés s : Aménagement de peine: Sursis avec mise à l épreuve (Art CP) Sursis avec TIG (Art CP) Placement extérieur, ½ Liberté Mesure de sûrets reté post-sentencielle sentencielle: Surveillance judiciaire (Art CPP) Surveillance de sûrets reté
10 OBLIGATION DE SOINS Pas spécifique à une infraction Ne nécessite n pas l avis l d un d expert pour la mise en œuvre ou l arrêt l (selon le «bon sens» du juge) Prononciation facultative par le juge d instruction, de juridiction de jugement, ou de l application l des peines Durée e maximum: 3 ans
11 OBLIGATION DE SOINS Contrôle du respect des mesures confié au JAP, assisté du SPIP. Si non respect des obligations : possibilité de révocation r partielle ou totale du sursis ou de la mesure d amd aménagement de peine Certificat médical m comme seul justificatif du suivi. Libre choix du médecin m traitant par le patient.
12 INJONCTION DE SOINS
13 INJONCTION DE SOINS Instaurée e par la loi n du 17 Juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles. Initialement seulement dans le cadre du suivi socio-judiciaire Pas d effet d rétroactifr Loi réformr formée e le 12/12/2005 et 10/08/07
14 INJONCTION DE SOINS Catégories pénales p concernées es (17/06/98( 17/06/98) Personnes poursuivies pour le meurtre ou l assassinat d un d mineur précédé ou accompagné d un viol, de tortures ou d actes d de barbarie Auteurs de viols et autres agressions sexuelles, y compris les exhibitions sexuelles, à l exception du harcèlement sexuel Atteintes sexuelles commises sans violence sur des mineurs et délits d de corruption de mineurs, de diffusion d images d de mineurs présentant un caractère re pornographique ou de diffusion de messages pornographiques susceptibles d être d vus par un mineur
15 INJONCTION DE SOINS Catégories pénales p concernées es (rajout( rajoutées dans la loi du 12/12/05) ) outre les infractions sexuelles : Atteintes criminelles à la vie Enlèvements et séquestrationss Actes de torture et de barbarie Destruction volontaire de biens par explosif ou incendie
16 INJONCTION DE SOINS Catégories pénales p concernées es (rajout( rajoutées dans la loi du 5/03/2007 relative à la prévention de la délinquanced linquance): Violences conjugales (Art. 222 (Art CP) Violences sur <15 ans par ascendant (Art CP) (Art Proposition sexuelles à < 15 ans sur internet (Art et CP)
17 INJONCTION DE SOINS Cette injonction de soins s appliquera s dans le cadre : D un suivi socio-judiciaire (loi 17/06/98) D une peine d emprisonnement d assortie d un d sursis avec mise à l épreuve (loi 12/12/05) D un placement sous surveillance judiciaire (loi 12/12/05) D une libération conditionnelle de la personne incarcérée (loi 12/12/05) D une surveillance de sûrets reté (mars 2008)
18 INJONCTION DE SOINS Le suivi socio-judiciaire avec ou sans injonction de soins est une peine, qui peut faire office de peine principale, ou de peine complémentaire, mentaire, suite à une incarcération ration préalable Initialement l apanage l de la juridiction de jugement, peut être, ou doit être, désormais d prononcé en application de la peine. Les personnes poursuivies pour l'une des infractions mentionnées es à l'article doivent être soumises, avant tout jugement au fond, à une expertise médicale. m L'expert est interrogé sur l'opportunité d'une injonction de soins... (Art CPP)
19 INJONCTION DE SOINS Une expertise psychiatrique préalable est nécessaire avant de décider d d une d peine de SSJ avec IS. Dans loi du 17 juin 1998,, nécessitn cessité d un collège de deux experts Réformé par loi du 10 août t 2007 : un seul expert suffit Si conclut à la «possibilité d un traitement»,, IS applicable, sauf avis contraire du JAP
20 INJONCTION DE SOINS Lorsqu une une personne condamnée à un SSJ avec IS doit subir une peine privative de liberté,, elle exécute sa peine dans un établissement pénitentiaire permettant de lui assurer un suivi médical et psychologique adapté L expertise médicale m est communiquée à l AP afin de faciliter le suivi médical m et psychologique en détention Cette personne est immédiatement informée e par le JAP de la possibilité d entreprendre un traitement. Si elle ne consent pas à suivre un traitement, cette information est renouvelée e au moins 1 fois tous les 6 mois
21 INJONCTION DE SOINS La personne condamnée à un SSJ est placée e sous le contrôle du JAP Le JAP convoque le condamné à un SSJ pour : Lui rappeler les obligations auxquelles il est soumis Lui notifier les obligations complémentaires mentaires qu il ordonne Porter à sa connaissance les conditions de contrôle du respect des obligations Lui rappeler la durée e du suivi et la durée e maximale de l emprisonnement encouru Lui indiquer le nom du médecin m coordonnateur lq IS, qu il devra rencontrer dans un délai d < 1 mois
22 INJONCTION DE SOINS Si le condamné refuse les soins (soins avec consentement) Mise à exécution de la peine prévue dans la condamnation ordonnant le SSJ (max 3 ans pour délit d sexuel et 7 ans pour crime sexuel) Révocation du sursis Réincarcération ration après s retrait des réductions r de peine du condamné placé sous surveillance judiciaire Révocation de la liberté conditionnelle
23 INJONCTION DE SOINS Loi du 17 juin 1998 : la peine de suivi socio- judiciaire ne s applique s qu à compter de la libération du détenu, d ie après s l exl exécution d une d peine privative de liberté éventuelle Incitation aux soins lors de l incarcl incarcération ration : une «réduction supplémentaire de la peine peut être accordée e aux condamnés s qui manifestent des efforts sérieux s de réadaptation r sociale ( )( ) en suivant une thérapie destinée à limiter les risques de récidiver cidive» (art du CPP)
24 INCITATION AUX SOINS Réforme par la loi du 10 août t 2007 qui introduit désormais une incitation ferme pour les détenus d à accepter les soins durant leur incarcération ration : «aucune libération conditionnelle et aucune réduction supplémentaire de peine ne seront accordées si la personne refuse pendant son incarcération ration de suivre le traitement qui lui est proposé par le JAP» Consentement «libre» du patient aux soins? Authenticité de la demande de soin du patient?
25 INJONCTION DE SOINS Le JAP désigne, d sur une liste de psychiatres, ou de médecins m ayant suivi une formation appropriée, un médecin coordonnateur qui est chargé : D'inviter le condamné à choisir, avec son accord, un médecin m ou psychologue traitant. En cas de désaccord d persistant sur le choix effectué,, le médecin m est désignd signé par le juge de l'application des peines, après s avis du médecin m coordonnateur De conseiller le médecin m traitant si celui-ci ci en fait la demande De transmettre au juge de l'application des peines ou à l'agent de probation les éléments nécessaires n au contrôle de l'injonction de soins De conseiller le condamné,, au terme de l exl exécution de son suivi, concernant les possibilités s dont il dispose, si cela s avs avère nécessaire, n de poursuivre les soins en l absence l de tout contrôle de l autoritl autorité judiciaire
26 INJONCTION DE SOINS Le médecin m coordonnateur peut fournir au médecin m traitant, si celui-ci ci le souhaite, l ensemble l des expertises médicales et psychologiques de son patient, ainsi que les pièces essentielles de la procédure pénale p qui pourraient lui être utiles Ne peut pas avoir un lien familial, d alliance d ou d intd intérêt professionnel avec la personne condamnée Il ne peut être ni devenir médecin m traitant de celle-ci, ci, ni avoir procédé à son expertise au cours de la procédure, ni être désignd signé pour y procéder au cours du SSJ
27 INJONCTION DE SOINS Le médecin m coordonnateur convoque périodiquement, et au moins une fois par trimestre la personne condamnée, pour réaliser r un bilan de sa situation, afin d'être en mesure de transmettre au juge de l'application des peines les éléments nécessaire n au contrôle de l'injonction de soins (>1/an). Il coopère à la réalisation r d éd évaluations périodiques du dispositif de l IS, l ainsi qu à des actions de formation et d éd étude Est payé par la DDASS
28 INJONCTION DE SOINS Le médecin m (ou psychologue) traitant : délivre des attestations de suivi du traitement à intervalles réguliers, r afin de permettre au condamné de justifier auprès s du JAP de l'accomplissement de l ISl sans que puissent lui être opposées les dispositions relatives au secret médical, m informer le JAP de l arrêt l des soins ou des difficultés s survenues dans l exl exécution de ces derniers. Mais s il s le préfère, re, il peut passer par le médecin m coordonnateur détermine seul le traitement adapté à l état du condamné.
29 MT peut proposer au JAP d ordonner d une nouvelle expertise médicale m de son patient Il peut décider d d'interrompre le suivi d'une personne condamnée e ; informe alors sans délai le médecin m coordonnateur et la personne condamnée e par lettre recommandée e avec accusé de réceptionr
30 INJONCTION DE SOINS Le principe de la liberté des soins est bien affirmé : possibilité pour la personne condamnée e de changer de médecinm Possibilité pour le praticien d interrompre d le suivi d une d personne condamnée Défense faite au JAP d intervenir d dans le déroulement des soins décidd cidés s par le médecin traitant
31 Obligation / Injonction En pratique, le plus fréquemment prononcé et rencontré Cadre juridique plus précis Plus structuré
32 Obligation / Injonction Applications larges : délits le plus souvent (coups et blessures, violences, atteintes aux biens, usage de stupéfiants fiants ) Faits graves au départ d : Violences sexuelles uniquement ( ) Puis élargissement
33 Obligation / Injonction Pas d avis d médical m préalable Absence de médecin m coordonnateur Médecin traitant doit fournir certificat, que patient transmettra ensuite au JAP Nécessité d expertise médicale préalable Médecin coordonnateur Médecin traitant en lien avec médecin m coordonnateur
34 CONCLUSION Pour X. Lameyre,, la perspective de ces soins pénalement obligés s est d entrad entraîner ner une triple responsabilisation : Du condamné : qui grâce au jugement qui l a l a déclard claré coupable, va pouvoir s approprier s une obligation, réponse r personnelle à une transgression ayant fait l objet l d une d sanction publique De praticiens qui rencontreront le condamné et qui, pcq ils connaîtront l enjeu l essentiel d une d telle obligation, devront répondre r aux sollicitations individuelles et institutionnelles qui leur sont adressées Du magistrat qui par ses décisions d devra apporter une réponse adaptée e tant aux intérêts des autres (notamment victime) qu au respect de la personne jugée
35 CONCLUSION Escalade judiciaire récente et questionnement autour des attentes démesurées envers le champ sanitaire
36 CONCLUSION Superposition de mesures à visée sécuritaire sans évaluation de leur efficacité
37 CONCLUSION Amalgame entre crime et folie Mélange des genres
38 CONCLUSION Perspective de la loi de 24/11/2009: Mesure d IS d peut comporter un traitement utilisant certains types de mdt avec obligation de signaler le refus de la prise ou l arrêtl ->Quid de l indl indépendance du médecin, m de l exercice illégal de la médecine??? m
39 CONCLUSION VOS QUESTIONS
40
2. Le placement sous surveillance. électronique mobile 162 3. La rétention de sûreté 164
13 Les mesures de sûreté 1. La surveillance judiciaire 160 2. Le placement sous surveillance électronique mobile 162 3. La rétention de sûreté 164 4. La surveillance de sûreté 167 5. L inscription au fichier
Plus en détail1. Informations générales 124
L Accès au droit, LE recours et LES requêtes 122 11_4 4 Contrôles extérieurs des conditions de détention Le Comité de prévention de la torture et des traitements inhumains et dégradants (CPT) Le CPT est
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détailDirection de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile
Direction de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile Sous-direction des personnes placées sous main de justice (PMJ) Pôle PSEM Septembre 2007 Le placement sous
Plus en détailACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT. Et si la prison n était pas toujours la solution?
ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France.
Plus en détaill L immense majorité des condamnations concernent des délits
Prévention de la récidive et individualisation des peines Chiffres-clés Juin 2014 Les condamnations En 2012, environ 900 000 infractions ont donné lieu à environ 600 000 condamnations pénales prononcées
Plus en détailSéries statistiques des personnes placées sous main de justice
Direction de l administration pénitentiaire Séries statistiques des personnes placées sous main de justice 1980-2014 Sous-direction des personnes placées sous main de justice Bureau des études et de la
Plus en détailTextes abrogés : Notes de l administration pénitentiaire du 15 juillet 2002 et 29 mars 2004 Circulaire AP9206GA3 du 26 novembre 1992
7 avril 2005 Procureurs généraux près les cours d'appel - Procureurs de la République près les tribunaux de grande instance - Directeurs régionaux des services pénitentiaires - Directeur régional, chef
Plus en détailLes victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale
Les victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale (Le contenu de cette présentation n engage pas le Ministère public) 1 Objectifs et plan I. Tour d horizon des différentes
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE PENITENTIAIRE DES AUTEURS D AGRESSIONS SEXUELLES
LA PRISE EN CHARGE PENITENTIAIRE DES AUTEURS D AGRESSIONS SEXUELLES ETAT DES LIEUX ET ANALYSE DE NOUVELLES PRATIQUES (Convention de recherche n 26.03.10.01) Son contenu n'engage que la responsabilité de
Plus en détailA. Recommandations générales
Lettre de la FARAPEJ n 4 Décembre 2008 Le Conseil d administration de la FARAPEJ 13 décembre 2008 recommande vivement la lecture de : Synthèse des recommandation de la Commission Nationale Consultative
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailGUIDE METHODOLOGIQUE. Guide du Travail d Intérêt Général (T.I.G.) MAI 2011
GUIDE METHODOLOGIQUE Guide du Travail d Intérêt Général (T.I.G.) MAI 2011 Introduit il y a plus de 25 ans dans notre système pénal, le travail d intérêt général (TIG) apparaît plus que jamais comme une
Plus en détailTextes de référence : Table des matières
Les alternatives aux peines d'emprisonnement et le Juge d'application des peines au Niger Textes de référence :! Code pénal du NIGER, Niamey1993.! Code de procédure pénale du NIGER.! Décret n 96-069 du
Plus en détailDossier pratique n 6
Dossier pratique n 6 Internet, mineurs et législation Contributeurs : Action Innocence France et Maître Ségolène Rouillé-Mirza, Avocate au Barreau de Paris - Mai 2010 www.actioninnocence.org france@actioninnocence.org
Plus en détailLes principales dispositions de la LOPPSI 2
Les principales dispositions de la LOPPSI 2 (Présentation rédigée à partir du projet de «loi d orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure» adopté au Sénat le 10 septembre
Plus en détailLES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris
LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris 2 DEFINITION La lutte contre les violences faites aux femmes s'inscrit
Plus en détailGMS-Santé 2008 La Responsabilité du médecin du travail
1 La responsabilité du médecin du travail Les conséquences juridiques d un statut particulier 2 Intervenante Jocelyne CAYRON Docteur en Droit Maitre de Conférence en Droit Privé Responsable de Master Professionnel
Plus en détailLes condamnations à une mesure de suivi socio-judiciaire
Secrétariat Général Direction de l Administration générale et de l Équipement Sous-direction de la Statistique, des Études et de la Documentation Les condamnations à une mesure de suivi socio-judiciaire
Plus en détailN 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code
Plus en détailPROGRAMME DE TRAITEMENT DE LA TOXICOMANIE DE LA COUR DU QUÉBEC À MONTRÉAL (PTTCQ)
PROGRAMME DE TRAITEMENT DE LA TOXICOMANIE DE LA COUR DU QUÉBEC À MONTRÉAL (PTTCQ) TABLE DES MATIÈRES 1 LE PROGRAMME DE TRAITEMENT DE LA TOXICOMANIE DE LA COUR DU QUÉBEC (PTTCQ)...1 1.1 Philosophie du programme
Plus en détailSans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres. s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles.
1 Peut-on soigner les pédophiles? Sans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles. Une prévention est même envisagée.
Plus en détailL'AUDIENCE PENALE ET LA VICTIME
L'AUDIENCE PENALE ET LA VICTIME Maître Delphine ALLAIN-THONNIER Avocat au Barreau du Val de marne COURS DU 6 JUIN 2003 I - ROLE THEORIQUE DE L'AUDIENCE ET PREPARATION DE LA VICTIME A ) DROITS DE LA VICTIME
Plus en détailavant-propos Goodshot : Business and Euro Photo Alto : Crowds by Frédéric Cirou Corbis : Crime and Justice
Vous êtes condamné avant-propos Vous êtes condamné par le juge. Selon la nature des faits qui vous ont été imputés et des circonstances dans lesquelles ils ont été commis, le juge peut vous infliger une
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détailEn devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences.
3La responsabilité La responsabilité civile La responsabilité pénale La procédure judiciaire applicable La protection judiciaire pour les jeunes majeurs En devenant majeur-e, vous devenez responsable de
Plus en détailSanté, justice et dangerosités : pour une meilleure prévention de la récidive ANNEXES
Santé, justice et dangerosités : pour une meilleure prévention de la récidive ANNEXES 87 SOMMAIRE GENERAL ANNEXE N 1 LETTRE DE MISSION DE LA COMMISSION SANTÉ-JUSTICE...III ANNEXE N 2 COMPOSITION DE LA
Plus en détailResponsabilité professionnelle des Infirmiers
Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT
Plus en détailProcédures. L extrait de casier judiciaire
Vos droits Institutions Acteurs Procédures L extrait de casier judiciaire F i c h e P r a t i q u e Qu est-ce que le casier judiciaire? Le casier judiciaire conserve les condamnations prononcées par les
Plus en détailLA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.
LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL
Plus en détailCOUPABLE D ETRE IRRESPONSABLE A propos de la réforme des procédures de déclaration d irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental
1 COUPABLE D ETRE IRRESPONSABLE A propos de la réforme des procédures de déclaration d irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental La loi du 25 février 2008 instaurant la rétention de sureté,
Plus en détailRencontre des hautes juridictions de France et d Israël. Séminaire du 23 mai 2011 à la Cour de cassation. L exécution des décisions de justice
1/36 Rencontre des hautes juridictions de France et d Israël Séminaire du 23 mai 2011 à la Cour de cassation L exécution des décisions de justice L EXECUTION DES DECISIONS PENALES Dans son Traité des délits
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détail- La mise en cause d une personne déterminée qui, même si elle n'est pas expressément nommée, peut être clairement identifiée ;
E-réputation : la poursuite et les sanctions des propos injurieux ou diffamatoires sur internet Article juridique publié le 15/07/2014, vu 4483 fois, Auteur : MAITRE ANTHONY BEM L'injure et la diffamation
Plus en détailIntervention d Isabelle AMIOT Chargée de mission auprès de l IA-IPR (8h05-8h10)
STAGE «LA JUSTICE EN NOUVELLE-CALÉDONIE» Éducation civique jeudi 11 octobre 2012 Lieu : salle 120 (Vice Rectorat imm. Flize) Horaires : 08h00-11h15 13h00-16h00 Établissements représentés (25 enseignants)
Plus en détailLoi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux
PRINCIPAUTÉ DE MONACO Loi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux RAINIER III PAR LA GRACE DE DIEU PRINCE SOUVERAIN
Plus en détailLes violences conjugales
MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une
Plus en détailLa responsabilité des directeurs d unité
9 mai 2012 - Journée des administrateurs et responsables des laboratoires de l INSIS La responsabilité des directeurs d unité Direction des affaires juridiques CNRS/DAJ/MF l 9 mai 2012 Journée INSIS P.
Plus en détailLe budget. de la. Justice
Le budget de la Justice 2009 Ministère de la Justice, 13 place Vendôme, 75001 Paris Maquette : Secrétariat Général - SDAC - DICOM Crédits photographiques : Caroline Montagné (DICOM) - Pierrette Nivet (SCERI)
Plus en détailCirculaire de la DPJJ du 13 novembre 2008 visant à améliorer la prise en charge des mineurs placés en centre éducatif fermé
Centre éducatif fermé Juge des enfants Protection judiciaire de la jeunesse Circulaire de la DPJJ du 13 novembre 2008 visant à améliorer la prise en charge des mineurs placés en centre éducatif fermé NOR
Plus en détailLe Garde des Sceaux, Ministre de la Justice
MINISTÈRE DE LA JUSTICE DIRECTION DES AFFAIRES CRIMINELLES ET DES GRACES SOUS-DIRECTION DE LA JUSTICE PENALE GENERALE Bureau de la législation pénale générale Circulaire du 2 septembre 2004 Date d application
Plus en détailYves Delessert Etre bénévole et responsable
Yves Delessert Etre bénévole et responsable La responsabilité des membres de comité des IPE associatives du fait des activités déployées conformément aux buts de l association FIPEGS 9 juin 2015 Principales
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 19 décembre 2014 de présentation des dispositions applicables à compter du 1 er janvier 2015 de la loi n 2014-535 du 27 mai 2014 portant transposition de la directive 2012/13/UE du Parlement
Plus en détailIntroduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)
Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire
Plus en détailNotice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures
Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures 1. Situation actuelle De l article 123 al. 2 de la Constitution fédérale (RS 101) découle le principe selon lequel l exécution des sanctions
Plus en détailLe divorce. Procédures
Vos droits Institutions Acteurs F i c h e P r a t i q u e Le divorce Procédures Le divorce Les procédures de divorce sont aujourd hui pacifiées et simplifiées. Toutefois, les conséquences restent les mêmes
Plus en détailLa responsabilité civile et pénale. Francis Meyer -Institut du travail Université R. Schuman
La responsabilité civile et pénale Francis Meyer -Institut du travail Université R. Schuman La responsabilité civile est la conséquence, soit de l'inexécution d'un contrat, soit d'un acte volontaire ou
Plus en détailSection 4 bis - Des crimes qualifiés d actes terroristes ou subversifs 87 bis - 87 bis 10 31-34
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE Secrétariat Général du Gouvernement Année 2015 SOMMAIRE INTITULE Articles Page PREMIERE PARTIE PRINCIPES GENERAUX 1-60 bis 1
Plus en détailDu 1 avril 2013 au 31 mars 2014 DEMANDE D'ADMISSION/ FORMULAIRE D'INSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE TRAVAILLEUR SOCIAL
er Du 1 avril 2013 au 31 mars 2014 DEMANDE D'ADMISSION/ FORMULAIRE D'INSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE TRAVAILLEUR SOCIAL Étape 1 VOIR 015 Pour assurer le bon traitement de votre dossier, il
Plus en détailLes responsabilités des professionnels de santé
Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMise en œuvre de la responsabilité du maire
Mise en œuvre de la responsabilité du maire Les conditions d engagement de la responsabilité du maire relèvent du droit commun de l engagement de la responsabilité des personnes publiques. A ce titre,
Plus en détailFondements éthiques et domaines d'activités des services de probation en Suisse
Fondements éthiques et domaines d'activités des services de probation en Suisse Conférence Suisse des Directrices et Directeurs de la Probation (CSDP) 1 2 INTRODUCTION 2 4 BASES LÉGALES 3 6 PRINCIPES ÉTHIQUES
Plus en détailLES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT. Formation AVS Janvier 2013
LES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Formation AVS Janvier 2013 LES RESPONSABILITES GENERALES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Les responsabilités des agents publics de l État sont de trois ordres:
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative
Plus en détailPhotos et Droit à l image
Photos et Droit à l image 1) Le droit à l image (photos-vidéos) L atteinte au droit à l image n est pas caractérisée dès lors que la personne photographiée n est pas identifiable et que sa vie privée n
Plus en détailLA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes
LA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes La profession infirmière Elle est protégée par le Code de la santé publique. L exercice
Plus en détailFeuillet récapitulatif Gestion des causes de niveau intermédiaire : droit criminal
Feuillet récapitulatif Gestion des causes de niveau intermédiaire : droit criminal Gestion des causes de niveau intermédiaire : Critères d'admissibilité Les affaires en droit criminel peuvent être dirigées
Plus en détailORDINE DEGLI AVVOCATI D IVREA
ORDINE DEGLI AVVOCATI D IVREA Introduction Les italiens divorcent depuis peu de temps. En effet le divorce a été introduit dans la législation italienne par la loi n 898 du 1er décembre 1970 sur la dissolution
Plus en détailPRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE
GUIDE MÉTHODOLOGIQUE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE La première version de ce guide éditée en décembre 1994 avait pour objectif d accompagner la mise en place de la
Plus en détailSursis avec mise à l épreuve : la peine méconnue. Une analyse des pratiques de probation en France
Sursis avec mise à l épreuve : la peine méconnue Une analyse des pratiques de probation en France Etude réalisée par Sarah Dindo pour la Direction de l administration pénitentiaire/bureau PMJ1 mai 2011
Plus en détailLA VIOLATION DU SECRET : LE RÔLE DU BÂTONNIER
LA VIOLATION DU SECRET : LE RÔLE DU BÂTONNIER La violation du secret par l avocat : faute déontologique, faute pénale :. le conflit d intérêts. la levée du secret professionnel par le client. le secret
Plus en détailProcédure pénale. Thèmes abordés : Procédure par contumace/ Nouvelle procédure par défaut
Procédure pénale Thèmes abordés : Procédure par contumace/ Nouvelle procédure par défaut Corrigé : Dissertation Le jugement de la personne poursuivie en son absence Indications de méthodologie : Sur la
Plus en détailComment s y retrouver. La personne victime. dans le. processus judiciaire
La personne victime dans le processus judiciaire Comment s y retrouver Définitions de différents actes criminels : Les crimes contre la personne : Voie de fait (articles 265 à 269 du Code criminel) : acte
Plus en détailAvons ordonné et ordonnons:
Sanctions pécuniaires - principe de reconnaissance mutuelle Loi du 23 février 2010 relative à l'application du principe de reconnaissance mutuelle aux sanctions pécuniaires. - citant: L du 30 mars 2001
Plus en détailLA RESPONSABILITE DU MEDECIN DU SPORT. par le Dr. Marc LEWINSKI EXPERTISES MEDICALES 5bis, rue ANTOINE CHANTIN 75014 PARIS
LA RESPONSABILITE DU MEDECIN DU SPORT par le Dr. Marc LEWINSKI EXPERTISES MEDICALES 5bis, rue ANTOINE CHANTIN 75014 PARIS INTRODUCTION la responsabilité médicale,c est l obligation morale ou juridique
Plus en détailExécution des décisions judiciaires Portugal
Exécution des décisions judiciaires Portugal 3. Objet et nature des mesures d exécution 3.1. Quels types de biens peuvent être soumis à l exécution? Sont soumis à l exécution tous les biens du débiteur
Plus en détailBULLETIN D ACTUALITES JURIDIQUES
BULLETIN D ACTUALITES JURIDIQUES N 30, 22 avril 2014 Promulgation de la loi relative à la géolocalisation Conseil constitutionnel, déc. n 2014-693 DC du 25 mars 2014 sur la loi relative à la géolocalisation
Plus en détailL Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ;
Loi n 96-022/ Régissant la mutualité en République du Mali. L Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailGUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL
GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL TABLE DES MATIÈRES 1. Votre enfant a été victime d un acte criminel?... 3 2. Qu est-ce qu un acte criminel?... 4 A - Les crimes
Plus en détailThème 1: La responsabilité du magistrat. Simon Taylor. Université Paris Diderot. Les magistrats dans le système juridique anglais
Thème 1: La responsabilité du magistrat Simon Taylor Université Paris Diderot Les magistrats dans le système juridique anglais Il n existe pas d équivalent à strictement parlé du terme français magistrat
Plus en détailFICHES REFLEXES sur la conduite à tenir dans les situations de VIOLENCE en établissements publics, sanitaire et médico-social
FICHES REFLEXES sur la conduite à tenir dans les situations de VIOLENCE en établissements publics, sanitaire et médico-social METHODOLOGIE Un groupe de travail a été constitué à l initiative de la Fédération
Plus en détailGuide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme
Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme public Juin 2015 1 INTRODUCTION... 4 À QUI S ADRESSE
Plus en détailR E C R U T E M E N T S D E M A G I S T R A T S C O N C O U R S C O M P L E M E N T A I R E S 2 0 1 4
LES TEXTES Ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 modifiée portant loi organique relative au statut de la magistrature. Décret n 2001-1099 du 22 novembre 2001 relatif aux modalités du recrutement de
Plus en détailMajeurs et mineurs mis en cause par les services de Police en 2013
La criminalité en France Rapport annuel 2014 de l ONDRP Premier ministre Majeurs et mineurs par les services de Police en 2013 Antoine le graët, Chargé d études statistiques à l ONDRP 2 Principaux enseignements
Plus en détailLes droits des victimes
SERVICE DE L ACCÈS AU DROIT ET À LA JUSTICE ET DE LA POLITIQUE DE LA VILLE Avocat Dépôt de plainte Soutien psychologique? Association d'aide aux victimes Aide juridictionnelle Indemnisation I Les droits
Plus en détailLa responsabilité juridique à l hôpital Principes introductifs
La responsabilité juridique à l hôpital Principes introductifs I. Principes généraux de la responsabilité 1.1. La responsabilité hospitalière Les responsabilités mises en jeu par l activité du personnel
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits
Plus en détailLa faute et les délits non intentionnels M. Benillouche
La faute et les délits non intentionnels M. Benillouche La faute, élément moral des délits non intentionnels, est définie par l article 121-3 CP dont la dernière réforme issue de la loi n 2000-647 du 10
Plus en détailRÉFORME DES AUTORISATIONS D URBANISME
INFORMATIONS JURIDIQUES J 14 Mutuelle des architectes français assurances OCTOBRE 2007 ANNULE ET REMPLACE LA FICHE J 14 DE FÉVRIER 1998 RÉFORME DES AUTORISATIONS D URBANISME La réforme des autorisations
Plus en détailGroupe de travail Santé Justice. «Aménagements et suspensions de peine pour raison médicale»
Groupe de travail Santé Justice «Aménagements et suspensions de peine pour raison médicale» RAPPORT à Madame la Garde des sceaux, Ministre de la Justice, Madame la ministre des Affaires sociales et de
Plus en détailhttps://pastel.diplomatie.gouv.fr/editorial/francais/familles/fiches/italie... LES PENSIONS ALIMENTAIRES A L'ETRANGER
1 sur 5 09/06/2010 12:24 LES PENSIONS ALIMENTAIRES A L'ETRANGER Convention de New York ITALIE L'Italie est partie : - à la Convention de la Haye du 25 octobre 1980, sur les aspects civils des enlèvements
Plus en détailEmplacement de la photo d ouverture du domaine
FORMATION INITIATEUR Emplacement de la photo d ouverture du domaine Commission pédagogique de la Direction Technique Nationale 28/11/03 Une dimension morale «Être responsable» c est accepter et subir,
Plus en détailAudition publique. Expertise psychiatrique pénale
Audition publique Expertise psychiatrique pénale 25 et 26 janvier 2007 Ministère de la Santé et des Solidarités (Paris) Rapport de la commission d audition Avec le soutien de la Direction générale de la
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailAnalyse rapide du projet de loi relatif à la prévention de la récidive et à l individualisation des peines
Analyse rapide du projet de loi relatif à la prévention de la récidive et à l individualisation des peines Avertissement : ce commentaire se fonde sur une version du projet de loi avant remise au conseil
Plus en détailResponsabilités. du dirigeant : quels risques pour vous. Nul n est censé ignorer la loi : voilà un
Stratégie du dirigeant R ESPONSABILITÉ SOCIALE ET CIVILE Responsabilités du dirigeant : quels risques pour vous Au fil des années, l entreprise a évolué d une logique économique et citoyenne, vers plus
Plus en détailREPUBLIQUE DU CONGO Ministère de la Justice et des Droits Humains REPONSE AU QUESTIONNAIRE SUR LA VIOLENCE CONTRE LES ENFANTS.
REPUBLIQUE DU CONGO Ministère de la Justice et des Droits Humains REPONSE AU QUESTIONNAIRE SUR LA VIOLENCE CONTRE LES ENFANTS Rapport pays Brazzaville, Octobre 2004 1 2 GENERALITES SUR LE PAYS La République
Plus en détailTitre I Des fautes de Gestion
Base de données Loi n 85-74 du 20 Juillet 1985 relative à la définition et à la sanction des fautes de gestion commises à l égard de l Etat, des établissements publics administratifs, des collectivités
Plus en détailTITRE IER DISPOSITIONS GENERALES
ASSEMBLEE DE LA POLYNESIE FRANCAISE ----- NOR : SAA0402629DL DELIBERATION N 2005-13 APF DU 13 JANVIER 2005 portant modification de la délibération n 2001-200 APF du 4 décembre 2001 portant code de procédure
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailLoi organique relative à la Haute Cour
Loi organique relative à la Haute Cour Dahir portant loi organique n 1-77-278 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977) relative à la Haute Cour (1) Louange à Dieu Seul! (Grand Sceau de Sa Majesté Hassan II)
Plus en détailPROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT
PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT Thème ANCIENNES DISPOSITIONS NOUVELLES DISPOSITIONS Appellation Hospitalisation sur demande d un tiers Soins psychiatriques sur demande d un
Plus en détailRESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL
RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.
Plus en détailLes chiffres clés de la Justice 2013
Les chiffres clés de la Justice 2013 Directeur de la publication Benjamin Camus Sous-directeur de la Statistique et des Études Coordination Thérèse Ferré Réalisation Faustine Busch - Marie-Dominique Minne
Plus en détailJE SUIS PRISON Guide du détenu arrivant 3e édition
JE SUIS EN PRISON Guide du détenu arrivant 3 e édition Sommaire Je suis incarcéré Je suis incarcérée Je suis mineur incarcéré Écrire à ma famille Téléphoner Obtenir un avocat Réduire ma peine Ma situation
Plus en détailLA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014
LA FAUTE MEDICALE : L assurance de responsabilité civile UIA SOFIA 2014 Assurance des praticiens Un praticien peut être amené à répondre de ses actes (ou omissions) à un triple niveau selon l objectif
Plus en détailLoi fédérale contre la concurrence déloyale (LCD) du 19 décembre 1986
Loi fédérale contre la concurrence déloyale (LCD) du 19 décembre 1986 (État le 10 décembre 2002) 241 TABLE DES MATIÈRES Articles Chapitre premier : But... 1 er Chapitre 2 : Section 1 : Section 2 : Section
Plus en détail