Discours de Mme Irina Bokova, Directrice générale de l UNESCO, à l occasion du 14e Sommet de l Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA)

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1 Discours de Mme Irina Bokova, Directrice générale de l UNESCO, à l occasion du 14e Sommet de l Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) Bamako, le 20 février 2010 Excellence M. Amadou Toumani Touré, Président de la République du Mali, Président en exercice de l Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), Excellences, Monsieur Thomas Yayi Boni, Président de la République du Bénin, Monsieur Blaise Compaoré, Président de la République du Burkina Faso, Monsieur Malam Bacai Sanhá, Président de la République de Guinée Bissau, Monsieur Abdoulaye Wade, Président de la République du Sénégal, Monsieur Faure Gnassingbé, Président de la République du Togo, Monsieur le Président de la Commission de l Union économique et monétaire ouest-africaine, Madame la Coordonnatrice du système des Nations Unies au Mali, Excellences, Distingués participants, Mesdames et Messieurs, Je suis très honorée d avoir aujourd hui été invitée à prendre la parole devant votre auguste Assemblée, à l occasion de ce 14e Sommet de l Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). C est une chance et un privilège. Je tiens à remercier très vivement Son Excellence le Président de la République du Mali, M. Amadou Toumani Touré, Président en exercice de l UEMOA, pour son aimable invitation. Qu il me soit aussi permis de lui exprimer toute ma gratitude pour l accueil chaleureux qui m a été réservé ici, à Bamako, sur les rives du fleuve Niger. Ma délégation et moi-même avons apprécié à leur juste valeur l hospitalité, la bienveillance et la sollicitude dont nous avons été entourés depuis que nous avons DG/2010/019 Original : français

2 posé le pied au Mali, patrie de l empereur Soundiata Keïta, de l écrivain Amadou Ampâthé Bâ et de bien d autres personnages illustres. C est ma toute première visite en Afrique sub-saharienne depuis que les Etats Membres - c est-à-dire vous! - m avez élue Directrice générale de l UNESCO. Mon émotion est à la mesure de l importance que j attache à ce séjour. Je souhaite en effet vous faire partager mes convictions et mon adhésion totale aux idéaux de cette «maison du dialogue» qu est l UNESCO. J insisterai en particulier sur l éducation, la science et la culture, qui représentent pour moi les clefs du développement. Je pense à l enseignement, je pense à la recherche, je pense à l innovation technologique, je pense à l accès à l information, je pense aux produits du travail intellectuel. Je pense à tous ces savoirs qui permettent de préserver les acquis des générations précédentes et d assurer l avenir des générations futures. Les hommes et les femmes se parlent et se comprennent à travers des références communes. Nous sommes au Mali, mais les noms de l écrivain Amadou Hampaté Bâ, des musiciens Ali Farka Touré et Toumani Diabaté, du cinéaste Souleymane Cissé, du chanteur Salif Keïta ou du photographe Malick Sidibé parlent bien au-delà de l Afrique. Et quelle richesse que ces quelques douze langues dont s enorgueillit le pays! Ce plaidoyer en faveur de l éducation, de la science et de la culture, je le ferai tous les jours si c est nécessaire, et plus particulièrement à la fin de cette année, aux Nations Unies, à New York, au cours du sommet sur les Objectifs du Millénaire. Comptez sur moi. Dans un monde en proie à de nombreuses crises où les repères ne sont plus aussi évidents qu autrefois, le mandat de notre organisation reste d une vibrante actualité. Aujourd hui, mon grand défi notre grand défi est de faire d une conjoncture internationale défavorable une occasion d aller vigoureusement de l avant. Face au danger du repli identitaire, face à la marginalisation des communautés les plus vulnérables, face à l idée répandue et tenace que la seule réponse aux DG/2010/019 - Page 2

3 problèmes contemporains est d ordre économique, nous avons la possibilité de mettre en avant un «nouvel humanisme». Ce n est pas être naïf que de penser que nous avons l opportunité de créer un monde plus démocratique et plus humain, où les valeurs de dignité, d égalité des chances, d accès à l information, de droits de l homme constitueront le socle de toute décision économique et politique. L être humain accompli est celui qui se reconnaît en l autre, qui le respecte et cherche à vivre en harmonie avec lui comme s il s agissait de son plus proche voisin. Et même quand cet autre est un parfait inconnu qui vit dans l autre hémisphère. Les nouvelles technologies font de nous tous des voisins de palier. J insiste : ce qui rendra tout cela possible, c est l éducation. L article 26 de la Déclaration universelle des droits de l homme en souligne l immense importance : «Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux». Souvenez vous du Forum mondial sur l éducation de Dakar qui avait débouché sur l adoption d un Cadre d action intitulé : «L éducation pour tous : tenir nos engagements collectifs». Et demandons-nous : dix années après nous être engagés à faire de l éducation une priorité fondamentale, où en sommes-nous? Beaucoup de progrès ont été réalisés. Des étapes décisives ont été franchies pour permettre l accès de tous à une éducation de qualité. Ces succès, nous les devons à des politiques volontaristes et à des mesures courageuses qui ont permis de placer l éducation en tête des priorités. Je pense notamment à la décision d instaurer la gratuité de l enseignement au Bénin et au Togo entre autres. Je pense aussi aux augmentations significatives de la part du budget de l Etat consacrée à l éducation. Plus de 30% au Mali et au Sénégal! C est un remarquable investissement pour l avenir, mais ce n était pas une décision facile. Vous, chefs d Etat, avez souhaité maintenir le cap pour ne pas compromettre les fructueux efforts consentis durant la dernière décennie. Et ce malgré les menaces que représentent aujourd hui la raréfaction des ressources énergétiques, la crise DG/2010/019 - Page 3

4 économique et financière, la hausse du prix des produits alimentaires et bien entendu, le changement climatique. Pourtant l Afrique subsaharienne n atteindra pas le taux l alphabétisation voulu pour Selon les projections les plus récentes, le taux d analphabétisme des adultes reculera de 31 %. Cela est déjà formidable, mais nous avions pour objectif une réduction de 50 %. Malgré les efforts consentis au cours de la Décennie des Nations Unies pour l alphabétisation ( ), cette dernière est encore trop souvent écartée des politiques globales de réduction de la pauvreté. Dans 12 pays d Afrique, le taux d analphabétisme dépasse les 50 %. C est dire si, en matière d éducation, vous avez toujours un rôle fondamental à jouer. Non seulement en faisant de ce secteur une priorité de votre politique, mais aussi en appuyant fermement ces priorités au niveau international. Je pense, encore une fois, aux Objectifs du Millénaire. C est une lourde responsabilité, mais je n ai aucun doute sur le fait que le soutien continu à l éducation portera ses fruits plus tôt qu on ne le pense. N en doutez pas, l UNESCO entend plus que jamais encourager et accompagner les efforts de ses Etats Membres pour promouvoir l éducation de l école primaire à l université. C est d ailleurs dans cette optique que je co-présiderai dès lundi une réunion du Groupe de haut niveau sur l Education pour Tous (EPT) à Addis Abeba. Je serai aux côtés de M. Jean Ping, Président de la Commission de l Union africaine et de Son Excellence M. Meles Zenawi, Premier Ministre de l Ethiopie. Cette réunion insistera une nouvelle fois sur l importance de traduire en actes concrets les engagements de la communauté internationale en faveur de l éducation. Comme vous le savez, l UNESCO considère l éducation dans son ensemble, de manière holistique. C est pourquoi nous nous félicitons du partenariat engagé avec votre Organisation sous-régionale dans le domaine de la formation et de l enseignement supérieur. Sur ce point, j ai bien noté le souhait exprimé par l UEMOA, en octobre 2009, de développer la coopération entre nos institutions. Notamment en soutenant les réformes visant à harmoniser l enseignement supérieur et à garantir la qualité et DG/2010/019 - Page 4

5 l équivalence des diplômes. Avec ces objectifs : faciliter la mobilité académique, évaluer les Centres d excellence, créer un réseau structuré d enseignement supérieur et enfin élaborer des politiques communes dans la sous-région. Notre souci est l amélioration constante des systèmes éducatifs. Dans le même ordre d idées, l UNESCO salue et encourage l initiative de Son Excellence M. le Président Wade et de la Commission de l Union africaine pour développer une université panafricaine. À terme, cette université pourrait être le fer de lance d une meilleure intégration régionale promue grâce au savoir, à la recherche et au partage des connaissances. Excellences, Messieurs les Présidents de la République, Je pense que le développement d un enseignement supérieur de qualité est l unique moyen de nourrir une recherche scientifique de haut niveau et d encourager les nécessaires innovations technologiques. Et, indubitablement, la science et l innovation doivent être placées au cœur du débat sur l action internationale en faveur du développement. Ce sera une priorité de mon mandat. Comme pour la culture, j insisterai auprès de tous nos partenaires pour que le rôle de la science dans le développement soit mieux reconnu. Pour aller dans ce sens, l UNESCO a d ores et déjà lancé l Initiative pour les politiques africaines de la science, de la technologie et de l innovation en partenariat avec le NEPAD et l Union africaine. Dans quelques mois, c est ici, au Mali, que se retrouveront les statisticiens de 15 pays d Afrique de l Ouest chargés de mettre en place des indicateurs statistiques consacrés à la science, à la technologie et à l innovation. L objectif est d analyser correctement la situation existante et son évolution pour pouvoir agir plus efficacement. C est en élaborant un socle de connaissances solides que l on pourra avancer avec assurance. Je ne reviendrai pas sur les actions régionales de l Union africaine qui relèvent des domaines de compétence de l UNESCO et qui sont d ores et déjà en cours de mise en œuvre dans le cadre du Plan d action consolidé de l Afrique pour la science et la technologie. Je préfère insister sur l avenir. A titre d exemple, je tiens à mentionner une initiative particulière que nous avons entrepris de mener à bien à Ouagadougou, au Burkina-Faso. Vous ne l ignorez DG/2010/019 - Page 5

6 pas, l Afrique est confrontée au triste problème de la fuite des cerveaux. Les meilleurs, au sein de vos forces vives, partent parfois travailler en Europe ou aux Etats-Unis. Notre programme, baptisé «Brain Gain Initiative» consiste à offrir aux chercheurs africains un meilleur accès aux réseaux scientifiques et informatiques mondiaux. Il devrait leur permettre de collaborer avec des experts du monde entier, d accéder aux dernières applications web et aux bases de données les plus récentes, tout en restant en Afrique. Excellences, Mesdames et Messieurs, Lors du Sommet de l Union africaine de Khartoum, en 2006, vous aviez reconnu l importance fondamentale du lien entre l éducation, la science et la culture. Je regrette, vous le savez, que la culture ne figure pas parmi les objectifs du Millénaire pour le Développement. Ce nonobstant, j entends bien relancer le débat sur les liens fondamentaux entre culture et développement. Les différents festivals qui ont lieu dans vos capitales respectives en l honneur de la danse, du cinéma, du théâtre, de la photographie, des arts plastiques ou de l artisanat font de votre espace régional une superbe vitrine où le lien entre la culture, les arts vivants et le développement apparaît comme une évidence. Toutes les industries culturelles ont un rôle à jouer pour permettre un avenir meilleur, car la culture est essentielle pour assurer la cohésion du tissu social. Elles illustrent toute la richesse que l Afrique peut apporter au monde. Elles sont la garantie du dynamisme des forces créatrices. Je l ai déjà dit, je le redis aujourd hui à Bamako, dans un pays qui a su s enrichir, au cours des siècles, de multiples influences : J ai l intime conviction que le dialogue entre les cultures est la réponse qu il faut opposer à toutes les intolérances. C est le message qui doit passer en cette Année Internationale du Rapprochement des Cultures. «Les hommes peuvent atteindre un but commun sans emprunter les mêmes voies», disait l écrivain malien Amadou Hampaté Bâ. La culture est l outil qui permettra l édification d une société harmonieuse, fondée sur la connaissance d autrui, la tolérance, la compréhension mutuelle, le respect des droits et de la dignité humaine. L UNESCO apprécie ainsi à sa juste valeur la contribution de DG/2010/019 - Page 6

7 l Académie des langues africaines l ACALAN pour la promotion des langues nationales dans l enseignement. La diversité des cultures est notre plus importante richesse. Excellences, Mesdames et Messieurs, Vous le savez, l Afrique est une priorité de l UNESCO. Au cours de mon mandat à la tête de cette organisation, je compte fermement redynamiser notre action en ce sens. J ai d ores et déjà créé un «groupe de travail» qui s appuie sur l expertise du Secrétariat afin qu il m apporte des idées nouvelles pour améliorer l impact, la visibilité et l efficacité de notre collaboration avec les pays du continent africain. J attends une évaluation de la situation existante ainsi que des propositions pour que la «Priorité Afrique» apparaisse plus clairement dans nos activités. Je compte trouver des moyens pour répondre plus efficacement aux demandes présentées par les pays africains et l Union africaine. Notamment en ce qui concerne les pays qui ont vécu un conflit ou une catastrophe naturelle. Notre objectif est d optimiser au maximum nos méthodes. Certes, nous n intervenons pas à l échelle d une banque de développement, mais nous pouvons nous devons! apporter un soutien de qualité dans nos domaines de compétence. Nous allons rassembler nos forces dans le but de rendre notre action en faveur du développement durable plus opérationnelle sur le terrain. Il s agit aussi de lui donner plus de visibilité vis-à-vis de nos Etats membres comme de nos partenaires. Cela passe également par une visibilité accrue auprès des populations bénéficiaires. Excellences, Messieurs les Présidents de la République, Pour atteindre ces objectifs ambitieux en matière d éducation, de science et de culture, nos meilleures garanties de succès sont votre adhésion aux idéaux de l UNESCO, votre soutien à ses missions, votre appui politique à son action, ainsi que l engagement de vos gouvernements respectifs. Je suis convaincue qu au cours de mon mandat, ils ne me feront pas défaut. D avance, je vous en remercie. DG/2010/019 - Page 7

8 Je tiens d ailleurs à saluer l étroite coopération qui existe déjà entre l UNESCO et l UEMOA. Nos actions conjointes ont permis une meilleure prise en compte des priorités de l Afrique en général et de votre sous-région en particulier. Elles ont favorisé, quand il le fallait, l émergence de positions africaines communes. Elles ont contribué au processus d intégration régionale et sous-régionale. Je crois que les communautés économiques sont des piliers indispensables pour le processus d intégration régionale. Elles représentent, pour l UNESCO, des partenaires privilégiées. Elles relaient en effet auprès de l Organisation les priorités des Etats qui les composent. Elles permettent de développer des actions communes, d impulser de nouvelles activités, de procéder à des évaluations et, quand c est nécessaire, à des ajustements. Les défis multiples auxquels le monde en général et l Afrique en particulier sont confrontés rendent indispensables cette flexibilité et cette solidarité. Je tiens à cet égard à saluer M. Soumaïla Cissé, Président de la Commission de l UEMOA. Il a activement contribué, avec l aide de son secrétariat, à promouvoir la coopération entre l UNESCO et le NEPAD. Il s est en outre personnellement impliqué pour renforcer la coopération entre l UNESCO et l UEMOA C est d ailleurs dans le cadre de cet accord de coopération qui la lie à l UEMOA que l UNESCO a institué, pour les années , une Commission mixte réunissant nos deux organisations. Elle permettra de dresser un bilan de nos actions, de définir les meilleurs moyens de renforcer le Programme «Priorité Afrique». Sans cesse, nous chercherons à nouer d autres partenariats pour consolider notre action en faveur du développement en Afrique. Avec la société civile, avec les chercheurs, avec les journalistes, avec les hommes et femmes de culture, nous travaillerons pour le meilleur. Face à la rapidité des changements, face aux forces de la globalisation, face à cette instabilité qui menace de fragiliser les individus, c est avec des partenariats solides qu il sera possible de répondre présent. Croyez-moi, l UNESCO est entièrement ouverte à cet égard. Il n est plus possible d agir seul. Je souhaite que notre partenariat avec l Afrique, avec vous, soit fort, enrichissant et pérenne. DG/2010/019 - Page 8

9 Je souhaite que vous portiez avec moi les couleurs de l éducation, de la science et de la culture. Je vous donne rendez-vous à New York, dans quelques mois. Je vous remercie de votre aimable attention. DG/2010/019 - Page 9

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