Comprendre les enjeux liés à la monnaie complémentaire en 2 Clics

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comprendre les enjeux liés à la monnaie complémentaire en 2 Clics"

Transcription

1 Comprendre les enjeux liés à la monnaie complémentaire en 2 Clics grandissez la fenêtre en cliquant sur le bouton en bas à droite sur la barre des taches puis cliquez sur les flèches pour lancer l animaon 1

2 Comparons tout d abord le système classique de circula7on de la monnaie et celui d une monnaie complémentaire Commençons par la circula7on selon le modèle classique 2

3 D Flux de monnaie C B On imagine une économie composée de 6 entreprises situées dans la même région F E gents économiques Epargne L CIRCULTION DE L MONNIE SUIVNT LE MODELE CLSSIQUE Fuites= achats hors territoire 3

4 C D L entreprise réalise un achat chez E l entreprise B et en contrepar7e, lui verse de l argent Flux de monnaie gents économiques B F Epargne L CIRCULTION DE L MONNIE SUIVNT LE MODELE CLSSIQUE Fuites= achats hors territoire 4

5 C D L entreprise B épargne une pe7te E par7e de la somme versée en prévision d achats futurs Flux de monnaie gents économiques B F Epargne L CIRCULTION DE L MONNIE SUIVNT LE MODELE CLSSIQUE Fuites= achats hors territoire 5

6 C D vec l argent qu il lui reste, elle peut E réaliser des achats auprès d entreprises extérieures à la région Flux de monnaie gents économiques B F Epargne L CIRCULTION DE L MONNIE SUIVNT LE MODELE CLSSIQUE Fuites= achats hors territoire 6

7 D Flux de monnaie C Enfin, elle réalise des achats chez des entreprises de la région : des ma7ères premières par exemple. E gents économiques B F Epargne L CIRCULTION DE L MONNIE SUIVNT LE MODELE CLSSIQUE Fuites= achats hors territoire 7

8 D Flux de monnaie C L entreprise C réalise la même opéra7on. E gents économiques B F Epargne L CIRCULTION DE L MONNIE SUIVNT LE MODELE CLSSIQUE Fuites= achats hors territoire 8

9 D C E B F L opéra7on se répète pour les entreprises D, E et F 9

10 C D E Ce que l on observe: u fur et à mesure de sa rota7on, la masse d argent disponible s est tarit. B F Regardons comment circule une monnaie complémentaire dans ce même modèle 10

11 D C Même chose : l entreprise réalise E un achat chez l entreprise B et lui verse l argent B F L CIRCULTION DE L MONNIE VEC UNE MONNIE COMPLEMENTIRE 11

12 C D Dans un système de monnaie complémentaire, l entreprise ne peut pas épargner du fait de la fonte* E B F *La fonte, c est une dévalua7on volontaire de la monnaie qui pousse les agents à échanger: Voir diaporama: pourquoi la fonte et quels impacts? L CIRCULTION DE L MONNIE VEC UNE MONNIE COMPLEMENTIRE 12

13 C Les D achats hors du territoire sont également rendus E impossibles car la monnaie ne peut être échangée que sur un territoire donné. B F L CIRCULTION DE L MONNIE VEC UNE MONNIE COMPLEMENTIRE 13

14 D C B E L entreprise B réu7lise l argent en totalité pour acheter à l entreprise de la région F L CIRCULTION DE L MONNIE VEC UNE MONNIE COMPLEMENTIRE 14

15 D C E B F Et ainsi de suite 15

16 Quels sont les conséquences de ce changement? 16

17 Tout d abord les conséquences économiques Les monnaies locales perme]ent une créa7on de richesse plus importante sur le territoire. Remarque: On prend pour exemple un économie où les entreprise achètent pour moi7é dans la région (Rhône lpes par exemple) et l autre moi7é à l extérieur de la région. Démonstraon 17

18 C L'entreprise achète pour euros à l'entreprise B (1). B réalise donc un chiffre d affaire de euros (2) B 1 18

19 5 4 C Puis B achète la moi7é de sa produc7on hors de la région ( 3). L autre moi7é des achats est réalisé chez un partenaire local (4), qui réalise donc un un chiffre d affaire de 5000 euros (5) B 1 19

20 2 500 Et ainsi de suite Création de richesse * 312 La créa7on de richesse sur le territoire s élève donc à euros. On calcule ce chiffre en faisant la somme des chiffre d affaire (bulles vertes) des entreprises de la région. 20

21 D Et vous l aurez deviné: voilà le résultat dans le cadre d une monnaie complémentaire C Création de richesse E B F L argent circule sans qui]er la boucle, dynamisant un à un tous les acteurs économiques. Créa7on d emploi 21

22 Mais ce n est pas tout Relocaliser les échanges, c est réduire l empreinte écologique des produits (transport et traçabilité des composants) C est aussi avoir la garan7e que les condi7ons de travail des salariés soient décentes ( Droit du travail respecté) 22

23 Deuxième point fort, la monnaie complémentaire neutralise l effet néga7f de l épargne sur les échanges Démonstraon 23

24 C En France, les ménages épargnent D 16 % de leurs revenus. Ce]e épargne, c est de la monnaie ne moins pour les échanges. E Démonstra7on. B F

25 16% C % D E 16% Dans ce modèle, chaque acteur économique ponc7onne 16 % de la masse monétaire globale avant de réaliser des achats chez son chez son voisin. Créa7on de richesse B F 16% Ce qui impute d autant le chiffre d affaire global des entreprises. 25

26 D E En monnaie complémentaire on dévalue (de manière infime) la monnaie tous les trimestres ce qui pousse les acteurs économiques à échanger plutôt qu épargner C B Créaon de richesse F Ce qui dope les échanges 26

27 Rendre l économie plus vertueuse Nous avons vu, dans la première par7e que la monnaie complémentaire est plus efficace que la monnaie classique pour créer de la richesse. Ce]e dernière à également le pouvoir de rendre l économie plus vertueuse. 27

28 On l a vu, en relocalisant l économie, on contribue à une économie plus respectueuse de l homme et de la nature 28

29 On l a vu, en relocalisant l économie, on contribue à une économie plus respectueuse de l homme et de la nature Mais ce n est pas tout 29

30 On l a vu, en relocalisant l économie, on contribue à une économie plus respectueuse de l homme et de la nature Mais ce n est pas tout Dans de nombreux projets, les entreprise qui u7lisent la monnaie doivent respecter un certain nombre de critères sociaux et écologiques: - parité homme femme - écart de salaires - achat chez des fournisseurs locaux - tri des déchets 30

31 Relocaliser l économie Mais ce n est pas tout respecter un certain nombre de critères sociaux et écologiques: Cet argent ne pourra jamais servir à acheter des armes de la drogues, alimenter les réseaux de pros7tu7on, la corrup7on ou encore spéculer. 31

32 Relocal iser l écon omie Mais ce n est pas tout respecter un certain nombre de critères sociaux et écologiques: Cet argent ne pourra jamais servir à acheter des armes de la drogues, alimenter les réseaux de pros7tu7on, la corrup7on ou encore spéculer. Le but est donc que l argent en circula7on dans la boucle de la monnaie complémentaire soit au service du bien être général 32

33 L usage de la monnaie complémentaire permet également passer d une économie financiarisée à l économie réelle. Démonstra7on 33

34 Marchés financiers Banque classique Banque éthique Économie locale/ réelle Citoyen * Euros Monnaie complémentaire 34

35 Marchés financiers Banque classique Banque éthique Économie locale Citoyen * 1 * Lorsque l on change un euros contre 1 unité de monnaie complémentaire, on sort cet euro de la banque classique, (qui spécule sur les marchés financiers) pour aller le changer auprès d une banque partenaire du projet 1 35

36 Marchés financiers Banque classique Banque éthique Citoyen * 1 * 2 Économie locale L euro qu elle reçoit, elle s engage à le placer dans l économie régionale et/ou des projets solidaires. L euro épargné a donc quiué les marchés financiers pour 2 alimenter l économie réelle. 36

37 Marchés financiers Banque classique 1 Banque éthique Citoyen Économie locale * * * 2 3 Enfin, le la monnaie complémentaire va rejoindre l économie locale à son tour 3 37

38 Ce]e opéra7on à permis de doubler la somme d argent inves7e sur le territoire * 38

39 Quels sont les avantages qu a un commerçant à intégrer une monnaie complémentaire? 39

40 Tout d abord La parcipaon à la nouvelle monnaie canalise vers le magasin un ensemble consommateurs qui cherchent à donner du sens à leurs achats. Moi, j étais en recherche d une consomma7on responsable et, grâce à la monnaie locale, j ai découvert de nombreux acteurs dont je sais qu ils respectent la charte sociale et environnementale. Et j en parle autour de moi. Consommateur 40

41 Mais aussi Je peux bénéficier d un prêt ( voir Diapo 36) je profite de la couverture média7que de l opéra7on Je peux par7ciper à l élabora7on du projet car la monnaie est gérée de manière démocra7que Je communique sur mon engagement citoyen Commerçant 41

42 J intègre un réseau dans lequel la circula7on de monnaie est supérieure à celle de l euro, pas thésaurisée et limitée au territoire, synonyme donc de créa7on de richesse poten7ellement plus élevée. Je me rapproche des autres commerçants qui u7lisent la monnaie et nous mutualisons certaines opéra7ons Je bénéficie d une poli7que volontariste des pouvoirs public (injec7on de sols dans le réseau par exemple ). Voir le diaporama: vers un plan de relance en sol marchand 42

43 vantages pour l u7lisateur Je par7cipe au dynamisme de la région et à une orienta7on plus vertueuse des échanges Et c est un ou7l de contesta7on du système monétaire mondial Dans de nombreux projet, les consomm acteurs bénéficient de réduc7on lorsqu ils payent en monnaie complémentaire 43

44 Conclusion La monnaie complémentaire permet la créa7on d une économie plus efficiente et plus respectueuse de l homme et de la nature Elle permet de passer d une économie de la finance à une économie réelle Elle permet de freiner le phénomène de mondialisa7on à outrance en relocalisant l économie Elle 7sse des liens entre les consomm acteurs et les entreprises de la région en réunissant l offre et la demande en produits locaux et de qualité. Plus de diaporama sur 44

Programme «INVESTISSEUR»

Programme «INVESTISSEUR» La plateforme de missions photos Laissez la communauté prendre ou trouver des photos juste pour vous Programme «INVESTISSEUR» Offrez- vous une startup dès 100 Version : 10 février 2015 Dossier confiden,el,

Plus en détail

LA LOGISTIQUE LES BONNES QUESTIONS À SE POSER

LA LOGISTIQUE LES BONNES QUESTIONS À SE POSER LA LOGISTIQUE LES BONNES QUESTIONS À SE POSER Les bonnes questions à se poser 1. Qui sont mes clients (à qui vais- je vendre sur Internet)? 2. Ai- je du temps à consacrer à ma bou?que en ligne? 3. Ma

Plus en détail

SOMMAIRE. Présentation assistée sur ordinateur. Collège F.Rabelais 1/10

SOMMAIRE. Présentation assistée sur ordinateur. Collège F.Rabelais 1/10 /0 SOMMAIRE. Lancer le logiciel. Mettre un titre dans une diapositive et du texte. Ajouter une diapositive 4. Créer une diapositive avec une image 5. Créer une diapositive avec un graphique 6. Créer une

Plus en détail

Les 10 étapes clés pour trouver des clients par internet

Les 10 étapes clés pour trouver des clients par internet Les 10 étapes clés pour trouver des clients par internet Guide pour les entreprises de Home Staging 1 L auteur : Adrian Measures Adrian Measures est responsable du marke@ng sur internet et fondateur de

Plus en détail

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de

Plus en détail

La formation des IOBSP

La formation des IOBSP Quelle formation pour quel IOBSP? Intervenant : Ravi CAUSSY, Président de la Commission Formation AFIB Convention du 31 mai 2012 - Paris Quelle formation pour quel IOBSP? Quelles catégories et activités

Plus en détail

http://www.microsoft.com/fr-fr/account/default.aspx). GeoGebra & Microsoft Office 631

http://www.microsoft.com/fr-fr/account/default.aspx). GeoGebra & Microsoft Office 631 Fiche technique 39 GeoGebra & Microsoft Office 1 Connexion aux services Microsoft 2 Insérer une figure GeoGebraTube dans Word 3 Insérer une figure GeoGebra dans PowerPoint Les possesseurs de la suite bureautique

Plus en détail

Mes premiers diaporamas avec Open Office Impress?

Mes premiers diaporamas avec Open Office Impress? Mes premiers diaporamas avec Open Office Impress? Courage! Tu vas y arriver 1 Sommaire I. Les bons gestes avant de lancer Open Office (page 3) II. Créer un dossier Open Office. (page 4) III. Les 5 zones

Plus en détail

COMPLÉMENTAIRE. www.sonantes.fr MONNAIE LOCALE SUR NOTRE SONANTES TOUT SAVOIR

COMPLÉMENTAIRE. www.sonantes.fr MONNAIE LOCALE SUR NOTRE SONANTES TOUT SAVOIR SONANTES TOUT SAVOIR SUR NOTRE MONNAIE COMPLÉMENTAIRE LOCALE www.sonantes.fr SoNantes est une monnaie complémentaire à l euro. Elle accélère et amplifie les échanges économiques à l échelle de la région

Plus en détail

Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT

Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION 1 Pourquoi nous choisir? Le chef d entreprise, surtout s il est propriétaire, déteste l aventure. Notre Objec>f est de vous accompagner

Plus en détail

Les différents types de relation entre les tables

Les différents types de relation entre les tables TABLES Les différents types de relation entre les tables La mise en relation de tables permet de relier les données d une table à celles d une autre table et ainsi d établir une base de données de type

Plus en détail

Lettre de prospective n 48 janvier 2015

Lettre de prospective n 48 janvier 2015 FriedlandPapers Lettre de prospective n 48 janvier 2015 LA TRANSFORMATION DIGITALE DES ENTREPRISES : DE LA STRATÉGIE À L ORGANISATION Henri Hamon Économiste à la CCI Paris Ile-de-France I l ne fait aucun

Plus en détail

Concepon et réalisaon

Concepon et réalisaon Concepon et réalisaon Vendée Etudes & Réalisaons de Soluons Informaques 10 rue des Sables 85540 Mouers les Mauxfaits h%p://sarl-versi.fr contact@sarl-versi.fr Mainate 2 une logiciel d aide à la communicaon

Plus en détail

Débat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»

Débat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français

Plus en détail

Communauté d aggloméra0on Orléans Val de Loire

Communauté d aggloméra0on Orléans Val de Loire Communauté d aggloméra0on Orléans Val de Loire - Perspec)ves financières du mandat et bases d un pacte fiscal et financier - Séminaire du 27 septembre 2014 6 rue du Général de Larminat 75015 PARIS Tél.

Plus en détail

DEVELOPPER SON SOURCING VIA LES RESEAUX SOCIAUX FACEBOOK

DEVELOPPER SON SOURCING VIA LES RESEAUX SOCIAUX FACEBOOK DEVELOPPER SON SOURCING VIA LES RESEAUX SOCIAUX FACEBOOK DEVELOPPER SON SOURCING VIA FACEBOOK ATELIER 1 CREATION DE VOTRE PROFIL ATELIER 1 EN GUISE D INTRODUCTION Pourquoi u(liser les réseaux sociaux dans

Plus en détail

Faire de la publicité sur GOOGLE AD-WORDS

Faire de la publicité sur GOOGLE AD-WORDS Entreprise AD-WAIBE 34 ter rue Pierre Rambaud 33600 PESSAC Tél. : 06.10.09.66.14 Création de sites Internet www.ad-waibe.com : création de sites Bordeaux www.waibe.fr : sites internet automatiques www.wobile.fr

Plus en détail

Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014

Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Sommaire 1) Présenta/on du GCS Télésanté Midi- Pyrénées 2) Dossier Médical

Plus en détail

LE DISPOSITIF VOISINS VIGILANTS A PLOEMEUR. Réunion publique 27 avril 2015

LE DISPOSITIF VOISINS VIGILANTS A PLOEMEUR. Réunion publique 27 avril 2015 LE DISPOSITIF VOISINS VIGILANTS A PLOEMEUR Réunion publique 27 avril 2015 LA DEMARCHE Pourquoi la Mairie sou-ent- elle l ini-a-ve? Ecoute des administrés Crée du lien entre voisins Efficacité du disposi-f

Plus en détail

Améliorez et industrialisez vos feedback produit

Améliorez et industrialisez vos feedback produit Améliorez et industrialisez vos feedback produit Jean- Philippe Gillibert, architecte logiciel et coach agile chez Introduc)on Retour d expérience sur un projet à la SNCF Méthode originale de traitement

Plus en détail

THEME 5 DEVELOPPER LES OUTILS FINANCIERS ALTERNATIFS : MONNAIES COMPLEMENTAIRES, INVESTISSEMENT CITOYEN, EPARGNE SOLIDAIRE, BANQUES ETHIQUES

THEME 5 DEVELOPPER LES OUTILS FINANCIERS ALTERNATIFS : MONNAIES COMPLEMENTAIRES, INVESTISSEMENT CITOYEN, EPARGNE SOLIDAIRE, BANQUES ETHIQUES THEME 5 DEVELOPPER LES OUTILS FINANCIERS ALTERNATIFS : MONNAIES COMPLEMENTAIRES, INVESTISSEMENT CITOYEN, EPARGNE SOLIDAIRE, BANQUES ETHIQUES CONSTRUIRE UNE FINANCE ALTERNATIVE 1 Sommaire Table des matières

Plus en détail

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement

Plus en détail

Les Français, l épargne et l assurance vie Une enquête Ipsos pour la Fédéra;on Française des Sociétés d Assurances. Janvier 2013

Les Français, l épargne et l assurance vie Une enquête Ipsos pour la Fédéra;on Française des Sociétés d Assurances. Janvier 2013 Les Français, l épargne et l assurance vie Une enquête Ipsos pour la Fédéra;on Française des Sociétés d Assurances Janvier 2013 Fiche technique Sondage effectué pour : La Fédéra;on Française des Sociétés

Plus en détail

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

Qu est ce qu une PME? 4. Pourquoi investir dans une PME? 6. Comment investir en direct dans une PME? 10

Qu est ce qu une PME? 4. Pourquoi investir dans une PME? 6. Comment investir en direct dans une PME? 10 SOMMAIRE Introduction 3 Qu est ce qu une PME? 4 Définition conventionnelle d une PME 4 L actionnariat au sein d une PME 4 Participer à une augmentation de capital 4 Etre actionnaire d une société 5 Assister

Plus en détail

Quels sont les intérêts de cette démarche environnementale collective?

Quels sont les intérêts de cette démarche environnementale collective? Après le bilan carbone, établi en 2008, et le Plan Climat «Vins de Bordeaux 2020», en 2009, le CIVB a initié début 2010 un chantier innovant permettant à l ensemble des professionnels du vignoble bordelais

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

L -franc en 16 points

L -franc en 16 points L -franc en 16 points Résumé : Nous faisons deux constats : Premièrement, nous vivons une massification de la pauvreté et une précarisation du salariat : 5 millions de chômeurs (sans compter les découragés

Plus en détail

Les méthodes Agiles. Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum

Les méthodes Agiles. Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum Les méthodes Agiles Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum Défini)on de base Les méthodes Agiles sont des procédures de concep)on de logiciel qui se veulent plus pragma)ques que les méthodes tradi)onnelles

Plus en détail

L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité

L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman

Plus en détail

1. Installation de COMPTINE

1. Installation de COMPTINE 3-5 Rue de Metz 75010 PARIS SA à capital variable RCS Paris B 344 671 490 Tél. : 01 40 22 12 12 Fax : 01 40 22 12 00 E-mail : contact@arete.fr SIRET : 34467149000029 Guide démo SOMMAIRE 1. Installation

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Ä Une nouvelle dynamique commerciale sur le Pays Nevers Sud Nivernais

Ä Une nouvelle dynamique commerciale sur le Pays Nevers Sud Nivernais Ä Une nouvelle dynamique commerciale sur le Pays Nevers Sud Nivernais Le Pays Nevers Sud Nivernais Ø Espace de projets Ø Rôle d orienta3on, de coordina3on et de mobilisa3on de moyens financiers Ø Ac3on

Plus en détail

Forum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie

Forum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les

Plus en détail

HD 5.60 : «Ecritures des opérations diverses»? La comptabilité libérale est une comptabilité simplifiée par rapport au plan comptable (PCG) de 1999.

HD 5.60 : «Ecritures des opérations diverses»? La comptabilité libérale est une comptabilité simplifiée par rapport au plan comptable (PCG) de 1999. 15 octobre 2009 HD 5.60 : «Ecritures des opérations diverses»? Avec «Compta libérale» version 5.6 apparaît un nouveau journal, celui des écritures des opérations diverses. Jusqu à présent, vous vous en

Plus en détail

Chapitre 1 : La consommation et l épargne

Chapitre 1 : La consommation et l épargne Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est

Plus en détail

2 - Le financement de l'économie

2 - Le financement de l'économie 1 2 - Le financement de l'économie Cette fiche explique le fonctionnement de la monnaie, des institutions financières et des marchés financiers. Elle montre en quoi les innovations des années 80, soutenues

Plus en détail

VAGINISME. Quelques pistes pour avancer?

VAGINISME. Quelques pistes pour avancer? VAGINISME Quelques pistes pour avancer? Vaginisme Pendant longtemps, pénétration vaginale quasi impossible car trop douloureuse : brûlures. Et même pas de nom pour ça. Un jour : un mot. VAGINISME. Vaginisme

Plus en détail

Les bases de données. Se familiariser avec Base. Figure 1.1A Ouvre le fichier dont tu as besoin. Lance OpenOffice Base.

Les bases de données. Se familiariser avec Base. Figure 1.1A Ouvre le fichier dont tu as besoin. Lance OpenOffice Base. Exercice 1. 1 Se familiariser avec Base Figure 1.1A Ouvre le fichier dont tu as besoin. Données de l élève Lance OpenOffice Base. Ouvre le fichier nommé 6A Base de données clients (Figure 1.1A). Clique

Plus en détail

Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire

Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Que dit le Traité de Rome en matière monétaire? Pas de propos très détaillés. Ce qui est mentionné, c est l ambition de créer une aire régionale

Plus en détail

L Economie Sociale et Solidaire

L Economie Sociale et Solidaire L Economie Sociale et Solidaire DES VALEURS CHARGÉES D HISTOIRE Les premières organisa.ons de l économie sociale sont en effet nées au XIX ème siècle, en réponse à la brutalité de la révolu.on industrielle.

Plus en détail

Les Organisa+ons Non- Gouvernementales et les réseaux sociaux

Les Organisa+ons Non- Gouvernementales et les réseaux sociaux Les Organisa+ons Non- Gouvernementales et les réseaux sociaux en partenariat avec : Pe1t- déjeuner du 13 janvier 2015 2014 Harris Interac1ve Inc. All rights reserved. SOMMAIRE > Méthodologie d enquête

Plus en détail

Services complémentaires en Outaouais

Services complémentaires en Outaouais Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne

Plus en détail

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire

Plus en détail

La place de l épargne dans le circuit économique et son évolution au cours des années récentes au Canada et au Québec

La place de l épargne dans le circuit économique et son évolution au cours des années récentes au Canada et au Québec Numéro spécial 15 e anniversaire de Fondaction (CSN), colloque sur l épargne responsable La place de l épargne dans le circuit économique et son évolution au cours des années récentes au Canada et au Québec

Plus en détail

22ème Conven*on na*onale de l Intercommunalité 14 octobre 2011. Mutualisa*on : déployer les nouveaux ou*ls de la réforme

22ème Conven*on na*onale de l Intercommunalité 14 octobre 2011. Mutualisa*on : déployer les nouveaux ou*ls de la réforme 22ème Conven*on na*onale de l Intercommunalité 14 octobre 2011 Mutualisa*on : déployer les nouveaux ou*ls de la réforme Grand Dole (Pdt : Claude Chalon) Créé en 2008, issu d une fusion, 41 communes, 53

Plus en détail

Le poste de travail, les dossiers et les fichiers

Le poste de travail, les dossiers et les fichiers 0 Le poste de travail, les dossiers et les fichiers Dans Windows, tous les programmes, tous les dossiers et tous les documents sont accessibles depuis le Poste de travail.. Le poste de travail. Pour ouvrir

Plus en détail

Dans l idéal, ceci devrait être fait en amont pour chaque image envoyée sur l espace de stockage de votre site internet.

Dans l idéal, ceci devrait être fait en amont pour chaque image envoyée sur l espace de stockage de votre site internet. 1- Optimiser le poids de votre image : Dans l idéal, ceci devrait être fait en amont pour chaque image envoyée sur l espace de stockage de votre site internet. Tous les types d utilisateurs (auteur, publicateur,

Plus en détail

Auteure : Natalie Poulin-Lehoux

Auteure : Natalie Poulin-Lehoux Édition Centre FORA 432, avenue Westmount, unité H Sudbury (Ontario) P3A 5Z8 Information : 705-524-3672 Télécopieur : 705-524-8535 Commandes : cranger@centrefora.on.ca Site Web : www.centrefora.on.ca Auteure

Plus en détail

ÉTUDE DU POTENTIEL DE DONS NON ALIMENTAIRES Rapport d étude. Etude copilotée et cofinancée par : Etude menée par :

ÉTUDE DU POTENTIEL DE DONS NON ALIMENTAIRES Rapport d étude. Etude copilotée et cofinancée par : Etude menée par : ÉTUDE DU POTENTIEL DE DONS NON ALIMENTAIRES Rapport d étude Etude copilotée et cofinancée par : Etude menée par : 1 Plan du rapport 1. Rappel des objec>fs et de la méthodologie 2. Structure de l échan>llon

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

Tenir un budget Acétates

Tenir un budget Acétates Troisième leçon Tenir un budget Acétates Le processus budgétaire Première étape : Évaluer sa situation personnelle et financière (besoins, valeurs, situation de vie). Deuxième étape : Se fixer des objectifs

Plus en détail

MODE D EMPLOI. La Vie en version numérique

MODE D EMPLOI. La Vie en version numérique MODE D EMPLOI La Vie en version numérique MODE D EMPLOI La Vie en version numérique SOMMAIRE p.3 p.5 p.14 p.25 Présentation de la liseuse (PDF interactif) Je ne suis pas abonné à La Vie : Je souhaite acheter

Plus en détail

Guide de l utilisateur

Guide de l utilisateur Guide de l utilisateur BGFIONLINE Votre Banque en ligne Page 1 sur 17 Chère cliente, cher client, Bienvenue sur www.bgfionline.com! Pour que vous puissiez accéder à vos comptes à toute heure, en vacances,

Plus en détail

FICHE 17 : CREER UN SITE WEB

FICHE 17 : CREER UN SITE WEB Publisher permet de créer des sites web. FICHE 17 : CREER UN SITE WEB Créez une nouvelle composition et choisissez Site web. Vous avez le choix entre utiliser le générateur rapide de site web, créer un

Plus en détail

Copyright 2008 Patrick Marie.

Copyright 2008 Patrick Marie. 2008 Par Patrick Marie et Supply Money En vous procurant cet ebook Supply Money vous donne l'autorisation de le donner uniquement par le moyen de votre choix, à vos abonnés clients etc... A le seul condition

Plus en détail

Propension moyenne et marginale

Propension moyenne et marginale Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part

Plus en détail

La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)

La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA) La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher

Plus en détail

Guide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte»

Guide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte» Guide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte» - Fichier «Gestion main de fer» Cet outil, à utiliser chaque semaine, permet de réaliser une synthèse de l

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION. Gestion de compte. à destination des entreprises (Employeurs et Organismes de Formation)

GUIDE D UTILISATION. Gestion de compte. à destination des entreprises (Employeurs et Organismes de Formation) GUIDE D UTILISATION Gestion de compte à destination des entreprises (Employeurs et Organismes de Formation) - 1 - Table des matières JE CRÉE MON COMPTE... 3 EN TANT QU ÉTABLISSEMENT EMPLOYEUR... 3 EN TANT

Plus en détail

LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE

LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE PARTENAIRES ACHATS LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE PROGRAMME La geson de la relaon fournisseur Supplier Relaonship Management est au centre de l aenon de toutes les foncons Achats. Les

Plus en détail

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix! Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher

Plus en détail

Un accompagnement unique et des avantages exclusifs

Un accompagnement unique et des avantages exclusifs Un accompagnement unique et des avantages exclusifs Conception et réalisation : Crédits photo : plainpicture/johner, Zenshui, Folio Images, PhotoAlto, Fancy Images, Erickson, Lubitz & Dorner, Kniel Synnatzschke,

Plus en détail

LES ORDRES PERMANENTS

LES ORDRES PERMANENTS Si vous avez des paiements identiques tous les mois (montant et destinataire), il est possible de créer des ordres permanents pour vous simplifier la vie. Pour ceci: Cliquez sur le bouton «ordre de paiement»

Plus en détail

Territoire. Territoire. Parc d activités économiques. Quartier populaire

Territoire. Territoire. Parc d activités économiques. Quartier populaire rural Centre-ville Quartier populaire Parc d activités économiques Problématique Problématique enclavé Banlieue pavillonnaire Problematique Problematique Insertion Petite enfance Problématique Problématique

Plus en détail

MISE AU POINT FINANCIÈRE GUIDE DE L UTILISATEUR. Le logiciel MISE AU POINT FINANCIÈRE est offert sous licence par EquiSoft.

MISE AU POINT FINANCIÈRE GUIDE DE L UTILISATEUR. Le logiciel MISE AU POINT FINANCIÈRE est offert sous licence par EquiSoft. MISE AU POINT FINANCIÈRE GUIDE DE L UTILISATEUR Le logiciel MISE AU POINT FINANCIÈRE est offert sous licence par EquiSoft. Accès MISE AU POINT FINANCIÈRE Guide de l utilisateur (V3) Octobre 2012 Page 2

Plus en détail

STRUCTURE DE L ORDINATEUR

STRUCTURE DE L ORDINATEUR Présentation : Un ordinateur est composé de différents éléments. Pour bien utiliser votre ordinateur, il est important de bien les comprendre. Pour comprendre comment fonctionne un ordinateur, il faut

Plus en détail

1. Visualiser la «carte» de mon réseau social

1. Visualiser la «carte» de mon réseau social 1. Visualiser la «carte» de mon réseau social Chaque point représente un ami Les traits sont tracés entre deux amis de votre réseau qui sont aussi amis entre eux Vous n êtes pas sur la carte, puisque vous

Plus en détail

MODE OPÉRATOIRE : CIEL COMPTA

MODE OPÉRATOIRE : CIEL COMPTA MODE OPÉRATOIRE : CIEL COMPTA Attention ne pas être en mode découverte, donc il faut vérifier avec Divers Menu standard Créer la société : Dossier Nouveau Créer un dossier sur mon ordinateur Ensuite mettre

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Gestion des Factures

Gestion des Factures Gestion des Factures Sommaire Comment enregistrer une facture client... 3 Sous 2DCaisse... 3 Création d une facture sur ticket validé... 3 Réglé une facture non soldée... 5 Valider un ticket sans règlement...

Plus en détail

Accueils de Loisirs & Périscolaires S INSCRIRE

Accueils de Loisirs & Périscolaires S INSCRIRE Accueils de Loisirs & Périscolaires S INSCRIRE Documents d inscrip$on Ufcv Délégaon régionale de Franche-Comté 6 B Boulevard Diderot 25000 Besançon L espace famille en 5 points 1 2 3 4 5 Un portail public

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DU BROWSER DE BEYOND 20/20

GUIDE D UTILISATION DU BROWSER DE BEYOND 20/20 GUIDE D UTILISATION DU BROWSER DE BEYOND 20/20 Le browser Beyond 20/20 permet de visualiser, manipuler, présenter sous forme graphique, imprimer et sauvegarder des tableaux de données. Il s agit d un logiciel

Plus en détail

Simulation d une économie monétaire (programmation impérative, sujet 3)

Simulation d une économie monétaire (programmation impérative, sujet 3) Simulation d une économie monétaire (programmation impérative, sujet 3) http://sfc-abm.org/students/mief/ 10 février 2014 Table des matières 1 Sujet 2 2 Description plus détaillée de la simulation 3 2.1

Plus en détail

MODULE DES ENCAISSEMENTS. Outil de comptabilisation et de transfert de revenus des établissements au Service des finances GUIDE TECHNIQUE

MODULE DES ENCAISSEMENTS. Outil de comptabilisation et de transfert de revenus des établissements au Service des finances GUIDE TECHNIQUE MODULE DES ENCAISSEMENTS Outil de comptabilisation et de transfert de revenus des établissements au Service des finances GUIDE TECHNIQUE Mai 2007 MODULE DES ENCAISSEMENTS TABLE DES MATIÈRES Présentation

Plus en détail

CHARTE ALTERNATIBA DIJON 2015

CHARTE ALTERNATIBA DIJON 2015 CHARTE ALTERNATIBA DIJON 2015 Par la présente charte, le collectif Alternatiba Dijon définit les objectifs et les modalités d organisation d un «village des alternatives» à Dijon, pour prendre part à la

Plus en détail

GUIDE ÉLÈVE. Mes identifiants : J'inscris mes identifiant et mot de passe personnels transmis par mon professeur :

GUIDE ÉLÈVE. Mes identifiants : J'inscris mes identifiant et mot de passe personnels transmis par mon professeur : GUIDE ÉLÈVE JE DÉCOUVRE MON WEBCLASSEUR ORIENTATION L'adresse web (ou URL) pour se connecter est : Mes identifiants : J'inscris mes identifiant et mot de passe personnels transmis par mon professeur :

Plus en détail

UN GUIDE PROPOSÉ PAR PME-WEB EMAIL MARKETING GUIDE ULTIME DES MOTS INTERDITS. Un guide pour Éviter de voir vos email passer en SPAM. www.pme- web.

UN GUIDE PROPOSÉ PAR PME-WEB EMAIL MARKETING GUIDE ULTIME DES MOTS INTERDITS. Un guide pour Éviter de voir vos email passer en SPAM. www.pme- web. UN GUIDE PROPOSÉ PAR PME-WEB EMAIL MARKETING GUIDE ULTIME DES MOTS INTERDITS Un guide pour Éviter de voir vos email passer en SPAM Table des matières 1. Introduction 2. Les termes financiers 3. Les termes

Plus en détail

Compétences terminales de cours. philosophiques. Enseignement secondaire 3 ème degré

Compétences terminales de cours. philosophiques. Enseignement secondaire 3 ème degré Enseignant La finance islamique I Compétences terminales de cours philosophiques Enseignement secondaire 3 ème degré COMPTE D'ÉPARGNE + INTÉRÊT ALEX 230 Porte d entrée Banque Compétences Sentir, ressentir

Plus en détail

Mardis de l ARENE : rénova4on énergé4que des copropriétés Présenta4on de la démarche ini4ée par la Ville d Argenteuil en direc4on des copropriétés du

Mardis de l ARENE : rénova4on énergé4que des copropriétés Présenta4on de la démarche ini4ée par la Ville d Argenteuil en direc4on des copropriétés du Mardis de l ARENE : rénova4on énergé4que des copropriétés Présenta4on de la démarche ini4ée par la Ville d Argenteuil en direc4on des copropriétés du Val d Argent 10 février 2015 Un engagement con4nu de

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT»

POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» Bernard Vallageas Faculté Jean Monnet Université Paris-Sud 54 boul.

Plus en détail

N abandonnons pas notre héritage commun.

N abandonnons pas notre héritage commun. N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert

Plus en détail

TRANSFOLIO version 2.05. Introduction

TRANSFOLIO version 2.05. Introduction TRANSFOLIO version 2.05 Introduction TABLE DES MATIERES 1 OBJECTIF... 2 2 DEMARRER TRANSFOLIO... 2 3 CREER SON PREMIER PORTEFEUILLE... 3 3.1 ETAPE 1 : DEFINITION DU PORTEFEUILLE... 3 3.2 ETAPE 2 : OUVERTURE

Plus en détail

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques

Plus en détail

La crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège

La crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,

Plus en détail

Logiciel d'analyse de la Masse Salariale

Logiciel d'analyse de la Masse Salariale Ariane-Simu V1.7.1.xls Logiciel d'analyse de la Masse Salariale 21/07/2010 Société Cyber-Masse, BIENVENUE dans le logiciel de simulation de la Masse Salariale Année en cours 2010 Voir Masse salariale de

Plus en détail

l info S engager avec sa banque, ça compte!

l info S engager avec sa banque, ça compte! La lettre d information des clients qui ont choisi d agir l info S engager avec sa banque, ça compte! Grâce à l engagement des clients du Crédit Coopératif, plus de 4,3 millions d euros de dons ont été

Plus en détail

INTRASTAT 2015. No ce explica ve Merkbla

INTRASTAT 2015. No ce explica ve Merkbla INTRASTAT 2015 Noce explicave Merkbla Rédacon en chef Alain Hoffmann Rédacon, coordinaon et concepon graphique Luc Kohnen STATEC Instut naonal de la stasque et des études économiques Centre Administraf

Plus en détail

L importance de la monnaie dans l économie

L importance de la monnaie dans l économie L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants

Plus en détail

Epargne et investissement

Epargne et investissement Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus

Plus en détail

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment

Plus en détail

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération

Plus en détail

Avenir Concept Monaco

Avenir Concept Monaco Avenir Concept Monaco WIN GSM version 16 Envoi direct des factures par email Application : WIN GSM Module : Caisse et facturation Fonction : Envoi direct de la facture au client par email au lieu de l

Plus en détail

CONFIGURATION DES DÉPÔTS LOCAUX GÉRÉS AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE L OUTAOUAIS MARTINE LESTAGE, CHARGÉE DE PROJET RÉGIONAL

CONFIGURATION DES DÉPÔTS LOCAUX GÉRÉS AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE L OUTAOUAIS MARTINE LESTAGE, CHARGÉE DE PROJET RÉGIONAL CONFIGURATION DES DÉPÔTS LOCAUX GÉRÉS AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE L OUTAOUAIS MARTINE LESTAGE, CHARGÉE DE PROJET RÉGIONAL Mise à jour mars 2014 TABLE DES MATIÈRES ONGLET ACCÉDER À SI-PMI

Plus en détail

Devises. Dernière modification le 9 janvier 2009 Page 1 de 6

Devises. Dernière modification le 9 janvier 2009 Page 1 de 6 Description... 2 Pré-Requis... 2 Configurer une devise... 2 Accéder la page Devises... 2 Rechercher une devise... 3 Trier le résultat de la recherche... 3 Ouvrir un dossier... 3 De la page de recherche...

Plus en détail

RECOPLUS LOGICIEL DE GESTION DES RECOMMANDES NOTICE D UTILISATION DE RECOPLUS RESEAU. N de série

RECOPLUS LOGICIEL DE GESTION DES RECOMMANDES NOTICE D UTILISATION DE RECOPLUS RESEAU. N de série RECOPLUS LOGICIEL DE GESTION DES RECOMMANDES NOTICE D UTILISATION DE RECOPLUS RESEAU N de série Siège social 107, rue Henri Barbusse BP305-92111 CLICHY Cedex 1 Sommaire Description 1. Installation 2. Mise

Plus en détail

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales) b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de

Plus en détail

www.espace-citoyens/ville-lehaillan

www.espace-citoyens/ville-lehaillan www.espace-citoyens/ville-lehaillan Ville du Haillan Espace famille Créer mon espace personnel... Me connecter à mon espace personnel... Adhérer à la facture en ligne... Payer mes factures en ligne (avec

Plus en détail