L ORGANISATION D UN ÉVÉNEMENT EN 7 ÉTAPES
|
|
- Denise Roberge
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 N 17 - SEPTEMBRE 2011 L ORGANISATION D UN ÉVÉNEMENT EN 7 ÉTAPES GROS PLAN Habitat et humanisme VIE PRATIQUE Faire vivre le projet associatif
2 édito La première édition des «Assos c est Fort» qui s est déroulée le 24 juin au Fort de Bregille a marqué le temps des vacances. De la musique, de la lumière, de la douceur, du plaisir à être ensemble, à échanger. Le mot convivialité avait là tout son sens. Cette belle soirée restera dans nos mémoires, en attendant le rendez-vous C est aujourd hui le temps de la rentrée pour les scolaires comme pour les associations, le temps aussi de nouvelles mobilisations, pour cette année européenne du bénévolat et du volontariat. Un dispositif intitulé «ambassadeurs lycées» permettra une sensibilisation au bénévolat dans des établissements scolaires ciblés. Cette promotion de l engagement bénévole auprès des jeunes lycéens émane d un projet commun entre France Bénévolat et le RNMA - Réseau national des maisons des associations. La Ville de Besançon s associera à cette démarche par l intermédiaire du Centre Ce projet national mobilisera des bénévoles des associations bisontines qui se rendront à la rencontre des lycéens étant l occasion d enclencher une dynamique de partenariat entre mondes éducatif et associatif, la démarche initiée cette année devrait se poursuivre et se développer les années suivantes. Une autre initiative, portée par la CPCA - Conférence permanente des coordinations associatives, «Les assises régionales de la vie associative» devraient voir le jour en décembre prochain. Le Service Vie associative de la Ville de Besançon apportera bien évidemment son soutien à cette manifestation. Cette rencontre régionale, ouverte à tous les responsables et militants associatifs sera un lieu d échanges et d expression, mais aussi l occasion pour les associations, de faire part de leurs difficultés, de leurs espoirs et de leurs attentes. Parallèlement à ces projets, nous nous retrouverons autour des traditionnels apéros assos, des formations et autres rencontres organisés par lecentre Une rentrée riche de temps forts qui viendront renforcer encore la vie associative bisontine et je m en réjouis! Danielle Poissenot Adjointe au Maire, déléguée à la Vie associative LE CENTRE 1901 EST OUVERT P2 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011 DU LUNDI AU JEUDI de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 18 h 00 LE VENDREDI de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 16 h 30 PENDANT LES VACANCES SCOLAIRES DU LUNDI AU VENDREDI de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 16 h 30 SOMMAIRE P2 édito C est la rentrée P3 actu Dernières infos du Centre 1901 P4 dossier L organisation d un événement en 7 étapes P6 vie pratique Faire vivre le projet associatif P7 mémo des associations Le DIF, droit individuel à la formation P8 gros plan sur... Habitat et humanisme B REVES D ASSOS Trimestriel Centre 1901, service Vie associative de la Ville de Besançon 35 rue du Polygone Besançon Tél Fax centre1901@besancon.fr Directeur de publication : Jean-Louis Fousseret Co-directrice : Danielle Poissenot Comité de rédaction : Service Vie associative Conception graphique : Céline Boyer Equipe rédactionnelle : Céline Boyer, Dominique Clidière, Danièle Gouffon, Nelly Hoang, Christine Soressi, Mireille Tilagone. Photographies : Céline Boyer, Club photo Planoise, Jean-Charles Sexe Tirages : exemplaires Impression : Imprimerie municipale de la Ville de Besançon sur papier PEFC
3 Actu LE PROGRAMME DES FORMATIONS DU CENTRE 1901 OCTOBRE DÉCEMBRE 2011 La réalisation d une charte graphique Céline Boyer, graphiste chargée de communication - Centre 1901 Ville de Besançon Jeudi 20 octobre et 3 novembre 2011 de 18 h 00 à 20 h 30 8,00 euros. Le recrutement d un salarié Jean-François Locatelli, directeur d agence Pôle emploi Planoise Tiziana Bouchard, conseillère à l emploi Jeudi 10 novembre 2011 de 18 h 00 à 21 h 00 6,00 euros. La gestion des locaux associatifs Stéphanie Galliot, juriste Jeudi 17 novembre 2011 de 18 h 00 à 21 h 00 6,00 euros. Initiation à Ciel compta Danièle Gouffon, conseillère vie associative - Centre 1901 Ville de Besançon Lundi 21 novembre 2011 de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 17 h 00 à l Espace public numérique du Centre Nelson Mandela à Planoise 14,00 euros la journée. L évaluation des actions et des activités Hervé Groult, coordinateur Jeunesse et Inter âges - Ville de Besançon Mardi 22 novembre 2011 de 18 h 00 à 21 h 00 6,00 euros. Un perfectionnement à la comptabilité Danièle Gouffon, conseillère vie associative - Centre 1901 Ville de Besançon Jeudis 1 er, 8 et 15 décembre 2011 de 18 h 00 à 21 h 00 11,00 euros. La révision des statuts Nelly Hoang, conseillère vie associative - Centre 1901 Ville de Besançon Lundis 5 et 12 décembre 2011 de 18 h 00 à 20 h 30 8,00 euros. Retrouvez le détail des formations et le bulletin d inscription à télécharger sur le site rubrique Rencontres et formations. L intégralité du programme est disponible au Centre rue du Polygone, Besançon Tél Fax Courriel : centre1901@besancon.fr DES SALLES MUNICIPALES EN RÉNOVATION POUR L ACCUEIL DES ASSOCIATIONS Le préau de l école Jean Zay dédié à la vie associative deviendra, dès le printemps 2012, une salle de quartier. Entièrement rénové et équipé, cet espace destiné entre autres à l accueil de loisirs de la MJC Palente sera à la disposition des associations de Palente Orchamps pour leurs manifestations et réunions. Ce lieu de vie et de rencontres permettra de favoriser et de dynamiser les initiatives locales, volonté municipale. La préparation du chantier s est déroulée durant l été et les travaux viennent de démarrer. Les locaux 17 rue Haag qui abritent la Maison du Chômeur et la salle destinée aux associations subissent également d importants travaux de rénovation. La première phase de création de sanitaires, d un office et d un local associatif vient de débuter. La salle de convivialité et les locaux destinés à la distribution alimentaire seront concernés par une seconde phase de travaux. à suivre dans un prochain B Rêves d Assos! LES COUPS DE POUCE DU CENTRE 1901 L association Nâlanda, créée en octobre 2010, réalise des ateliers éducatifs et des séjours autour de l environnement, du développement durable, de la santé et de la non violence. Le Centre 1901a réalisé le logo de l association pour une identité à la hauteur de ses ambitions. Retrouvezla dès la rentrée dans les établissements scolaires, maisons de quartier, centres de loisirs, associations... Contact : ou ou nalanda@live.fr P3 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011
4 dossier L ORGANISATION D UN EVENEMENT LE EN FORUM 7 ETAPES Faire connaître l association, rechercher de nouveaux adhérents, créer et entretenir des liens, accroître ses ressources de multiples raisons poussent les associations à mettre en place un événement. Si la définition des objectifs à atteindre est primordiale, rigueur et organisation sont aussi des gages de réussite : un peu de méthodologie s impose. Tout comme une manifestation réussie génère la satisfaction générale, un événement mal préparé ou mal anticipé peut se révéler chronophage, causer des désagréments ou devenir un véritable fardeau financier. Nous vous proposons une démarche sécurisée en sept étapes. 1- Clarifier et valider l idée Une conférence, une exposition, un repas dansant, un loto, un vide-greniers, une manifestation sportive... Quel événement choisir? La première étape essentielle consiste à définir : > > les objectifs : Quoi? Qu est-ce que nous voulons faire en termes d action et de résultat à atteindre? L objectif précise le plan d action, les publics concernés (Pour qui?), les délais et les résultats attendus. > > les finalités : Pourquoi? Quel est le sens de notre projet, les buts et les intentions? > > la planification : Quand? L événement est-il à planifier pour une date ou une occasion précise? Y a-t-il un moment plus propice? De combien de temps disposons-nous pour l organiser? Envisageons-nous un événement ponctuel ou récurrent? Y a-t-il d autres événements similaires à cette période? Mettre en place un événement demande du temps. L anticipation augmente d autant plus les chances de réussite. Avant d aller plus loin, le projet décrit en quelques lignes, est soumis à la validation des instances dirigeantes de l association. Les bénévoles en sont informés pour garantir leur adhésion et leur future implication dans le projet. P4 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011 Organiser un repas musical intergénérationnel Pour développer la vie sociale et la participation des habitants du quartier. Pour aider un groupe de musique du quartier à se faire connaître. 2- Faire l état des lieux Organiser un événement est un travail d équipe qui demande des compétences multiples et nécessite organisation et management performants. L évaluation des besoins et ressources à mobiliser est une étape essentielle. > > les acteurs : Qui? Qui sont les principaux acteurs? Quel est notre capital humain : bénévoles et salariés? De quelles compétences disposons-nous? Qui sont les partenaires potentiels? De quelles ressources utiles à notre projet disposent-ils? > > les moyens : Avec quoi? Quelles sont les ressources matérielles et financières à réunir pour organiser l événement et garantir sa bonne réalisation? Quels sont les moyens dont nous disposons? Ceux qui pourraient nous manquer? > > le budget : Combien? Quelles dépenses devrons-nous faire pour réaliser l événement? De quelles ressources disposons-nous? Quelles recettes attendons-nous? Utile pour savoir combien va coûter le projet et si l association est en mesure de réunir les financements nécessaires, le budget prévisionnel est essentiel pour s assurer de la faisabilité de l événement. C est un plan de financement qui évolue avec l avancement du projet. 3- Formaliser le projet A ce stade de la réflexion, suffisamment d éléments sont réunis pour écrire le dossier de présentation du projet. Bâti sur la trame des questions, il est évolutif en fonction des interlocuteurs. Le but de cette étape est de convaincre en interne, au sein de l association d abord puis en externe pour rechercher des partenaires.
5 4- S organiser pour organiser un événement L enjeu est à présent de clarifier la façon dont le projet peut être déployé pour atteindre les objectifs fixés. Qu y a-t-il à faire? Qui fait quoi? Quand? Comment? Cette phase est capitale pour organiser le travail en grandes étapes, planifier les actions et activités dans le temps, lister les moyens nécessaires pour garantir leur réalisation et déterminer la personne en fonction des compétences et intérêts de chacun. S il donne l avantage de visualiser l état d avancement du projet, le plan d action ou tableau de bord permet également de s assurer que chacun sait ce qu il a à faire et le fait. Comme dans le fonctionnement habituel d une association, il est préférable que les décisions soient préalablement discutées et prises collégialement. Les organisateurs devront mettre en place des rencontres régulières d échange et d information. Toutefois, créer des groupes opérationnels permet de définir les fonctions et les responsabilités qui y sont attachées, gage d efficacité. Le chef du projet assure coordination et organisation, les responsables s impliquent personnellement sur des points précis. En reprenant l exemple du repas musical intergénérationnel, l organisation peut se découper en cinq domaines, commissions ou pôles : artistique, communication, finances, logistique, sécurité. La transversalité de certaines de ces missions implique une répartition des tâches claire et exhaustive. L équipe projet, et notamment le responsable sécurité, devra aussi intégrer les obligations légales (demande d ouverture d un débit de boissons temporaire...), les autres formalités et autorisations (occupation d un lieu public, Sacem...) et sécuriser la manifestation (évaluation des risques, dossier de sécurité, assurance ). B Rêves d Assos n 9 - septembre 2009 «L organisation de spectacles». 5- Communiquer sur l événement auprès des médias et du public Etape incontournable, l action de communication est prévue en amont et bénéficie de moyens au même titre que les autres phases du projet. Organiser un événement, y mettre toute son énergie de bénévole c est bien, encore faut-il que le public soit au rendez-vous! Il ne suffit pas de savoir faire, mais aussi de faire savoir. Annoncer, inviter, rédiger un communiqué de presse, écrire sur un forum Internet, concevoir une affiche, assurer une bonne signalétique sont autant d actions indispensables à la réussite d un projet. B Rêves d Assos n 10 décembre 2009 «Le communiqué de presse, outil stratégique pour exister». 6- Réaliser l événement Le jour de la concrétisation, si l événement a bien été préparé, il ne reste plus qu à assurer la logistique, régler les problèmes de dernière minute et gérer les imprévus. Les responsables seront présents, visibles et rassurants envers l équipe. La manifestation a eu lieu, le public satisfait est parti, il ne reste plus qu à ranger, démonter, nettoyer. Une étape utile est celle des remerciements à ceux qui ont participé au succès. A l occasion d un moment de détente (collation, repas ), les échanges favorisent entre autres les liens entre les adhérents. 7- Evaluer et rendre compte Tout au long du projet, évaluer permet d assurer le suivi de l action, de mesurer son impact, son efficacité, la manière dont elle a été conduite, met en évidence les forces et les faiblesses de l organisation. A la fin de l événement, en termes de bilan, l évaluation est précieuse pour remercier, fidéliser bénévoles et partenaires, justifier l attribution d une aide publique. A partir des objectifs définis au départ, elle s appuie sur des résultats : > > des indicateurs objectifs (quantitatifs) : le nombre de bénévoles impliqués, de participants, d articles dans la presse, le temps passé, les dépenses, les recettes > > des indicateurs subjectifs (qualitatifs) : le ressenti des organisateurs, des intervenants, des partenaires, la satisfaction du public, l implication des bénévoles... La réalisation du bilan, autre phase riche et constructive, est indispensable pour transmettre l expérience. Ce bilan détaille l organisation et tient compte des modifications à apporter. Il facilitera et améliorera le processus opérationnel en cas de reconduction de l événement. Enfin, si les retombées presse contribuent à faire connaître l association, à présenter une image motivante et dynamique, elles donnent aux adhérents l occasion d être fiers d y appartenir ; les diffuser sans modération en interne et aux partenaires pour partager le succès de la manifestation. EXEMPLE DE PLAN D ACTION Etape 5- Communiquer sur l'événement 6- Réaliser l événement Pôle & responsable Communication Paul Durant Logistique Elodie Brun Action Activités Echéance Tâches Informer le public Organiser le repas Concevoir une affiche J 60 j Ecrire le texte Installer la signalétique H 2 h Positionner les panneaux sur le quartier Ressources à mobiliser Graphiste et imprimeur Paul Acteurs 2 bénévoles Robert, Stéphane Accueillir le traiteur H 2 h Installer les tables 4 bénévoles Carole, Pierre, Jules, Eric P5 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011
6 vie pratique FAIRE VIVRE LE PROJET ASSOCIATIF Une association comme toute organisation, repose sur des intentions, des engagements, un mode de fonctionnement, un champ de compétences, des moyens, des actions. Elle est animée par un état d esprit, des envies, des valeurs, une manière d être. C est ce qu on entend par projet associatif. Certaines associations ne formalisent pas leur projet. Cette étape est pourtant fondamentale. Le projet associatif précède en effet l activité, il guide la manière d être et d agir. Il constitue un socle commun pour tous les acteurs du projet. Formaliser son projet ou le réactualiser comporte de nombreux avantages. > > Le projet, un fil d Ariane Un projet précis garantit à l association une cohérence dans son action et lui permet d apporter une réponse appropriée aux missions qu elle doit remplir. Avec le temps, l évolution de la société et de l environnement, la pertinence du projet peut s atténuer. Alors, repenser le sens de l action en fonction des nouveaux besoins impulse une dynamique et inscrit l action dans la durée en assurant une continuité. > > Les éléments du projet Il n existe pas de modèle type de projet associatif. Toutefois, différents domaines peuvent être investis. Fondements : Le projet associatif reprend l histoire de l association ainsi que son contexte de création, indique les grandes étapes de son évolution et précise ses engagements. Mission et valeurs : Il décrit la mission de l association en répondant à des besoins en adéquation avec les valeurs qu elle défend. Public, objectif, moyens : Il définit le public auquel l association souhaite s adresser (pour qui?), il précise le besoin qu elle souhaite satisfaire (pourquoi?) et envisage les modes d intervention (comment?). Gouvernance : Il précise l organisation (association réservée aux membres fondateurs ou ouverte à tous, gestion démocratique avec l ensemble des membres ou gestion déléguée à un conseil d administration, un bureau, un président ). Partenariat : Le projet associatif décrit l ouverture aux partenaires (mutualisation de moyens, échanges d expérience, synergies, des coopérations...). P6 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011 > > Les actions pour formaliser le projet La création ou l actualisation de ce document se réalise dans un état d esprit d ouverture et de participation. Constituer un comité de pilotage : Ce groupe mobilisera les participants, rédigera un texte de base amendé et enrichi à chaque phase de réflexion. Rédiger un état des lieux : Faire le point sur la situation actuelle en s appuyant sur des constats concrets et observables. Organiser des consultations et des échanges entre tous les acteurs (bénévoles, adhérents, salariés, partenaires). Sur la base d un questionnaire, interroger les membres pour qu ils expriment leur ressenti sur le but et le fonctionnement de l association. Elaborer un diagnostic : A partir de l état des lieux, identifier les risques et les opportunités, les forces et les faiblesses. Arrêter un plan d action : Définir les objectifs et déterminer les actions à réaliser pour les atteindre. Lister les moyens humains, matériels et financiers nécessaires, les compétences requises et préciser les échéances. Evaluer : Cette étape mérite de réfléchir au préalable à la mise en place d indicateurs qualitatifs et quantitatifs. Communiquer : Communiquer sur le projet associatif donne une image concrète aux adhérents, valorise l association auprès des partenaires et permet une meilleure lisibilité. Certains éléments du dossier «Organiser un événement en 7 étapes» de ce B Rêves d Assos sont transposables à la formalisation du projet associatif. N hésitez pas à vous en inspirer!
7 Mémo des associations > A SAVOIR LE DIF DROIT INDIVIDUEL À LA FORMATION Créé par la loi du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle et au dialogue social, le DIF consiste en l acquisition par chaque salarié, tous les ans, d un nombre d heures de formation qu il capitalise pour lui permettre, en accord avec son employeur, de faire des formations portant sur des actions : > > de promotion professionnelle ou personnelle, > > d acquisition, d entretien ou de perfectionnement des connaissances, > > de qualification développant une meilleure employabilité. Chaque 1 er janvier, tout salarié acquiert des droits à DIF au titre de l année précédente (mise en place du DIF en 2004, acquisition des heures au 1 er janvier 2005). Le nombre d heures varie en fonction du contrat et du temps de travail : > > CDI - à temps complet, les droits annuels au DIF sont de 20 heures, dans la limite de 120 heures. Au-delà de six ans, si le salarié n a pas utilisé ses heures, il n acquiert plus de droits nouveaux. - à temps partiel, la durée des droits acquis est proratisée en fonction du temps de travail hebdomadaire : 20 h x temps de travail hebdomadaire / 35 heures. Les salariés en CDI partis en cours d année (quel que soit le motif de rupture) ne bénéficient pas de droits à DIF pour l année correspondant à la rupture, puisqu ils ne sont pas présents au 1 er janvier de l année suivante. > > CDD Dès qu il justifie de 4 mois d ancienneté, consécutifs ou non, au cours des 12 derniers mois dans la même association, le salarié en CDD est informé par écrit de son droit à bénéficier du DIF : - à temps complet, la durée de la formation est calculée par rapport à la durée du contrat, - à temps partiel, la durée est proratisée en fonction de la durée du contrat et du temps de travail : 20 h x nombre de mois de présence x temps de travail hebdomadaire La mise en œuvre du DIF L employeur doit informer chaque 31 janvier au plus tard du nombre d heures totales de DIF acquises pour chaque salarié. Cette information écrite peut se faire en annexe du bulletin de paie. Si le choix de la formation est de l initiative du salarié, l utilisation du DIF suppose un accord de l employeur. Le choix tient éventuellement compte des priorités de formation fixées par convention, accord collectif de branche ou d association. Lorsque le salarié prend l initiative de faire valoir ses droits à la formation, l employeur dispose d un mois pour notifier sa réponse. L absence de réponse vaut acceptation du choix de l action de formation. La durée de la formation réalisée se déduit du contingent d heures de formation acquis au titre du DIF. Les actions de formation se déroulent, en principe, en dehors du temps de travail. Lorsque, durant 2 années d exercices civils consécutifs, le salarié et l association sont en désaccord, l OPACIF - Organisme paritaire agréé au titre du CIF - Congé individuel de formation, assure la prise en charge financière de l action dans le cadre d un CIF. En fin de contrat En cas de rupture de son contrat de travail, le salarié peut conserver ses droits acquis au titre du DIF et bénéficier d une action de formation soit pendant le préavis, soit à l issue de son départ de l entreprise. Il bénéficie ainsi du mécanisme de la portabilité du DIF. Le salarié qui démissionne ou qui fait l objet d un licenciement peut bénéficier de son reliquat de droits acquis au titre du DIF pendant la période de préavis (sauf en cas de licenciement pour faute grave ou lourde). Le salarié peut bénéficier d une action de bilan de compétences, de VAE - Validation des acquis de l expérience ou de formation. Lors du départ du salarié, l employeur doit mentionner sur le certificat de travail : > > le solde du nombre d heures acquises et non utilisées au titre du DIF, > > la somme correspondant à ce solde : cette valorisation est égale à 9,15 euros par heure, > > l OPCA - Organisme paritaire collecteur agréé auquel l association cotise pour la formation professionnelle. Si le salarié retrouve un nouvel emploi Auprès du nouvel employeur, le salarié dispose de deux ans pour financer tout ou partie d une action de bilan de compétences, de VAE ou de formation. P7 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011
8 gros plan sur... > Un des premiers logements d Habitat et humanisme rue Gruey à Besançon HABITAT ET HUMANISME Depuis sa création à Besançon en juin 2005, Habitat et humanisme Doubs œuvre autour de trois piliers complémentaires : proposer un logement aux personnes en difficultés, accompagner les familles et promouvoir l épargne solidaire. 180 adhérents, dont 80 particulièrement actifs, s efforcent chaque jour d entretenir avec le tissu associatif, les institutions locales et les entreprises, un partenariat autour des questions liées au logement familial. C est à Lyon, il y a 25 ans, que Bernard Devert, professionnel de l immobilier devenu prêtre, pose les prémices de ce que sera Habitat et humanisme. Reconnue d utilité publique, l association nationale fédère 51 associations locales dans 64 départements, certaines ayant opté pour une mutualisation interdépartementale. Pierre Chevalet, président de HH Doubs et Jean Fusé, chargé de communication. A la question << ce sont donc les bénévoles qui assurent le suivi des familles, les accompagnent dans une démarche d insertion pour bâtir avec elles un projet de vie? >> Pierre Chevalet, président de HH Doubs et Jean Fusé, chargé de communication, nous font part de cette particularité << un plan de formation est effectivement proposé par la fédération afin de sensibiliser les bénévoles aux questions sociales, aux enjeux personnels, professionnels et collectifs >>. Car au-delà de ces aspects qui peuvent s avérer sensibles, il y a aussi les tâches quotidiennes pour lesquelles ces bénévoles sont volontaires << lorsqu il faut réparer une porte, on a toujours quelqu un dans l association qui est prêt à rendre ce service >>, preuve d une solidarité de proximité qu on pourrait qualifier d innée. Si la problématique du droit français vient parfois compliquer la gestion des situations particulières, elle n a cependant pas été un frein à la poursuite des actions engagées. Dans le Doubs 51 logements ont été financés depuis la création, dont 35 dans 2 maisons relais combinant petits logements autonomes et espaces de vie communs. Une foncière d Habitat et humanisme, outil d achat et de réhabilitation, en est propriétaire et assure donc les travaux et l entretien. La gestion des logements est assurée par l Aivs du Doubs - Agence immobilière à vocation sociale, y compris ceux confiés par des particuliers. Les deux maisons relais sont louées à des associations qui en assurent la gestion en partenariat avec HH Doubs. Pour financer son action en faveur des mal-logés, en complément des dons, Habitat et humanisme développe des produits d épargne solidaire qui permettent à chacun de devenir acteur d une économie de partage. Le principe est simple, vous pouvez souscrire au livret d épargne géré par le Crédit Coopératif qui verse à Habitat et humanisme une partie des intérêts du livret, de 25 à 100% selon le choix du souscripteur. Conférence Le 16 septembre à 20 h 30, un temps fort de débat sur la problématique du logement est organisé sous forme d une conférence donnée par Bernard Devert au Centre diocésain, 20 rue Mégevand. Contact : Habitat et humanisme Doubs 7B rue Voirin Besançon Tél : Courriel : doubs@habitat-humanisme.org P8 B RÊVES D ASSOS SEPTEMBRE 2011
L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration
L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailLES ARCHIVES DES ASSOCIATIONS
N 18 - DÉCEMBRE 2011 LES ARCHIVES DES ASSOCIATIONS GROS PLAN La blanchisserie du refuge VIE PRATIQUE Registre spécial, le livret de famille de l association édito 2011, l année européenne du bénévolat
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détaille Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs
LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel
Plus en détailLa construction du projet associatif. un outil d aide à la structuration
La construction du projet associatif un outil d aide à la structuration Sommaire 1. Le diagnostic de l association 3 1.1 L état des lieux 3 1.2 L analyse 4 2. La formalisation du projet 5 3. La traduction
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailRhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr
Rhône Développement Initiative 1993-2013 Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité www.rdi.asso.fr Jean-Jacques MARTIN, Président de RDI Membre des réseaux nationaux RDI Edito
Plus en détailBIEN ACHETER DE LA FORMATION
professionnalisation compétences FORMATION entreprise solutions BIEN ACHETER DE LA FORMATION GUIDE PRATIQUE AGEFOS PME LANGUEDOC-ROUSSILLON Toutes les réponses à vos questions Sommaire 2... Mes objectifs
Plus en détailClient : AGEFOS PME AQUITAINE Mission : Actions management Année : 2010. Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail
Drroiitt ett oblliigattiions de ll enttrreprriise au rregarrd du code du ttrravaiill Action Objectifs Droit et obligation de l entreprise au regard du code du travail Appréhender les dernières évolutions
Plus en détailSalarié. Sécurisez votre parcours professionnel
! Salarié Senior (ou pas) Sécurisez votre parcours professionnel SOMMAIRE Introduction... p 3 Vous souhaitez faire le point sur votre carrière... p 4 Entretien de 2nde partie de carrière... p 5 Bilan de
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailCIF CDI GUIDE PRATIQUE. Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir
CIF CDI Congé individuel de formation CDI Suivre une formation pour évoluer ou se reconvertir LE CONGÉ INDIVIDUEL DE FORMATION CDI EN BREF Qu est-ce que le congé individuel de formation CDI? Le congé individuel
Plus en détailLe contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE»
GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier MISSION FORMATION CONTINUE ET APPRENTISSAGE «POLE ALTERNANCE» LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailLa démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action?
La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action? Sources : Méthodologie de projet / fiches pratiques / comment passer d une idée à sa mise en
Plus en détailMINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3257 Convention collective nationale IDCC : 1601. BOURSE (3 e édition. Juin 2004) ACCORD DU 8 JUILLET 2005
Plus en détailLundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants
Plus en détailPrésentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS
Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation
Plus en détailProgramme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015
Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détail9 Référentiel de missions de l agence du service civique
BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6
Plus en détailUcanss. Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières
Ucanss Protocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières Potocole d accord relatif à l emploi des seniors et à la gestion des secondes parties de carrières
Plus en détailLes grandes fonctions du tuteur
Agence Erasmus+ Jeunesse & Sport Les grandes fonctions du tuteur Ce document rend compte de travaux effectués en ateliers par les participants lors des sessions de formation de tuteurs SVE organisées depuis
Plus en détailLa formation professionnelle continue en 2013
La formation professionnelle continue en 2013 UNIFORMATION : OPCA de l économie sociale La contribution «Formation» Les dispositifs de la formation professionnelle continue : Financement du plan de formation
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailOBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE
OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE Des animations de qualité pour les enfants 10 Allée du Cortil La Vacherie 74230 THÔNES Téléphone : 04 50 63 10 64 Messagerie : ofaq@aliceadsl.com Formations continues
Plus en détailEN LIGNE. EMPLOYEUR Pôle emploi
Août 2012 GUIDE PRATIQUE Guide de SAISIE EN LIGNE de l ATTESTATION EMPLOYEUR Pôle emploi Depuis le 1 er janvier 2012 les entreprises de plus de 10 salariés doivent transmettre leur attestation employeur
Plus en détailPasser le relais au sein de son association. Création- Fonctionnement STRUCTURER
Création- Fonctionnement Passer le relais au sein de son association Une association est une organisation. Et comme toute organisation humaine, elle est soumise au cours de son existence à des changements
Plus en détailDiplôme d Université
Formation Continue Diplôme d Université Gérer et Développer votre Association I.A.E de Lyon - Université Jean Moulin - Lyon 3 6, cours Albert Thomas - BP 8242-69355 Lyon cedex 08 Tél. : 04 78 78 71 88
Plus en détailLa politique marseillaise en faveur des Seniors
La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailI. Marché du travail et emploi salarié privé. Evolution du nombre de demandeurs d emploi (cat ABC) à fin octobre 2012. Oct. 2011 Oct.
M a i s o n d e l E m p l o i L es Cahier s J a n v i e r 2 0 1 3 - N u m é r o 1 9 Avec la participation de : Ce cahier construit par et pour les acteurs de l Emploi, de la Formation et du Développement
Plus en détailLa Convention collective des salariés du Particulier employeur. 28/01/2014 Cncesu - Pôle d'appui au Réseau 1
La Convention collective des salariés du Particulier employeur 28/01/2014 Cncesu - Pôle d'appui au Réseau 1 Les obligations de l employeur à l embauche du salarié S immatriculer en tant qu employeur, plusieurs
Plus en détailMAMI SENIORS Livret d accueil
MAMI SENIORS Livret d accueil Maison «Mami seniors» : Un espace d accueil de jour non médicalisé. C est un lieu de rencontres, d échanges et d animation au cœur de Toulon. Soucieux de cultiver le lien
Plus en détailQUESTIONS. décembre 2014
QUESTIONS RéPONSES RELATIF à l agrément, aux missions et au fonctionnemement des organismes paritaires collecteurs agréés au titre de la formation professionnelle continue décembre 2014 questions-réponses
Plus en détailResp employeur 30.11.09 CDOS 57 LA FORMATION PROFESSIONNELLE. Chapitre 8 de la CCNS
LA FORMATION PROFESSIONNELLE Chapitre 8 de la CCNS PART DES COTISATIONS «FORMATION» DANS LES CHARGES PATRONALES ( STRUCTURE DE MOINS DE 10 SALARIÉS) TYPE POURCENTAGE DE LA MASSE SALARIALE Organisme Paritaire
Plus en détailRéforme de la formation professionnelle
MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes
Plus en détailInformation AIDES AU FINANCEMENT DES FORMATIONS diagnostic immobilier, prévention des risques professionnels.
Information AIDES AU FINANCEMENT DES FORMATIONS diagnostic immobilier, prévention des risques professionnels. Salariés, demandeurs d emploi, professions libérales et commerçants, intérimaires, et travailleurs
Plus en détailCHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1
Paris, le 22 Mai 2013 CHARTE DU RESEAU ODC (Projet) V0.1 Présentation du réseau ODC : OPTIMAL DATA CENTER est une marque commerciale déposée qui fédère un réseau national de prestataires et fournisseurs
Plus en détailL Association Française des AIDANTS et le Groupe PRO BTP, partenaires pour soutenir les aidants
DOSSIER DE PRESSE L Association Française des AIDANTS et le Groupe PRO BTP, partenaires pour soutenir les aidants PARIS Mercredi 29 février 2012 Communiqué de presse p.2 L Association Française des AIDANTS
Plus en détailUNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer
MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social
Plus en détailPortefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations
Bénévolat Portefeuille de compétences Modes d emploi pour Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Tout bénévole Votre mode d emploi Le Portefeuille de compétences vous aide
Plus en détailMise en conformité de vos régimes santé, et prévoyance, êtes-vous prêts!
GRAS SAVOYE I CONSEIL & COURTAGE EN ASSURANCES Mise en conformité de vos régimes santé, et prévoyance, êtes-vous prêts! Votre entreprise dispose d un régime complémentaire de protection sociale (frais
Plus en détailResponsable mécénat/ partenariats entreprises
N 4 - RESPONSABLE MÉCÉNAT/ PARTENARIATS ENTREPRISES RESPONSABLE MÉCÉNAT (DÉNOMINATION DAVANTAGE UTILISÉE DANS LA CULTURE), RESPONSABLE PARTENARIATS ENTREPRISES Le responsable Mécénat/partenariats entreprises
Plus en détailPREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE
LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement
Plus en détailGUIDE DE La formation. Pour les employeurs d emploi d avenir
GUIDE DE La formation Pour les employeurs d emploi d avenir SOMMAIRE POURQUOI UN GUIDE DE LA FORMATION À 3 DESTINATION DES EMPLOYEURS D EMPLOI D AVENIR? L ESSENTIEL DU GUIDE 4 I. faites DE VOS ENGAGEMENTS
Plus en détailDirecteur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON F. 04 90 80 81 32
SUR LES SEJOURS LINGUISTIQUES DOSSIER DE PRESSE Mercredi 15 février de 13 h à 17 h Ancienne caserne des pompiers rue Carreterie Avignon Directeur de la communication Philippe DEBONDUE Presse - Marion WAYSENSON
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE LES CLEFS DE LA RÉFORME ENTREPRISES DE 300 SALARIÉS ET PLUS, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA RÉFORME DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE. LES ENJEUX MAJEURS POUR LES ENTREPRISES
Plus en détailLa Validation des Acquis de l Expérience. avec l IFPASS. www.ifpass.fr
La Validation des Acquis de l Expérience avec l IFPASS www.ifpass.fr Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS est au service des professionnels de l assurance, qu ils
Plus en détailLe Personnel de Maison
Le Personnel de Maison ( Le guide de l employeur Tout ce qu il faut savoir pour l embauche de personnel de maison MISE À JOUR AVRIL 2013 3 bis, rue Mahabou. 97600 Mamoudzou / Tél. : 02 69 61 16 57 LES
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détailRéunion d information sur la formation professionnelle continue
Réunion d information sur la formation professionnelle continue Réseau GRAINE Pays de la Loire Lundi 07 juillet 2014 06/10/14 1 Panorama des dispositifs de formation PLAN DE FORMATION PROFESSION- NALISATION
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailQuels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations
Quels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations Associations (artistiques et culturelles), quels liens avec l ESS Les associations font donc automatiquement partie du périmètre de l ESS
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détail1 Travailler dans le secteur social
1 Travailler dans le secteur social Proposer des formations aux métiers de la solidarité. Accéder à un emploi dans un secteur porteur. Parmi les acteurs : AskOria, les métiers des solidarités Cet organisme
Plus en détailLA CRÉATION D UNE ASSOCIATION EN 4 ÉTAPES
N 29 - SEPTEMBRE 2014 LA CRÉATION D UNE ASSOCIATION EN 4 ÉTAPES GROS PLAN Accueil familles Pergaud VIE PRATIQUE Réforme du temps partiel : 24 h minimum par semaine édito Avec vous, pour Besançon, donnons
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailenmodesocial LES REPONSES À VOS QUESTIONS Régime de prévoyance : les impacts de la loi du 14 juin 2013
enmodesocial Le magazine des informations sociales de la Fédération Nationale de l Habillement LES REPONSES À VOS QUESTIONS Régime de prévoyance : les impacts de la loi du 14 juin 2013 octobre novembre
Plus en détailDéfinir et consolider son projet associatif
FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,
Plus en détailContacts. www.mdl-champagneardenne.com. la Ligue de l'enseignem. de votre MDL. Ardennes. Aube. Marne. Haute-Marne
... en Junior Asso Vers qui puis-je me renseigner si je veux créer une MDL? - Mon chef d établissement et/ou le référent vie lycéenne de mon établissement. - Délégué(e) académique à la vie lycéenne. -
Plus en détailReprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble!
Le Livret d accueil du Repreneur Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble! 2 3. Sommaire Le CRA Ce livret a pour vocation de vous aider à utiliser d une manière optimale l
Plus en détailLycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7
RÈGLEMENT INTÉRIEUR Lycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7 Étudiants... page 9 Devoirs des étudiants... page 9 Droit des étudiants... page 13 5 rue de la Motte Brûlon
Plus en détailun Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de
Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les
Plus en détailplus simple unique de 50 e HT par stagiaire et par jour (1) Validation des compétences Transmission des savoirs
PAck 2015 formation spécial entreprises de moins de 50 salariés plus simple plus rapide Participation unique de 50 e HT par stagiaire et par jour (1) (1) Formations financées sur les fonds mutualisés d
Plus en détailRapport d'activités 2011
Rapport d'activités 2011 SOMMAIRE 1 - Animation éditoriale du site www.alpesolidaires.org 1.1 : Animer la participation des acteurs ESS et politique de la ville Des contributions en hausse Une fréquentation
Plus en détailAccord portant sur les mesures d accompagnement de la mobilité au sein de la Caisse d Epargne Loire-Centre
Accord portant sur les mesures d accompagnement de la mobilité au sein de la Caisse d Epargne Loire-Centre Entre les soussignés La Caisse d'epargne Loire-Centre dont le siège social est situé à ORLEANS,
Plus en détailPASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION
PASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION OBJET A travers ce dispositif, la Région souhaite : Démocratiser l accès à la culture Faire du dispositif un véritable outil d ouverture culturelle Valoriser
Plus en détailNous contacter : Documentation disponible au BIJ :
UE Q I T A R P E D I U G IER 2013 VERSION JANV Ce document a été réalisé à partir des sources documentaires suivantes : Huet Marion, L abécédaire du baby-sitting, Paris, Mutandis, 2004. Le petit guide
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailPOUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY
MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE
Plus en détailVAE. Validation des Acquis de l Expérience. Mon expérience professionnelle transformée en diplôme? C est fait pour moi! pratiques d Actalians SALARIÉ
Les guides pratiques d Actalians VAE Validation des Acquis de l Expérience SALARIÉ Mon expérience professionnelle transformée en diplôme? C est fait pour moi! Actalians est l Organisme Paritaire Collecteur
Plus en détailL assurance de Groupe. 10 questions souvent posées sur l assurance de groupe
L assurance de Groupe Un must, aussi pour les PME 10 questions souvent posées sur l assurance de groupe Les pensions complémentaires ont le vent en poupe La pension légale d un travailleur salarié belge
Plus en détailCONTRAT EDUCATIF LOCAL
CONTRAT EDUCATIF LOCAL Année 2002-2003 CANDIDATURE ET PROJET D ACTIONS SUR LES TEMPS PERI ET EXTRA-SCOLAIRES sur la commune ou le groupement de communes de... Ce dossier comprend : Page 2 : Page 3 : Page
Plus en détailCopyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC)
2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) SOMMAIRE (1/3) ENJEUX DE L INFORMATIQUE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE 1. Depuis quand un programme de convergence informatique
Plus en détailRESSOURCES ASSOCIATIVES
Ces formations gratuites sont dispensées par le Comité Départemental Olympique et Sportif du Rhône et le CENACLE, dans le cadre de leur mission de soutien au développement de la vie associative sportive
Plus en détailLA DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE
DOSSIER DE PRESSE LA DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE mars 2015 CONTACTS PRESSE GIP-MDS / net-entreprises.fr Céline Tinot 01 58 10 47 05 celine.tinot@gip-mds.fr Agence Wellcom Sandra Ciavarella & Gaëlle
Plus en détailChargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols
Chargé(e) d Accueil La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailGroupements d employeurs
Groupements d employeurs Rapport d étude Sommaire Objectifs de l étude.. Page 3 Déroulement de l étude. Page 4 Les 3 groupements.. Page 5 Méthodologie.. Page 6 Caractéristiques des 3 groupements.. Page
Plus en détailOffice Central de la Coopération à l Ecole Association 1901 reconnue d utilité publique
, 22, rue des Sablières 33800 BORDEAUX Tel : 05 56 91 67 55 - Fax : 05 56 92 87 67 - Courriel : ad33@occe.coop Site Internet : http://www.occe33.net/ QUESTIONS posées à l OCCE lors de la FORMATION des
Plus en détailBudget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015
Service de presse Ville de Rennes/Rennes Métropole Tél. 02 23 62 22 34 Vendredi 6 mars 2015 Conseil municipal Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Sommaire > Communiqué
Plus en détailwww.rhonealpes.fr Rhône-Alpes
www.rhonealpes.fr Accueillir et accompagner des jeunes en contrat d engagement de service civique Rhône-Alpes Alors que la jeunesse doit rester l âge des projets et des rêves, aujourd hui, dans notre région,
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailGuide du Partenaire OFFICE DE TOURISME de LANGEAIS & CASTELVALÉRIE
Nos valeurs Nos services Devenir partenaire Guide du Partenaire OFFICE DE TOURISME de LANGEAIS & CASTELVALÉRIE année 2015 2 SOMMAIRE Nos valeurs... Nos missions p. 3-4 L équipe associative L équipe salariée
Plus en détailLA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE
LA JEUNESSE l es sen tiel LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE sommaire LA JEUNESSE PAGES 4 À6 PAGES 7 À9 PAGE 10 PAGE 11 Le BIJ, lieu ressources Pour s informer et se documenter -
Plus en détailSOMMAIRE. 2/ Phase de travaux et de lancement
SOMMAIRE Tout projet doit être mûrement réfléchi pour juger de sa pertinence, de sa faisabilité et des enjeux économiques qui en résultent, de ses coûts et finalement de sa rentabilité. La constitution
Plus en détailLES ATELIERS LES RESSOURCES LES PROJETS
13-25 ans Pôle Ressources Jeunesse PROGRAMMATION JANVIER - SEPTEMBRE 2013 LES ATELIERS LES RESSOURCES LES PROJETS www.ville-roubaix.fr Fiche D ADHéSION SAISON 2012 /2013 RENSEIGNEMENTS PERSONNELS : NOM
Plus en détailRÉGIME de PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE
CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES COMMERCES DE GROS RÉGIME de PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE des salariés non cadres MALAKOFF MÉDÉRIC, VOTRE PARTENAIRE POUR LE RÉGIME DE PRÉVOYANCE DE VOS SALARIÉS NON CADRES*
Plus en détailQuestions-réponses Réforme de la formation professionnelle Loi du 5 mars 2014
Questions-réponses Réforme de la formation professionnelle Loi du 5 mars 2014 Table des matières LE CPF... 2 1/ CPF et DIF... 2 2/ Alimentation du compte CPF... 4 3/ Gestion du compte CPF... 6 4/ Actions
Plus en détailCatalyseur de savoir et d expérience
Catalyseur de savoir et d expérience Comptabilité Outils de la finance Social Formations Catalogue 2014/2015 Partenaire De votre développement A L entreprise constitue un formidable lieu de projets, de
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailMAISON DES ASSOCIATIONS
MAISON DES ASSOCIATIONS ESPACE CLÉMENT-MAROT PLACE BESSIÈRES 2 Situé au cœur de la ville à l espace Clément- Marot, la Maison des associations a pour vocation de promouvoir et de faciliter la vie associative.
Plus en détail«Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation»
«Jeune : Quel engagement? Volontariat, Réseaux Sociaux, Indignation» Note de présentation Le réseau des pôles ressources d aide au développement de la vie associative du Nord - Pas de Calais propose à
Plus en détailAssociation Ensemble pour les jeunes du 13, Complexe sportif du Val de l Arc Direction des Sports Chemins des Infirmeries 13100 Aix en Provence.
1 1-PRESENTATION DE L ASSOCIATION 2-ACTIVITES 2-1 Le club de basket «GOLGOTHS 13», 2-2 EJ13 Football, 2-3 Actions Sport/Proximité, 3-EVENEMENTS 3-1 Le «CERCLE BASKET CONTEST», 3-2 Nos autres Manifestations.
Plus en détailUne version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.
Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.com Accord national du 13 novembre 2014 relatif à la formation
Plus en détail«Identifier et définir le besoin en recrutement»
«Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité
Plus en détail