LIVRE BLANC SUR LES STRUCTURES D ACCOMPAGNEMENT À LA CRÉATION D ENTREPRISES EN FRANCE



Documents pareils
La Caisse des Dépôts acteur du développement économique et de l économie sociale et solidaire

Signature du Protocole de partenariat avec les établissements bancaires de La Réunion lundi 27 mai à 14h30 DOSSIER DE PRESSE

Marketing opérationnel

Mutualisation des compétences

DOSSIER DE PRESSE. Vendredi 24 juillet Le Grand Narbonne présente les 6 premiers mois d activités d IN ESS

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

La création reprise d entreprise artisanale. Comment financer une création reprise d entreprise artisanale?

bilan d étape après 6 mois de mise en œuvre

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Communauté d Agglomération du Grand Villeneuvois 1

JUIN 2015 LES RENDEZ- VOUS DES ENTREPRENEURS. 01/06 Au 05/06. 02/06 8h30-10h30. 02/06 9h -12h. 02/06 10h. 02/06 09h -11h (12h) Atelier Formation Stage

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0

SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE

PEPITE. Janvier 2014

LE ROLE DES ECOLES D INGENIEURS DANS LE DEVELOPPEMENT DES PME PMI. L EXEMPLE DE L UTC

Formation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé)

LES SERVICES A LA PERSONNE EN ARTOIS COMM.

Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire

Réussir sa création d entreprise

AGENCE POUR LA CREATION D ENTREPRISES. APCE Octobre

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

Plan d actions «Gérer la crise C est. anticiper la reprise»

Dernière mise à jour le 11/09/15 1

L INITIATIVE «FRENCH TECH»

pour réussir ensemble

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014

Jean-Pierre Boissin Coordonnateur national Plan Etudiants Pour l Innovation, le Transfert et l Entrepreneuriat (MESR, MRP, CDC)

La Région facilite l accès au crédit bancaire des entreprises de l économie sociale et solidaire

START UP. Challenge DOSSIER PARTENAIRE

Rapport d évaluation du master

Dossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011

Contribuer au financement de l économie Sociale et Solidaire : Renforcer l existant, Approfondir les partenariats, Innover.

LE DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL

LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE?

Les Rencontres de la création et de la reprise d entreprise

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme Paris

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE

Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)

Pégase Envol Contrat de Croissance

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée

SYNTHESE COURS D ENTREPRENEURIAT ESSEC BBA 2013

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE

novembre du 18 au rencontres en Haute-Savoie pour faire avancer votre projet de création-reprise

Plate-forme RSE. Commissariat Général à la stratégie et la prospective

Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations

Augmenter l impact économique de la recherche :

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

L auto-entrepreneuriat! Christophe Everaere Lyon 3!

Couveuse d Activités et d Entreprises. Sécuriser le parcours des créateurs

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs

Rhône Développement Initiative Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité.

UN «GUICHET UNIQUE» POUR TOUS LES COMMERCANTS AU SEIN DU SERVICE DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE & DE L EMPLOI DE LA CALPE

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes rue Carnot POITIERS

entreprendre et réussir en seine-et-marne

La Région débloque plus de 1,3 million d euros spécifiquement dédiés à des actions anti-crise pour la formation des salariés et des entreprises

17DEPARTEMENT DES VOSGES

Communiqué de presse. Un «Plan PME» pour faciliter la vie des entreprises. 27 février 2015

Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE

TESTEZ ET VALI DEZ VOTRE PRO JET

Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding

AGENCE NATIONALE DES SERVICES À LA PERSONNE. Créer son entreprise ou son association de services à la personne

Réussir sa création d entreprise : les conseils de l expert-comptable

Méthodologie de mesure d impact de la co-création

Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ GESTION STRATÉGIQUE DES RESSOURCES HUMAINES À FINALITÉ PROFESSIONNELLE

CREDA². CRéation d'entreprise et Développement d'activités ²

Demi-journée : 9h/12h30 ou 14h/17h HT par personne (groupe de 10 personnes minimum)

COMMUNIQUE DE PRESSE LES PROFESSIONNELS S ORGANISENT POUR DOPER LA FILIÈRE DES SYSTÈMES D INFORMATION DE SANTÉ! Paris, le 19 juin 2012

Master of Advanced Studies HES-SO (MAS) en QUALITY & STRATEGY MANAGEMENT.

Entreprendre Autrement

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD

Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques!

EMLYON Business School Préparer des entrepreneurs pour le monde

Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture

Le Conseil Général accompagne le déploiement de la société de l information en Gironde

Programmes Opérationnels Européens CADRE D INTERVENTION (FONDS FEDER)

Rapport d activité 2014

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation


«L entraîneur médiocre parle, le bon explique, le super démontre et le meilleur inspire» John Kessel

Les fonds d investissement

Maîtriser vos risques et choisir votre partenaire assureur. Décembre 2010

Master Management PME - PMI

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015

DOSSIER DE PRESSE 25 mai 2011 Contact presse : Cécile Mériguet cecile.meriguet@savoie-technolac.com Illustrations et photos sur demande

Donnez un nouveau souffle à vos stratégies : gagnez des clients grâce au web à l aide d une stratégie efficace!

FINAN CEZ VOTRE PRO JET

DÉVE LOPPEZ VOTRE JEUNE ENTRE PRISE

Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février H00

Bourse de l Emploi Rapport d activité 2013

Gestion Administration Management Droit

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À

L Atelier 2 Talents. Pour répondre à vos objectifs. Fidéliser vos clients. Maintenir vos marges. Gagner en notoriété

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

donner du pouvoir d agir aux salariés

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»

Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1. En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER +

Transcription:

Université Montpellier University of Montpellier LIVRE BLANC SUR LES STRUCTURES D ACCOMPAGNEMENT À LA CRÉATION D ENTREPRISES EN FRANCE Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises PANORAMA DES STRUCTURES D ACCOMPAGNEMENT EN TERMES DE MANAGEMENT ET DE PERFORMANCE master cible Montpellier cible juridique master vocation business table ron prévision juridique Croissance Durable Réseau projet table ron internationnal business internationnal Recherche vocation recherchedurablemarketing incubateur Innovation finance juridique conseil financevalorisation PME cible Stratégie Incubateur Dirigeant création conseil business innovation Responsabilité PME table ron finance IAM MONTPELLIER prévision Mars 2014 master Laboratoire Droit Privé conseil Formation Privé Droit barcamp conférence lacus business internationnal PME métier vocation prévision

Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises INTRODUCTION Enjeu l accompagnement à la création d entreprises Considérée comme un enjeu majeur croissance et d emploi en France, l initiative entrepreneuriale et l accompagnement celle-ci font fait l objet d une attention croissante s pouvoirs publics. Objet d analyse la Cour s Comptes en Décembre 2012 et retenue comme thématique phare au sein s Assises entrepreneuriales au début l année 2013 («Offrir à l entrepreneur un accompagnement global et sur mesure»), les structures accompagnant les porteurs projet sont aujourd hui considérées comme s leviers d action importants pour développer les entreprises. La France détient, puis la mise en place du régime d auto-entrepreneur en janvier 2009, la première place s pays européens en termes nombre création d entreprises 2. En 2013, 538 185 nouvelles entreprises ont été créées en France, la moitié (51,1%) correspondant à la création d une auto-entreprise (INSEE, janvier 2014). Si les entreprises françaises sont nombreuses à se créer, elles doivent faire face cependant à d importants défis, notamment la faiblesse ses effectifs salariés et le taux élevé s cessations d activité à cinq ans. Afin non seulement d améliorer le taux pérennité ces nouvelles entreprises et les soutenir à leur démarrage mais également répondre aux attentes s pouvoirs publics en termes création d entreprises à potentiel croissance et création d emploi, il est essentiel aujourd hui mettre en place un dispositif performant s porteurs projet. 2 En 2007, avant la mise en place du régime d auto-entrepreneur, la France se situait en cinquième position en termes nombre création d entreprises vis-à-vis du reste l Union européenne (Source Eurostat). 11 2

Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises Encadré 1 : Définition l accompagnement entrepreneurial L accompagnement entrepreneurial est un processus organisé par une tierce partie, Encadré s inscrivant 1 : Définition dans la durée et l accompagnement permettant à un (ou s) entrepreneurial porteur(s) projet ou un (ou Encadré 1 : Définition l accompagnement entrepreneurial L accompagnement s) entrepreneur(s) entrepreneurial bénéficier d une est un dynamique processus d apprentissage organisé par (formation, une tierce partie, conseil ), L accompagnement s inscrivant d un dans accès entrepreneurial la à s durée ressources et est permettant un (financières, processus à un organisé informationnelles ), (ou s) par une porteur(s) tierce partie, d une projet ou un (ou s) entrepreneur(s) bénéficier d une dynamique d apprentissage (formation, conseil ), d un accès à s ressources (financières, informa- mise s inscrivant en réseau, dans la durée services et permettant (administratifs, à un (ou hébergement ) s) porteur(s) et d une projet ou ai un à (ou la décision s) entrepreneur(s) (coaching, mentorat bénéficier ). d une dynamique d apprentissage (formation, tionnelles ), d une mise en réseau, services (administratifs, hébergement ) conseil ), d un accès à s ressources (financières, informationnelles ), d une et d une ai à la décision (coaching, mentorat ). Si l impact mise en s réseau, structures services (administratifs, semble hébergement ) positif sur et le taux d une ai pérennité à la s entreprises décision accompagnées (coaching, mentorat (rapport ). d évaluation 2012 la cour s comptes), seules 28% s entreprises créées en 2010 sont accompagnées par une structure spécialisée (31% Si également l impact en s 2006 structures et 9% en 2002 selon les enquêtes semble SINEpositif 3 ). Selon sur les taux résultats pérennité l enquête s entreprises SINE 2010, accompagnées ux créateurs (rapport sur trois d évaluation n'ont suivi 2012 aucune la cour formation s comptes), (même résultat seules 28% que s l enquête entreprises SINE 2006). créées 21 en % 2010 s créateurs sont accompagnées ont suivi une par formation une structure parce qu'elle spécialisée était imposée (31% également ou requise en et 2006 seuls et 129% % en 2002 ont suivi selon une les à enquêtes leur man. SINE 3 ). En Selon 2010, les plus résultats la moitié l enquête s entrepreneurs SINE 2010, ux n'ont bénéficié créateurs d'aucun sur trois dispositif n'ont suivi d'ai aucune financière formation ou d exonération (même résultat proposé que par l Etat. l enquête Par SINE contre, 2006). 41 21 % % d entre s créateurs eux ont ont bénéficié suivi une formation l'ai aux parce Chômeurs qu'elle était Créateurs imposée ou Repreneurs ou requise et d'entreprise seuls 12 %(ACCRE), en ont suivi 9 % une ont à pu leur accér man. au financement En 2010, plus du dispositif la moitié NACRE s (Nouvel entrepreneurs Accompagnement n'ont bénéficié pour d'aucun la Création dispositif et d'ai la Reprise financière d'entreprise) ou d exonération et 8 % d'exonérations proposé par l Etat. cotisations Par contre, sociales 41 ou % d'impôts. d entre eux ont bénéficié l'ai aux Chômeurs Créateurs ou Repreneurs d'entreprise (ACCRE), 9 % ont pu accér au financement du dispositif NACRE Ce (Nouvel relatif Accompagnement faible recours aux pour services la Création et la Reprise s d'entreprise) entrepreneurs et 8 % contraste d'exonérations avec la richesse cotisations du dispositif sociales ou français d'impôts. la création d entreprises et la diversité ses structures, s formes soutien à la création d entreprises et s sources financement. Ce relatif faible En recours effet, afin aux services répondre à la variété s s profils entrepreneurs s porteurs contraste projet, avec les la pratiques richesse du et les dispositif outils français s adaptent et se diversifient. la création Il n existe d entreprises donc pas et un la mais diversité s accompagnements ses structures, s à formes la création soutien d entreprises. à la création Une d entreprises véritable et «s industrie sources l accompagnement financement. En effet,» est afin ainsi apparue répondre au à fur la et variété à mesure s profils s politiques s porteurs d ai à la projet, création les d entreprises pratiques et les et outils transfert technologie s adaptent (Messeghem et se et diversifient. al., 2013). Il n existe donc pas un mais s accompagnements à la création d entreprises. Une véritable «industrie Cette l accompagnement multiplicité s» est acteurs ainsi apparue a cependant au fur rendu et à peu mesure lisible s le politiques panel services d ai à offerts. la création Le morcellement d entreprises et s transfert offres technologie (Messeghem et l absence et al., 2013). d une vision stratégique Cette multiplicité s acteurs a cependant rendu peu lisible le panel services offerts. Le 3 SINE : Système d Information sur les Nouvelles Entreprises. Les enquêtes SINE consistent à morcellement consulter s entrepreneurs s offres un an, trois ans et cinq ans et après l absence la date d une création vision leur stratégique entreprise. 3 12 3 SINE : Système d Information sur les Nouvelles Entreprises. Les enquêtes SINE consistent à

l accompagnement» est ainsi apparue au fur et à mesure s politiques d ai à la création Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises d entreprises et transfert technologie (Messeghem et al., 2013). Cette multiplicité s acteurs a cependant rendu peu lisible le panel services offerts. Le morcellement s offres et l absence d une vision stratégique l ensemble du dispositif rennt difficile le suivi sur mesure dont les créateurs ont besoin et impliquent s surcoûts gestion importants pour les nombreux acteurs impliqués dans 3 SINE : Système d Information sur les Nouvelles Entreprises. Les enquêtes SINE consistent à l accompagnement consulter s entrepreneurs s porteurs un an, trois projet. ans cinq ans après la date création leur entreprise. l ensemble du dispositif rennt difficile le suivi sur mesure dont les créateurs ont besoin et Pour impliquent répondre s aux surcoûts attentes gestion différenciées importants du 12 public pour les entrepreneurial nombreux acteurs ainsi impliqués qu à une forte dans man l accompagnement professionnalisation s porteurs projet. l accompagnement à la création d entreprises, l ensemble s réseaux doit partager un référentiel commun compétences afin d articuler leur offre et Pour d adapter répondre leurs aux propositions attentes différenciées suivi. La du création public d indicateurs entrepreneurial ainsi pilotage qu à transverses une forte apparait man ici indispensable professionnalisation afin d harmoniser l accompagnement les bonnes pratiques à la création en termes d entreprises, management l ensemble et s gestion réseaux s doit ressources partager un humaines, référentiel répondre commun à une démarche compétences qualité afin et d articuler soutenir leur manière offre efficiente et d adapter la création leurs propositions d entreprises sur suivi. l ensemble La création du territoire d indicateurs français. pilotage transverses apparait ici indispensable afin d harmoniser les bonnes pratiques en termes management et Objectifs l étu et principaux résultats gestion s ressources humaines, répondre à une démarche qualité et soutenir manière efficiente la création d entreprises sur l ensemble du territoire français. Cette étu, développée au sein du programme recherche «Management et évaluation s Objectifs l étu et principaux résultats structures à l entrepreneuriat» du Labex Entreprendre (laboratoire d excellence multidisciplinaire pluridisciplinaire en en Economie, Droit, Economie en Droit et en Gestion consacré à à l étu l entrepreneuriat) Cette étu, développée a pour au objectif sein du programme mieux comprendre recherche le paysage «Management complexe et s évaluation structures s soutien structures à la création d entreprises à l entrepreneuriat France. Ce rapport» du vise Labex à présenter Entreprendre les résultats (laboratoire ce travail d excellence engagé multidisciplinaire puis 2012. Il est en structuré Economie, suivant en quatre Droit et objectifs en Gestion principaux consacré : à l étu l entrepreneuriat) a pour objectif mieux comprendre le paysage complexe s structures soutien à la création d entreprises en France. Ce rapport vise à présenter les résultats ce travail engagé puis 2012. Il est structuré suivant quatre objectifs principaux : Objectif 1 - Ce rapport propose un état s lieux s différents types structures qui existent en France et présente un bilan général leur Objectif 1 - Ce rapport propose un état s lieux s différents types structures fonctionnement. qui existent en France et présente un bilan général leur Objectif 1 - Ce rapport propose un état s lieux s différents types structures fonctionnement. qui existent en France et présente un bilan général leur Ce premier objectif sera traité dans une première partie qui présente d une part le concept fonctionnement. et décrit le processus d incubation et d autre part offre un panorama s principaux réseaux entrepreneurial. Ce premier objectif sera traité dans une première partie qui présente d une part le concept et décrit le processus d incubation et d autre part offre un panorama s Cette principaux première réseaux partie s articule autour entrepreneurial. trois éléments : Description du processus l accompagnement entrepreneurial Cette première partie s articule autour trois éléments : 4

principaux réseaux entrepreneurial. Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises Cette première partie s articule autour trois éléments : Description du processus l accompagnement entrepreneurial Le processus résulte essentiellement trois composantes : le type services offerts, la politique sélection s projets et la possibilité d accès à différents 13 réseaux professionnels et/ou recherche. Histoire l accompagnement à la création d entreprises en France Depuis 30 ans, les acteurs impliqués dans l accompagnement s porteurs projet en France se sont multipliés. Trois phases caractérisent l activité : soutien s manurs d emploi et promotion l auto-emploi (à partir s années 1980) ; développement s réseaux financiers (à partir s années 1990) ; sécurisation juridique s porteurs projet et participation du secteur privé (à partir s années 2000). Multiplicité s acteurs et s pratiques L étu estime à 1 1458 le nombre structures françaises (hors réseaux financiers) et évalue à plus 225 000 le nombre projets accompagnés en 2011. Parmi la multiplicité d acteurs, structures voire d associations professionnelles, l activité et les spécificités huit types d institutions sont présentées : - les Chambres Commerce et d Industrie (CCI) ; - les Chambres s Métiers et d Artisanat (CMA) ; - les Boutiques Gestion d Entreprise (BGE) ; - les couveuses d entreprises ; - les Coopératives d Activité et d Emploi (CAE) ; - les pépinières d entreprises ; - les technopoles et CEEI Centre Européen d Entreprises Innovantes ; - les incubateurs académiques. En raison leur rôle service public et point d entrée la création d une activité, les CCI et CMA accompagnent à elles seules plus s ux tiers s projets soutenus en 2011. Le réseau BGE joue également un rôle prépondérant dans le suivi s nouveaux entrepreneurs (un quart l activité en 2011). 5 Le cinq autres structures accompagnent un nombre beaucoup plus restreint projets mais proposent s services spécifiques en s adaptant plus particulièrement à leur public. Les couveuses ont pour spécificité proposer un hébergement juridique afin LabEx tester Entreprendre le projet d activité. Les CAE pour leur part proposent aux entrepreneurs venir salariés la

réseau BGE joue également un rôle prépondérant dans le suivi s nouveaux entrepreneurs Synthèse (un quart du Livre l activité blanc s structures en 2011). à la création d entreprises Le cinq autres structures accompagnent un nombre beaucoup plus restreint projets mais proposent s services spécifiques en s adaptant plus particulièrement à leur public. Les couveuses ont pour spécificité proposer un hébergement juridique afin tester le projet d activité. Les CAE pour leur part proposent aux entrepreneurs venir salariés la coopérative. Les pépinières ont pour particularité proposer un service d hébergement s jeunes entreprises. Les technopoles et CEEI ainsi que les incubateurs académiques s adressent 14 à un public d entrepreneurs innovants, impliquant un accompagnement spécifique. Respectivement, ces rnières structures encouragent d une part les synergies entre industrie et recherche et d autre part la valorisation la recherche publique. coopérative. Les pépinières ont pour particularité proposer un service d hébergement s jeunes entreprises. Les technopoles et CEEI ainsi que les incubateurs académiques s adressent à Objectif un public 2 - d entrepreneurs Le rapport vise innovants, à dégager s impliquant profils-types un accompagnement à partir d une enquête spécifique. Respectivement, nationale réalisée ces rnières sur 135 organismes structures encouragent d une part entre les juin synergies 2012 entre et avril industrie et recherche 2013 par le et Labex d autre Entreprendre. part la valorisation la recherche publique. Objectif 2 - Le rapport vise à dégager s profils-types à partir d une enquête nationale réalisée sur 135 organismes entre juin 2012 La et avril uxième 2013 partie le du Labex rapport Entreprendre. aura donc pour objectif présenter l échantillon et la méthodologie Objectif 2 utilisée - Le rapport pour mener vise à l enquête. dégager Les s trois profils-types profils-types à partir retenus d une seront enquête présentés. nationale réalisée sur 135 organismes entre juin 2012 et avril 2013 Les par caractéristiques le Labex Entreprendre. l échantillon Les acteurs l accompagnement enquêtés ont majoritairement un statut d établissement La public uxième économique partie ou du d association, rapport aura sont donc financés pour par objectif s crédits présenter publics l échantillon et/ou européens et et la n ont, méthodologie pour la utilisée quasi-totalité pour mener pas l enquête. but lucratif. Les trois L ensemble profils-types s régions retenus sont seront présentes présentés. dans l échantillon. La majorité s structures enquêtées ont été créées dans les années 2000. La taille s Les structures caractéristiques enquêtées est l échantillon très hétérogène, allant d un seul chargé d affaires à 34 conseillers. Les acteurs l accompagnement enquêtés ont majoritairement un statut d établissement public économique ou d association, sont financés par s crédits publics et/ou européens et n ont, pour La mise la quasi-totalité en évince pas trois but profils-types lucratif. L ensemble s régions sont présentes dans Les l échantillon. structures La majorité développement s structures économique enquêtées ont que été nous créées qualifierons dans les années structures 2000. La taille généralistes s structures visent l accompagnement enquêtées est très d un hétérogène, nombre très allant important d un seul d entreprises chargé d affaires (en moyenne à 34 264 conseillers. entreprises créées par structure) type TPE ou PME commerciales, industrielles, artisanales ou service taille moste (2 emplois par entreprise créée en moyenne). Ce type regroupe La mise ux en évince familles trois structures profils-types opposées en taille : les pépinières d un côté (13 entreprises Les structures créées) et les développement chambres consulaires économique l autre que (500 nous entreprises qualifierons créées en structures moyenne). Les généralistes structures visent technologiques l accompagnement visent l accompagnement d un nombre très important quelques d entreprises entrepreneurs (en moyenne désirant créer 264 entreprises s entreprises créées innovantes par structure) ayant vocation type à TPE se développer ou PME rapiment commerciales, et à industrielles, employer nombreux artisanales salariés ou service (plus 4 taille emplois moste à la sortie (2 emplois l incubateur). par entreprise Piliers créée industriels en moyenne). main, Ce ces type entreprises regroupe ux sont familles peu nombreuses structures (14 opposées entreprises taille en moyenne) : les pépinières et nécessitent d un côté d un (13 accompagnement entreprises créées) technique et les chambres expert. consulaires l autre (500 entreprises créées en moyenne). 6

Les structures La mise en évince développement trois profils-types économique que nous qualifierons structures Synthèse Les structures du Livre blanc développement s structures économique que nous qualifierons à la création d entreprises généralistes visent l accompagnement d un nombre très important d entreprises (en structures moyenne 264 généralistes entreprises visent créées l accompagnement par structure) d un type nombre TPE très ou important PME commerciales, d entreprises (en industrielles, moyenne 264 artisanales entreprises ou créées service par taille structure) moste type (2 emplois TPE ou par PME entreprise commerciales, créée en moyenne). industrielles, Ce artisanales type regroupe ux service familles taille structures moste opposées (2 emplois en par taille entreprise : les pépinières créée en moyenne). d un côté (13 Ce type entreprises regroupe créées) ux et familles les chambres structures consulaires opposées l autre en (500 taille entreprises : les pépinières créées d un en moyenne). côté (13 entreprises Les structures créées) technologiques et les chambres visent consulaires l accompagnement l autre (500 quelques entreprises entrepreneurs créées moyenne). désirant Les créer structures s entreprises technologiques innovantes visent ayant l accompagnement vocation à se développer quelques rapiment entrepreneurs et à employer désirant nombreux créer s entreprises salariés (plus innovantes 4 emplois ayant à vocation la sortie à se l incubateur). développer rapiment Piliers industriels et à employer main, ces nombreux entreprises salariés sont (plus peu 4 nombreuses emplois à la (14 sortie entreprises l incubateur). en moyenne) Piliers industriels et nécessitent main, d un accompagnement ces entreprises sont technique peu nombreuses expert. (14 entreprises en moyenne) et nécessitent d un accompagnement technique expert. Les structures l Economie sociale, qui renvoient aux incubateurs sociaux, visent 15 l accompagnement d un nombre important d entreprises (88 entreprises en moyenne) 15 petite Les structures taille. L entrepreneur, l Economie majoritairement sociale, qui en renvoient recherche aux d emploi, incubateurs est accompagné sociaux, visent pour créer l accompagnement son propre emploi d un (1,5 nombre emploi important créé par d entreprises entreprise). Ces (88 structures entreprises peuvent en moyenne) également avoir petite pour taille. caractéristique L entrepreneur, promouvoir majoritairement un nouveau en recherche modèle d emploi, développement est accompagné reposant pour sur l entrepreneuriat créer son propre coopératif emploi (1,5 et combinant emploi créé efficacité par entreprise). économique Ces et structures prise en peuvent compte également l intérêt général. avoir pour caractéristique promouvoir un nouveau modèle développement reposant sur l entrepreneuriat coopératif et combinant efficacité économique et prise en compte l intérêt général. Objectif 3 - Le rapport effectue un bilan concernant les dynamiques existant au Objectif sein 3 ses - Le organisations. rapport effectue Plus un précisément, bilan concernant il vise à les mieux dynamiques comprendre existant au l environnement Objectif sein 3 ses - Le organisations. rapport s structures effectue et Plus un bilan caractériser précisément, concernant les formes les il vise dynamiques d organisations à mieux existant comprendre et les au l environnement pratiques sein ses management organisations. s structures adoptées Plus et pour précisément, faire caractériser face à il ces vise les évolutions. formes à mieux d organisations comprendre et les l environnement pratiques management s structures adoptées et caractériser pour faire les face formes à ces d organisations évolutions. et les pratiques management adoptées pour faire face à ces évolutions. 7 La troisième partie du rapport aura ainsi pour objectif présenter l environnement auquel doit s adapter perpétuellement les structures, les stratégies qu elles mettent La troisième en œuvre partie pour du rapport répondre aura à ainsi la man pour objectif s porteurs présenter projet l environnement et les principales auquel pratiques doit s adapter GRH perpétuellement et mos d organisation les structures qu elles, utilisent. les stratégies qu elles mettent en œuvre pour répondre à la man s porteurs projet et les principales pratiques Le contexte GRH et instable mos d organisation la création qu elles d entreprises utilisent. et la nécessité s adapter L ensemble s structures attestent aujourd hui la forte nécessité d adapter leurs offres services Le et contexte leurs méthos instable la création d entreprises pour suivre et la les nécessité évolutions s adapter rapis leur L ensemble environnement. s En structures réponse attestent à une man aujourd hui services la forte nécessité plus en plus d adapter professionnalisés leurs offres et services individualisés et leurs s méthos porteurs projet, à la raréfaction pour s suivre ressources les évolutions publiques rapis et à l instabilité leur environnement. l environnement En réponse juridique, à une institutionnel man et fiscal, services les structures plus en diversifient plus professionnalisés leur offre et services. individualisés s porteurs projet, à la raréfaction s ressources publiques et à l instabilité l environnement Les stratégies juridique, s structures institutionnel : entre et diversification fiscal, les structures et sélection diversifient leur offre

Le contexte instable la création d entreprises et la nécessité s adapter Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises L ensemble Le contexte s structures instable attestent la création aujourd hui d entreprises la forte et nécessité la nécessité d adapter s adapter leurs offres services L ensemble et leurs s structures méthos attestent aujourd hui pour la forte suivre nécessité les évolutions d adapter rapis leurs offres leur services environnement. et leurs En méthos réponse à une man services pour suivre plus les en évolutions plus professionnalisés rapis leur et individualisés environnement. s En porteurs réponse à projet, une man à la raréfaction services s ressources plus en publiques plus professionnalisés et à l instabilité et individualisés l environnement s porteurs juridique, projet, institutionnel à la raréfaction et fiscal, s les ressources structures publiques diversifient et à leur l instabilité offre services. l environnement juridique, institutionnel et fiscal, les structures diversifient leur offre services. Les stratégies s structures : entre diversification et sélection Afin Les s adapter stratégies à cet s environnement, structures : entre une diversification structure cible et plus sélection ou moins radicalement un marché Afin spécifique s adapter à cet l accompagnement environnement, une et diversifie structure plus cible ou plus moins ou fortement moins radicalement ses risques un financement. marché spécifique Elle pourra l accompagnement ainsi cibler une gran et diversifie variété plus projets ou moins ou au fortement contraire ses sélectionner risques rigoureusement financement. Elle les pourra projets ainsi qu elle cibler accompagnera une gran variété suivant leur projets caractère ou au innovant. contraire sélectionner rigoureusement les projets qu elle accompagnera suivant leur caractère innovant. Des pratiques GRH différenciées Des pratiques GRH différenciées Les structures rémunèrent façon similaire leurs salariés (rémunération basée sur les compétences), forment toutes leurs salariés en 16 fonction s besoins spécifiques s postes, et utilisent dans l ensemble assez peu d outils 16 recrutement formalisés. Par contre, certaines évaluent davantage leurs salariés (management délégatif s structures technologiques) et d autres incluent davantage leurs salariés dans la prise décision (management concertation s structures l Economie sociale). Une organisation du travail similaire Les niveaux standardisation s procédures et spécialisation s salariés sont élevés pour l ensemble s structures. Les dirigeants laissent dans l ensemble possible une certaine marge d autonomie en termes prise décision s chargés d affaires. Objectif 4 - Le rapport propose s indicateurs performance et évalue la possibilité d harmoniser un outil pilotage. Il cherche également à évaluer l impact s pratiques GRH et s mos organisationnels sur le niveau performance s structures. Pour répondre à ce quatrième objectif, la rnière partie du rapport présente d une part l outil managérial utilisé pour mesurer la performance, le tableau bord prospectif et détermine d autre part les principaux facteurs management qui expliquent la performance s structures. Le tableau bord prospectif : un outil pilotage adapté à l accompagnement LabEx L étu Entreprendre a pu valir le tableau bord prospectif Kaplan et Norton (1996) comme un bon 8

Synthèse Les niveaux du Livre standardisation blanc s structures s procédures et spécialisation à la s création salariés d entreprises sont élevés pour l ensemble s structures. Les dirigeants laissent dans l ensemble possible une certaine marge d autonomie en termes prise décision s chargés d affaires. Objectif 4 - Le rapport propose s indicateurs performance et évalue la Objectif 4 - Le rapport propose s indicateurs performance et évalue la possibilité d harmoniser un outil pilotage. Il cherche également à évaluer possibilité d harmoniser un outil pilotage. Il cherche également à évaluer l impact s pratiques GRH et s mos organisationnels sur le niveau l impact performance s pratiques s structures. GRH et s mos organisationnels sur le niveau performance s structures. Pour répondre à ce quatrième objectif, la rnière partie du rapport présente d une part l outil managérial utilisé pour mesurer la performance, le tableau bord prospectif et détermine d autre part les principaux facteurs management qui expliquent la performance s structures. Le tableau bord prospectif : un outil pilotage adapté à l accompagnement L étu a pu valir le tableau bord prospectif Kaplan et Norton (1996) comme un bon outil pilotage permettant aux structures valoriser ses ressources et développer s compétences propices aux logiques d apprentissage et d innovation. Nous avons pu vérifier qu une forte capacité d apprentissage s salariés associée à une bonne maîtrise du processus d incubation améliorent la satisfaction s porteurs projet et entraînent l obtention meilleurs résultats économiques pour la structure. La GRH et les facteurs performance La GRH, en améliorant la capacité d apprentissage s salariés, la qualité s services offerts et donc la satisfaction s porteurs projet, est un levier performance essentiel. Ainsi, investir dans les programmes formation s chargés d affaires mais également mettre en place s systèmes d évaluation s salariés, ou encore les faire participer au processus décision rennt plus efficaces l organisation 17 du travail s salariés, ce qui a s répercussions directes sur la satisfaction leurs clients et indirectes sur leurs résultats économiques. La formalisation s règles et la spécialisation s chargés d affaires impactent positivement la performance organisationnelle d une structure. Ces quatre objectifs sont ainsi traités dans quatre parties distinctes. Si ces parties peuvent être lues façon séparée, la rnière a pour objectif mettre en relation l ensemble s éléments présentés plus avant. Nous terminons le rapport en développant six recommandations issues nos résultats. 9

Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises s PRECONISATIONS Les structures doivent relever nombreux défis. Elles sont confrontées à une évolution s attentes leurs différentes parties prenantes (porteurs projet, financeurs ). Elles doivent s adapter en repensant leur stratégie et leur mo d organisation. Six préconisations ont été formulées concernant le pilotage s structures et plus largement le pilotage l écosystème l accompagnement entrepreneurial en France : 1 1 : : Définir Définir une une stratégie stratégie globale globale l accompagnement l accompagnement à la à création la création d entreprises d entreprises Le premier enjeu soulevé par l étu souligne la nécessité d insérer la création d entreprises dans une véritable politique publique entrepreneuriale. Le rôle s différents acteurs impliqués dans l accompagnement entrepreneurial doit être encadré afin les amener à travailler ensemble vers un objectif stratégique commun. 2 : Créer 2 : s Créer synergies s synergies entre acteurs entre acteurs l écosystème entrepreneurial l écosystème entrepreneurial Le uxième recommandation concerne le besoin mise en valeur d une stratégie coopétition, ayant pour objectif la collaboration d acteurs en compétition sur le marché l accompagnement, pour faire émerger s synergies commerciales, financières et organisationnelles profitables à l ensemble s parties prenantes. 3 : Favoriser une approche globale la performance s 3 : Favoriser une approche globale la structures performance s structures Les résultats l étu incitent à l adoption d une approche globale la performance. Les dirigeants structure sont encouragés à améliorer la gestion leur personnel et la structuration leur activité pour répondre à la la man, satisfaire davantage leur sa clientèle et améliorer leurs impacts économiques et sociaux sur leurs territoires. d action. 7 10

Synthèse du Livre blanc s structures à la création d entreprises 4 : Investir dans le capital humain s chargés d affaires 4 : Investir dans le capital humain s chargés d affaires 4 : Investir dans le capital humain s chargés d affaires La quatrième recommandation souligne la place centrale s chargés d affaires en termes 4 : Investir dans le capital humain s chargés d affaires performance s structures. Nos résultats incitent les dirigeants s structures à ne pas sousestimer La quatrième l impact recommandation leur investissement souligne la dans place centrale formation s chargés leurs chargés d affaires d affaires en termes et la rémunération performance La quatrième s recommandation structures. ces rniers Nos souligne pour résultats améliorer la incitent place centrale l expertise les dirigeants s chargés professionnelle s structures d affaires et à en ne la termes pas capacité sousestimer performance l impact s structures. l organisation. leur investissement Nos résultats dans incitent la formation les dirigeants leurs s structures chargés d affaires à ne pas sous- et la d apprentissage rémunération estimer l impact ces leur rniers investissement pour améliorer dans la formation l expertise professionnelle leurs chargés d affaires et la capacité et la d apprentissage rémunération ces l organisation. rniers pour améliorer l expertise professionnelle et la capacité 5 : Valoriser davantage le travail s chargés d affaires d apprentissage l organisation. 5 : Valoriser davantage le travail s La chargés participation d affaires s chargés 5 : Valoriser d affaires davantage au processus le travail décision s en tant chargés qu acteur d affaires essentiel du 5 : Valoriser davantage le travail s chargés d affaires processus et la contrepartie nécessaire consistant à les évaluer sont ux options La participation soulignées s chargés dans notre d affaires étu au pour processus améliorer décision le processus en tant qu acteur d incubation essentiel et du en conséquence processus La participation l impact s chargés économique d affaires et la et contrepartie social au processus s structures nécessaire décision consistant en tant à qu acteur les évaluer en France. essentiel sont ux du options processus soulignées dans notre et la étu contrepartie pour améliorer nécessaire le consistant processus à les d incubation évaluer sont et ux en conséquence options soulignées l impact dans économique notre étu et social pour s améliorer structures le processus d incubation en France. et en 6 : Dynamiser et renouveler les méthos conséquence l impact économique et social s structures en France. 6 : Dynamiser et renouveler les méthos Les services 6 : Dynamiser doivent 6 : Dynamiser et répondre aujourd hui et renouveler renouveler les à une man les méthos méthos porteurs projet plus en plus exigeante et à un environnement institutionnel et fiscal instable. Des types Les services parcours, associés à s doivent méthos répondre aujourd hui à une spécifiques man adapté s porteurs au profil s projet Les créateurs, services plus vraient en plus exigeante être construits doivent et à un et insérés répondre environnement dans aujourd hui un dispositif institutionnel à une man pilotage et fiscal concerté. s instable. porteurs Des types projet parcours, plus en plus associés exigeante à s et méthos à un environnement institutionnel spécifiques et fiscal adapté instable. au profil Des s types créateurs, parcours, vraient associés être construits à s méthos et insérés dans un dispositif spécifiques pilotage adapté concerté. au profil s créateurs, vraient être construits et insérés dans un dispositif pilotage concerté. Le rapport est téléchargeable sur le site du Labex Entreprendre Le rapport est téléchargeable sur le site du Labex www.labex-entreprendre.fr Le rapport est téléchargeable Entreprendre sur le site du Labex Le rapport est téléchargeable www.labex-entreprendre.fr Entreprendre sur le site du Labex Entreprendre www.labex-entreprendre.fr 11 8