SYSTÈME UNIFORME DE BALISAGE LATÉRAL
|
|
- Geoffrey Lamarche
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 [Communiqué au Conseil et aux Membres de la Société.] N officiel: C M VIII. Genève, le I er décembre SOCIETE DES NATIONS ORGANISATION DES COMMUNICATIONS ET DU TRANSIT SYSTÈME UNIFORME DE BALISAGE LATÉRAL PROPOSITIONS DU GOUVERNEMENT DE SA MAJESTÉ DANS LE R O Y A U M E -UNI DE GRANDE-BRETAGNE ET D IRLANDE DU NORD D ÉFIN ITIO N S. 1. Les signaux auxquels s appliquent les règles de balisage ci-après comprennent tous les signaux fixes et flottants, autres que les phares et bateaux-feux servant à indiquer: i Les limites latérales de chenaux navigables. 2 Les dangers naturels. 30 Les autres obstructions. 2. En principe, l emplacement des signaux (c est-à-dire à tribord ou à bâbord) est déterminé par rapport au courant principal de flot ou à la direction générale suivie par le navigateur qui, venant du large, s approche d'un port, d un fleuve ou d'un estuaire. 3. Formes caratéristiques des signaux. Du point de vue du navigateur, on reconnaît les trois formes caractéristiques principales suivantes: i Partie supérieure en pointe ou signaux «coniques» ; 2 Partie supérieure aplatie ou signaux «cylindriques»; 30 Partie supérieure en forme de dôme ou signaux «sphériques». Ces trois indications sont données, soit par le corps même du signal, soit par une superstructure attachée au signal. 4. Forme caractéristique des voyants. S il y a lieu, les signaux sont, en outre, différenciés par l adjonction de voyants présentant l apparence : i D un cône ; 2 D un cylindre; 3 D une sphère ; 40 D un losange; 5 D une croix de Saint-Georges. Cette apparence est réalisée par l intersection de plaques découpées selon la forme désirée ou par l adjonction d un bâti ajouré (cage). 5- Les signaux de milieu du chenal sont utilisés pour indiquer le chenal en eau profonde ou chenal navigable. Ils peuvent être laissés d un côté ou de l autre, mais devraient, de préférence, être laissés à bâbord. 6. Les signaux de danger isolé sont utilisés pour indiquer l'emplacement d un danger que l on peut suffisamment m arquer par un signal unique et qu'on peut laisser d un bord ou de l autre bord. 7- Les signaux d atterissage sont utilisés pour indiquer au navigateur venant du large la direction à suivre pour approcher d un port, d un fleuve ou d un estuaire. S.d.N. S45 (F.) 815 (A.) 12/31. Imp. Kundig. Série de Publications de la Société des Nations VIII. COMMUNICATIONS ET TRANSIT VIII. 22.
2 S ig n a u x d e r iv e s d e s c h e n a u x. 8. Les signaux situés des deux côtés d un chenal seront différenciés de la manière suivante1 a) Signaux de tribord : Form e: conique. Couleur: noire ou, pour les besoins de la différenciation, damier noir et blanc Voyant (le cas échéant) : un cône pointe en haut peint en noir. b) Signaux de bâbord : Forme: cylindrique. Couleur: rouge ou, pour les besoins de la différenciation, damier rouge et bianc. Voyant (le cas échéant) : un cylindre peint en rouge. q. Apposition de numéros ou de lettres sur les signaux. Si les signaux de rives d un chenal portent des numéros ou des lettres, ces numéros ou lettres devront commencer en partant du large, les numéros impairs étant à tribord et les numéros pairs à bâbord. io. Signaux lumineux. Les feux de rives d'un chenal sont différenciés par leur couleu ou par leur rythm e, ou par une combinaison à la fois de la couleur et du rythm e, à savoir : a) Signaux de tribord: soit un feu blanc à un ou trois éclats, soit un feu vert présentant des caractéristiques non employées pour la signalisation des épaves (voir règle N 19). b) Signaux de bâbord: soit un feu rouge avec un nombre d éclats quelconque jusqu à quatre, soit un feu blanc à deux ou quatre éclats. S ig n a u x d e b a n c s m é d ia n s, d e b if u r c a t io n e t d e jo n c t io n. 11. Les signaux placés aux extrémités des bancs médians auront les caractéristiques suivantes: Forme: sphérique. Couleur: bandes horizontales rouges et blanches lorsque le chenal principal est à droite ou que les deux chenaux sont d une même importance. Bandes horizontales noires et blanches lorsque le chenal principal est à gauche. Voyants (le cas échéant) : i Chenal principal à droite : Bifurcation : un cylindre. Jonction: une croix de Saint-Georges. 20 Chenal principal à gauche : Bifurcation : un cône pointe en haut. Jonction: un cône pointe en bas. 30 Chenaux d une même importance : Bifurcation : un losange. Jonction: une sphère. 1 Peints en rouge Peints en noir! Peints en rouge 12. Signaux lumineux. Les feux m ontrés sur les signaux de bifurcation et de jonction auront des caractéristiques différentes des feux de rive voisins. S ig n a u x d e m il ie u d e c h e n a l. 13. Les signaux de milieu de chenal, lorsqu il en sera fait usage, présenteront les caractéristiques suivantes : Form e: au tan t q u il est possible, une forme distinctive et différente des principales formes caractéristiques (conique, cylindrique et sphérique). Couleur: noire et blanche ou rouge et blanche en bandes verticales. V oyants (le cas échéant) : formes distinctives différentes de celles qui sont mentionnées dans la règle N 4. Feu (le cas échéant) : présentant des caractéristiques différentes des feux de rive voisins. S ig n a u x d e d a n g e r is o l é. 14. Les signaux indiquant un danger isolé, lorsqu il en sera fait usage, auront les c a r a c té r is tiques suivantes : Form e: sphérique. Couleur : larges bandes horizontales noires et rouges séparées par une étroite bande blanche. Voyant (le cas échéant) : sphérique, peint en noir. Feu (le cas échéant) : rythm ique, soit blanc, soit rouge (selon la caractéristique qui sera la plus reconnaissable, compte tenu des caractéristiques des autres feux situés dans le voisinage).
3 3 S ig n a u x d 'a t t e r r is s a g e. 15. Les signaux d atterrissage, lorsqu il en sera fait usage, auront les caractéristiques suivantes : Forme: au choix. Couleur : noire et blanche ou rouge et blanche, bandes verticales. Feu (le cas échéant) : rythm ique. S ig n a u x s p é c ia u x. 16. Signaux indiquant les mouillages de quarantaine : Form e: au choix. Couleur : jaune. 17. Signaux indiquant des débouchés de canalisation ou des bas-fonds où l on déverse des matériaux : Forme : au choix. Couleur : jaune en haut, noire en bas. S ig n a u x d é p a v e s. 18. M ise en garde. Les navigateurs devront toujours passer le plus loin possible de tout signal d épave. Lorsque l épave est marquée par deux bateaux ou plus, ou par deux bouées ou plus, le navigateur devra éviter de passer entre ces bateaux ou ces bouées. 19. Bouées servant à indiquer des épaves 1. Couleur : verte avec, si possible, la lettre W en blanc. i Si la bouée doit être laissée à tribord : Forme : conique. Feu (le cas échéant) : vert à trois éclats. 2 Si la bouée doit être laissée à bâbord: Forme : cylindrique. Feu (le cas échéant) : vert à deux éclats. 30 Lorsque la bouée peut être prise d un bord ou de l autre : Forme : sphérique. Feu (le cas échéant) : vert à une occultation Bateaux de signalisation d épaves : a) Couleur: verte, avec le mot «W r e c k» ou la lettre W peinte en blanc des deux côtés du bateau. b) Formes: i Si le navigateur doit laisser le bateau à tribord : trois ballons ou «formes» de couleur verte disposés verticalement et espacés de 6 pieds au moins, à l extrémité d une vergue, le ballon le plus bas étant situé à 9 pieds au moins au-dessus de la coque du bateau. 2 Si le navigateur doit laisser le bateau à bâbord: deux ballons ou formes de couleur verte disposés verticalement et espacés de 6 pieds au moins, à l extrémité d une vergue, le ballon le plus bas étant situé à 15 pieds au moins au-dessus de la coque du bateau. 30 Si le bateau peut être laissé d un bord ou de l autre : quatre ballons ou formes de couleur verte, disposés verticalement, deux par deux, et espacés de 6 pieds au moins, à chaque extrém ité d une vergue, la distance horizontale entre les ballons situés aux 1 Lorsque la présence d épaves est de notoriété publique, ces épaves peuvent, si on le désire, être signalées de la même manière que les dangers naturels. - Lorsqu une épave, qui peut être prise d un bord ou de l autre, est marquée par deux bouées lumineuses situées à chaque extrémité de l épave, les deux bouées peuvent être différenciées par différentes périodes d occultation.
4 4 deux extrémités de la vergue étant de 15 pieds au moins et de 25 pieds au plus. Les deux ballons inférieurs doivent être à 15 pieds au moins au-dessus de la coque. c) Feux: feux verts fixes correspondant, pour le nombre et la disposition, aux ballons décrits ci-dessus. Les bateaux servant à la signalisation d'épaves ne devront pas porter le feu de position réglementaire des navires à l ancre. d) Signaux sonores : E n cas de brouillard, de brume, de neige ou d orage, une cloche à tim bre grave sera frappée à intervalles de trente secondes au plus en observant la périodicité suivante : i Si le navigateur doit laisser le bateau à tribord : trois coups successifs. 2 Si le navigateur doit laisser le bateau à bâbord : deux coups successifs. 30 Si le bateau de signalisation peut laisser d un bord ou de l autre : quatre coups successifs. DISPOSITIONS GÉNÉRALES. 21. Les bouées dont l'objet n'est pas défini par les présentes règles seront peintes de façon à ne perm ettre aucune confusion avec celles dont l objet est défini par les présentes règles. 22. On devra éviter, toutes les fois qu il sera possible de le faire, l emploi de feux fixes sur les bouées. 23. Dans le cas de feux placés sur des ouvrages permanents à l'entrée de ports et dont l utilité principale est de m arquer les rives d un chenal, on se conformera, autant qu il est possible, pour leurs couleurs et pour leur rythm e, aux dispositions de la règle N Lorsqu on m unit de secteurs les feux qui constituent une partie d un système latéral de balisage, il est désirable, lorsque les circonstances le perm ettent, que les couleurs de ces secteurs soient conformes aux dispositions de la règle N 10. Dans les cas où il n est pas jugé possible d observer cette règle, les couleurs devraient, de préférence, être réparties conformément à une règle bien définie, applicable à une région particulière, afin que les secteurs puissent être aménagés de la même manière, lorsque les circonstances sont identiques. 25. Les supports fixes des feux qui font partie d un système latéral de balisage devraient, autant qu il est possible, être peints dans la couleur caractéristique de l emplacement de ce feu dans le système en question. Toutefois, si l on ne peut employer la couleur caractéristique exacte, on devra, autant qu il est possible, éviter d employer la couleur caractéristique de la rive opposée. RÉSERV ES. 26. Les dérogations aux règles précitées ne pourront être admises que dans les cas où, en raison des conditions locales ou de circonstances exceptionnelles, elles ne peuvent être raisonnablem ent appliquées, et notam m ent lorsque leur adoption risquerait de provoquer des dangers pour la navigation ou que les dépenses impliquées seraient disproportionnées à l'im portance du trafic. Toutefois, ces dérogations devront être aussi limitées que le perm ettra la situation, et notification en bonne et due forme devra être donnée aux navigateurs. Toutes les mesures possibles devront être prises en pareil cas, afin d éviter la confusion avec les autres signaux prévus par les présentes règles.
5 5 MÉMORANDUM EXPLICATIF Note. Dans le présent Mémorandum, toutes les indications relatives aux côtés tribord et bâbord ou aux côtés droit et gauche s entendent, sauf spécification contraire, du point de vue du navigateur venant du large ou suivant la direction du courant principal de flot. I n t r o d u c t io n. En 1883, lorsqu'à été établi, pour le Royaume-Uni d alors, le système uniforme de balisage qui, sauf les dispositions relatives au signalement des épaves, est presque entièrement encore en vigueur, les bouées lumineuses étaient relativem ent peu nombreuses et peu im portantes; aussi n est-il fait aucune mention de leurs caractéristiques dans les règles dont l ensemble constitue le système en question. Les recommandations de la Conférence maritime internationale tenue à Washington en 1889 sont également m uettes quant aux caractéristiques des bouées lumineuses, et même les recom m andations de la Conférence maritime internationale tenue à Saint-Pétersbourg en 1912 (à laquelle la Grande-Bretagne n'était pas représentée) ne traitaient des bouées lumineuses qu implicitement. Toutefois, celles-ci font m aintenant à tel point partie intégrante du système de balisage de toutes les côtes et de tous les ports que, d une façon générale, on tend actuellement en fait à remplacer les bouées non lumineuses par des bouées lumineuses dans tous les emplacements de quelque importance. Dans ces conditions, il est actuellement impossible, ou tout au moins illogique, de formuler des règles applicables aux caractéristiques de jour des bouées sans tenir compte de leurs caractéristiques de nuit. E m p l o i d e c o u l e u r s p e n d a n t la n u it (Règles 10 et 19). Partant de ce point de vue, les autorités du Royaume-Uni responsables de l'éclairage et du balisage se sont attachées à définir soigneusement les principes selon lesquels devrait être établi tout nouveau système de balisage qu elles seraient disposées à accepter pour le Royaume-Uni, en cas d adoption d un système uniforme international. La première conclusion à laquelle elles ont abouti était la suivante : dans tous les cas où, de nuit, les deux côtés d un chenal sont distingués par des feux blancs d'un côté et des feux rouges de l'autre, les feux rouges devraient être à bâbord. Les principales raisons pour lesquelles elles ont conclu dans ce sens sont les suivantes : a) Lorsqu un navire s engage dans un chenal en venant du large, il a besoin des feux qui présentent la plus grande visibilité possible, c est-à-dire de feux blancs sur le côté du chenal q u il est tenu de longer (c'est-à-dire le côté tribord), afin de pouvoir faire route dans cette direction le plus tôt possible et, ensuite, poursuivre sa route de ce côté. Ainsi se trouve beaucoup diminué le risque de collision avec des navires se dirigeant vers le large, notam m ent lorsque la visibilité est faible. Toutefois, un navire qui se dirige vers le large et qui part d un point nettem ent repéré ne requiert pas dans la même mesure un haut degré de visibilité des feux sur son côté du chenal. b) Un feu rouge, en mer comme à terre, est, d une façon générale, toujours considéré comme un signal de danger. Il devrait donc signaler le côté du chenal que doit éviter un navire venant du large, et non le côté dont il doit s'approcher dans l'intérêt de sa sécurité. c) La couleur rouge, aussi bien de jour que de nuit, devrait, de préférence, être employée du même côté que celui où un navire venant du large m ontre un feu rouge. C'est non seulement l'arrangement le plus naturel et le plus logique, mais, en outre, il répond à l instinct du navigateur, formulé dans la règle de navigation bien connue: «...Rouge contre rouge. «Sécurité absolue. Aller de l avant.» Pour ce qui est de l emploi de feux verts, l usage, dans tout le Royaume-Uni, est, depuis un grand nombre d années, de réserver la couleur verte, aussi bien de jour que de nuit, au signalement des épaves. Cette méthode, pour autant qu il s agit de la signalisation de jour, a été approuvée par la Conférence tenue à W ashington en 1889, dont le rapport spécifie que la couleur verte est employée universellement «pour signaler une épave». Toutefois, à la Conférence internationale pour 1 unification du balisage et de l'éclairage des côtes, tenue à Lisbonne en octobre 1930, plusieurs Pays, notamment la France et l'italie, ont fait valoir Futilité d employer dans certaines limites des feux verts pour le balisage des chenaux. Les autorités responsables du balisage dans le Royaume- Lni sont m aintenant disposées à adm ettre l emploi facultatif de la couleur verte pour les feux situés sur le côté tribord d un chenal, à condition que trois caractéristiques satisfaisantes de feux verts soient définitivement attribuées et exclusivement réservées à la signalisation des épaves. Les trois caractéristiques recommandées à cet effet sont exposées dans notre projet de nouveau système
6 uniforme de balisage latéral. On constatera que ce système ne s écarte de celui qui est actuellemen en vigueur dans le Royaume-Uni qu en ce qui concerne la signalisation d une épave que l on peu laisser d'un bord ou de l autre. F o r m e d e s b o u é e s (Règles 3 et 8). Conformément au principe qui est à la base du système uniforme de balisage de 1883, lel bouées mouillées des deux côtés du chenal doivent toujours être différenciées par leur forme, couleur étant considérée comme un moyen de différenciation auxiliaire ; ce principe a reçu l approl bation unanime de toutes les autorités chargées de l éclairage dans le Royaume-Uni; il n y a donl pas lieu de s écarter de la règle actuelle, dont l application s est étendue à un grand nombrl d'autres parties du monde : il doit y avoir des bouées coniques à tribord et des bouées cylindrique! à bâbord. De plus, il a été convenu d adopter ce mode de différenciation par la forme aussi bien pour les bouées lumineuses que pour les bouées non lumineuses. E m p l o i d e l a c o u l e u r p e n d a n t l e j o u r (Règle 8). L expérience a m ontré que le rouge uni et le noir uni sont, en général, les couleurs qui sel prêtent le mieux pendant le jour à la signalisation. Comme il a été décidé, ainsi qu on l a dit plusl haut, que les feux rouges, si cette couleur est employée, doivent se trouver à bâbord du navire, ill est, semble-t-il, naturel et logique d affecter la couleur rouge, pour le balisage de jour, au même! côté du chenal. Le mode de raisonnement contraire, selon lequel il y aurait lieu de déterminer! d abord la couleur de jour pour, ensuite, faire concorder avec elle la couleur à utiliser pendant la nuit est considéré comme irrationnel et contraire aux usages des gens de mer. L attribution de la couleur noire au côté tribord d un chenal est la conséquence naturelle 1 l attribution de la couleur rouge au côté bâbord. On a jugé nécessaire de prévoir, en outre, pourl des fins de différenciation, l usage de bouées à damiers noirs et blancs à tribord et rouges et blancs à bâbord, dans les emplacements où le besoin s en fait sentir. U t il is a t io n d e l a c a r a c t é r is t iq u e d u r y t h m e, d a n s l e b a l is a g e d e n u it (Règle 10). Il semble que l usage général, non seulement à bord des navires britanniques, mais auss bord de ceux des autres pays, soit d'employer les numéros impairs pour les embarcations, les! accessoires, les engins, etc., situés à tribord et les numéros pairs pour ceux de bâbord. On estimei donc que, dans les cas où, de nuit, les deux côtés d un chenal sont également marqués par des feux! blancs, mais différenciés par des éclats impairs d un côté et des éclats pairs de l autre, l arrangement I le plus logique et le plus pratique est d employer les feux à nombre d éclats impairs pour le côté I tribord. Il existe d ailleurs une raison technique qui rend cet arrangement non seulement désirable, mais encore nécessaire. Sur l un des côtés du chenal, on peut établir des feux blancs à un éclat et, I là ou le besoin s en fait sentir, des feux blancs à trois éclats. Le feu à un éclat peut recevoir au moins quatre caractéristiques distinctives: un éclat par seconde (ou par demi-seconde), un éclat toutes les deux secondes et demie, un éclat toutes les cinq secondes et un éclat toutes les dix ou quinze secondes. De l autre côté du chenal il peut y avoir des feux blancs à deux éclats ou, s il le faut, à quatre éclats, le feu à deux éclats pouvant recevoir deux caractéristiques distinctes. Ainsi, du côté des éclats impairs, on dispose d'au moins cinq caractéristiques, mais du côté des éclats pairs, on ne dispose que de trois caractéristiques. Il est donc jugé indispensable d affecter les feux à I nombre d éclats pair au côté bâbord du chenal où des feux rouges avec le nombre désiré d éclats peuvent être employés pour fournir des variations additionnelles. Dans ces conditions, les feux a éclats impairs doivent être réservés au côté tribord, où l on dispose également, s il le faut, de certaines caractéristiques de feux verts. Cette répartition des caractéristiques lumineuses fo u rn it un nombre presque égal de variantes pour les deux côtés d un chenal compliqué, où la différenciation par le rythm e seul ou par la couleur seule serait insuffisante pour répondre aux besoins de la navigation. N u m é r o t a g e d e s s ig n a u x d e c h e n a l (Règle 9). La règle des numéros impairs à tribord et des numéros pairs à bâbord ayant été établie pour les feux de chenal, il est logique d appliquer la même règle aux signaux dont les numéros, comme aussi les lettres, lorsqu il en est fait usage, commenceront de chaque côté du chenal, en venant du large, ainsi que l'a recommandé la Conférence de Washington de S ig n a l is a t io n d e b a n c s m é d ia n s d ' u n c h e n a l (Règle 11). L'emploi de bouées sphériques, pour signaler les extrémités des bancs situés au milieu d'un chenal, fait partie du système uniforme de balisage de 1883, et l expérience a m ontré la grande valeur de ce type de bouées. L a coloration de ces bouées par bandes horizontales noires et blanches ou rouges et blanches est également prévue par le système de 1883 ; les autorités chargées de l éclai
7 rage et du balisage dans le Royaume-Uni estim ent que cette méthode de coloration par bandes horizontales signale un banc ou un risque d une manière facile à comprendre par les navigateurs de tous les pays. Toutefois, il a été décidé d établir, entre l emploi des bandes noires et blanches et celui des bandes rouges et blanches, une différenciation nette, semblable à celle qui existe entre l'emploi du noir et celui du rouge pour le balisage des chenaux; les bandes noires et blanches seront employées dans les endroits où l on désire que le navire entrant, qui suit le chenal principal, dépasse la balise à tribord, et les bandes rouges et blanches dans le cas contraire. Dans ces conditions, des bandes rouges et blanches pourraient être utilisées dans le cas d un banc médian comportant de part et d autre des chenaux également navigables, si l on désirait (comme ce sera le cas en général) que le trafic s effectue dans un sens unique, les navires entrant et les navires sortant laissant à bâbord les balises qui signalent le banc médian. V o y a n t s d e s b o u é e s d e b if u r c a t io n e t d e jo n c t io n (Règle n ). Les autorités de balisage et d éclairage du Royaume-Uni ont adopté l usage de voyants comme constituant un moyen pratique d établir, lorsqu il est nécessaire de le faire, une distinction entre le point de jonction et le point de bifurcation, dans les cas où il existe des chenaux principaux et des chenaux secondaires, ou des chenaux d égale importance. L utilité des voyants semble [nettement indiquée dans un cas analogue à celui que l on a mentionné plus haut, c est-à-dire lorsque les chenaux étant d égale importance, on désire orienter le trafic dans un sens unique de chaque côté du banc médian. Pour donner une indication précise à cet effet aux navires sortant et pour distinguer le cas en question de celui d un chenal principal à droite, il est nécessaire de [fixer un voyant au moins au point de jonction. E c l a ir a g e d e s s ig n a u x d e b if u r c a t io n e t d e jo n c t io n (Règle 12). La «Corporation of Trinity House» a élaboré, pour l éclairage de ces marques, un système très complet qui établit une distinction entre les points de bifurcation et les points de jonction let indique l importance relative des différents chenaux. Un autre système, qui a également fait I objet de discussions, consiste à prévoir, pour les marques signalant un banc médian, des feux là occultation qui contrastent avec les éclats des feux de rive. Toutefois, en raison de certaines [objections formulées contre ces deux systèmes et de la possibilité q u avant peu, les progrès [techniques perm ettront d employer une autre méthode de différenciation par l éclairage, il a été décidé de se borner à formuler, en principe, que ces feux devront présenter des caractéristiques [différant de celles des feux voisins placés sur les signaux de rive. S ig n a u x d e m il ie u d e c h e n a l e t s ig n a u x d a t t e r r is s a g e (Règles 13 et 15). Dans ces deux cas, on a adopté la coloration par bandes verticales. Les autorités chargées itiu balisage dans le Royaume-Uni ont approuvé le principe général selon lequel les bandes verticales doivent servir à signaler des eaux relativem ent profondes, tandis qu au contraire, les bandes horizontales doivent servir à indiquer des eaux peu profondes ou un danger (voir ci-dessus : Bancs enédians). P o r t é e d e s r è g l e s. Les règles mentionnées visent exclusivement les cas dans lesquels il est actuellement fait F sa e de signaux pour l une quelconque des fins spécifiées ; en pareil cas, il est dit que ces signaux Bevront présenter les caractéristiques prescrites à cette fin. Il n existe, par exemple dans ces règles, fucune obligation de faire usage de signaux de bifurcation ou de jonction, ni de signaux d atterfcssage, mais il est prescrit que lorsqu on fait usage de signaux de cette catégorie, ceux-ci doivent présenter les caractéristiques indiquées. La règle N 26, qui prévoit des dérogations au règlement ou diverses adaptations de ce règlement aux conditions locales ou à des circonstances exceptionnelles, à été rédigée principalement phn de ne pas sacrifier, au principe d uniformité, l efficacité pratique de ce règlement. a Le système proposé repose sur des principes rationnels. Il est clair, simple, facile à comprendre t a retenir, et il peut être appliqué avec toute la souplesse nécessaire dans les cas non susceptibles ï un traitem ent uniforme. Board of Trade, Londres, novembre 1931.
8 SYSTÈME UNIFORME DE BALISAGE LATÉRAL PROPOSITION DU GOUVERNEMENT DE SA MAJESTÉ DANS LE ROYAUME UNI DE GRANDE BRETAGNE ET D'IRLANDE DU NORD UNIFORM SYSTEM OF LATERAL BUOYAGE PROPOSALS OF H. M. GOVERNMENT IN THE UNITED KINGDOM OF GREAT BRITAIN AND NORTHERN IRELAND u n é c /a t b /o n c toutes /es fo secondes ç» Ff. ev. /O jec. un é d a t v e rt toutes /es 5 secondes. & Ff. G. ev. S sec. / C H E N A L SECONDARY C a ra c té ris tiq u e du fe u d iffé re n c ié e de cet/es des fe u x v o is in s L ig h t c h a ra c te ris tic to 6e d is t in c tiv e Groupes de 3 é d a ts b io n cs toutes /es /0 second es Op. Ff. (3) ev. tûsec. r is tic to 6e d is t in c tiv e. ira c fé ris tiq u e du fe u ffé re n c ié e de ce/ies?s fe u x v o is in s? h t c h a ra c te ris tic 6e d is t in c tiv e m a /n c h a ra c te ris tic d is tin c tiv e C a ra c té ris tiq u e du fe u d iffé re n c ié e de ceites des fe u x v o is in s lig h t c h a ra c te ris tic to 6e d is t in c tiv e C a ra c té ris tiq u e d u fe u d iffé re n c /é e de ce lle s des fe u x i/o is in s L ig h t c h a ra c te ris tic to is d is tin c tiv e CHANNEL- G roupes de 2 e c b ts 6/ones toutes /es /O secondes C T O p.f Ï.(2 )e y./o s «c
Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers?
Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers? Elsa Aubert Direction des relations avec les épargnants Le 16 novembre 2011 2 Plan de la présentation I Auprès de qui réclamer? 1. L interlocuteur
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailAccessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1
Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février
Plus en détailcurité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE
Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier
Plus en détailAccord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par voies de navigation intérieures (ADN)
Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par voies de navigation intérieures (ADN) - 1 - ACCORD EUROPÉEN RELATIF AU TRANSPORT INTERNATIONAL DES MARCHANDISES DANGEREUSES
Plus en détailL EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP
L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP Groupement prévention du SDIS 85 PREAMBULE La loi n 2005-102 du 11 février 2005 pour l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté
Plus en détailPOUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont la
Plus en détailRèglement général de Police pour la Navigation sur les Eaux intérieures (arrêté royal du 24 septembre 2006)
Règlement général de Police pour la Navigation sur les Eaux intérieures (arrêté royal du 24 septembre 2006) www.mobilit.belgium.be Table des matières CHAPITRE 1 ER PRESCRIPTIONS GENERALES... 7 Art. 1.01.
Plus en détailINSTRUCTION INTERMINISTERIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIERE ------------- EXTRAITS. Première partie : GENERALITES
INSTRUCTION INTERMINISTERIELLE SUR LA SIGNALISATION ROUTIERE ------------- EXTRAITS Première partie : GENERALITES Article 9-2. Balises. H. Balises J10 Les balises J10 ont pour objet d'indiquer aux usagers
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailLe Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.
Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par
Plus en détailCONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988)
CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988) LES ETATS PARTIES A LA PRESENTE CONVENTION, RECONNAISSANT l importance d éliminer certains obstacles juridiques au crédit-bail
Plus en détailLe décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT
Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT «Le registre des modifications» UWE «90 minutes pour l environnement» DGO3 - DPA Mons Wavre - Jeudi 10 mai 2012. B. Bequet 1 Plan de l exposé
Plus en détailLouis-Philippe Gagnon Auditeur De Système D Alarme LABORATOIRES DES ASSUREURS DU CANADA 12 Novembre, 2014
Louis-Philippe Gagnon Auditeur De Système D Alarme LABORATOIRES DES ASSUREURS DU CANADA 12 Novembre, 2014 UL and the UL logo are trademarks of UL LLC 2012 2 OBJECTIFS DE LA MISE À L'ESSAI ET INSPECTION
Plus en détailFaites connaissance avec votre Rubik s Cube Étape 1
Faites connaissance avec votre Rubik s Cube Étape 1 ÉFIN ITION ES IÈCES U RUBIK S CUBE LES RTIES LES IÈCES RÊTES CE SONT ES IÈCES COMORTNT EUX (2) COULEU RS. IL Y OUZE (12) IÈCES RÊTES, SITUÉES U CENT
Plus en détailClub Nautique de Lancieux - Kitesurf
Club Nautique de Lancieux - Kitesurf Centre Nautique de Lancieux Un encadrement performant Le Centre Nautique de Lancieux, labellisé FFVL, sera votre partenaire privilégié dans votre apprentissage du kitesurf.
Plus en détail.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base
énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailCOMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS. Groupe de travail des transports par voie navigable. Genève.
COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS Groupe de travail des transports par voie navigable Genève MENUES EMBARCATIONS UTILISÉES EXCLUSIVEMENT POUR LA NAVIGATION DE PLAISANCE
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailUn exemple d étude de cas
Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui
Plus en détailSECURITE - Quelques règles - Ce document est vivant, chacun peut proposer des améliorations en accord avec le Road Marshal. Doc001-3A Page 1/16
SECURITE - Quelques règles - Ce document est vivant, chacun peut proposer des améliorations en accord avec le Road Marshal. Doc001-3A Page 1/16 La rubrique des Safety Officers Les signes à connaître Le
Plus en détailService départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort
Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort Fiche technique 2011 / 01 Nouvelles dispositions prévues par le règlement de sécurité pour l évacuation des personnes en situation
Plus en détail- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute
SECURITE ROUTIERE : QUELQUES ELEMENTS A RETENIR Pour réviser, vous pouvez vous entrainez sur le site : http://eduscol.education.fr/cid46889/preparation-auxepreuves-securite-routiere.html L ASSR est l attestation
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailLE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE
LE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE SOMMAIRE ENJEUX EN MATIERE DE PREVENTION ETAT DES LIEUX : ENSEIGNEMENTS DE L ETUDE «ERGOSPACE» EVOLUTION REGLEMENTAIRE EXEMPLE DANOIS ACTIONS ENGAGEES ENJEUX - 1 Le
Plus en détail0.672.936.712. Convention
Texte original 0.672.936.712 Convention entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d Irlande du Nord en vue d éviter les doubles impositions en matière d impôts sur le revenu
Plus en détailCHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailManuel d utilisation email NETexcom
Manuel d utilisation email NETexcom Table des matières Vos emails avec NETexcom... 3 Présentation... 3 GroupWare... 3 WebMail emails sur internet... 4 Se connecter au Webmail... 4 Menu principal... 5 La
Plus en détailPassation des marchés
Page 1 de 5 Le présent document est la traduction du texte anglais de l OP 11.00, «Procurement», en date de juillet 2001, qui contient la formulation de cette directive qui a été approuvée par la Banque
Plus en détailEVOLUTION DE LA COCCINELLE
Trente ans d évolution! 1952 Octobre 52. Volets d aérations remplacés par de grands déflecteurs sur les glaces avant. Poignée de capot moteur en T. Feux arrière et stops groupés dans un seul feu, plus
Plus en détailAccueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!
Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry
Plus en détailUn guide étape par étape pour le trading des options binaires
Un guide étape par étape pour le trading des options binaires www.cedarfinance.com Sommaire 3 Les meilleures raisons pour effectuer des transactions sur les options binaires 4 Les options binaires: leur
Plus en détail30 km/h dans les quartiers résidentiels
bfu bpa upi Mb 0206 km/h dans les quartiers résidentiels Le bpa est favorable aux zones dans les rues de quartier. Pourquoi? Les zones à l heure permettent d augmenter la sécurité et la qualité de l habitat
Plus en détailROULER EN AVANT ROULER EN AVANT ROULER EN AVANT
Placer une gommette sous un banc. Départ allongé sur le ventre. But : Regarder la gommette en roulant. Lâcher un ballon sur le plan incliné. Glisser et rouler. But : Pour tourner en avant et rouler comme
Plus en détailLes Cheminements piétons
Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail
Plus en détailCollection de photos échantillons
Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel
Plus en détailOutil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -
Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales
Plus en détail> Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes
La signalisation /20 > Mettre une croix dans les cases correspondantes Répondre aux deux consignes A / Accès interdit aux cyclistes... B / Débouché de cyclistes venant de gauche ou de droite... C / Piste
Plus en détailArticle 9.2 Caractère obligatoire du régime frais de santé et dispenses d affiliation
Avenant n 4 relatif à la mise en place d un régime frais de santé obligatoire pour le personnel non cadre du secteur de la Propreté Préambule Considérant la volonté des partenaires sociaux du secteur de
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailRéceptions. Le Phare des Baleines. Océan Authentique. Séminaires. Vos événements au bord de l océan. Professionnel. Conférences. Réunions de travail
Vos événements au bord de l océan île de Ré Le Phare des Baleines Conseils Plaisir Séminaires Océan SoiréesDécouvrir Authentique Réceptions Conférences Réunions de travail Événements Professionnel Détente
Plus en détailContrat d'association avec mise en commun des honoraires
Les soussignés : Contrat d'association avec mise en commun des honoraires 1) nom, prénom, qualification professionnelle, adresse privée, matricule national, code médecin personnel 2) etc. ont convenu d'établir
Plus en détailTable des matières. Télécharger MetaTrader 4. Première connexion à MetaTrader 4. Se connecter à MetaTrader 4. Modifier la langue
Guide METATRADER 4 Table des matières Télécharger MetaTrader 4 Première connexion à MetaTrader 4 Se connecter à MetaTrader 4 Modifier la langue Modifier votre mot de passe Mot de passe oublié Trader avec
Plus en détailSommaire Table des matières
Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape
Plus en détailAFFAIRE RELATIVE À DES QUESTIONS D'INTERPRÉTATION ET D'APPLICATION DE LA CONVENTION DE MONTRÉAL DE 1971 RÉSULTANT DE L'INCIDENT AÉRIEN DE LOCKERBIE
COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE RECUEIL DES ARRÊTS, AVIS CONSULTATIFS ET ORDONNANCES AFFAIRE RELATIVE À DES QUESTIONS D'INTERPRÉTATION ET D'APPLICATION DE LA CONVENTION DE MONTRÉAL DE 1971 RÉSULTANT DE
Plus en détailLes outils pour se repérer en mer
Cycles 2, 3 et collèges Les outils pour se repérer en mer Les skippers de Volvo Ocean Race vont devoir s orienter afin d élaborer la meilleure stratégie de course possible. Aujourd hui les instruments
Plus en détailGarde côtière canadienne Direction générale des services maritimes. Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique
Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique Octobre 2008 Introduction La navigation électronique a été définie
Plus en détailPASSAGE A NIVEAU HO/N
PASSAGE A NIVEAU HO/N Description Ce passage à niveau en laiton est composé de deux demi-barrières, ainsi que de deux feux lumineux rouges. Vous pouvez utiliser ce PN sur un nombre quelconque de voie y
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailKaseya 2. Guide de démarrage rapide. pour VSA 6,0
Kaseya 2 Mise en route Guide de démarrage rapide pour VSA 6,0 June 10, 2010 About Kaseya Kaseya is a global provider of IT automation software for IT Solution Providers and Public and Private Sector IT
Plus en détailLe plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs.
Les informations du plan Vous connaissez trois types de représentation d un pavillon : 1 : La perspective 2 : Les façades (page 2 ) 3 : La vue en plan (page 3) Observer attentivement la vue de la page
Plus en détailChapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION
Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o
Plus en détailPASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m
PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour
Plus en détailConseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?
Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice
Plus en détailRÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP)
F I C H E DIRECTION DE PLONGÉE, ORGANISATION ET RÉGLEMENTATION FICHE N RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) POUR PLUS DE DÉTAILS, voir la fiche n 116 sur l organisation des plongées. 46. Rôle et
Plus en détailCONTRAT DE LOCATION : SALLE DES FETES
CONTRAT DE LOCATION : SALLE DES FETES ENTRE : PICAUD La commune de TREGONNEAU, représentée par le Maire Jean-Luc (ou son représentant). ET : Mme/M, ci-dessous désigné(e) sous le terme «l occupant» Il est
Plus en détailN u m é rit a b - A d m in is tra tio n d u n p a rc d e ta b le tte s P ré s e n ta tio n p a r P a tric k D e m ic h e l L e 6 m a i 2 0 1 4
N u m é rit a b - A d m in is tra tio n d u n p a rc d e ta b le tte s P ré s e n ta tio n p a r P a tric k D e m ic h e l L e 6 m a i 2 0 1 4 Canopé : Création Accompagnement Nouvelle Offre Pédagogique
Plus en détailUnitecnic 2200 Unitecnic 2200 CS
Unitecnic Unitecnic S Notice de pose Seules les vis rouges et bleues peuvent être dévissées. (changement de combinaison et de main) Tout autre démontage interne est interdit. (annulation de la garantie)
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détailMODE DE POSE DU SYSTÈME AXIOM MC PROFILÉ
MODE DE POSE DU SYSTÈME AXIOM MC PROFILÉ Axiom Profilé est un système de garniture de périmètre sur mesure conçu pour les systèmes de suspension de panneaux acoustiques ou de mur sec d'armstrong. En tant
Plus en détailConvention de Vienne sur le droit des traités entre Etats et organisations internationales ou entre organisations internationales
Convention de Vienne sur le droit des traités entre Etats et organisations internationales ou entre organisations internationales 1986 Faite à Vienne le 21 mars 1986. Non encore en vigueur. Voir Documents
Plus en détailAccessibilité d'un bâtiment d habitation collectif neuf
Accessibilité d'un bâtiment d habitation collectif neuf Points examinés R = 1. Généralités L opération de construction entre dans la définition des bâtiments d habitation collectifs ("oui" aux 2 critères
Plus en détailAssurance Responsabilité Civile liée aux Yachts
Assurance Responsabilité Civile liée aux Yachts Comprehensive Cover. Exceptional Service. Le Club Principales caractéristiques de notre produit: Grâce à sa stabilité financière, à sa longue expérience
Plus en détailVoies d évacuation et de sauvetage
Institut de Sécurité Voies d évacuation et de sauvetage Jean-Paul Bassin Institut de Sécurité Institut de Sécurité INSTITUT SUISSE DE PROMOTION DE LA SÉCURITÉ Evacuation_Lignum_2010 1 Histoire 1995 1945
Plus en détailRéservation de matériel
Manuel Utilisateur Réservation de matériel Auteur : Logica Version : 3.1 Droit d auteur Ce texte est disponible sous contrat Creative Commons Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Partage des Conditions
Plus en détailSTRUCTURE D UN AVION
STRUCTURE D UN AVION Cette partie concerne plus la technique de l avion. Elle va vous permettre de connaître le vocabulaire propre à l avion. Celui ci vous permettra de situer plus facilement telle ou
Plus en détailIMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB
IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques
Plus en détailManuel Utilisateur. Boticely
Manuel Utilisateur Boticely Auteur : Logica Version : 1.4 Droit d auteur Ce texte est disponible sous contrat Creative Commons Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Partage des Conditions Initiales
Plus en détailCarport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 -
Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470-1 N O T I C E D E M O N T A G E du Carport Evolution 1 Voiture Adossant Après l ouverture du colis de votre Carport, n exposez pas les panneaux au rayonnement
Plus en détailUnity Real Time 2.0 Service Pack 2 update
Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen
Plus en détailVIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE
VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE Journée technique CoTITA Méditerranée 10 mai 2012 Philippe Pecquenard Station d essais de matériels routiers Les évolutions du matériels CoTITA Méditerranée
Plus en détailSECURIT GSM Version 2
EOLE informatique SECURIT GSM Version 2 Notice d installation & Guide utilisateur Eole informatique 42 rue Claude Decaen -75012 Paris Tél. 01.43.43.00.97 www.eole-informatique.com 15/03/2006 SOMMAIRE Notice
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailProcap Accessibilité et intégration. Adresses web. www.goswim.ch Accès sans obstacles aux piscines
Adresses web Le Guide des piscines pour personnes avec handicap www.goswim.ch Bureau fédéral de l égalité pour les personnes handicapées BFEH www.edi.admin.ch/ebgb Procap Accessibilité et intégration www.procap.ch
Plus en détailPrésentation des équipements d accessibilité dans les gares et les trains
Présentation des équipements d accessibilité dans les gares et les trains Octobre 2010 Accessibilité : une démarche «associée» 3 Les solutions d accessibilités mises en place dans les gares et les trains
Plus en détailPOUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont
Plus en détail8 juillet 2015. Débat Public Projet de parc éolien en mer. Dieppe - Le Tréport. Présentation du projet Criel-sur-Mer
8 juillet 2015 Débat Public Projet de parc éolien en mer Dieppe - Le Tréport Présentation du projet Criel-sur-Mer Présentation du projet 2 Le cadre et les objectifs du projet Participer à la transition
Plus en détailDirectives concernant les bateaux à passagers également aptes à transporter des personnes à mobilité réduite
COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS Groupe de travail des transports par voie navigable Directives concernant les bateaux à passagers également aptes à transporter des
Plus en détail# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD
Services internes 1. PERSONNES ASSURÉES # 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Cet accord vise tous les résidents canadiens qui reçoivent des services internes dans un établissement
Plus en détailCADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS
3ème RENCONTRE TECHNIQUE DE L'ACCESSIBILITE CADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS Patricia QUOY et Carole ROUGEOLLÉ DDT 91 - STANE 29/06/12 CADRE REGLEMENTAIRE Définition d'un ERP (R.123-2 du CCH) = lieu
Plus en détailLe code INF et les navires spécialisés
WNTI W O R L D N U C L E A R T R A N S P O RT I N S T I T U T E BROCHURE Le code INF et les navires spécialisés Dédié au transport sûr, efficace et fiable des matières radioactives Le code INF et les
Plus en détailÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES
ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de
Plus en détailFiltres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure.
Filtres passe-bas Ce court document expose les principes des filtres passe-bas, leurs caractéristiques en fréquence et leurs principales topologies. Les éléments de contenu sont : Définition du filtre
Plus en détailAnnexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles
Annexe commune aux séries ES, L et S : boîtes et quantiles Quantiles En statistique, pour toute série numérique de données à valeurs dans un intervalle I, on définit la fonction quantile Q, de [,1] dans
Plus en détailJUPITER /20/27/61m. Contact NF, 50mA à 24v max. avec R50 Ohms en série
JUPITER /20/27/61m 1 ) - SPECIFICATIONS TECHNIQUES Tension 12v nominal (8,5 à 16 v dc) Courant 25 ma max à 12vdc Ondulation 2v c/c à 12vdc Sortie alarme Contact NF, 50mA à 24v max. avec R50 Ohms en série
Plus en détailBateau à moteur PROPULSEURS. Comment choisir le propulseur adapté à vos besoins. Bateau 1 Tableau 1. Bateau 2. Bateau 4. Bateau 1. Bateau 3.
PROPULSEURS Comment choisir le propulseur adapté à vos besoins En tunnel ou rétractable? Les propulseurs en tunnel représentent une solution simple et efficace pour les bateaux à moteur et voiliers à fort
Plus en détailDOSSIER : TOURISME ET HANDICAP
DOSSIER : TOURISME ET HANDICAP Dossier à l intention des professionnels souhaitant s améliorer dans l accueil des personnes handicapées. Réaliser les aménagements fondamentaux pour l accueil des personnes
Plus en détailLES DÉTERMINANTS DE MATRICES
LES DÉTERMINANTS DE MATRICES Sommaire Utilité... 1 1 Rappel Définition et composantes d'une matrice... 1 2 Le déterminant d'une matrice... 2 3 Calcul du déterminant pour une matrice... 2 4 Exercice...
Plus en détailTravaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires
Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Centre de recherche Saint Antoine UMR-S 893 Site de l Hôpital Saint Antoine Bâtiment Inserm Raoul KOURILSKY 6 ème étage Equipe 13 Alex DUVAL
Plus en détailLe projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012
Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke 11 décembre 2012 Sherbrooke, ville sous les étoiles HISTORIQUE 2003 Création du Comité de lutte contre la pollution
Plus en détailELECTIONS. Mode d Emploi
ELECTIONS Mode d Emploi 1 Remerciements Système de gestion des données pour les élections Mode d emploi Manuel v 1.1 dernière modification 10/23/2014 L Institut National Démocratique (NDI) est une organisation
Plus en détailWebInfoRoute. Gestion de l'information routière. outil développé en partenariat avec le. Conseil Général des Hautes-Alpes.
WebInfoRoute Gestion de l'information routière outil développé en partenariat avec le Conseil Général des Hautes-Alpes Sommaire L'information routière dans les Hautes-Alpes Patrouilles Viabilité hivernale
Plus en détailLa sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande
La sécurité & sûreté maritime en Tunisie Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande 1 QUELQUES DONNEES Une façade maritime de 1300 Km de côtes. La flotte nationale Tunisienne comporte
Plus en détailBAIES RESEAUX 19" SÉRIE OPTIMAL ::ROF
BAIES RESEAUX 19" SÉRIE OPTIMAL ::ROF es baies de répartition data et de télécommunication peuvent loger tous vos équipements tel que panneaux de brassage, composants actifs, serveurs... etc. 4 Description:
Plus en détailL'AMIANTE : RÉGLEMENTATION
L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION Dernière révision du document : juillet 2012 L'amiante (asbeste) est à l origine une roche naturelle composée de minéraux fibreux. Pour ses nombreuses propriétés, dont la résistance
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détail