SOCIOLOGIE Chapitre 2 : GROUPES ET RESEAUX SOCIAUX

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SOCIOLOGIE Chapitre 2 : GROUPES ET RESEAUX SOCIAUX"

Transcription

1 SOCIOLOGIE Chapitre 2 : GROUPES ET RESEAUX SOCIAUX Questions centrales du chapitre 2 : Comment distinguer les groupes sociaux, comment les définir? Comment ces groupes sociaux fonctionnent-ils? Comment mobilisent-ils les individus? Objectifs du chapitre 3 : - Acquérir des savoirs : - Savoir définir les notions essentielles du programme de première : groupes primaire/secondaire, groupes d appartenance/de référence, groupes d intérêt, passager clandestin, incitations sélectives, capital social, formes de sociabilité. - Il faut savoir : - distinguer les groupes sociaux des simples agrégats physiques et des catégories statistiques - mettre en évidence les différents types de groupes sociaux en fonction de caractéristiques comme la taille, leur rôle, leur fonctionnement - expliquer les mécanismes de fonctionnement au sein des groupes sociaux - expliquer ce que sont les réseaux et mettre en évidence leur différences tant dans le fonctionnement que dans leur rôle auprès des individus. - Acquérir des savoir-faire : - savoir lire et interpréter des tableaux à double entrée et différents types de représentations graphiques (diagrammes, représentations de séries chronologiques) - savoir lire et interpréter, utiliser les taux de répartition, taux de croissance, taux de croissance moyen, indice simple (de base 100), pour établir des comparaisons dans le temps et l espace. Plan : I Comment les individus s associent-ils pour constituer des groupes sociaux? II Comment la taille des groupes influe-t-elle sur leur mode de fonctionnement? III Comment les réseaux sociaux fonctionnent-ils? I COMMENT LES INDIVIDUS S ASSOCIENT-ILS POUR CONSTITUER DES GROUPES SOCIAUX? A. Qu est-ce qu un groupe social? Activité de sensibilisation : visionnage d un extrait long du film «Ressources humaines» de Laurent Cantet, année Voir aussi Belin p 265 Un fils, cadre en stage dans l entreprise où son père est ouvrier, reproche à ce dernier de ne pas participer au mouvement de grève par peur de décevoir son patron et d affirmer son opinion. Le père redoute que l attitude de son fils ne compromette sa carrière, après tant d efforts pour le sortir de sa condition ouvrière. Présentation de la nomenclature des PCS, permettant de classer la population française : 1. Agriculteurs 2. Commerçants, artisans, chefs d entreprise 3.Cadres et professions libérales 4. professions intermédiaires 5. Employés 6.ouvriers et 2 catégories d inactifs (retraités/étudiants, au foyer) Q1. Où se situent Frank dans cette nomenclature? Où se situe son père? 1

2 Document 1 : Changer de groupe et trouver sa place? «Ressources humaines», bien ancré dans la réalité sociale, n en est pas moins une fiction qui lorgne vers une fable. Elle pourrait s appeler «Le Chien et le Loup»* version moderne. Le Loup, c est Frank (Jalil Lespert), un louveteau encore, frais émoulu de son école parisienne. Il revient à la maison familiale à l occasion d un stage. Dûment cravaté, masquant son appréhension derrière des phrases apprises, un sourire tour à tour timide et conquérant, le voici dans l usine où son père est ouvrier soudeur. Employé modèle face à la même machine depuis trente ans, ce père-là est lui le «chien», habitué aux ordres, à la routine, et pas mécontent de son sort. L ambition, la fierté, il les a reportés sur Frank, le fils qui va rejoindre ceux d en haut, les cravatés, ceux qui dirigent. Tandis que lui, l échine arrondie, va s installer à son poste, comme tous les autres jours. ( ) face au patron de l usine, petit homme à la rondeur trompeuse, Frank dose la soumission et une assurance presque insolente. Il veut plaire autant qu apprendre, montrer ses belles dents sans mordre ainsi fait-on chez les jeunes loups. Frank est un «petit arriviste» aux yeux de la déléguée CGT ( ). Quand il met la main sur un document confidentiel tapi dans un ordinateur : l entreprise a concocté un plan de licenciement. Dont son père, parmi d autres, fera les frais. Petit clic et grand choc. Le voilà qui se sent redevenir chien. Mais un chien rebelle, féroce, prêt à tout. Qui passe à l action. François Gorin, critique du film de Laurent Cantet, Télérama, décembre *Célèbre fable de Jean de La Fontaine. Q2. A quels signes/comportements pouvez-vous repérer la «place» de chacun des protagonistes du film (Frank et son père, le Directeur des ressources humaines, le patron, la secrétaire) dans la nomenclature des PCS et plus généralement dans l espace social? Q3. A quels signes peut-on repérer que Frank a changé de groupe social par rapport à son père? Q4. Quelles sont les motivations des salariés qui se mettent en grève dans cette usine? Q5. Pourquoi la pression sur le père qui ne fait pas grève (et sur les autres salariés de l entreprise dans son cas) est-elle très forte? Document 2 : Nous et les autres Belin doc 2 p 267 jusqu à «château». Et Hatier doc 2 p 240 : La jeunesse n est qu un mot Ce que je veux rappeler c est que la vieillesse et la jeunesse ne sont pas des données mais sont construites socialement, dans la lutte entre les jeunes et les vieux. Les rapports entre l âge social et l âge biologique son très complexes. Si l on comparait des jeunes de différentes fractions de la classe dominante, par exemple tous les élèves qui entrent à l Ecole Normale Supérieure, ou à Poltytechnique, l ENA etc la même année, on verrait que ces «jeunes gens» ont d autant plus les attributs de l adulte, du vieux, du noble, du notable etc qu ils sont plus proches du pouvoir. Quand on va des intellectuels aux PDG, tout ce qui fait jeune, chebeux longs, jean etc disparaît. D après Pierre Bourdieu, «La jeunesse n est qu un mot», in Question de sociologie, Editions de Minuit, 1984, Hatier

3 Q1. A quels signes voit-on l appartenance d un individu à un groupe social (doc Belin)? Q2. Rappelez comment on entre dans les écoles nommées par Pierre Bourdieu (doc Hatier). Q3. La jeunesse est-elle une catégorie statistique ou un groupe social? Justifiez votre réponse. Un groupe social désigne un ensemble d individus répondant aux deux critères suivants - les membres du groupe entretiennent des relations, directes ou indirectes, obéissant à des règles préétablies ; - les membres du groupe ont conscience d appartenir au groupe et sont vus par les autres comme membres du groupe. Par exemple, un groupe de supporters, une famille, une classe, un groupe d amis, etc Contre-exemples : une file d attente devant le cinéma par exemple n est pas un groupe social ; la catégorie socio-professionnelle «profession intermédiaire» n est pas un groupe social car les individus n entretiennent pas de relation entre eux nécessairement et n ont pas conscience d appartenir à ce groupe. B.Groupe primaire, groupe secondaire Document 3 : Groupes primaire et secondaire selon le sociologue Charles Horton Cooley Belin doc 1 p 266 (Hatier doc 1 et 2 p 246) Q1. Qu est-ce qui différencie les relations entre les groupes les membres dans un groupe primaire et dans un groupe secondaire? Groupe primaire : groupe de petite taille caractérisé par des relations directes (de face-à-face) et un fort degré d intimité, par exemple une famille, un groupe d amis, Groupe secondaire : groupe de grande taille caractérisé par des relations souvent indirectes et un faible degré d intimité, par exemple une foule de manifestants, une nation, les salariés d une grande entreprise. A l oral : doc 3 p 267 le tableau proposé. C. Groupe d appartenance, groupe de référence Document 4 : le coin des gagneurs à Harlem belin doc 3 p 269 Q1. Quels comportements adopte l élite des Noirs américains? 3

4 Q2. De qui veulent-ils se distinguer et quel est leur groupe de référence selon vous? Groupe d appartenance : groupe social auquel appartient objectivement un individu, par exemple un élève qui appartient au groupe des collégiens. Groupe de référence : groupe social auquel un individu souhaite appartenir. L individu cherche donc à en adopter les normes, valeurs et pratiques sociales (socialisation anticipatrice). Par exemple, un collégien qui prend comme modèle de comportement les normes et les valeurs d un groupe de lycéens. Les groupes peuvent avoir des stratégies de distinction par rapport aux autres groupes. Et lorsqu un individu souhaite changer de groupe social, il adopte alors une stratégie d imitation. A noter : le groupe de référence est un groupe de statut plus valorisé que celui d appartenance de l'individu. II COMMENT LA TAILLE DES GROUPES INFLUE-T-ELLE SUR LEUR MODE DE FONCTIONNEMENT? Activités de sensibilisation : Image Belin doc 2 p 264 (le Mouvement des «Civil Rigths») Q1. Comment expliquer la présence de citoyens blancs dans ces mouvements? Belin Doc 3 p 265 : «permanents et temporaires» Q2. Qu est-ce qu un «intérimaire»? Q3. A quoi s expose un salarié qui ne fait pas grève? Répondre en utilisant aussi le film ressources Humaines. Belin documents «réagir» p 272 : Se mobiliser, mais comment? Q1. Quelles sont les formes de mobilisation présentées ici? Document 5 : Un pour tous, tous pour un? Belin doc 1 p 272 (et utiliser également le film ressources Humaines) Q1. Comment agirait un salarié adoptant un comportement de passager clandestin lors d une grève réclamant une hausse des salaires? 2. Que se passe-t-il si tous les salariés adoptent un tel comportement? 3. Comment peut-on distinguer les incitations sélectives positives des incitations sélectives négatives? Illustrez votre réponse. Des individus peuvent poursuivre des buts communs et avori alors intérêt à se regrouper pour s organiser et mettre en œuvre les moyens de défendre leurs intérêts : on les appelle des groupes d intérêt, qui peuvent prendre la forme d un lobby, d une association, d une organisation non gouvernementale (ONG). 4

5 Le sociologue Mancur Olson a mis en évidence que la poursuite de l intérêt individuel peut pousser chacun à se conduire en passager clandestin, c est-à-dire à attendre que les autres agissent, sans agir soi-même afin de ne pas supporter le coût d une action collective et de ne bénéficier que des avantages éventuels octroyés à tous (une augmentation de salaire après une grève par exemple). Cependant si tous les individus agissent ainsi, il n y a pas d action collective. Comment alors expliquer qu il y ait quand même des actions collectives? On peut répondre à cette question par les incitations sélectives. Les incitations positives incitent les individus à participer à l action collective : gratification matérielle ou symbolique, accès à l information. Les incitations sélectives négatives dissuadent les individus d adopter le comportement du passager clandestin : remarques négatives des autres membres du groupe, exclusion. Les incitations sélectives de type moral ou symbolique sont d autant plus efficaces que la taille des groupes est réduite. Le comportement de passager clandestin est davantage stigmatisé et sanctionné. III COMMENT LES RESEAUX SOCIAUX FONCTIONNENT-ILS? A/ Les différentes formes de sociabilité Dossier à préparer à la maison : Document 6 : Réseaux sociaux et cycle de vie Belin doc 1 p 288 et questions Document 7 : Sociabilités associatives Belin doc 2 p 289 et questions Document 8 : réseaux sociaux et socialisation Belin doc 3 p 289 Le terme sociabilité regroupe toutes les formes de relations que les individus entretiennent les uns avec les autres. Les formes de sociabilité, c est-à-dire les types d activité par lesquelles se nouent les relations entre les individus, sont diverses : repas et fêtes, ou encore loisirs en famille, échanges dans le voisinage, activités sportives, culturelles, caritatives au sein d associations. La sociabilité s organise principalement autour de la famille, de l école, de l environnement professionnel et du voisinage. Elle prend aussi d autres formes avec les technologies de la communication (réseaux sociaux par Internet). La sociabilité varie selon l âge, elle est plus intense entre 15 et 30 ans, elle se resserre autour du noyau familial ensuite, puis a tendance à décliner fortement après 70 ans. Elle varie aussi selon les milieux sociaux : elle est plus large et variée pour les cadres que pour les catégories populaires. Le saviez-vous? Combien de personnes connaît-on au cours de sa vie? En moyenne 5000! B/ Les réseaux sociaux et le capital social Document 9 : La force des liens faibles et la recherche d emploi Belin doc 1 p 290 Q1. Expliquez en quoi l enquête de Granovetter montre l importance des réseaux sociaux dans la recherche d emploi. Q2. Pourquoi, d après le modèle de Granovetter, les liens faibles jouent-ils un rôle plus important que les liens forts dans la recherche d emploi? 5

6 Document 10 : Les modes d obtention de la première embauche Belin doc 2 p 291 Q1. Faites une phrase avec à partir de la donnée entourée. Q2. Montrez que la candidature spontanée peut aussi reposer sur des réseaux personnels. Document 11 :La notion de «capital social» Belin doc 3 p 291 Q1. Quelles sont les deux raisons qui peuvent expliquer que le chômage des parents influe sur la difficulté des enfants à trouver un emploi? Q2. Pourquoi la mobilisation des réseaux familiaux dans la recherche d emploi est-elle plus difficile pour les actifs issus de l immigration maghrébine? Q3. Montrez que le capital social est source d inégalités face à l emploi? Les réseaux sociaux sont l ensemble des liens de nature amicale, mondaine, professionnelle ou politique tissés entre des individus. Un réseau est ouvert et dynamique, ce qui le distingue d autres formes de liens comme les communautés (où le lien est avant tout un lien lié à des caractéristiques communes (religion, localité..). Les réseaux peuvent offrir des opportunités aux individus. Granovetter par exemple a montré la force des liens faibles. Ces liens faibles servent en effet de passerelles vers d autres réseaux que les liens forts (liens avec la famille, les amis), et donc de nouvelles sources d informations. Les réseaux sociaux peuvent ainsi devenir une ressource. C est ce que Pierre Bourdieu appelait le capital social : réseau des relations d un individu appréhendé comme ressource pour optimiser sa situation professionnelle, son patrimoine, son pouvoir etc (Cf définition du Nathan de première.). Le capital social agit comme un «carnet d adresse» qui va permettre aux individus de solliciter l aide de connaissances dans la recherche d informations sur des formations ou des entreprises, la recherche d emploi, de stages etc Selon Pierre Bourdieu, le capital social est socialement inégalement réparti, les catégories les plus favorisées disposant d un plus grand capital social que les ouvriers ou les employés (catégories populaires). Ceci s explique par l appartenance à de grandes familles qui ont déjà de larges réseaux, puis par le passage par des lycées prestigieux, et par les grandes écoles où les réseaux des anciens élèves sont très actifs (Polytechnique, les Mines ). Le capital social permet de rentabiliser un diplôme et vient donc renforcer le capital culturel et le capital économique. Pierre Bourdieu parle de «capital global» pour désigner la possession de ces trois capitaux dans la grande bourgeoisie française. Le capital culturel est l ensemble des ressources culturelles mobilisables par un individu, comprenant le langage, les capacités intellectuelles, les savoirs et savoir-faire, mais aussi la possession d objets culturels, et les diplômes. 6

Thème 5: Les groupes et les réseaux sociaux

Thème 5: Les groupes et les réseaux sociaux Thème 5: Les groupes et les réseaux sociaux Être capable de définir Notions à acquérir en première groupe primaire/secondaire groupe d'appartenance/de référence capital social formes de sociabilité Comment

Plus en détail

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du

Plus en détail

Sommaire. Textes officiels... 5. Horaires... 7. Enseignement de détermination... 9. Présentation... 9. Programme... 10

Sommaire. Textes officiels... 5. Horaires... 7. Enseignement de détermination... 9. Présentation... 9. Programme... 10 Sommaire Textes officiels... 5 Horaires... 7 Enseignement de détermination... 9 Présentation... 9 Programme... 10 Indications complémentaires... 11 collection Lycée voie générale et technologique série

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Séquence 7. Groupes et réseaux sociaux

Séquence 7. Groupes et réseaux sociaux Séquence 7 Groupes et réseaux sociaux Sommaire 1. Comment les individus s associent-ils pour constituer des groupes sociaux? 2. Comment la taille des groupes influe-t-elle sur leur mode de fonctionnement

Plus en détail

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Plus en détail

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache

Plus en détail

Thème 1: MÉNAGES ET CONSOMMATION

Thème 1: MÉNAGES ET CONSOMMATION Thème 1: MÉNAGES ET CONSOMMATION A/ Comment les revenus et les prix influencent-ils le choix des consommateurs? Notions à découvrir Revenu disponible Consommation Épargne Pouvoir d'achat Dans cette première

Plus en détail

Chapitre 1 : La consommation et l épargne

Chapitre 1 : La consommation et l épargne Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES

ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES FÉVRIER 2 Observatoire de la formation ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES 4 ème promotion de surveillants pénitentiaires Graphique : Evolution de la part des hommes et des femmes 4 ème 4 ème

Plus en détail

Un autre regard sur. Michel R. WALTHER. Directeur général de la Clinique de La Source 52 INSIDE

Un autre regard sur. Michel R. WALTHER. Directeur général de la Clinique de La Source 52 INSIDE 52 INSIDE Un autre regard sur Michel R. WALTHER Directeur général de la Clinique de La Source Directeur général de la Clinique de La Source, Michel R. Walther est né en 1949 au Maroc de parents suisses.

Plus en détail

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE

PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

Analyse des besoins sociaux

Analyse des besoins sociaux La commune de Le Verger réalise une analyse sur les besoins sociaux de sa population. Afin d améliorer la qualité de vie et de services sur notre commune, nous vous remercions par avance de remplir ce

Plus en détail

Cours en seconde : Comment expliquer la consommation?

Cours en seconde : Comment expliquer la consommation? Cours en seconde : Comment expliquer la consommation? Thème 1- Ménages et consommation Septembre 2010 Ceci est une proposition de dispositif pédagogique proposé par Aurélie Blanc (Lycée de l Edit Rousillon

Plus en détail

Masters OBSER VATOIRE. Sciences / Technologies / Santé OBSERVATOIRE CARREFOUR DES ÉTUDIANTS. Université de Limoges

Masters OBSER VATOIRE. Sciences / Technologies / Santé OBSERVATOIRE CARREFOUR DES ÉTUDIANTS. Université de Limoges Université de Limoges Masters Sciences / Technologies / Santé L'insertion professionnelle des diplômés DE Masters à l'université de Limoges Résultats par mention et par spécialité (promotion 2005-2006)

Plus en détail

Ministère des Affaires étrangères et européennes

Ministère des Affaires étrangères et européennes Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la coopération culturelle et du français Regards VI, DVD 2 Jeunesse et sports Réalisation Isabelle Barrière, Thomas Sorin (CAVILAM) Rédaction

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence

Plus en détail

Nos clients une réussite!

Nos clients une réussite! BULLETIN SARCA Commission scolaire des Premières-Seigneuries Volume 4, n o 3 Juin 2014 CONTENU Au babillard... 1 Nos clients une réussite!... 1 Retourner en classe Moi?.. 2 Démystifier la formation professionnelle...

Plus en détail

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

233 J Fonds des mutualités des communes de La Grande-Fosse et d Hagécourt (1866-1951)

233 J Fonds des mutualités des communes de La Grande-Fosse et d Hagécourt (1866-1951) ARCHIVES DEPARTEMENTALES DES VOSGES 233 J Fonds des mutualités des communes de La Grande-Fosse et d Hagécourt (1866-1951) Répertoire numérique détaillé établi par Lolita GEORGEL étudiante en master 1 Sciences

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS

EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS UN DISPOSITIF : 3 OBJECTIFS COMPLEMENTAIRES Apprendre... et habituer les enfants aux Apprendre... bonnes

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

L'entreprise derrière l'organigramme

L'entreprise derrière l'organigramme L'entreprise derrière l'organigramme Du TGV à l'agv : dépasser l'entreprise hiérarchique pour aboutir à l'entreprise communautaire Rafaël STOFER Manager Entreprise Content Management Logica Management

Plus en détail

PROTECTION SOCIALE EN FRANCE

PROTECTION SOCIALE EN FRANCE Qu est-ce que la protection sociale? PROTECTION SOCIALE EN FRANCE La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières

Plus en détail

Ressources pour le lycée général et technologique

Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Sociologie générale et sociologie politique 2. Groupes et réseaux sociaux Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 2.2 : Comment les

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

Du 16 au 20 mars 2015

Du 16 au 20 mars 2015 1 avenue Charles Gounod BP 14 76380 Canteleu cedex Téléphone : 02 35 36 28 80 Fax : 02 32 83 33 65 Mél. Ce.0762089h@ac-rouen.fr Site Internet www.ac-rouen.fr/colleges/gounod/ Personne à contacter en cas

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

TIM S.A., une aventure d Homme

TIM S.A., une aventure d Homme Comité d entreprise 1 Sommaire Edito de M. Hans-Jürgen Hellich, Directeur Général de Tim SA p. 9 Edito de Cyril Terrière, Secrétaire du Comité d Entreprise Tim SA p. 11 Itinéraires croisés d une entreprise

Plus en détail

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Bénévolat Portefeuille de compétences Modes d emploi pour Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Tout bénévole Votre mode d emploi Le Portefeuille de compétences vous aide

Plus en détail

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches

Plus en détail

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous

Plus en détail

L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève

L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève Introduction Document DU 1 REVENU : Du revenu PRIMAIRE primaire au AU revenu REVENU disponible DISPONIBLE SERVICES PUBLICS Education Santé

Plus en détail

Projet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE

Projet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Projet : Ecole Compétences Entreprise SECTEUR 7 ECONOMIE ORIENTATION D' ETUDES : TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Outils pédagogiques construits selon l approche FORMATION EN COURS DE par les compétences

Plus en détail

L ENTRETIEN DE RECRUTEMENT :

L ENTRETIEN DE RECRUTEMENT : L ENTRETIEN DE RECRUTEMENT : EXEMPLES DE QUESTIONS CLASSIQUES Voici une liste de questions à lire absolument pour vous préparer à votre entretien de recrutement. Avant d aborder la partie questions, le

Plus en détail

PRENOM NOM DE L ENTREPRISE DATE DU STAGE METIER

PRENOM NOM DE L ENTREPRISE DATE DU STAGE METIER NOM DATE DU STAGE METIER PRENOM NOM DE L ENTREPRISE L ENTREPRISE L ENTREPRISE Dates du stage :... Nom de l entreprise :.. Adresse de l entreprise :...... Que fait-on dans cette entreprise?. Combien de

Plus en détail

Collecter des informations statistiques

Collecter des informations statistiques Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT

RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT Titre enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles de niveau II délivré par Université Catholique de l Ouest IPLV (J.O du

Plus en détail

Guide d accompagnement à l intention des intervenants

Guide d accompagnement à l intention des intervenants TABLE RÉGIONALE DE L ÉDUCATION CENTRE-DU-QUÉBEC Campagne de promotion la de la lecture Promouvoir Guide d accompagnement à l intention des intervenants Présentation Le projet sur la réussite éducative

Plus en détail

FICHE DE RENSEIGNEMENTS

FICHE DE RENSEIGNEMENTS FICHE DE RENSEIGNEMENTS Nom : Nom marital (éventuellement) : _ Prénoms : (souligner le prénom usuel) ETAT-CIVIL Situation familiale : Célibataire Marié(e) Nombre d'enfants : N INSEE : /_/ / / / / / / /

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

Inscription Prépa Concours

Inscription Prépa Concours Inscription Prépa Concours Le dossier d inscription comporte 3 pages. Vous devez les compléter, et joindre les pièces demandées. Le justificatif de responsabilité civile est nécessaire pour effectuer le

Plus en détail

ESSEC Cours Wealth management

ESSEC Cours Wealth management ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique

Plus en détail

Direction des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF

Direction des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420

Plus en détail

ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE. Niveau B1. Le e-commerce

ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE. Niveau B1. Le e-commerce ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE Niveau B1 Le e-commerce Le dossier comprend : - une fiche apprenant - une fiche enseignant - le document support Auteurs-concepteurs : Isabelle Barrière, Martine Corsain, Christian

Plus en détail

Séquence 6. Les processus de socialisation et la construction des identités sociales

Séquence 6. Les processus de socialisation et la construction des identités sociales Séquence 6 Les processus de socialisation et la construction des identités sociales Sommaire 1. Comment la socialisation de l enfant s effectue-t-elle? 2. De la socialisation de l enfant à la socialisation

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux

CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux new 3 12 2014 CONCEPT Notre Temps - Vivre bien, Vivre mieux est la déclinaison suisse du célèbre magazine français lancé en 1968. Alors précurseur sur la cible des 50 ans et plus, il est aujourd hui le

Plus en détail

Programme de bourses universitaires conjoint Japon-Banque mondiale (JJ/WBGSP) Programme régulier. Formulaire de demande de bourse 2012

Programme de bourses universitaires conjoint Japon-Banque mondiale (JJ/WBGSP) Programme régulier. Formulaire de demande de bourse 2012 Programme de bourses universitaires conjoint Japon-Banque mondiale (JJ/WBGSP) Programme régulier Formulaire de demande de bourse 2012 T H E W O R L D B A N K 1818 H Street NW MSN J4-402. Washington, DC

Plus en détail

le sociologue anglais Paul Willis ouvrait

le sociologue anglais Paul Willis ouvrait Les classes supérieures face aux incertitudes de leur reproduction le sociologue anglais Paul Willis ouvrait L école des ouvriers, son célèbre ouvrage de 1977 sur la reproduction des classes populaires,

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

Etudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles

Etudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles Sondage de l Institut CSA pour LinkedIn Février 203 Sommaire Fiche technique du sondage p 3 Des jeunes optimistes pour eux-mêmes malgré un contexte

Plus en détail

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie

Plus en détail

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.

Plus en détail

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction

Plus en détail

L ENTRETIEN D EMBAUCHE

L ENTRETIEN D EMBAUCHE L ENTRETIEN D EMBAUCHE La préparation physique : LA REUSSITE DE VOTRE ENTRETIEN NECESSITE UNE PRESENTATION SOIGNEE Avant l entretien, il vous faut préparer une tenue : CORRECTE CONFORTABLE ADAPTEE AU POSTE

Plus en détail

vous informer sur votre retraite

vous informer sur votre retraite vous informer sur votre retraite www.reunica.com points de repères Répartition : une retraite solidaire entre générations Notre système de retraite repose sur la répartition : les cotisations prélevées

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Claude-Annie Duplat. Votre retraite. Quand? Comment? Combien? Groupe Eyrolles, 2004, ISBN 2-7081-3557-0

Claude-Annie Duplat. Votre retraite. Quand? Comment? Combien? Groupe Eyrolles, 2004, ISBN 2-7081-3557-0 Claude-Annie Duplat Votre retraite Quand? Comment? Combien? Groupe Eyrolles, 2004, ISBN 2-7081-3557-0 Chapitre 4 Le nouveau calcul de la retraite de base La loi d août 2003 portant réforme des retraites

Plus en détail

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale

Plus en détail

Faits et chiffres. Résultats de la recherche sur l emploi. Conditions de travail exceptionnelles

Faits et chiffres. Résultats de la recherche sur l emploi. Conditions de travail exceptionnelles RECHERCHE ORMIT 412 Avenue de Tervueren 1150 Bruxelles Telefoon: 02/533 98 90 Site Web: www.ormit.be E-mail: info@ormit.be Faits et chiffres Secteur: Prestations de services Chiffre d affaires annuel (national):

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

Les grandes fonctions du tuteur

Les grandes fonctions du tuteur Agence Erasmus+ Jeunesse & Sport Les grandes fonctions du tuteur Ce document rend compte de travaux effectués en ateliers par les participants lors des sessions de formation de tuteurs SVE organisées depuis

Plus en détail

Le Profiling SwissNova

Le Profiling SwissNova Le Profiling SwissNova pour un coaching plus efficace Mme Jalila Ben Soltane, Business Coach Mme Rim Kassous, Professionnel Certified Coach PCC HR Expo Tunis, Palais des congrès, 2013 LE CONCEPT NOVA La

Plus en détail

Formulaire Inscription Jeunes

Formulaire Inscription Jeunes Formulaire Inscription Jeunes SAC ADOS Aquitaine L'objectif de ce document est de vous faciliter la saisie de votre inscription en ligne sur le site sacados.aquitaine.fr en la préparant, en amont et hors

Plus en détail

ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE. Niveau A1. Qui est-ce?

ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE. Niveau A1. Qui est-ce? ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE Niveau A1 Qui est-ce? Le dossier comprend : - une fiche apprenant - une fiche enseignant - la transcription du document support Auteurs-concepteurs : Stéphanie Bara, Isabelle

Plus en détail

Les revenus. Sensibilisation. Ménages et consommation. Qu en pensez-vous? B Les types de revenu. 6 Trouvez des exemples d impôts directs payés par les

Les revenus. Sensibilisation. Ménages et consommation. Qu en pensez-vous? B Les types de revenu. 6 Trouvez des exemples d impôts directs payés par les THÈME 1 notions Revenus primaires Revenu disponible Épargne Placements Taux d intérêt savoir-faire Utiliser des définitions Calculer un taux d intérêt réel 9 A Les revenus Qu en pensez-vous? 1 Cochez la

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Qui fait quoi sur internet?

Qui fait quoi sur internet? Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd

Plus en détail

CHAP 7 LA STRUCTURE SOCIALE INFLUENCE-T-ELLE ENCORE LES INDIVIDUS?

CHAP 7 LA STRUCTURE SOCIALE INFLUENCE-T-ELLE ENCORE LES INDIVIDUS? CHAP 7 LA STRUCTURE SOCIALE INFLUENCE-T-ELLE ENCORE LES INDIVIDUS? Introduction : 1. Les sociétés démocratiques sont souvent présentées comme des sociétés égalitaires dans lesquelles le destin des individus

Plus en détail

Dix questions difficiles posées en entrevue et dix excellentes réponses

Dix questions difficiles posées en entrevue et dix excellentes réponses Cet outil a pour but de présenter dix questions d entrevue typiques et le type de réponse qui constitue une réponse concise et réfléchie. Ces questions sont parmi les plus difficiles posées en entrevue.

Plus en détail

Enquête globale transport

Enquête globale transport Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les

Plus en détail

TC12 : Protection sociale et solidarités collectives

TC12 : Protection sociale et solidarités collectives TC12 : Protection sociale et solidarités collectives 1 Etat providence et protection sociale 11 L apparition de l Etat providence DOC 1 Q1 Qu est-ce que la société libérale? C est une société dans laquelle

Plus en détail

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...

Plus en détail

A Absence lors de la journée de solidarité... 3

A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Partie 1 - L actualité 2011.... 1 A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Absence pour maladie sans justification... 9 Absences répétées pour maladie et évolution professionnelle.... 10 Accident

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Stagiaire Ecole professionnelle supérieure (EPS)

Stagiaire Ecole professionnelle supérieure (EPS) Département fédéral des affaires étrangères DFAE Direction des ressources DR Personnel DFAE Stagiaire Ecole professionnelle supérieure (EPS) L ensemble des données figurant dans ce questionnaire sont soumises

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

5 idées pour participer activement à la Journée du Fair Play. La Journée du Fair Play. 7 septembre 2013

5 idées pour participer activement à la Journée du Fair Play. La Journée du Fair Play. 7 septembre 2013 Editeur responsable: Panathlon Wallonie-Bruxelles asbl Illustration imaginée et réalisée par Jason Vandepeute, 13 ans. 5 idées pour participer activement à la Journée du Fair Play La Journée du Fair Play

Plus en détail

L organisation du développement: apprentissage et résilience

L organisation du développement: apprentissage et résilience Conférence L organisation du développement: apprentissage et résilience Paul Prévost UN REGARD STRATÉGIQUE SUR LE DÉVELOPPEMENT D UNE COLLECTIVITÉ LOCALE: APPRENTISSAGE ET RÉSILIENCE Paul Prévost Ph.D.

Plus en détail

Être seul. Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003

Être seul. Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003 Être seul Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003 * Au moment de la rédaction de cet article, Jean-Louis Pan Ké Shon faisait partie de la division Conditions de vie des

Plus en détail

Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010

Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010 Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010 Sommaire 1. Présentation de l'étude p. 3 2. Résultats détaillés p. 6 3. Le contexte : attitudes envers les marques

Plus en détail

- 1 - La méthodologie... 1. - 2 - Les principaux enseignements... 3. - 3 - Les résultats de l étude... 9

- 1 - La méthodologie... 1. - 2 - Les principaux enseignements... 3. - 3 - Les résultats de l étude... 9 FM N 110192 Contact Ifop : Frédéric Micheau / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45

Plus en détail