DÉLÉGATION EUROPE ET INTERNATIONAL / MARS 2015 NOTE DE PRÉSENTATION
|
|
- Vincent Archambault
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DÉLÉGATION EUROPE ET INTERNATIONAL / MARS 2015 NOTE DE PRÉSENTATION
2 Les milieux insulaires sont reconnus à l échelle mondiale comme des espaces fragiles et singuliers. Plusieurs menaces, issues des changements globaux, mettent en péril leur patrimoine naturel, culturel, économique et social : destruction de l habitat, invasions biologiques, impacts du réchauffement climatique, pollution (déchets, eau), etc. Face à ces enjeux exacerbés, leurs gestionnaires sont amenés à se structurer, coopérer, et innover, faisant de leurs îles de potentiels «laboratoires du développement durable», dans leur capacité à proposer des initiatives susceptibles d être répliquées et adaptées à d autres échelles de territoire, et notamment sur l ensemble des zones côtières. CONTEXTE ET OBJECTIFS DU LABEL INTERNATIONAL ÎLES DURABLES Suite à la Conférence environnementale de septembre 2013, le Conservatoire du littoral a engagé une réflexion sur la création d un label international reconnaissant la gestion durable des territoires insulaires Son objectif «Initier, entretenir et valoriser une dynamique de gestion de la biodiversité et de développement durable des petites îles». Ce label est conçu pour reconnaître les meilleures pratiques de gestion des ressources, accompagner les îles candidates vers la certification, les guider dans leurs actions locales et fédérer les initiatives locales visant l excellence
3 CADRE ET PORTÉE STRATÉGIQUE DU LABEL AVANTAGES Une démarche volontaire et non-contraignante («soft-law») Une ouverture à tous types de territoires insulaires, y compris les espaces naturels non protégés Un projet participatif pour fédérer les différentes parties prenantes des territoires insulaires autour d un projet commun Un réseau d acteurs et de partenaires permettant d échanger des bonnes pratiques et de mettre en place des nouvelles coopérations Nord/Nord, Sud/Sud et triangulaire. Un référentiel pour orienter et guider les gestionnaires, via des échanges avec des experts et la mise à disposition d outils pédagogiques («fiches techniques» pour la gestion durable des petites îles, clips vidéos d apprentissage multilingues, etc) RETOMBÉES Contribution active à la transition écologique et à la gestion durable de ressources stratégiques au niveau mondial Retombées économiques (dont valorisation de produits et savoir-faire locaux artisanat, aliments, cosmétiques, etc.) Reconnaissance internationale et attractivité des territoires et de leurs gestionnaires Facilitation de l obtention de soutiens financiers additionnels (subventions et/ ou prêts auprès de bailleurs de fonds bi et multilatéraux, mécénat d entreprise, particuliers, etc.) Sensibilisation du grand public aux enjeux du développement durable et vulgarisation scientifique Contribution aux travaux de capitalisation sur les actions de protection menées sur les îles Facilitation du reporting et du lobbying auprès des institutions internationales comme les Conventions de mers régionales et le secrétariat de la Convention sur la Diversité Biologique 2
4 CRITÈRES D ÉLIGIBILITÉ DES ÎLES ILES «VRAIES» (SANS PONT LES RELIANT AU CONTINENT, CLAIREMENT DÉTACHÉES DU CONTINENT À MARÉE BASSE) ILES HABITÉES OU INHABITÉES HECTARES MAXIMUM, SOIT 150 KM2 ILES PRIVÉES OU PUBLIQUES LES CANDIDATURES POURRONT ÊTRE SOUTENUES PAR : DES REPRÉSENTANTS DE LA SOCIÉTÉ CIVILE (HABITANTS, ONG), DES COLLECTIVITÉS LOCALES, OU DES ÉTATS 3
5 LES STANDARDS D OBTENTION DU LABEL «ÎLE DURABLE» PERMETTRONT DE VISUALISER LA PRISE EN COMPTE DE LA DURABILITÉ DES RESSOURCES DANS LE DÉVELOPPEMENT DE L ÎLE CONCERNÉE DE MESURER LES MARGES DE PROGRESSION RESTANT POUR AMÉLIORER LA DURABILITÉ DES RESSOURCES ET DU DÉVELOPPEMENT DE L ÎLE Ils seront complétés par des clauses minimales permettant aux îles candidates d adhérer au «Club des Iles durables» et d accéder en amont de la certification à des outils tels que des fiches techniques, des retours d expérience ou des expertises spécifiques. Les standards concerneront notamment les dynamiques et thématiques suivantes : PROTECTION DES ÉCOSYSTÈMES ET DES MILIEUX NATURELS Habitats et paysages naturels conservés durablement, protection de la faune et la flore remarquable, notamment endémique, lutte contre les espèces invasives, mise en place de réseaux d interactions entre savoirs scientifiques et savoirs «communs» locaux EAUX Approvisionnement en eau potable ; épuration et assainissement des eaux usées ; politiques d économie/récupération d eau ; Gestion Intégrée de la Ressource en Eau et protection de la ressource (dont lutte contre la pollution diffuse liée aux intrants, aux phytocides, aux déchets de carrière, etc.) 4
6 DÉCHETS Méthodes adaptées de réduction, collecte et traitement ENERGIE Diminution de la dépendance aux énergies fossiles, promotion des énergies renouvelables (éolien, solaire, hydro production etc.), éco-conception des habitats, efficacité énergétique dans les infrastructures de transport, etc VALORISATION DES RESSOURCES NATURELLES SOUS FORME DE PRODUITS LOCAUX Produits alimentaires, artisanaux ou cosmétiques, liés à des savoirfaire traditionnels PÊCHE, AGRICULTURE, CUEILLETTE Développement de pratiques respectueuses moins intensives PATRIMOINE CULTUREL Protection du patrimoine matériel (vestiges archéologiques, historiques, patrimoine bâti remarquable) et immatériel (littérature, fêtes et folklores, artisanat) GOUVERNANCE, CONCERTATION ET ORGANISATION DES PRISES DE DÉCISION Ateliers de consultation, association des populations aux décisions d aménagement du territoire, gouvernance locale institutionnelle TOURISME DURABLE Promotion de formes alternatives de tourisme, dont écotourisme et tourisme communautaire, réduction des impacts environnementaux des infrastructures des infrastructures et des pratiques touristiques EDUCATION À L ENVIRONNEMENT, PÉDAGOGIE Programmes de sensibilisation à destination des habitants, des résidents secondaires, des touristes, mise en valeur du développement durable CHANGEMENT CLIMATIQUE Identification des problématiques locales et mise en place de mécanismes d adaptation et d atténuation
7 FONCTIONNEMENT ET GOUVERNANCE. FINANCEMENTS. Le label devrait s appuyer sur deux instances : Une cellule dédiée à la définition et à l actualisation des standards, ainsi qu à l animation du «Club des Iles durables» Une entité externe indépendante qui assurera le suivi de ses prescriptions et se prononcera sur l octroi et l éventuel retrait du label, sur la base de visites sur le terrain d experts certificateurs PROJETS PILOTES Afin de tester la pertinence et les impacts opérationnels d un tel label, l initiative Label souhaite mettre en place des projets pilotes sur des territoires tels que : Océan Indien : Archipel des Qurimbas, Ile d Ibo (Mozambique), îles de la mer d Emeraude (Madagscar), Ile Rodrigues (Maurice) Afrique de l Ouest : Archipel des Bijagos (Guinée-Bissau) Caraïbes : Terre de Haut, Iles des Saintes (Guadeloupe) Pacifique : Petites îles du Vanuatu, satellites des Fidji Méditerrannée : Iles Kerkennah (Tunisie), Tavolara (Sardaigne), Ile du Levant (France) Europe du Nord : Ile d Eigg (Ecosse), petites îles du Ponant (France) Macaronésie : Santa Luzia, Brava (Cap-Vert), Porto Santo (Madère), Corvo (Açores) ACTIVITÉS OCTOBRE En partenariat avec le Fonds Français pour l Environnement Mondial, l Agence de l Eau Rhône Méditerranée Corse, le Parc National de Port Cros et l Ecole Nationale Supérieure d Architecture de Marseille, conférence et ateliers «îles durables» et lancement officiel du label, sur l île de Porquerolles. Au programme : territoires durables / gestion de la biodiversité / valorisation des patrimoines naturels, culturels et économiques au service du développement / gouvernance. 6
8 Un label international ayant pour objectif d «initier, entretenir, et valoriser une dynamique de gestion de la biodiversité et de développement durable des petites îles», qui concernera les iles habitées et inhabitées de moins de hectares Un label qui vise à reconnaitre les meilleures pratiques de gestion des ressources mais également à accompagner les candidats, les guider dans leurs actions locales en faveur d une gestion intégrée des ressources insulaires. Un label permettant de fédérer les acteurs de la protection des îles autour d un projet commun et de mettre à leur disposition un référentiel ainsi que des outils opérationnels tels que des fiches techniques et des retours d expériences Des standards d obtention : - Couvrant les grands enjeux du développement durable (biodiversité, eau, déchets, énergie, valorisation des patrimoines naturels et cultures, gouvernance). - Encourageant le dialogue entre savoirs scientifiques et pratiques locales Deux instances liées au label, une cellule chargée de la définition et de l actualisation des standards, ainsi que de l animation du réseau, une autre entité indépendante en charge de la certification et de l approbation et/ou du retrait du label. Ad-hoc ou liées à des institutions internationales existantes (UNESCO, UICN, Global Islands Partnership ). Des financements à consolider, notamment pour la mise en place de projets pilotes dans l Océan Indien, l Océan Pacifique, les Caraïbes, la Macaronésie, la Méditérannée et l Europe du Nord, auprès d organismes dédiés (FFEM), d institutions publiques (UE), de fondations privées et de mécènes. Étude complémentaire en cours sur la gouvernance, le fonctionnement et les standards du label sur la base, notamment, des leçons pouvant être tirées des labels environnementaux de référence. Lancement officiel du label prévu lors d une conférence internationale sur l île de Porquerolles (26-30 octobre 2015).
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailInvestissements d avenir. Initiative PME - Biodiversité
Investissements d avenir Initiative PME - Biodiversité Calendrier de l Initiative L Initiative est ouverte le 9 juillet 2015. Les relevés des projets sont effectués : 1 re clôture 2 nde clôture 5 octobre
Plus en détailANNEE 2015 Centre de Découverte du Monde Marin Juillet Août 2015
ANNEE 2015 Centre de Découverte du Monde Marin Juillet Août 2015 SOMMAIRE BIBLIOMER, UNE BIBLIOTHEQUE ITINERANTE 2 LES OBJECTIFS LE MODE DE FONCTIONNEMENT LE CONTENU PEDAGOGIQUE UNE COMMUNICATION IMPORTANTE
Plus en détailProjet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures
Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures Titre 1 : Bâtiments et urbanisme Chapitre 1 : amélioration de la performance énergétique des bâtiments
Plus en détailLA FONDATION: MISSION ET VISION
Premier symposium régional sur la pêche artisanale en Méditerranée et en mer Noire Gestion durable de la pêche artisanale: Actions menées par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'environnement
Plus en détailLes mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France
Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement
Plus en détailCOOPÉRATION EN ÉDUCATION
CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailAccélérer les projets de géoservices des PME. Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014
ign.fr En partenariat avec Accélérer les projets de géoservices des PME 1 ère ÉDITION JUILLET 2014 Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014 Nicolas Lambert (IGN) Eric Dubois (Cap Digital) LE PROGRAMME
Plus en détailMASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES. Parcours Langues et Technologies (LT) www.univ-littoral.fr
ARTS, LETTRES & LANGUES MASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES Parcours Langues et Technologies (LT) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION A l issue de la formation,
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailLes nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont :
La Ville de la Possession est engagée depuis plus de 30 ans dans des actions de coopération décentralisée. Elle est la ville pionnière de La Réunion à développer des actions de coopération avec des villes
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailAgroalimentaire. invest in. Charte Graphique Nexa. Reunion
Agroalimentaire invest in Charte Graphique Nexa Reunion Edition 2013 Bonnes bonnes raisons de choisir la La Réunion 1 l EuroPE Au CoEur de l océan INdIEN # Unique région française et européenne de l hémisphère
Plus en détail«ÉCO-SOLIDAIRE» LE DISPOSITIF LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION La Réunion île solaire, terre d'innovation Reunion island, innovation land LE DISPOSITIF «ÉCO-SOLIDAIRE» PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailLISTE VERTE : standards techniques
LISTE VERTE : standards techniques STANDARDS INTERNATIONAUX PARTIE 1 : VALEUR, OBJECTIFS FIXES ET ATTEINTS ENJEU 1-1 : Valeur et importance Définition : les valeurs du site ont clairement été identifiées
Plus en détailEOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation
EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales
Plus en détailLes îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009
Les îles Éparses A bord du navire océanographique Marion Dufresne du 16 avril au 15 mai 2009 Mer et Voyages 9 rue notre Dame des Victoire 75002 Paris T : 01 49 26 93 33 F : 01 42 96 29 39 info@mer-et-voyages.com
Plus en détail[Présentation] Juillet 2005
[Présentation] Juillet 2005 Présentation générale Histoire Création en 1765 Situation Étudiants Personnels 6 Composantes Au centre de la Corse En 2005 : 4111 Population de 260.000 personnes 230 enseignants
Plus en détailRapport sur l offre de formation «licence professionnelle»
Section des Formations et des diplômes Rapport sur l offre de formation «licence professionnelle» de l Université de la Réunion Vague E - 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLe Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale
Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les
Plus en détailOrdre du jour provisoire
15ème Assemblée Générale et Symposium Scientifique de l ICOMOS Ordre du jour provisoire 14.10 Réunion stratégique des Comités Scientifiques Internationaux de l ICOMOS Salle «The Grand Ballroom A» du Sofitel
Plus en détailProgramme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016
Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 VERSION FINALE Centre de Coopération pour la Méditerranée de l UICN Septembre 2012 2 Sommaire Liste d acronymes... 3 Avant-propos... 4 Introduction... 5
Plus en détailProgrammes Opérationnels Européens 2007-2013 CADRE D INTERVENTION (FONDS FEDER)
Page 1 Axe Référence Domaine Service instructeur Dates agréments CLS 2 La compétitivité de l économie : développer l économie réunionnaise dans l environnement international REGION Direction des Affaires
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailLa CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers
Unique en France et en Europe La CITE DE L ARBRE La Cité de l Arbre Association 1901,d intérêt général ; PA R T E N A R I AT Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Un musée consacré entièrement
Plus en détailModernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15. Assemblée Générale SUdF
Modernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15 Assemblée Générale SUdF 04 juin 2014 Agenda 1. Genèse du projet 2. Solution envisagée 3. Feuille de route 4. Point d étape Projet de modernisation des SI
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Consolidation du programme régional Risques Naturels de la Commission de l Océan Indien (COI)
TERMES DE REFERENCE Consolidation du programme régional Risques Naturels de la Commission de l Océan Indien (COI) 1) Contexte général La phase I du projet Risques Naturels (RN-COI) a été financée par l
Plus en détailLA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI
REGLEMENT INTERIEUR Document GEN REF 02 Révision 04- juin 2012 SOMMAIRE ARTICLE 1 - OBJET... 3 ARTICLE 2 MEMBRES DE L ASSOCIATION... 3 ARTICLE 3 - ASSEMBLEE GENERALE... 3 ARTICLE 4 - ADMINISTRATEURS...
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailProtocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailCREDIT COOPERATIF. Le Crédit Coopératif BONNES PRATIQUES. 1- Eco-management COOPERATIVE
COOPERATIVE CREDIT COOPERATIF Crédit Coopératif NPdC 2 Bis, rue de Tenremonde BP 565 59023 LILLE Cedex Tél : 03 20 12 36 30 Fax : 03 20 30 77 66 Site : www.credit-cooperatif.fr Email : lille@coopanet.com
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailCOMPTE RENDU FINAL D EXECUTION DE PROJET
COMPTE RENDU FINAL D EXECUTION DE PROJET Nom de l organisation : SOS FORETS I. INFORMATIONS DE BASE Titre du projet : Inventaire biologique et étude écologique des forets classées de Dassioko Sud et de
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailhttp://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale
République des Seychelles Situation générale 1. Géographie La Républiques des Seychelles est un archipel composé de 115 îles, situé au nord-est de Madagascar. L île la plus importante est l île de Mahé.
Plus en détailCOMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC
COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques
Plus en détailObjectifs Stage en entreprise à l étranger
EURODYSSEE Stage pratique en entreprise Dans une autre région d Europe : Bade-Wurtemberg en Allemagne Wallonie-Bruxelles en Belgique Istrie en Croatie Régions d Espagne, Géorgie, Italie, Norvège, Portugal,
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailJournée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»
Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Sécurité alimentaire et Changement climatique : l Indianocéanie
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailDéveloppement durable
Développement durable Les composantes de l Université assurent la sélection des candidats, la gestion des inscriptions, la mise en place des formations, la pédagogie et le suivi de la formation. Centre
Plus en détailIPRO : UNE APPLICATION POUR L EMPLOI
IPRO : UNE APPLICATION POUR L EMPLOI 2 ème Conférence algéro-française de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Marseille 18-19 octobre 2011 CONTEXTE Septembre 2008, création du Bureau d Aide à l
Plus en détailStratégie du Développement du Gouvernorat de Béja
et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres
Plus en détailÉlargissez vos compétences en intégrant une formation Bac +6 répondant aux enjeux de l'éco-innovation
Mastère Spécialisé Économie circulaire : les outils de l Écologie industrielle et de l Éco-conception Bac +6 Élargissez vos compétences en intégrant une formation Bac +6 répondant aux enjeux de l'éco-innovation
Plus en détailÀ PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR
À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR Photo by: Ryan Carter, Philip Cheung / Crown Prince Court - Abu Dhabi Le Prix Zayed de l énergie du futur, lancé en 2008 et géré par Masdar, représente la vision
Plus en détailAvancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015
Avancement du projet de création de l institut national de formation Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 2013-2014 2015 1 er janv. 2016 Etat des lieux Création de l institut Définition organisation
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailLancement de l expérimentation * en Corse
DOSSIER DE PRESSE 12 OCTOBRE 2011 Lancement de l expérimentation * en Corse Pour tester en milieu insulaire les «systèmes électriques intelligents» * Millener : Mille installations de gestion énergétique
Plus en détailBilan des actions 2012-2013
Politique-cadre de développement touristique des Îles-de-la-Madeleine Bilan des actions 2012-2013 Si l industrie touristique est aujourd hui mature, bien établie et confirmée comme avenue de développement
Plus en détailDORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence
DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau
Plus en détailArticle225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014
Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres
Plus en détailAcronymes. Introduction
Société civile et observation indépendante de la mise en application de la loi forestière et de la gouvernance (OI-FLEG) en République du Congo : progrès, leçons tirées et ouverture sur l avenir Juin 2009
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailGREENDAYZ. Dossier Média SALON INTERNATIONAL. 10 pays 50 entreprises 6000 visiteurs. 25 > 26 Avril 2012
Sous l égide du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau, et de l Environnement GREENDAYZ SALON INTERNATIONAL des MÉTIERS et des TECHNOLOGIES du DÉVELOPPEMENT DURABLE Dossier Média 25 > 26 Avril 202
Plus en détailet la promotion de l action en faveur du climat
La Banque européenne d investissement et la promotion de l action en faveur du climat Les changements climatiques constituent l une des principales menaces d un point de vue environnemental, social et
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailProjet de rapport d activité de la Présidence de la Plateforme Energie pour les années 2013-2014
Département fédéral de l environnement, des transports, de l énergie et de la communication DETEC Office fédéral du développement territorial ARE 28 octobre 2014 Projet de rapport d activité de la Présidence
Plus en détailLa diversification agricole en Camargue
La diversification agricole en Camargue Agritourisme, circuits-courts et démarche qualité Capucine SER, chargée de mission tourisme durable au Parc naturel régional de Camargue Contexte, définition et
Plus en détailARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics
ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics DEFINITION D UNE NORME UNE NORME EST UN DOCUMENT : *ETABLI PAR CONSENSUS ET APPROUVE
Plus en détailRecrutement d un consultant. Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina. PlaNet Finance Madagascar
Termes de références Recrutement d un consultant Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina Version finale 15 janvier 2015 1 / 8 Sommaire I. Contexte 3 I.1. Au niveau international 3 I.2. Au niveau
Plus en détailRéunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau
Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements
Plus en détailFICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication
FICHE ACTION n 31 Fleur des Mauges ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation et formation du
Plus en détailGECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000
GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette
Plus en détailCBBC Canadian Business & Biodiversity Council
CBBC Canadian Business & Biodiversity Council Centre de la Science de la Biodiversité du Québec 72 chercheurs et 350 étudiants en thèse distribués sur un réseau de 8 partenaires universitaires et 2 institutions.
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailOrganisations internationales
Best of des STAGES 2009-2015 Master 2 Professionnel Commerce International Equitable et Développement Université de Toulon Faculté de sciences économiques et de gestion Mise à jour 30 juin 2015. Sylvia
Plus en détailPlan d action de réduction du Bilan GES de l entité BNP PARIBAS ASSET MANAGEMENT du Groupe BNP Paribas
Novembre 2012 Plan d action de réduction du Bilan GES de l entité BNP PARIBAS ASSET MANAGEMENT du Groupe BNP Paribas 1. LA MESURE DE NOTRE BILAN D EMISSION DE GES Notre Bilan GES repose sur une conversion
Plus en détailQHSE HARMONISe energie
QHSE HARMONISe energie ormation accréditée PAr la conférence FDES grandes ÉCOLES. contexte et Objectifs du mastère spécialisé Fort de plus de vingt ans d existence et d expérience, le Mastère Spécialisé
Plus en détailPromouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe
Promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe L une des priorités stratégiques de l Union européenne consiste à promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable pour l Europe. La BEI
Plus en détailFORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015
FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20
Plus en détailProgramme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015
Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel
Plus en détailLa technologie mobile mise à contribution pour améliorer la gestion des petites pêcheries
REGISTERED CHARITY 1098893 La technologie mobile mise à contribution pour améliorer la gestion des petites pêcheries L expansion des réseaux mobiles nous permet d étendre notre portée tout en réduisant
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailCONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence
Strasbourg, 19 février 2007 T- FLOR (2007) 12 CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence CONFERENCE DU CONSEIL DE L EUROPE SUR «LA CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE» Conseil de l Europe Palais
Plus en détailColloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013. Annonce. Mars 2013
Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013 Annonce 1 Mars 2013 I. Cadre de l action L Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l
Plus en détailNos collaborateurs [+] Chiffres clés 2010-2012
Nos collaborateurs [+] Chiffres clés 2010-2012 Effectif total EFFECTIFS Variation TOTAL PERSONNEL GERE PAR LE GROUPE: 1993 2048 2104 3% TOTAL GROUPE AFD: 1625 1681 1742 4% - GROUPE CADRE GENERAL*: 1103
Plus en détailRésumé du rapport final du Projet ECDD
Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,
Plus en détailCes éléments de correction n'ont qu'une valeur indicative. Ils ne peuvent en aucun cas engager la responsabilité des autorités académiques, chaque
Ces éléments de correction n'ont qu'une valeur indicative. Ils ne peuvent en aucun cas engager la responsabilité des autorités académiques, chaque jury est souverain. B.T.S. VENTES ET PRODUCTIONS TOURISTIQUES
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I 1/7
FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I 1/7 DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I (Code du tourisme : art. L.133-1 et suivants, D. 133-20 et suivants)
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailTerritoire. Territoire. Parc d activités économiques. Quartier populaire
rural Centre-ville Quartier populaire Parc d activités économiques Problématique Problématique enclavé Banlieue pavillonnaire Problematique Problematique Insertion Petite enfance Problématique Problématique
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailCompte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)
Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre
Plus en détailGuide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication
MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques
Plus en détailFreddy Huet. Adresse professionnelle : Adresse personnelle :
Maître de conférences à l université de la Réunion Membre du CEMOI (université de la Réunion) Chercheur associé à la chaire EPPP (IAE de Paris) Né le 04 janvier 1979 Nationalité Française Adresse professionnelle
Plus en détailMichel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011
Présentation par Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 STANDARD DE GESTION FORESTIÈRE FSC FOREST STANDARD SHIP COUNCIL Historique du FSC Créé en 1993 suite au Sommet de la terre de Rio
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailETUDE DE LA CARTE DU TOURISME CULTUREL ET NATUREL. Sami GHARBI Architecte Général Directeur du Patrimoine et de l Environnement
ETUDE DE LA CARTE DU TOURISME CULTUREL ET NATUREL Sami GHARBI Architecte Général Directeur du Patrimoine et de l Environnement SOMMAIRE 1. CONTEXTE DE L ETUDE 2. OBJECTIFS DE L ETUDE 3. CONSISTANCE DE
Plus en détailCécile MAUNIER. Maître de Conférences Sciences de Gestion Responsable pédagogique - Master 1 Marketing, Vente TITRES UNIVERSITAIRES
Cécile MAUNIER Maître de Conférences Sciences de Gestion Responsable pédagogique - Master 1 Marketing, Vente IAE REUNION 24 avenue de la Victoire CS 92003 Saint Denis Cedex 09 ( : 02 62 47 99 01 E- mail
Plus en détail