Évaluation du dispositif de formation et d accompagnement des intervenants de l aide alimentaire

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1 Évaluation du dispositif de formation et d accompagnement des intervenants de l aide alimentaire Synthèse du rapport d évaluation Juin Le dispositif déployé par l INPES Les études ABENA I et II menées en et auprès des bénéficiaires de l aide alimentaire ont mis en évidence l état nutritionnel critique de ces populations, qui apparait comme un des déterminants de la dégradation de leur état de santé. Face à ce constat, la DGCS a demandé à l INPES de mettre en œuvre un dispositif de formation et d accompagnement des intervenants de l aide alimentaire visant à améliorer leur connaissance en matière de nutrition et d accompagnement social, pour leur permettre de jouer un rôle de conseil auprès des bénéficiaires. Le dispositif, prévu pour être déployé dans l ensemble des départements métropolitains, vise également à encourager et outiller les structures d aide alimentaire pour la mise en place d actions de promotion de la santé autour de l alimentation. Le dispositif comporte ainsi une première phase d acquisition de connaissances (formation), et une seconde phase plus opérationnelle, de travail sur une action à mettre en œuvre (accompagnement). La formation et l accompagnement ont été assurés par des structures spécialisées en promotion et en éducation pour la santé, choisies par appel d offres pour chaque région (appelés ci-après prestataires). Hors phase expérimentale, le dispositif a ainsi été mis en œuvre dans 80 départements. Les collectivités d outre-mer n étaient pas inclues dans le dispositif. L INPES a appuyé les prestataires en mettant à disposition des outils - comme le Classeur Alimentation Atout Prix - en mutualisant les ressources (espace web collaboratif) ou encore en organisant des journées d échanges entre formateurs. 1

2 2. Méthodologie de l évaluation L évaluation visait à établir un bilan du dispositif et à identifier les effets qu il a pu avoir. Il s agissait aussi, à travers l analyse des points forts et des points faibles du dispositif INPES, de fournir des indications pour les autres institutions qui pourraient être amenées à proposer des formations ou un accompagnement du même type. L évaluation du dispositif s est appuyée sur des outils et des sources variées, articulant méthodes qualitatives et quantitatives. Les sources d informations ont ainsi été : Les bilans transmis à l INPES par les prestataires, comprenant des éléments chiffrés ainsi que des éléments qualitatifs sur le déroulement du dispositif ; Des entretiens téléphoniques menés auprès d un formateur dans chaque région participante ; Dans les territoires faisant l objet d une étude de cas, c'est-à-dire 12 départements de 5 régions (cf. tableau ci-dessous) : Des entretiens en face-à-face auprès des structures ayant participé au dispositif (formation et, le cas échéant, accompagnement) ; Des entretiens auprès des acteurs institutionnels (ARS et DRAAF) ; Une enquête en ligne auprès des participants aux formations, qui a recueilli 189 réponses (sur un total de 945 participants) ; Des séances d observations participantes de la formation et des ateliers collectifs dans 2 départements où le dispositif était encore en déploiement lors de l évaluation. Les régions et départements ayant fait l objet d études de cas Phase 1 Rhône-Alpes : Région et département Rhône, Savoie 2 Basse Normandie : Calvados, Manche 3 Île de France : Paris, Seine-Saint-Denis, Val d Oise 3 Bretagne : Côte d Armor, Ille-et-Vilaine 4 Centre : Eure-et-Loir, Cher, Loiret Particularité sociodémographiques Densité variable. Pauvreté faible. Région rurale Très dense. Pauvreté très variable selon les territoires Pauvreté faible Très faible densité. Faible pauvreté Particularité bilan Difficultés de mobilisation marquée, mais taux de perte faible entre la formation et l accompagnement Difficultés de mobilisation Forte mobilisation Forte mobilisation. Faible mobilisation. Peu d actions réalisées Les travaux d évaluation se sont déroulés de juillet 2012 à mai

3 3. Chiffres-clefs 4. Résultats de l évaluation Un dispositif pertinent L aide alimentaire est l une des «porte d accès» aux publics en situation de précarité. S appuyer sur les intervenants de l aide alimentaire comme vecteurs d insertion et de prévention en matière nutritionnelle est une stratégie pertinente, pour trois raisons principales : l aide alimentaire représente, pour ceux qui en bénéficient, une source d approvisionnement importante ; ces structures, de par leur répartition et leur portage (CCAS, associations locales ), assurent un maillage d une grande partie du territoire ; elles jouent déjà un rôle d accompagnement (sur le plan administratif notamment) auprès des publics accueils. Si les grands réseaux d aide alimentaire proposent déjà des formations courtes sur la question de l accueil, et plus rarement sur le thème de l alimentation, la formation INPES apparait plus complète, notamment dans son contenu qui allie des thèmes sur la précarité, l alimentation, la relation intervenant-bénéficiaire et la méthodologie. Le dispositif se distingue également des formations existantes par la combinaison entre formation et accompagnement individuel autour d un projet concret. Des prestataires bien outillés pour la mise en œuvre du dispositif Le choix de l INPES de passer par des prestataires régionaux pour la mise en œuvre des formations a abouti à une sélection quasi exclusive du réseau des IREPS/CODES, acteurs bien outillés pour réaliser les formations, et ayant une bonne connaissance du tissu associatif local. Ce sont les antennes départementales qui ont conçu et mis en œuvre les programmes de formation, aidés dans ce travail par une animation régionale. Les prestataires ont eu 3

4 tendance à considérer que leurs ressources au niveau régional étaient suffisantes pour mener à bien le dispositif. Dès lors, outre les réunions d échanges organisées par l INPES au niveau national, ils ont été peu en demande d accompagnement et d animation supplémentaires. Des difficultés de mobilisation pour un dispositif jugé lourd En dépit de la gratuité de la formation, la mise en œuvre du dispositif s est heurtée à de fortes difficultés de recrutement. Les formations ont réuni au total 945 personnes par département, contre un potentiel de 1600 participants sur les 80 départements participants. Bien qu ils aient pu facilement identifier les structures d aide alimentaire, les prestataires ont eu des difficultés à mobiliser les intervenants pour un programme de formation jugé long et dense (3 jours), notamment si on le compare aux formations proposées par les réseaux associatifs (une journée en général). Les bénévoles en particulier, n intervenant souvent que quelques jours par semaine dans leur structure et faisant face à des contraintes Nombre total de participants personnelles et professionnelles, se sont aux différentes étapes 945 avérés particulièrement difficiles à mobiliser. Le dispositif a été marqué aussi par une participation moindre lors de l étape d accompagnement, certains participants ayant pu être réticents ou bien, pas encore en mesure de proposer une action à mettre en œuvre pendant cette deuxième étape. Des formations qui ont permis un apport de connaissances très significatif La formation a permis un apport de connaissances significatif pour les participants. Les thèmes choisis par l INPES étaient adaptés aux attentes et aux besoins des participants. Les prestataires ont mobilisé des méthodes pédagogiques interactives et ludiques (Photolangage, jeux de rôles, jeu du frigo ). Ces méthodes se sont avérées particulièrement adaptées pour discuter d aspects sensibles, notamment sur les représentations des participants quant au public bénéficiaire. L usage de ces méthodes a par ailleurs permis de faire découvrir aux participants des méthodes et stratégies de promotion de la santé mêlant connaissances et convivialité. La formation, par son contenu et en partie du fait de la mixité des profils des participants a suscité un retour et une réflexion sur les pratiques internes. La posture et le rapport au public sont les pratiques sur lesquelles la formation a suscité le plus de changement. FORMATION J'ai plus de connaissances et d'outils pour mener des actions autour de la santé et Je suis plus à l'aise pour concevoir, gérer ou évaluer des projets. N=175 Je comprends mieux les problématiques de la précarité. N=168 Je me sens plus à l'aise dans mon rapport avec le public de ma structure. N=160 Cependant, la diffusion et la 0% 20% 40% 60% 80% 100% pérennité des acquis de la Source: Enquête structures bénéficiaires, Planète Publique/EQR, 2013 formation a été limitée par plusieurs facteurs : le turnover et le financement précaire de certaines structures ; le fait que certains participants interviennent de manière isolée dans leurs structures, et l absence de formalisation de la restitution faite à leurs collègues. 5% 17% 23% 689 ATELIER COLLECTIF 1 Que vous a apporté la formation? Non, pas du tout Non, pas vraiment Oui, plutôt Oui, tout à fait 26% 61% 56% 703 REUNION INDIVIDUELLES 61% 54% 34% 25% 16% 17% 548 ATELIER COLLECTIF 2 4

5 Un dispositif qui a suscité une forte envie de proposer des actions Le dispositif a suscité l envie chez les participants de mettre en place des actions, et plus généralement de redynamiser leur structure, de manière à aller au-delà d un seul rôle de distribution alimentaire. Le fait qu au total 761 actions aient été envisagées et travaillées lors de la phase d accompagnement (dont environ 200 projets d atelier-cuisine) témoigne de cette dynamique. Les actions accompagnées Atelier cuisine Senbilisation des bénéficiaires Réorganisation interne Repas-convivialité-lien social Amélioration de l'accueil Formation des bénévoles/salariés Actions d'insertion et autres Recettes de cuisine Création épicerie sociale-distribution Jardinage-potager Amélioration de l'offre de denrées Partenariats et échanges de pratiques Santé et Activité physique Création d'outils Les structures ont adopté différentes approches dans la construction des actions, une même action pouvant servir un ou plusieurs objectifs. À titre d exemple, certaines actions de mise en place d ateliers cuisine visent l utilisation des denrées et la sensibilisation des bénéficiaires à l équilibre alimentaire, tandis que l objectif principal de ce type d action pouvait tout aussi bien être le développement du lien social et d un savoir-faire. Les ateliers cuisine sont le type d action le plus fréquemment accompagné. Ils représentent 174 actions, soit 28% des actions accompagnées. Cette prédominance s explique par le fait qu il s agit d un type action à la fois «suffisamment complexe» pour justifier un accompagnement méthodologique, et suffisamment simple pour qu elle puisse être mise en place, ou amorcée, dans le calendrier prévu par l INPES. Les actions de sensibilisationformation des bénéficiaires à l équilibre alimentaire arrivent en seconde position et représentent 16% des actions accompagnées. Il s agit principalement d ateliers d échanges sur l équilibre alimentaire, de projets de création d outils de sensibilisation (affiches notamment), ou d ateliers sur des thématiques plus spécifiques (alimentation des nourrissons, obésité ). Parmi les autres actions envisagées, l organisation de repas conviviaux représente 9% des actions envisagées. Par ailleurs, plusieurs structures ont également profité de l accompagnement pour envisager une réorganisation de leurs structures ou des pratiques internes. Il pouvait s agir notamment de travailler à mieux impliquer les bénéficiaires dans le fonctionnement des structures, ou de mettre en place des évaluations périodiques du service rendu. La mise en œuvre des actions n a pas échappé à un certain nombre de difficultés structurelles 5

6 Les formateurs ont su mener cette phase d accompagnement, en partant du degré d avancement des structures dans leur projet, et en prenant en compte leurs contraintes. Il apparait cependant que d importants freins internes et externes ont limité la mise en place effective ou la pérennisation des actions. Il est estimé qu environ 1 action sur 2 n a pas pu être réalisée. Ces obstacles sont principalement liés au manque de temps et de disponibilité des membres des structures et au turnover. Le financement et les difficultés récurrentes à mobiliser un public en situation précaire constituent également un frein important pour ces structures. Avez-vous rencontré des obstacles à la mise en place de vos projets ou vos idées? (3 réponses possibles) Non, je n'ai rencontré aucun obstacle Oui : des problèmes de financements Oui : une difficulté à trouver du public pour Autre Oui : un manque d'appui de notre direction 5% 8% 7% 23% 27% 24% 46% N=189 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% 40% 45% 50% Source: Enquête structures bénéficiaires, Planète Publique/EQR, 2013 Un échange de pratique apprécié, même si la mise en place de partenariats entre structures reste timide Entre les structures participantes, si l échange de pratique permis par la formation a été très apprécié, les cas de coopération pérenne restent rares. Environ 12% des structures ont monté un projet en partenariat suite à la formation. Il apparait en outre que les projets en partenariat qui ont pu voir le jour s appuyait en général sur des liens préexistant entre les structures. Un dispositif qui a donné de la visibilité à la thématique de l aide alimentaire auprès des acteurs institutionnels Pour les acteurs institutionnels (DRAAF et ARS), le dispositif a contribué à donner de la visibilité à la thématique de l accompagnement des structures de l aide alimentaire. Si certaines régions avaient déjà initié des actions de structuration autour du thème de l aide alimentaire (groupes de travail, recensement ), la mise en œuvre du dispositif a joué un rôle d impulsion, encourageant les acteurs régionaux et locaux à mettre en œuvre des actions de soutien, de sensibilisation ou de structuration des acteurs de l aide alimentaire, dans la suite du dispositif INPES. 5. Conclusions Une introduction tout à fait pertinente de la prévention-promotion de la santé dans le champ de l aide alimentaire Au total, pour un montant total de 1,46 M, le dispositif a permis de toucher entre 6 et 12 % des structures intervenant dans le domaine de l aide alimentaire, ce qui constitue une première couverture non négligeable de ces acteurs et complète les formations déjà mises en œuvre au sein des grands réseaux. Ce constat est partagé par la DGCS, à l initiative du dispositif, et qui continue d encourager ce type d actions, notamment à travers les procédures d habilitation des structures d aide alimentaire. Il a permis aux participants de découvrir des nouveaux concepts (méthodologie de projets en prévention-promotion de la 6

7 santé notamment) et de faire évoluer leurs représentations. Cette expérience, ainsi que les études relatives à cette population (ABENA II notamment), confirment la pertinence d intervenir à travers les structures de l aide alimentaire. Un questionnement quant à la conception et au dimensionnement du dispositif, au regard de ses effets Toutefois, avec 4 à 5 jours d interaction avec un formateur, le dispositif demandait un investissement assez important, qui a probablement freiné les inscriptions (945 personnes formée, sur un maximum de 1600). Malgré ce premier frein à l entrée dans le dispositif, il apparait que le dispositif a eu des effets : Avérés sur la sensibilisation des participants, avec des effets sur l amélioration de l accueil, mais une diffusion limitée des connaissances acquises ; Partiels sur la mise en place d animations ponctuelles (repas collectifs, séance de dégustation ) ; Limités sur la mise en place de projets plus pérennes (atelier cuisine régulier par exemple) et la dynamique locale. Ces résultats posent la question du dimensionnement du dispositif, en temps et en contenu, et de son adaptation aux situations variées des structures, selon le type d action qu elles souhaitent et peuvent mettre en place (en fonction de leurs moyens matériels, financiers, humains). En fixant à l avance le nombre de jours de formation et d accompagnement, des indications sur le contenu, et une durée de mise en œuvre sur 1 an, le cadre du dispositif s avère trop rigide pour s adapter à cette diversité de situations. Des effets émergents sur la dynamique locale Si la possibilité de rencontrer et d échanger avec d autres intervenants de l aide alimentaire a été appréciée par les participants, le dispositif n a pas directement entrainé d émulation au niveau local entre les acteurs. Ce résultat suggère qu un dispositif de formation et d accompagnement n est pas la meilleure réponse pour susciter et pérenniser une dynamique entre acteurs. D autres modalités d intervention doivent être imaginées pour permettre et entretenir une dynamique de coopération et de partenariat. Le dispositif a toutefois permis de donner de la visibilité à cette thématique auprès des acteurs institutionnels (ARS et DRAAF). Progressivement, un certain nombre d actions ont été soutenues et financées au niveau régional. Un degré d atteinte des différents objectifs très positif à court terme, moins évident à moyen/long terme Le dispositif INPES a permis de produire des effets directs et à court terme sur les participants en termes de sensibilisation et d acquisition de connaissances, suscitant un intérêt pour ces questions de l accueil et de la promotion de la santé, et une envie de mettre en place des actions, ce qui est très positif. Il a également permis de toucher des structures pour lesquelles il n existe pas par ailleurs de dispositif de formation sur ces questions (épiceries sociales et solidaires, CCAS, CHRS ) et les amenées à échanger sur leurs pratiques respectives, ce que les participants ont apprécié. Assez logiquement, on constate que les impacts indirects ou à plus long terme en matière de mise en place d actions mettent plus de temps à être palpables. On note ainsi une diffusion 7

8 limitée des connaissances et des outils au sein des structures, et un nombre limité d actions d envergure (de types «projets») et/ou qui se prolongent dans le temps. Un lien nouveau entre les acteurs de l aide alimentaire et ceux de la prévention, à poursuivre et renforcer Le dispositif déployé par l INPES a permis d initier (ou de développer selon les régions) des liens entre les IREPS/CODES et les structures d aide alimentaire, en améliorant la connaissance du secteur de l aide alimentaire par les IREPS/CODES, et en confirmant le besoin d accompagnement des structures. Ce lien pourra servir de point d appui pour pérenniser la démarche de sensibilisation, formation et accompagnement des intervenants. 6. Pistes de travail Piste 1. Proposer des dispositifs d accompagnement adaptés aux moyens et motivations des structures - Encourager les IREPS et les pôles de compétences en éducation pour la santé à intervenir auprès des structures d aide alimentaire. - Encourager la mise en place de temps d échanges de pratiques entres structures. - Promouvoir les partenariats entre structures d aide alimentaire et acteurs de la promotion de la santé ou du champ médico-social. - Concevoir et diffuser des plaquettes sur la question de l accueil dans les structures. Piste 2. Animer la thématique au niveau national - Constituer un groupe de travail pour porter la thématique au niveau national. - Inclure des exigences de formation des intervenants dans les conventions avec les grands réseaux et animer une réflexion sur les manières de concevoir ces formations. - Capitaliser sur les actions mises en place dans le cadre du dispositif INPES. Piste 3. Faire évoluer le classeur «Alimentation Atout Prix» - Clarifier le positionnement du Classeur AAP comme un outil pour les professionnels de la promotion de la santé. - Modifier le Classeur Alimentation Atout Prix, à partir des éléments fournis par l enquête IFOP, complémentaire des résultats de cette évaluation. Piste 4. Améliorer le suivi de ce type de dispositif - Limiter la remontée d information à des indicateurs pertinents pour les besoins d une évaluation. - Concevoir un outil en ligne permettant la saisie directe par les prestataires plutôt qu une remontée papier. Sociétés prestataires : Planète Publique EQR 8

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