Revue hospitalière luxembourgeoise

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1 Revue hospitalière luxembourgeoise 26 Mars - Avril

2 Epargner pour les jeunes qui vous sont chers Compte d épargne bloqué jusqu à l âge de 18 ans Il n est jamais trop tôt pour penser à l avenir de vos enfants. Avec Fit4Future, vous constituez en toute aisance un capital de départ pour un mineur. L enfant sera le titulaire du compte d épargne, mais ce n est qu à sa majorité qu il pourra disposer des fonds. Renseignez-vous également sur les autres formules d épargne ou d assurance proposées par la BCEE pour constituer un capital pour l avenir d un enfant qui vous tient à cœur! Plus d infos sur ou dans votre agence. Banque et Caisse d'epargne de l'etat, Luxembourg, établissement public autonome, 1, Place de Metz, L-2954 Luxembourg, R.C.S. Luxembourg B tél. (+352)

3 Sommaire Editorial 1 Hospital Management in Times of Crisis 3 24 e Congrès de l AEDH, Luxembourg 5 CHL - Education & Research day 9 Présentation des résultats 11 de l étude Deloitte 2013 ZithaK - Centre de l appareil 13 locomoteur - rhumatologie CHL - Nouveau record 15 à la Maternité CHL - Neuro-navigation pour la 17 chirurgie ORL et cervico-faciale CHNP - SPAD - Des soins de qualité 19 pour une psychiatrie moderne CHL - un chèque remis 21 par la Fondation Jean Think CHEM - Vera Spautz, 23 nouvelle présidente du CA CHEM - le réseau vertige 25 HIS - Prix qualité MLQE 27 Luxembourg Transplant 31 Protransplant 32 Ministère de la Santé - Dons d organes 33 FFE/HK - Certification du centre 35 endoprothétique du Kirchberg ZGZ - Verschiedene 37 Entspannungsmethoden CHL - Programme REHAZENTER - Entreprise Socialement 41 Responsable CHL - Une grande étude 43 internationale TTM Ministère de la Santé - 45 la nouvelle loi anti-tabac CFPC Dr Robert WIDONG 47 sur le site Esch/Belval SFA Congrès Annuel, 48 Luxembourg du 4 au 6 décembre 2014 EVKD Kongress, 50 Berlin vom 10. bis 13. September 2014 ALEM a.s.b.l. - Communiqué de presse 51 La FHL soutient: 52 Mettez vos baskets pour ELA BBC-FHL, Résultats BASCOL, 53 saison Liste des membres de la FHL 54 Liste du personnel de la FHL 56 Editorial Comparaisons cosmologiques L année prochaine la Fédération des Hôpitaux Luxembourgeois (FHL/EHL) fêtera un demi-siècle d existence. Mais 50 ans, ce n est rien comparé à l histoire de l humanité et encore moins comparé à l histoire du cosmos qui est une longue saga d environ 13,7 milliards d années. Je me suis malgré tout amusé à comparer cette naissance à l instant Zéro de notre univers et à le projeter sur notre microcosme et son évolution dans le cours du temps. Dans l Univers tout commence avec Big Bang, cette «explosion primordiale» créatrice de l espace et du temps sans que l on sache s il y a eu un avant. Quoi qu il en soit, à un moment donné appelé le temps zéro, il y a le point de départ vers une inflation de complexité. Tout évolue très vite. Les particules se constituent et inter - agissent pour s organiser et structurer le monde qui devient peu à peu celui que nous connaissons aujourd hui. La gravitation crée les besoins et pousse vers un degré de structuration de plus en plus ordonné. Les astres naissent et meurent, créant à leur tour dans des pouponnières d étoiles des structures plus complexes avec des éléments nouveaux. C est le berceau de la création et de l innovation. On peut constater des parallèles avec l évolution de notre association qui fut créée en considération des besoins du secteur hospitalier en rapide évolution et expansion. Le besoin d une organisation nationale pour des choix plus coordonnés face à une société de plus en plus complexe alors que le progrès scientifique suivait une courbe exponentielle était un passage obligé. Et tout évolue de plus en plus vite. C est une course effrénée vers une arrivée sans fin. En cosmologie l inflation est soupçonnée de participer, en sous-main, à l expansion accélérée récente due à une mystérieuse énergie noire. Dans notre microcosme aussi de nombreux paramètres régissent notre devenir et nous ne les maîtrisons pas encore tous comme il se devrait. Nous devons apprendre à connaître et à utiliser les nouvelles lois qui gouvernent notre secteur. Mais l espace est aussi rempli de bien des dangers. Des collisions sont possibles et plutôt fréquentes. Ainsi par exemple, dans quatre milliards d années, notre Voie lactée entrera en collision avec Andromède. Heureusement, ce genre d événement ne constitue pas vraiment une catastrophe pour ces deux galaxies, bien au contraire. De cette fusion résultera une nouvelle galaxie bien plus grande avec toutes les potentialités liées à un regain d activité pour de nouveaux astres, les anciens astres restant dans leur très grande majorité indemnes de tout dommage. Dans le paysage hospitalier les fusions et regroupements sont aussi porteurs de progrès et permettent de mieux affronter l évolution constante des coûts et des contraintes économiques. Par contre, de réels dangers nous guettent. Des événements destructeurs peuvent annihiler des régions entières. Dans l univers, des étoiles géantes moribondes sont capables d émettre des sursauts gamma capables de supprimer toute vie dans la direction du jet de particules, ceci sur des années lumière de distance. Dans notre microcosme nous devrions à notre échelle être capables d anticiper des dangers liés à des protectionnismes exagérés risquant d avoir des effets destructeurs. Nous avons l avantage de pouvoir interagir pour construire des relations de confiance qui devraient nous en prémunir. Ainsi, des mutualisations permettront de consolider des services qui pourront évoluer sur une orbite stable plutôt que de tomber dans un trou noir super massif et sans fond. Nous serons alors aussi capables d être compétitifs face à de potentiels «aliens» débarquant du transfrontalier et nous saurons engager avec eux une collaboration fructueuse en bénéficiant de nos expériences et technologies réciproques. Mais revenons les pieds sur terre car il y a encore beaucoup de travail à réaliser ici-bas. Marc HASTERT Secrétaire Général de la FHL FHL-Info N o 26 - mars/avril

4 ACTAVIS VOTRE PARTENAIRE EN ONCOLYTIQUES Au cours des dernières années, Actavis a acquis une position solide dans le marché hospitalier. Divers hôpitaux utilisent notre assortiment sans cesse étoffé de produits tels que Vinorelbine, Gemcitabine, Paclitaxel et Docetaxel. En tant que spécialiste des formes d administration par voie intraveineuse, nous offrons un large éventail de médicaments oncologiques de haute qualité. Notre priorité est la qualité et la sécurité. Par exemple, le VialShield, qui entoure les cytostatiques, réduit le risque de rupture et protège vos collaborateurs contre les déchets cytotoxiques. Fort de son vaste éventail de médicaments oncologiques et autres, Actavis met à votre service son statut de partenaire fiable. Un partenaire à l écoute de vos besoins et de vos souhaits, qui collabore avec vous dans le but d optimiser les soins de vos patients. Si vous avez des souhaits spécifiques, n hésitez pas à nous contacter à l adresse info@actavis.lu

5 Hospital Management in Times of Crisis November Constraints, Challenges and Opportunities Attended by over 450 delegates from 18 different countries, the 24th EAHM congress was a resounding success packed with top quality speakers, inspiring roundtable discussions and a lively social programme. The two day congress was split into three sessions: Strategic Guidelines in Crisis, Business Process Re-Engineering and New Buildings, New Logistics, New Technologies. Topics ranged from change management to value-creating partnerships; from laboratory management to innovative hospital architecture. Although speaking about their experiences from all over Europe, most of the congress speakers highlighted the same issues and challenges and time and time again they stressed the importance of the patient. Technological Evolution, Economic Crisis and Hospital Management of the Future Keynote speaker, Joel de Rosnay - Molecular Biologist, Science writer, President of Biotics International and Futurist, really set the tone for the congress highlighting the world of possibilities that new tech nology is bringing to healthcare. His speech focused on the hospital of the future and he wowed delegates with exciting new technologies such as electronic tattoos, intelligent medicine and 3D printers. De Rosnay believes that technologies are changing hospitals. We must go digital and be prepared to be more dynamic (e.g. using social networks to interact with patients). For future success doctors should be educated in management. He believes there are three conflicting logics in the hospital: administration, medical and care professionals and that co-education is key. In order to better manage in times of crisis, de Rosnay recommends changing our rigid system to a more fluid system. Information exchange is key, as is keeping it human and encouraging social links. Hospitals should embrace innovative systems and become transversal as opposed to pyramid/vertical. Finally he emphasised that problems should be solved together. Strategic Guidelines in Crisis The first session focused on strategic guidelines in crisis with interesting presentations from the UK, Germany, Luxembourg and Switzerland. Andrew McCormick, Permanent Secretary for Health in Northern Ireland spoke about the transformation of care in Northern Ireland. He emphasised the importance of having a clear, strategic view on how to enable and promote change. In Northern Ireland they have developed roadmaps for doctors and recognise the need for innovative tools and practices in healthcare. Process changes must be supported and most of all, changes must be centred on individuals. McCormick stressed the importance of European collaboration, citing e- health as an enabler for change and the EU Connected Health Alliance as good examples of such collaboration. Moving across the Irish Sea, Peter Lachmann, Deputy Medical Director of Great Ormond Street Hospital focused on leadership and management in times of crisis and discussed how the system could change to better reflect the needs of the patients as well as to cope with the current economic situation. A medical doctor himself, Lachmann explained that doctors are taught to ask for more; more tests, more technologies etc. The question is whether we actually have to spend more. Lachmann stressed that costs cannot be cut without reordering priorities. He believes that it is possible to take money out of the system and still make it better. But it is up to us, managers and practitioners, to decide. Real change should come from the bottom up and ideally there should be a large system-wide transformation. His key methods are distributive leadership, real data in real time, honour the work of the frontline, physicians as partners and involved patients. His six steps for successful change are: 1. Change the clinical paradigm; 2. Reduce variation as the main problem; 3. Address flow to improve safety; 4. Decrease per capita cost growth in spending; 5. Measure differently; and 6. Introduce value as the aim of management. Irmaut Gurkan, Head of Administration of Heidelberg University Hospital gave the university hospital perspective. Describing the situation in Germany, she highlighted the fact that there is a lot of competition in Germany, with too many beds and too many hospitals. Like the speakers before her, she believes that a change in culture is needed with new strategies and objectives. However, she went on to suggest that hospitals should behave more like companies while remaining ethical and committed to quality care provision. In order to grow, hospitals must be willing to create new networks. Advances in medical care need a balanced budget so that profit can be invested into new technologies. Her strategy for the future is reorganisation and increased cooperation with others. We can start new companies FHL-Info N o 26 - mars/avril

6 for innovation to achieve our clinical objectives and also secure our market share. She concluded emphasising that size is not important, but the speed of our response and that we must go back to our core businessquality patient care. Simon Scrivens, Managing Director of Healthcare at Sodexo spoke about partnerships to create value. For him, partnerships have to be based on mutuality; all parties must be on board in order to make it work. For Scrivens, risk in healthcare must be managed by the organisations best placed to manage it. Core competences are used less in healthcare than other parts of the economy; we have to realise that sometimes, outside organisations are better placed to deliver a particular service. His top tips for these valuecreating partnerships include thinking strategically, and focusing on the long term, not just short term fixes. Communication between partners is essential at all stages of the process as is transparency. No congress dealing with management in times of crisis would be complete without a contribution from the finance industry. Yves Nosbusch, Chief Economist at BGL BNP Paribas gave us the insider knowledge on the macro-economic outlook and the implications for financing and investment. He was positive in his assessment, pointing to growth but also warned of the risk of falling back into recession. Eric de Roodenbeke rounded off the first day of the congress with an exciting presentation on the joint project for an international competency framework for healthcare managers. This global project aims to strengthen health management as a profession and is something that the EAHM have been heavily involved with. Business Process Re-Engineering The second day of the congress focused on practicalities with presenters talking about how they have improved processes within their hospitals. First up was Dr Jens Peukert and Dr Utiger who talked about their partnership involving a private hospital and a consultancy. The reasons behind such a partnership lie in the private hospital patients demand for the best care with top of the range technologies. Innovation was needed to reduce costs so together they analysed the data and used simulations to improve processes within the hospital. Dr Katarzyna Mazur-Hofsäss, President of EMEA Reconstructive at Zimmer continued the idea of value creating relationships with her presentation, Medtech companies: Suppliers or Partners? She described the current paradox that it is good for the economy if the population spend more money on homemade cars and junk food but a crisis if we spend more on healthcare. Medtech companies are changing their business models to address current market challenges. Operational excellence in manufacturing, supply chain and sales execution is a key goal as is the need to adjust to growing demand for economic outcome data. Companies must eliminate non-value adding activities and cost centres and shift from selling products to selling services. This is a two way process: hospitals don t want to pay for company inefficiency but similarly, companies don t want to pay for hospital inefficiency either. Moving to the laboratory, Friday morning s session featured two presentations that focused on laboratory management. Mads Nybo from Odense University Hospital in Denmark showed delegates some practical examples of lab optimisation. He emphasised that the lab reflects the hospital in terms of work load, increased demand and economy. Labs are under pressure with an increasing number of samples, increasing demands to the test menu, increasing demands on turnaround time and increasing quality demands. He argued that the laboratory is not the department in which to cut costs but to invest as increased lab efficiency equates to increased hospital efficiency. Opportunities lie in IT and new technologies and point of care testing. Florian Kainzinger, CEO of Labor Berlin also stressed the importance of the lab. There is more to laboratory than test tubes, with patient data being a key feature of the department. Labs are integral to patient diagnosis and treatment and cannot be taken out of the patient record. For this reason he believes traditional outsourcing is not sufficient. The solution in Berlin was to create Labor Berlin, a company that combines the entire medical laboratory supply of the two hospital groups in Berlin. This equates to supplying over 10,000 hospital beds. Rounding off the session on business process re-engineering, Prof. Peter Gausmann gave an overview of clinical risk management and the insurance industry. Our patients demand safety in diagnosis, treatment and care and clinical risk management ensures this is successfully delivered. A triad of insurance, claims and risk management suffices to cope with the outlined requirements. Networking these three elements creates a sustainable and effective safety concept. New Buildings, New Logistics, New Technologies The final session of the congressed focused on New Buildings, New Logistics, New Technologies. Keith Hamer from congress partner Sodexo spoke about business continuity in healthcare institutions and presented his case for asset lifecycle and maintenance services. For Hamer, the three essential elements for business continuity are people, processes and infrastructure/equipment and hospitals must take care to balance costs with performance and risk. Rafael Sala López told delegates about the innovative Spanish Marina Salud Hospital. 99.9% digital, the hospital uses state of the art technology and was designed to transmit a peaceful sensation to its patients. Creating a culture of impact assessments at Marina Salud ensures that the hospital focuses on its core value. The last two speakers of the day energised the crowd with their innovative ideas. Dr Helen Bevan, Chief of Service Transformation, NHS Institute for Innovation and Improvements spoke about the need for transfor- 4 FHL-Info N o 26 - mars/avril 2014

7 mational change in our hospitals and offered some interesting methods. Most large-scale change initiatives fail to meet their objectives and so she believes big change must come from a different perspective and it must be high energy change. Bevan introduced delegates to Change Day, which will take place on 03/03/14 and urged everyone to use the day to start a process for meaningful change in their hospitals, involving all level of staff. Henny van Laarhoven, Director of Orbis Gruppe presented the Orbis Medisch Centrum, Sittard (NL) an innovatively designed hospital that puts patients at the centre- treating them as guests. Thanks to careful planning from the start, a high quality of care and maximum efficiency are not mutually exclusive concepts at the OMC. Innovation can also be seen behind the scenes where managers are not allocated their own offices, freeing up more time to interact with colleagues and keep an eye on processes how and when they happen. Conclusion Each session ended with a roundtable discussion, which gave delegates the opportunity to actively participate in the congress and many lively debates were had on the topics of Financial Crisis and Efficient Communication, Manage the Change Change the Management, and Steering Innovation. These discussions continued during the networking sessions, with delegates sharing their experiences and learning from each other. The 24th Congress of the EAHM certainly fulfilled its mandate of educating delegates on hospital manage ment in times of crisis. Organised at short notice due to the effects of the financial crisis on our Greek colleagues, the event itself is a testament to European solidarity, to facing challenges head on and achieving quality results. EAHM President Heinz Kölking closed the congress with the exciting news that IMPO, the new working model for the EAHM, has been formally accepted by the Board and Executive Committee in the Luxembourg Declaration. Lee CAMPBELL Managing Editor (E)Hospital Appears in (E)Hospital Volume 16 Issue 1/2014 Impressions du 24 e Congrès de l Association Européenne des Directeurs d Hôpitaux du 27 au 29 novembre 2013 à Luxembourg November le 27 novembre 2013 Visites des établissements Rehazenter, Centre National de Radiothérapie François Baclesse et Centre National de Chirurgie cardiaque et de cardiologie interventionnelle l INCCI Le Dîner des Présidents avec les sponsors à la Table du Belvédère FHL-Info N o 26 - mars/avril

8 L Assemblée Générale de l Association Européenne des Directeurs d Hôpitaux le 28 novembre 2013 au matin au NCCK Séance solennelle d ouverture du congrès le 28 novembre 2013 M. Xavier Bettel, Bourgmestre de la Ville de Luxembourg M. Paul Junck, Président de la FHL et M. Heinz Kölking, Président de l AEDH Interlude musicale «Duo Orphée» Madame Nathalie Reuter, modératrice du congrès Discours de Monsieur Mars Di Bartolomeo, Ministre de la Santé et de la Sécurité sociale Notre Keynote Speaker, M. Joël de Rosnay PhD, qui a su captiver l auditoire Session 1 Orientations stratégiques en temps de crise Nos remerciements très chaleureux aux sponsors pour leur soutien financier et moral! Le vaste forum fut un lieu de networking hautement apprécié par les exposants - sponsors et tous les participants M. Simon Scrivens, Directeur «Healthcare» de Sodexo (GB) Mme Irmtraut Gürkan, directrice administrative de l Hôpital universitaire à Heidelberg (D) Dr Peter Lachman, directeur médical de l Hôpital Great Ormond Street (GB) Dr Andrew McCormick, Secrétaire permanent du Département de la Santé des Services Sociaux et de Sécurité Publique d Irlande du Nord 6 FHL-Info N o 26 - mars/avril 2014

9 Table ronde: «Communication efficace en temps de crise financière» Dr Yves Nosbusch PhD, Economiste en chef auprès de la BGL BNP Paribas (L) M. Eric De Roodenbeke PhD, CEO de la FIH/ IHF (CH) et M. Pascal Garel, CEO de HOPE Participants: Prof. Dr Jaroslaw J. Fedoroswki (PL), Mme Marie-Lise Lair-Hillion (F), M. Frédéric Boiron (F), Dr med. Helmut Isringhaus (D) Modération: Mme Joëlle Merges, journaliste La réception «Welcome drink» dans la grande salle au Cercle Cité, le 28 novembre 2013 Suite du Congrès avec la session 2, le 29 novembre 2013 au NCCK Accompagné par Saxitude (saxophone quartet) Dr Jens Peukert, CEO de Lohfert&Lohfert AG (D) Dr Dominik Utiger, CEO de la Hirslanden Klinik St. Anna AG, Lucerne (CH) Dr Katarzyna Mazur-Hofsäss, Présidente de Zimmer EMEA (CH) M. Mads Nybo PhD, de l Université d Odense (DK) Table ronde: «Gestion du changement Changement de gestion» M. Florian Kainzinger PhD, CEO du Labor Berlin (D) Prof. Dr Peter Gausmann, Directeur d Ecclesia (D) Participants: Mme Mathilde Vigneron (F), Dr Jean-Marie Lançon (F), M. Pedro Morais (P), M. Jean-Philippe Bouriaud (F) Modérateur: M. Peter Feist, journaliste M. Keith Hamer, Group VP Engineering and Asset Management, Sodexo (GB) Dr Rafael Sala López, Directeur médical de l Hôpital de Denia (E) FHL-Info N o 26 - mars/avril

10 «Awards Ceremony» 1 er prix Poster Session, CHL-Luxembourg 2 e prix Poster Session, Labor Berlin Services GmbH & Unfallkrankenhaus Berlin Table ronde: «La conduite de l innovation» Dr Helen Bevan, Chief of Service Transformation, NHS (GB) Mme Henny van Laarhoven, Directrice/ consultante, Orbis Group (NL) La soirée de Gala au Chapito du Casino 2000 à Mondorf-les-Bains le 29 novembre 2013 Participants: M. Dominique Legouge (F), Dr Jouko Isolauri (FIN), Prof. Dr Mieczyslaw Pasowicz (PL), Mme Marta Temido (P) Modérateur: M. Marc Gerges, journaliste M. Heinz Kölking, Président de l AEDH présente le nouveau modèle de travail IMPO adopté par l AEDH - Déclaration de Luxembourg Les conclusions de deux journées très riches en débats par Prof. Dr Hans-Joachim Schubert, Directeur Général du CHdN, Président du Comité Scientifique du Congrès Une publication de toutes les photos est désormais accessible: ou sur le site de l AEDH Photos: Alsal Photography Alfonso Salgueiro Lora Gabriele Kirchner, VKD Christian Marolt, 2013 (E)Hospital 8 FHL-Info N o 26 - mars/avril 2014

11 EDUCATION & RESEARCH DAY MARDI 29 AVRIL 2014 I Amphithéâtre CHL 08h30 ACCUEIL - CAFÉ 09h00 Allocution d introduction M. Paul MOUSEL, Président de la Commission Administrative du CHL «La recherche et l enseignement au CHL» Allocution Dr Romain NATI, Directeur général du CHL M. Claude MEISCH, Ministre de l Enseignement supérieur et de la Recherche 10h00 Présentations scientifiques (3x15 ) 10h45 PAUSE CAFÉ 11h15 Présentation des travaux scientifiques primés: Dr Catherine BOISANTE, Directeur médical du CHL CHL Junior Scientific Excellence Award 2012/2013 CHL Senior Science Award - Translational Research 2012/2013 CHL Senior Science Award - Clinical Research 2012/ h15 «La recherche translationnelle au Luxembourg» Prof. Eric TSCHIRHART, Université du Luxembourg 12h45 13h45 LUNCH Suite - Présentations scientifiques Veuillez confirmer votre présence au plus tard le 19 avril 2014 sur notre site Internet:

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13 Présentation des résultats de l étude Deloitte 2013 Les principaux résultats de l étude 2013 sur les perceptions et attentes des consommateurs de soins de santé au Luxembourg ont été présentés lors de la 3 e conférence annuelle de Deloitte qui s est tenue le 22 janvier en présence de 80 professionnels et experts du marché luxembourgeois. Cet évènement, réalisé en collaboration avec la Fédération des Hôpitaux Luxembourgeois (FHL), a été successivement présidé par Lydia MUTSCH, Ministre de la santé et de l égalité de chances, suivie de Luc BRUCHER, Associé Deloitte et Leader Healthcare & Life Sciences, puis Paul JUNCK, Président de la FHL. Les principales conclusions de l étude ont mis en lumière quatre points-clé: - Une vision plus nuancée de la per formance du système de santé luxembourgeois par les consommateurs de soins (86% des répondants jugent le système performant contre 96% en 2011). - De nombreuses pistes proposées par les répondants pour améliorer le système, parmi lesquelles plus d informations et davantage de transparence sur la qualité et les coûts des soins, une réduction des délais d attente, la mise en place du dossier de soins partagé (DSP), la promotion des mesures de prévention et une meilleure reconnaissance de la médecine préventive ou alternative. - Des patients de plus en plus enclins à se déplacer hors du Luxembourg pour se faire soigner (38% en 2013 contre 31% en 2011) si cela leur permet de bénéficier de la disponibilité de médecins et d hôpitaux capables de leur offrir un traitement spécifique et ciblé. - Le recours aux nouvelles technologies qui est bien accepté par les consommateurs de soins (dont l introduction du DSP pour plus de 80% des répondants). Ces derniers semblent disposés à utiliser la technologie pour des questions touchant à leur santé ou dans le cadre d interactions avec leurs partenaires médicaux. Toutefois, les consultations en ligne demeurent relativement mal perçues (pour 50% des personnes interrogées) tandis que la question de la sécurité des données préoccupe encore davantage les consommateurs de soins en 2013 (en moyenne 60 % des répondants). Outre la présentation des résultats de l étude, cette conférence s est également structurée autour de 2 tables rondes pendant lesquelles les thématiques suivantes ont été débattues: 1 ère table ronde: La dématérialisation du suivi du patient et la mise en place du DSP, avec une emphase sur les éléments suivants: - La nécessité que les professionnels de santé s approprient le DSP et l envisagent comme un outil à valeur ajoutée, qui leur permettra d une part un gain de temps et d autre part d accéder plus facilement aux informations de santé des patients pour mieux les soigner et les suivre. - Le DSP doit permettre une meilleure efficacité et une optimisa- FHL-Info N o 26 - mars/avril

14 tion du suivi du parcours de soins du patient tout en assurant la confidentialité de ses données de santé personnelles et le respect de sa vie privée. - L investissement (hors fonctionnement de l équipe de l agence esanté) pour la mise en œuvre du DSP est inférieur à 9 par DSP, malgré la faible masse critique du Luxembourg. Ce faible coût est possible du fait de l adaptation optimale de solutions existantes dans d autre pays au contexte luxembourgeois, en prenant comme hypothèse de travail la base des assurés CNS de citoyens. 2 e table ronde: La gouvernance de l hôpital de demain, qui a fait ressortir les points suivants: - Le nouveau programme gouvernemental traduit clairement la volonté de garantir la performance future du système de santé par la mise en place d une véritable «colonne vertébrale» de gouvernance, permettant de clarifier les niveaux de services et de responsabilités entre hôpitaux pour une meilleure collaboration. - Il est nécessaire que les établissements hospitaliers qui ont des inté rêts comparables mènent un dialogue dans un climat de confiance autour de la question «que pouvons-nous faire ensemble?» dans l intérêt du patient. - La gouvernance de l hôpital de demain doit passer par deux lignes d organisation: une hiérarchie ver ti cale, qui doit permettre de garder un certain contrôle sur ce que les personnes font afin d assurer une qualité irréprochable des soins et prestations médicales; et une ligne horizontale qui devrait être le résultat d un accord concerté entre les médecins sur «qui fait ou ne fait plus quoi». «Comme clairement confirmé lors de notre conférence, le nouveau programme gouvernemental prévoit de nombreux projets en matière de santé, tous destinés à faire évoluer le système pour garantir sa viabilité sur le long terme. On peut dès lors s interroger sur les priorités qui seront établies dans la mise en œuvre de ces «chantiers» et selon quels critères: impacts financiers, valeur ajoutée pour le patient, facilité de déploiement, degré d acceptation par les acteurs? Réussir à faire évoluer le système dépendra surtout de la disposition des acteurs du secteur à mener à bien des discussions ouvertes et à prendre des décisions avant tout dans l intérêt du patient.» conclut Luc Brucher, Associé Deloitte et Leader Healthcare & Life Sciences. Vous pourrez également accéder aux résultats complets de l étude menée par Deloitte en 2013 sous: 12 FHL-Info N o 26 - mars/avril 2014

15 Centre de l appareil locomoteur - Rhumatologie: Approche holistique et multidisciplinaire Depuis 2008, la ZithaKlinik a initié un projet clinique innovant ciblé sur la population de patients atteints de rhumatismes inflammatoires, notamment la polyarthrite (PR) et la spondylarthrite (SPA). La PR est la maladie inflammatoire articulaire la plus fréquente (0,5% de la population luxembourgeoise est atteinte) et on peut estimer à 1% les personnes atteintes de rhumatisme inflammatoire en général. Généralement la population pense que la PR est une maladie «des personnes âgées», mais elle peut apparaître même en bas âge dû à son caractère inflammatoire et non dégénératif. Elle se traduit par des douleurs, des gonflements et des raideurs de plusieurs articulations, touchant préférentiellement les mains et les pieds. Cette maladie chronique diminue considérablement la qualité de vie des personnes atteintes allant parfois jusqu à une invalidité. La panoplie thérapeutique a beaucoup évolué ces dernières années. Nous disposons actuellement de médicaments sophistiqués très efficaces sur le plan clinique qui impliquent malheureusement un coût important à tous les niveaux. La prise en charge du patient est assurée par une équipe multidisciplinaire. Le Dr Marco Hirsch, le Dr Rafak Triki et une infirmière proposent depuis les débuts du Centre de l appareil locomoteur - Rhumatologie, une approche thérapeutique holistique. Avec la création d un poste d infirmière spécialisée en rhumatologie, la prise en charge des patients rhumatologiques a évolué davantage à la ZithaKlinik. Leur sont proposés non seulement un traitement mais aussi un suivi régulier de leur pathologie, une écoute, des enseignements - donc L équipe multidisciplinaire ETP-PR (de gauche à droite): Pascal Mischo (accompagnement psychologique), Léa Schaeffer (ergothérapeute), Raluca Marinescu (infirmière coordinatrice en rhumatologie), Tamara Olten (diététicienne). Dr Marco Hirsch (rhumatologue) et Anne-Marie Scholtes (podologue) ne figurent pas sur la photo. une approche humaniste. Etre soucieux de la qualité de vie des patients n est pas chose facile dans un contexte économique de plus en plus difficile. Idéalisme et prise en charge différente des patients, voilà les mots clés du Centre de l appareil locomoteur - Rhumatologie. Les axes principaux du projet clinique sont: Le suivi régulier des patients: les patients sont hospitalisés dans le service ambulatoire pour traitement immunomodulateur ou pour bilan de leur rhumatisme inflammatoire par leur médecin responsable et par l infirmière coordinatrice. Grâce à une implémentation d un dossier électronique, le suivi des patients a pu être optimisé. Médecins, soignants et tout membre du groupe multidisciplinaire encodent les données liées à la prise en charge des pathologies inflammatoires. L évolution de la maladie peut être suivie de façon plus précise, la qualité fonctionnelle et la qualité de vie des patients peuvent être appréciées plus facilement. Lors des consultations régulières, l échange et la compréhension du contexte psychosocial du patient nous permettent de mieux FHL-Info N o 26 - mars/avril

16 cibler et répondre aux besoins spécifiques des patients. La participation aux études cliniques en rhumatologie: l infirmière coordinatrice examine et suit les patients pendant le traitement médicamenteux. Tous les suivis administratifs et l enregistrement des données sont encodés dans des bases de données. Sur base de ces données, des études cliniques sont réalisées. L avantage de cet impact scientifique est la personnalisation du suivi des données dans un cadre normé sur base de règles bien définies et comparables (consentement éclairé, espace privilégié au bureau de l infirmière coordinatrice, possibilité de contact en cas de besoin). Les séances d éducation thérapeu tique pour les patients atteints de polyarthrite: c est une nouvelle forme de prise en charge du patient et de sa pathologie, qui permet de placer le patient au centre du processus d autogestion de sa maladie. L objectif des séances est l acquisition des connaissances sur la maladie mais aussi une prise de conscience du patient de devoir adapter sa situation journalière aux contraintes de la maladie et dans la vie sociale. Ces séances d éducation sont animées par une équipe multidisciplinaire: médecin, infirmière, ergothérapeute, podologue, diététicienne et psychothérapeute. Nous proposons 5 modules dans lesquels sont abordés les questions physiopathologiques, la protection articulaire, l équilibre et les préjugés alimentaires, ainsi que les freins concernant une aide psychologique. Le dernier module est un atelier pratique. Le programme a été conçu ensemble avec des patients atteints de rhumatismes inflammatoires qui ont été interviewés pour mieux cibler leurs besoins et leurs attentes quant à leur maladie. Depuis la date de lancement du projet d éducation thérapeutique - polyarthrite (ETP- PR) en 2010, plusieurs groupes de patients ont pu bénéficier de cette nouvelle prise en charge. Jusqu à ce jour l expérience est positive, les réponses aux questionnaires de satisfaction complétés par les participants à la fin des 5 modules montrent une satisfaction de % de réponses aux questions. En 2011, l équipe multidisciplinaire en charge de ce programme a été primée par la Fondation Roi Baudouin et la Société Royale Belge de Rhumatologie. D autres activités et réalisations démontrent la richesse des possibilités qu offre le métier d infirmière en rhumatologie: organisation de conférences et workshops destinés aux patients atteints de rhumatismes inflammatoires, intense collaboration avec l Association Luxembourgeoise de Polyarthrite, organisation de la séance dédiée aux paramédicaux lors du Congrès Belge de Rhumatologie (septembre 2010, 2012), publication de posters, participation à des réunions avec d autres infirmières de centres universitaires réputés en rhumatologie en vue d améliorer la qualité de vie des patients touchés par les rhumatismes inflammatoires, actualiser les connaissances, échange d expériences et création de supports écrits pour les infirmières qui travaillent en rhumatologie. Dr Marco HIRSCH Raluca MARINESCU Témoignage de Simone (patiente) «Souffrant depuis l âge de 18 ans de polyarthrite rhumatoïde (PR), j ai récemment participé au 1 er cycle de séances thérapeutiques proposées par la ZithaKlinik. Invitée pour tester le concept, j avoue que j y ai participé par curiosité sans vraiment croire y apprendre quelque chose de nouveau concernant cette maladie qui m accompagne maintenant depuis plus de 24 ans. Et bien j ai eu preuve du contraire dès le premier module. Dans le cadre d une petite équipe sympa de cobayes le «questions-réponses» avec le médecin regorgeait d informations nouvelles et d explications qui parfois me laissaient perplexe. J ai appris que chacun d entre nous avait une autre médication, adaptée à ses besoins personnels. L échange des vécus avec les autres participants était tellement intéressant que le temps est passé beaucoup trop vite, hélas. Et ce fut ainsi pour tous les modules suivants. Je comprends maintenant l impact et l importance de la collecte des données par l infirmière coordinatrice concernant tout ce qui a attrait à notre maladie. En effet, à chaque hospitalisation au service ambulatoire, mensuelle pour ma part, on n échappe pas à Mme Marinescu et à son petit questionnaire qui permet d évaluer l activité de la maladie et à long terme d en suivre l évolution. Grâce à sa gentillesse et à sa capacité d écoute, j avoue que j attends toujours avec plaisir ce petit moment de «distraction». Accueil chaleureux et humain, elle s organise toujours de façon à prendre le temps nécessaire et ses mots d encouragement en période de poussée font beaucoup de bien. J aimerais saisir l occasion pour remercier tous ceux qui participent au Centre de l appareil locomoteur d avoir pris connaissance des besoins réels des patients souffrant de PR et SPA et surtout d avoir eu le courage de lancer ce projet innovant qui permettra, j en suis convaincue, de soutenir grâce à l équipe multidisciplinaire mise à la disposition du patient et de son entourage, l acceptation et la gestion de cette pathologie qui touche tous les domaines de notre vie quotidienne. J ose même espérer que ce projet puisse aboutir à une meilleure compréhension de la part de notre société et à la sensibiliser. C est souvent le regard des autres qui fait encore plus mal que les souffrances physiques.» 14 FHL-Info N o 26 - mars/avril 2014

17 Nouveau record à la Maternité G.-D. Charlotte du CHL avec 2011 accouchements enregistrées en 2013 Pour la première fois de son histoire, la Maternité G.-D. Charlotte du CHL a dépassé le cap des 2000 accouchements en un an. De plus en plus de patientes font ainsi confiance à notre structure pour le suivi de leur grossesse et la prise en charge de leur accouchement (+13% en 5 ans). La Maternité G.-D. Charlotte propose une offre de soins globale et complète: les consultations de gynécologie médicale et chirurgicale, le suivi des grossesses, l accueil des urgences gynéco-obstétricales 24h/24, la prise en charge diagnostique et thérapeutique du couple stérile au Service National de Procréation Médicalement Assistée (PMA) et son laboratoire de fécondation in vitro (FIV). Cette offre s appuie sur une équipe multidisciplinaire spécialisée. Depuis 2000, la Maternité est labellisée Hôpital Ami des Bébés et depuis 2010 Hôpital Ami des Mères. Ces labels répondent à un cahier des charges très complet et sont la reconnaissance d une haute qualité de prise en charge des mamans et de leur bébé. L accompagnement des grossesses à risque (moyen et haut risque) est l une des spécificités de la Maternité, en dehors du suivi des grossesses normales. De nombreuses patientes sont envoyées par leur gynécologue traitant de toutes les maternités du pays, pour une prise en charge de problèmes rares ou complexes. La Maternité possède la seule unité de soins MIC (Maternal Intensive Care) du pays. Toutes les futures mamans dont la grossesse présente un problème peuvent être accueillies dans cette unité, à proximité directe de la salle d accouchement, où les compétences et moyens nécessaires pour traiter les pathologies les plus graves sont concentrés. La disponibilité et la proximité immédiate du Service National de Néonatalogie de la KannerKlinik offre une grande sécurité, en cas de problème pour le bébé. La présence permanente d un pédiatre hautement qualifié permet de donner 24h/24 les meilleurs soins au nouveau-né, qu il soit né à la date attendue ou qu il soit grand prématuré. Un nombre important des accouchées viennent de la Grande Région (Moselle - Luxembourg belge et Région de Trèves). Beaucoup de femmes sont frontalières (leur conjoint ou elles-mêmes travaillent au Luxembourg), d autres sont transférées pour bénéficier des expertises et structures de notre Maternité. Nadine KOHNER Chargée de la communication Vers la création du futur Centre Mère-Enfant 2014 sera la dernière année complète de fonctionnement dans les bâtiments actuels de la Maternité. Le futur Centre Mère-Enfant, qui ouvrira ses portes en 2015, va permettre de concrétiser architecturalement et conceptuellement tout le travail commun de prise en charge des nouveaux-nés et de leurs mères, des enfants et des futures mamans. Grâce aux installations de pointe et à l expertise de ses spécialistes, le futur Centre Mère- Enfant proposera une prise en charge innovatrice et interdisciplinaire: - Accompagnement des familles dans le parcours de grossesse difficile: intensive care, préservation de la dynamique familiale et prévention de l isolement. - Aide à la parentalité: favoriser le lien mère enfant, augmenter la participation des parents aux soins. - Soutien des parents dans leur fonction parentale et dans les difficultés qu ils pourraient rencontrer. - Soins de maternologie en cas de souffrance psychique maternelle en lien avec la naissance de bébé. - Engagement pour le soutien des familles en deuil périnatal. - Matériaux écologiques. - Gestion intelligente de l énergie. - Abandon du dossier papier pour une informatisation complète des différentes étapes de la prise en charge des patients. FHL-Info N o 26 - mars/avril

18 PARLONS DE VOUS BGL BNP PARIBAS S.A. (50, avenue J.F. Kennedy, L-2951 Luxembourg, R.C.S. Luxembourg : B 6481) Communication Marketing Mars 2013 C est quoi un compte courant à la carte? RÉPONDONS À VOS ATTENTES VOUS POUVEZ COMPTER SUR LA SEULE BANQUE LUXEMBOURGEOISE QUI VOUS FAIT BÉNÉFICIER D UNE EXPERTISE INTERNATIONALE. bgl.lu

19 Neuro-navigation pour la chirurgie Orl et cervico-faciale au CHL Le CHL dispose désormais d un système de neuro-navigation pour la chirurgie ORL et cervico-faciale. Cet appareil permet de visualiser sur un écran, dans les trois plans de l espace, en temps réel pendant les opérations, la position des instruments à l intérieur des différents espaces intra-crâniens. Les champs d applications con cern ent principalement la chirurgie des sinus, de l oreille et de la base du crâne. Le chirurgien aidé de la vidéo-assistance et de la neuro-navigation va sécuriser son geste dans des espaces intra-crâniens réduits au millimètre près, proches des structures nobles tels que les yeux, le cerveau ainsi que des structures vasculaires et nerveuses qui doivent être identifiées et respectées. Dr Jérôme Keghian, médecin spécialiste en ORL au CHL souligne: «Ce système de neuro-navigation est très utile car il apporte un surcroît de sécurité. Il accentue la précision anatomique car il permet, d une part, d établir des repères bien identifiés, par l utili- sation peropératoire du scanner, et, d autre part, d exploiter les corrélations entre ces repères et les images prises en temps réel grâce aux caméras endoscopiques qui équipent le système». Nadine KOHNER Chargée de communication Intelligent Energy Contracting LuxEnergie propose des solutions énergétiques clés en main avec un souci d efficience économique et écologique. Doté de compétences notamment en cogénération classique et biomasse, l Energy Contracting garantit une sécurité d approvisionnement sans risques techniques et financiers, aussi bien pour la fourniture de chaleur, de froid, de courant de secours, d air comprimé et/ou de vapeur. LuxEnergie est une expertise luxembourgeoise fiable, responsable et à votre écoute. LuxEnErgIE S.A. 23, avenue John F. Kennedy L-1855 Luxembourg T info@luxenergie.lu Centrale de froid à Strassen Un savoir-faire au service des patients, à l hôpital comme à leur domicile AIR LIQUIDE Medical succursale LUXEMBOURG Bureaux: zoning industriel du PED - B.P. 4 L-4801 RODANGE tél.: fax: LE_AD_Image_85x130.indd 1 3/18/13 11:59 AM FHL-Info N o 26 - mars/avril

20 «Lëtzebuergesch mat menge Patienten ze schwätzen ass fir mech natierlech» La loi du 26 mars 1992 stipule que toute personne exerçant une profession de santé est tenue d'acquérir les connaissances linguistiques nécessaires à l'exercice de son activité professionnelle. déjà aujourd hui, les plus grands hôpitaux du Luxembourg nous font confiance pour la formation linguistique de leur personnel. organisme de formation professionnelle continue agréé

21 Des soins de qualité pour une psychiatrie moderne Le service des soins psychiatriques à domicile (SPAD) a reçu en novembre dernier le «Prix Luxembourgeois de la Qualité et de l Excellence 2013» (PLQE). Cette récompense est l aboutissement du travail, de l investissement et du dynamisme de toute une équipe. L équipe du SPAD lors de la remise du PLQE en novembre Le SPAD fait partie des services de la Rehaklinik qui incarnent au mieux la décentralisation de la psychiatrie entamée dans le courant des années 90. Notre service ambulatoire est jeune puisqu il a ouvert ses portes en février 2001, donc il y a un peu plus d une dizaine d années. Il a cependant connu et connaît aujourd hui encore, une croissance remarquable vu l augmentation des demandes de suivis et du nombre de collaborateurs engagés pour pouvoir y répondre. Preuve en est que la psychiatrie évolue. Le concept des soins psychiatriques à domicile est aisé à comprendre: accompagner la personne qui souffre d un trouble psychiatrique dans son environnement personnel. Cette démarche permet d engager une réhabilitation au plus proche de la personne et ce dans le contexte de sa vie quotidienne. La notion de soins psychiatriques à domicile a beau paraître évidente, elle ne remet pas pour autant en question la prise en charge hospitalière. Il arrive de façon plus ou moins fréquente que l état psychique d une personne qui souffre d une pathologie psychiatrique se détériore à tel point que seul un encadrement intensif ne peut lui venir en aide. On comprend dès lors aisément que le travail de collaboration que nous entretenons avec les hôpitaux est pour nous d une importance capitale. Pour répondre aux nouveaux besoins d une organisation grandissante, mais aussi pour répondre du mieux possible aux attentes des patients, notre service a investi depuis 2009 des ressources non négligeables dans le management de la qualité avec pour principale mission d améliorer continuellement la qualité des soins prodigués aux patients. Qu entend-on dès lors par qualité des soins? On retrouve cette no- tion récente dans la loi luxembourgeoise. Cette dernière mentionne que tout patient doit avoir accès à des soins de santé et elle précise que ces soins doivent être de la même «qualité» pour tous. Le célèbre médecin arménien Avedis Donabedian est l un des premiers à avoir proposé au début des années 80 une définition de ce que peut représenter la qualité des soins: «Les soins de haute qualité sont les soins visant à maximiser le bienêtre des patients après avoir pris en compte le rapport bénéfices-risques à chaque étape du processus de soins.» 1 Peu après, l OMS a proposé sa propre définition. 2 Celle-ci comporte cinq notions centrales: universalité, efficacité, coût, risque et satisfaction. Ces notions diffèrent bien sûr selon le point de vue adopté. Le secteur de la santé comporte trois axes indissociables aux prio- 1 Hurlimann, C 2001, «Approche conceptuelle de la qualité des soins», Actualité et dossier en santé publique, vol. 35, pp Organisation mondiale de la santé 2008, Assuring the quality of health care in the European Union - a case for action, vol. 14, Observatory Studies Series, Cornwall. FHL-Info N o 26 - mars/avril

22 rités différentes. 3 Les patients ont une vision plus orientée vers le vécu des soins, tandis que les prestataires apportent plus d importance à l excellence technique. En outre, les organismes payeurs ont plutôt une vision qui cible une répartition optimale des ressources. Autrement dit, offrir des soins essentiels au plus grand nombre plutôt qu une excellente technique à une minorité. Il est dès lors aisé de comprendre qu il n y a pas qu une seule qualité de soins, mais bien plusieurs en fonction de l axe sur lequel on se positionne. Comment peut-on alors considérer que les soins que nous prestons sont de qualité ou pas? Il est important de pouvoir définir la qualité quand on en parle, mais encore faut-il savoir la gérer, c est-à-dire la contrôler, l évaluer et l améliorer si nécessaire. 4 Pour y parvenir, l outil communément utilisé s appelle le «management de la qualité» - nous y voilà. Cette discipline qui doit son origine à la révolution industrielle du début du 20 e siècle a pour principal objectif d analyser et d optimiser le fonctionnement des entreprises en tenant compte des composantes principales qui influencent le travail. Pour parvenir à ses fins, ce concept se base entre autres sur la notion de coordination et de complémentarité des différentes disciplines représentées dans chaque entreprise. Dans le domaine des soins de santé, le management de la qualité analyse la situation globale d une institution en n omettant pas les trois axes présentés précédemment, donc l excellence technique, la satisfaction des patients et les répercussions sociétales. Les institutions hospitalières sont depuis quelques années forcées ou incitées à suivre un système d amélioration continue de la qualité. En France, les hôpitaux sont contraints depuis mai 2001 d entrer dans un processus de certification, délivrée par la Haute Autorité de Santé (HAS). En Allemagne, il s agit également d une obligation légale depuis quelques années. La certification des hôpitaux est assurée par divers organismes privés, mais conventionnés dont le plus connu est la Deutsche Gesellschaft zur Zerti fizierung von Managementsystemen (DQS). Ce dernier a d ailleurs certifié notre service SPAD conforme aux normes de l ISO9001 et du BAR (Bundes arbeitsgemeinschaft für Rehabilitation) en mars Quel que soit le type de management de la qualité adopté, le principe est toujours le même. L évaluation se fait à l aide d indicateurs, de critères et de référentiels portant sur les procédures en place et des résultats liés. Dans ce contexte, les bonnes pratiques et le respect de guidelines sont pratiquement incontournables. Ces recommandations reposent sur des méthodes de soins basés sur des preuves factuelles. Elles font partie de ce que l on appelle l evidence based medicine. Les guidelines représentent un gage de qualité et permettent de mettre en place des modes opératoires testés et validés par des experts reconnus. Contrairement à d autres disciplines de la médecine, la psychiatrie ne connaît le développement de guidelines que depuis peu. Par exemple, en Allemagne, l Arbeitsgemeinschaft der Wissenschaftlichen Medizinischen Fachgesellschaften (AWMF) propose régulièrement des Leitlinien (recommandations) pour les principales pathologies psychiques. Toujours en Allemagne, la Deutsche Gesellschaft für Psychiatrie, Psychotherapie und Nervenheilkunde (DGP- PN), spécialisée dans le domaine de la psychiatrie, publie également des recommandations et des standards très complets. Au SPAD, l investissement que nous avons fait et que nous consacrons toujours au management de la qualité nous a permis non seulement de remettre notre organisation en question mais également nos soins. La démarche a tendance à critiquer le fonctionnement routinier d un service. Elle développe également l envie que l on a de se rapprocher toujours un peu plus de l excellence sans nécessairement y parvenir puisque comme le député américain David Kearns le disait: «Dans la course à la qualité, il n y a pas de ligne d arrivée.» Il est probable que dans un avenir proche, tous les services du domaine de la santé devront apporter la preuve de leur côté efficient pour continuer à être financés ou pour recevoir des fonds supplémentaires. L un de nos objectifs d avenir sera d intégrer plus de guidelines internationales à notre pratique professionnelle. Nous souhaitons également développer plus d indicateurs pertinents qui nous permettrons de maîtriser et de pouvoir piloter le caractère efficient des soins que nous prodiguons aux patients. Tout cela dans le but de répondre encore mieux aux besoins de nos patients, mais également de façon plus générale aux besoins de notre société. Un clip vidéo présentant le service des soins psychiatriques à domicile est disponible sur le site du Mouvement Luxembourgeois pour la Qualité et l Excellence ( Vincent NEYSEN Infirmier gradué Maître en Sciences de la Santé publique 3 Ibid, Ségot, J, Raymond, J & Favier, L 2011, Avant propos, chez Management de la qualité et de la performance, Lexitis, Paris, p FHL-Info N o 26 - mars/avril 2014

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