LE LOGEMENT DANS LA MRC DES MASKOUTAINS GRAND RASSEMBLEMENT 2

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Transcription:

LE LOGEMENT DANS LA MRC DES MASKOUTAINS GRAND RASSEMBLEMENT 2

OBJECTIFS DE NOTRE PRÉSENTATION PARTAGER CERTAINES RÉALITÉS EN JEUX EN MATIÈRE DE LOGEMENT DANS LA MRC DES MASKOUTAINS OFFRIR UN BREF RENDU DE LA PREMIÈRE PHASE DES ACTIONS DU COMITÉ LOGEMEN MÊLE DÉGAGER DES PISTES DE RÉFLEXION ET OUVRIR SUR UN DIALOGUE ENTRE TOUS LES ACTEURS CONCERNÉS

LES FAITS! La MRC des Maskoutains demeure un territoire protégé à 96 % pour l agriculture (capitale agroalimentaire du Québec) Croissance démographique lente et vieillissement de la population (60 ans et + = 27% pop totale) 6 municipalités sur 17présentaient une décroissance de leur population ou une stagnation. Les municipalités limitrophes de CMM ont profité cependant d un plus grand développement et de l arrivée de nouveaux ménages Le revenu moyen des ménages de la MRC s élevait à 59 659 $ en 2011.

LES FAITS! Les ménages ayant un revenu inférieur à 39 999 $ formaient une proportion de 43,5 % (17% 20 000$ et moins) Rareté des terrains disponibles pour la construction résidentielle (moins de mise en chantier) Les terrains vacants représentent 7,7% du territoire de la MRC (6,9% pour Saint-Hyacinthe) Près de 30% du parc immobilier date d avant 1960 La maison unifamiliale prévôt sur le territoire (51%) tandis que l immeuble à appartement représente 46% des appartement à Saint-Hyacinthe.

% DE LA POPULATION RÉSIDENT DANS LE PÉRIMÈTRE URBAIN

LA MRC EN CHIFFRES! Sources: Compilation spéciale de la FECHAM, FROME, ET LE ROHQ, 2014.

LA MRC EN CHIFFRES SUITE

LOYER MOYEN À SAINT-HYACINTHE 2015

COMITÉ LOGEMEN MÊLE MISSION: DÉFENSE INDIVIDUELLE ET COLLECTIVE DES DROITS DES LOCATAIRES DANS LA MRC DES MASKOUTAINS

NOTRE DÉMARCHE DE SONDAGE! Rappel Démarche afin d établir un portrait terrain des réalités régionales en matière de logement. Moyen: Sondage de porte-à-porte Résultat: 344 répondants

PROFIL DE NOS RÉPONDANTS 46 % payaient plus de 30 % de leurs revenus en loyer Environ 48 % (166 sur 344) des répondants ont rapporté avoir nécessité durant la dernière année des travaux afin de préserver l intégrité de l immeuble 66 % de nos répondants sont dans leur logement depuis moins de 5 ans (avec une bonne proportion de personnes seules)

LE POURCENTAGE DU REVENU ALLOUÉ AU LOGEMENT Municipalités Plus que 30 % 30 % à 50% Plus de 50 % Les Maskoutains 32 % (4 610) 20 % (2 870) 12 % (1 740) Saint- Hyacinthe 34 % (4 095) 21 % (2 525) 13 % (1 570) Municipalités 22 % (515) 15 % (345) 7 % (170)

PROFIL DE NOS LOGEMENT Les réparations et les logements vétustes Demandes de faire les réparations : 0 fois 6 % 1 fois 43 % Plus d une fois 51 % Presque 1 locataire sur 5 (18 %) paye ou aura fait les réparations lui-même

NOTRE AIDE EN DÉFENSE DES DROITS À ce jour nous pouvons affirmer haut et fort que: Il existe une très grande méconnaissance en matière de droit tant du point des vue des locataires ET des propriétaires. Une grande frange de la population très vulnérable à eu recours au service d aide et d accompagnement de l organisme.

QUELQUES HISTOIRES DE CAS Un locataire est aux prises avec une infestation de vermine dans son logement. Bien qu il ait signalé la situation à moult reprises à sa propriétaire, cette dernière lui rétorque que: «C est normal puisque l immeuble est près de la rivière»

QUELQUES HISTOIRES DE CAS Une locataire devait des montants d argent à son propriétaire. Ce dernier, insatisfait du délai de remboursement s est fait justice lui-même en coupant l électricité du logement en plein mois de novembre et ce sur plusieurs semaines. La cause a été menée à la Régie du Logement. La Régisseure lui a appris que c était complètement illégal

QUELQUES HISTOIRES DE CAS Un chambreur est passé avec un avis d éviction de sa propriétaire. Cette dernière l obligeait à quitter le logement dans les 2 semaines précédentes en plein mois de janvier. Le CLM a informé la propriétaire qu elle devait demander une ordonnance de cour à la Régie du logement pour une éviction car cette dernière est propriétaire d un immeuble ayant 3 chambres et plus à louer.

NOS CONSTATS ET GRANDES TENDANCES EN MATIÈRE DE LOGEMENT La région maskoutaine se positionne bien dans l offre de logements sociaux et communautaires en Montérégie-Est. Situation généralisée quant au hausse de coût de loyer et l impact sur le taux d effort (l austérité risque de faire encore plus mal)! La propriété unifamiliale de type «bungalow» demeure le type de construction le plus populaire dans la région.

NOS CONSTATS ET GRANDES TENDANCES EN MATIÈRES DE LOGEMENT Les femmes, les assistés sociaux, les immigrants et les personnes vulnérables (ainés et santé mentale) sont toujours les plus touchés et bafoués dans leurs droits au logement. Certains quartiers nécessiteront plus de soins et rénovations (travaux majeurs). L accessibilité à la propriété semble de plus en plus difficile.

NOS CONSTATS ET GRANDES TENDANCES EN MATIÈRES DE LOGEMENT Les propriétaires occupants sont généralement plus présents pour l entretien des lieux et à l opposé, les gestionnaires le sont moins Les locataires les plus démunis semblent s accommoder dans une plus grande proportion à un environnement ayant, à divers degrés, besoin de réparations (surtout en milieu rural) Plus de réticence des répondants en milieux ruraux ou villages.(plusieurs sondages distribués en milieux ruraux mais très peu de réponses proportionnellement parlant)

NOS CONSTATS ET GRANDES TENDANCES EN MATIÈRES DE LOGEMENT Les locataires les plus démunis semblent avoir plus de difficultés à faire les demandes au propriétaire ou subissent les préjugés des propriétaires Un besoin criant de logement à prix abordables en lien avec le revenu Les locataires les plus démunis vivent généralement dans des loyers moins confortables

PERSPECTIVES PROCHAINES CLM Pour la prochaine année, le CLM va s attarder principalement aux réalités vécues des ainés et des personnes vivant avec une problématique en SM. Mandat : Informer les groupes cible de leurs droits À terme, on souhaite documenter la démarche un peu plus Grands enjeux en lien avec la vie associative Quelques démarches de financement (pérennité!).

LE PLAN D URBANISME OU LE NOUVEAU PACTE SOCIAL Les projets résidentiels, les expériences de mixité sociale ou de rénovation du parc des grands ensembles publics introduisent de nouvelles coexistences dans le quotidien (dynamique). Les manières dont elles traitent les individus et les ménages ont un impact sur leurs trajectoires et sur les attitudes que ceux-ci peuvent associer à leur lieu de résidence. C est ça vivre ensemble L identification à un milieu et un cadre de vie!

POLITIQUES DU LOGEMENT ET POLITIQUES URBAINES Les politiques du logement ne sont plus seulement conçues aujourd hui pour répondre à un besoin de base de la population, celui de pouvoir disposer d un abri. Il ne s agit plus uniquement de compenser un manque, mais de «soigner» un ensemble de maux beaucoup plus larges, touchant la ville de manière globale. Il paraît donc pertinent d associer politiques du logement et politiques urbaines

INNOVATION ET PARTICIPATION CITOYENNE Une certaine littérature nous révèle comment des individus (plus que des organisations) en partenariat avec toutes sortes d instances (promoteurs, des représentants de l administration municipale et des membres de différents groupes et organismes communautaires) on pu dépasser des embuches administratives et techniques (projet de logement abordable). On y dégage des processus de concertation

LE LOGEMENT EN TANT QU «ÉPREUVE» Il ne va plus de soi, que ce soit dans ses dimensions premières, c est-à-dire en tant qu abri, ou dans ses dimensions symboliques et identitaires, c est-à-dire en tant que chez-soi: Difficultés de paiement et comment vient l aide Des effets psychosociaux d une relocalisation résidentielle involontaire Expropriés Transformation d un quartier populaire Pratiques marginales (on s organise un toit)

NOS VŒUX Ne pas négliger les besoins en matière de logements communautaires destinés aux ménages à revenus plus modestes, notamment les familles désirant accéder à la propriété. Nous avons besoin d une mobilisation et de partenariats autour des enjeux liés au logement. La pérennité du CLM doit être assurée à plus long terme.

NOS VŒUX Des ressources devront être aménagées du point de vue de la MRC, de les villes ou bien du réseau de la santé afin de fournir aux locataires une aide et des inspections de bâtiment. Souhaitons une forme de standardisation dans les critères d évaluation du logement. Une approche basée sur l intégrité des bâtiments est à souhaiter afin d établir les risques réels sur la santé des locataires.

NOS VŒUX Établir des politiques avec les partenaires afin de favoriser une diversification des types d habitations et d organisations vouées au logements, qui à terme, favoriseront l accès à la propriété ou le maintient dans des milieux de vie sains et agréables. Favoriser l inscription, l innovation et la participation citoyenne aux initiatives régionales et municipales.