LOT 8 PLATRERIE CLOISONS SECHE

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1 S.I.C.A.H.R. DE L AUBE 11 rue Pargeas TROYES ) MAITRE Communauté de Communes du Bassigny D OUVRAGE 28, rue Hubert Colot Val de Meuse A. Chauvet F. Jaillant F.Fricker APS CONSTRUCTION D UN GROUPE SCOLAIRE APD OPERATION Rue Aurélie Picard PC Provenchères sur Meuse AO X DET DOE A.O. C.C.T.P. Mars 2010 LOT 8 PLATRERIE CLOISONS SECHE Date : 2/3/2010 1

2 TABLE DES MATIERES 1-4 GENRALITES COMMUNES TOUS CORPS D ETATS 4-13 LOT N 8 PLATRERIE-CLOISONS SECHES LOT N 8 PLATRERIE-CLOISONS SECHES Cloisons fixes composites Revêtements enduits Eléments de liaison et de calfeutrement Ossatures plafonds suspendus Revêtement vissés, cloués, agrafés, suspendus Isolation Encoffrements coupe feu Eléments de liaison et de calfeutrement Date : 2/3/2010 2

3 PRESCRIPTIONS GENERALES COMMUNES A TOUS LES CORPS D ETAT Caractéristiques du Cahier des Clauses Techniques Particulières Tous les travaux seront exécutés conformément aux prescriptions de la norme française NF P de septembre 1991 Cahier des Clauses Administratives Générales applicables aux travaux de bâtiment faisant l objet de marchés privés (CCAG) et du Cahier des Clauses Administratives particulières (CCAP). Tous les travaux seront exécutés conformément aux prescriptions du Cahier des Clauses Administratives Générales (CCAG) applicables aux Marchés Publics, du Code des Marchés Publics, et du Cahier des Clauses Administratives Particulières (CCAP) et des documents particuliers et généraux qui y sont énumérés, ainsi que tous les documents auxquels il aura été fait référence au travers des documents précités. Les ouvrages sont réputés complets. Ils sont définis par les pièces dessinées en plans, coupes, façades, et par le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP). L ensemble de ces documents constituant un tout qui définit la prestation. Une omission dans un de ces documents ne soustraira pas l entrepreneur à l obligation d exécuter les ouvrages tels qu ils sont, soit dessinés, ou décrits pour le montant global du marché. Il aura prévu dans son offre, les ouvrages de sa profession qui seront nécessaires et qui n auraient pas été précisés dans les documents ci-dessus. L entrepreneur devra se rendre compte par une visite préliminaire au dépôt de son offre, de l état des lieux, des possibilités d accès, des difficultés éventuelles d exécution des travaux et en général des sujétions locales à prendre en considération pour sa spécialité. Le présent CCTP a pour but de définir la qualité et la nature des ouvrages à réaliser. Quel que soit le système employé l entrepreneur devra joindre à son offre un planning détaillé indiquant le temps d exécution de chaque groupe d ouvrage de son lot. L entreprise doit réaliser l ensemble des travaux de son lot suivant les règles fondamentales de l art de sa profession, conformément aux réglementations, normes, prescriptions, règles de calculs, cahier des clauses techniques, cahier des clauses spéciales et documents annexes DTU propres à chaque corps d état, en vigueur à la date de remise des offres. L entreprise doit utiliser les matériaux et produits dont les caractéristiques, de dimensions, formes, qualités de matériaux employés dans les travaux, sont fixés en fonction des cahiers des clauses techniques du DTU de chaque corps d état, mis à jour à la date de remise des offres. Chaque entrepreneur est tenu de réaliser ses propres travaux en tenant compte des réservations et des préparations nécessaires à la bonne exécution des ouvrages des autres corps d état, sans que ceux-ci aient à engager des ouvrages supplémentaires hors des travaux normaux de leur lot. La terminologie employée au présent Cahier des Clauses Techniques Particulières sera conforme à la norme NF P Bâtiment et génie civil - Vocabulaire - Partie 1 : Termes généraux. Normes fondamentales Le présent CCTP (ainsi que l Avant Métré Quantitatif qui lui est éventuellement associé) reprend en ce qui concernent les grandeurs physiques, les équations, les symboles de grandeurs et d unités, les systèmes cohérents d unités, spécialement le Système International d Unités (SI), les normes : - NF X Grandeurs et unités - Principes généraux ; - NF X Normes fondamentales - Principes de l écriture des nombres, des grandeurs, des unités et des symboles ; - X Normes fondamentales - Noms et symboles des unités de mesure du Système international d unités (SI) ; - NF X Normes fondamentales - Le système international d unités - Description et règles d emploi - Choix de multiples et de sous-multiples ; Normes de performances Les performances des différents composants dans le bâtiment seront conformes aux normes : - P Normes de performances dans le bâtiment - Principes d établissement et facteurs à prendre en compte ; - P Normes de performances dans le bâtiment - Présentation des performances des cloisons non porteuses construites avec des composants de même origine ; Date : 2/3/2010 3

4 - P Normes de performances dans le bâtiment - Présentation des performances des façades construites avec des composants de même origine ; - P Normes de performances dans le bâtiment - Présentation des performances des planchers préfabriqués en béton armé ou précontraint. Contrôle technique Le contrôle technique sera conforme au : - décret n du 7 décembre 1978, articles L à L et R à R du code de la construction et de l habitation ; - décret n du 30 octobre 1992 relatif au cahier des clauses techniques générales applicables aux marchés de contrôle technique ; - décret n du 28 mai 1999 relatif au cahier des clauses techniques générales applicables aux marchés de contrôle technique. Suivant le décret n du 7 décembre 1978, article R sont soumises obligatoirement au contrôle technique prévu à l article L les opérations de constructions ayant pour objet la réalisation : - 1 d établissements recevant du public, au sens de l article R , classés dans les 1re, 2e, 3e catégories visées à l article R ; - 2 l immeuble dont le plancher bas du dernier niveau est situé à plus de 28 mètres par rapport au niveau du sol le plus haut utilisable par les engins des services publics de secours et de lutte contre l incendie ; - 3 de bâtiments, autres qu à usage industriel : comportant des éléments en porte-à-faux de portée supérieure à 20 mètres ou des poutres ou arcs de portée supérieure à 40 mètres ; ou comportant, par rapport au sol naturel, des parties enterrées de profondeur supérieure à 15 mètres, ou des fondations de profondeur supérieure à 30 mètres ; ou nécessitant des reprises en sous-œuvre ou des travaux de soutènement d ouvrages voisins, sur une hauteur supérieure à 5 mètres. Le contrôle technique des travaux pourra être demandé par le Maître d Ouvrage, il sera alors assuré par l organisme de son choix. Les principes généraux relatifs au contrôle technique de la construction et les modalités de réalisation des missions seront conformes à la norme NF P Les honoraires afférents au contrôle technique sont à la charge du Maître d Ouvrage. Les travaux tous corps d état seront soumis au contrôle d un organisme spécialisé. Hygiène, sécurité et conditions de travail La liste des prescriptions réglementaires que doivent respecter, dans la mesure où elles sont déclarées leur être applicables, les travailleurs indépendants ainsi que les employeurs lorsqu ils exercent directement une activité sur un chantier de bâtiment ou de génie civil sera conforme à l annexe du décret n du 6 mai Les règles d hygiène et sécurité des travailleurs seront conformément au code du travail, livre 2, titre 2, décret n du 8 janvier 1965 modifié et complété. Rappels : - Mesures de protection collectives destinées à empêcher les chutes de personnes (titre 1, chapitre 2, article 5) : Lorsque du personnel travaille ou circule à une hauteur de plus de trois mètres en se trouvant exposé à un risque de chute dans le vide, il doit être installé un dispositif de protection collectif. - Mesures de protection individuelles (titre 1, chapitre 4, article 16 : décret n du 6 mai 1995, art à 10-6). Dans le cas ou les moyens de production collective ne peuvent pas être mis en œuvre de manière satisfaisante, des équipements de protection individuelle et des produits de protection appropriés doivent être utilisés. - Echafaudages, plates-formes, passerelles et escaliers (titre 7, chapitre 1). Des échafaudages convenables doivent être prévus pour tout travail qui ne peut être exécuté sans danger avec une échelle ou par d autres moyens. - Travaux sur les toitures (titre 9). Date : 2/3/2010 4

5 Lorsque des personnes doivent (décret n du 6 mai 1995, art. 18-1) travailler sur un toit présentant des dangers de chute de personnes ou de matériaux d une hauteur de plus de trois mètres, des précautions convenables doivent être prises pour éviter la chute des personnes ou des matériaux. - Travaux de montage, de démontage et de levage de charpentes et ossatures (titre 10). Lors des travaux de montage, de démontage et de levage de charpente et ossatures, toutes mesures doivent être prises pour réduire au minimum les travaux et déplacements en hauteur qui exposent le personnel à un risque de chute. Les règles d hygiène, sécurité et conditions de travail seront conformes au code du travail, livre 2, titre 3, articles L à L , article L , articles L à L , articles R à , articles R à , articles R à 235-5, articles R à , articles R à Coordination sécurité La coordination sur les chantiers de bâtiment et de génie civil sera conforme aux textes de loi en vigueur, en particulier : - la loi n en date du 31 décembre 1993 modifiant les dispositions du code du travail applicables aux opérations de bâtiment ou de génie civil en vue d assurer la sécurité et de protéger la santé des travailleurs ; - le décret n en date du 26 décembre 1994 relatif à l intégration de la sécurité et à l organisation de la coordination en matière de sécurité ; - le décret n en date du 4 mai 1995 relatif au collège inter6entreprise de sécurité, de santé et des conditions de travail ; - les décrets en date du 6 mai 1995 relatifs aux dispositions réglementaires que doivent respecter les travailleurs indépendants, d une part, et modifiant divers textes réglementaires pour les rendre applicables aux indépendants, d autre part. Catégories des opérations de bâtiment et de génie civil suivant article R er Catégorie 2ème Catégorie 3ème Catégorie - opérations soumises à déclaration préalable, opérations supérieures à 500 hommes/jour (opérations d un montant TTC > francs) - chantiers où sont exécutés des travaux à risques particuliers visés par l article L du code du travail. opérations supérieures à hommes/jour où seront présentes au moins dix entreprises. (opérations d un montant TTC > francs) opérations soumises à l obligation de constituer un collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail. opérations soumises à l obligation d établir un plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé les autres opérations, à l exclusion des opérations chez les particuliers visées par l article L , 2è alinéa, du code du travail. autres opérations Niveaux de compétence de coordonnateur suivant article R niveau 1 niveau 2 niveau 3 aptitude à coordonner les opérations des 2e et 3e catégories aptitude à coordonner toutes opérations aptitude à coordonner les opérations de la 3e catégorie. Principales obligations du maître d ouvrage : - Obligations de faire : - appliquer les principes généraux de prévention, article L ; - déclarer les opérations de niveau I et II, articles L , R , R ; - désigner le coordonnateur SPS compétent doté de l autorité et des moyens nécessaires à sa mission, articles L (alinéa 1), L , R , R , R ; - réaliser les voiries et réseaux divers préalables pour les opérations de bâtiment (> ), articles L , R à R ; - organiser les rapports entre maître d œuvre, entreprises et coordonnateur, articles L , R , R , R ; - conserver le P.G.C.S.P.S. pendant cinq ans à compter de la réception de l ouvrage, article R ; - conserver et transmettre le D.I.U.O., articles L , R ; Date : 2/3/2010 5

6 - constituer le C.I.S.S.C.T., articles L à L , R à R ; - se concerter avec les autres M.O.A. en cas de pluralité d opérations, avec risque d interférence, article L Obligations de faire6 faire : - veiller à la mise en application des principes généraux de prévention, articles L , L , R ; - faire établir le P.G.C.S.P.S. par le coordonnateur S.P.S., articles L , R à R ; - faire ouvrir le registre-journal de la coordination par le coordonnateur S.P.S., article R ; - faire constituer le D.I.U.O. par le coordonnateur S.P.S., articles L , R à R Principales obligations du coordonnateur S.P.S : - être expérimenté et compétent, articles L , R à R ; - ouvrir et compléter le R.J.C., article R ; - appliquer les principes généraux de prévention, articles L , R ; - participer aux réunions organisées notamment par le maître d ouvrage, articles L , R ; - élaborer et tenir à jour le plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé (P.G.C.S.P.S.), articles L , R , R ; - arrêter les mesures générales en concertation avec le maître d œuvre, article R ; - harmoniser les P.P.S.P.S. dans le plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé (P.G.C.S.P.S.), articles L , R ; - assurer le passage des consignes avec le coordonnateur de réalisation, article R ; - organiser la coordination entre les différentes entreprises, article R ; - constituer et compl2ter éventuellement, le D.I.U.O., article R ; - tenir compte des interférences sur le site ; - procéder aux visites de chantier avec les entreprises, article R ; - élaborer le projet de règlement C.I.S.S.C.T., articles L à L , R ; - présider le C.I.S.S.C.T., article R ; - faire adopter le règlement du C.I.S.S.C.T., article R ; - conserver le R.J.C. pendant cinq ans à compter de la réception de l ouvrage, article R Principales obligations du maître d œuvre : - appliquer les principes généraux de prévention, article L ; - participer aux travaux du C.I.S.S.C.T., articles L à L , R à R ; - appliquer les règles fixées aux articles L (dernier alinéa), L , L à L , L à L et L pour les opérations conduites dans les habitants, dérogation article L ; - coopérer avec le coordonnateur pendant la phase de conception et réalisation en l associant aux réunions et lui transmettant ses études, articles L , R , R ; - viser les observations du coordonnateur portées au R.J.C. et lui répondre le cas échéant, article R ; - arrêter les mesures générales en concertation avec le coordonnateur S.P.S., article R Principales obligations de l entrepreneur, du travailleur indépendant ou du sous-traitant : - respecter et appliquer les principes généraux de prévention, articles L , L , L ; - rédiger et tenir à jour les P.P.S.P.S., les transmettre aux organismes officiels (I.T., C.R.A.M., et O.P.P.B.T.P.) au coordonnateur ou au maître d ouvrage et les conserver pendant cinq ans à compter de la réception de l ouvrage, articles L , R à R ; - participer et laisser participer les salariés au C.I.S.S.C.T., articles L à L , R à R ; - respecter les obligations résultant du plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé (P.G.C.S.P.S.), articles L , L , livre II et décrets non codifiés ; - respecter les obligations issues du livre II du code du travail, notamment les grands décrets techniques (8 janvier 1965, etc.) ; - viser le R.J.C. et répondre aux observations ou notifications du coordonnateur, article R Déclaration préalable Suivant article R du décret n du 26 décembre 1994 : Date : 2/3/2010 6

7 Déclaration préalable (article R ) : sont soumises à l obligation de déclaration préalable prévue à l article L les opérations de bâtiment ou de génie civil pour lesquelles l effectif prévisible des travailleurs soit dépasser vingt travailleurs à un moment quelconque des travaux et dont la durée doit excéder trente jours ouvrés, ainsi que celles dont le volume prévu des travaux doit être supérieur à 500 hommes-jours. Collège interentreprises de sécurité Le collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail sera conforme au décret n du 4 mai 1995, art. 1er : Article R : pour l application du premier alinéa de l article L , le maître d ouvrage est tenu de constituer un collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail lorsque le chantier doit dépasser un volume de hommes-jours et que le nombre d entreprises soustraitantes inclus, est supérieur à dix s il s agit d une opération de bâtiment ou à cinq s il s agit d une opération de génie civil. Cette constitution doit être effective au plus tard vingt-et-un jours avant le début des travaux. Plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé Suivant article L : une coordination en matière de sécurité et de santé des travailleurs doit être organisée pour tout chantier de bâtiment ou de génie civil ou sont appelés à intervenir plusieurs travailleurs indépendants ou entreprises, entreprises sous-traitantes incluses, aux fins de prévenir les risques résultant de leurs interventions simultanées ou successives et de prévoir, lorsqu elles s impose, l utilisation des moyens communs tels que les infrastructures, les moyens logistiques et les protections collectives. Le plan général de coordination sera conforme aux articles R à Vérifications Chaque entrepreneur est tenu de vérifier l ensemble des documents fournis. Les textes et documents énumérés dans l'ensemble des pièces du marché sont non exhaustifs, à ce titre ils ne pourront être considérés comme limitatifs. Il ne pourra en aucun cas s appuyer sur des imprécisions, omissions ou erreurs existantes sur les documents fournis, pour éluder la responsabilité d un ouvrage non conforme aux règles de l Art ou dont l exécution laisserait à désirer. Avant toute mise en œuvre l entrepreneur s assurera de la possibilité de suivre les indications et cotes fournies, pour l exécution de ses travaux. En cas d impossibilité, il en référera immédiatement au Maître d Œuvre. Il ne pourra en aucun cas modifier le projet du Maître d Œuvre, mais devra signaler toutes modifications qu il croirait utile d y apporter. En tant que spécialiste, il provoquera tous renseignements sur tout ce qui lui semblerait douteux ou incomplet, et devra compléter les dessins qui lui seront remis par le Maître d Œuvre. Faute de se conformer aux présentes prescriptions, il deviendra responsable de toutes les erreurs relevées au cours de l exécution, ainsi que des conséquences de toute nature qu elles entraîneraient. Réservations Les entreprises intéressées devront remettre en son temps au titulaire du lot Gros Œuvre, les schémas et plans de réservation. En l absence de ceux-ci, les réservations seront exécutées par le lot Gros Œuvre à la charge de l entreprise concernée. Nettoyage de chantier Les ouvrages de chaque lot devront être laissés en parfait état d achèvement et de propreté ainsi que le chantier et les abords. Tous les matériaux non utilisables seront enlevés et transportés ou stockés dans les différentes filières en fonction de la nature des déchets, par l entreprise concernée, en respect du plan de gestion des déchets départemental, et de la circulaire du 15 février 2000 relative à la planification de la gestion des déchets de chantier du bâtiment et des travaux publics (BTP). Dans le cas contraire, le nettoyage du chantier et l évacuation des déchets seront exécutés par le lot Gros Œuvre suivant les mêmes respect tant qu à la gestion des déchets, à la charge du ou des corps d état concernés. L ensemble des abords du chantier ainsi que toutes traces de chantier seront dégagés au plus tard 15 jours avant la réception des travaux. Date : 2/3/2010 7

8 Remplacement des ouvrages défectueux Les matériaux ou fournitures jugés défectueux ou non conformes à la qualité prescrite, seront refusés et remplacés, en cours d exécution ou lors des réceptions de travaux, conformément aux décisions du Maître d Œuvre. Réunions de chantier Les réunions de chantier devront être suivies régulièrement par tous les entrepreneurs qui devront y donner les suggestions ou les problèmes qu ils auraient pu rencontrer dans la préparation de leur lot (voir CCAP), sous peine d une amende forfaitaire par absences non justifiées (voir CCAP chapitre 4.3 Pénalités pour retard). Variantes Les entreprises soumissionnaires devront impérativement répondre aux variantes demandées au CCTP sous peine de voir leurs offres refusées. Les prestations non prévues au CCTP et jugées indispensables par les entreprises seront chiffrées en variante. Tout mode de construction concurrentiel autre que celui défini au CCTP pourra être proposé par l entrepreneur en variante de son offre. Il devra alors tenir compte des sujétions et frais créés par l incidence de son offre (études techniques, cotation des plans, ouvrages de second œuvre des autres lots, etc.). Toutefois les propositions de base seront impérativement conformes au présent CCTP. Options Les entreprises soumissionnaires devront impérativement répondre aux options demandées au CCTP sous peine de voir leurs offres refusées. Les prestations non prévues au CCTP et jugées indispensables par les entreprises seront chiffrées en variante. Tout mode de construction concurrentiel autre que celui défini au CCTP pourra être proposé par l entrepreneur en variante de son offre. Il devra alors tenir compte des sujétions et frais créés par l incidence de son offre (études techniques, cotation des plans, ouvrages de second œuvre des autres lots, etc.). Toutefois les propositions de base seront impérativement conformes au présent CCTP. Choix des matériaux Les marques de matériaux et produits indiqués dans le CCTP sont données à titre indicatif. Elles ont été choisies en référence, soit pour leurs caractéristiques techniques, leur comportement au feu, leur aspect ou leurs qualités. Les entreprises pouvant proposer toutes autres marques à qualités et caractéristiques comparables, lors de la remise des offres en joignant les références des produits ou matériaux qu il se propose d employer ainsi que les fiches techniques correspondantes par prestation. Le choix définitif, étant arrêté par le Maître d Œuvre. Tout produit ne faisant pas l objet d un avis technique ou n étant pas couvert par une assurance, ne pourra être pris en considération. Compte Prorata Conformément à la NF P (la présente norme a pour objet de mettre à la disposition des intéressés un Cahier des Clauses Types comme Cahier des Clauses Administratives Générales applicable aux travaux de bâtiment faisant l'objet de marchés privés) (CCAG), article 12 (dépenses d intérêt commun - compte prorata), le panneau de chantier, le bureau de chantier, toutes les dépenses communes (branchements et consommations) seront exécutés aux frais des entreprises adjudicataires et implicitement compris dans leur prix. Ces frais seront répartis entre les entreprises au prorata de leur marché sous le contrôle du Maître d Œuvre L entreprise de Gros Œuvre aura la gestion du compte prorata, et devra prendre toutes dispositions pour assurer la sécurité des personnes et des biens sur l espace public. Clauses spéciales de pré-chauffage L exécution des travaux de certains ouvrages étant liée à des conditions de température minimale ou de degré hygrométrique limité, l entrepreneur ne pourra refuser l exécution ou la continuité de ces travaux s il peut être satisfait aux dites conditions par un pré-chauffage approprié. Les frais correspondants seront comptés au compte prorata, à condition que l exécution des travaux dans la période considérée corresponde au calendrier d exécution. Frais à la charge des entreprises Date : 2/3/2010 8

9 Voir Chapitre Compte Prorata. Les frais d études techniques seront à la charge des entreprises adjudicataires. Les plans techniques devront recevoir l approbation du Maître d Œuvre. Sécurité incendie pour établissements recevant du public Classement des établissements Les établissements sont classés en types, selon la nature de leur exploitation : a) Etablissements installés dans un bâtiment : - L - Salles d auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple ; - M - Magasin de vente, centres commerciaux ; - N - Restaurants et débits de boissons ; - O - Hôtels et pensions de famille ; - P - Salles de danse et salles de jeux ; - R - Etablissements d enseignement, colonies de vacances ; - S - Bibliothèques, centres de documentation ; - T - Salles d expositions ; - U - Etablissements sanitaires ; - V - Etablissements de culte ; - W - Administrations, banques, bureaux ; - X - Etablissements sportifs couverts ; - Y - Musées. b) Etablissement spéciaux : - PA - Etablissements de plein air ; - CT - Chapiteaux et tentes ; - SG - Structures gonflables ; - PS - Parcs de stationnement couverts ; - GA - Gares ; - OA - Hôtels, restaurants d altitude. 1 - Types : ces dispositions sont prises en application de l article R du Code de la construction et de l habitation. a) Ces établissements sont soumis aux dispositions du Livre II lorsqu ils sont des 1, 2, 3 et 4e catégories, et à celles du Livre III lorsqu ils appartiennent à la 5e catégorie. b) Ces établissements sont soumis aux dispositions du Livre IV relatif aux établissements spéciaux. Pour l application du règlement de sécurité, les établissements recevant du public sont classés en deux groupes : - le premier groupe comprend les établissements des 1, 2, 3, et 4e catégories ; - le deuxième groupe comprend les établissements de 5e catégorie. 2 - Catégories : ces dispositions sont prises en application de l article R du Code de la construction et de l habitation. Catégories des établissements recevant du public 1er groupe 2e groupe Grands Etablissements (G.E.) Petits Etablissements (P.E.) Catégorie 1ère 2ème 3ème 4ème 5ème Nombre de > (1) 300 (2) personnes 1500 (1) 4e catégorie : 300 personnes et au-dessous, à l exception des établissements compris dans la 5e catégorie. (2) 5e catégorie : établissements faisant l objet de l article R dans lesquels l effectif du public n atteint pas le chiffre minimum fixé par le règlement de sécurité pour chaque type d exploitation. Date : 2/3/2010 9

10 Résistance au feu des structures et planchers (règles générales) Etablissement occupant Etablissement occupant Catégorie de entièrement le bâtiment partiellement le bâtiment l établissement Résistance au feu Simple rez-de-chaussée Etablissement à un seul niveau 2e catégorie Structure SF de degré 1/2 h 3e catégorie Plancher CF de degré 1/2 h 4e catégorie Toutes Structure SF de degré 1/2 h catégories Plancher CF de degré 1/2 h Plancher bas du niveau le plus haut situé à moins de 8 mètres du sol Plancher bas du niveau le plus haut situé à plus de 8 mètres et jusqu à 28 mètres y compris Degré de stabilité au feu exigé pour la structure du bâtiment Différence de hauteur entre les niveaux extrêmes de l établissement Inférieure ou égale à 8 mètres Différence de hauteur entre les niveaux extrêmes de l établissement Supérieure à 8 mètres 1e catégorie 2e catégorie 3e catégorie 4e catégorie 1e catégorie Structure SF de degré 1 h Plancher CF de degré 1 h Structure SF de degré 1 h Plancher CF de degré 1 h Structure SF de degré 1 h 1/2 Plancher CF de degré 1 h 1/2 Caractéristiques des distributions intérieures et compartimentages Parois entre locaux accessibles au public Parois entre locaux et dégagements accessibles Parois entre locaux accessibles au public et locaux non accessibles au public classés à risques courants Au public Non réservés au Réservés au Parois limitant les compartiments sommeil (1) sommeil Aucune exigence PF de degré 1/4 PF de degré 1/4 CF de degré 1/4 CF de degré 1/2 1/2 CF de degré 1/2 PF de degré 1/2 CF de degré 1/2 CF de degré 1/2 1 CF de degré 1 PF de degré 1/2 CF de degré 1 CF de degré 1 1 h ½ CF de degré 1 PF de degré 1/2 CF de degré 1 CF de degré 1 h 1/2 1) Toutefois, cette disposition n est pas exigée à l intérieur d un ensemble de locaux contigus qui ne dépasse pas 300 m2 au même niveau. L ensemble des ouvrages devra être conforme aux présents règlements de sécurité contre les risques d incendie et de panique dans les établissements recevant du public, suivant arrêté du 25 juin 1980 modifié et complété. Risque sismique Suivant les zones de construction et la nature des immeubles il sera tenu compte des décrets, arrêtés et règles de constructions parasismique, en particulier : - décret n du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique ; - arrêté du 29 mai 1997 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la catégorie dite à risque normal telle que définie par le décret n du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique ; - règles de constructions parasismique : - norme NF P règles PS applicables aux bâtiments dites Règles PS 92 ; - norme NF P Construction parasismique des maisons individuelles et des bâtiments assimilés dites Règles PS-MI 89 révisées 92. Date : 2/3/

11 Bureaux de contrôle Mission solidité SOCOTEC 47, rue Alphandéri Chaumont Mission S.P. S. ACE BTP z.i. Rue Lavoisier BP Nogent Bureaux d études A la charge du Maître d Ouvrage. BETC Masse - Roustan 49 Rue Lévy Alphandéry CHAUMONT Tel : Fax : BET S.A.R.L. S.E.T.I. Rue St Aventin.Z.A Crenay-près-Troyes Tel : Fax : GEOTEC 9 Boulevard de l Europe QUETIGNY LES DIJON Tel : Fax : A la charge du Maître d Ouvrage. *Les pré-études des bureaux C.C.T.P études bétons et fluides sont annexées au présent Objet du programme Le présent CCTP a pour objet la construction d un groupe scolaire à Provenchères sur Meuse Maître d Ouvrage : Communauté de Communes du Bassigny 28 rue Hubert Collot Val de Meuse tél : fax : Maître d Œuvre : S.I.C.A.H.R 11 Rue Georges PARGEAS TROYES Date : 2/3/

12 LOT N 8 PLATRERIE-CLOISONS SECHES PAROIS CLOISONNEMENT 8.1 Cloisons fixes composites Mise en œuvre conformément à la norme NF P (Référence DTU n CCT) et aux prescriptions du fabricant. Cloisons de doublage composite Cloisons vissées sur tasseaux traités verticaux ou horizontaux. Cloisons collées au mortier adhésif préconisé par le fabricant. Sur l ensemble de l ouvrage, les joints seront traités selon la technique et avec les produits du fabricant (bande + enduit). Les chants apparents recevront une protection équivalente à 1 cm de plâtre dur, avec angles en aluminium. La mise en œuvre sera conforme aux Conditions générales d emploi, des complexes et sandwiches d isolation thermique intérieure : plaque de plâtre isolant et aux recommandations du fabricant. Les cloisons dans les pièces d eau, seront montées sur une arase étanche. En cas de réalisation par pose collée de doublage de grande hauteur (supérieure à la hauteur des éléments) un tasseau horizontal sera disposé à chaque jonction entre complexes, permettant une fixation mécanique de sécurité. La prestation comprendra également la pose des conduits ICO dans ces cloisons de distribution, sous la responsabilité de l entrepreneur du lot Electricité Complexe isolant en polystyrène expansé de type Doublissimo (Placoplatre) ou équivalent, avec pare-vapeur. CLOISONS DE DOUBLAGE CONTRE MURS DE FAÇADE SUIVANT PLANS Distribution type 98/48 avec plaques standard et isolation, type Placostil (Placoplatre) ou équivalent, chaque parement sera constitué d une plaque de plâtre standard type BA 13 (Placoplatre) ou équivalent. Isolation en fibre minérale en panneaux semi-rigides de laine de roche d épaisseur 45 mm, disposée entre les montants. Dans les pièces d eau les cloisons seront montées en plaques de type «hydro» sur arases étanches + étanchéité complémentaire en relevé. Les joints et les bandes seront traités suivant la technique et avec les produits «placoplâtre» ou équivalent. Ossature simple ou double suivant hauteur des cloisons à réaliser. Montants et rails métalliques galvanisés épaisseur de 6/10è de 48 mm de largeur CLOISONS SEPARATIVES ENSEMBLE DES LOCAUX INTERIEURS SUIVANT PLANS *La face coté des circulations sera traité en plaques à très haute dureté (THD) *La face coté cuisine et/ou sanitaire sera traitée en plaque de «FERMACELL» ou équivalent Complexe cloisonnement avec plaques de plâtre PPF BA 15 type Placoflam PPF BA 15 (Placoplatre) ou équivalent, plaques spéciales permettant une résistance au feu PF et CF de classement 1 s. Hauteurs sous plafonds variables selon plans et coupes. Date : 2/3/

13 LOCALISATION ENSEMBLE DES PAROIS DES LOCAUX : RANGT MATERNELLE LOCAL ENTRETIEN RANGT PEDAGOGIQUE PRIMAIRE PLACARD TABLEAU DIVISIONNAIRE TRAITEMENT DES PAREMENTS VERTICAUX 8.2 Revêtements enduits Enduit plâtre Enduit plâtre lissé sur murs intérieurs, y compris enduit préliminaire de dressement, et plâtre dur. ENSEMBLE DES MURS, POTEAUX ET RETOMBEE DE POUTRE APPARENTS ET SANS DOUBLAGE NOTE : les enduits plâtre ci dessus pourront ; le cas échéant ; être substitué par un traitement par plaques de plâtre après avis auprès du bureau de contrôle. 8.3 Eléments de liaison et de calfeutrement Angles de protection SUIVANT PLANS coffres et soffites COFFRE POUR CACHE TUYAUX POUR DESCENTES DES EAUX PLUVIALES DANS LES LOCAUX Date : 2/3/

14 PLAFONDS Ossatures plafonds suspendus Les ossatures métalliques seront posées selon les recommandations du fabricant et les indications du lot électricité. 8.4 Revêtement vissés, cloués, agrafés, suspendus Dans le plafond seront prévues les réservations pour les luminaires et les bouches de ventilation. L entrepreneur devra se mettre en rapport avec les lots concernés et devra la coordination avec eux en ce qui concerne les plafonds prévus au présent lot. Avec l ossature de plafonds, seront posés les profils nécessaires au support des luminaires, en accord avec l électricien. Plafond en plaques de plâtre sur ossature acier galvanisé type Placostil (Placoplatre) ou équivalent, constitué de la façon suivante : - ossature primaire type Mégastil, Stil Prim 100, ou équivalent de dimensions appropriées, disposée à 1,20 m maximum d entraxe, fixée par l intermédiaire de suspentes tous les 3,00 m maximum d entraxe à la charpente bois ou scellée à la dalle béton ; - profilés de rive en cornières type CR 2 suivant besoins ; - fourrures type Placostil F 530, en acier galvanisé d épaisseur 6/10e, disposées à 60 cm maximum d entraxe, fixées à l ossature primaire ; - plaques de plâtre fixées perpendiculairement à l ossature. Les joints seront traités suivant la technique et avec les produits du fabricant (bande + enduit). La mise en œuvre sera conforme à la norme NF P (Référence DTU CCT) et aux recommandations du fabricant. Les plafonds répondront aux normes en vigueur concernant la prévention incendie avec double structure porteuse plénum intermédiaire et épaisseur de plaques de plâtre superposées si nécessaire Plafond avec plaques de plâtre PPF BA 15 type Placoflam PPF BA 15 (Placoplatre) ou équivalent, plaques spéciales permettant une résistance au feu PF et CF de classement 1/2 s. Hauteurs sous plafonds variables selon plans et coupes. LOCAL ENTRETIEN RANGT PEDAGOGIQUE PRIMAIRE RANGT PEDAGOGIQUE (SALLE D EVOLUTION) CHAUFFERIE TGBT ET TABLEAU DIVISIONNAIRE OFFICE LOCAL POUB Plafond type 72/48 avec face BA 13 hydrofuge, type Placostil (Placoplâtre) ou équivalent, PLAFONDS DES L ENSEMBLE DES SANITAIRES, SAS SANITAIRES, ATSEM, Date : 2/3/

15 VESTIAIRE DU PERSONNEL. RANGT. DE COUR Plafond décoratifs en module 600x600. Focus de «Ecophon» et Chorus de «Ecophon» ou équivalent plaques démontables - Panachage des deux gammes : 35% Chorus et 65% Focus calepinage simple selons architecte La finition des rives sera traitée avec un profil de bordure qui sera fixé aux parois. Le système de suspension sera de type rigide et adapté à la hauteur sous plafond. Il comprendra tous les accessoires de fixation et de réglage. Le plafond sera mis en place selon les recommandations du fabricant et les normes en vigueur. ACCUEIL MATERNELLE ET PRIMAIRE ENSEMBLE DES CIRCULATIONS REPOS CLASSES ET INFORMATIQUE ATELIER SALLE DES ENSEIGNANTS MEDECIN DIRECTION SALLE D EVOLUTION RESTAURATION 8.5 Isolation Dispositions réglementaires et/ou para-réglementaires relatives à la ventilation des combles. il est nécessaire de ventiler la sous-face des couvertures et les supports (DTU et Cahier 1926 du CSTB). Isolation laine de verre Feutre en laine de verre revêtu d un pare-vapeur quadrillé type IBR Monocouche (Isover Saint-Gobain) ou équivalent, caractéristiques : - feutre en laine de verre TELSTAR, revêtu sur une face d un kraft bitumé pare-vapeur ; - classe VA2 selon DTU règle Th-K ; Le certificat de qualification délivré par l ACERMI n 85/C/18/004, figurant sur l étiquette de ces produits garantira leur aptitude à l emploi ISOLE Date : 2/3/

16 Epaisseur en mm R m 2 C/W 4,00 4,50 5,00 5,50 6,00 6, Feutre laine de verre avec pare-vapeur de 300 mm d ép., type GR 32 (Isover Saint- Gobain) ou équivalent, en trois couches croisées pour une résistance thermique de R = 7.50 m 2 K/W. La pose sera particulièrement soignée, la face vers le sol comportant le parevapeur sera soigneusement scotchée pour éviter toute fuite d air. ISOLATIOSN DE L ENSEMBLE DES PLAFONDS EN COUCHES CROISEES SUIVANT PLAN ET COUPE L ENSEMBLE DE L ISOLATION SERA CONFORME A L ETUDE THERMIQUE CI JOINTE Grillage de support de l isolation laine de verre, type Plastinet galvanisé (Isover) fixé entre fermettes ou sous les solivages, permettant le support de l isolation en plafond, avant pose des plafonds, fixation par cavaliers en quinconce ou tout autre système définitif. Ce grillage laissera suffisamment d espace pour le passage des gaines dans la partie chauffée du plénum des faux plafonds. GRILLAGE POUR L ENSEMBLE DE L ISOLATION DES PLAFONDS INTERIEURS SUIVANT COUPES 8.6 Encoffrements coupe feu Carreaux de plâtre pleins de 7 cm d épaisseur, type PF3/Promonta (Plâtres Lafarge) ou équivalent, hauteur suivant plans, blocage de tête par bande résiliante (liège) et blocage type PF3 ou équivalent. Liaison sol pièces humides avec rail plastique. Indice d affaiblissement acoustique 34 db(a), résistance au feu CF 2 h (paroi seule). ENCOFFREMENT DE CONDUIT DEPUIS LE DESSUS DE LA DALLE BETON EN COMBLES JUSQU EN SORTIE DE TOITURE : CONDUIT D EXTRACTION DE LA HOTTE DE L OFFICE 8.7 Eléments de liaison et de calfeutrement Bandes armées de protection, parfaitement dressés pour protection et finition des angles saillants des parois en plaques de plâtre. TRAITEMENT DE L ENSEMBLE DES ANGLES SAILLANTS DES DOUBLAGES ET CLOISONS Date : 2/3/

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