Performance, Indépendance, Engagement. Méthodologie ISR QUILVEST GESTION

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1 Performance, Indépendance, Engagement Méthodologie ISR

2 SOMMAIRE 1. Pourquoi l Investissement Socialement Responsable? 2. Les Principes de l ISR Les Principes pour l Investissement Responsable Le Pacte Mondial de l ONU 3. La méthodologie ISR de Quilvest EIRIS Portfolio Manager Choix d un système de notation Description de la règle de notation PRI Global Compact Engager Application du système de notation dans le processus ISR ANNEXES Principes pour l investissement responsable Qu'est-ce que le Pacte Mondial de l ONU? - 2

3 SOMMAIRE 1. Pourquoi l Investissement Socialement Responsable? La prise en compte de facteurs environnementaux, de gouvernance et de respect des droits humains, permet d avoir une approche plus globale du risque porté par les investisseurs. Les exemples récents de la marée noire causée par l explosion d une plateforme de British Petroleum dans le golfe du Mexique, de la communication externe concernant les aspects sociaux chez France Télécom ou Renault, permettent de comprendre l intérêt de prendre en compte l impact ISR dans la gestion du risque d un portefeuille. - 3

4 SOMMAIRE 2. Les Principes de l ISR Dans un souci d objectivité, Quilvest s appuie sur deux initiatives : Les Principes pour l Investissement Responsable PRI (Principles for Responsible Investment) Le Pacte Mondial de l ONU UN Global Compact - 4

5 2. Les Principes de l ISR Les Principes pour l Investissement Responsable Les PRI sont une initiative mise en place par un réseau d investisseurs institutionnels à travers le monde, qui travaillent en partenariat avec l ONU pour définir, mettre en place et promouvoir les six principes de l investissement responsable : 1. Prendre en compte les questions ESG dans les processus d analyse et de décision en matière d investissements. 2. Etre des investisseurs actifs et prendrons en compte les questions ESG dans nos politiques et pratiques d actionnaires. 3. Demander aux entités dans lesquelles nous investissons de publier des informations appropriées sur les questions ESG. 4. Favoriser l acceptation et l application des Principes auprès des acteurs de la gestion d actifs. 5. Travailler ensemble pour accroître notre efficacité dans l application des Principes. 6. Rendre compte individuellement de nos activités et de nos progrès dans l application des Principes. - 5

6 2. Les Principes de l ISR Le Pacte Mondial de l ONU Le Pacte Mondial, ou Global Compact en anglais, a été constitué à la suite d'un appel par le Secrétaire général Kofi Annan le 26 juillet Cette initiative internationale vise à créer un réseau rassemblant de grandes entreprises, les organismes des Nations-Unies, le monde du travail et la société civile afin de promouvoir dix principes dans les domaines de l environnement, des droits de l homme, des droits du travail et de la lutte contre la corruption. Les organismes (entreprises, associations, collectivités locales, etc.) qui adhèrent au Pacte Mondial s'engagent à progresser chaque année dans au moins un de ces 10 principes et à communiquer annuellement sur leurs progrès auprès des Nations Unies. - 6

7 2. Les Principes de l ISR Ces dix principes sont inspirés de la Déclaration universelle des droits de l homme, de la Déclaration relative aux principes et droits fondamentaux au travail de l'organisation internationale du travail, de la Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement, et de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Le dixième principe, concernant la corruption, a été ajouté en Droits de l homme - Principe 1 : Les entreprises doivent promouvoir et respecter les droits de l homme reconnus sur le plan international - Principe 2 : Les entreprises ne doivent pas se faire complices de violations des droits fondamentaux Normes de travail - Principe 3 : Les entreprises devraient respecter l exercice de la liberté d association et reconnaître le droit à la négociation collective - Principe 4 : Élimination de toutes les formes de travail forcé et obligatoire - Principe 5 : Abolition effective du travail des enfants - Principe 6 : Élimination de la discrimination en matière d emploi et d exercice d une profession Environnement - Principe 7 : Promouvoir une approche prudente des grands problèmes touchant l environnement - Principe 8 : Prendre des initiatives en faveur de pratiques environnementales plus responsables - Principe 9 : Encourager la mise au point et la diffusion de technologies respectueuses de l environnement Lutte contre la corruption - Principe 10 : Les entreprises sont invitées à agir contre la corruption sous toutes ses formes, y compris l extorsion de fonds et les pots-de-vin - 7

8 SOMMAIRE 3. La méthodologie ISR de Quilvest EIRIS Portfolio Manager Choix d un système de notation Description de la règle de notation PRI Global Compact Engager Application du système de notation dans le processus ISR - 8

9 3. La méthodologie ISR de Quilvest EIRIS Portfolio Manager Le partenaire de Quilvest pour l Investissement Socialement Responsable est la société EIRIS. EIRIS met à notre disposition son logiciel EPM qui offre 2 types de services : - L analyse d EIRIS sur un large univers d entreprise. Cette analyse permet d évaluer chaque entreprise selon un ensemble de critères ISR tels que l environnement, la politique de gouvernance, le respect des droits de l homme, etc... - Un système permettant de programmer des règles de notations multicritères. En effet, les critères ISR étant nombreux et difficilement quantifiable, il est important de mettre en place des règles objectives prenant en compte des critères nombreux et qualitatifs afin de distinguer les bons élèves des mauvais. Le logiciel EPM nous permet donc d avoir une analyse ISR sur chaque entreprise et de mettre en place un système de notation afin de hiérarchiser les différentes entreprises de l univers d investissement de Quilvest. - 9

10 3. La méthodologie ISR de Quilvest Choix d un système de notation Il est possible de mettre en place ses propres règles de notations pour établir sa propre hiérarchie. Cependant, EIRIS fournit aussi des règles préprogrammées se basant sur les principes PRI et jugeant les entreprises à partir des 10 principes du Pacte Mondial de l ONU. Dans un souci d objectivité nous avons choisi d utiliser une des ces règles. Il existe 3 règles mises en place par EIRIS utilisant les PRI - PRI EIRISK - PRI Global Compact Engager - PRI Report Monitor La description de ces règles est fournie en annexe. Nous avons fait le choix d utiliser la règle Global Compact Engager qui permet d évaluer l engagement des entreprises à respecter et mettre en place des politiques afin de respecter les 10 principes du Pacte Mondial. - 10

11 3. La méthodologie ISR de Quilvest L échelle de risque ISR : - Breach : Il existe des allégations sur l entreprise dans la presse de non respect des principes du Pacte Mondial. De plus, elle n a entrepris aucune action ou il n y a aucune preuve qu elle ait mis en place des actions pour respecter ces principes. - Key issue unmanaged : L entreprise n a entrepris aucune action ou il n y a aucune preuve qu elle ait mis en place des actions pour respecter un ou plusieurs des principes du Pacte Mondial. - Sector laggard : L entreprise fait partie des 20% des entreprises de son secteur les moins bien notées selon la règle PRI Global Compact Engager. - Room for improvement : La compagnie n a ni un mauvais ni un bon comportement. - Low impact : l entreprise a un impact faible sur tous les sujets ISR. - On track : la compagnie est en bonne voie pour mettre en place des bonnes pratiques. Elle a mis en place une politique efficace sur au moins un des sujets. - Good practice : La compagnie a mis en place de bonnes pratiques sur tous les sujets et peut servir comme exemple de bonnes pratiques pour les autres entreprises. - 11

12 3. La méthodologie ISR de Quilvest Description de la règle de notation PRI Global Compact Engager La notation utilise les critères suivants : politique environnementale (Biodiversité, changement climatique, pollution), politique de lutte contre la corruption, respect des droits de l Homme. Pour chaque entreprise, on évalue l importance de chaque critère ISR pour le secteur d activité de l entreprise. Cette importance est classée de low impact (pour une importance limitée du critère sur le secteur d activité) à High Impact (lorsque le critère est très significatif). Par exemple, pour une entreprise spécialisée dans la production d énergie nucléaire, le critère «réchauffement climatique» sera évalué à Low Impact, par contre le critère «respect de l environnement» sera classé en High Impact. On évalue ensuite la politique mise en place par l entreprise afin de respecter chacun des critères. Ils sont classés de Inadequate (EIRIS n a aucune preuve que l entreprise ait mis en place une politique afin de respecter ce critère), à Exceptional (l entreprise a mis en place une politique très au dessus de la moyenne des autres entreprises afin de respecter le critère). Par exemple, BNP Paribas sur le critère «émissions carbone» pourra être classée en «Low Impact» et «Inadequate Policy» car elle n a pas mis en place politique pour un risque qui ne lui semble ne pas la concerner. - 12

13 3. La méthodologie ISR de Quilvest En fonction de la qualité de la politique mis en place, on définit une note allant de «High» à «High +». Cette pondération dépend aussi de l impact du critère. Par exemple, voici la règle de notation pour le critère politique environnementale : O n peut voir par exemple, qu une entreprise ayant un fort impact sur l environnement et une politique inadéquate aura une note «High -» alors qu avec un faible impact elle ne sera pas notée et donc pas sanctionnée. - 13

14 3. La méthodologie ISR de Quilvest Pour obtenir la note globale d une entreprise, on récupère la meilleure note positive de chaque critère et la pire note négative de chaque critère. La note obtenue sera déterminée de la manière suivante : High + Medium + Low + Aucune High - Breach Breach Breach Breach Medium - Key issue unmanaged Key issue unmanaged Key issue unmanaged Key issue unmanaged Low - On track On track Room for Room for improvement improvement Aucun Good practice Good practice On track Low Impact On somme aussi la totalité des notes obtenues. Si l entreprise obtient une note qui la classe dans les 20% les plus bas de son secteur d activité, l entreprise est classée en «Sector Laggard». - 14

15 3. La méthodologie ISR de Quilvest Application du système de notation dans le processus ISR Dans le processus de sélection de Quilvest, nous appliquons un double filtre sectoriel et normatif (basé sur la notation EIRIS). Le filtre sectoriel exclut les secteurs suivants : - Tabac, alcool, armement, jeux d argent Ensuite, on applique la règle précédente à toutes les entreprises de notre univers d investissement. A l achat, nous rejetons les titres qui obtiennent les notes suivantes : - Breach Dans le cas d un titre déjà en portefeuille et qui serait dégradé au niveau des notes précédentes, la gestion décidera de l opportunité de garder ou non le titre en portefeuille en fonction des conditions de marché. Dans le cas d un titre non évalué par EIRIS, la gestion décidera de l opportunité de sélectionner ou non le titre en fonction de sa connaissance ISR du titre. Rémi LELU de BRACH, gérant est le spécialiste de la base ISR EIRIS pour Quilvest. - 15

16 SOMMAIRE ANNEXES Principes pour l investissement responsable Qu'est-ce que le Pacte Mondial de l ONU? Eiris - 16

17 ANNEXES 1 : Principes pour l investissement responsable En tant qu investisseurs institutionnels, nous avons le devoir d agir au mieux des intérêts à long terme de nos bénéficiaires. Dans ce rôle fiduciaire, nous estimons que les questions environnementales, sociales et de gouvernance d entreprise (ESG) peuvent influer sur la performance des portefeuilles d investissement (à des degrés divers selon les entreprises, les secteurs, les régions, les classes d actifs et le moment). Nous sommes en outre convaincus que l application de ces Principes pourra mettre les investisseurs mieux en phase avec les grands objectifs de la société. En conséquence, dans la mesure où cela est compatible avec nos responsabilités fiduciaires, nous prenons les engagements suivants: 1- Nous prendrons en compte les questions ESG dans les processus d analyse et de décision en matière d investissements. Actions possibles: - Aborder les questions ESG dans les exposés de politique d investissement - Soutenir l élaboration d outils, de méthodes de mesure et d analyses pour les questions ESG - Déterminer dans quelle mesure les gestionnaires internes de portefeuilles sont capables de prendre en compte les questions ESG - Déterminer dans quelle mesure les gestionnaires externes de portefeuilles sont capables de prendre en compte les questions ESG - Demander aux prestataires de services d investissement (comme les analystes financiers, les consultants, les courtiers, les sociétés de recherche ou les agences de notation) de prendre en compte les facteurs ESG dans les recherches et analyses en cours - Encourager la recherche universitaire et autre sur ce thème - Préconiser de former les spécialistes de l investissement aux questions ESG - 17

18 ANNEXES 1 : Principes pour l investissement responsable 2- Nous serons des investisseurs actifs et prendrons en compte les questions ESG dans nos politiques et pratiques d actionnaires. Actions possibles: - Elaborer et rendre publique une politique actionnariale active conforme aux Principes - Exercer les droits de vote ou contrôler la conformité de la politique de vote (si les droits de vote sont délégués) - Mettre en place une capacité d engagement (directement ou par délégation) - Participer au développement de la politique et des règles de l entreprise et à la fixation de normes (par exemple pour la promotion et la protection des droits des actionnaires) - Déposer des résolutions d actionnaires conformes aux considérations ESG à long terme - Mettre en oeuvre des démarches d engagement auprès des sociétés sur les questions ESG - Participer à des initiatives d engagement concertées - Demander aux gestionnaires de portefeuilles de mettre en oeuvre des démarches d engagement sur les questions ESG et d en rendre compte 3- Nous demanderons aux entités dans lesquelles nous investissons de publier des informations appropriées sur les questions ESG. Actions possibles: - Demander la publication de rapports standardisés sur les questions ESG (à l aide d outils comme la Global Reporting Initiative) - Demander que les questions ESG soient prises en compte dans les rapports financiers annuels - Demander aux entreprises des informations sur l adoption/le respect des normes, standards, codes de conduite ou initiatives internationales (comme le Pacte Mondial des Nations Unies) qui sont pertinents - Soutenir les initiatives et les résolutions d actionnaires en faveur de la publication d informations sur les questions ESG. - 18

19 ANNEXES 1 : Principes pour l investissement responsable 4- Nous favoriserons l acceptation et l application des Principes auprès des acteurs de la gestion d actifs. Actions possibles: - Faire figurer des prescriptions relatives aux Principes dans les invitations à soumissionner (appels d offre) - Adapter les mandats d investissement, les procédures de contrôle, les indicateurs de performance et les régimes d incitation en conséquence (par exemple, veiller à ce que les processus de gestion des investissements tiennent compte, lorsque cela est pertinent, des horizons à long terme) - Faire connaître les attentes concernant les questions ESG aux prestataires de services d investissement - Revoir les relations avec les prestataires de services qui ne satisfont pas aux attentes concernant les questions ESG - Soutenir la mise au point d outils d analyse comparative concernant la prise en compte des questions ESG - Soutenir les évolutions de la réglementation ou des politiques qui permettent d appliquer les Principes 5- Nous travaillerons ensemble pour accroître notre efficacité dans l application des Principes. Actions possibles: - Soutenir/participer à des réseaux et des plateformes d information pour le partage d outils, la mise en commun de ressources et l exploitation des rapports des investisseurs comme sources d enseignements - Aborder ensemble les nouvelles questions pertinentes qui se posent - Mettre sur pied ou soutenir des initiatives de collaboration appropriées - 19

20 ANNEXES 1 : Principes pour l investissement responsable 6- Nous rendrons compte individuellement de nos activités et de nos progrès dans l application des Principes. Actions possibles: - Indiquer comment les questions ESG sont prises en compte dans nos pratiques d investissement - Indiquer les activités menées en tant qu actionnaire actif (vote, engagement et/ou concertation) - Indiquer ce qui est demandé aux prestataires de services à propos des Principes - Fournir des informations aux bénéficiaires sur les questions ESG et les Principes - Rendre compte des progrès et/ou des réalisations en rapport avec les Principes selon l approche «se conformer ou expliquer» (1) - S efforcer de déterminer l impact des Principes - Utiliser le «reporting» pour faire progresser la prise de conscience au sein d un vaste ensemble de parties prenante Les Principes pour l investissement responsable ont été établis par un groupe international d investisseurs institutionnels en raison de l importance croissante des questions environnementales, sociales et de gouvernance d entreprise pour les pratiques d investissement. Ce processus a été institué par le Secrétaire général de l Organisation des Nations Unies. En signant ces principes, nous nous engageons publiquement, en tant qu investisseurs, à les adopter et à les appliquer dans la mesure où cela est compatible avec nos responsabilités fiduciaires. Nous nous engageons également à évaluer l efficacité et à améliorer le contenu des Principes avec le temps. Nous sommes convaincus que cela nous rendra plus à même de répondre à nos engagements envers les bénéficiaires et de mieux faire concorder nos activités d investissement avec les intérêts généraux de la société. (1) En vertu de l approche «se conformer ou expliquer» («Comply or Explain»), les signataires sont tenus d indiquer comment ils appliquent les Principes ou de fournir une explication lorsqu ils ne s y conforment pas. - 20

21 ANNEXES 2 : Qu'est-ce que le Pacte Mondial de l ONU? S'appuyant sur le pouvoir de l'action collective, le Pacte Mondial s'attache à promouvoir la responsabilité civique des entreprises afin que le monde des affaires puisse participer à la recherche de solutions pour résoudre les problèmes posés par la mondialisation. En partenariat avec d'autres acteurs sociaux, le secteur privé peut ainsi contribuer à la réalisation du projet du Secrétaire général: une économie mondiale plus viable et plus ouverte. Aujourd'hui, des centaines de sociétés de toutes les régions du monde, ainsi que des organisations internationales du travail et de la société civile participent au Pacte Mondial. Il s'agit d'une initiative directe du Secrétaire général, dont l'effectif est modeste et les activités sont souples. Le Pacte Mondial est une initiative volontaire d'entreprises responsables, à laquelle sont associés deux objectifs complémentaires : - Intégrer le Pacte Mondial et ses principes à la stratégie et aux activités des entreprises - Favoriser la coopération entre les principales parties intéressées et promouvoir les partenariats établis à l'appui des objectifs poursuivis par l'onu. Pour atteindre ces objectifs, le Pacte Mondial propose plusieurs mécanismes de facilitation et de participation : concertation sur les politiques, apprentissage, structures locales et projets. - 21

22 ANNEXES 2 : Qu'est-ce que le Pacte Mondial de l ONU? Le Pacte Mondial n'est pas un instrument de réglementation - il ne sert pas à sanctionner, à dicter ou à évaluer le comportement ou les actions des sociétés. Il s'appuie plutôt sur la responsabilité à l'égard du public, la transparence et l'intérêt à long terme des sociétés, du monde du travail et de la société civile pour lancer des actions concrètes et conjointes en appliquant les principes énoncés dans le Pacte Mondial. Le Pacte Mondial est un réseau, au cœur duquel se trouve le Bureau du Pacte Mondial et quatre organismes des Nations Unies : le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, le Programme des Nations Unies pour l'environnement, l'organisation internationale du Travail et le Programme des Nations Unies pour le développement. Il fait également appel à tous les partenaires sociaux concernés : les gouvernements, qui ont défini les principes sur lesquels s'appuie l'initiative ; les sociétés, dont les actions sont censées être influencées par le Pacte ; le monde du travail, dans lequel le processus de la production mondial se réalise concrètement; les organisations de la société civile, représentant l'ensemble des parties prenantes ; et l'onu, seul véritable forum politique mondial, qui sert d'organisateur et de catalyseur faisant autorité. - 22

23 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide Providing practical, straightforward solutions for PRI Signatories The UN PRI is designed to align the goals of the institutional investor and the sustainable development objectives of the United Nations. EIRIS has developed a range of analytical tools to assist asset managers to implement the main goal of the PRI: to embed the idea of sustainability into investment management and encourage better corporate environmental, social and governance (ESG) practices. The EIRIS PRI Toolkit consists of 3 analytical filters (policies) available in EPM: EIRisk, Global Compact Engager and Report Monitor. Each offers a straightforward, practical solution to help investors implement the UN PRI in particular Principles 1, 2 and 3. EiRisk is designed to support investment managers integration of ESG issues into their investment processes. The Global Compact Engager is designed to support active ownership strategies where investors wish to engage with companies in their portfolio to encourage improvements in ESG performance. Finally the Report Monitor highlights transparency and disclosure and provides a ranking system to identify how companies need to improve their reporting. - 23

24 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide Principle 1: EIRisk: incorporating ESG issues into investment analysis and decision making processes The EIRisk framework consists of two policies: EIRisk.ply and Risk exposure.ply. The risk exposure policy should be added to EIRisk as a secondary policy, so that the results can be viewed side by side in EPM. The framework classifies companies according to both their exposure to ESG issues and overall ESG risk management capacity. There are four risk exposure categories: Very High, High, Medium and Low. Very High risk companies include for example, global oil and gas companies which are particularly exposed to environment, bribery and human rights issues. The risk categorisation in no way implies that high risk companies are worse at social and environmental issues management than low risk companies they simply face a wider range of challenges given their business activities and countries of operation. Management response indicators focus on a company s policies, systems and reporting. Assessments range from Alert (companies which have not resolved allegations relating to breaches of international norms) to Risks mitigated (for good practice companies that have demonstrated an adequate level of risk management in the relevant ESG areas). - 24

25 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide Risk exposure rules Very high: company is classed as high risk (or very high/high for climate change) in 3 areas or more High risk: company is classed as high risk in at least one area Medium risk: company has no high risk areas and is classed as medium risk in at least one area Low risk: company is low risk in all areas Criteria used: Human rights - Human rights policy, systems and reporting - Supply chain policy, systems and reporting Convention Watch - Biodiversity - Kyoto protocol - Montreal protocol - Anti-bribery principles - Human rights principles - ILO standards Environment - Policy, management & reporting - Climate change response & disclosure - Biodiversity Governance - Core governance elements - Countering bribery policy, systems and reporting - 25

26 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide 1. Risks mitigated Best practice, i.e. at least one Advanced / Exceptional or Good area, and no negatives. 2. On track Has developed very good risk management practices in at least one area, but is weaker in others. The company is showing signs of being on track to mitigating all its risks. 3. Weak/ some strengths Mix of good and weak practices. This result identifies companies that have either: at least one area where they have achieved a good or advanced level, but also at least one area where they have failed to address a key risk; or a combination of moderate/good and limited grades, i.e. a fairly positive performance in one/several area(s) and nothing very bad in all other areas. 4. Weak risk mgmt Mostly low/medium risk companies with no policies/systems in place, and a few high risk companies with limited and moderate grades. I.e. no disaster zones, but mediocre overall. 5. Unmanaged risks companies with at least one medium negative score (Inadequate/No evidence of or Weak for high impacts/risks, and inadequate/no evidence for medium impacts/risks), and a low positive as their highest positive score. 6. Many unmanaged risks companies with any result except Alert that score lower than -8 overall. 7. Alert Convention Watch allegation assessed as no evidence or limited - 26

27 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide Principle 2: Global Compact Engager assisting investors wishing to pursue an engagement strategy The Global Compact Engager highlights good practice companies and at the other end of the scale, those that fall short on performance (e.g. those companies subject to high profile allegations because they have failed to adequately address one or several Global Compact issues relevant to their business). Engagement assessments such as On track, Room for improvement or Key issue unmanaged help investors prioritise their engagement. An overall score allows users to further differentiate between companies that have obtained a similar engagement assessment. Detailed reports provide the engager with targets and steps to enable companies to improve their performance, and provide useful information for questions to put to companies. The Global Compact Engager also identifies sector laggards to support those investors who have adopted a sectoral approach. - 27

28 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide Criteria used EPM policy scoring companies on a range of environmental, governance and human rights issues aligned with the UN Global Compact principles: UN Global Compact principles Principles 1 & 2 Human rights Principles 3, 4, 5 & 6 Labour standards Principles 7, 8 & 9 Environment Principle 10 Anti-Corruption EIRIS criteria Human rights policy Human rights systems Human rights reporting Performance indicator: Convention Watch Human Rights principles Supply chain labour standards policy Supply chain labour standards systems Supply chain labour standards reporting Performance indicators: Convention Watch core ILO standards Environmental policy Environmental systems Environmental reporting Biodiversity policy Climate change response Climate change disclosure Performance indicators: Convention Watch Kyoto & Montreal protocols, Convention on biological diversity Countering bribery policy Countering bribery systems Countering bribery reporting Performance indicator: Convention Watch anti-bribery principles - 28

29 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide The policy allocates companies into seven groups, based on the combination of scores they have obtained. Description of result categories Breach: the Company has a Convention Watch allegation assessed as No evidence or Limited Key issue unmanaged: the Company has inadequate/no evidence of policies and/or management systems in one or more key risk areas linked to the Global Compact principles, and is at risk of breaching the principles; Sector laggard: the Company scores in the bottom 20% of its sector, and is not a Breach or key issue unmanaged case; Room for improvement: the Company has neither a very positive nor a very negative record; Low impact: Companies that are considered to be low impact/risk on all issues; On track: the Company is on track to becoming a good practice company: it has developed a good policy/management system in at least one area, but still has some weaknesses, although nothing alarming; Good practice: the Company has all Global Compact issues under control and can serve as an example of good practice. - 29

30 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide Principle 3: Report Monitor - identifying leaders and laggards on ESG disclosure Report Monitor focuses exclusively on companies reporting in respect of all of the UN Global Compact issues. It provides investors with an overall assessment of a company s reporting practice. Each company is graded (A to E) according to the quality of its reporting and its exposure to ESG risks (i.e. higher risk companies need to meet higher reporting standards to achieve the same grade as a lower risk company). Report Monitor also provides a detailed account of each company s reporting strengths and weaknesses to help investors understand where and how a company can improve its ESG disclosure. Result descriptions: A+ Best practice, i.e. at least one Advanced / Exceptional area, and no negatives. A- Good reporting practices overall but has not yet achieved a best practice grade, or has a weaker grade in a non-key area. B+ Has achieved a good, but not best practice grade in at least one area while having a weaker grade in a non-key area, or has moderate reporting levels with no weak areas. B- Has achieved a best practice level in at least one area, but has also failed to report or has provided weak evidence of reporting on a key issue. - 30

31 ANNEXES 3 : Eiris - PRI Toolkit Guide C+ Has achieved neither very positive nor very negative grades in key areas, or may have inadequate levels of reporting in non-key areas. C- has achieved a limited to moderate grade whilst showing weak or inadequate levels of reporting in at least one key area, or has weak reporting practices in all areas and no positive grades. D+ has inadequate levels of reporting in at least one key area, but has achieved an intermediate grade in another. D- has inadequate levels of reporting in key areas and no positive grades. E the company has failed to report in at least 3 key areas. Criteria used: Environment Governance Human Rights Stakeholder Issues Environmental Environment reporting Climate change disclosure Countering bribery reporting Human rights reporting Supply chain reporting Stakeholder reporting Only high impact/risk companies can score the highest negative score (high ve) if they have no evidence of in a criteria. The highest grade companies with at least one high negative score can obtain is a C+ (if their high negative score has been counterbalanced by at least one high positive score) High negatives equate to a -10, and companies with a total score of less than -29 are classed as E because they have failed to report in at least 3 key areas. (C) Copyright EIRIS Services Ltd. - 31

32 Quilvest France 243, boulevard Saint-Germain PARIS France Quilvest Banque Privée 243, boulevard Saint-Germain PARIS France Quilvest Switzerland Ltd Stockerstrasse 23, CH-8002 Zurich Suisse Quilvest SA Luxembourg 84, Grand-Rue L-1660 Luxembourg Quilvest Gestion SA 243, boulevard Saint-Germain PARIS France Quilvest UK Ltd 46 Albemarle Street London W1S 4JN Royaume Uni +44 (0) (0) Quilvest USA Inc. 598 Madison Avenue, 8th floor New York, NY USA Quilvest Dubai Ltd. Office 27, Level 12, The Gate, DIFC PO Box Dubai Emirats Arabes Unis

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