TAPURA OHIPA I RAVEHIA. Rapport d activité
|
|
- Angèle Lapierre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TAPURA OHIPA I RAVEHIA 2010 Rapport d activité
2 SOMMAIRE 2010 Partie 1 > Activité 2010 Profil 2 Le mot du Président du Conseil d Administration 4 Présentation du Conseil d Administration au 31/12/ Actionnariat 7 Organigramme au 31/12/ Entretien avec le Directeur général 10 Partenariats Réseau bancaire 14 Activité commerciale Le groupe SOCREDO 20 Principaux éléments du rapport du Conseil d Administration à l Assemblée générale ordinaire 22 Partie 2 > Annexes 2010 Données financières 30
3 ACTIVITÉ > 3 Profil Quelques chiffres particuliers professionnels clients 541 collaborateurs associations entreprises Une banque pour bâtir un Pays La Banque SOCREDO assure, depuis plus de 50 ans, sa mission de soutien au développement de l économie locale en offrant aux particuliers comme aux entreprises des services bancaires et financiers efficaces et adaptés. Depuis sa création, la Banque SOCREDO poursuit son développement en s appuyant sur trois grandes missions : le financement de l habitat et de l équipement des ménages, le financement des investissements et de l activité des entreprises et l accompagnement de projets s inscrivant dans le cadre du développement de l ensemble des archipels. Les ressources de la banque sont réinjectées exclusivement dans l économie locale afin de soutenir la croissance des entreprises et les besoins financiers des particuliers. Son nouveau statut et l ouverture de son capital, adoptés en 2007, affirment et appuient ce rôle primordial de partenaire actif du développement de la Polynésie française. C est aujourd hui une Société Anonyme d Économie Mixte au capital de 22 milliards de F CFP détenue par le Pays à hauteur de 50 %, l Agence Française de Développement pour 35 % et par la COFIBRED à hauteur de 15 %. Plus qu une banque un véritable partenaire La Banque SOCREDO est aujourd hui le premier établissement bancaire de Polynésie française. Un succès qu elle doit à ses 541 collaborateurs dont la majeure partie est en contact avec la clientèle. Plus de clients lui font confiance : particuliers, professionnels, associations, entreprises et institutionnels et clients issus du secteur primaire. La Banque SOCREDO offre une réelle disponibilité de ses équipes, véritables partenaires des projets de ses clients, mettant chaque jour leur compétence et leur expertise à leur service. Le professionnalisme des équipes et leur réactivité assurent de disposer du meilleur conseil en toutes circonstances. Une large gamme de produits et services La place de leader incontesté s appuie également sur une large gamme de produits et services bancaires tant en matière de moyens de paiement, que d accès et de traitement des flux financiers. Gestion d entreprise, investissements, conseil boursier, gestion de patrimoine ou assurances, les compétences de la Banque SOCREDO garantissent un service à la hauteur des exigences de ses clients. Le financement de l habitat et de l équipement des ménages reste également l une des priorités de la Banque SOCREDO. Avec une production de nouveaux crédits qui a représenté 52 milliards de F.CFP (436 millions d euros) en 2010, la Banque SOCREDO reste un acteur majeur du financement de l économie de la Polynésie française. La Banque a également récemment étoffé son offre en terme de bancassurance en s appuyant sur des partenaires de renommée mondiale pour proposer les meilleurs offres en terme d assurance des biens et des personnes et d assurance-vie. La CASDEN, partenaire de la Banque SOCREDO Partenaire depuis juin 2010, la CASDEN et la Banque SOCREDO, proposent des services bancaires de proximité, et des offres adaptées aux besoins des fonctionnaires. Tout en confiant la gestion des comptes au quotidien à la Banque SOCREDO, il est possible de profiter des avantages exclusifs de la CASDEN et de bénéficier de conseils personnalisés. EZEE, l offre adaptée pour les jeunes Le marché «des jeunes» est au coeur de la stratégie de la Banque SOCREDO et c est donc au plus tôt dès 2003 qu elle a su innover pour séduire et recruter ses futurs clients avec la marque bancaire Ezee. L objectif d Ezee est de leur simplifier l accès à leur banque : tant par des tarifs attractifs que par un mode de relation adapté et des produits qui répondent vraiment à leurs besoins. Un acteur engagé de la responsabilité sociale et environnementale La démarche RSE a été lancée à la Banque SOCREDO en 2008 et fait désormais partie intégrante de la stratégie de l établissement et du groupe. La Banque est une entreprise citoyenne qui favorise les initiatives en faveur de la protection de l environnement notamment grâce à la promotion des investissements durables au travers de financements adaptés. Les pratiques éco-responsables internes à la banque témoignent de son implication face au respect environnemental. La Banque SOCREDO s implique dans la préservation de la cohésion sociale et milite contre les exclusions de toute nature. Elle soutient également des actions à caractère social et de promotion du patrimoine local par le biais de nombreuses actions de parrainage, notamment sportif et en faveur des jeunes. Le groupe SOCREDO La force et la santé de la banque lui ont permis de poursuivre son développement au travers de plusieurs filiales intervenant en complément technique de son métier, maîtrisant ainsi la monétique, l éditique, l archivage et la gestion de données, la gestion de portefeuilles et la relation client au travers de sociétés devenues à leur tour leaders chacune dans leurs domaines de compétence.
4 ACTIVITÉ > 5 Le mot du Président du Conseil d Administration «La Banque SOCREDO continue à jouer le rôle essentiel qui est le sien dans le développement du Pays et au service de sa clientèle.» Michel JACQUIER, Président du Conseil d Administration Le Conseil d Administration de la SOCREDO m a porté à sa présidence le 27 octobre Je suis évidemment très honoré de la confiance qui m est ainsi faite, mais je suis aussi très conscient de la responsabilité qui m incombe et d abord celle de succéder à Claude PERIOU dont chacun a pu apprécier l excellence de son action depuis son arrivée en 2006 à la Présidence du Conseil. Responsabilité surtout, dans cette période difficile, du Conseil d Administration et bien entendu de son Président, d être particulièrement attentif au maintien des grands équilibres de l Établissement. Condition de sa pérennité, ils sont indispensables pour que la Banque SOCREDO continue à jouer le rôle essentiel qui est le sien dans le développement du Pays et au service de sa clientèle. Une clientèle qui depuis 50 ans a su faire confiance à notre maison. Mais aussi une clientèle dont la banque, par son professionnalisme et la diversification de ses produits, a su accompagner l évolution des besoins. Mon prédécesseur commençait son introduction au Rapport Annuel 2009 par le constat que la Polynésie française connaissait sa troisième année consécutive de crise. L année 2010, le Directeur Général l évoque plus loin dans ce rapport, s inscrit hélas, dans cette tendance. Un contexte économique qui bien évidemment n épargne pas la profession bancaire et encore moins la Banque SOCREDO pour laquelle l impact de la crise se trouve accru par sa position dominante sur le marché et la nature de sa clientèle. Mais il est important de souligner que la banque a su anticiper et gérer la persistance d un environnement peu porteur. D abord par la rigueur de sa gestion. Malgré un effort de provisionnement important nécessité par la fragilisation de nombreux acteurs économiques et la dégradation de la qualité du portefeuille qui en a résulté, l exercice 2010 se termine avec un résultat bénéfique. Résultat qui sera en totalité affecté à la consolidation des fonds propres de la banque. On peut à ce sujet souligner que la pertinence de la filialisation d un certain nombre d activités se confirme et a joué positivement dans l efficacité de la gestion et la constitution du résultat. Ensuite par un renforcement du suivi des risques de toute nature qui sont inhérents à l activité de banquier, mais qui prennent un relief particulier dans une période de crise. Ce renforcement a pu s appuyer sur les recommandations de l Autorité de Contrôle Prudentiel qui a effectué une inspection approfondie de la Banque SOCREDO en 2010, comme sur les préconisations de l audit de l Agence française de développement qui suit les activités de la Socredo en tant qu actionnaire bancaire de référence. Rigueur de la gestion et suivi renforcé des risques sont nécessaires à la solidité de la banque. Mais cette solidité n a de sens qu au service de sa mission première qui est d être le partenaire privilégié et dévoué de ses clients. En 2010, comme par le passé, la Banque SOCREDO a poursuivi ses efforts d enrichissement de sa gamme de produits et services. En témoignent la mise en œuvre de nouveaux partenariats et produits ainsi que l ouverture de notre nouvelle agence de Paea. Je voudrais souligner que cette attention à notre clientèle n en exclut aucune catégorie. Population des archipels éloignés, secteurs en difficulté, personnes en situation de précarité, dans chaque situation la banque s efforce d être un apporteur de solutions efficaces. L année 2011 ne connaîtra probablement pas d amélioration de la situation économique. Il en résultera une aggravation des difficultés de certains de nos clients. Qu ils soient assurés, comme l ensemble de notre clientèle, qu ils trouveront dans la Banque SOCREDO le partenaire dévoué de toujours. Ils peuvent compter sur nous!
5 ACTIVITÉ > 7 Présentation du Conseil d Administration au 31/12/2010 Actionnariat Les administrateurs Représentant de l Agence Française de Développement (AFD) et COFIBRED M. Michel JACQUIER Président du Conseil d Administration Représentant de l AFD M. François GIOVALUCCHI Directeur en Polynésie française de l Agence Française de Développement, représentant permanent de l AFD M. Pierre PERIE Chargé de mission auprès de l Agence Française de Développement M. Jean VERNAUDON Retraité, représentant la COFIBRED M. Teva ROHFRISTCH Ministre de la reconversion économique, du commerce extérieur, de l industrie et de l entreprise, en charge de l économie numérique et du développement des technologies vertes M. Temauri FOSTER Ministre des ressources maritimes, en charge de la promotion de la perliculture, de la pêche et de l aquaculture Le Commissaire du gouvernement M. Daniel Besson La Polynésie française Collectivité d outre-mer régie par les lois organiques n du 27 février 2004 et n du 7 décembre 2007, elle bénéficie d une large autonomie politique. Le Pays possède toutes les compétences, dans les domaines non réservés à l État. Les institutions territoriales comprennent l Assemblée, le Gouvernement et le Conseil Économique Social et Culturel. M. Yves JACQUOT Directeur général de la COFIBRED Représentant du personnel La BRED Représentants de la Polynésie française M. Robert TANSEAU Représentant à l Assemblée de la Polynésie française M. Édouard FRITCH Vice-Président, en charge du développement des collectivités et du transfert des compétences, de la coordination des actions relatives à la reconversion des sites militaires, de la communication, des relations avec les institutions de la Polynésie française M. Steeve HAMBLIN Ministre du tourisme et des transports aériens internationaux, en charge de l aéroport de Tahiti Faa a M. Maco Reid Arana Commissaires aux comptes La SCP REDON PELLOUX CHAIZE MU SI YAN - LIS Membre de KPMG La SCP GOSSE PARION CHANGUES Correspondant de Pricewaterhouse Coopers L Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (A.F.D.) agit depuis plus de soixante ans pour combattre la pauvreté et favoriser le développement dans les pays du Sud et dans l Outre-mer. Elle met en œuvre la politique de développement définie par le Gouvernement français. Présente sur le terrain dans plus de 50 pays, l A.F.D. finance et accompagne des projets qui améliorent les conditions de vie des populations, soutiennent la croissance économique et protègent la planète : scolarisation des enfants, appui aux agriculteurs et aux petites entreprises, adductions d eau, préservation de la forêt tropicale, lutte contre le réchauffement climatique... Banque coopérative créée le 7 octobre 1919, la BRED est l une des plus importantes banques du Groupe «Banque Populaire». Depuis cette année, cet ensemble a intégré le Groupe BPCE qui regroupe les deux entités : le groupe des Banques Populaires et celui des Caisses d épargne. La BRED rassemble à ce jour sociétaires. Son capital social est de Elle mobilise ses collaborateurs au service de près de clients. Elle est implantée en Île-de-France, en Normandie, dans les territoires et départements d outre-mer, ainsi que dans certaines régions à la périphérie de ses implantations ultramarines. Ses principaux indicateurs financiers sont les suivants : produit net bancaire 2010 : 953,8 millions, bénéfice net consolidé 2010 : 253,5 millions.
6 ACTIVITÉ >9 Organigramme au 31/12/2010 Contrôle périodique Patrick FOULAUX Filiales/Participations Partenariats Moea DOLIGEZ Chargé de mission Étienne GIAU James ESTALL Directeur général Études Projets et Communication Sébastien PURAVET Direction des systèmes d information Philippe CHAUMINE Direction financière Vincent FABRE Filière risques Marie-Josée BRARD Contrôle permanent Conformité - LAB Nycia TCHEOU François TIROT Directeur général délégué Matahi BROTHERS Directeur général délégué Miri AUNOA Secrétaire général Direction des engagements Georgio PENI (par intérim) Direction juridique et fiscale Evelyne BRICHET Direction des ressources Djina SANDFORD Direction des marchés spécialisés Clarisse CHANGUES Direction des agences et des particuliers Hippolyte COULON Direction des professionnels Patrick MONPAS Direction des entreprises Marama COPIE Direction des opérations Anne-Marie TEISSIER
7 ACTIVITÉ > 11 Entretien avec le Directeur général Dans quel contexte économique la banque a-t-elle évolué? La Polynésie française traverse depuis quatre années consécutives une crise économique majeure qui a fini par affecter ses fondamentaux : la fragilisation des comptes publics et par voie de conséquence la baisse du rôle moteur de l investissement public, un ralentissement de l investissement des entreprises, d importantes pertes d emploi, une crispation de la consommation et de l investissement des ménages. Dans un tel contexte, la perte de confiance des particuliers et des entreprises et les vagues de contraction de l activité économique ont entraîné un recul global de l activité des organismes de crédit tant sur la collecte de dépôts que sur l octroi de crédits. Le gouvernement polynésien reste cette année confronté à des difficultés budgétaires et financières accentuées par les retards pris dans le vote du budget 2011 et donc la mobilisation tardive de ses nouvelles capacités d investissement. La consommation des ménages demeure morose dans un climat de hausse relative des prix (+1,7 % sur un an). Les ménages se recentrent sur les produits de bases tels que les denrées alimentaires, qui subissent la plus forte hausse des prix (+3,8 %). De ce fait, les importations de biens de consommation non alimentaires destinés aux ménages sont en baisse. Sous l effet combiné de mesures de soutien public avec une «prime à la casse» et d un effort commercial accentué, le secteur de l automobile garde malgré tout une orientation positive puisque les immatriculations de véhicules neufs et d occasion sont en hausse par rapport à 2009 même si les chiffres sont inférieurs aux années antérieures. Dans le secteur du BTP, les importations de ciment progressent de 6 % en volume entre 2009 et 2010, celles-ci restent tout de même en deçà des résultats de L emploi sur ce secteur est en retrait important de 9,7 %. La mise en place des dispositifs PIM, PIL et PAP a permis de compenser partiellement cette crise sectorielle sévère en stimulant la demande sur le secteur de l habitat privé, faute de commande publique soutenue. Le tourisme, un des principaux piliers de l économie polynésienne, fait face à trois années consécutives de baisse de fréquentation. Le bilan de l année fait état d une contraction de 4,1 % de la fréquentation touristique même si le quatrième trimestre a montré des signes plutôt positifs, en particulier en provenance de la clientèle nord-américaine. Sur le plan du secteur primaire, source d exportations pour le Pays, le poisson, la vanille et le monoï enregistrent une progression de leur chiffre d affaires mais ces performances demeurent encore embryonnaires à l échelle de l économie polynésienne. Le coprah bénéficie d une bonification des cours mondiaux et continue de jouer une fonction d amortisseur social en particulier dans les îles éloignées. La perle, produit phare à l export, s enferre durablement dans une crise structurelle avec un prix moyen de 460 F CFP le gramme (contre plus de F CFP le gramme il y a quelques années). Quel est le bilan de l année 2010? Dans ce contexte particulièrement tendu, la Banque SOCREDO parvient à maintenir en 2010 sa place de premier établissement bancaire de Polynésie française avec une part de marché atteignant 44 % pour les encours de crédits et 41,3 % pour la collecte des dépôts. Le PNB augmente ainsi de 2,5 % sur un an, et atteint 10,806 milliards de F CFP contre 10,547 milliards de F CFP en Cette relative stabilité du PNB a nécessité l amélioration du niveau de marge de la Banque sur les opérations initiées avec la clientèle dans un contexte de taux d intérêt favorable. Cependant, l exercice clos au 31 décembre 2010 fait apparaître un résultat net de 375,5 millions de F CFP contre 910 millions de F CFP en Cette diminution particulièrement importante de 58,7 % par rapport à l exercice précédent est la résultante d une aggravation significative du coût du risque de crédit. Compte tenu des difficultés économiques et financières rencontrées par nos clients depuis 2008, le coût du risque de crédit est porté à 2,460 milliards en 2010 contre 1,904 milliards en L année 2010 vous a-t-elle permis de mener des projets structurants? Effectivement, de nombreux projets ont été concrétisés en 2010 ce qui illustre la capacité de la Banque et de ses équipes à se renouveler et offrir les meilleures solutions et services pour nos clients. Nous avons fait le choix de nous adosser à des partenaires renommés et leaders dans leurs domaines de spécialité pour compléter efficacement notre gamme de services. Le plus significatif de ces projets est la signature en juin 2010 de l accord de partenariat entre la Banque SOCREDO et la CASDEN Banque Populaire. Après une «Dans ce contexte de crise, la Banque SOCREDO parvient à maintenir en 2010 sa place de premier établissement bancaire de Polynésie française avec une part de marché atteignant 44 % pour les encours de crédits et 41,3 % pour la collecte des dépôts.» année de mobilisation de part et d autre, ce partenariat historique permet ainsi aux clients de la Banque SOCREDO, notamment les agents de la fonction publique, de bénéficier désormais des avantages offerts par la CASDEN. Il s est concrétisé par l ouverture d un nouvel espace d accueil dédié aux sociétaires CASDEN en plein cœur de Papeete. Autre partenariat important, celui conclu avec la société Crédit Logement qui nous permet désormais de proposer à nos clients une alternative à la prise d hypothèque à un coût très compétitif, facilitant ainsi, sur ce plan, l accès au crédit habitat à de nombreuses familles polynésiennes L année 2010 a également été l occasion de renforcer nos offres sur les produits d épargne avec des placements attractifs en Assurance-Vie en partenariat avec CARDIF et PREPAR-VIE - et sur les produits d assurance IARD en partenariat avec AXA et GENERALI. Cette année 2010, vous l aurez compris, a été mise à profit pour adapter notre gamme de produits et services aux attentes de notre clientèle malgré ces temps difficiles. En accompagnement des actions du gouvernement, nous avons également lancé en septembre 2010 le Chèque Service aux Particuliers : il s agit d un carnet de chèques prépayés permettant à un employeur particulier de rémunérer une prestation de service à domicile en simplifiant ses démarches de déclaration et de paiement du volet social. Banque de développement proche de ses clients, il nous est apparu enfin essentiel de nous joindre aux efforts du Pays, en mettant en place un moratoire pour les secteurs en grande difficulté que sont la pêche et le perliculture. Ce dispositif a été étendu aux sinistrés du cyclone OLI qui a provoqué de nombreux dégâts en février Parlons aussi d avenir, le 29 avril 2010 j ai eu le plaisir d inaugurer notre 28 e agence à Paea. Moderne et résolument éco-responsable, cette agence est la première du réseau à bénéficier de l installation de panneaux photovoltaïques pour engager concrètement notre établissement dans l effort collectif en faveur d une énergie propre et renouvelable. Cet effort en appellera d autres dans plusieurs autres agences et dans les nouveaux projets immobiliers du groupe Banque SOCREDO. Quelles sont les perspectives pour 2011? Les perspectives 2011 restent encore malheureusement peu favorables car nous devons faire face à de nombreuses incertitudes. Nous avons pris le parti de poursuivre sans relâche notre action au quotidien en restant très attentifs à notre environnement et en accompagnant avec professionnalisme les initiatives de nos clients dès qu elles nous paraîtront viables. Dans ce contexte difficile et incertain, le budget 2011 a été élaboré sur la base d hypothèses conservatrices de collecte de ressources et de production de crédits, et avec pour impératif indiscutable la maîtrise rigoureuse des charges d exploitation bancaire et des frais généraux. La crise doit aussi nous permettre de nous remettre en question pour mieux accomplir nos missions dans un climat où la concurrence s est exacerbée. J ai souhaité profiter de cette année 2011 pour consolider notre offre de produits et services et engager des actions de réorganisation structurantes au sein de la Banque. Ces actions vont nous permettre, je le souhaite, d envisager plus sereinement l avenir tout en maintenant notre exigence de qualité, au plus proche de nos clients.
8 ACTIVITÉ > 13 Partenariats 2010 La CASDEN Banque populaire La CASDEN Banque Populaire, une structure d envergure au service d une éthique mutualiste En Polynésie française, au-delà de l Éducation Nationale, de la Recherche, de la Culture, c est l ensemble des salariés de la fonction publique, des enseignements privés et des sociétés para publiques qui ont accès à la CASDEN. Cette identité se traduit par un fort attachement aux valeurs de solidarité qui l amène à concevoir le métier de banquier avec un regard différent. Un service bancaire complet Cette implantation en Polynésie française s est voulue basée sur une relation de proximité, c est ainsi que pour compléter et distribuer son offre, la CASDEN a noué depuis juin 2010 un partenariat privilégié avec la Banque SOCREDO. Les Sociétaires CASDEN peuvent bénéficier d une réponse bancaire complète et adaptée à leurs besoins. Et tous les avantages du Programme 1, 2, 3 CASDEN Aujourd hui plus de Sociétaires font confiance à la CASDEN et profitent des avantages fondés sur le Programme 1, 2, 3 CASDEN. En confiant leur épargne à la CASDEN, ils gagnent des Points qui leur permettent d obtenir des crédits à la consommation et immobiliers à des taux avantageux. La CASDEN entend poursuivre son activité en Polynésie française en développant encore plus les liens de confiance qu elle a tissés avec ses Sociétaires par le biais de son partenariat avec la Banque SOCREDO. Ce sont ces liens forts unissant la Coopérative à ses Sociétaires qui sont le meilleur garant de la pérennité de notre organisation. La CASDEN Banque Populaire, un système de relations adapté Un délégué CASDEN en Polynésie française : Jean TEMAURI jean.temauri@casden.fr Un service bancaire complet de proximité avec les 28 agences de la Banque SOCREDO. Un service internet dédié sur pf.casden.fr Présentation de la CASDEN Banque Populaire Siège Social et immatriculation Le Siège social est fixé au 91 Cours des Roches Noisiel Marne-la-Vallée Cedex 2 (France). La CASDEN est immatriculée au registre du commerce et des sociétés sous le numéro RCS Meaux B Forme juridique La CASDEN Banque Populaire est une société anonyme coopérative de Banque Populaire à capital variable régie par les articles L et suivants du code monétaire et financier et l ensemble des textes relatifs aux Banques Populaires, la loi du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération, les titres I à IV du livre II du code de commerce, le chapitre I er du titre I du livre V et le titre III du code monétaire et financier, les textes pris pour leur application, ainsi que par ses statuts. Le capital Social Au 31 décembre 2010, le capital social de la CASDEN Banque Populaire s élevait à Il était constitué de Parts Sociales d une valeur nominale de 8,50 détenues par ses Sociétaires pour un montant de et de Certificats Coopératifs d Investissement pour une valeur de Crédit Logement Un acteur majeur de l accession à la propriété Crédit Logement est un établissement financier, spécialiste de la garantie des prêts immobiliers et partenaire de la plupart des grandes banques françaises. Depuis 1975, 5,5 millions d emprunteurs ont déjà choisi Crédit Logement pour garantir leur prêt immobilier et réaliser leur projet immobilier sans hypothèque. Actuellement, Crédit Logement garantit 30 % de l ensemble des prêts immobiliers distribués en France prêts ont été étudiés par Crédit Logement en 2010 donnant lieu à accords de garantie pour un montant brut d engagement de 87,31 milliards d euros. Deux facteurs expliquent le succès de Crédit Logement : d une part, les avantages de la garantie de prêt dont il est l inventeur ; de l autre, un réseau de plus de 200 banques partenaires qui sont aussi ses actionnaires et peuvent aujourd hui proposer la garantie Crédit Logement, sur tout le territoire français, y compris outre-mer. 5,5 millions C est le nombre d emprunteurs qui ont choisi Crédit Logement.
9 , ACTIVITÉ > 15 Réseau bancaire Une disponibilité et une proximité rassurantes La Banque SOCREDO a le souci majeur d offrir à sa clientèle une proximité, dans sa relation et les services qu elle propose, répartie dans les 5 archipels. La Banque SOCREDO compte 28 agences, assurant une présence sur tout le sol polynésien et participe ainsi activement au développement de la bancarisation de l ensemble des habitants du Pays. Une banque plus pratique, plus proche, plus disponible Les services de Banque à Distance mis en place par La Banque SOCREDO permettent à ses clients de gagner du temps. Quand ils le désirent et où ils le désirent, les clients de la Banque SOCREDO peuvent gérer leurs comptes, vérifier leurs dernières opérations ou soldes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par internet, télécopie, téléphone ou sms, en toute liberté. La Banque SOCREDO dispose par ailleurs d un centre d appel ouvert 24h/24 affecté au service permanent de la clientèle. Des interventions, soit 24,5 milliards F CFP des concours bancaires. ARCHIPEL DE LA SOCIÉTÉ ARCHIPEL DES MARQUISES La Polynésie française 28 Agences sur tout le sol polynésien. Île de Tahiti Agence Siège social Ezee Spot Agence Arue Agence Bruat Agence Tiare Agence Pomare Agence Tipaerui Agence Fare Ute Agence Mamao Agence Pirae Agence Faa a aéroport Agence Faa a ville Agence Mahina Agence Punaruu (Punaauia) Agence Papara Agence Taravao Île de Moorea Agence Maharepa Agence Hakahau (Ua Pou) Agence Taiohae (Nuku Hiva) Agence Atuona (Hiva Oa) ARCHIPEL DES AUSTRALES Agence Moerai (Rurutu) Agence Mataura (Tubuai) ARCHIPEL DES TUAMOTU Agence Avatoru (Rangiroa) Bureau à Tiputa TOURNÉES Pour offrir un service bancaire aux populations les plus éloignées, la Banque SOCREDO réalise des tournées périodiques dans de nombreuses îles où la représentation permanente n est pas assurée. E TAKAP TEP O OTA Îles Sous-le-Vent Agence Fare (Huahine) Agence Uturoa (Raiatea) Agence Patio (Tahaa) Agence Vaitape (Bora Bora)
10 ACTIVITÉ > 17 Activité commerciale ,9 % De parts de marché des dépôts. Afin de soutenir le secteur de la construction et plus généralement de l immobilier, le gouvernement a mis en place des dispositifs de prêts bonifiés à l habitat. La Banque SOCREDO reste la banque leader avec 41,9 % de parts de marché des dépôts et 44,8 % des concours bancaires. L activité de crédit Le ralentissement de la production se confirme en 2010 avec 51,7 milliards de créances accordées contre 62,8 milliards en Ce sont tous les secteurs qui sont touchés. Le compartiment des crédits à l habitat affiche le recul le plus marqué (-20,9 %), suivi des crédits à la consommation (-18 %) et des crédits aux autres secteurs (-15,7 %). Afin de soutenir le secteur de la construction et plus généralement de l immobilier, le gouvernement a mis en place des dispositifs de prêts bonifiés à l habitat (PAP, PIL et PIM) en septembre. La mise en place de ces dispositifs a permis de limiter la baisse de la production mais n a pas été suffisant pour relancer ce secteur. La Banque, de son côté, a entrepris diverses actions pour se renforcer sur ce compartiment (développement de son réseau de prescripteurs, restructuration de la cellule habitat, commercialisation de la garantie «crédit logement», partenariat CASDEN ). La Banque a également participé à différents salons (habitat, immobilier, automobile) et mis en place une campagne de crédits à la consommation à des conditions financières intéressantes (taux promotionnel : 5,90 %) pour les clients présentant un profil de risque maîtrisé. Le repli de la production déjà constaté en 2009 a en partie pour origine l attentisme des ménages en terme de consommation mais provient également du fait de la moindre qualité des dossiers (taux d endettement trop élevé, restant disponible insuffisant ). L encours brut des crédits (y compris créances rattachées) atteint 208,988 milliards de F CFP contre 211,187 milliards de F CFP en 2009 et se décompose en une diminution des encours sains de 11,665 milliards de F CFP et en une progression des encours douteux de 9,466 milliards de F CFP. Production de crédits par nature 16 % Crédits équipement 15 % Autres crédits 6 % Découverts 28 % Crédits consommation 1 1 % Crédits trésorerie 24 % Crédits habitat
11 ACTIVITÉ > 19 3,374 milliards Montant total des commissions brutes. Répartition de l encours de crédits par nature 11 % Comptes débiteurs 10 % Crédits équipement 37 % Crédits habitat 8 % Crédits trésorerie 9 % Autres crédits 25 % Crédits consommation On constate une contraction des compartiments principaux que sont les crédits habitat (-2,6 milliards) et de trésorerie (-7,9 milliards) ainsi que des crédits d équipement (-1,2 milliard) en raison d une production de crédits insuffisante pour compenser l amortissement naturel du stock. L activité de collecte des dépôts À la fin de l année 2010, les ressources provenant des dépôts de la clientèle (y compris les dettes représentées par un titre) diminuent de 4,4 milliards de F CFP, soit une diminution de 3 %, pour atteindre 163,230 milliards de F CFP contre 167,671 milliards de F CFP en Plus globalement, la collecte de dépôts de la place recule en 2010 en raison de la dégradation de la conjoncture économique et de la faiblesse des taux de rémunération. La conjoncture économique a en effet été défavorable à un accroissement de la masse monétaire sur la place en raison de la fragilisation de nombreux acteurs économiques (pertes d emplois, difficultés de trésorerie des entreprises, secteurs en crise, baisse des investissements ) et la dégradation des comptes publics. L évolution des dépôts a été rythmée par les appels d offre sur les dépôts à terme de clients institutionnels mettant en concurrence les banques de la place sur ce compartiment. Les comptes sur livret sont demeurés stables. Le phénomène d arbitrage des DAT en faveur des CSL qui a prévalu en 2009 s est nettement estompé cette année compte tenu d un plus faible différentiel de rémunération entre les deux compartiments. Les partenariats de la Banque SOCREDO avec CARDIFF (BNP PARIBAS) et PREPAR-VIE (BRED) ont permis d offrir une alternative intéressante pour nos clients en terme de placement via des contrats d Assurance-Vie. Les services Le montant total des commissions brutes s élève à 3,374 milliards, résultat en recul de -4 % en année glissante mais en ligne par rapport au budget initial (+0,3 %) : Les commissions sur prestations de services financiers sont en légère hausse par rapport à 2009 (+1 %) : Les principales hausses concernent les commissions relatives aux assurances, à la banque à distance et à la gestion de compte. En revanche, on constate un recul des commissions rattachées aux moyens de paiement : cartes, virementsprélèvements et chèques. Cette baisse est corrélée à la diminution des volumes de transactions traitées. Les commissions directes sont en baisse par rapport à 2009 (-13 %). Cette baisse est liée au changement de méthode comptable sur les frais de mise en place des crédits qui sont désormais étalés sur la durée de vie des crédits et remontent dans la MNI. À noter également la baisse des commissions sur engagements de hors-bilan et des frais de tenue de compte ainsi que la hausse des commissions sur comptes en dépassement liée à la tarification des mouvements en attente de décision et qui a été étendue à la clientèle de particuliers cette année. Répartition des dépôts par nature 3 4 % Dépôts à terme 6 % Autres 35 % Comptes ordinaires créditeurs 25 % Comptes sur livrets
12 ACTIVITÉ > 21 Le groupe SOCREDO OSB - Océanienne de Services Bancaires OCA - Océanienne de Centre d Appels L OSB avec un effectif moyen de 80 personnes, exerce une activité d exploitation de serveurs (monétiques et télématiques) et de gestion d un parc de Guichets Automatiques de Banque et de Terminaux de Paiements Électroniques dans le cadre de l interopérabilité monétique mise en place dans le Pays. Le chiffre d affaires de 2010 s établit à 1,29 milliard de F CFP. OFINA - Océanienne de Financement Cette filiale est contrôlée à 100 % par OSB sous la forme d une SAS qui emploie 28 personnes. Son activité principale est la gestion des appels téléphoniques en entrée comme en sortie. L OCA réalise également des études marketing, l assistance clientèle et l aide à la vente... Le chiffre d affaires généré en 2010 est de 140 millions de F CFP dont une quote-part importante est réalisée avec le groupe SOCREDO. ODI Océanienne d Industrie ODI réalise des chéquiers, l édition et la mise sous pli de factures ou relevés. Le chiffre d affaires de l année 2010 est en hausse de 5 % et s élève à 352,5 millions de F CFP. L activité de cette filiale consiste à exploiter la licence AMEX en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie pour l acquisition des flux commerçants et l émission des cartes. Le produit net bancaire de l année 2010 est en nette progression et s élève à 380 millions de F CFP. Cette structure montée en partenariat avec le groupe OPT emploie 25 personnes. L activité est constituée par la réalisation des chéquiers, par l éditique (édition et mise sous pli de factures ou relevés) et par le traitement des chèques et des virements. Le chiffre d affaires de l année 2010 est en hausse de 5 % et s élève à 352,5 millions de F CFP. OCSD Océanienne de Conservation Sécurisée de Données Cette filiale de l OSB et d ODI a été créée en 2009 et son activité est dédiée au traitement du stockage et/ou archivage physique ou numérique de tous objets. Le chiffre d affaires 2010 s établit à 21 millions de F CFP. 1,29 milliard OCI - Océanienne de Capital Investissement C est le chiffre d affaires de l OSB en La SAS OCI a été créée le 28 novembre 2008 et est détenue à 100 % par la Banque SOCREDO. Cette filiale a pour objectif le partage et la gestion des titres de participation de la Banque SOCREDO. S.C.I. PUERO Durant l année 2010, la S.C.I. PUERO, propriétaire de l immeuble Tereva a poursuivi son programme de location auprès de l OSB et de la société PITI. EURL RARE L EURL RARE a été créée avec pour objet de gérer et administrer les actifs immobiliers de la Banque dont la Résidence Fare Ata.
13 ACTIVITÉ >23 Principaux éléments du rapport du Conseil d Administration à l Assemblée générale ordinaire Dans un contexte de crise internationale et locale, le total du bilan de la banque Socredo s est établi à 241,257 milliards de F CFP au 31 décembre 2010 contre 243,980 milliards de F CFP au 31 décembre 2009, soit une diminution de 1,1 %. Actif Opérations de trésorerie Cet agrégat reprend les opérations, toutes devises confondues, réalisées pour le compte propre de la SOCREDO. Il s élève à 33,428 milliards de F CFP au 31/12/2010, niveau proche de celui de l exercice 2009 à la clôture duquel il atteignait 32,067 milliards de F CFP. Au 31/12/2010, il est composé des postes suivants : - Liquidités courantes (encaisse billets et espèces, réserves obligatoires déposées à l I.E.O.M., avoirs aux CCP) : 13,229 milliards de F CFP - Dépôts interbancaires (à vue et prêts à terme à des établissements de crédit) : 20,199 milliards de F CFP L année 2010 a été marquée par : Une forte augmentation du coût du risque de crédit, L ouverture de l agence PAEA (29 avril 2010) : 28 e agence et première agence à bénéficier de l installation de panneaux photovoltaïques (prévue également dans 5 autres agences), Le Chèque Service aux Particuliers (novembre 2010) ; il s agit d un carnet de chèques prépayés permettant à un employeur particulier de rémunérer une prestation de service à domicile, La mise en place du nouveau ratio de liquidité envoyé trimestriellement à l ACP, conformément à l arrêté du Comité de Réglementation Bancaire du 5 mai 2009 relatif à l identification, la mesure, la gestion et le contrôle du risque de liquidité applicable à partir du 30 juin 2010, Le changement de méthode comptable d enregistrement des commissions perçues lors de l octroi d un concours bancaire (frais d intervention et de mise en place). Ce changement de méthode comptable implique que ces commissions soient désormais étalées sur la durée de vie du crédit, selon l arrêté du 29 décembre 2009 portant homologation du règlement n du Comité de la Réglementation Comptable. Elle a été mise en place en juin 2010 avec rétroactivité sur les commissions perçues depuis le 1 er janvier 2010, La 5 e distribution de dividendes à hauteur de 15 % du résultat 2009, soit un montant brut de 136 millions de F CFP. Opérations sur titres Au 31/12/2010, elles correspondent à des titres du type EMTN (Euro medium term note) pour compte propre souscrites au cours du premier semestre 2009 pour les premières souscriptions et complété par une nouvelle souscription au cours du premier semestre 2010 à hauteur de 1,432 milliard de F.CFP portant le poste à 3,939 milliards de F CFP. Crédits à la clientèle L'encours brut des crédits (y compris créances rattachées) atteint 208,988 milliards de F CFP contre 211,187 milliards de F CFP en Cette variation de 1 % se décompose, - En une diminution des encours sains de 11,665 milliards de F CFP, - En une progression des encours douteux de 9,466 milliards de F CFP, malgré les actions mises en œuvre dans le cadre de la maîtrise des risques Cette progression concerne principalement le marché entreprises et dans une moindre mesure le marché des particuliers. En ce qui concerne les entreprises elle est en partie due au déclassement de créances ne présentant pas d incident, mais que la direction de la banque, suivant en cela les préconisations de l autorité de contrôle prudentiel, estimait présenter un risque probable de défaut. La montée de l encours douteux se traduit par une augmentation de 4,6 points du taux de douteux qui est de 13,8 % au 31 décembre Un travail approfondi de valorisation des garanties a permis de limiter le taux de provisionnement qui s établit fin 2010 à 47,6 % contre 61 % à fin Titres de participation et autres titres détenus à long terme Ce poste représente un total de 3,084 milliards de F CFP au 31/12/2010 contre 3,670 milliards de F CFP, soit une diminution de 16 % par rapport à l année 2009 suite aux remboursements d avances en comptes courants réalisées dans le cadre de la défiscalisation locale. Il se compose de titres de participation, de participations fiscales sous la forme de comptes courants d associés et des certificats d association souscrits dans le cadre de la cotisation au système de garantie des dépôts, à hauteur de 72 millions de F CFP. La variation du poste «parts dans les entreprises liées» s explique par une reprise partielle de la provision sur la filiale Ofina, qui s élevait à 173 millions de F CFP fin 2009, la ramenant fin 2010 à 127 millions de F CFP. La variation du poste «participations et autres titres détenus à long terme» provient : - D une part de la reprise partielle de la provision des titres d Air Tahiti Nui qui passe de788 millions de F CFP fin 2009 à 776 millions de F CFP fin 2010 (la valeur brute des titres Air Tahiti Nui s élève à 863 millions de F CFP). - D autre part des flux liés aux opérations de défiscalisation : remboursement des conventions en stock (MALIBU (partiellement), TAHITI NUI DEVELOPMENT, SCI PITI IRI). Les abandons de créances tels que prévus dans les conventions de comptes courants sont provisionnés à hauteur de 571 millions de F CFP, contre 917 millions en En 2010, la banque n a procédé à aucune souscription de comptes courants. Immobilisations corporelles et incorporelles Les immobilisations nettes ont diminué : 4,340 milliards de F CFP contre 4,669 milliards de F CFP au 31/12/2009 du fait de l amortissement. Les principaux événements ayant marqué le poste immobilisations sont : - La montée du progiciel SAB en version A8. Grâce à cet upgrade, la Banque maintient à niveau son système d information (17 millions ont été immobilisés à ce titre), - La construction de l agence PAEA qui figure à l actif à hauteur de 102 millions de F CFP, - La régularisation des cessions de biens acquis dans le cadre du crédit-bail (échus) à hauteur de 97 millions de F CFP. Les biens sont totalement amortis.
14 ACTIVITÉ >25 Passif Opérations interbancaires Les ressources provenant d opérations interbancaires sont en augmentation de 2,649 milliards de F CFP pour totaliser 40,852 milliards de F CFP contre 38,203 milliards de F CFP en 2009, la Banque ayant mobilisé les lignes de refinancement dont les dates limites de tirages arrivaient à échéance en 2010 : - La ligne de refinancement BRED de 25 millions d euros dans le cadre de l enveloppe 2008 signée le 1 er décembre 2009 est débloquée partiellement le 6 avril 2010 pour un montant de 12 millions d USD. Le reliquat de 17 millions d euros a été débloqué le 29 novembre Des lignes de refinancement auprès de l AFD ont été mobilisées pour 45 millions d euros, respectivement en juin (30 millions d euros) et en décembre (15 millions d euros). Par ailleurs la ligne de crédit CPS au titre du financement de crédits est reclassée des ressources interbancaires pour intégrer les placements de la clientèle conformément aux préconisations de l autorité prudentielle. Dépôts de la clientèle À la fin de l année 2010, les ressources provenant des dépôts de la clientèle (y compris les dettes représentées par un titre) diminuent de 4,4 milliards de F CFP, soit une diminution de 3 %, pour atteindre 163,230 milliards de F CFP contre 167,671 milliards de F CFP en La collecte de dépôts de la place recule en 2010 en En 2010, le PNB augmente de 2,5 % par rapport à 2009, et atteint 10,806 milliards de F CFP contre 10,547 milliards de F CFP en raison de la dégradation de la conjoncture économique et des comptes publics d une part et de la faiblesse des taux de rémunération d autre part. Les autres dettes envers la clientèle sont constituées de placements effectués pour notre clientèle notamment dans le cadre de projets de défiscalisation. Capitaux propres Les capitaux propres (FRBG inclus) totalisent 30,953 milliards de F CFP contre 31,595 milliards de F CFP au 31/12/2009, soit une diminution de 2 %. Cette variation s explique par : - L affectation à la réserve légale de 5 % du résultat net 2009 d un montant de 45,5 millions de F CFP, - L affectation en Report à Nouveau de 80 % du résultat net 2009 d un montant de 728,5 millions de F CFP, - La distribution de dividendes à hauteur de 136 millions de F CFP, soit 15 % du résultat 2009, - La reprise du Report à Nouveau à hauteur de 873 millions de F CFP afin d enregistrer l impact rétrospectif au 31/12/2009 du changement de méthode comptable lié à l étalement des commissions évoqué précédemment. Le Hors bilan Engagements donnés Totalisant 31,878 milliards de F CFP en fin d année contre 42,822 milliards de F CFP au 31/12/2009, les engagements donnés ont diminué de 26 % au cours de l exercice. Leur principale composante reste les engagements de financement en faveur de la clientèle (crédits confirmés non débloqués, découverts autorisés non utilisés) qui diminuent de 37 % et s établissent à 21,112 milliards de F CFP contre 33,859 milliards de F CFP en Les engagements de garantie d ordre des établissements de crédit correspondent principalement aux contre - garanties données à la BRED par la banque en garantie d opérations sur produits structurés conclues entre notre clientèle et cet établissement. Le poste s élève à 554 millions de F CFP. Les engagements de garantie d ordre de la clientèle (cautions, garanties bancaires d achèvement ) diminuent de 21,2 % pour atteindre 7,067 milliards de F CFP contre 8,666 milliards de F CFP en Engagements reçus Les engagements de financement reçus des établissements de crédit sont en diminution de 19,5 % et atteignent 15,361 milliards de F CFP au 31/12/2010 contre 19,093 milliards de F CFP. Les lignes de crédit de trésorerie dont bénéficie la banque et mobilisables en cas de besoin de trésorerie, ont été reconduites. Les engagements de garantie reçus des établissements de crédit s élèvent à 2,758 milliards de F CFP au 31/12/2010 contre 4,186 milliards de F CFP au 31/12/2009. Le Compte de résultat Produit net bancaire En 2010, le PNB augmente de 2,5 % par rapport à 2009, et atteint 10,806 milliards de F CFP contre 10,547 milliards de F CFP en La marge nette d intérêt sur les opérations interbancaires s est légèrement dégradée à -1,305 milliard de F CFP contre -1,290 milliard de F CFP en La baisse résulte en grande partie de la diminution du rendement de la trésorerie, consécutive à la détente des taux, - La marge nette d intérêt sur les opérations clientèle se stabilise et s établit à 9,587 milliards de F CFP au 31/12/2010 contre 9,241 milliards de F CFP en Le niveau de marge sur les opérations initiées avec la clientèle s est amélioré compte tenu de taux d intérêt toujours bien orientés qui ont permis un allègement du coût de la collecte. Enfin, après avoir enregistré un recul de 9 % en 2009, le poste des commissions se réduit à nouveau de 112 millions de F CFP entre 2009 et 2010, soit 5 %. Charges générales d exploitation Les charges générales d exploitation totalisent 6,176 milliards de F CFP contre 6,008 milliards de F CFP en 2009, ce qui représente une progression de 2,8 % par rapport à l exercice précédent. À cette même date, le coefficient net d exploitation y compris l intéressement s établit en baisse à 63,6 % contre 64,4 % en Les charges de personnel progressent de 1,51 % pour atteindre 4,369 milliards de F CFP au 31/12/2010 contre 4,304 milliards de F CFP au 31/12/2009. L année 2010 a été marquée par un nombre important de départs en retraite anticipée pour un coût complet de 195 millions F CFP. L intéressement des salariés atteint 41 millions de F CFP contre 101 millions de F CFP en Les autres frais administratifs s élèvent à 1,807 milliard de F CFP contre 1,704 milliard de F CFP en Les impôts et taxes (patente, impôts fonciers, taxe sur le produit net bancaire ) s établissent à 358 millions de F CFP et les services extérieurs augmentent de 8 % pour s élever à 1,449 milliard de F CFP. Les dotations nettes aux amortissements s élèvent à 699 millions de F CFP (783 millions de F CFP en 2009). Coût du risque Le coût du risque est constitué par les risques inhérents à l activité de crédit et par les risques opérationnels. Il est de 2,939 milliards de F CFP contre 1,911 milliard de F CFP pour l année Compte tenu des difficultés économiques et financières rencontrées par nos clients depuis 2008, le coût du risque de crédit s élève à 2,460 milliards et intègre les dotations nettes de provisions pour créances douteuses pour 1,893 milliard de F CFP et les pertes nettes sur créances irrécouvrables pour 567 millions de F CFP. Impôt sur les sociétés L impôt sur les sociétés s élève à 502,5 millions de F CFP en 2010 contre 695 millions de F CFP en Un crédit d impôts de 294,5 millions de F CFP, reporté des souscriptions 2009, a été imputé sur l impôt La banque n a pas souscrit de projet en défiscalisation locale en Résultat net Après déduction du montant de l impôt sur les bénéfices, l exercice clos au 31 décembre 2010 fait apparaître un résultat net de 375,5 millions de F CFP contre 910 millions de F CFP au 31/12/2009. Cette diminution de -58,7 % par rapport à l exercice précédent est la résultante d une crise qui se poursuit et qui, comme l année dernière, se traduit simultanément par un ralentissement de l investissement des entreprises et une réduction de la consommation des ménages. Le maintien d un résultat net positif, malgré la baisse des encours sains et l alourdissement du coût du risque résultant de cette conjoncture, est à mettre au crédit d une gestion rigoureuse des charges d exploitation.
15 ACTIVITÉ >27 Extract from the Board of Director's Report at the Ordinary General Assembly In a context characterized by an international and local crisis, the SOCREDO Bank s balance sheet totaled at billion F CFP on December 31 st 2010 against billion F CFP on December 31 st 2009, thereby decreasing by 1.1%. The year 2010 was affected by : An important increase in provisions against doubtful debts, The opening of a branch in Paea (April 29 th 2010) : 28 th branch and first one equipped with photovoltaic panels (5 more branches should be equipped), The universal employment service check (November 2010) : it consists of a pre-paid check book allowing individual households to pay for home services, The new liquidity ratio delivered every quarter to the ACP, in accordance with the May 5 th 2009 order from the French Banking Regulatory Committee relative to the identification, the measure, liquidity risk control and management effective as of June 30 th 2010, An accounting method change relative to the booking of fees perceived for a loan grant (loan set up fees). This change implies that these fees are perceived during the maturity lifetime of a loan, according to the December 29 th 2009 order of the n French Banking Regulatory Committee regulations. This change is effective as of June 2010 and is backloaded for the period starting January 1 th 2010, The fifth dividend payout equal to 15 % of the 2009 net income, for a total gross amount of 136 million F CFP. Assets Cash transactions This balance sheet item concerns transactions carried out on behalf of SOCREDO Bank, all currencies combined. It totaled at billion F CFP in 2010 at near level with the billion F CFP reached in On December 31 th 2010, it regrouped the following balance sheet items : - Current liquid assets (cash balance, banknotes and cash in hand, required reserves deposited at the IEOM French Overseas Issuing Bank, holdings at C.C.P Post Office Account): billion F CFP. - Inter-bank deposits (demand deposits and long term loans to credit institutions): billion F CFP. Securities trading On December 31 th 2010, they correspond to the SOCREDO Bank s portfolio of Euro Medium Term Notes subscribed during the first semester of 2009 and the first semester of 2010 (1.432 billion F CFP) for a total of billion F CFP. Customer loans The gross outstanding loans (including related loans) totaled at billion F CFP against billion F CFP in This -1% variation is explained by : - a regression of billion F CFP in sound outstanding loans, - a rise of billion F CFP in delinquent loans, despite the different measures that were took to contain risks. This evolution concerns mainly the corporate portfolio and to a lesser extent the retail portfolio. For the corporate portfolio, this is partially due to the rating of certain loans as delinquent, while they presented no default of payment, because senior management at SOCRDO Bank believed they presented a probable risk of default. The consequence of a rise in delinquent loans is an increase of 4.6 points of the delinquent loan rate which reached 13.8 % at year-end The valuation of collateral made it possible to contain the provisions for doubtful debts rate which reached 47.6 % at year-end 2010 versus 61 % in Private equity This balance sheet item totaled at billion F CFP in 2010 against billion F CFP in 2009, therefore decreasing by 16%, after the repayment of overdrafts linked to local tax free financial operations. It is composed of equity interests, fiscal stakes in the form of partners current accounts and participation certificates in relation with the contributions made to the deposit guarantee system, for a total of 72 million F CFP. The evolution concerning the banks participations related to subsidiaries is explained by the partial recapture of the provision concerning subsidiary OFINA, which mounted up to 173 million F CFP at the end of 2009, bringing it down to 127 million F CFP at the end of The evolution concerning the banks participations and other long term equity is explained by : On the one hand, the partial recapture of provisions on Air Tahiti Nui shares, which went from 788 million F CFP at year-end 2009 to 776 million F CFP in 2010 (the gross value of Air Tahiti Nui shares is equal to 863 million F CFP). On the other hand, cash flows linked to tax free financial operations: the repayment for those in our books (Malibu partially repaid, Tahiti Nui Development, real estate partnership Piti Iri). The debt write-offs mentioned in the account agreements are provisioned for 571 million F CFP, against 917 million F CFP in In 2010, SOCREDO Bank did not subscribe to any account agreements. Tangible and intangible fixed assets Net fixed assets fell back: billion F CFP against billion F CFP in 2009 due to their amortization. The main events that took place this year concerning this balance sheet item are : - The SAB software upgrade to the A8 version. Thanks to this upgrade, SOCREO Bank keeps it s IS updated (17 million F CFP were allocated), - The construction of a branch in Paea, this asset representing 102 million F CFP, -The adjustment for the disposal of assets acquired through leasing (arrived at maturity) for an amount of 97 million F CFP. These amortization of these assets are completely finished.
16 ACTIVITÉ >29 Liabilities Inter-bank transactions Bank financing registered a billion F CFP increase, reaching billion F CFP against billion F CFP in 2009, the remaining credit lines with a maturity date set for 2010 having been drawn: - The BRED credit line of 25 million euros (for the financing of the Bank s 2008 credit program), signed on December 1 st 2009, was partially drawn on April 6 th 2010 for an mount of 12 million USD. The remaining 17 million euros was drawn on November 29 th The AFD credit lines were drawn for a total of 45 million euros: 30 million euros in June and 15 million euros in December. Moreover, the CPS (social security fund) credit line, destined to finance the Bank s loan activity, was classified in a different category, in accordance with the ACP s (prudential authorities) recommendations. Customer deposits At year-end 2010, customer deposits (including equity related debt) made an 4.4 billion F CFP decrease, going down 3 %, and reached billion F CFP against billion F CFP in In 2010, customer deposits on the Polynesian market fell back because of the economic conjuncture and public finances downgrade and low interest rates. The balance sheet item other customer deposits contains savings accounts belonging to clients that are linked to tax free financial operations. In 2010, net banking income increased by 2.5 % in comparison with 2009 and reached billion F CFP against billion F CFP in Shareholders equity Shareholders equity (provisions for global banking risks included) reached billion F CFP, against billion F CFP in 2009, decreasing by 2%. The reason for this evolution is explained by : - The appropriation of 5 % of the 2009 net income (45.5 million F CFP) to statutory reserves, - The appropriation of 80 % of the 2009 net income (728.5 million F CFP) to be carried forward, - A dividend payout of 136 million F CFP, representing 15 % of the 2009 net income, - The recapture of the balance sheet item «balance brought forward» for 873 million F CFP that was made so as to take into account the backloaded impact for 2009 of the accounting method change that was evoked earlier. The Off balance sheet Off-balance sheet liabilities Having reached billion F CFP at the end of the year against billion F CFP in 2009, off-balance sheet liabilities decreased by 26 %. The principal components of this off-balance sheet item are customer loans and overdraft facilities. They decreased by 37 % and totaled up to billion F CFP against billion F CFP in Guaranteed commitments received from credit institutions correspond to guarantees given to BRED by SOCREDO Bank to hedge transactions made between our clients and BRED with structured products. This off-balance sheet item represents 554 million FCFP. Guaranteed commitments in favor of customers (guarantees, real estate project bank guarantees ) fell down by 21.2 % and reach billion F CFP against billion F CFP in Off-balance sheet assets Financing commitments tied to credit institutions decreased by 19.5 % and reached billion F CFP in 2010 against billion F CFP in Credit lines linked to bank financing have been renewed to secure the Bank s cash position if needed. Guaranteed commitments received from credit institutions reached billion F CFP in 2010 against billion F CFP in Income statement In 2010, net banking income increased by 2.5 % in comparison with 2009 and reached billion F CFP against billion F CFP in The net interest margin on inter-bank transactions slightly dropped to billion F CFP against billion F CFP in This evolution is due to the decrease of the cash balance s yield that resulted from the falling of interest rates. The net interest margin on client transactions remained stable, establishing itself at billion F CFP in 2010 against billion F CFP in The level of margin on client transactions improved because of well oriented interest rates that resulted in alleviated interest payments. Finally, after a 9 % decrease in 2009, the fees and commissions balance decreased by 112 million F CFP between 2009 and 2010, dropping by 5 %. General operating expenses General operating expenses totaled at billion FCFP against billion FCFP in 2009, therefore increasing by 2.8 % in comparison with last year. The net operating ratio, profit-sharing to the staff included, reached 63.6 % against 64.4 % in Personnel costs increased by 1.51 % and totaled at billion F CFP against billion F CFP in The year 2010 was marked by a great number of early anticipated retirements for a total cost of 195 million F CFP. Profit-sharing with staff reached 41 million FCFP against 101 million FCFP in Other administrative costs reached billion F CFP against billion F CFP in Taxes (trading license taxes, land taxes, tax on net bank profits, ) reached a total of 358 million FCFP, while operating costs increased by 8 % and reached billion F CFP. The net depreciation allowances added up to 699 million F CFP (783 million F CFP in 2009). Risk provisions These provisions are composed of risks inherent to client loans and operational risks. They reached billion F CFP against billion F CFP in Because of the difficult economic and financial context weighing on our clients since 2008, provisions for doubtful debts reached billion F CFP, including the net provisioning of delinquent loans for billion F CFP and net losses on uncollectible debts for 567 million F CFP. Corporate income tax Corporation tax reached million F CFP in 2010 against 695 million F CFP in For 2010, million F CFP in tax credits were carried forward from The Bank did not participate in tax free financial operations for Net income After the deduction of corporate income taxes, net income reached million F CFP at the end of the financial year on December 31 st 2010, against 910 million F CFP in This 58.7 % decrease, in comparison with last year, is due to the continuing crisis which, like last year, is characterized by a slowing down of business investments and a drop in household consumption. The maintaining of a positive net income, despite a fall in sound outstanding loans and a rise in provisions for doubtful debts, was possible thanks to a strict management of general operating costs.
17 31 Annexes 2010 Partie 2 Données financières Rapport général des Commissaires aux comptes 32 Comptes sociaux 34 Principes comptables 38 Informations sur l actif du bilan 44 Informations sur le passif du bilan 62 Informations sur le hors-bilan 69 Informations sur le compte de résultat 70 Autres informations 82
18 32>33 Rapport général des Commissaires aux comptes Messieurs les Actionnaires, En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée Générale, nous vous présentons notre rapport relatif à l exercice clos le 31 décembre 2010, sur : - le contrôle des comptes annuels de la «Banque SOCREDO», tels qu ils sont joints au présent rapport ; - la justification des appréciations ; - les vérifications spécifiques prévues par la loi. Les comptes annuels ont été arrêtés par votre Conseil d Administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d exprimer une opinion sur ces comptes. Sans remettre en cause l opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note I.6.2 de l annexe aux comptes annuels qui expose les engagements de la société en termes d indemnités de retraite et l existence d un usage potentiellement révocable permettant des départs anticipés à partir de 50 ans. Par ailleurs, conformément à l article L du Code de Commerce, nous vous informons qu un changement de principes comptables imposé par la réglementation est intervenu sur le traitement des commissions et frais liés à l octroi ou à l acquisition d un concours. Ce changement de méthode comptable est exposé dans la note I.1 de l annexe aux comptes annuels III. VÉRIFICATIONS SPÉCIFIQUES Nous avons également procédé, conformément aux normes d exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi. Nous n avons pas d observation à formuler sur leur sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Conseil d Administration et dans les documents adressés aux actionnaires sur la situation financière et les comptes annuels. Fait à PAPEETE, Le 7 juin 2011 I. OPINION SUR LES COMPTES ANNUELS Nous avons effectué notre audit selon les normes d exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d obtenir l assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d anomalie significative. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Nous certifions que les comptes annuels de l exercice sont, au regard des règles et principes comptables français, tels qu applicables en Polynésie française, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice. II. JUSTIFICATION DES APPRÉCIATIONS En application des normes d exercice professionnel relatives à la justification de nos appréciations, nous vous informons que les appréciations auxquelles nous avons procédé ont porté sur le caractère approprié des principes comptables appliqués ainsi que sur le caractère raisonnable des estimations significatives retenues, notamment pour ce qui concerne l évaluation des risques liés aux créances. Nous avons porté notre attention sur l adéquation du traitement comptable avec le risque correspondant, de la constitution le cas échéant et de la valorisation des provisions sur les encours clients à la clôture de l exercice. Les appréciations ainsi portées s inscrivent dans le cadre de notre démarche d audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport. Pour la S.C.P. REDON-PELLOUX-CHAIZE Membre de KPMG International Jean-Louis PELLOUX Commissaire aux Comptes Associé Pour la S.C.P. GOSSE-PARION-CHANGUES-MENARD-ALBERT Membre de PricewaterhouseCoopers Christophe PARION Commissaire aux Comptes Associé
19 34> 35 Les comptes sociaux BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2010 (MONTANTS EN F CFP) BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2010 (MONTANTS EN F CFP) Actif Opérations interbancaires et assimilés Caisse, banques centrales, CCP Effets publics et valeurs assimilées Créances sur les établissements de crédit Créance sur la clientèle Opérations sur titres Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable 0 Valeurs immobilisées Participations et autres titres détenus à long terme Parts dans les entreprises liées Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles Capital souscrit non versé Actions propres Comptes de régularisation et actifs divers Autres actifs Comptes de régularisation TOTAL DE L ACTIF Passif Opérations interbancaires et assimilés Banques centrales, CCP Dettes envers sur les établissements de crédit Comptes créditeurs de la clientèle Comptes d épargne à régime spécial Autres dettes Dettes représentées par un titre Comptes de régularisation et passifs divers Autres passifs Comptes de régularisation Provisions et dettes subordonnées Provisions pour risques et charges Dettes subordonnées Fonds pour risques bancaires généraux Capitaux propres hors FRBG Capital souscrit Primes d émission Réserves Écart de réévaluation Provisions réglementées et subventions d investissement Report à nouveau (+ /-) Résultat de l exercice TOTAL DU PASSIF
20 36>37 HORS-BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2010 (MONTANTS EN F CFP) COMPTE DE RÉSULTAT AU 31 DÉCEMBRE 2010 (MONTANTS EN F CFP) Engagements donnés Engagement de financement engagements en faveur d établissements de crédit engagements en faveur de la clientèle Engagement de garantie engagements d ordre d établissements de crédit engagements d ordre de la clientèle Engagement sur titres - titres acquis avec faculté de rachat ou de reprise - autres engagements donnés Engagements recus Engagement de financement engagements reçus d établissements de crédit engagements reçus de la clientèle Engagement de garantie engagements reçus d établissements de crédit engagements reçus de la clientèle Engagement sur titres - titres vendus avec faculté de rachat ou de reprise - autres engagements reçus Intérêts et produits assimilés Intérêts et charges assimilés ( ) ( ) Revenus des titres à revenu variable Commissions (produits) Commissions (charges) ( ) ( ) Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de placements et assimilés Autres produits d exploitation bancaire Autres charges d exploitation bancaire ( ) ( ) Produit net bancaire Charges générales d exploitation ( ) ( ) Frais de personnel ( ) ( ) Autres frais administratifs ( ) ( ) Dotations aux amortissements et aux provisions sur immobilisations incorporelles et corporelles ( ) ( ) Résultat brut d exploitation Coût du risque ( ) ( ) Résultat d exploitation Résultat net sur actifs immobilisés Résultat courant avant impôt Résultat exceptionnel ( ) ( ) Impôt sur les bénéfices ( ) ( ) Dotations / Reprises de FRBG et provisions réglementées Résultat net
3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailLE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques
Plus en détailCommuniqué de presse 26 janvier 2011. Lancement de l application «SOCREDO MOBILE»
Communiqué de presse 26 janvier 2011 Lancement de l application «SOCREDO MOBILE» 11 COMMUNIQUE DE PRESSE Papeete, le 26 janver 2011 SOCREDO Mobile : la première application bancaire du Fenua smartphones
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailCOMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014
COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 ca-des-savoie.fr Arrêtés par le Conseil d administration du Crédit Agricole des Savoie en date du 23 janvier 2015 soumis à l approbation de l Assemblée Générale Ordinaire
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement
Plus en détailCUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation
CUSTOM SOLUTIONS SA Société anonyme au capital de 4.863.050 Siège Social : 135, avenue Victoire Z.I. de Rousset-Peynier 13790 ROUSSET RCS AIX EN PROVENCE B 500 517 776 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLe groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1)
16 mars 2011 Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) Résultat net total 3 026 M (+61 %) Résultat
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailFAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008
SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 juillet 2015 RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 Croissance des résultats opérationnels Produit Net Bancaire : 2 929 millions d euros (+ 2.9
Plus en détailCOMMUNICATION FINANCIèRE Des Banques Populaires Régionales
COMMUNICATION FINANCIèRE Des Banques Populaires Régionales AU 30 JUIN 2011 Banque Populaire du centre sud Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 182 505 183 673
Plus en détailGrâce à son dynamisme et à sa solidité, La Banque Postale conforte son développement et sa profitabilité
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 9 septembre 2010 Grâce à son dynamisme et à sa solidité, La Banque Postale conforte son développement et sa profitabilité Au 30 juin 2010 : PNB consolidé : 2 640 millions
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE BOUYGUES
Paris, le 25 février 215 COMMUNIQUÉ DE PRESSE BOUYGUES RÉSULTATS ANNUELS RÉSULTATS EN LIGNE AVEC LES ATTENTES BONNES PERFORMANCES COMMERCIALES RÉSULTAT OPÉRATIONNEL COURANT : 888 MILLIONS D EUROS RÉSULTAT
Plus en détailComptes de tiers (Classe 4)
Comptes de tiers (Classe 4) Les comptes de tiers, notamment le compte 40 «Fournisseurs et comptes rattachés» et le compte 41 «Clients et comptes rattachés», peuvent être subdivisés pour identifier : les
Plus en détailCIC Activité commerciale toujours en croissance
Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation
Plus en détailPUBLICATIONS PÉRIODIQUES BANQUE SOCREDO
PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COMPTES ANNUELS) BANQUE SOCREDO Société anonyme d économie mixte au capital de 22 000 000 000 F CFP. Siège social : 115, rue Dumont d Urville,
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES
ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES AU 30 JUIN 2014 1 SOMMAIRE ÉTATS DE SYNTHESE 1. Etat résumé de la situation financière consolidée 2. Etats résumés du résultat net et des gains et pertes
Plus en détailPerformance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012
Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détail---------------------------------------------------- Rapport Financier Semestriel 30/06/2013 --------------------------------------
RAPPORT FINANCIER SEMESTRIEL 1 er janvier 30 juin 2013 ---------------------------------------------------- Rapport Financier Semestriel 30/ -------------------------------------- Société anonyme au capital
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)
1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailParis, le 31 juillet 2014
Paris, le 31 juillet 2014 Groupe BPCE : 1 er semestre 2014 solide avec un résultat net part du groupe de 1,7 milliard d euros 1 en hausse de 10,4 % par rapport au 1 er semestre 2013 Bonne performance commerciale
Plus en détailCommuniqué de presse
Communiqué de presse Sportscene maintient le cap malgré le contexte économique actuel Montréal, le 22 janvier 2015 À l occasion de son assemblée annuelle des actionnaires tenue ce matin à la Cage aux Sports
Plus en détailLa société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont
La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont résultats et autres renseignements caractéristiques de la société au cours des cinq derniers exercices) La société mère : Comptes
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailETATS FINANCIERS SEMESTRIELS. Données consolidées. Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014. Page 1 sur 13
ETATS FINANCIERS SEMESTRIELS Données consolidées Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014 Page 1 sur 13 SOMMAIRE 1. Principes et méthodes de consolidation 2. Evénements significatifs postérieurs à la clôture
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailEtats financiers consolidés du Groupe BPCE. au 31 décembre 2013. Version non auditée
Etats financiers consolidés du Groupe BPCE au 31 décembre 2013 Version non auditée GROUPE BPCE - version non auditée - 1 - 5 RAPPORT FINANCIER 5.1 Comptes consolidés IFRS du Groupe BPCE au 31 décembre
Plus en détailLa Banque de Savoie, une année florissante
Communiqué de presse le 15 mai 2014, à Chambéry, La Banque de Savoie, une année florissante A l occasion de son Assemblée Générale qui s est tenue au Siège Social, le 22 avril 2014, la Banque de Savoie
Plus en détailALGERIA CONDITIONS DE BANQUE. Applicables à compter du 04 Janvier 2015
ALGERIA CONDITIONS DE BANQUE Applicables à compter du 04 Janvier 2015 1. Gestion de compte Date valeur Intérêts Commissions et Frais 1.1. Ouverture & Clôture de comptes DZD et Devises 1.2. Frais de tenue
Plus en détailPUBLICATIONS PÉRIODIQUES GDF SUEZ TRADING
PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COTES ANNUELS) GDF SUEZ TRADING Société par actions simplifiée au capital de 351 200 000. Siège social : 1, place Samuel de Champlain, 92400
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailConférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008
Conférence de presse 26 février 2009 Groupe Banque Populaire Résultats 2008 Avertissement Cette présentation peut inclure des prévisions basées sur des opinions et des hypothèses actuelles relatives à
Plus en détailOBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM
ÉDITION 2013 OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 INSTITUT D ÉMISSION D OUTRE-MER Siège social 164, rue de Rivoli - 75001 Paris Tél. +33 1 53 44 41 41 Fax +33 1 44 87 99 62 Rapport
Plus en détailLFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES
LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement
Plus en détailCIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS
1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détail- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux
BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailNORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32
NORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32 OBJECTIF 01. La norme comptable NC 01 - "Norme comptable générale" définit
Plus en détailrelatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailCHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE
CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE L ordonnance n 10-04 du 26 août 2010, modifiant et complétant l ordonnance n 03-11 relative à la monnaie et au crédit, stipule que la Banque d Algérie est
Plus en détailCegedim : Un chiffre d affaires 2013 en léger recul en organique*
SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2013 IFRS - Information Réglementée
Plus en détailRésultats annuels 2013 en forte croissance
Communiqué de presse - Clichy, 25 mars 2014, 18h Résultats annuels 2013 en forte croissance Chiffre d affaires en hausse de 5,3% à 420,7 M Résultat opérationnel en hausse de 31,7% à 43,4 M Résultat net
Plus en détailCONDITIONS TARIFAIRES
CONDITIONS TARIFAIRES Des produits et services proposés par Groupama Banque Applicables au 1 er JANVIER 2015 Clientèle DES PROFESSIONNELS AGRICOLES Des artisans, commerçants et prestataires de services
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailRapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015
Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois
Plus en détailENTREPRISES, PROFESSIONNELS ET ASSOCIATIONS
BARÈME ENTREPRISES, PROFESSIONNELS ET ASSOCIATIONS CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AU 1 ER SEPTEMBRE 2013 (EN F.CFP - TSS 5 % INCLUSE) V2 1 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE > Ouverture,
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailAUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments
Plus en détailEnquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit
Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailUne banque engagée et responsable
Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailLes temps forts de l année 2000. Les grandes masses budgétaires 1995-2000. Les résultats de la politique financière. La dette régionale et le bilan
S O M M A I R E Les temps forts de l année 2000 Les grandes masses budgétaires 1995-2000 L équilibre financier 2000 et les dépenses par secteurs d intervention Les résultats de la politique financière
Plus en détailGUIDE DES PRINCIPAUX PRODUITS, SERVICES ET TARIFS
Professionnels Entrepreneurs GUIDE DES PRINCIPAUX PRODUITS, SERVICES ET TARIFS janvier 2014 Professionnels Entrepreneurs Sommaire Vous êtes artisan, commerçant, agriculteur, profes sionnel libéral, dirigeant
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailRESULTATS DU 1 ER SEMESTRE 2012-2013
COMMUNIQUE D INFORMATION Sète, le 17 avril 2013-17h45 RESULTATS DU 1 ER SEMESTRE 2012-2013 GILBERT GANIVENQ, PRESIDENT, ET OLIVIER GANIVENQ, DIRECTEUR GENERAL «Groupe Promeo a engagé depuis plusieurs mois
Plus en détailAbrogé et repris par règlement ANC n 2014-07
REGLEMENT N 00-03 DU 4 JUILLET 2000 RELATIF AUX DOCUMENTS DE SYNTHESE INDIVIDUELS DES ENTREPRISES RELEVANT DU COMITE DE LA REGLEMENTATION BANCAIRE ET FINANCIERE Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07
Plus en détailGROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013
GROUPE Comptes consolidés Au 31décembre 2013 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET METHODES DE
Plus en détailEdissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo
Edissimmo SCPI Immobilier d Entreprise classique diversifiée à capital variable Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Comporte
Plus en détailRésultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Communiqué de presse La Fouillouse, le lundi 9 décembre 2013 Résultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailEdissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE
Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Valorisez votre patrimoine avec de l immobilier d entreprise de qualité en investissant dans la SCPI Edissimmo - Durée recommandée : 8 ans Augmentation de capital ouverte
Plus en détailNOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER
NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 29 juillet 2015 Intact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre Résultat opérationnel net par action de 1,56 $ avec un ratio combiné de 91,6 %.
Plus en détailOFFRE PUBLIQUE DE RETRAIT portant sur les actions de la société. (anciennement dénommée FORINTER) OFI PE Commandité
OFFRE PUBLIQUE DE RETRAIT portant sur les actions de la société (anciennement dénommée FORINTER) initiée par OFI PE Commandité présentée par INFORMATIONS RELATIVES AUX CARACTÉRISTIQUES DE OFI PE Commandité
Plus en détailNC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires
NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires Objectif 01. La Norme Comptable NC 01 -"Norme Comptable Générale" définit les règles relatives à la présentation des états financiers
Plus en détailSCPI Amundi DEFI Foncier
SCPI Amundi DEFI Foncier SCPI de Déficit Foncier à capital fixe Souscription ouverte jusqu au 16 décembre 2015 - Pour bénéficier du dispositif fiscal de déficit foncier en 2014, souscription jusqu au 16
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004
Plus en détailOBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM
OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2011 1 INSTITUT D ÉMISSION D OUTRE-MER Siège social 164, rue de Rivoli - 75001 Paris Tél. +33 1 53 44 41 41 Fax +33 1 44 87 99 62 Rapport d activité
Plus en détailRAPPORT DE GESTION 2014
Caisse régionale de Crédit Agricole du Finistère RAPPORT DE GESTION Exercice 2014 SOMMAIRE I CONTEXTE ECONOMIQUE ET FINANCIER... 1 II ACTIVITES ET RESULTATS COMMERCIAUX... 2 III RAPPORT FINANCIER... 5
Plus en détailPrincipales conditions tarifaires
PROFESSIONNELS Principales conditions tarifaires Applicables au 1 er mai 2015 www.bnpparibas.net/entrepros BNP Paribas vous informe des principales évolutions tarifaires des produits et services pour l
Plus en détailC e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications
Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)
Plus en détailA. Bilan. B. Compte de résultat. Comptes sociaux au 31 décembre 2013. ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut
Comptes sociaux au 31 décembre 2013 A. Bilan ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut 2013 Amort. et dépréc. Immobilisations incorporelles 3-4 21 280 1 926 19 354 19 071 Immobilisations corporelles 3-4 7
Plus en détailBARÈME PARTICULIERS CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AU 1 ER FÉVRIER 2014 (EN F.CFP - TSS 5 % INCLUSE)
BARÈME PARTICULIERS CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AU 1 ER FÉVRIER 2014 (EN F.CFP - TSS 5 % INCLUSE) EXTRAIT STANDARD DES TARIFS Dans le but de vous faciliter la lecture de ses barèmes tarifaires, la
Plus en détailPUBLICATIONS PÉRIODIQUES CREATIS
PUBLICATIONS PÉRIODIQUES SOCIÉTÉS COMMERCIALES ET INDUSTRIELLES (COMPTES ANNUELS) CREATIS Société anonyme au capital de 52 900 000. Siège social : Parc de la Haute Borne, 61, avenue Halley, 59650 Villeneuve-d
Plus en détailComptes Consolidés 30/06/2014
Comptes Consolidés 30/06/2014 Table des matières BILAN... 2 COMPTE DE RESULTAT... 3 NOTE ANNEXE AUX COMPTES CONSOLIDES... 4 Note 1 - Faits marquants de la période et évènements post clôture... 4 Note 2
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailLe PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé
Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes
Plus en détail