Les ventes d horlogerie-bijouterie en France en 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les ventes d horlogerie-bijouterie en France en 2014"

Transcription

1 Ecostat Numéro Février 2015 Les ventes d horlogerie-bijouterie en France en ,08 milliards d euros TTC en 2014 (- 1 % par rapport à 2013) Source : Société 5 A noter que le chiffre d affaires du 2 ème semestre 2014 a quant à lui augmenté de 3 % par rapport au 2 ème semestre Chiffre d affaires de la distribution d horlogerie-bijouterie, tous produits et tous circuits confondus Structure du CA en milliards d Évolution annuelle du CA Montres 26,6 % Autres 0,29 (Bracelets de montres, 0,53 réveils, réparations...) 0,07 5,7 % Bijoux fantaisie 10,4 % Bijoux en plaqué or 1,4 % 1,35 0,72 Bijoux en argent 14,2 % Bijoux en or ,0 % 1,57 0,55 Bijoux en or ,7 % +5 % +2 % +2 % +3 % +1 % -1 % -1 % -2 % -2 % -2 % -4 % d horlogerie-bijouterie Principaux produits Montres 12,960 12,780-1 % % stable Bijoux en or tous titres 9,355 8,867-5 % % % - en or 750 4,108 3, % % % - en or 375 5,247 5,214-1 % % % Bijoux en argent 18,752 18, % % stable Toutes les évolutions présentées dans ce bulletin sont calculées à partir des valeurs réelles non arrondies. Ventes d horlogerie-bijouterie p. 1 à 3 Principales tendances 2014 p. 3 Ventes de montres p. 4 Ventes de bijoux précieux et fantaisie p. 5 Sommaire Plus d infos : Ventes de bijoux en or tous titres p. 6 à 9 Ventes de bijoux en argent p. 10 et 11 Ventes de bijoux en plaqué or p. 11 Derniers chiffres de la profession p. 12 COMITÉ FRANCÉCLAT Comité Professionnel de Développement de l Horlogerie, de la Bijouterie, de la Joaillerie, de l Orfèvrerie et des Arts de la Table 22 Avenue Franklin Roosevelt Paris - Tél. : Fax : Toute reproduction totale ou partielle à des fins commerciales, sans l accord exprès et préalable du Comité Francéclat, est formellement interdite. Pour toute autre utilisation des chiffres publiés dans ce bulletin, la source «Comité Francéclat / Ecostat» doit être citée sans ambiguïté.

2 L année 2014 vue par Hubert Lapipe, Directeur Général de la Société 5 Après la crise de , la reprise de et la rechute de , le marché français est repassé dans le vert au 2 ème semestre 2014 : + 3 % par rapport au 2 ème semestre Cette évolution positive est d autant plus remarquable que le 1 er semestre 2014 avait amplifié, à - 5 %, le mouvement de recul enregistré en 2013 (- 4 %). En définitive, à 5,1 milliards d euros, les ventes de montres et de bijoux en 2014 ont été quasiment stables (- 1 %). Selon M. Lapipe, une fois de plus, la courbe des ventes de bijoux et celle de l indice de confiance des ménages paraissent suivre des évolutions similaires. La relative stabilité du marché français de l horlogerie-bijouterie le distingue par ailleurs du marché britannique ou d autres marchés européens. Derrière l apparence d une année étale en termes de chiffre d affaires (les ventes de montres et de bijoux enregistrant la même variation de - 1%), des évolutions significatives sont néanmoins à relever : - par circuits, les bijouteries fantaisies connaissent une progression significative de leur chiffre d affaires (+ 3 %) tandis que les grandes surfaces reculent une nouvelle fois : - 5 % en 2014 après - 10 % en 2013 et - 7 % en 2012 ; - l évolution positive des «autres circuits» cache de réelles disparités entre, par exemple, les artisans, touchés notamment par la baisse du cours de l or qui a impacté leur activité traditionnelle de rachat d or, et les ventes sur internet qui ont connu une forte reprise au 2 ème semestre. En horlogerie, la part de marché des ventes à distance s établit ainsi à 7 % (essentiellement des modèles à moins de 250 ) contre 5 % pour les bijoux, avec de nombreux nouveaux sites ouverts en 2014, de la part de pure players comme d enseignes ; - le nombre de points de vente HBJO s est nettement contracté, passant de en 2013 à en 2014 (+ 20 en centre commercial contre en centre-ville), pas moins de 500 indépendants ayant arrêté leur activité l année dernière ; - un nouvel équilibre se construit en bijouterie : les bijoux en or 750 consolident leur première place en valeur, soutenus par le succès des bijoux à plus de (+ 4 %) et des bijoux avec diamant et pierres précieuses (+ 4 %), tandis que ceux en or 375 ont vu leur extraordinaire envolée stoppée. Après 4 ans d une progression continue qui leur a permis de conquérir la 1 ère place en volume sur le segment des bijoux en or, les ventes de bijoux en or 375 se sont en effet stabilisées sur l année 2014, avec même un 2 ème semestre plus difficile, à rebours des autres catégories de produits ; - la part de marché des bijoux en argent s est encore améliorée en 2014 à la faveur du développement des ventes tant de bijoux empierrés (+ 10 %) que de «beads», «charms» et pendentifs (+ 14 %) ; - les ventes de montres ont connu un retournement plus marqué, le mois de décembre, qui peut peser jusqu à 30 % du chiffre d affaires annuel pour certains points de vente, s étant avéré particulièrement positif pour ce secteur : + 6 %. Les montres à plus de ont bien résisté et le milieu de gamme (prix de 100 à ) se singularise par une hausse de 2 % de ses ventes. Les montres Après les fortes poussées de et de , le rayon montres a maintenu ses positions en 2014 : millions d euros en 2014 contre millions d euros en 2013 (-1 %) pour un nombre de montres là aussi quasi équivalent d une année sur l autre. La part de marché des montres dans le chiffre d affaires total ressort ainsi à 26,6 % en 2014 comme en M. Lapipe souligne que le marché de l horlogerie est marqué par un grand dynamisme dans l innovation, comme en témoigne le développement des montres connectées, mais également par une polarisation et une forte différenciation entre les segments diffusion et luxe, tant en termes de prix moyens que de distribution, le luxe connaissant un mouvement de concentration des acteurs et de forte intégration des groupes. La catégorie des montres à plus de reste prédominante en valeur (29,3 % en 2014 comme en 2013) malgré un 1 er semestre 2014 en recul de 10 % par rapport à la même période de La catégorie des montres de à a connu une évolution similaire mais dans des proportions moindres (- 3 % puis + 3 %) alors que l amplitude a été maximale pour la catégorie des montres de 300 à 999 : - 8 % au 1 er semestre puis + 11 % au 2 ème semestre 2014! La progression de la tranche a été plus modeste mais aussi plus régulière (successivement + 1 % et + 3 % pour les deux semestres 2014). A l inverse, la baisse est constante sur toute l année pour les catégories de produits d un prix inférieur à 99, une baisse à rapprocher, selon la Société 5, des difficultés rencontrées par les grandes surfaces et de la désaffection des consommateurs pour les montres de couleur. 2

3 n février 2015 Ecostat Les bijoux L analyse des ventes de bijoux fait apparaître la même quasi stabilité du marché français que pour les ventes de montres : - 1 % à millions d euros en 2014 contre millions d euros en Conséquence du coup d arrêt à l envolée des ventes de bijoux en or 375, les positions relatives ont peu évolué en 2014 entre ceux-ci et les bijoux en or 750, que ce soit en valeur où l or 750 reste très largement prédominant (à 45,8 % du total) ou en volume où pour la 2 ème année consécutive, la part des bijoux en or 375 (8,8 %) est supérieure à celle du «haut titre» (6,1 %). M. Lapipe rappelle qu il existe entre les bijoux en or 750 et ceux en or 375 un rapport de près de 1 à 4 au niveau du prix moyen et de 1 à 3 pour les ventes en valeur. D après son analyse, l or 375 est ainsi à un tournant. La baisse du cours de l or enregistrée en 2014 a eu un effet déflationniste sur le rayon or 375 chez de nombreux distributeurs et, après deux ou trois années d expérimentation, une partie d entre eux renoncent à ce segment ou en réduisent l importance, faute d avoir réussi à développer une activité satisfaisante en termes de chiffres d affaires et de rentabilité. L or 750 a profité de la hausse des ventes de bijoux à plus de (4 % des bijoux en volume mais 41 % du marché en valeur) et de bijoux tout diamant qui représentent 41,3 % des ventes de bijoux en or tous titres (en hausse de 4 % au 2 nd semestre 2014), loin devant les bijoux tout or à 29,8 % (en baisse de 4 % au 2 ème semestre 2014) et les bijoux avec pierres précieuses (8,9 % du total). Le prix moyen ressort en hausse à 432 au 2 ème semestre 2014 pour cette dernière catégorie, la seule à afficher une progression avec celle des bijoux diamant dont le prix moyen est de 797 au cours de la même période. L or blanc reste la couleur principale pour les deux titres d or, avec une émergence de l or rose pour les bijoux en or 750 qui ne représente cependant qu un petit segment à l heure actuelle. Globalement, les ventes de bijoux en or représentent toujours près des 2/3 du marché bijou en valeur. Si on y ajoute le poids des ventes de bijoux en argent et en plaqué or, la part des bijoux en métaux précieux s inscrit en progression, à 84,7 % du total en valeur du marché français de la bijouterie-joaillerie. En effet, les ventes de bijoux en argent ont enregistré un nouveau record en 2014 à 723 millions d euros (+ 1 %). Si la vogue des bijoux personnalisables, «beads» et «charms» tout particulièrement, soutient le développement de ce marché, M. Lapipe attire l attention sur l évolution de la répartition des ventes entre bijoux tout argent (- 9 %) et bijoux en argent empierrés (+ 10 %) qui représentent désormais 58 % du total du marché français des bijoux en argent. Principales tendances 2014 En hausse En baisse Montres Circuits de distribution Tranches de prix Bijouteries en ville réalisant un chiffre d'affaires de 300 à 750 K Vente à distance Montres de 100 à (en valeur mais aussi en quantité) Ventes globales (-1 % en volume et en valeur) Bijouteries en ville réalisant un chiffre d'affaires inférieur à 300 K ou supérieur à 750 K Bijouteries de centre commercial et grandes surfaces Montres de moins de 100 ainsi que de plus de (en volume et en valeur) Bijoux en or tous titres Circuits de distribution (+ 3 %), en particulier des bijoux en or 750 (+ 9 %) Bijoux en or 375 (en valeur seulement) Bijoux avec diamants, autres pierres précieuses ou pierres fines (en valeur) Bijouteries en ville réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 300 K Ventes en volume (- 5 %) et en valeur (- 2 %) Bijoux en or 750 (en volume et en valeur) Bijoux tout or ou avec perles (en volume et en valeur) Bijouteries en ville réalisant un chiffre d'affaires inférieur à 300 K Bijouteries de centre commercial et vente à distance Grandes surfaces Tranches de prix Bijoux de plus de (en valeur seulement) Bijoux de moins de (en volume et en valeur) Familles de produits Toutes les familles de produits (unités comme valeur) Bijoux en argent Familles de produits Ventes globales (+ 1 % en volume et en valeur) Bijoux en argent empierrés (unités et valeur) Pendentifs, charms et beads (+ 13 % en volume et + 14% en valeur) Bijoux tout argent (en quantité et en valeur) Colliers et boucles d'oreilles (en volume et en valeur) Retrouvez la synthèse des ventes 2014 et les évolutions sur 10 ans sur 3

4 Ventes de montres en ,35 milliard d euros TTC : - 1 % par rapport à 2013 de montres par tranches de prix Montres de moins de 50 7,543 7,472-1 % % % Montres de 50 à 100 3,053 2,918-4 % % stable Montres de 100 à 300 1,967 1, % % % Montres de 300 à ,265 0, % % % Montres de à ,068 0, % % stable Montres de plus de ,064 0,062-2 % % % TOTAL 12,960 12,780-1 % % stable Moins de 50 De 50 à 100 Plus de ,0 % De 300 à ,1 % De 100 à ,6 % 58,5 % 22,8 % Moins de 50 16,0 % 12,1 % 29,3 % 23,5 % 9,8 % 9,3 % De 100 à 300 De 300 à De 50 à 100 Plus de De à de montres par circuits de distribution Bijouteries en ville, CA < 300 K 13,0 % 12,0 % 8,0 % 7,1 % Bijouteries en ville, CA 300/750 K 6,5 % 7,5 % 7,9 % 9,4 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 10,3 % 9,8 % 43,8 % 42,7 % Bijouteries de centre commercial 21,7 % 20,9 % 22,8 % 22,6 % Grandes surfaces 20,1 % 18,8 % 4,1 % 4,0 % Autres 28,4 % 31,0 % 13,4 % 14,2 % y compris les grands magasins. ventes à distance, magasins de prêt-à-porter, bureaux de tabac, marchés Retrouvez le détail des ventes de montres par tranches de prix sur Évolution comparée des ventes d horlogerie-bijouterie (en millions d ) Bijoux en or tous titres Montres Bijoux en argent 4

5 n février 2015 Ecostat Ventes de bijoux précieux et fantaisie en ,44 milliards d euros TTC : - 2 % par rapport à 2013 Total bijoux précieux Or ,3 % 8,8 % Argent Or ,7 % 6,1 % Plaqué or 2,7 % Fantaisie 50,7 % Fantaisie 15,3 % Or ,8 % Argent 21,1 % Total bijoux précieux 84,7 % Or ,8 % Plaqué or 2,0 % de bijoux précieux et fantaisie Total bijoux précieux et fantaisie % % % Bijoux en or 750 6,7 % 6,1 % -11 % 46,4 % 45,8 % -3 % % Bijoux en or 375 8,6 % 8,8 % -1 % 15,5 % 15,8 % +1 % % Total bijoux en or tous titres 15,3 % 14,9 % -5 % 61,9 % 61,6 % -2 % % Bijoux en argent 30,7 % 31,7 % +1 % 20,5 % 21,1 % +1 % stable Bijoux en plaqué or 2,8 % 2,7 % -7 % 2,1 % 2,0 % -4 % % Bijoux fantaisie 51,2 % 50,7 % -3 % 15,5 % 15,3 % -3 % stable les évolutions portent sur les données en valeur absolue données estimées par recalcul Évolution du cours de l or et de l argent COURS DU LINGOT D'OR EN COURS DE L'ONCE D'ARGENT EN $ 20,71 15,05 13,44 14,61 11,41 6,63 7,33 35,11 31,15 23,83 19, Source : Banque de France / Comptoir National de l Or Source : Bourse de New York / 24hgold.com 5

6 Ventes de bijoux en or en ,12 milliards d euros TTC : - 2 % par rapport à 2013 de bijoux en or Or 750 4,108 3, % % % Or 375 5,247 5,214-1 % % % TOTAL 9,355 8,867-5 % % % Or ,2 % Or ,8 % Or ,7 % Or ,3 % Bijoux en or , Bijouteries en ville, CA < 300 K 13,1 % 10,8 % 8,9 % 6,7 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 14,0 % 15,4 % 10,0 % 10,2 % Évolution -11 % -3 % +9 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 18,5 % 20,1 % 38,4 % 40,6 % Bijouteries de centre commercial 12,8 % 11,8 % 8,9 % 7,8 % Grandes surfaces 26,1 % 24,0 % 9,5 % 9,6 % Autres 15,5 % 17,9 % 24,3 % 25,1 % Bijoux en or , Bijouteries en ville, CA < 300 K 8,6 % 7,4 % 10,2 % 8,5 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 7,2 % 9,8 % 8,3 % 10,6 % Évolution -1 % +1 % +1 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 5,8 % 6,6 % 7,7 % 8,4 % Bijouteries de centre commercial 48,1 % 50,1 % 51,3 % 52,8 % Grandes surfaces 21,7 % 17,9 % 13,9 % 11,6 % Autres 8,6 % 8,2 % 8,6 % 8,1 % y compris les grands magasins. artisans, ventes directes, ventes à distance... 6

7 n février 2015 Ecostat de bijoux en or par tranches de prix de bijoux en or tous titres par tranches de prix Bijoux de moins de 300 7,950 7,506-6 % % % Bijoux de 300 à ,084 1,042-4 % % stable Bijoux de plus de ,321 0,319-1 % % % TOTAL 9,355 8,867-5 % % % Moins de 300 Plus de ,6 % 11,8 % 84,6 % Moins de ,2 % 40,5 % 25,3 % De 300 à De 300 à de bijoux en or tous titres par circuits de distribution Bijouteries en ville, CA < 300 K 10,5 % 8,8 % 9,3 % 7,2 % Bijouteries en ville, CA 300/750 K 10,2 % 12,1 % 9,6 % 10,3 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 11,4 % 12,2 % 30,7 % 32,3 % Bijouteries de centre commercial 32,6 % 34,3 % 19,5 % 19,3 % Grandes surfaces 23,6 % 20,4 % 10,6 % 10,1 % Autres 11,7 % 12,2 % 20,3 % 20,8 % y compris les grands magasins. artisans, ventes directes, ventes à distance Plus de de bijoux en or par circuits de distribution de bijoux en or par familles de produits de bijoux en or tous titres par principales familles de produits Bagues 2,012 1,910-5 % % % Colliers 1,647 1,565-5 % % % Bracelets 1,176 1,099-7 % % % Boucles d'oreilles 3,281 3,092-6 % % % Pendentifs 1,080 1,042-3 % % % Autres 1,8 % Pendentifs Bagues 11,8 % 21,5 % Colliers 17,6 % 12,4 % 34,9 % Bagues Bracelets 44,8 % Autres 0,6 % 6,6 % 20,7 % Pendentifs 15,7 % 11,6 % Colliers Boucles d'oreilles Boucles d'oreilles Bracelets Retrouvez le détail des ventes de bijoux en or tous titres par tranches de prix et par familles de produits sur 7

8 de bijoux en or par types de produits de bijoux en or tous titres par types de produits Bijoux tout or 4,163 4,002-4 % % % Bijoux en or tout diamant 1,167 1,139-2 % % % Autres bijoux en or empierrés 4,025 3,726-7 % % % - avec rubis, saphirs et émeraudes 0,443 0,433-2 % % % - avec pierres fines 0,363 0, % % stable - avec pierres synthétiques 2,539 2, % % % - avec perles de culture 0,680 0,629-7 % % % Bijoux tout or 45,1 % Bijoux tout or 29,8 % 42,0 % 12,9 % Bijoux tout diamant 28,9 % 41,3 % Bijoux tout diamant Autres bijoux empierrés Autres bijoux empierrés Bijoux tout or , Bijouteries en ville, CA < 300 K 11,3 % 10,0 % 13,1 % 11,0 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 13,6 % 15,6 % 15,6 % 16,8 % Évolution -4 % -5 % -2 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 11,8 % 12,3 % 19,4 % 19,8 % Bijouteries de centre commercial 32,2 % 32,9 % 23,5 % 23,6 % Grandes surfaces 22,1 % 18,7 % 15,7 % 14,9 % Autres 9,0 % 10,5 % 12,7 % 13,9 % Bijoux en or tout diamant , Bijouteries en ville, CA < 300 K 8,5 % 6,6 % 6,0 % 4,5 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 7,7 % 9,2 % 6,2 % 6,9 % Évolution -2 % +2 % +4 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 18,1 % 19,3 % 41,4 % 43,4 % Bijouteries de centre commercial 28,4 % 29,1 % 13,8 % 13,4 % Grandes surfaces 14,5 % 13,1 % 5,7 % 5,4 % Autres 22,8 % 22,7 % 26,9 % 26,4 % Autres bijoux en or empierrés , Bijouteries en ville, CA < 300 K 10,3 % 8,2 % 9,7 % 7,1 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 7,4 % 9,2 % 7,8 % 8,4 % Évolution -7 % -4 % +4 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 9,1 % 9,8 % 28,3 % 29,5 % Bijouteries de centre commercial 34,3 % 37,4 % 23,0 % 23,4 % Grandes surfaces 28,0 % 24,5 % 11,8 % 11,8 % Autres 10,9 % 10,9 % 19,4 % 19,8 % y compris les grands magasins. artisans, ventes directes, ventes à distance 8

9 Répartition des ventes de bijoux en or empierrés (autres que tout diamant) Rubis, saphirs et émeraudes Pierres fines 10,0 % 11,6 % 16,9 % 61,5 % Rubis, saphirs et émeraudes 30,9 % 21,4 % 13,4 % 34,3 % Pierres fines Perles de culture Perles de culture Pierres synthétiques Pierres synthétiques Bijoux en or avec rubis, saphirs et émeraudes , Bijouteries en ville, CA < 300 K 12,2 % 9,8 % 8,8 % 7,3 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 7,9 % 8,9 % 7,3 % 7,2 % Évolution -2 % +1 % +3 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 13,0 % 13,6 % 38,8 % 39,1 % Bijouteries de centre commercial 28,3 % 30,0 % 15,5 % 15,7 % Grandes surfaces 20,7 % 21,0 % 6,5 % 8,7 % Autres 17,9 % 16,7 % 23,1 % 22,0 % Bijoux en or avec pierres fines , Bijouteries en ville, CA < 300 K 8,2 % 5,8 % 6,9 % 4,4 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 7,6 % 8,9 % 7,9 % 8,6 % Évolution +2 % +2 % stable Bijouteries en ville, CA > 750 K 13,6 % 13,6 % 32,3 % 32,4 % Bijouteries de centre commercial 33,7 % 31,7 % 22,0 % 20,1 % Grandes surfaces 18,8 % 20,8 % 7,7 % 10,9 % Autres 18,1 % 19,2 % 23,2 % 23,6 % Bijoux en or avec pierres synthétiques , Bijouteries en ville, CA < 300 K 10,6 % 8,6 % 12,7 % 9,0 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 7,4 % 9,4 % 9,0 % 10,1 % Évolution -10 % -9 % +1 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 6,6 % 7,4 % 14,6 % 16,1 % Bijouteries de centre commercial 36,0 % 40,9 % 32,3 % 34,9 % Grandes surfaces 32,2 % 27,4 % 20,0 % 17,8 % Autres 7,2 % 6,3 % 11,4 % 12,1 % y compris les grands magasins. artisans, ventes directes, ventes à distance Bijoux en or avec perles de culture , Bijouteries en ville, CA < 300 K 9,0 % 7,1 % 7,6 % 5,3 % , Bijouteries en ville, CA 300/750 K 6,9 % 9,0 % 6,3 % 7,1 % Évolution -7 % -6 % +1 % Bijouteries en ville, CA > 750 K 13,4 % 13,9 % 34,8 % 35,6 % Bijouteries de centre commercial 32,0 % 32,9 % 18,2 % 18,1 % Grandes surfaces 21,7 % 18,5 % 7,8 % 7,4 % Autres 17,0 % 18,6 % 25,3 % 26,5 %

10 n février 2015 Ecostat Ventes de bijoux en argent en ,72 milliard d euros TTC : + 1 % par rapport à 2013 de bijoux en argent Bijoux tout argent 9,327 8,592-8 % % % Bijoux en argent empierrés 9,425 10, % % % TOTAL 18,752 18, % % stable de bijoux en argent par circuits de distribution de bijoux en argent par circuits de distribution y compris les grands magasins. ventes à distance, magasins de prêt-à-porter, marchés Bijouteries en ville 21,4 % 22,4 % 29,7 % 29,7 % Bijouteries de centre commercial 16,8 % 17,4 % 19,1 % 19,3 % Bijouteries fantaisie 10,9 % 11,5 % 13,1 % 14,1 % Grandes surfaces 19,9 % 18,6 % 14,5 % 14,0 % Autres 31,0 % 30,1 % 23,6 % 22,9 % de bijoux en argent par familles de produits de bijoux en argent par principales familles de produits Bagues 3,072 3,029-1 % % % Colliers 4,253 3,977-6 % % % Bracelets 3,672 3, % % % Boucles d'oreilles 3,696 3,666-1 % % % Pendentifs 3,709 4, % % % Bagues 16,0 % Autres 1,8 % 22,1 % Colliers 21,1 % 19,6 % 19,4 % Bracelets Bagues 19,2 % Autres 1,3 % 20,2 % Pendentifs Colliers 22,4 % 22,7 % 14,2 % Bracelets Pendentifs Boucles d'oreilles Boucles d'oreilles Retrouvez le détail des ventes de bijoux en argent par familles de produits sur 10

11 de bijoux en argent par types de produits Bijoux tout argent Bijoux tout argent 45,5 % 42,4 % 54,5 % 57,6 % Bijoux empierrés Bijoux empierrés Bijoux tout argent % en volume % en valeur , Bijouteries en ville 21,1 % 22,1 % 29,8 % 30,2 % , Bijouteries de centre commercial 14,7 % 15,4 % 16,4 % 17,3 % Évolution -8 % -9 % -1 % Bijouteries fantaisie 13,9 % 11,7 % 18,3 % 15,9 % Grandes surfaces 18,7 % 17,8 % 13,2 % 12,8 % Autres 31,6 % 33,0 % 22,3 % 23,8 % Bijoux en argent empierrés , Bijouteries en ville 21,9 % 22,7 % 29,7 % 29,3 % , Bijouteries de centre commercial 18,8 % 19,0 % 21,5 % 20,8 % Évolution +9 % +10 % +1 % Bijouteries fantaisie 7,9 % 11,3 % 8,4 % 12,8 % Grandes surfaces 21,0 % 19,3 % 15,7 % 14,9 % Autres 30,4 % 27,7 % 24,7 % 22,2 % Ventes de bijoux en plaqué or en , Bijouteries en ville 28,2 % 28,3 % 32,6 % 32,0 % , Bijouteries de centre commercial 29,3 % 27,5 % 29,3 % 27,2 % Évolution -7 % -4 % +3 % Bijouteries fantaisie 3,6 % 4,7 % 3,6 % 7,0 % Grandes surfaces 22,1 % 22,2 % 18,2 % 18,3 % Autres 16,8 % 17,3 % 16,3 % 15,5 % y compris les grands magasins. ventes à distance, magasins de prêt-à-porter, marchés 11

200 fleurettes Pds 5 g (NP 368/8) 4 47 Bague or jaune ornée d une topaze bleue Pds 3,48 g (NP

200 fleurettes Pds 5 g (NP 368/8) 4 47 Bague or jaune ornée d une topaze bleue Pds 3,48 g (NP N DESIGNATION PRIX DE VENTE MAGASIN 1 359 Bague godronnée or Pds 1,95 g (NP 142/6) 100 2 207 Bague or blanc ornée d une topaze Pds 1,15 g 90 3 11 Paire de boucles d oreilles or jaune style savoyard à décor

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

C91/1 CHAPITRE 91 HORLOGERIE. Notes

C91/1 CHAPITRE 91 HORLOGERIE. Notes C91/1 CHAPITRE 91 HORLOGERIE Notes 1.Le présent chapitre ne comprends pas : a) les verres d horlogerie et les poids d horloge (régime de la matière constitutive) ; b) les chaînes de montres (n s 71.13

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Le Mardi 30 juin 2015 à 14h00

Le Mardi 30 juin 2015 à 14h00 REPUBLIQUE FRANCAISE D.N.R.E.D. CMA MORLOT & DONIKIAN Courtiers de Marchandises Assermentés près la Cour d'appel de Paris 5 rue du Louvre 75001 PARIS tél. 01 55 25 68 68 / fax. 01 55 25 68 69 www.cma-morlot.com

Plus en détail

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79,

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79, Viséo 79, L O B S E R VAT O I R E D É PA R T E M E N TA L F é v r i e r 2015 L ÉQUIPEMENT EN DE LA PERSONNE DEUX-SÈVRES Chambre de Commerce et d Industrie des Deux-Sèvres Observatoire Economique, Viséo

Plus en détail

Négociants en métaux précieux et pierres précieuses : CE QuE. Vous. DEVEz savoir

Négociants en métaux précieux et pierres précieuses : CE QuE. Vous. DEVEz savoir Négociants en métaux précieux et pierres précieuses : CE QuE Vous DEVEz savoir septembre 2012 CE QuE Vous D Ce dépliant est destiné aux négociants en métaux précieux et pierres précieuses au Canada. Il

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération

Plus en détail

Extrait du catalogue

Extrait du catalogue Extrait du catalogue Tarif Public 26/08/2015 www.revendeurs.rmngp.fr Document non contractuel Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Élysées 254-256, rue de Bercy - 75577 Paris cedex

Plus en détail

Grégory Bressolles L E-MARKETING

Grégory Bressolles L E-MARKETING Grégory Bressolles L E-MARKETING Conseiller éditorial : Christian Pinson Dunod, Paris, 2012 ISBN 978-2-10-057045-4 SOMMAIRE Avant-propos 5 CHAPITRE 1 Qu est-ce que l e-marketing? I COMMENT INTERNET A-T-IL

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997

LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997 LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE Selon les données communiquées par les établissements participant à l enquête-titres de la Banque de France, l encours des capitaux placés

Plus en détail

Évolution du tissu artisanal en Bretagne

Évolution du tissu artisanal en Bretagne du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des

Plus en détail

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l

Plus en détail

Effet «La Marseillaise»

Effet «La Marseillaise» DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais

Plus en détail

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor

Plus en détail

1 3 1 Définition et champ de l étude 153 2 Les étapes de la réalisation d un bijou 154 3 Une industrie essentiellement parisienne 154

1 3 1 Définition et champ de l étude 153 2 Les étapes de la réalisation d un bijou 154 3 Une industrie essentiellement parisienne 154 ENJEUX ET DÉFIS DE L INDUSTRIE Bijouterie - Joaillerie SOMMAIRE RÉSUMÉ 150 MATRICE SWOT 151 introduction 152 1 3 PRÉSENTATION DU SECTEUR 1 Définition et champ de l étude 153 2 Les étapes de la réalisation

Plus en détail

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes

Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux

Plus en détail

Rapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015

Rapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015 Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois

Plus en détail

Les 8 erreurs à éviter pour réussir sa campagne adwords. mercredi 24 septembre 14

Les 8 erreurs à éviter pour réussir sa campagne adwords. mercredi 24 septembre 14 Les 8 erreurs à éviter pour réussir sa campagne adwords 1 Adwords c est simple : on s inscrit, on paie, on obtient du traffic Etes-vous sûr de générer un traffic de qualité? Pensez-vous pouvoir obtenir

Plus en détail

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Un tissu d entreprises en mutation Edition 2012 Septembre 2012 1 SOMMAIRE I. Caractéristiques des Très Petites Entreprises du BTP en

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Evolution des risques sur les crédits à l habitat

Evolution des risques sur les crédits à l habitat Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 214 L élevage Galop : des saillies en baisse à mi-année 214 Trot : hausse marquée de la production à mi-année 214 Selle : nouvelle baisse du nombre de juments

Plus en détail

Janvier 2012. La notion de blanchiment

Janvier 2012. La notion de blanchiment Cellule de Traitement des Informations Financières Avenue de la Toison d Or 55 boîte 1 1060 Bruxelles Tél. : +32 2 533 72 11 Fax : +32 2 533 72 00 E-mail : info@ctif-cfi.be NL1156d La lutte contre le blanchiment

Plus en détail

Filière Transport-Logistique en Languedoc-Roussillon. Période sous revue 2005-2009

Filière Transport-Logistique en Languedoc-Roussillon. Période sous revue 2005-2009 Filière Transport-Logistique en Languedoc-Roussillon Période sous revue 25-29 18 Mars 211 PANORAMA DE LA FILIERE La filière «Transport-Logistique» définie par le Conseil Régional = Entreprises relevant

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE EN BIJOUTERIE JOAILLERIE

FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE EN BIJOUTERIE JOAILLERIE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE EN BIJOUTERIE JOAILLERIE page blanche «Dès sa création au sein des Ecoles de la Rue du Louvre, qui perpétuent depuis plus d un siècle le savoir-faire français de la Bijouterie-Joaillerie,

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES 22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapports et études Les prises de position de la Chambre de commerce et d industrie de Paris Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapport de Monsieur Philippe HOUZÉ avec la collaboration

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Enquête globale transport

Enquête globale transport Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les

Plus en détail

Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009

Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des

Plus en détail

Property Times La Défense Bureaux T1 2012 Un début d année encourageant

Property Times La Défense Bureaux T1 2012 Un début d année encourageant 21 24 212 Un début d année encourageant 11 Avril 212 Sommaire Executive summary 1 Contexte économique 2-3 Demande placée et valeurs locatives 4 Carte et principales transactions 5 Offre 6 Définitions 7

Plus en détail

Taux variables et accession à la propriété

Taux variables et accession à la propriété 22 mai 2008 Taux variables et accession à la propriété 12 engagements des établissements de crédit Ariane Obolensky Directrice générale de la Fédération bancaire française (FBF) François Lemasson Président

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

8 astuces «choisir la bague parfaite»

8 astuces «choisir la bague parfaite» 8 astuces «choisir la bague parfaite» Offerts par : ARGOR-COLMAR Le Marché d Or SARL 4 rue des Serruriers 68000 COLMAR Site : www.argor-colmar.com Courriel : bijouterie@argor-colmar.com Tél : 03 89 23

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1 N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages

Plus en détail

#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research

#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research #Club Pierre Marché des bureaux en Ile-de-France 9 Juillet 2015 DTZ Research Un 2 ème trimestre meilleur que le 1 er.. Demande placée de bureaux en Ile-de-France, en milliers de m² 3 000 2 500 2 000 1

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES SAINSARD EXPERTS

LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES SAINSARD EXPERTS LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES 14 NOVEMBRE 2012 1 ère PARTIE LES LOYERS DES COMMERCES 1 UN CONTEXTE ECONOMIQUE INCERTAIN Situation économique difficile depuis de 2eme semestre 2008. Stagnation de la

Plus en détail

Savoir en permanence se réinventer.

Savoir en permanence se réinventer. DOSSIER DE PRESSE 2015 É D I T O Savoir en permanence se réinventer. C est le métier de nos clients. C est l ADN de Gravotech. Gravotech est leader dans la conception, la fabrication et la distribution

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Ivry, le 27 février 2014 La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Progression du résultat opérationnel courant à 72 m (+13,3%) Résultat net positif

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION

INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

Serious Style www.sillystuff.nl

Serious Style www.sillystuff.nl Serious Style www.sillystuff.nl Made with CRYSTALLIZED - Swarovski Elements HI - HAIR FASHION JWLRY www.sillystuff.nl Une révolution dans le design pour cheveux Jwel U est une nouvelle ligne Glamour de

Plus en détail

Données au 1 er janvier 2015

Données au 1 er janvier 2015 2015 Données au 1 er janvier 2015 Sommaire Chapitres ELEMENTS DE CADRAGE ALSACE - TOUS SECTEURS Etablissements et effectifs en 2015 pp. 3 à 7 pp. 5 à 6 Etablissements par tranche d effectifs salariés en

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Commerzbank AG Certificats Factors

Commerzbank AG Certificats Factors Commerzbank AG Certificats Factors Corporates & Markets Produits présentant un risque de perte en capital. Les instruments dérivés présentés sont soumis à des risques (voir les facteurs de risque sur la

Plus en détail

SCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille

SCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille SCPI GEMMEO COMMERCE L immobilier de commerce français en portefeuille AVERTISSEMENT Facteurs de risques Avant d investir dans une société civile de placement immobilier (ci-après «SCPI»), vous devez tenir

Plus en détail

Electricité - Plomberie

Electricité - Plomberie Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail

SOCIETE BELGES RECHERCHANT DES AGENTS COMMERCIAUX

SOCIETE BELGES RECHERCHANT DES AGENTS COMMERCIAUX SOCIETE BELGES RECHERCHANT DES AGENTS COMMERCIAUX - Code - 001 - Activité - Créatrice de mode & accessoires femmes haut de gamme - Bijoux fantaisies (plumes et pierre semi-précieuses) - Type de clientèle

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Croissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow

Croissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow Ivry, le 30 juillet 2014 Croissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow Stabilisation du chiffre d affaires du Groupe au 2 nd trimestre : -0,3% à magasins comparables,

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013

Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement. Novembre 2013 Club AFIC avec Elles Etude sur la mixité dans le Capital Investissement Novembre 2013 Introduction L AFIC, qui souhaite promouvoir activement le rôle des femmes dans les métiers du capital investissement,

Plus en détail

REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.

REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias. REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014 Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.fr SOMMAIRE LE MARCHE DU PNEUMATIQUE EN FRANCE EN 2013 (Sources : ventes

Plus en détail

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D ASSURANCE Fabricants Grossistes HBJO

QUESTIONNAIRE D ASSURANCE Fabricants Grossistes HBJO QUESTIONNAIRE D ASSURANCE Fabricants Grossistes HBJO Merci de bien vouloir retourner ce document complété et signé par courrier à l adresse indiquée en bas de page, par mail à bijouterie@verspieren.com

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

Enquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011

Enquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011 Enquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011 n 8 juillet 2012 1 Résumé : Selon l Enquête annuelle sur le financement de l habitat, l encours total de prêts à l habitat des 16 établissements

Plus en détail

ACTUALISATION DU PANORAMA DE L OFFRE DE REPARATION EN FRANCE

ACTUALISATION DU PANORAMA DE L OFFRE DE REPARATION EN FRANCE ACTUALISATION DU PANORAMA DE L OFFRE DE REPARATION EN FRANCE Synthèse Septembre 2010 Etude réalisée pour le compte de l ADEME par ERNST & YOUNG (Contrat n 0902C0072) Coordination technique : Claire Boujard

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

1 - Salaires nets tous secteurs confondus

1 - Salaires nets tous secteurs confondus N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.

Plus en détail

Tâche complexe 1ère : Comment placer son épargne?

Tâche complexe 1ère : Comment placer son épargne? Tâche complexe 1ère : Comment placer son épargne? Tâche complexe réalisée par : Marie-Camille Renard et Daniel Parant (Lycée de la Chimie Albert Camus, Mourenx) Thème : Monnaie et financement Durée estimée

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Le diamant : un ve hicule d investissement alternatif et inte ressant

Le diamant : un ve hicule d investissement alternatif et inte ressant Le diamant : un ve hicule d investissement alternatif et inte ressant En temps de crise, les gens sont souvent à la recherche d investissements différents, les marchés étant soumis à des turbulences importantes.

Plus en détail

L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode

L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de

Plus en détail

French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France

French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France French Lease Events Etude sur le comportement des locataires de bureaux en France Immobilier Janvier 2011 Préambule Les échéances triennales et l expiration du bail commercial constituent des fenêtres

Plus en détail

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble

Plus en détail

Note de synthèse 2012

Note de synthèse 2012 ARTISANAT DU BTP - EDITION N 2 NOVEMBRE 2014 Note de synthèse 2012 DANS CE NUMERO 2 ème publication de l Observatoire des formations à la prévention, cette notre présente les principaux chiffres clés de

Plus en détail

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Afin de mieux comprendre les enjeux liés à la conquête, il est souhaitable de connaître l importance des dépenses réalisées en la

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Signature de la convention de sécurisation des bijouteries

DOSSIER DE PRESSE. Signature de la convention de sécurisation des bijouteries Service départemental de communication interministérielle de la Corrèze Tulle, 2 décembre 2014 DOSSIER DE PRESSE Signature de la convention de sécurisation des bijouteries Mardi 2 décembre 2014 à 10 h

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Observatoire de la performance des PME-ETI

Observatoire de la performance des PME-ETI Observatoire de la performance des PME-ETI 46 ème édition Avril 2015 OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris. Charles-Henri d Auvigny, Matthieu Cassan, Emmanuel Kahn & pour Méthodologie Méthodologie

Plus en détail

Demi-produits Apprêts, Chaînes Bijoux terminés Matériel et outillage Traitement et récupération Or d investissement Alliages dentaires

Demi-produits Apprêts, Chaînes Bijoux terminés Matériel et outillage Traitement et récupération Or d investissement Alliages dentaires En 1800, Melle Alemandet Mr Lyon créent un comptoir d affinage de métaux précieux : le Comptoir Lyon -Alemand. Depuis, nous n avons cessé de compléter nos gammes de produits et services. Nous sommes aujourd

Plus en détail

Contribution des industries créatives

Contribution des industries créatives RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes

Plus en détail

Bilan de référencement

Bilan de référencement www.chateau-de-sully.com 355, avenue Georges-Claude Pôle d Activités d Aix-en-Provence CS 70383 13799 Aix-en-Provence Cedex 3 www.eliophot.com 1 TABLE DES MATIERES ETUDE DES MOTS CLES... 2 RAPPORT DE POSITIONNEMENT...

Plus en détail

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous

Plus en détail

Cinq grandes tendances de la consommation digitale : défis et opportunités pour les distributeurs

Cinq grandes tendances de la consommation digitale : défis et opportunités pour les distributeurs Cinq grandes tendances de la consommation digitale : défis et opportunités pour les distributeurs 20 Juin 2012 CONFIDENTIEL ET PROPRIÉTÉ DE McKINSEY & COMPANY Toute utilisation de ce support, ainsi que

Plus en détail

Offre Isf 2013. 2013 fonds d investissement de proximité

Offre Isf 2013. 2013 fonds d investissement de proximité Offre Isf 2013 2013 fonds d investissement de proximité du fip 123ISF 2013 Fiscalité La souscription au FIP 123ISF 2013 offre : Une réduction d ISF immédiate de 50% des versements effectués (déduction

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements

Plus en détail

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans

Plus en détail

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit! Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

Les clés du marché Ile-de-France Bureaux T2 2012 Fort recul des grandes transactions

Les clés du marché Ile-de-France Bureaux T2 2012 Fort recul des grandes transactions Fort recul des grandes transactions 5 juillet 2012 Contents Executive summary 1 Carte de synthèse 2 Demande placée et taux de rotation 3 Offre immédiate et taux de vacance 4 Loyers moyens 5 Définitions

Plus en détail