Anémie inflammatoire et /ou ferriprive Anémies du sujet âgé
|
|
- Louis Després
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Anémie inflammatoire et /ou ferriprive Anémies du sujet âgé Odile BEYNE-RAUZY Médecine Interne, IUCT-ONCOPOLE
2 Décembre 1981
3 Anémie et âge <13g/dL H et 12g/dL F Steensma 2007 Mayo Clin Proc Gériatrie court séjour, Casselardit : 8 mois / 514 admissions 46,9%
4 Anémie modérée 10 à 12 ou 13g/dl n=8744 (Italie) Causes : anémie inflammatoire, thalassémie, insuffisance rénale, 26% indéterminée (dont 1/3 MDS) Fréquence globale 11% Tettamanti 2010 Haematologica
5 Conséquences de l anémie Facteur Indépendant Mortalité Morbidité Chute Institutionnalisation Hospitalisation Izaks 1999 JAMA, Penninx, Chaves 2004 J Am Geriat Soc, Steensma 2007 Mayo Clin Proc
6 Anémie par carence 1 Fer Vitamine B12, Folates 35% Anémie inflammatoire 2 25% Insuffisance rénale chronique 3 8% Anémie inexpliquée 1 Myélodysplasies 4 30% 15% 1 Guralnik 2004 Blood ²Weiss 2005 N EJ M 3 Ble Arch Intern Med 4 Steensma 2007 Mayo Clin Proc
7 FACTEURS ETIOLOGIQUES Carence en folates sévère modérée Carence martiale Syndrome inflammatoire... Insuffisance rénale sévère: clairance créat. inf 30 ml/min modérée: 30 < clairance créat. < 60 Dysthyroidie hyperthyroidie hypothyroidie Carence Vit B12. Iatrogénie. Centrale Hémolyse FREQUENCE 57% 33% 24% 43% 30% 79 % 24% 55% 15% 7% 8% 2% 2% 9% 1% Dans 50 à 70% des cas plusieurs causes associées
8 Erythropoïèse Prolifération hématies par jour BFU-E CFU-E Proérythroblaste Erythroblaste basophile Erythroblaste polychromatophile Erythroblaste acidophile Réticulocyte Hématie Epo Rein O 2 Fer, vitamines B12, B9 Hormones T4, Androgènes, IGF-1,
9 Définition de l anémie Taux d hémoglobine <13g/dL H et 12g/dL F Outils sémiologiques? 1 2 VGM volume globulaire = origine Réticulocytes = réserve médullaire
10 Anémie régénérative Maladies de l hémoglobine Réticulocytes > 150 G/L Guérison Hémorragie Hémolyse
11 Anémie arégénérative VGM < 80µ 3 VGM normal VGM > 100µ 3 fer difficulté envahissement vitamines rein
12 VGM < 80µ 3 microcytaire hypochrome fer ferriprive inflammatoire Spoliation (80%) Absorption Apport Infections Cancers Maladies auto-immunes Insuffisance rénale chronique
13 FER Absorption duodénale APPORT Circulation transferrine Synthèse hématie STOCKAGE PERTES Recyclage Stockage macrophages (moelle osseuse, rate, foie)
14 Anémie ferriprive (par carence en fer) Défaut d apport Régime végétarien strict, multipare, traitement par EPO Trouble de l absorption Gastrectomie, défaut d acidité, excès de thé et café Maladie coeliaque Maladie inflammatoire du tube digestif (Whipple, Crohn) Pancréatite chronique Excès de pertes par spoliation (80% des cas) Digestives (oeso-gastro-duodénales, recto-coliques, grêle) Gynécologiques Epistaxis (Rendu-Osler)
15 Caractéristiques AF VGM TCMH, CCMH Réticulocytes Fer sérique Ferritine Coefficient de saturation de la transferrine Microcytaire hypochrome Arégénérative Bas Basse Bas (<15%)
16 Autres marqueurs biologiques Ferritine = protéine de l inflammation Récepteur soluble de la transferrine augmente si carence indépendant de l inflammation Capacité de fixation de la transferrine augmentée (>65µmol/L)
17 Déficit en fer : les stades 3 Anémie ferriprive 2 Erythropoïése déficitaire en fer Hémoglobine VGM, Ferritine VGM Ferritine 1 Déficit des réserves en fer Ferritine Chronologiquement
18 KO : surcharge martiale Nicolas 2001, 2002 PNAS Hepcidine Surexpression : anémie
19 Hepcidine : stockage du fer Andrews 2004 J Clin Invest
20 Caractéristiques AI (ACD) VGM Réticulocytes Fer sérique Ferritine RsTf Normo ou Microcytaire Normo ou hypochrome Arégénérative Bas Normale ou élevée Normal
21 Situations cliniques FREQUENTES ++++ Weiss N Engl J Med 2005
22 Cytokines inflammatoires hepcidine Erythropoïèse défectueuse FER ANEMIE EPO Weiss 2005 NEJM
23 VGM normal rein normocytaire normochrome difficulté Clairance < 30ml/min Autres causes au début : Inflammation, Myélodysplasies Combinaisons
24 VGM >100µ 3 vitamines macrocytaire normochrome envahissement B9, B12, TSH, OH hémopathies Myélodysplasies, aplasie Myélome, leucémies Lymphomes Cancers
25 Les principes du bilan étiologique Anamnèse et examen clinique Réticulocytes, B12, folates, bilan ferrique, TSH, bilirubine, créatinine, EPP, CRP Diagnostic Médullogramme NON OUI Traitement
26 Hémoglobine < 12 g / dl / femme et < 13 g / dl / homme VGM et réticulocytes
27 Hémoglobine < 12 g/dl / femme et < 13 g/dl / homme 1 VGM et réticulocytes Réticulocytes élevés Anémie régénérative
28 Anémie avec réticulocytose : anémie régénérative Rechercher d'urgence : - saignement aigu - ictère - splénomégalie - bilirubine (nc) Anémie aiguë hémorragique Urgence Anémie Hémolytique Bilan étiologique RAS Guérison d'une anémie
29 Hémoglobine < 12 g/dl / femme et < 13 g/dl / homme 1 VGM et réticulocytes Réticulocytes élevés Anémie régénérative Urgence possible VGM < 85 3 Anémie microcytaire 2
30 Anémie microcytaire Microcytose isolée Bilan martial et recherche d'un syndrome inflammatoire Ferritine abaissée Pas de syndrome inflammatoire Bilan de la carence en Fer Syndrome inflammatoire Recherche de la cause Pathologie intriquée 2 Pas d'anomalie - inflammatoire - martiale Thalassémie
31 Hémoglobine < 12 g/dl / femme et < 13 g/dl / homme 1 VGM et réticulocytes Réticulocytes élevés Anémie régénérative Urgence possible VGM < 85 3 Anémie microcytaire 2 VGM > 95 3 Réticulocytes non élevés 3 Anémie macrocytaire arégénérative
32 Anémie arégénérative macrocytaire Recherche d'un alcoolisme Macrocytose isolée Intoxication patente Réalité? 3 Hypothyroïdie Hémopathie Pas d'intoxication Carence - B12 - Folates Dosages spécifiques Myélogramme
33 Macrocytose isolée FAUSSES MACROCYTOSES TECHNIQUES Recherche - d'un alcoolisme - d'une prise médicamenteuse Controle des réticulocytes Etiologie reconnue Hyperréticulocytose Hémolyse possible Bilan - bilirubine - haptoglobine... Pas d'anomalies Bilan spécialisé
34 1 Réticulocytes élevés Anémie régénérative Urgence possible Hémoglobine < 12 g/dl / femme et < 13 g/dl / homme VGM et réticulocytes VGM < 85 3 Anémie microcytaire 2 VGM > 95 3 Réticulocytes non élevés 3 Anémie macrocytaire arégénérative 4 VGM normal Réticulocytes non élevés Anémie normocytaire arégénérative
35 Anémie arégénérative normocytaire Etat des leucocytes et plaquettes Anomalies Myélogramme 4 Pas d'anomalies Rechercher : Etiologie - hémodilution - VS - Ins. Rénale - TSH Bilan spécialisé
36 Les hémopathies Epidémiologie SMD, LAM, lymphomes Prise en charge globale Pronostic et comorbidités RESEAU DE SOINS ECHANGES Avancées thérapeutiques
37 Le rôle du terrain PATIENT ET COMORBIDITES AGRESSIVITE DE LA MALADIE CHOIX THERAPEUTIQUE
38 Epidémiologie SMD Incidence globale 5/ habitants 70/ >80 ans Sex ratio 1,5 H/F Age moyen au diagnostic 70 ans Formes secondaires 15-20% ,5 10% de la population française aura plus de 75 ans en <50ans 50-70ans >70ans Rollison abstract #247 ASH 2006
39 Circonstances de découverte Symptomatique = 50% des cas Asymptomatique = 50% des cas Absence de syndrome tumoral Découverte biologique
40 Cytopénies 1 ou plusieurs Anémie = 90% Fatigue, vertiges, angine de poitrine, insuffisance cardiaque, chutes, perte d autonomie Neutropénie Infections (pneumopathie, pyélonéphrite, septicémie) Thrombopénie Hémorragie (purpura cutané, hémorragie viscérale)
41 Révolutions thérapeutiques L EPO améliore La qualité de vie La survie Park Blood 2008 Jadersten JCO 2008 L AZA améliore La qualité de vie Les cytopénies La survie Fenaux Lancet Oncol 2009 Le Lenalidomide 1 e thérapeutique ciblée List NEJM 2005
42 AMM janvier 2009 «Vidaza est indiqué dans le traitement des patients adultes non éligibles pour une transplantation de cellules souches hématopoïétiques et présentant : un syndrome myélodysplasique (SMD) de risque intermédiaire-2 ou élevé selon l'index pronostique international (International Prognostic Scoring System, IPSS), une leucémie myélomonocytaire chronique (LMMC) avec % de blastes médullaires sans syndrome myéloprolifératif, une leucémie aiguë myéloblastique (LAM) avec 20-30% de blastes et dysplasie de lignées multiples, selon la classification de l'organisation Mondiale de la Santé (OMS).»
43 Proportion Survivants Azacitidine versus CCR (AZA-001 Trial) ,8% 24,5 mois Différence : 9,4 mois mois 26,2% CCR AZA Temps (mois) après randomisation Fenaux 2009 Lancet Oncology
44 Tolérance et efficacité > 80 ans ATU 45 patients Age 83 ans Survie à 2 ans 23% Itzykson ASH 2009
45 Myélome multiple Asymptomatique Symptomatique < 65 ans Dexamethasone - Bortezomib Autogreffe Lenalidomide évaluation > 65 ans Melphalan Prednisone - Thalidomide Melphalan Prednisone - Velcade Rein RÉFÉRENTIEL SFH 2009
46 Rythme transfusionnel Recommandations de l ANAES 9-10g/dL si polypathologie et âgé Etude échocardiographie Seuil de remodelage 10,7g/dL 8g 2 chiffres : MDS = 3% des transfusions 25% des hospitalisations pour transfusion Chélation? Oliva E 2005 Leuk Res
47 Merci à tous Daniel ADOUE Odile BEYNE-RAUZY Pierre COUGOUL Karen DELAVIGNE Sylvie OLLIER Médecine Interne et Immunopathologie Institut Universitaire du Cancer Toulouse-Oncopole, Tél: (secrétaire hospitalisation) (consultation) Mail : beynerauzy.odile@iuct-oncopole.fr Syndromes myélodysplasiques 28/03/ H-12H Amphithéâtre IUCT-O (possibilité DPC)
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailL anémie chez le patient âgé de plus de 75 ans : des particularités à connaître pour le biologiste
L anémie chez le patient âgé de plus de 75 ans : des particularités à connaître pour le biologiste P. LEMAIRE 1, T. BELLEVILLE 1, S. ROBINET 1, E. PAUTAS 2,3, V. SIGURET 1,3 résumé L anémie est fréquente
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailHématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES
Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détail3 - Les SMD, notamment les SMD débutants, présentent souvent des difficultés de diagnostic pour le biologiste (cytologie).
1 Myélodysplasies (ou dysmyélopoïèses) Item n 161 :diagnostiquer une dysmyélopoïèse Les syndromes myélodysplasiques (SMD) sont des affections clonales des cellules souches hématopoïétiques, caractérisées
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailMYÉLOME MULTIPLE PRÉSENTATION DU TRAITEMENT. Multiple Myeloma Research Foundation 383 Main Avenue, 5th Floor Norwalk, CT 06851 États-Unis
MYÉLOME MULTIPLE PRÉSENTATION DU TRAITEMENT Multiple Myeloma Research Foundation 383 Main Avenue, 5th Floor Norwalk, CT 06851 États-Unis www.themmrf.org email : info@themmrf.org MM.TO.11.2010 Des idées
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailInterpréter un résultat d hémogramme
Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers
Plus en détailSyndromes myélodysplasiques
Syndromes myélodysplasiques LEUCÉMIE LY M P H O M E MYÉLOM E PS22 50M 3/08 Table des matières Introduction 2 Sang et moelle osseuse normaux 3 Syndromes myélodysplasiques 5 Incidence 6 Causes et facteurs
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailStratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD
Édition canadienne Stratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD par Sandra Kurtin Initiative internationale de la MDS Foundation pour la défense des intérêts des patients en
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailMYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP)
MYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP) La myélofibrose primitive (MP) est le plus rare des syndromes myéloprolifératifs (600à 800 patients en France, de 3 à 7 nouveaux cas/million d habitants/an) ; elle touche habituellement
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailAnémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailGuide destiné aux patients atteints d un myélome multiple
Guide destiné aux patients atteints d un myélome multiple ÉDUCATION CONNAISSANCE ACCÈS RECHERCHE Exclusivement au service de la communauté canadienne du myélome Introduction Ce document s adresse aux :
Plus en détailF.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET
Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Février 2008 Les examens de laboratoires sont multiples et souvent
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailComprendre la greffe de cellules souches
Comprendre la greffe de cellules souches International Myeloma Foundation 12650 Riverside Drive, Suite 206 North Hollywood, CA 91607 USA Telephone: 800-452-CURE (2873) (USA & Canada) 818-487-7455 Fax:
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailLivret d information pour les patients atteints de Myélome multiple
Livret d information pour les patients atteints de Myélome multiple Brochure publiée par Grâce au soutien inconditionné de 1. Introduction. 2. Le Myélome. 2.1. Qu est-ce que le myélome? a. Que se passe-t-il
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détail