carrés bleus 6 La lettre d information du Groupe BALAS - 3 e trimestre 2008
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- Alain Laroche
- il y a 8 ans
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1 carrés bleus 6 Grand angle Perspectives 2010 Métier Carrément pro! Le Groupe BALAS actif sur le «chantier» du bâtiment durable Le Groupe BALAS intègre les techniques de demain Isabelle COUFFIGNAL, animateur de synthèse Patrick LE CHARPENTIER, chargé d affaires en Couverture Revue de chantier Le Collège des Bernardins
2 Edito Revue de chantier Le Développement Durable Le Développement Durable, plus qu une mode, est un besoin, à la fois engagement individuel et engagement collectif. Pour le Groupe BALAS, c est aussi un comportement d entreprise. En 2007, avec une forte adhésion des collaborateurs du Groupe, nous avons décidé que l axe Développement Durable serait placé au cœur de notre plan d actions et de progrès 2008/2010. Cette sensibilité ne date pas d aujourd hui chez BALAS. L âge de l entreprise (204 ans en 2008) est un premier signe important de cette préoccupation de durabilité et de pérennité. Notre engagement en termes d apprentissage et de transfert des savoir-faire en est un autre. Le «durable» est depuis toujours un des fondamentaux de notre stratégie. Le défi prend aujourd hui une nouvelle forme, celle de savoir imaginer et mettre en œuvre de nouvelles solutions. Le Développement Durable, et en particulier l approche française du Grenelle de l Environnement vont impacter de façon forte : - nos collaborateurs actuels et futurs pour lesquels l engagement de l entreprise en matière de Développement Durable constitue un élément important d attractivité ; - nos métiers, non seulement par l évolution des techniques et des technologies mais aussi et surtout par celle de la révolution culturelle que l approche Développement Durable implique ; - nos marchés par la nécessité de construire différemment, d apporter une garantie sur le comportement énergétique des bâtiments et de nos installations ; - nos clients dont les besoins et la sensibilité évoluent de façon importante et rapide, et qui attendent de nous à la fois imagination et compétence, propositions et conseils. Ce défi, les collaborateurs du Groupe BALAS ont décidé de le relever. Jean BALAS Le Collège des Bernardins Grâce aux pompes géothermiques sur nappe phréatique et aux planchers réversibles installés par les équipes de l entreprise BALAS, 65% de l énergie consommée devrait être économisée. Edifice cistercien dont la construction débuta en 1247, encore récemment caserne de pompiers menacée de ruine, le Collège des Bernardins (18-24 rue de Poissy, 5ème) racheté à l Etat par le Diocèse de Paris à l initiative de feu Monseigneur le Cardinal Lustiger va revivre et retrouver sa vocation de centre de rayonnement intellectuel et spirituel grâce à des travaux entrepris depuis Après consolidation de la structure du bâtiment grâce à des techniques modernes compatibles avec le classement Monument Historique, et la création de nouvelles surfaces sous les jardins, les corps d état techniques ont pu entreprendre l équipement des bâtiments destinés à accueillir des colloques, des expositions, un centre de formation, et une salle de cinéma. En l occurrence, l entreprise BALAS s est vue attribuer par Sefri Cime les lots Plomberie et CVC et la mission de Synthèse. Afin de respecter l architecture du bâtiment, il était inconcevable d installer des conduites de chauffage ou des dry en toiture. Seules deux solutions étaient possibles : le raccordement aux réseaux CPCU et Climespace, ou l utilisation d une pompe à chaleur. Les premiers étant trop éloignés pour être utilisés, la maîtrise d ouvrage a choisi cette dernière solution. Peu présente dans Paris intra-muros, la technologie retenue a été celle de pompes géothermiques alimentées grâce à un forage à 35 mètres de profondeur jusqu à la nappe phréatique, forage tubé pour lequel une autorisation spécifique a dû être obtenue. Le débit d eau est de 60 m 3 /h et alimente des planchers réversibles. Cette eau est ensuite réinjectée dans la même nappe mais à 80 mètres de distance, les deux puits étant situés aux deux extrémités du bâtiment. Les compagnons BALAS ont posé plus de 2000 m 2 de plancher sous les dalles de la grande salle gothique et du cellier, au plus près de l original et des vestiges conservés, dont une tombe. Exemple extrême de chantier de réhabilitation, le Collège des Bernardins est un hommage aux bâtisseurs du XIII ème siècle et à leurs successeurs du XXIème. Fiche technique Maîtrise d ouvrage : Association Diocésaine de Paris - SCI Le Collège des Bernardins Maîtrise d ouvrage déléguée : Sefri Cime Maîtres d oeuvres : Monuments Historiques : Cabinet d Hervé Baptiste Aménagement, équipement et création de surfaces nouvelles : Cabinet de Jean-Michel Wilmotte OPC : société ELAN Bureau d études techniques : Michel Bancon et Alto Lot CVC + Synthèse : Lot Plomberie : Directeurs de département : Didier VARENNE, Pascal PINEAU Conducteur de travaux : William BRUXELLES Chef de chantier : Hubert MATHIEU 2
3 Revue de chantier OCDE : rénovation complète et stockage de glace De juillet 2007 à octobre 2008, les équipes BALAS ont procédé à la réfection des installations de génie climatique de deux des bâtiments de l OCDE à Paris soit m 2 de bureaux sur 6 étages. Adjudicataire du marché, l entreprise Balas a été chargée : - de la production de froid avec stockage de glace et de la distribution d eau glacée, - de la sous-station eau chaude et de la distribution d eau chaude, - du traitement d ambiance des locaux, - de la ventilation mécanique contrôlée, - du désenfumage mécanique, - des installations électriques et de régulation des différents systèmes de C.V.C., - de la Gestion Technique du Bâtiment des équipements techniques CVC, Courants Forts, plomberie, et ascenseurs. Les équipes de BALAS ont ainsi installé en 15 mois : - 2 groupes froid Trane à condensation par eau, - 2 aéro-réfrigérants X-Change d une puissance de kw, - 10 centrales de traitement d air Hydronic, ventilo-convecteurs Carrier, plafonniers et allèges, pour l émission de chaleur et de rafraîchissement, - 20 armoires de climatisation Liebert en double source (eau glacée et détente directe) pour les locaux informatiques. Pour la production d eau glacée, le maître d ouvrage a choisi une configuration qui existait déjà sur les deux tranches précédentes de rénovation des bâtiments de l OCDE: un groupe Trane de 500 kw fonctionne strictement en température positive, tandis que le second de 692 kw fonctionne alternativement en négatif pour charger un stockage de glace Fafco et en positif pour la climatisation des locaux. Ce choix du stockage de glace permet de limiter le nombre de groupes froid nécessaires. Tous les appareils montés en façade sont alimentés directement en air neuf par un caisson de ventilation avec filtration, à raison d un caisson pour 2 à 4 ventilo convecteurs. Les prises d air se trouvent derrière des grilles directement en façade. Cette solution permet de réduire le débit d air demandé aux CTA centralisées, de diminuer le diamètre des gaines de distribution et de reprise, et d individualiser au mieux le pilotage de la ventilation et de l apport d air neuf selon l occupation des bureaux. Cette solution qui limite la consommation d énergie a exigé un traitement acoustique spécifique (interphonie entre bureaux). Spécificité de ce chantier de rénovation, l exiguïté des locaux techniques a rendu les études et surtout la réalisation des installations particulièrement ardues, ce qui n a pas empêché les équipes BALAS de tenir les délais impartis. Brèves Les chantiers en cours Les équipes Grands Travaux Fluides du Groupe BALAS travaillent actuellement sur les chantiers suivants : B3 Boulogne, Hines 13/15 Pasquier, Generali 23/25 Courcelles, Groupama Cap Levallois, GMF Carré Suffren, Cogedim Farman, Bouygues Immobilier Grands Moulins de Pantin, Meunier Korus 2, Cogedim Salle des Marchés de la Société Générale, Nexity Siège de l OCDE, OCDE Topaze, Cibex Tour Anjou, Cogedim Trianum, Meunier Centre Hospitalier de Valenciennes Hôpital Ambroise Paré, AP-HP Hôpital Begin, Ministère des Armées Hôpital Cochin, AP-HP Hôpital Rothschild, AP-HP Hôpital Saint-Louis, AP-HP ADP Terminal 1 Air France T2G Comédie Française Forum des Images, Ville de Paris Laboratoire Servier Le Groupe BALAS au SIMI Le Groupe BALAS sera présent du 3 au 5 décembre 2008 au SIMI sur le stand de Synergie, le Groupement des Entrepreneurs du Bâtiment, et vous y accueillera avec plaisir. Fiche technique Maître d ouvrage : OCDE Assistance à maîtrise d ouvrage : GEMO Architecte mandataire : Macary, Menu & Delamain Architectes associés : Pei, Cobb, Freed & Partners BET : IOSIS Lot CVC : environ 5 millions d Euros. Chargés d affaires : Arthur DJAMI et Jorge d ARAUJO Chef de chantier : Iréné PONAMA 3
4 Grand angle Préparer l avenir Le Groupe BALAS actif sur le «chantier» du bâtiment durable Aménagement «durable» d un duplex en plein Paris Au sein du département Aménagement & Rénovation de BALAS, Frédéric POULIN a fait ses armes dès 2005 grâce à la demande d un particulier, très engagé en matière d environnement. Dans un quartier historique de Paris, en dernier étage, tous les moyens possibles ont été mis en œuvre pour rénover un duplex en associant patrimoine, esthétique, confort moderne et efficacité énergétique. Equipé de panneaux solaires pour la production d eau chaude, de panneaux photovoltaïques, d une chaudière à condensation qui alimente un plancher chauffant sur deux étages, et d une centrale de traitement d air doubleflux thermodynamique, l appartement est un exemple de ce que pourraient devenir les derniers étages parisiens d ici Architecte : Carre d Arch Barade & Senlis Architectes Associés Intégration de panneaux photovoltaïques en rénovation Dans le cadre des travaux de réfection des couvertures des bâtiments L Oréal à Chevilly-Larue (94), le maître d œuvre Secc et le Groupe BALAS représenté par Olivier ETIENNE, ont proposé l intégration de 120 m 2 de panneaux photovoltaïques au bâti sur la toiture Sud. Le projet affiche un retour sur investissement de 17 ans avec une production annuelle revendue en totalité à EDF. Production d eau chaude sanitaire solaire Pour le Restaurant Inter Entreprise du bâtiment L Angle à Boulogne-Billancourt, Hines a choisi de faire installer en toiture d un bâtiment de 8 étages des panneaux solaires. 16 m 2 de 4
5 Grâce à ses spécialités techniques du second œuvre, le Groupe BALAS est au premier rang des acteurs concernés par le Développement Durable dans le bâtiment. Attentifs aux évolutions, conscients des changements à venir, les collaborateurs du Groupe avancent, proposant des technologies nouvelles ou cherchant des solutions «cousues main» pour des maîtres d ouvrage de plus en plus mobilisés qui anticipent de façon volontaire des obligations que les Pouvoirs Publics annoncent pour * Puits canadien (ou provençal) : il s agit d un conduit enterré dans lequel l air est refroidi en été (et réchauffé en hiver) en utilisant l inertie thermique du sol avant d aller alimenter un bâtiment. Les activités du Groupe BALAS s étendent essentiellement sur Paris et sa proche couronne, avec des contraintes d urbanisation spécifiques : difficile, en effet, de créer un puits canadien* dans Paris ou de couvrir un immeuble haussmannien en copropriété de panneaux photovoltaïques. Néanmoins, progressivement, les opérations à caractère environnemental se développent, alors même que les bâtiments construits correspondent à des permis de construire déposés il y a quelques années. Le neuf passe au renouvelable Même s il existe un certain décalage dans le temps entre le dépôt d un permis de construire et le début des travaux, les chantiers 2008 du Groupe BALAS commencent à refléter l évolution du bâtiment vers des solutions plus économes en énergie, les plus répandues étant aujourd hui les PAC (pompes à chaleur) et la ventilation double flux. Quant aux projets, ils montrent une nette évolution, la moindre n étant pas la réutilisation des eaux de pluie en usage intérieur. Réhabiliter l existant Très présent à Paris et reconnu dans le secteur du patrimoine ancien et historique, le Groupe BALAS est au cœur de la problématique de la réhabilitation «durable» des bâtiments. Les bâtiments dits «anciens» (construits avant 1975, date de mise en place de la première règlementation énergétique) constituent un gisement d économies d énergie potentiellement important, mais aussi plus difficile à exploiter. Néanmoins, des solutions existent, notamment d intégration de panneaux solaires ou de panneaux photovoltaïques au bâti. Les frontières entre les corps d état évoluent Effet de la pression environnementale et des développements technologiques, les limites entre les spécialités techniques commencent à bouger : la couverture qui servait essentiellement à protéger le bâti devient potentiellement source d énergie et d eau. Les compagnons-couvreurs assemblent désormais les réseaux électriques des panneaux photovoltaïques ou solaires et doivent coordonner avec les plombiers le chauffage de l eau sanitaire, l arrosage des jardins et la fourniture d eau pour les sanitaires. Autant d opportunités pour le Groupe BALAS de faire évoluer ses différents corps de métier vers les besoins de demain et une offre de solution «eau+énergie». Le bâtiment représente en France 43% de l énergie finale consommée (2/3 dans le logement et 1/3 dans le tertiaire) et produit environ 22% des rejets de gaz à effet de serre. La consommation moyenne annuelle d énergie du secteur est proche de 240 kwh d énergie primaire par m² (kwhep/m²/an). La contrainte de réduction des émissions de CO 2, mais également la hausse inéluctable du coût de l énergie liée à l épuisement progressif des ressources, nécessiteront de parvenir à une consommation moyenne d énergie primaire de l ordre d une centaine de kwh/m² en 2050 pour l ensemble des bâtiments en service selon les échéances suivantes : - 12% en 2012 (soit 210 kwhep/m 2 /an) - 38% en 2020 (150 kwhep/m 2 /an) - 70 à - 80% en 2050 (soit 50 à 80 kwhep/m 2 /an). (Sources : ADEME, Rapport du Grenelle de l Environnement.) capteurs solaires à tubes sous vide alimentent, via un ballon d eau chaude de 1000 litres, la production d eau chaude nécessaire au poste laverie située 39 mètres plus bas en soussol. Il s agit là d une première pour le maître d ouvrage. Cette solution simple et pratique, réalisée à la demande même de M. LAPIERRE, et que Frédéric BONJEAN, chargé d affaires, a dimensionnée, est désormais systématiquement proposée par FOURNIER GUIGNARD. Récupération de chaleur sur réseau frigorifique FOURNIER GUIGNARD a réalisé un système de récupération de chaleur sur le groupe de réfrigération de l installation frigorifique conçue et réalisée pour LAPIERRE Traiteur à St-Denis. Grâce à l ajout d un échangeur à plaques fabriqué spécifiquement, l eau de ville est préchauffée de 15 C à 45 C, avant d être envoyée vers les machines à laver, permettant ainsi une réduction des besoins en gaz et donc les charges d exploitation: un excellent exemple de solution «gagnant-gagnant». Alimentation des sanitaires Avant la publication de l arrêté du 21 août 2008 relatif à la récupération des eaux de pluie et à leur usage à l intérieur et à l extérieur des bâtiments, les maîtres d ouvrage qui souhaitaient utiliser les bâches de rétention comme réserves d eau entamaient des démarches individuelles : la Société Générale et Nexity avaient ainsi obtenu l accord de la DDASS pour un double réseau d alimentation des sanitaires sur une des 4 colonnes du bâtiment de sa Salle des Marchés, que Balas installera en
6 Réglementation L affichage énergétique dans les bâtiments s étend La notion de diagnostic de performance énergétique (DPE) des bâtiments est issue de la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments n 2002/91 parue en janvier 2003 qui vise à donner un cadre européen aux politiques nationales de réduction des consommations d énergie des Le diagnostic de performance énergétique (DPE) progresse : il est devenu obligatoire le 2 janvier 2008 pour les bâtiments publics d une surface utile de plus de 1000 m 2 ou d une surface hors œuvre nette de plus de 1000 m 2 en métropole. bâtiments existants et à construire, dans la perspective de la mise en œuvre du protocole de Kyoto. Les États-membres doivent ainsi veiller à ce que, «lors de la construction, de la vente ou de la location d un bâtiment, un tel diagnostic soit communiqué au propriétaire, ou par le propriétaire à l acheteur ou au locataire potentiel. Il doit également être affiché dans les bâtiments importants publics ou accueillant du public d une surface supérieure à m 2». Le DPE donne 4 informations principales : - une description des principales caractéristiques du bâtiment et de ses équipements thermiques, - une estimation de la consommation annuelle d énergie et de son coût, et un classement de la consommation au m 2 selon le principe de «l étiquette énergie» (échelle de A à G), - l indication de la quantité de CO 2 émise du fait de cette consommation, avec un classement selon une «étiquette climat» et enfin, - des recommandations pour maîtriser les consommations d énergie, en particulier les travaux qui pourraient être réalisés pour améliorer la performance énergétique du bâtiment. La mise en place du système a été progressive : - depuis le 1er novembre 2006, le diagnostic de performance énergétique doit être fourni par le vendeur d un bâtiment ou d une partie de bâtiment (soit environ DPE par an) ; Le diagnostic de performance - depuis le 1er juillet 2007, ce même diagnostic est aussi exigé pour tout nouveau contrat de location (environ 2 millions en 2008) et pour tout bâtiment neuf dont le permis de construire a été déposé après cette date (environ DPE par an) ; - depuis le 2 janvier 2008, les bâtiments publics d une surface utile de plus de 1000 m 2 ou d une surface hors œuvre nette de plus de 1000 m 2 en métropole sont également concernés par l obligation d affichage énergétique. S il n a qu une valeur informative, le DPE doit donner plus de valeur aux biens qui émettent peu de gaz à effet de serre, consomment peu d énergie et s avèrent de ce fait plus économes au quotidien. L objectif consiste donc clairement à inciter les propriétaires à engager des travaux d isolation, à remplacer les équipements vieillissants au profit de plus performants (chaudière à condensation par exemple), voire à installer des équipements de production d énergie renouvelables (panneaux solaires, chaufferie bois ) pour valoriser le bien immobilier. Si le DPE doit être fait par un professionnel indépendant du diagnostic, il est du ressort des professionnels du Groupe BALAS de vous conseiller sur les modifications à apporter à vos équipements énergétiques (chauffage, climatisation, production d eau chaude) et à leur régulation et leur entretien, pour améliorer ce bilan. Le diagnostic de performance énergétique des logements et des locaux de type tertiaire s affiche sous la forme d une étiquette énergie semblable à celle des équipements électroménagers ou d éclairage, ou des voitures neuves. < 50 A 51 à 90 B 91 à 150 C 151 à 230 D 231 à 330 E 331 à 450 F > 450 G XXX < 5 A 6à10 B 11 à 20 C 21 à 35 D 36 à 55 E 56 à 80 F > 80 G XX 6
7 Brèves Perspectives 2010 Rodolphe DEBORRE (société BeCitizen), intervenant sur le Développement Durable devant les cadres du Groupe BALAS Le Groupe BALAS intègre les techniques de demain Chaque année, le Groupe BALAS accueille des étudiants ingénieurs dans le cadre de leur projet de fin d étude. Cette année, ce sont des sujets techniques liés au Développement Durable qui leur ont été proposés : le remplacement du R-22 et l efficacité énergétique d un stockage de glace. Après François FONTAINE, élève de l école d ingénieurs du cesi qui s était vu confier en 2007 une étude sur l amélioration de la consommation énergétique des locaux du Groupe BALAS, deux futurs ingénieurs ont travaillé en 2008 sur des sujets axés sur le Développement Durable dans le cadre du déploiement de cette démarche au sein du Groupe. - Le remplacement du R-22, produit contribuant à la destruction de la couche d ozone, concerne plusieurs activités dans le Groupe et la date d échéance de l arrêt de son utilisation se rapproche* : Evelyne GALIZZI de l INSA-Strasbourg, en dernière année de spécialisation au Costic, s est vue charger d un travail d élaboration des solutions à proposer aux clients, et de la mise en place en interne de cette offre. Elle a donc élaboré des outils : procédures, supports de formation, recensement des installations, de façon à préparer les équipes du Groupe à la conversion ou au remplacement des installations. Evelyne GALIZZI a intégré les équipes BALAS - Autre sujet d actualité, l efficacité énergétique. En parallèle de l installation d un stockage de glace sur le chantier de l OCDE par BALAS, Adrien ALDEBERT (même promotion qu Evelyne GALIZZI), a réalisé une étude comparative du coût de la consommation électrique des installations selon les fournisseurs d énergie et dans l hypothèse où le stockage de glace aurait été remplacé par un groupe de production de froid. Quant aux autres collaborateurs du Groupe, ils ne sont pas moins impliqués. Le Groupe BALAS a inauguré l année 2008 en invitant des spécialistes du Développement Durable à débattre avec eux, et organise depuis, régulièrement, des journées d information et de travail sur ce sujet. * Le HCFC-22 et les mélanges qui en contiennent sont interdits de commercialisation à fin 2009 : seul du produit recyclé pourra ensuite être utilisé en maintenance, et ce jusque fin 2015 seulement. Adhérent du Pacte Mondial Dès 2004, Jean BALAS a engagé le Groupe BALAS dans le Développement Durable en signant le Pacte Mondial des Entreprises, lancée par Kofi Annan, Secrétaire Général des Nations Unies, en 2000, et qui consiste à fédérer le monde du travail et la société civile autour de dix principes universels relatifs aux droits de l homme, aux normes du travail, à l environnement et à la lutte contre la corruption. Le Groupe BALAS a inscrit cette année de nouvelles actions dans le cadre du Pacte Mondial parmi lesquelles : - le développement du télétravail qui contribue à limiter les émissions de gaz à effet de serre dans les transports ; - l utilisation d une chaîne graphique durable pour l impression de ses documents commerciaux ; - la formation de ses équipes à la notion de Développement Durable. Le LCL en beauté Dimanche 14 septembre 2008, l équipe Couverture et Patrimoine dirigée par D.THOMAS a installé un ornement en plomb de 4 tonnes en haut du pavillon central du siège historique du LCL, 19 Bd des Italiens, à Paris. Il s agit là du couronnement d un chantier de débuté en janvier 2008 comprenant la reprise de la toiture du pavillon central en ardoises d Angers au clou, et la réfection des ornements en plomb. L ornement aux armoiries de la ville de Lyon a été reconstitué à partir d images d archives puisqu il avait disparu dans les années 50. Maître d ouvrage : LCL Maîtrise d œuvre : Cabinet DUVAL et M. Guy MARTIN, architecte DPLG Sculpteur : Frédéric DRAZEK Ornemaniste : Ateliers DUPLESSIS Chargé d affaires : Eric DESPLANCHES Contremaître : Jean-Pierre FINET 7
8 Métier Animateur de synthèse Au sein du Bureau d Etudes Exécution, Isabelle COUFFIGNAL est responsable de l animation des missions de synthèse qui sont de plus en plus souvent confiées à BALAS en même temps que les deux lots CVC et Plomberie : «Nos deux lots techniques sont parmi les plus contraignants et nous avons donc déjà une bonne expérience : animer la synthèse permet de mettre le lot CVC - celui dont les réseaux prennent le plus d espace au cœur du processus, et donc de trouver des solutions très en amont». Cette mission se réalise en équipe avec la maîtrise d œuvre, le lot Gros Œuvre et les corps d état techniques. Chaque semaine, les participant se réunissent pour organiser dans l espace du bâtiment le futur passage Carrément pro! A 43 ans, Patrick LECHARPENTIER est un bel exemple des possibilités de mobilité et de promotion qu offre le Groupe BALAS à ses salariés. Carrés Bleus : Comment avez-vous choisi ce métier? «Fils d agriculteur à Périgueux, j ai d abord fait une formation de mécanicien d entretien de machines-outils. Faute d embauche, j ai été pendant deux ans manœuvre dans une entreprise de menuiserie/charpente/ couverture. Obligé de me licencier pour motifs économiques, mon patron m a envoyé en 1985 dans une formation AFPA de couvreur. Mon professeur Yves Vérité, meilleur ouvrier de France en 1976, m y a donné la passion du métier : je suis sorti 1 er de session.» CB : De Périgueux à Paris? «Mon professeur m a conseillé de bouger pour pouvoir évoluer. Je suis devenu compagnon pendant 7 ans chez Trognon Frères à Montargis, spécialisé en zinguerie/ raccords. Ensuite, j ai rencontré Jean-Claude FOIN, chef de chantier chez BALAS, et je l y ai rejoint le 1 er juin J y ai appris à travailler le plomb avec Jean-Pierre FINET, et j ai même suivi une formation d ornemaniste chez les Compagnons du Devoir à Troyes en En 2001, j étais chef d équipe 2 ème échelon.» «sans conflit» de tous les réseaux, tout en respectant au mieux les contraintes (techniques, accessibilité) de chacun. A l issue de ce processus, les différents lots recevront les comptes-rendus de synthèse, les coupes ponctuelles et le plan de synthèse. Cette préparation demande d avoir des qualités d écoute et de négociation, mais aussi de savoir trancher avec rigueur. Il s agit donc d une vraie mission d animation d équipe, bien différente du travail d étude qui fait le quotidien d Isabelle COUFFIGNAL : «J apprécie de pouvoir développer des qualités relationnelles, et particulièrement d essayer de fédérer une équipe sur le projet à venir». Les missions de synthèse menées à bien récemment par Isabelle COUFFIGNAL : Collège des Bernardins, Hôpital Ambroise Paré, Immeuble Kaufman et Broad, Immeuble Air France, Air France T2G, Immeuble 25 Courcelles. Patrick LE CHARPENTIER Entreprise MERESSE Chargé d affaires en Couverture CB : Vous êtes maintenant chargé d affaires chez Meresse «En 2002, des ennuis de santé m ont empêché d assurer mon métier : le Groupe BALAS m a proposé une formation de 18 mois en alternance pour devenir Chargé d Affaires. Ensuite, j ai passé deux ans au Bureau d Etudes Projet de Balas pour y faire du chiffrage. Depuis le 1er juillet 2007, j ai la responsabilité du Service Couverture de Meresse, soit 6 couvreurs dont 3 chefs d équipe. Nous faisons essentiellement du bâtiment haussmannien, des chantiers de à : «mes meilleurs commerciaux, ce sont mes chefs d équipe. Et je les associe à tout l environnement du chantier» Le commentaire de Jean BALAS «L exemple de Patrick LE CHARPENTIER illustre bien la dynamique Ressources Humaines qui constitue un axe de notre plan d actions et de progrès lancé dans le Groupe en Mener les entretiens individuels de progrès, détecter les talents, proposer des formations adaptées à l évolution des collaborateurs, des parcours d intégration pour les nouveaux, des parcours d évolution et de mobilité interne, constituent quelquesuns des aspects de cette politique volontariste» 8 Effet de Groupe CA 2007 : 80 Me Effectif 2007 : 700 personnes Nos spécialités : Couverture, Plomberie, Génie climatique, Cuisine professionnelle, Froid commercial, Salles de bains Nos métiers : Travaux, Services Nos sociétés BALAS Couverture, Plomberie, Génie Climatique Tél. : Fax : Dépannage : , rue Pierre Nicolau Saint-Ouen Cedex DELAMARE Couverture, Plomberie, Génie Climatique Tél. : Fax : , rue Jules Auffret PANTIN MERESSE Couverture, Plomberie, Génie Climatique Tél. : Fax : , rue Jules Ferry PANTIN FOURNIER GUIGNARD Froid Commercial Tél. : Fax : Dépannage : , rue Pierre Nicolau SAINT-OUEN Cedex FRAMACO Cuisine Professionnelle Tél. : Fax : Dépannage : , rue Pierre Nicolau SAINT-OUEN Cedex B BATH ] l art et la manière du bain... Tél. : Fax : bis, rue du Cherche-Midi PARIS Carrés Bleus n 6 - Octobre 2008 Directeur de la publication : J. BALAS Rédacteur en chef : F. SAUER Comité de rédaction : C. BRUNARD, C. CHATENDEAU, E. EVRARD, M.HOUDROUGE, D.RIOT Groupe BALAS rue Pierre Nicolau Saint-Ouen Cedex Tél. : Fax : carresbleus@balas.net Conception et réalisation : J Articule - Lessive Studio Design Crédits Photos : Groupe BALAS, P. POGGI, P. VERSACI, Y. DURONSOY, M. de l ECOTAIS Ce document est imprimé sur Arctic The Volume 130 gr, pâte ECF, certificats EMAS et ISO Papier provenant de forêts gérées de manière durable (certification FSC).
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