Opération dans les entiers naturels. Division euclidienne



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Transcription:

TABLE DES MATIÈRES 1 Opération dans les entiers naturels. Division euclidienne Paul Milan Professeurs des écoles le 29 septembre 2009 Table des matières 1 Différent calculs 1 1.1 Calcul mental................................ 1 1.2 Calcul réfléchi................................ 2 1.3 Calcul automatisé.............................. 2 1.4 Calcul posé................................. 2 1.5 Calcul approché............................... 2 2 Les quatres opérations 2 2.1 L addition.................................. 2 2.2 La soustraction............................... 3 2.3 La multiplication.............................. 3 2.4 La division................................. 4 2.4.1 Règles de divisibilité........................ 4 2.4.2 Division euclidienne........................ 4 3 Techniques écrites 5 3.1 L addition.................................. 5 3.2 La soustraction............................... 5 3.3 La multiplication.............................. 5 3.4 La division................................. 7 1 Différent calculs 1.1 Calcul mental Calcul réalisé mentalement ou éventuellement en écrivant certains résultats intermédiaires pour soulager la mémoire. Il fait appel à des calculs automatisés (tables d addition et de multiplication), au calcul réfléchi (stratégie de calcul), au calcul approché et enfin quand on doit faire plusieurs opérations choisir l ordre dans lequel on les effectue. Il se différentie du calcul écrit et posé car il utilise une situation particulière et ne s effectue pas toujours de la même manière.

1.2 CALCUL RÉFLÉCHI 2 Par exemple lorsqu on multiplie par 5 on multiplie d abord par 10 puis on divise par 2. Exemples 1. On veut effectuer : 127 + 16 Proposition 1 : 127 + 10 + 6 = 143 Proposition 2 : 127 + 20 4 = 143 2. On veut effectuer : 25 12 Proposition 1 : 25 10 + 25 2 = 250 + 50 = 300 Proposition 2 : (25 4) 3 = 100 3 = 300 Proposition 3 : 100 4 12 = 12 100 = 300 4 3. On veut effectuer : : 25 19 Proposition 1 : 25 20 25 = 500 25 = 475 19 10 Proposition 2 : 19 (20 + 5) = 19 20 + 2 380 + 100 5 = 475 1.2 Calcul réfléchi = 380 + 190 2 = 380 + 95 = Calcul où plusieurs façons de procéder sont possibles. Il s agit de choisir une stratégie pour calculer le plus rapidement. 1.3 Calcul automatisé Calcul qui fait intervenir des opérations mémorisées : tables d addition et de multiplication. 1.4 Calcul posé Technique de calcul qui permet d effectuer une addition, une soustraction, une multiplication ou une division d une façon préétablie. Il a été perfectionné au cours de l histoire pour obtenir notre technique actuelle. 1.5 Calcul approché Calcul qui permet d obtenir un ordre de grandeur sans effectuer un calcul exact. Permet de tester la cohérence d un résultat. 2 Les quatres opérations 2.1 L addition L opération logique associée à l addition est l union de deux ensembles : A B. A B 5 + 3 = 8

2.2 LA SOUSTRACTION 3 Propriété 1 Quelques propriétés 1. L addition est commutative : a + b = b + a 2. L addition est associative : (a + b) + c = a + (b + c) = a + b + c Cette propriété permet d effectuer des sous totaux dans l ordre que l on souhaite 3. L addition possède un élément neutre : 0 : a + 0 = a 4. L addition est toujours possible dans N. L addition avec retenue est abordée en CE1. Nécessite les tables d addition. 2.2 La soustraction L opération logique qui correspond à la soustraction est le complémentaire d un ensemble A (B). A (B) 8 5 = 3 On commence à aborder la soustraction par le complément : si l on veut effectuer 100 82 on cherche le complément à 82 pour arriver à 100. On peut aussi poser une addition à trou : 82+? = 100. La technique avec retenue est abordée en fin de CE1 ou CE2. Cette opération n est pas toujours possible dans N. 2.3 La multiplication La multiplication est une addition réitérée : 62 3 = 62 + 62 + 62 La multiplication est relié au calcul de l aire d un rectangle L l. Propriété 2 Quelques propriétés 1. La multiplication est commutative : a b = b a 2. La multiplication est associative : (a b) c = a (b c) = a b c 25 19 4 = (25 4) 19 = 100 19 = 1900 3. La multiplication est distributive par rapport à l addition : a(b + c) = ab + ac

2.4 LA DIVISION 4 La multiplication à deux chiffres est abordée en CE2. Les tables de multiplication sont commencées en CE1 et se termine en CE2. 2.4 La division La division correspond à des soustractions réitérées : 25 4 revient à déterminer combien de fois on peut enlever 4 dans 25. Pour un élève de CP la division est un partage. Distribution de cartes. La technique de la division est abordée en CM1 et CM2. 2.4.1 Règles de divisibilité Règle 1 Par une terminaison : 2, 5, 10, 25, 4 un entier est divisible par 2 s il se termine par 0, 2, 4, 6, 8 un entier est divisible par 5 s il se termine par 0 ou 5 un entier est divisible par 10 s il se termine par 0 un entier est divisible par 25 s il se termine par 00, 25, 50, 75 un entier est divisible par 4 si le nombre formé par les 2 derniers chiffres est divisible par 4. Exemples : 1 932 est divisible par 4 car 32 est divisible par 4, par contre 1 714 ne l est pas car 14 n est pas divisible par 4 Règle 2 Par somme ou différence de ses chiffres : 3, 9, 11 Un entier est divisible par 3 (respectivement par 9) si la somme de ses chiffres est divisible par 3 (respectivement par 9). Exemples : 8 232 est divisible par 3 car 8 + 2 + 3 + 5 = 15 et 15 est divisible par 3. 4 365 est divisible par 9 car 4 + 3 + 6 + 5 = 18 et 18 est divisible par 9. Un entier de trois chiffres est divisible par 11 si la somme des chiffres extrêmes est égale à celui du milieu. Exemple : 451 est divisible par 11 car 4 + 1 = 5. On a alors 451 = 11 41 D une façon générale un entier est divisible par 11 si la différence entre la somme des chiffres de rangs pairs et la somme des chiffres de rangs impairs est divisible par 11. Exemples : 6 457 est divisible par 11 car (7 + 4) (5 + 6) = 11 11 = 0 divisible par 11. 4 939 est divisible par 11 car (9 + 9) (3 + 4) = 18 7 = 11 divisible par 11. 2.4.2 Division euclidienne Lorsque l on divise un nombre entier a par un nombre entier b, on a alors l égalité que l on appelle division euclidienne a = b q + r avec 0 r < b où le nombre a est dividende, b le diviseur, q le quotient et r le reste.

5 3 Techniques écrites 3.1 L addition L addition posée consiste à connaître les tables d addition et de gérer les retenues éventuelles 1 1 2 4 5 + Exemple : 1 7 8 4 2 3 3.2 La soustraction On distingue trois façon principales d effectuer une soustraction 1. Le complément : 85+? = 753 On part de 85 pour arriver à 753. On peut écrire par exemple : 85 +15 100 +653 753 On obtient donc : 753 85 = 15 + 653 = 668 2. Méthode de l emprunt (souvent utilisée pour les soustraction d horaires) 6 14 7 5 13 8 5 6 6 8 Comme on ne peut soustraire 5 à 3, on emprunte une unité au chiffre des dizaines : on barre le 5 et on écrit 4. On obtient alors 13 unités, on peut alors soustraire 5 : 13 5 = 8. Pour les dizaines, on est confronté au même problème : on ne peut soustraire 8 à 4. On emprunte une unité au chiffre des centaines : on barre le 7 et on écrit 6. On obtient alors 14 dizaines, on peut alors soustraire 8 : 14 8 = 6. 3. Méthode classique avec retenue 7 5 3 8 5 6 6 8 1 1 1 1 Ici, lorsque l on ne peut soustraire, on ajoute par exemple pour le premier chiffre une dizaine à chaque chiffre. Cette méthode est plus efficace car elle évite de rayer ce qui donne une lecture plus facile. 3.3 La multiplication On peut distinguer trois méthodes : La multiplication à la russe, la multiplication «per gelosia» et la technique actuelle. 1. Multiplication à la russe Soit deux exemples : 35 47 et 19 34

3.3 LA MULTIPLICATION 6 2 0 35 47 2 1 17 94 2 2 8 188 2 3 4 376 2 4 2 752 2 5 1 1504 1645 2 0 19 34 2 1 9 68 2 2 4 136 2 3 2 272 2 4 1 544 646 Cette technique est basée sur la décomposition du multiplicande en puissance de 2 : 35 = 32 + 2 + 1 = 2 5 + 2 1 + 2 0 et 19 = 16 + 2 + 1 = 2 4 + 2 1 + 2 0 Les nombres de la 1 re colonne sont divisé par 2 et on inscrit en dessous le quotient entier. Par exemple pour 35, on a 35 = 2 17 + 1. On inscrit alors en dessous 17 et ainsi de suite. Les nombres de la 2 e colonne sont eux multipliés par 2. Par exemple pour 47, on a 47 2 = 94. On inscrit alors en dessous 94 et ainsi de suite. On raye les lignes dont le nombre de la 1 re colonne est pair. On additionne ensuite les nombres de la 2 e colonne non rayés. On obtient alors le résultat de la multiplication. 2. La multiplication «per gelosia» L expression italienne «per gelosia» signifie «par jalousie». Une «jalousie» est un treillis de bois ou de fer au travers duquel on voit sans être vu. C est parce que la présentation fait penser à la forme d une jalousie que cette technique porte ce nom si «poétique». On s aperçoit aisement que cette technique a des limites, compte tenu des calculs mentaux nécessaires pour diviser et multiplier et des nombreuses étapes nécéssaires si les nombres sont trop importants. Soit deux exemples : 35 47 et 934 314 Dans chaque carré, on inscrit le résultat de la multiplication : par exemple dans la multiplication 35 47 pour la case du haut à gauche on inscrit dans le carré 5 4 = 20 et ainsi de suite pour toutes les cases.ensuite on additionne les nombres suivant les diagonales. Cette méthode est bien plus efficace que la multiplication à la russe, cependant du fait du nombres de cases nécessaires, elle a été abandonné au profit de la tecnique classique. 3. La technique classique. Reprenons les deux exemples précédents : 35 47 et 934 314. Il est à noté que, dans cette technique, les retenues sont mémorisées

3.4 LA DIVISION 7 4 7 3 5 2 3 5 1 4 1 1 6 4 5 On peut alors faire la preuve par 9 9 3 4 3 1 4 3 7 3 6 9 3 4 2 8 0 2 2 9 3 2 7 6 Le principe de cette preuve est basée sur le reste des nombres par la division par 9. Son utilisation en est très rapide d où sa renommée. Pour la première multiplication, on prend le multiplicande 47, on a : 4 + 7 = 11 et 1 + 1 = 2. On inscrit 2 en haut de la croix. On prend ensuite le multiplicateur 35 on a : 3 + 5 = 8 on inscrit alors 8 en bas de la croix. On multiplie alors ces deux nombres : 2 8 = 16 et 1 + 6 = 7. On inscrit alors 7 à gauche de la croix. On additionne ensuite les chiffres du résultat, si le résultat donne 7, la multiplication a de bonne chance d être juste, sans nécessairement en être certain. Le résultat est 1645 on a donc : 1 + 6 + 4 + 5 = 16 et 1 + 6 = 7. La multiplication est donc vérifiée. 3.4 La division 1. La division est d abord abordé en grande section de maternelle ou au CP comme un partage. Par exemple : 15 4 On inscrit 15 croix que l on regroupe par paquets de 4. On obtient alors 3 paquets et il reste 3 croix. On peut aussi faire ce partage en retranchant 4 jusqu à ce que cela se soit plus possible. On peut alors retranché 3 fois 4 et il reste 3. 2. La méthode classique Soit trois exemples : 72 3, 2782 26 et 7805 27 7 2 1 2 0 3 2 4 2 7 8 2 1 8 2 0 2 6 1 0 7 7 8 0 5 2 4 0 2 4 5 2 2 7 2 8 9 On peut mettre les résultats intermédiaires pour les deux dernières divisions.

3.4 LA DIVISION 8 2 7 8 2 2 6 1 8 2 1 8 2 0 2 6 1 0 7 7 8 0 5 5 4 2 4 0 2 1 6 2 4 5 2 4 3 2 2 7 2 8 9 La division reste une opération délicate du fait des tests que l on doit effectuer au cours de la division. Par exemple pour la dernière division, on veut savoir en 240 combien de fois 27. Il est nécessaire de faire les tests 27 8 = 216 et 27 9 = 243. en 240 il y va donc 8 fois. Ces tests mettent en évidence l importance du calcul mental pour effectuer un division.