Cas d'étude : Eco-quartier solaire du Triangle Sud à Montmélian

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Cas d'étude : Eco-quartier solaire du Triangle Sud à Montmélian"

Transcription

1 Cas d'éude : Eco-quarier solaire du Triangle Sud à Monmélian Nom du proje : Adresse du proje : Nom e ype de propriéaire : Conac : Eco-quarier solaire du Triangle Sud Triangle Sud F-Monmélian Ville Monmélian Place Alber Serraz Monmélian Jean Rauber, Direceur général des services direcionservices@monmelian.com A/ Conexe de l éude A.1/ Moivaions Monmélian es une commune de habians siuée au sein du Terrioire Cœur de Savoie qui regroupe 43 communes e habians, à 300 m d aliude, à 15 km de Chambéry e à 50 km de Grenoble. Monmélian es par ailleurs connue en France e en Europe comme ville piloe dans le domaine de l énergie solaire, poliique qu elle développe depuis La commune compe 1564 m² de panneaux solaires hermiques soi 390 m² pour 1000 habians (10 fois plus que la moyenne naionale qui es de 32 m²). Championne de France de l énergie solaire duran de nombreuses années, elle es l une des quare premières colleciviés locales de France à s êre vue aribuer en décembre 2007 le label européen Ci ergie pour l exemplarié de sa poliique Energie-clima, un label renouvelé en Le proje du Triangle Sud poursui la dynamique d innovaion. Dans son nouveau PLU, la commune se fixe pour objecif d accueillir une populaion nouvelle e de répondre aux besoins en logemen de demain. Aux côés d un cerain nombre de sies en renouvellemen urbain, le Triangle Sud es confirmé comme zone d urbanisaion fuure avec une ambiion environnemenale fore : réaliser un quarier inégran un réseau de chaleur solaire avec un aux de couverure solaire des besoins hermiques de 80%. L éude d urbanisme pré-opéraionnelle pour la concepion d ensemble d un nouveau quarier de 800 à 1000 logemens a éé lancée en 2012 sur cee base.

2 Ensoleillemen [kwh/m²] Tempéraure exérieure [ C] A.2/ Démarche de concepion originale L ambiion d inégrer un réseau de chaleur solaire à ce fuur quarier a revu le mode de faire au sein de l équipe pluridisciplinaire e de ravail avec la ville, nécessian d avancer prioriairemen sur la dimension echnique pour bien cerner les exigences de surface solaire (m² de panneaux), de sockage inersaisonnier (volume imporan) e de réseau associé, pour aeindre ce aux de couverure solaire de 80% des besoins d énergie. Alors que généralemen, les approches echniques viennen se surimposer à l approche urbaine e paysagère, émoussan parfois cerains principes fors d aménagemen, dans le cadre de ce proje, le ravail d urbanisme a inégré rès en amon e de manière iéraive les approches echniques pour mûrir e développer une cohérence environnemenale globale. Un vrai pari pris de composiion e de programmaion émerge de ce processus. La commune de Monmélian a confié l élaboraion de l éude pré opéraionnelle sur le «TRIANGLE SUD» pour la concepion d ensemble d un nouveau quarier plan de composiion urbain e paysager à un groupemen de bureaux d éudes archiece, urbanise, paysagise, énergéique avec le souien de l Insiu Naional de l Energie Solaire. Le proje concerne la réalisaion d un éco-quarier solaire d environ 800 logemens. A.3/ Données d environnemen Le fuur Ecoquarier solaire du Triangle Sud es siué sur la commune de Monmélian. Figure 1 : Implanaion de l'ecoquarier solaire du Triangle Sud L ensoleillemen moyen annuel es de 1400 kwh/m² sur une surface inclinée à 30 e la empéraure exérieure moyenne es de 11.8 C. Le nombre de degrés-jours unifié base 18 DJU 18 es de Heure de l'année Figure 2 : Ensoleillemen mensuel sur un plan incliné à 30 e empéraure exérieure pour le clima de Monmélian A.4/ Opporuniés e barrières Les principales opporuniés ayan permis d iniier e développer le proje son : - la créaion d un nouveau quarier avec des bâimens basse consommaion - le reour d expérience posiif de la ville sur les insallaions solaires exisanes - la voloné de la ville de promouvoir l énergie solaire e d assurer un aux de couverure solaire de 80% - l inégraion rès en amon de l objecif de 80% d énergie solaire, e la réflexion commune avec les équipes d urbanise e archiece

3 Cependan de nombreux freins on égalemen dû êre appréhendé, e noammen : - le planning de développemen du quarier : consrucion des logemens avec un ryhme de logemens par an - l inégraion urbaine du sockage solaire liée à l objecif de 80% de couverure solaire qui implique des capaciés de sockage imporane (plusieurs milliers de m 3 ) - l aspec echnologie innovane d inégraion du solaire sur le réseau, e surou le manque de reour d expérience en France - les invesissemens iniiaux imporans inhérens aux soluions solaires qui on en conreparie un coû d exploiaion rès faible - le monage juridique e financier de l opéraion originale B/ Méhodologie e ouils uilisés pour l éude B.1/ Courbe de charge du réseau de chaleur > Besoins chauffage e ECS d un logemen ype Les hypohèses prise pour la définiion d un logemen-ype don les performances énergéiques son de niveau RT % son les suivanes : - surface moyenne par logemen : 70 m² - nombre d habian par logemen : 2,3 - besoin en chauffage par logemen : 2,8 MWh/an - besoin en eau chaude saniaire par logemen : 2,1 MWh/an soi environ 40L/jour.personne d eau chaude saniaire à 60 C e 20% de peres de bouclage. Figure 3 : Besoin de chauffage e ECS pour un logemen ype > Phasage de consrucion e demande en chaleur Le proje prévoi la consrucion de 1000 logemens. Le phasage iniialemen prévu pour la consrucion es donné dans le ableau e le graphique suivans, ainsi que le nombre de logemens, le nombre bâimens e les besoins calorifiques par îlos en enan compe des peres du réseau de chaleur : Îlo Phasage Nb de logemen Nb de bâimen Besoins oaux (CH+ECS+Peres) A 2 ans MWh/an B 5 ans MWh/an C 6 ans MWh/an D 3 ans MWh/an E 2 ans MWh/an

4 Le phasage de consrucion propose la consrucion de 40 à 60 logemens par an, ce aux éan plus imporan les 2 premières années de consrucion besoins [MWh/an] CH+ECS cumulé nbr lgm/an Figure 4 : Phasage de consrucion (poins noir) e besoins de chaleur ne cumulé (barre orange) Un exemple de profil mensuel de la demande es donné dans le profil ci-après. MWh peres RC MWh/mois ECS MWh/mois chauffage MWh/mois janv. fév. mars avril mai juin juill. aoû sep. oc. nov. déc. Figure 5 : Profil mensuel des besoins du réseau de chaleur pour l'îlo C (290 logemens) B.2/ Dimensionnemen e performance du réseau de chaleur solaire L insallaion solaire éudiée pour le réseau de chaleur de l ecoquarier du Triangle Sud es réparie sur les bâimens avec une réinjecion d énergie solaire au niveau de la chaufferie cenrale. L insallaion solaire a éé simulée à parir du logiciel de simulaion dynamique TRNSYS. La cenrale solaire e la chaufferie on éé modélisées e simulés. Les besoins du réseau son fournis par un fichier exerne. Figure 6 : Modélisaion de la cenrale solaire sous TRNSYS Les données mééorologiques uilisées dans les simulaions son issues de la base de données Meeonorm.

5 Plusieurs indicaeurs énergéiques son uilisés afin de définir les performances du sysème. La producivié solaire réseau Q sol,m² : Elle représene l énergie solaire injecée au niveau du réseau de chaleur ramenée à la surface de capeurs solaires. [kwh/m²] Avec : - Q sol,an : producion solaire annuelle [MWh] - A solaire : surface de capeurs solaires [m²] Le aux d économie d énergie f SAV : Il représene l économie d énergie par rappor une soluion de référence sans solaire. Avec : - Q aux,solaire : Consommaion d appoin avec le sysème solaire [MWh] - Q aux,ref : Consommaion d appoin de la soluion de référence sans solaire *MWh] La soluion de référence es un réseau de chaleur sans insallaion solaire. B.3/ Economie Le calcul du coû de l énergie solaire es basé sur la méhode du LCOE (Levelized Cos of Energy). LCOE n 1 I n 1 M 1 r Q 1 r F sol, an, Avec : - I : CAPEX coû d invesissemen de l année - M : OPEX coû de foncionnemen e mainenance de l année - F : Coû de l énergie des auxiliaires de l année - n : durée de vie du sysème - r : aux d acualisaion C/ Résulas de l éude C.1/ Concepion, dimensionnemen e performance du sysème solaire connecé au réseau de chaleur Principe du réseau de chaleur par îlo : Le phasage des consrucions condui à une archiecure de réseau «décenralisée» pour rendre auonome chacune des phases (équivalen à un îlo de 150 logemens). La producion d énergie es assurée au niveau de chaque bâimen, au moyen d un champ de capeur. L énergie solaire es ransmise au réseau, de façon à alimener l ensemble des bâimens. Une chaufferie cenrale, par îlo, assure la fourniure du complémen d énergie. L énergie excédenaire, non uilisée par les bâimens noammen en éé, es sockée dans un volume de sockage iner-saisonnier. Les élémens de cee soluion son (par îlo) : - Un réseau de chaleur alimenan chaque bâimen de logemen via une sous-saion e foncionnan à des empéraures enre 45 C (reour) e 70 C (dépar), - Plusieurs champs de capeurs insallés en oiure des bâimens e connecés direcemen au réseau de chaleur, - Une chaufferie cenrale à gaz pour effecuer l appoin e le secours connecée au réseau de chaleur, - Un sockage iner-saisonnier de ype «Tank Thermal Energy Sorage» (TTES), c es-à-dire en cuve/silo exérieur, - Une sous-saion (SST) par bâimen

6 Le principe es présené dans le schéma suivan. capeurs solaires capeurs solaires capeurs solaires bâimen bâimen bâimen SST SST SST réseau de chaleur réseau gaz chaufferie sockage iner saisonnier SST Figure 7 : Schéma de principe de la producion de chaleur solaire décenralisée Performance du réseau de chaleur solaire : Les capeurs solaires reenus pour l éude son des capeurs plans haue performance (η0=0.817, a1=2.205 W.m -2.K -1, a2= W.m -2.K -2 ). Afin d obenir le aux de couverure solaire de 80%, les producions calorifiques devron êre assurés par les différens moyens de producion el que déaillé dans le ableau suivan. En considéran un appoin de ype chaudière gaz, la producion de CO2 équivalen es égalemen donnée dans le ableau. Îlo Nb logemen Besoins oaux (CH+ECS+Peres) MWh/an Producion solaire Producion appoin Conenu CO2(*) MWh/an MWh/an g/kwh A (80%) 175 (20%) 57.3 B (80%) 296 (20%) 56.7 C (80%) 296 (20%) 56.7 D (80%) 129 (20%) 57.3 E (80%) 113 (20%) 57.3 (*)Hypohèses de calcul : rendemen de chaudière = 90%, PCI/PCS = 0,9 e conenu CO2 du gaz naurel = 234 g/kwh PCI Les dimensions e performances des insallaions solaires de ces soluions son les suivanes : Îlo Surface capeurs m² Volume sockage inersaisonnier m 3 Producion solaire Producivié solaire MWh/an A B C D E kwh/(m².an) Un focus sur les performances de l insallaion solaire pour l îlo A (170 logemens) es réalisé ci-après.

7 Energie [MWh] Solaire jour Solaire inersaisonnier Appoin Figure 8 : Répariion mensuelle des énergies alimenan le réseau pour l îlo A Le diagramme suivan représene l ensemble des énergies annuelles mises en jeu pour le cas de l îlo A (170 logemens). Figure 9 : Diagramme des flux d énergie annuels du réseau de chaleur solaire de l îlo A C.2/ Focus sur le sockage d énergie Sockage en cuve de ype TTES L objecif de aux de couverure solaire élevé (80%) fixé par la commune implique la mise en œuvre de sockage de grand volume permean de déphaser la producion du besoin d énergie. Le sockage inersaisonnier à mere en œuvre pour les différens îlos es repris dans le ableau suivan ainsi qu un ordre de grandeur des dimensions : Îlo Volume sockage inersaisonnier m 3 Dimensions Haueur (m) x diamère hors isolaion (m) A H15 x D24 B H23 x D25 ou 2 cuves de H15 x D21 C H23 x D25 ou 2 cuves de H15 x D21 D H12 x D22 E H12 x D21 La présence d une nappe d eau souerraine de faible profondeur limie la possibilié d enerrer les sockages afin de limier leur impac visuel au sein du quarier. Il es donc imporan d inégrer au mieux ces sockages dans leur environnemen.

8 Les phoos suivanes illusren des proposiions d inégraion archiecurale des sockages solaires : Bureaux auour d un sockage (Allemagne) Silo réhabilié habillé de logemen (Copenhague) Silo végéalisé parking Lyon Perrache (France) Habillé d un mur d escalade Variane : sockage en sonde géohermique (BTES) La soluion de sockage d énergie dans des sondes géohermiques pourrai êre uilisée en variane à un sockage énergéique sensible sous forme de réservoir d eau. Le principe es d envoyer la chaleur à haue empéraure (95 C) dans le sous-sol (enre 30 e 100 m de profondeur) en période de surproducion (en éé) e de la récupérée en période de sous producion (en hiver). La chaleur es resiuée à une empéraure plus basse (enre 65 e 25 C). Une pompe à chaleur es alors nécessaire à ceraines périodes pour pouvoir valoriser la chaleur récupérée. L éude de données hydrogéologiques e hydrologiques a permis de déerminer qu aucun forage n a une profondeur supérieure à 24m. La non présence de forage de profondeur supérieure à 25 m semble indiquer que la présence d eau sous cee profondeur es limiée voire inexisane. Ceci semble rès inéressan pour la mise en œuvre de la soluion de sockage géohermique. Le champ géohermique serai donc composé de sondes de profondeur de 100 m avec les 30 premiers mères isolés (pour évier les peres vers la nappe alluviale) pour socker l énergie enre une profondeur de 30 e 100 m. Chaufferie cenralisée Appoin Gaz e PAC Réseau appoin PAC Sockage coure durée Réseau solaire Sockage longue durée Champ sondes géohermiques Figure 10 : Schéma de principe du réseau de chaleur solaire avec sockage en sonde géohermique

9 Une première esimaion du dimensionnemen du sysème pour le cas de l îlo A abouirai à un champ de 18 sondes de 70 mères uiles couplé à une pompe à chaleur de 150 kw e sockage de 200m 3. La répariion des énergies par moyen de producion es la suivane : - Solaire : 80% - Pompe à chaleur (Elecricié) : 9% - Appoin : 11% C.3/ Bilan économique du réseau de chaleur solaire La répariion des invesissemens en hors TVA par pose es le suivan : Ilo Nb logemen Capeur k HT Sockage TTES k HT Appoin k HT Réseau k HT Toal k HT A % % 59 3% % B % % 101 3% % C % % 101 3% % D % % 44 3% % R % % 39 3% % Figure 11 : Répariion des coûs d'invesissemen par pose pour l'îlo A Le ableau suivan présene les monans d invesissemen e les coûs d exploiaions sur 20 ans non acualisés, le coû global acualisé sur 20 ans, la producion de chaleur sur 20 ans le proje e le LCOE en découlan. Ilo Nb logemen Invesissemen proje (CAPEX) k HT Exploiaion 20 ans (OPEX) k HT Cou global acualisé 1 20 ans k HT Producion chaleur 20 ans MWh LCOE proje TTC 2 /MWh A B C D E : aux d acualisaion de 4% ; 2 : TVA à 5.5% Le financemen des insallaions réseau de chaleur es réalisé par la vene de la chaleur produie. Pour les soluions énergies renouvelables, don les coûs d invesissemen son élevés e ne son pas compéiifs avec les soluions acuelles uilisan des énergies fossiles, des aides son disponibles. Les calculs on éé fais pour deux scénarios suivans : - Un LCOE de 150 TTC/MWh, ce qui correspondrai à une «facure énergéique» par logemen de l ordre de 780 TTC/an ; - Un LCOE de 100 TTC/MWh, ce qui correspondrai à une «facure énergéique» par logemen de l ordre de 520 TTC/an ;

10 Le coû résiduel «resan à financer» permean d aeindre ces LCOE objecifs son les suivans : Ilo Nb logemen LCOE proje Resan à financer pour un LCOE de 150 /MWh k HT HT /lg Resan à financer pour un LCOE de 100 /MWh k HT HT /lg TTC/ MWh A B C D E Les pises pour le «resan à financer» son les suivanes : - Aides à l invesissemen pour le développemen des EnR - Prise en charge dans les coûs d aménagemen, en conre parie de errains vendus «chauffés», dans le cadre d une opéraion d aménagemen qui par ailleurs nécessie relaivemen peu d équipemens d infrasrucures publics C.4/ Aperçu des modèles d affaires possibles Le monage juridique d une elle soluion doi prendre en compe les caracérisiques pariculières du proje. Les risques echniques e financiers son deux élémens rès imporans qui von oriener la soluion du monage. Les soluions de financemen proposées dans le paragraphe précéden monren qu il es indispensable que la collecivié prenne en charge dans la durée la maîrise d ouvrage du proje. Les deux principaux modes de gesion possible son : - la régie publique - la délégaion de service publique Les DSP réseau de chaleur son habiuellemen mise en place pour des conras de fourniure de chaleur supérieure à 5GWh/an, ce qui n es pas le cas ici. La régie publique semble donc le monage le plus approprié. Aueurs Cee éude a éé réalisée par le CEA INES, les bureaux d éudes TECSOL e INDDIGO ; en collaboraion avec le groupemen de bureaux d éudes LIEUX-DITS (archiecure e urbanisme) / PROGRAMMES-URBAINS (programmaion urbaine e monage d opéraion) / MDP (ranspor par câble) / Hélène SAUDECERRE (paysagise) / HIS&O (hydraulique) / Aliudes VRD. Cee fiche d'informaion a éé préparée par CEA INES. Dae : 14/05/2014 Cedric Paulus, CEA INES - Insiu Naional de l'energie Solaire 50, Avenue du Lac Léman, Le Bourge du lac, France cedric.paulus@cea.fr, websie : hp:// - hp:// Souenu par : Le conenu de cee publicaion n'engage que la responsabilié de son aueur e ne représene pas nécessairemen l'opinion de l'union européenne. Ni l'eaci ni la Commission européenne ne son responsables de l'usage qui pourrai êre fai des informaions qui y figuren.

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par : UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

travailler à Paris 2012/2013

travailler à Paris 2012/2013 ravailler à Paris 2012/2013 DEVENEZ VOLONTAIRE EN SERVICE CIVIQUE! UN ENGAGEMENT CITOYEN UNE CHANCE DE VIVRE DE NOUVELLES EXPÉRIENCES RENSEIGNEMENTS SUR : PARIS.FR/SERVICE CIVIQUE LA DÉCOUVERTE DE MISSIONS

Plus en détail

travailler à Paris travailler à Paris

travailler à Paris travailler à Paris ravailler à Paris Trouver un emploi, en changer, se former, ravailler, demander un coup de pouce, faire valoir ses drois, créer son acivié Parce que la capiale es dynamique e créarice d emplois, mais aussi

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1) Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

Résumé et comparaison des coûts

Résumé et comparaison des coûts Salon Greentech Fribourg Energies de chauffage Etat des lieux et perspectives Résumé et comparaison des coûts des différents systèmes de chauffage Jeudi 22 octobre 29 1 Comparaison des vecteurs énergétiques

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.

Plus en détail

Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf

Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf Le Hive L amélioration énergétique d un bâtiment neuf Présentation de Thierry DJAHEL, Schneider Electric Dans le cadre de la matinée technique IFPEB CSTB du 28 novembre 2012. 28/11/2012 1 En chiffres 35

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014

Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

MUNICIPALITE DE GLAND

MUNICIPALITE DE GLAND MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,

Plus en détail

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source

Plus en détail

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Plus en détail

ENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013

ENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013 ENQUÊTE Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011 Série Économique Réalisé avec le soutien technique et financier de RCE 15 Février 2013 AMORCE/ADEME SOMMAIRE Prix de vente

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE

TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de

Plus en détail

se loger à Paris 2013

se loger à Paris 2013 se loger à Paris 2013 4 Édio L a crise du logemen, qui ouche la France depuis plusieurs décennies, connaî un regain d inensié en raison des difficulés économiques acuelles. Elle requier de l ensemble des

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres Une union pour les employeurs de l' conomie sociale - grande Conférence sociale - les posiionnemens e proposiions de l usgeres Juille 212 1 «développer l emploi e en priorié l emploi des jeunes» le posiionnemen

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

Hélianthe. L immobilier d entreprise à l heure de la performance énergétique

Hélianthe. L immobilier d entreprise à l heure de la performance énergétique Hélianthe L immobilier d entreprise à l heure de la performance énergétique La société EIFFAGE CONSTRUCTION METALLIQUE, anciennement Eiffel Construction Métallique, a fait l objet, par décision exécutoire

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Grenoble ZAC de Bonne

Grenoble ZAC de Bonne Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

La Défense en Charente-Maritime

La Défense en Charente-Maritime La Défense en Charene-Mariime 2013 Sommaire La Défense dans le déparemen Sommaire La Défense en Charene-Mariime Présenaion générale de la défense dans le déparemen Direceur de la publicaion Délégué miliaire

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Grenoble EcoCité SmartGrid for green cities

Grenoble EcoCité SmartGrid for green cities Grenoble EcoCité SmartGrid for green cities Grenoble EcoCité Une stratégie énergétique locale Grenoble Ecocité & Fonds Ville de Demain Grenoble Presqu ile Démonstrateur de l EcoCité 250 ha pour la recherche

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

Quelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec :

Quelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? UN OUTIL pour la maîtrise des charges locatives

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle

Plus en détail