PHYSIQUE 2. I. Remarques générales. WARIN André

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PHYSIQUE WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 008 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. La «ocométrie» de la partie A, représente les méthodes de mesures à eectuer en séances de travaux pratiques. Une étude d une «lunette astronomique achromatique» complète cette première partie. La partie B sur l électromagnétisme comprend en «magnétostatique» la détermination du champ magnétique B et du potentiel vecteur A créés par des courants, suivie de «phénomènes d induction» étudiés dans l approximation des régimes quasi-stationnaires. I.1. Erreurs courantes La grande majorité des candidats ne maîtrise pas les calculs d incertitudes et les applications numériques, quand elles existent, conduisent à une ormulation du résultat pas toujours cohérente avec le nombre de chires signiicatis attendu. I.. Remarques sur le texte, sa compréhension Le texte ne semble pas avoir posé de diiculté de compréhension. Les parties du sujet sont indépendantes et mêlent des questions proches du cours et des questions sur les exercices d applications. I.3. Réactions prévues ou non Les parties A et B du sujet ont été abordées de manière équitable. Quelques candidats ont cependant sacriié une partie du sujet pour ne traiter que l optique, ou l électromagnétisme. Lorsque les questions demandent un eort de rédaction, le vocabulaire employé par les candidats n est pas toujours choisi avec discernement. I.4. Bilan, moyenne, écart type Moyenne : 8,78 Ecart-type : 3,19 Page 1/6

II. Rapport détaillé Partie A. OPTIQUE A.1. FOCOMETRIE A.1.1 Lentille convergente A.1.1.1. Méthode d autocollimation Moins de la moitié des candidats ont été tentés par l exercice qui consistait à décrire cette méthode. Pour la plupart, la démarche incompréhensible ne permettrait pas à un novice en la matière une mise en œuvre de la méthode d autocollimation : le miroir n était pas toujours mentionné et une phraséologie telle que «on bouge le miroir pour voir l objet» ou «on suit l image pour qu elle soit claire» ne pourrait que perturber l expérimentateur. A.1.1. Formule de conjugaison de Descartes. La valeur numérique de la distance ocale donnait à 0,1 cm près. L expression littérale de cent. La valeur numérique de extrèmes. 1 19,97cm qui devenait 1 = 0,0cm 1 n est apparue qu à la réquence d une copie sur 1 ut trouvée, très rarement, en calculant les valeurs A.1.1.3. Méthode de Bessel. La méthode de Bessel est connue des candidats. Les expressions de p 1 et p proviennent d une résolution d une équation du second degré qui ne donne pas toujours le bon résultat en oubliant même la condition p1 < p. Quant à l expression littérale correcte de 1 elle avoisine une sur trois cents copies. A.1.1.4. Méthode de Silbermann. Le passage Bessel à Silbermann ne s est pas toujours borné à d = 0. Néanmoins si la valeur exacte de 1 = 0,1cm ut trouvée, le calcul de 1 = 0,15cm devait conduire au résultat : 1 = 0,1cm. A.1.1.5. Comparaison des méthodes. La méthode d autocollimation comme étant la plus rapide ne ut pas citée par tous les candidats qui avaient ait la description. On a même lu dans des copies la présence d un «collimateur» dans cette méthode et on peut se demander si la méthode est la plus rapide grâce à l «auto»? La méthode la plus précise ne s est pas déduite de l incertitude relative la plus aible car le manque de résultat, pour la détermination de la distance ocale par ces quatre méthodes, ne permettait pas une telle comparaison. Page /6

A.1.. Lentille divergente A.1..1. Théorèmes des vergences La coniguration de la méthode de Silbermann, n a pas toujours été reconnue pour déterminer la vergence du système de lentilles accolées. Si les vergences urent calculées, les distances ocales des lentilles divergentes urent souvent oubliées. Quelques candidats oublient que pour ces lentilles, la distance ocale est négative. A.1... Viseur à rontale ixe Méthode peu abordée et les résultats proposés de sont souvent aux. Les expressions de OAet OA ne sont pas correctement exprimées en onction des distances x et D. A.1..3. Méthode de Badal Dans cette méthode, la relation de Newton devait aire intervenir les oyers F0 et F 0 et non les centres des lentilles. Les distances ocales étant données à 0,1 cm près, le calcul de 4,04 cm devait s exprimer : = 4,0cm. A.. LUNETTE ASTRONOMIQUE ACHROMATIQUE A..1. Constringence, pouvoir dispersi et distance ocale d une lentille d un verre crown. Les indices calculés n ont pas toujours été exprimés avec un nombre de chires signiicatis correct. La valeur numérique exacte de D n est apparue que trop rarement sur les copies. A... Aberrations chromatiques principales des lentilles minces. A quelques exceptions près, le positionnement des oyers et le tracé des rayons émergents étaient corrects. Bien sûr la lentille mince divergente a aussi joué le rôle de miroir concave puisque certains candidats ont ait réléchir les rayons lumineux incidents. L expression analytique de l aberration chromatique longitudinale A L ut trouvée par la plupart des candidats qui ont abordé cette question. La valeur numérique n était pas toujours correcte car elle dépendait de dont la valeur n était pas trouvée à la question précédente. D Quant à l aberration chromatique transversale A T, elle n a pas suscité beaucoup d intérêt, car l expression analytique et la valeur numérique urent trouvées à la réquence d une copie sur deux ou trois cents. A..3. Objecti achromatique. B1 Dans l expression de la vergence V 1 le acteur (n 1-1) est devenu A1 + λ après substitution de l indice. L oubli du (-1) porta préjudice pour la suite de l exercice. La vergence V a posé un problème car un des rayons de la lentille plan-concave ne tendait pas vers l inini. L expression de la vergence V, de l ensemble V 1 +V, ne ut donc obtenue que rarement. Page 3/6

L expression de V et les valeurs numériques exactes de A et B urent presque λ inexistantes puisqu elles étaient déduites des questions précédentes. A..4. Oculaire achromatique. Comme pour l étude de l objecti achromatique, le point de départ concernait l expression des vergences V1 et V des deux lentilles biconvexes. Ces expressions étaient respectivement proportionnelles à et R1 R. V Les expressions de V, et les valeurs numériques de k 1 et k urent trouvées par les λ candidats dont les vergences V1 et V étaient correctes. La valeur de d pour obtenir un oculaire de vergence V ut rarement obtenue et le positionnement des six oyers objet et image pour le doublet oculaire est apparu à la réquence d une copie sur cinq cents. A..5. Lunette achromatique. La question sur le grossissement angulaire de la lunette n eut guère de succès. Très peu de candidats ont obtenu la bonne valeur. Quant au tracé du rayon incident à travers et à la sortie de l oculaire avec la bonne position des oyers, certains correcteurs ne l ont vu sur aucune de leurs copies. Partie B. ELECTROMAGNETISME. B.1. DEFINITIONS B.1.1. Loi de Biot-Savart Cette question de cours ut abordée par tous les candidats avec plus ou moins de réussite : manque de lèches sur les vecteurs, disparition quelqueois de µ 0 ou/et de 4π. La question sur les domaines de validité pour appliquer la loi de Biot-Savart n a reçu, bien souvent qu une réponse partielle (soit la magnétostatique, soit l ARQS), voire aucune réponse. B1.. Théorème d Ampère L énoncé du théorème d Ampère ut «matraqué» : on trouve «le lux du champ magnétique le long de (Γ)», «la circulation de B à travers la surace limitée par (Γ)» et d autres énoncés où la phrase ne comprenait pas de sujet ou de verbe. Sur certaines copies, la orme intégrale du théorème ne aisait pas apparaître le produit scalaire entre deux vecteurs et l application du théorème aux courants de la igure ut négligée par plus d un candidat. Page 4/6

B.. CHAMP MAGNETIQUE B ET POTENTIEL VECTEUR A 1 B..1. Relations : A = B r, div A Très peu de candidats ont établi la relation rot A = B, en eet le rot A comprenait quatre termes : Bdiv r = 3B ; rdiv B= 0 ; ( B grad ) r = B et ( r grad) B = 0 Le coeicient de ½ conduisait donc au résultat. Nous avons trouvé sur de nombreuses copies que B div r = B avec nullité des trois autres termes. Quand un résultat est connu, on doit donc le retrouver!! La valeur de div A = 0 est souvent donnée sans explication. B... Courant rectiligne La maîtrise, par les candidats, des relations d invariances et de symétries entre les courants et les champs leur ont permis d établir la structure du champ magnétique B et du potentiel vecteur A dans le cas d un courant rectiligne cylindrique illimité. D autres candidats connaissant les relations de structures des champs (connues comme étant toujours traitées en cours), les justiient par une phrase du style : «compte tenu des symétries, on a : B = B( ρ) eρ et A= A( ρ) e z» Lorsqu elles ont été abordées, les questions déinissant les champs B int et B ext puis A int et A ext ont été correctement traitées avec plus de diiculté pour le potentiel vecteur. B..3. Courant circulaire La composante de B suivant e z, qui ne dépend que de z, ut justiiée par les notions d invariance et très peu de candidats ont trouvé par des considérations de symétries que A(M 0 ) = 0. Le résultat de B(M 0 ) obtenu, car bien connu des candidats, n a pas toujours été déduit de l application de la loi de Biot-Savart à l élément I dl(p) de la spire. On se perd dans les calculs mais la magie ait apparaître le résultat!! La vériication que A(M 0 ) = 0 n est apparue que très rarement. µ 0nI Plus de la moitié des candidats ont établi que B(M) = (cos α1 cos α) qui était bien sûr incorrect et en appliquant cette relation au classique «solénoïde inini» ont trouvé la bonne réponse de B sur l axe : B(M) = µ 0 nie z. Les questions B..3.3. et B..3.3.3. sont traitées correctement par les candidats qui les ont abordées. Nous avons trouvé sur quelques copies une inversion de A et de B dans la ormule de Stokes. Les graphes de B(ρ) et de A(ρ) urent tracés correctement par les candidats qui avaient obtenu les bonnes expressions de B et A. B.3. INDUCTION ELECTROMAGNETISME B.3.1. Loi de Lenz, loi de Faraday La détermination de la.e.m induite dans la spire en appliquant la loi de Faraday ut traitée correctement par ceux qui ont abordé la question. L application de la circulation du champ local induit E i, a eu moins de succès car elle demandait de connaître le potentiel vecteur A. Aucun candidat n a précisé le sens de parcours du courant dans la spire dans la question qui portait sur le courant induit. Le seul commentaire, vu plusieurs ois, précisait que I(t) et i(t) étaient opposés. Les deux dernières questions n ont pratiquement pas été traitées. Page 5/6

B.3.. La roue de Barlow Grand classique, cet exercice ut abordé par certains candidats qui avaient pris l option «électromagnétisme» dans leur choix de rédaction. Au il de la rédaction, on trouve quelques erreurs : manque du signe moins pour le moment Γ, absence du coeicient ½ dans l expression de e. Si les équations, mécanique du mouvement de la roue et électrique du circuit, urent trouvées, leurs résolutions n ont pas toujours donné les réponses souhaitées. Les questions de B.3..4 n ont pratiquement jamais été abordées. Conclusion Ce sujet devait permettre une mise en application des connaissances élémentaires, tout en proposant des exercices sélectis que seuls quelques bons candidats ont abordés. Une connaissance raisonnable du cours devait permettre aux candidats de réussir honorablement cette épreuve. Cependant la longueur du sujet n a pas permis à certains candidats de aire une complète rédaction. Malgré tout, nous avons eu le plaisir de lire quelques bonnes copies. Page 6/6