Le charbon était source de richesse en Belgique

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1 Le charbon était source de richesse en Belgique Raphaël DEMANET - 5ème année La Belgique a été productrice de charbon pendant des siècles. Il a été le moteur de la révolution industrielle ainsi qu une source d énergie indispensable. Les mines de charbon belges ont connu une expansion très tôt grâce à l apparition du charbon à la surface de la terre dans la région de Liège et celle de Mons, dite du Borinage, de Charleroi, de la Louvière, On y compte donc de nombreux bassins miniers. Le plus ancien, le bassin de Liège a été exploité depuis le Moyen Age et les dernières houillères de la région liégeoise ont cessé leur exploitation en Quelques vestiges de ces charbonnages ont été conservés : le PASS à Frameries, Le Grand Hornu, Boisdu-luc, Bois du Cazier, Ces régions offrent également aux promeneurs et aux touristes de nombreux terrils c est à dire une accumulation de déchets miniers formant un genre de petite montagne. On dénombre près de 1200 terrils qui comptent parmi les derniers témoins d une région qui a connu un riche passé industriel.

2 L origine du charbon Le charbon est un combustible solide, noir, tiré du sol ou obtenu par combustion du bois. Il a été la première sorte d'énergie fossile utilisée, avant le pétrole et le gaz naturel. C'est l'utilisation du charbon qui a permis de produire de l'acier en grande quantité pendant la révolution industrielle du XIX e siècle. Il est toujours utilisé pour cela de nos jours. On donne le nom de charbon aux roches qui renferment suffisamment de carbone pour être utilisables comme combustible. Ces roches sédimentaires d origine organique contiennent au moins 50% de carbonne. Selon la teneur en carbone, on distingue la tourbe, le lignite et la houille. Les origines du charbon remontent à l époque Carbonifère ce qui signifie qui porte du carbone, il y a plus de 250 à 300 millions d années, lorsque la forêt hercynienne, une vaste foret primaire qui recouvrait une partie de l Europe, a engendré la concentration importante de dépôts venant de débris végétaux tels que le bois, écorces, feuilles, spores, algues microscopiques. Ces dépôts vont alors s accumuler dans un site géologique propice et vont être recouverts de terre et d alluvions à la suite d affaissements du sol ou d une élévation du niveau des eaux. Ainsi à l abri de l air commence la fermentation du dépôt végétal. La matière organique va se déshydrater, et il ne restera que le carbone qui va cristalliser. Lentement, les sédiments végétaux vont s enrichir en carbone. Sur la couche végétale se dépose un sédiment minéral alluvionnaire qui forme le sol sur lequel va se reconstituer une nouvelle végétation. Ainsi de suite, le cycle recommence et se perpétue pendant des millions d'années, créant ainsi une alternance de couches de matière organique et de couches stériles.

3 Au cours de sa transformation, le futur charbon passe successivement par différents stades : tourbe, lignite et houille. La tourbe est un produit spongieux de couleur brune qui brûle en dégageant peu de chaleur, mais beaucoup de fumée. Elle est constituée, en majeure partie, de végétaux tels mousses ou lichens. Elle s extrait encore de nos jours dans certains marais de la Campine et des Hautes Fagnes liégeoises. La tourbe contient entre 50 et 55 % de carbonne. Le lignite est de couleur brun-noir et contient entre 55 % et 75 % de carbonne. Il est plus compact que la tourbe. Il brûle assez difficilement en dégageant une odeur caractéristique ressemblant à celle du bitume chaud.

4 La houille, qui contient entre 75% et 90% de carbone, est une roche noire relativement dure et de texture assez homogène. A l exception d un peu de tourbe et de lignite, les gisements de la Belgique sont des gisements de houille. Elle remonte à l ère primaire, c est le charbon le plus ancien. Ce combustible est utilisé depuis le XI e siècle et son extraction dans les mines a rendu possible la révolution industrielle au XIX e siècle. Depuis, la houille constitue une des principales sources d'énergie des pays industrialisés. L exploitation du charbon L'histoire de l'exploitation du charbon de terre qu'on appelait ainsi par opposition au charbon de bois est celle de l'évolution des outils de creusements de puits, d'abattage, de transport et tri du charbon, à main avec assistance des chevaux. Un charbonnage ou une houillère est une mine de houille, c'est-à-dire un lieu d'extraction du charbon. Suivant la profondeur où se trouvent les couches, ou veines, le charbon est exploité dans des mines à ciel ouvert ou souterraines. Quelle que soit la technique utilisée, des moyens complexes sont mis en œuvre pour extraire le précieux minerai des entrailles de la Terre.

5 Il a plusieurs méthodes d exploitation du charbon selon l aménagement du sol. Soit le charbon se trouve à la surface du sol soit dans les profondeurs de la terre. L'exploitation souterraine Il existe diverses méthodes pour exploité les gisements souterrains. Elles ont toutes en commun le creusement de puits et de galeries d accès au gisement et l emploi de machine ou d explosifs pour l extraction du charbon. Pour atteindre le charbon, si le gisement n'est pas trop profond, on creuse des puits en biais, dans lesquels des camions peuvent circuler. S'il est très profond, on fore des puits verticaux, dans lesquels on installe les ascenseurs et tous les systèmes de connexion avec la surface. Ensuite, on creuse à l'horizontale, en essayant de suivre aussi longtemps que possible chaque couche charbonneuse.

6 L exploitation à ciel ouvert L'exploitation à ciel ouvert se présente sous la forme d'un vaste trou le long desquels on creuse dans la couche de charbon. Les plus grandes mines à ciel ouvert font plusieurs kilomètres de long pour des centaines de mètres de profondeur. Il faut d abord enlever les matériaux inutiles qui recouvrent le gisement afin de découvrir une très large surface. Ses matériaux stériles sont enlevés par tranches successives et sortis de la fouille. Les couches de charbon apparaissent au fur et à mesure que le chantier se creuse. Extraction du charbon Les mines de charbon sont organisées par étages à partir desquels on exploite les couches. La mine va devoir suivre ces couches aux formes tourmentées par les mouvements de terrains pour extraire le plus de minerai possible. Les gisements forment parfois plusieurs étages, s'enfonçant à des centaines de mètres sous terre : il faudra donc pour les atteindre commencer à maîtriser le forage des puits profonds et comprendre la formation des sols. C est ainsi que vont naître les techniques d exploitations des mines. Chaque mineur creuse une couche pour en extraire le charbon que l'on charge ensuite dans des wagonnets. Ce travail est très difficile car il faut creuser de façon à ne pas faire effondrer la galerie, en plus de cela, il y règne une chaleur étouffante, car il n'y a quasiment pas d'air qui circule. Le seul moyen trouvé pour créer une ventilation a été de construire au minimum deux puits d une profondeur d environ 20 à 25 m, exceptionnellement 70 m. Le premier sert à la montée et la descente des mineurs et la montée du charbon. L'autre sert seulement à la ventilation. Les galeries étaient horizontales et allaient de l un à l autre pour boucler le circuit d aérage.

7 On creusait des voies jusqu'au moment où l'on arrivait dans une veine c est-à-dire une couche de charbon. La veine était alors exploitée par des chantiers appelées tailles. La taille qui était donc un chantier d abattage du charbon se présentait sous la forme d'un couloir de longueur et d'inclinaison variable avançant chaque jour de plus ou moins 1 mètre dans le charbon exploité. Les tailles sont toujours desservies par 2 voies d'accès : Une voie basse par laquelle le charbon est évacué et par où l'air frais arrive. Une voie haute par laquelle le matériel arrive sur le chantier.

8 Les transports en surface comme au fond se faisaient par des petits wagonnets roulant sur des rails. Au début, ils étaient tirés par des chevaux. Ces chevaux étaient descendus dans la mine pendus dans un harnais. Souvent, ils passaient toute leur vie sous terre et n'étaient remontés que lorsqu'ils ne pouvaient plus travailler. Après la Première Guerre mondiale, ces animaux furent progressivement remplacés par des trolleys électriques puis des locomotives diesel. Lorsque les wagonnets arrivaient en surface, il fallait les tirer vers des stations de triage. Il y avait des wagonnets de matériaux stériles c est à dire des matériaux inutilisables qui étaient amenés sur les terrils pour y être déversés et des wagonnets de charbon qui devaient être traités. En remontant une tonne de charbon, on extrait sept tonnes de sous-produits éventuellement susceptible de contenir des toxiques ou de poser problèmes via la poussière que l'on évacue sur ces terrils. Dans les zones possédant beaucoup de charbon, tous les hommes travaillaient à la mine, ainsi que les enfants dès 13 ans. Ils descendaient jusqu'à 200 mètres sous terre et extrayaient le charbon à la pioche et à la pelle. Le métier était dangereux, les coups de grisou étaient fréquents. Aujourd'hui une partie de ce travail est effectuée le plus souvent par des machines, et les normes de sécurité ont beaucoup évoluées.

9 Les dangers et inconvénients de la mine Aux débuts de l'exploitation industrielle, les principaux risques que couraient les ouvriers dans la mine étaient : - la silicose qui est une maladie pulmonaire provoquée par l'inhalation de particules de poussières. L'exposition chronique à cette poussière de houille et au radon dans les mines ou à leurs abords est un facteur de silicose et de risque de cancer du poumon - Les ouvriers peuvent souffrir d'un tremblement des yeux du au manque de lumière. - A cause de l'inclinaison des couches de charbon, le mineur est souvent contrainte de ramper, de glisser, de travailler sur le dos, à genoux, dans des conditions qui délabrent l'organisme et la santé. Il souffre de rhumatismes. - les effondrements des galeries - le manque d'air et une hausse de la température pouvant être mortelle dans les galeries due à une inflammation de l air chargé en poussière de charbon. - l'inondation des galeries à proximité de nappes profonde ou de failles permettant une infiltration de l eau lors de pluies abondantes.

10 - Le plus important des causes d'accidents est le Grisou. Si la concentration en oxygène dépasse 5% et que l'hydrogène et le carbone contenus dans l'air s'enflamment, alors il y a un "coup de grisou". Les mineurs utilisaient autrefois un canari en cage au XIXe siècle, qui, quand il s'agitait, ou même mourait, donnait le signal d'une remontée urgente en raison du manque d'oxygène ou d'une surabondance de CO2 et/ou CO - A la suite d'un éboulement ou d'un coup de grisou, la ventilation est souvent insuffisante : un mélange de gaz irrespirables envahit alors la mine. Le mineur isolé risque l'asphyxie. Ces risques restent d'actualité, et tuent encore de nombreux mineurs. Le métier de mineur est dur, insalubre et dangereux : nombreux sont les travailleurs qui y laisseront leur santé mais aussi leur vie. L exploitation du charbon a eu beaucoup d impact sur le paysage, l environnement, la santé et la condition de vie des ouvriers. Le charbon est aussi une source de CO2, son extraction qui entraîne des fuites de méthane et sa combustion contribue au forçage de l'effet de serre et au dérèglement climatique. Les ouvriers étant exposés aux maladies professionnelles et aux dangers de la mine, comme les coups de grisou, la Belgique se signale très tôt par une réglementation sociale. Un décret de 1840 précise que chaque mine doit s'attacher un médecin ou un chirurgien pour traiter les blessés ou les asphyxiés. Les caisses de secours minières reçoivent chacune du gouvernement un subside de francs. Le propriétaire de la mine doit inscrire le nom de chaque ouvrier dans ce qui est l'ancêtre du registre unique du personnel. La catastrophe du Bois du Cazier à Marcinelle Le bois du Cazier est un ancien charbonnage situé à Marcinelle, près de Charleroi, en Belgique.

11 Le 8 août 1956, ce charbonnage fut le théâtre de la plus importante catastrophe minière en Belgique causée par un incendie qui éclate au fond du puits et se propage dans la mine. La cage d ascenseur descend un chariot vide tandis qu un autre un chariot remplit de charbon est introduit dans cette même cage. Normalement, un wagonnet rempli en chasse un vide dans la cage du puits. Suite à une défaillance, le wagonnet rempli entre en partie dans la cage et n extrait pas le chariot vide. En remontant, L'un des deux wagonnets se heurte violemment contre une poutre, celleci arrachant deux câbles électriques à haute tension, une conduite d'huile sous pression, et les tuyaux d'air comprimé. L'arc électrique formé par les câbles à haute tension est en contact avec la conduite d'huile sectionnée, provoquant un incendie. Le feu attaque les boiseries de la mine, et rapidement, l'incendie se propage dans les galeries. L'air dans la mine devient de moins en moins respirable, et le gaz de carbone envahit la mine. Les deux puits ne peuvent plus être utilisés par les secours, l'un bloqué par la cage, l'autre par la fumée de l'incendie. On dénombre plus de 262 victimes sur les 274 hommes présents dans la mine.

12 Actuellement, la mine est un musée de la mine consacré à la catastrophe, ainsi qu'à l'histoire de la région à travers la révolution industrielle et, bien sûr, aux charbonnages en général. Le site du bois du Cazier est classé et entièrement rénové et il est à la fois un mémorial. L industrie du charbon en Belgique L époque industrielle sur le continent européen commence en Belgique avec le textile et ensuite avec ses grands gisements de charbon. En Wallonie, tout le monde connaît l industrie du charbon qui constitue un pan majeur de l histoire industrielle et économique de la Belgique. L apogée de l industrie charbonnière pourrait se situer vers 1855, lorsque les mineurs eurent remporté la plus importante des batailles, celle du charbon. Dans la première moitié du XIXe siècle, les mines belges qui fonctionnent de manière intensive sont les premières valeurs industrielles étrangères. Lors de la révolution de 1830, la Belgique, qui est alors devenue indépendante des Pays-Bas, est déjà la deuxième puissance économique et producteur primordial de charbon au monde derrière l'angleterre et où les mines sont entièrement développées avec un chiffre d'affaires de 45 millions de francs. Sur une production mondiale de 50millions de tonnes, la Grande-Bretagne en fournissait 31, la Belgique 5, les Etats-Unis 4 et la France 3. La Belgique disposait déjà de 307 mines de charbon. Sur une décennie, la production de charbon va doubler de volume et le bassin liégeois est alors en forte croissance. En 1900, cette production nationale atteint les 23, 5 millions de tonnes contre 18 millions en Les charbonnages de la Belgique employaient mineurs en La réputation internationale des charbonnages wallons est telle que, dans les années 1840, plusieurs mines de charbon de Belgique sont les premières entreprises industrielles à bénéficier d'une cotation officielle à la Bourse de Paris. Le Pays de Charleroi est anciennement nommé Pays Noir en référence à la présence de mines de charbon. Le secteur de l'énergie en Belgique a constitué l'un des moteurs du développement économique au XIX e siècle avec l'expansion des charbonnages qui ont contribué à l'industrialisation précoce du pays. Cependant, la Belgique est aujourd'hui totalement dépendante de l'étranger pour ses besoins en pétrole, en gaz, et dans une moindre mesure, en électricité. Plus pratique et plus performant que le bois, on utilisait le charbon pour se chauffer, mais aussi comme source d'énergie pour alimenter les toutes nouvelles usines et en particulier les machines à vapeur puisque le charbon était capable de fournir assez de chaleur pour produire de la vapeur. À partir de ce moment là commence l'exploitation industrielle des mines de charbon un peu partout en Europe dont la Belgique fut un fournisseur primordiale grâce à ses réserves importantes. Si le charbon a pris autant d'importance au 19 ème siècle, c'est qu'il est rapidement devenu la clé de ce développement industriel. Les besoins étaient gigantesques, il fallait donc en produire énormément : pour se déplacer et transporter des marchandises grâce aux chemins de fer ou aux navires, pour produire de l'acier, permettant de fabriquer des machines, faisant fonctionner des usines qui à leur tour consommaient toujours plus de charbon.

13 Les machines à vapeur qui commençaient à être installées dans le reste du continent dépendaient de la houille belge. Bien que la production belge ne suffise déjà plus à répondre la demande dès 1840, le pays offrait des avantages il s'y concentrait au même endroit l'extraction du charbon, la métallurgie et la fabrication de machinesoutils. Le boom que connut la construction la voix des eaux belge améliora durablement les transports. Grâce à ces nouvelles voies fluviales, on put bientôt acheminer du charbon provenant des bassins de Mons et de Charleroi vers le nord de la France, puis à Paris. Bruxelles se fournissait également en combustibles au moyen d un nouveau canal, et l ancien centre commercial d Anvers autrefois florissant fut raccordé à la Meuse qui était depuis longtemps une voie commerciale de première importance. Le bois-du-luc Le bois-du-luc était un site d exploitation du charbon. Il fut un important centre industriel à l époque où le charbon fait figure d or noir pour la wallonie. Le site est devenu aujourd hui le siège d un écomusée et d un musée de la mine.

14 Le déclin des mines de charbon Tous ces gisements connus depuis l'antiquité, puis exploités de manière intensive et industrielle au 18 è, 19 è et 20 ème siècle vont connaître leur âge d'or de 1850 à Le progrès énergétique apporté par le charbon va généraliser dans les foyers le chauffage, alimenter les usines, et augmenter les besoins qui seront pourvus par les très nombreuses mines d'europe. La généralisation de l'électricité va faciliter cette exploitation, augmenter la production, puis remplacer le charbon lui même, alimenté par un nouveau combustible encore plus énergétique : le pétrole. Le début du 20 ème siècle verra s'éteindre une par une les exploitations minières devenues moins rentables, et devant produire encore plus pour survivre en épuisant leurs gisements. Les bassins houillers vont lentement perdre leur activité et les mines seront fermées. En Belgique, la décision de fermeture des mines de charbon fut prise en deux étapes, la première dans les années 1960, qui conduisit à l'arrêt des mines tandis qu'en 1986, le ministre des Finances déclarait que la fermeture des cinq derniers charbonnages du Limbourg ferait économiser beaucoup d'argent. Le charbon aujourd hui Le charbon est bien plus qu'un symbole du passé, il est encore une source énergétique importante à l heure actuelle.

15 La houille est surtout utilisée actuellement : dans les centrales thermiques utilisées pour la production d'électricité ou le chauffage urbain ; L utilisation du charbon dans ces centrales est très importante. Elles fournissent 40 % de la production mondiale d'électricité, la moitié aux États-Unis et en Allemagne. dans la sidérurgie, essentiellement pour la fabrication du coke utilisé dans les hauts-fourneaux; entre 600 et 700 kg de charbon sont nécessaires pour produire une tonne d'acier ; L'utilisation du charbon, notamment dans les centrales électriques, a fait et continue à faire des progrès énormes en matière de réduction des émissions de polluants tels que le soufre, les oxydes d'azote et les particules fines. En 2005 certains gisements ont été rachetés devant la pénurie annoncée du pétrole. Le prix du baril augmentant fortement, la ré-exploitation du charbon pourrait presque redevenir rentable... Cage

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