Hydrodynamique des lits fluidisés en régime de bullage

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Hydrodynamique des lits fluidisés en régime de bullage"

Transcription

1 Hyroynamique es lits fluiisés en régime e ullage M. HEMATI

2 Régime e ullage. La plupart es lits fluiisés inustriels fonctionnent en régime e ullage. Ce régime est oservé ès que la vitesse u gaz épasse la vitesse minimale e fluiisation pour les particules e classe B ou la vitesse minimale e ullage pour les particules e classe A e la classification e Gelart. Dans ce cas, le lit est un milieu iphasique vis à vis u gaz. ne partie u gaz, cresponant au éit minimal e fluiisation (Q ), circule ans les interstices es particules et constitue avec elles la phase ense, ence appelé phase émulsion. Le reste, c'est-à-ire le éit en excès par rappt au minimum e fluiisation, traverse le lit sous fme e ulles (Q-Q ). Le taux e vie e la phase ense reste approximativement égal au taux e vie au minimum e fluiisation, ε. Ce sont onc les ulles présentes à chaque instant ans la couche qui sont responsales e son expansion. Les ulles confèrent à la couche fluiisée l'aspect 'un liquie en éullition et leurs propriétés présentent e nomreuses analogies avec es ulles e gaz ans un liquie. phase ulle phase émulsion Q-Q Q Q D après les conclusions e ifférents travaux iliographiques, le comptement hyroynamique un lit fluiisé gaz-solie est ftement conitionné par les propriétés es ulles telles que leur taille, leur vitesse ascension et leur répartition au sein e la couche. D une manière générale, une couche fluiisée peut être ivisée en trois zones istinctes (figure 8): Q - la zone e istriuteur où les ulles sont fmées et commencent leur ascension, - la zone e ullage appelée également zone ense, - la zone e projection ou le freeoar. Figure 8 : Description un réacteur à lit fluiisé

3 La zone u istriuteur. Selon la nature u istriuteur employé, le comptement u gaz et es particules iffère ans la zone ajacente au istriuteur appelée également zone e grille. La figure 9 représente un schéma es phénomènes qui ont lieu pour eux types e istriuteurs : plaque perfée (a) et plaque peuse (). Figure 9 : Comptement hyroynamique u lit ans la zone u istriuteur (a)plaque perfée. () plaque peuse. (a) plaque perfée Comme le montre cette figure, pour les istriuteurs à plaques perfées, le jet gazeux issu es ifices est initialement étali sur une istance ite longueur e jet. Au-elà e cette istance, on oserve une égénérescence u jet en ulles e gaz e failes iamètres et pratiquement vies e solie. Pour un istriuteur comptant N ifices e iamètre : - le iamètre initial es ulles peut être calculé à l aie e la crélation e Cooke et coll. (1968), haituellement retenue par les ifférents auteurs : 1,38 A ( ) 0,4 c 0 0,2 (33) g π N - et la longueur e jet peut être évaluée par la crélation e Merry : avec : 0,3 0,2 L j ρg 5,2 1,3 1 (34) ρp p g Q (35) 2 N π 4 2 N π 4 Q ε avec (36) A A c c

4 Où Q représente le éit u gaz e fluiisation, et ε la posité u istriuteur. D après Kunii et Levenspiel (1991), pour une vitesse e gaz e fluiisation onnée et pour une posité u istriuteur fixée, une augmentation soit u iamètre es ifices soit e la pression u système conuit à la fmation e jets plus profons. En ce qui concerne le comptement es particules solies ans cette zone, on oserve la fmation e zones stagnantes ou semi-stagnantes entre les ifices et une zone où le mélange peut être consiéré comme parfait. D une manière générale, l augmentation e la vitesse u gaz à travers les ifices, la réuction e l espacement entre les ifices, l augmentation e la taille es particules et l augmentation u iamètre es ifices sont es facteurs qui iminuent l extension es zones mtes [Kunii et Levenspiel (1991)]. Remarque : Pour otenir une fluiisation crecte, le istriuteur oit créer une perte e charge suffisante pour que le gaz se répartisse crectement sur toute la section u lit. Kunii et Levenspiel iniquent que la perte e charge à travers le istriuteur, P, oit être supérieure à 10% e celle à travers la couche fluiisée, P c. Toutefois, pour es opérations ifficiles on retient P >0,3 P c La perte e charge inuite par un istriuteur à plaque perfée est éterminée par la relation suivante : 1 2 P ρ (37) 2k où, K est le coefficient e perte e charge u istriuteur. Dans la plupart es cas pratiques, ρdc lsque le nomre e Reynols rappté au iamètre u lit Re est supérieur à 2000, µ on peut consiérer que K 0,6 () plaque peuse Contrairement au comptement oservé à proximité es plaques perfées, ans le cas es istriuteurs à plaques peuses la fmation e jets n a pas été mise en évience. La compilation e plusieurs travaux expérimentaux réalisée par Kunii et Levenspiel (1991) a permis e montrer que ans la zone u istriuteur, une suspension iluée e gaz et e particules est fmée ès que la vitesse u gaz excèe. Cette suspension se réarrange ensuite pour fmer plusieurs ulles e petites tailles qui coalescent très rapiement pour fmer es ulles e plus granes tailles. Dans cette situation, la majité es auteurs

5 retiennent la crélation e Gelart (1972) qui permet estimer la taille initiale es ulles fmées ans la zone u istriuteur : o 0, ( ) 0, 4 (38) Zone e ullage. Cette zone est caractérisée par la présence es ulles e gaz qui granissent au fur et à mesure qu elles s élèvent ans la couche sous l effet e leur coalescence et qui explosent lsqu elles atteignent la surface u lit. La présence e ces ulles en permanence ans la couche entraîne une expansion e cette ernière qui épen e l excès u éit gazeux par rappt au minimum e fluiisation ainsi que es propriétés physiques u gaz et es particules. L étue u comptement es ulles au sein u lit fluiisé a fait l ojet e plusieurs étues expérimentales [Botteril et coll. (1966), Darton et coll. (1977), Yates et coll. (1994), Yacono et coll. (1979), Chia et Koayashi (1977)] car il conitionne le transfert e matière et e chaleur ainsi que le mélange gazeux au sein un lit fluiisé. Propriétés es ulles. Des oservations aux rayons X réalisées par Rowe et coll. (1965) sur un lit fluiisé triimensionnel ont permis e mettre en évience que la fme es ulles est celle e calottes sphériques à ases concaves entraînant ans leur sillage une quantité e solie et e gaz e la phase émulsion. En première approximation, on peut consiérer que le sillage complète la sphère ont la ulle en tant que cavité fme la calotte supérieure. Le volume e sillage est 'environ 25 à 30% u volume e la sphère. Figure 10 : Fme une ulle, V c volume e la cavité (ulle), V s volume u sillage La présence u sillage est responsale pour la plus grane partie u mélangeage en lit fluiisé. Par le iais e continuité, le mouvement ascenant es particules solies occasionné par les ulles est contrealancé par un mouvement escenant qui inuit es courants e circulation ans la phase émulsion. Ce phénomène entraîne un on rassage u lit qui est consiéré comme parfaitement agité, c est ce qui assure l homogénéité e température et e composition en solie. La quantification e la fraction volumique es ulles occupée par le sillage, f w, a fait l ojet e plusieurs travaux expérimentaux. Parmi les crélations étalies nous citons celle e Werther (1976) présentée ans le taleau 1.

6 Il est à noter qu il existe aussi un échange permanent e particules entre les sillages es ulles et la phase émulsion. D après les conclusions es travaux e Chia et Koayashi (1977), le coefficient e transfert e particules entre le sillage et l émulsion par unité e volume e la phase ulle épen aussi ien es caractéristiques u lit au minimum e fluiisation que u iamètre e la sphère qui engloe la ulle et son sillage. L expression e ce coefficient est reptée ans le taleau 1. La taille et la vitesse ascension es ulles sont eux graneurs écisives intervenant ans les calculs et le imensionnement es lits fluiisés. Ainsi la étermination e ces paramètres a fait l ojet un nomre imptant e travaux iliographiques. Dans ce paragraphe, nous nous contenterons e présenter les crélations empiriques ou semi-empiriques les plus utilisées et les plus souvent citées ans les travaux e moélisation es réacteurs à lits fluiisés tout en sachant que ces lois seront par la suite employées ans notre étue théique. Ces ifférentes crélations avec leurs igines iliographiques sont regroupées ans le taleau 1. Exemple 5 : Pour les conitions e l exemple 4, on calcule le iamètre es ulles et leur vitesse à mi-hauteur et à la surface e la couche expansée, sachant que la colonne a un mètre e iamètre et que le istriuteur est une plaque perfée comptant 2500 ifices par mètre carré. Le iamètre es iffices est fixé à 2 mm. 0,155 m/s, 0,4 m/s, L 1,51 m, N /A c 2500 L équation (33) et les crélations présentées ans le taleau 1 nous conuisent aux résultats suivants : 1,38 A 0,2 g ( ) π N 0,4 c 0 m [ A ( )] 0, 4 c 0,022 m 1,64 m 0,85 m A mi-hauteur z L/2 : 1,5/ 2 D C ( z L / 2) ( ) exp 0,3 0,19m eq m m 0 0,711 g 1 ( ) 2 eq + ( ) A la surface z L : 0,97 m/s 1,21 m/s 1,5 D C ( z L) ( ) exp 0,3 0,32m eq m m 0

7 0,711 g 1 ( ) 2 eq + ( ) 1,26 m/s 1,51 m/s Auteur Propriété Crélation Remarque Werther (1976) Fraction volumique u sillage ans les ulles f ( 0,08 ( )) 1 0,3 exp (39) w Chia et Koayashi (1977) Mi et Wen (1975) Coefficient e transfert e particules entre le sillage es ulles et la phase émulsion. Diamètre équivalent es ulles à hauteur onnée, z Diamètre maximal e ulle. K eq p 3 f 2 ε w ( z) ( ) m m 0 exp 0,3 D C m z (40) [ A ( )] 0, 4 c (41) 1,64 (42) est le iamètre e la sphère engloant la ulle et son sillage. eq ou est le iamètre e la ulle sphérique ayant le même volume que la ulle réelle. Vitesse ascension une ulle isolée 0,711 g 1 ( ) 2 eq (43) Davison et Harrison (1963) Davison et Harrison (1963) Vitesse ascension un chapelet e ulles. éit e gaz traversant une ulle Volume u nuage accompagnant chaque ulle. ( ) + (44) q V cp V 3 π 4 2 eq (45) 3 α 1 (46) V cp : volume u nuage entourant la ulle vie. V : Volume e la ulle vie e solie. Taleau 1 : Taleau récapitulatif es principales propriétés es ulles.

8 Mouvements u gaz autour une ulle. De nomreux travaux théiques ont été consacrés à la escription e l écoulement u gaz et u solie au voisinage une ulle isolée. L ojectif e ces travaux fut la étermination es flux gazeux échangés entre la ulle et la phase émulsion qui l entoure. Ces graneurs sont préponérantes ans le calcul es réacteurs à lits fluiisés. Selon la théie e Davison et Harrison (1963), la plus ancienne et la plus utilisée, le gaz présent ans les ulles n est pas isolé e l ensemle u lit et il existe un échange continu e matière entre les phases. Le flux gazeux traversant la ulle peut être estimé par l expression reptée ans le taleau II-1. De plus, la structure e l écoulement u gaz au voisinage es ulles épen essentiellement u rappt entre la vitesse relative ascension une ulle isolée,, et la vitesse interstitielle u gaz ans la phase émulsion, i, éfinie par i i. Ainsi, selon la valeur u rappt ε α, on peut istinguer ifférents régimes écoulements (figure 11) : - si la valeur e α est inférieure à 1, le gaz pénètre ans la ulle par sa partie inférieure et st par son sommet : c est le régime ouvert ou le régime e ulle lente. Ce régime est caractérisé par un court-circuit instantané u gaz par la ulle et ne se éveloppe en générale que soit ans les parties inférieures u lit, au voisinage u istriuteur, soit lsque les particules appartiennent à la classe D e la classification e Gelart, nuage α > 1 α < 1 Figure 11 : Mouvements u gaz autour es ulles pour ifférentes valeurs u rappt α.

9 - si la valeur e α est supérieure à 1, le gaz stant par le sommet e la ulle est repoussé vers le as et pénètre à nouveau ans celle-ci après un séjour parmi les particules e la phase émulsion : c est le régime fermé ou régime e ulle rapie qui est souvent rencontré ls e la fluiisation es particules appartenant aux classes A et B e la classification e Gelart. Le volume u gaz à l intérieur uquel s effectue le recyclage est appelé nuage. L épaisseur u nuage peut être estimée à partir e la relation théique e Davison et Harrison (1963) reptée ans le taleau 1. Selon cette relation, l extension u nuage iminue avec l augmentation e la valeur e α. Dans la phase émulsion, la structure e l écoulement u gaz est ftement influencée par les caractéristiques u ullage et par la nature u istriuteur surtout pour es couches peu profones. Le gaz e l émulsion circule ans un régime proche e l écoulement piston pour es valeurs es vitesses superficielles e gaz inférieures à eux fois la vitesse minimale e fluiisation. Pour es vitesses très élevées, supérieures à cinq fois, le gaz peut être consiéré comme ien mélangé ans l ensemle e la couche. Mouvement es ulles et u solie. Le travail expérimental réalisé par Werther et Molerus (1973) ptant sur la répartition es ulles au sein un lit fluiisé a permis e mettre en évience que : - la répartition es ulles varie epuis la zone e istriution jusqu en haut u lit. Elle varie également ans la irection raiale, - à chaque niveau, on peut istinguer un anneau ans lequel le ullage est plus intense que ans les régions voisines. Cet anneau se éplace progressivement vers l axe à mesure que l on s éloigne u istriuteur, - jusqu à une hauteur équivalente à eux fois le iamètre e la colonne, il existe une zone e fme conique, appelée cône e Werther, e fte activité e ullage séparant une région centrale activité moyenne et une région périphérique e faile activité e ullage, - au-essus e cette zone, l activité e ullage intéresse la région centrale, éveloppement e la taille es ulles par coalescence. La figure 12 représente schématiquement la répartition es ulles au sein u lit selon Werther et Molerus (1973).

10 Figure 12 : Représentation schématique u cône e Werther. Ce chemin préférentiel emprunté par les ulles conuit à l apparition un mouvement e particules sur une échelle macroscopique. Cette circulation u solie se fait suivant plusieurs moes selon la géométrie e la colonne (iamètre u réacteur D c et la hauteur u lit expansé L) et la vitesse superficielle u gaz comme le montre la figure 13 qui onne une escription gloale e cette circulation. Ainsi, à faile vitesse superficielle e gaz, on istingue les comptements suivants : - L légèrement inférieur à 1 : les particules manifestent un courant ascenant près Dc es parois et un courant escenant au centre u lit (figure 13 a). A vitesses e gaz plus élevées, le ullage evient plus intense et le mouvement s inverse (figure 13 ). - L compris entre 1 et 2 : Le mouvement ascenant es ulles écrit une fme Dc conique. L explosion es ulles en surface conuit à la répartition u solie entraîné entre la zone centrale u lit et la zone proche es parois où elles entament un mouvement escenant (figure 13 c). - L supérieur à 2 : Les courants e circulation es particules fment eux vtex : Dc Le premier est situé près u istriuteur et contriue à alimenter le secon vtex situé ans la partie supérieure u lit. Le solie monte ainsi exclusivement au centre u lit et escen près es parois (figure 13 ).

11 - L eaucoup plus faile que 1, installation e très grane section : ans ces Dc conitions, plusieurs vtex peuvent se fmer et l allure générale es courants e circulation épen e la nature u istriuteur (figure 13 e et 13 ). Figure 13 : Les principaux courants e circulation u gaz et u solie en fonction e la géométrie e l installation et e la vitesse u gaz. Entrainement es solies au-essus un lit fluiisé : Huroynamique u freeoar L entraînement es particules est l un es prolèmes les plus imptants ans la mise en œuvre e la fluiisation. Dans la plupart es opérations inustrielles, les particules possèent une certaine ispersion granulométrique. Même si le solie est initialement e taille unifme, il se crée es fines au cours e l opération par érosion mécanique, contraintes thermiques ou réactions chimiques. Dans ces conitions, la vitesse u gaz peut être suffisante pour entraîner hs e la couche puis hs u réacteur les plus fines particules. Le mécanisme e l entraînement met en jeu eux étapes : une part le transpt es particules u lit proprement it vers la zone e ésengagement (freeoar) située au-essus e la surface, et autre part, leur mouvement ans la zone e ésengagement. Dans cette ernière zone, certaines particules sont entraînées et élutriées als que autre retoment simplement ans le lit ense. Le niveau auquel le flux e particules entraînées evient inépenant e la hauteur est appelée la hauteur limite e ésengagement ou TDH. La zone e ésengagement est imptante ans le imensionnement un réacteur, non seulement parce qu elle oit avoir une hauteur suffisante pour permettre au solie entraîné e

12 se ésengager et e retomer ans le lit, mais aussi parce qu elle permet à es réactions avoir lieu en phase iluée [Chen et coll. (1982), Wen et Chen (1982), Fournol et coll. (1973)]. De plus, les travaux réalisés sur la comustion u gaz naturel et l incinération es oues ou autres échets solies en lit fluiisé ont montré que les phénomènes qui se prouisent ans cette zone peuvent avoir un effet notale en ce qui concerne les émissions e polluants [Pré-Gouelle (1997), Werther et Ogaa(1999) ]. Dans cette partie, nous présenterons les ifférents résultats étalis ans la littérature concernant l igine e l entraînement ainsi que les techniques expérimentales et les moèles théiques permettant estimer les profils e flux et e rétention u solie ans la zone e ésengagement. Ces renseignements sont nécessaires pour moéliser et imensionner les installations à lit fluiisé. ORIGINE ET MECANISMES DE PROJECTION DES PARTICLES. La projection u solie ans le freeoar est un phénomène û à l explosion es ulles e gaz en stie u lit ense, onc au phénomène e ullage. Les éruptions es ulles à la surface u lit projettent environ 50% es particules entraînées ans leurs sillages avec une vitesse au moins égale à celle e la ulle. Figure :14 : Mécanisme éjection e solie un lit fluiisé ans la zone e freeoar : (a) epuis le sommet une ulle qui éclate ; () epuis le sillage e la ulle ; (c) epuis le sillage une ulle au moment e sa coalescence avec une ulle située en surface u lit. n ésentraînement naturel se prouit sous l influence es fces e gravité et e traînée lsque les solies sont éjectés ans le freeoar. Lsque leur quantité e mouvement initiale est épensée, la plupart e ces particules retournent ans le lit. Le profil u flux e particules ans le freeoar montre une écroissance exponentielle une valeur finie F 0 représentant le flux total e solies éjectés à la surface u lit, jusqu à une

13 1, valeur constante F représentant le éit es particules ont la vitesse terminale est inférieure à la vitesse locale u gaz (figure 15). F0 Figure 15 : profil entrainement typique e solie au-essus u lit fluiisé Déit e solie F profil axial e flux e solie entraîné ans le freeoar. Lewis et coll. (1962) ont ainsi étali une crélation générale qui permet e représenter e façon crecte l allure e profil axial e flux e solie ans le freeoar : ( F F ) exp( a h) F F + 0 (47) Cette crélation montre que le éit e solie entraîné à une hauteur onnée, F, épen u éit projeté en surface, F 0, et une constante "a". Selon Kunii et Levenspiel le prouit (a.) est une fonction u iamètre moyen es particules constituant le lit. Ils ont ressé une crélation graphique représentée sur la figure 16, pour es valeurs e la vitesse inférieures à 1,25 m/s. TDH Hauteur lire Figure16: Evolution u prouit a. en fonction u iamètre e particule ( : vitesse superficielle u gaz en m.s -1 ) ESTIMATION DE LA TDH. Le imensionnement u freeoar passe par la étermination e la TDH (transpt isengaging height) éfinie comme étant la hauteur au-essus e la surface u lit ense à partir e laquelle le flux e solie entraîné reste constant A cause e la complexité e l hyroynamique u freeoar, on trouve un certain nomre e crélations empiriques ans la iliographie visant l estimation e la TDH. On peut recommaner la relation e Baron étalie en 1987 : TDH 2 0, 22 (48)

14 Exemple 6 : Pour les conitions es exemples 4 et 5, on calcule la perte e charge u istriuteur et la hauteur e ésengagement (TDH). A la surface z L : + ( ) 2 0, 22 TDH N π A 0,5 m c ,9 m/s P P c 1 2k ( ρ p ρ 2 1,51 m/s 0, ,4 Pa ρ)gl(1 ε) Pa

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14

Plus en détail

Théorie des graphes et optimisation dans les graphes

Théorie des graphes et optimisation dans les graphes Théorie es graphes et optimisation ans les graphes Christine Solnon Tale es matières 1 Motivations 2 Définitions Représentation es graphes 8.1 Représentation par matrice ajacence......................

Plus en détail

Simulation Matlab/Simulink d une machine à induction triphasée. Constitution d un référentiel

Simulation Matlab/Simulink d une machine à induction triphasée. Constitution d un référentiel Simulation Matlab/Simulink une machine à inuction triphasée Constitution un référentiel Capocchi Laurent Laboratoire UMR CNRS 6134 Université e Corse 3 Octobre 7 1 Table es matières 1 Introuction 3 Moélisation

Plus en détail

IMPLEMENTATION D UN SYSTEME D INFORMATION DECISIONNEL

IMPLEMENTATION D UN SYSTEME D INFORMATION DECISIONNEL IMPLEMENTATION D UN SYSTEME D INFORMATION DECISIONNEL Proposé par BUMA Feinance Master en management e projets informatiques Consultant en système écisionnel I. COMPREHENSION DU CONTEXTE «L informatique

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Chapitre. Chapitre 12. Fonctions de plusieurs variables. 1. Fonctions à valeurs réelles. 1.1 Définition. 1.2 Calcul de dérivées partielles

Chapitre. Chapitre 12. Fonctions de plusieurs variables. 1. Fonctions à valeurs réelles. 1.1 Définition. 1.2 Calcul de dérivées partielles 1 Chapitre Chapitre 1. Fonctions e plusieurs variables La TI-Nspire CAS permet e manipuler très simplement les onctions e plusieurs variables. Nous allons voir ans ce chapitre comment procéer, et éinir

Plus en détail

et les Trois Marches d'assurance

et les Trois Marches d'assurance The Geneva Papers on Risk an Insurance, 20 (juillet 98), 36-40 Asymétrie 'Information et les Trois Marches 'Assurance par Jean-Jacques Laffont * La proposition stimulante e Monsieur Ic Professeur Borch

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires

Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Saoussen Khalfallaoui, Dominique Seguin, Moulay Ahmed Adelghani-Idrissi LSPC Université de Rouen IUT 8 Rue Lavoisier

Plus en détail

Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine»

Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine» Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010 2011 T2) : «Augmentation de capital de Carone Lorraine» Question 1 : déterminer formellement la valeur du droit préférentiel de

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

Système d Information

Système d Information Système Information Système Information Rémy Courier Urbanisation es SI Système Information Urbanisme es SI 1 Rémy Courier Urbanisme es Systèmes Information Inytrouction De l Urbanisme à L Urbanisation

Plus en détail

NOTIONS DE PERTE DE CHARGE PERTE DE PRESSION

NOTIONS DE PERTE DE CHARGE PERTE DE PRESSION Théorie NOTIONS E PERTE E CHARGE PERTE E PRESSION En raison de la VISCOSITE des fluides réels, de la RUGOSITE des parois intérieures des conduites et des accidents de parcours inhérents à un tracé fluidique,

Plus en détail

CONTROLE D UN SIMULATEUR A BASE MOBILE À 3 DDL

CONTROLE D UN SIMULATEUR A BASE MOBILE À 3 DDL Zie Amara 1/8 CONTROLE D UN SIMULATEUR A BASE MOBILE À 3 DDL Zie AMARA 1 Directeur(s) e thèse: Joël BORDENEUVE-GUIBIE* et Caroline BERARD Laboratoire 'accueil: * Laboratoire Avionique & Système Ecole Nationale

Plus en détail

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES

IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES E. Fransolet, M. Crine, G. L Homme, Laboratoires de Génie Chimique, P. Marchot, D. Toye. Université

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

INF601 : Algorithme et Structure de données

INF601 : Algorithme et Structure de données Cours 2 : TDA Arbre Binaire B. Jacob IC2/LIUM 27 février 2010 Plan 1 Introuction 2 Primitives u TDA Arbin 3 Réalisations u TDA Arbin par cellules chaînées par cellules contiguës par curseurs (faux pointeurs)

Plus en détail

Recherche par similarité dans les bases de données multimédia : application à la recherche par le contenu d images

Recherche par similarité dans les bases de données multimédia : application à la recherche par le contenu d images UNIVERSITÉ MOHAMMED V AGDAL FACULTÉ DES SCIENCES Rabat N orre 460 THÈSE DE DOCTORAT Présentée par DAOUDI Imane Discipline : Sciences e l ingénieur Spécialité : Informatique & Télécommunications Titre :

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

Nanofluides et transfert de chaleur par convection naturelle

Nanofluides et transfert de chaleur par convection naturelle Journée Thématique SFT Paris, 15 mars 2012 «Intensification des transferts dans les échangeurs thermiques et multifonctionnels : Techniques, Outils d analyse et Optimisation» Nanofluides et transfert de

Plus en détail

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Gomez Thomas Institut Jean Le Rond d Alembert Caractériser et classifier les écoulements turbulents. Introduire les outils mathématiques. Introduire

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

TLE 20 CONTROLEUR ELECTRONIQUE DIGITAL A MICROPROCESSEUR POUR UNITES REFRIGERANTES

TLE 20 CONTROLEUR ELECTRONIQUE DIGITAL A MICROPROCESSEUR POUR UNITES REFRIGERANTES CTROLEUR ELECTRIQUE DIGITAL A MICROPROCESSEUR POUR UNITES REFRIGERANTES INSTRUCTIS POUR L'UTILISATI Vr. 02 (FRA) Coe : ISTR -MTLE20-FRA2 TECNOLOGIC S.p.A. VIA INDIPENDENZA 56 27029 VIGEVANO (PV) ITALY

Plus en détail

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB Zakaria Meliani Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Janvier 2007 Les grandes lignes de la présentation Les propriétés

Plus en détail

On constate couramment la position. Luxations volontaires. et mobilisation. mésioversées. de dents postérieures. chirurgie

On constate couramment la position. Luxations volontaires. et mobilisation. mésioversées. de dents postérieures. chirurgie 1 2 Luxations volontaires et moilisation e ents postérieures mésioversées François Barruel, Eva Ameisen On sait epuis longtemps que les molaires inférieures, ans les cas e ysharmonie ento-maxillaire, ont

Plus en détail

Lecture graphique. Table des matières

Lecture graphique. Table des matières Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Thème 17: Optimisation

Thème 17: Optimisation OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

Principe et fonctionnement des bombes atomiques

Principe et fonctionnement des bombes atomiques Principe et fonctionnement des bombes atomiques Ouvrage collectif Aurélien Croc Fabien Salicis Loïc Bleibel http ://www.groupe-apc.fr.fm/sciences/bombe_atomique/ Avril 2001 Table des matières Introduction

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités Le suivi de la qualité La politique qualité d une entreprise impose que celle maîtrise sa fabrication. Pour cela, elle doit être capable d évaluer la «qualité» de son processus de production et ceci parfois

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle

Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre

Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre 1 Démarche générale Avec Gambit Création d une géométrie Maillage Définition des conditions aux limites Avec Fluent 3D Choix des équations

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Cours IV Mise en orbite

Cours IV Mise en orbite Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

Abstract : Mots clefs : Résistance thermique de contact ; Modèles prédictifs. 1 Introduction

Abstract : Mots clefs : Résistance thermique de contact ; Modèles prédictifs. 1 Introduction Étude comparative et validation de modèles prédictifs de résistance thermique de contact dans le cas solide-liquide avec prise en compte de la tension superficielle Saannibe Ciryle SOME a, Didier DELAUNAY

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

Les deux points les plus proches

Les deux points les plus proches MPSI Option Informatique Année 2001, Deuxième TP Caml Vcent Simonet (http://cristal.ria.fr/~simonet/) Les eux pots les plus proches Lors e cette séance, nous allons nous téresser au problème suivant :

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Introduction au maillage pour le calcul scientifique

Introduction au maillage pour le calcul scientifique Introduction au maillage pour le calcul scientifique CEA DAM Île-de-France, Bruyères-le-Châtel franck.ledoux@cea.fr Présentation adaptée du tutorial de Steve Owen, Sandia National Laboratories, Albuquerque,

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

La plateforme Next Generation Mini guide

La plateforme Next Generation Mini guide L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles

Plus en détail

6 Equations du première ordre

6 Equations du première ordre 6 Equations u première orre 6.1 Equations linéaires Consiérons l équation a k (x) k u = b(x), (6.1) où a 1,...,a n,b sont es fonctions continûment ifférentiables sur R. Soit D un ouvert e R et u : D R

Plus en détail

Les objets très lointains

Les objets très lointains Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les

Plus en détail

4.4. Ventilateurs à filtre. Les atouts. Montage rapide. Polyvalence et fonctionnalité

4.4. Ventilateurs à filtre. Les atouts. Montage rapide. Polyvalence et fonctionnalité Les atouts L'utilisation de ventilateurs à filtre est une méthode extrêmement économique pour évacuer d'importantes quantités de chaleur en dehors des armoires électriques. Deux conditions fondamentales

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste

Plus en détail

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience.

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. F.BONNIOL, C. SIERRA, R. OCCELLI AND L. TADRIST Laboratoire

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Échangeurs de chaleur à contact direct

Échangeurs de chaleur à contact direct Échangeurs de chaleur à contact direct par Alain BRICARD Ingénieur du Conservatoire National des Arts et Métiers Ingénieur de Recherche au Centre d Études Nucléaires de Grenoble et Lounès TADRIST Docteur

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion Moéliation une ection e poutre fiurée en flexion Prie en compte e effort tranchant Chritophe Varé* Stéphane Anrieux** * EDF R&D, Département AMA 1, av. u Général e Gaulle, 92141 Clamart ceex chritophe.vare@ef.fr

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Étude et modélisation des étoiles

Étude et modélisation des étoiles Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur

Plus en détail