Chapitre 1 : Diviseurs et multiples.

Documents pareils
Priorités de calcul :

DOCM Solutions officielles = n 2 10.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007

CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!»

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET

Présentation du cours de mathématiques de D.A.E.U. B, remise à niveau

Représentation géométrique d un nombre complexe

avec des nombres entiers

EXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2

Corrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

Maple: premiers calculs et premières applications

Structures algébriques

Définition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS =

a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b

Fonction inverse Fonctions homographiques

Fonctions homographiques

Factorisation Factoriser en utilisant un facteur commun Fiche méthode

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition Fonctions affines

Séquence 2. Repérage dans le plan Équations de droites. Sommaire

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %

Complément d information concernant la fiche de concordance

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

3 ème 2 DÉVELOPPEMENT FACTORISATIONS ET IDENTITÉS REMARQUABLES 1/5 1 - Développements

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.

EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en Énoncé.

Développements limités, équivalents et calculs de limites

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.

Sommaire de la séquence 8

Codage d information. Codage d information : -Définition-

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G =

Soit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.

I. Ensemble de définition d'une fonction

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Représentation d un entier en base b

Définition : On obtient les nombres entiers en ajoutant ou retranchant des unités à zéro.

Glossaire des nombres

OPÉRATIONS SUR LES FRACTIONS

Cours Fonctions de deux variables

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

Algèbre binaire et Circuits logiques ( )

EVALUATIONS MI-PARCOURS CM2

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique :

Statistique : Résumé de cours et méthodes

Angles orientés et trigonométrie

EVALUATION Nombres CM1

Comment tracer une droite représentative d'une fonction et méthode de calcul de l'équation d'une droite.

Le chiffre est le signe, le nombre est la valeur.

Découverte du tableur CellSheet

IFT2880 Organisation des ordinateurs et systèmes

a) b)

Exercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :

Chapitre 10 Arithmétique réelle

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :

Etude de fonctions: procédure et exemple

1S Modèles de rédaction Enoncés

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

La question est : dans 450 combien de fois 23. L opération est donc la division. Le diviseur. Le quotient

COURS EULER: PROGRAMME DE LA PREMIÈRE ANNÉE

Seconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.

2. RAPPEL DES TECHNIQUES DE CALCUL DANS R

Chapitre N2 : Calcul littéral et équations

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.

Note de cours. Introduction à Excel 2007

Equations cartésiennes d une droite

Compter à Babylone. L écriture des nombres

CORRECTION EXERCICES ALGORITHME 1

Feuille TD n 1 Exercices d algorithmique éléments de correction

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Les opérations binaires

1/24. I passer d un problème exprimé en français à la réalisation d un. I expressions arithmétiques. I structures de contrôle (tests, boucles)

Raisonnement par récurrence Suites numériques

Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits

Les nombres entiers. Durée suggérée: 3 semaines

Compétence 2 : Comparer, ranger, encadrer des nombres, les placer sur une droite graduée

I. Polynômes de Tchebychev

Durée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point

Conversion d un entier. Méthode par soustraction

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

Cours d arithmétique Première partie

INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP

Les droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites

Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations

Eté LIVRET de RÉVISIONS en MATHÉMATIQUES

Séquence 3. Expressions algébriques Équations et inéquations. Sommaire

Items étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire

LES NOMBRES DECIMAUX. I. Les programmes

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

MATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN

Transcription:

Chapitre 1 : Diviseurs et multiples. 1. Chiffre et nombre : a. Chiffre : Ce sont les symboles utilisés pour écrire les nombres. Dans notre système (système décimal), il y a 10 chiffres distincts qui permettent de former un ensemble infini de nombres. Il s agit de 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9. b. Nombre : Réunion de plusieurs chiffres. C est le rapport entre deux quantités prises comme terme de comparaison, c'est-à-dire comme unité. 2. Diviseurs d un nombre : a. Notation : L ensemble des diviseurs d un nombre n se note div n. div 24 1,2,3,4,6,8,12,24 Exemples : div 16 1,2,4,8,16 b. Propriétés : Le nombre un divise tout nombre naturel. 1 divise 8 car 8 = 1.8. Tout nombre naturel non nul n est son plus grand diviseur. 9 est le plus grand diviseur de 9 car 9 = 9.1. 3. Nombres particuliers : a. Nombres carrés : Définition : Un nombre carré est un nombre naturel qui possède un nombre impair de diviseurs. 16 est un nombre carré car il possède 5 diviseurs. Propriété : Un nombre carré peut s écrire sous la forme d un produit de deux facteurs égaux. On peut écrire que 16 = 4.4 = 4 2.

b. Nombres rectangles : Un nombre rectangle est un nombre naturel qui possède un nombre pair de diviseurs. 24 est un nombre rectangle car il possède 8 diviseurs. c. Nombres premiers : Un nombre premier est un nombre naturel qui n admet que deux diviseurs distincts : 1 et lui-même. 5 est un nombre premier car il ne possède que deux diviseurs distincts : 1 et 5. Contre-exemple : 8 n est pas un nombre premier car 8 est divisible par 1, 2, 4 et 8. 4. Multiples-Diviseurs : Si a, b et c sont des nombres naturels non nuls, alors a = b. c signifie que : b et c divisent a. b et c sont des diviseurs de a. a est divisible par b et c. a est un multiple de b et de c. 5. Propriétés de la divisibilité : a. Propriétés liant la divisibilité et les opérations : Si un nombre en divise deux autres, alors il divise leur somme. Formulation mathématique : a, b et c étant des nombres naturels : si a b et a c, alors a b+c. Si un nombre en divise deux autres, alors il divise leur différence. Formulation mathématique : a, b et c étant des nombres naturels : si a b et a c, alors a b-c. Si un nombre en divise un autre, alors il divise tous les multiples de cet autre. Formulation mathématique : a, b et c étant des nombres naturels : si a b, alors a b.n. b. Caractères de divisibilité : Un naturel est divisible par : 2 si le dernier chiffre est pair. 5 si le dernier chiffre est 0 ou 5. 10 si le dernier chiffre est 0. 4 si les deux derniers chiffres forment un multiple de 4. 25 si les deux derniers chiffres forment un multiple de 25. 100 si les deux derniers chiffres sont 00. 8 si les trois derniers chiffres forment un multiple de 8. 125 si les trois derniers chiffres forment un multiple de 125. 1000 si les trois derniers chiffres sont 000. 3 si la somme des chiffres est un multiple de 3. 9 si la somme des chiffres est un multiple de 9.

6. Nombres figurés : a. Les nombres triangulaires : Les nombres triangulaires correspondent à la somme des nombres naturels successifs. ( Pour trouver le n ième nombre triangulaire, il faut utiliser la formule : T n = n+1 ) n. 2 3 1 3 43 T3 6 2 2 b. Les nombres carrés : Un nombre carré est égal à la somme de deux nombres impairs consécutifs. Pour trouver le n ième nombre carré, il faut utiliser la formule : C12 12.12 144 c. Les nombres impairs : Un nombre impair est un nombre qui n est pas divisible par 2. Cn 2 n. Pour trouver le n ième nombre impair, il faut utiliser la formule : I n = 2n-1. I6 2.6 1 11

Chapitre 3 : Les entiers. 1. Valeur absolue et nombres opposés : - Sur la droite graduée, les nombres négatifs sont toujours placés à gauche du zéro, et les nombres positifs à droite du zéro. - La distance qui sépare un nombre entier du zéro sur la droite graduée est appelée valeur absolue. La valeur absolue de l entier x se code x. Exemples : -4 = 4-3 = 3 3 = 3 2 = 2 La valeur absolue d un entier est toujours positive. - Deux nombres sont opposés s ils ont la même valeur absolue et des signes contraires. Exemples : 2 et -2 16 et -16 100 et -100 La somme de deux nombres opposés est nulle. Exemples : -2 + 2 = 0-16 + 16 = 0-100 + 100 = 0 2. Comparer des entiers : a. Comment comparer un entier négatif et un entier positif? L entier négatif est plus petit que l entier positif. -12 < 25. b. Comment comparer deux entiers positifs? Le plus grand est celui qui a la plus grande valeur absolue. 12 < 25. c. Comment comparer deux entiers négatifs? Le plus grand est celui qui a la plus petite valeur absolue. -25 < -12.

3. Addition et soustraction dans : a. Comment faire pour additionner et soustraire des entiers? - Pour additionner deux entiers de même signe, on additionne leurs valeurs absolues et on recopie le signe commun. Exemples : 4 + 3 = 7-4 + (-3) = -7 - Pour additionner deux entiers de signes différents, on soustrait leurs valeurs absolues et on recopie le signe de l entier qui a la plus grande valeur absolue. Exemples : -3 + 2 = -1-2 + 3 = 1 - Pour soustraire un nombre, il suffit d ajouter son opposé. 2 5 = 2 + (-5) = -3 b. Propriétés de l addition dans : - L addition est commutative ce qui signifie que dans une somme d entiers, l ordre n a pas d importance. 2 ( 3) 1 ( 3) 2. Codage : si a et b sont deux entiers, a + b = b + a. - L addition est associative ce qui signifie que dans une somme de plus de deux termes entiers, la manière de les grouper n influence pas le résultat. (2 + (-3)) + (-4) = -5 = 2 + ((-3) + (-4)) = (2 + (-4)) + (-3). Codage : si a, b et c sont trois entiers, (a + b) + c = a + (b + c) = (a + c) + b. - 0 est le neutre pour l addition ce qui signifie qu additionner 0 à un nombre entier donne une somme égale à ce nombre. 0 + 2 = 2. Codage: a + 0 = a. - L addition est symétrisable ce qui signifie que tout nombre entier admet un opposé. si a = 2, -a = -2. Codage: si a est un entier, -a.

4. Multiplication dans : Le produit de deux entiers positifs est positif. Le produit de deux entiers négatifs est positif. Le produit d un entier positif et d un entier négatif est négatif. Le produit de n facteurs positifs est toujours positif. Le produit de n facteurs négatifs est positif si n est pair et négatif si n est impair. a. Comment faire? Pour multiplier des entiers, on regarde d abord quel sera le signe et ensuite on multiplie leur valeur absolue. Lorsqu il y a plusieurs opérations dans un même calcul, on effectue les calculs entre parenthèses puis on effectue dans l ordre les produits et puis les sommes. b. Propriétés de la multiplication : - La multiplication est commutative ce qui signifie que dans un produit d entiers, l ordre n a pas d importance. 2 (-3) = -6 = -3 2. Codage : si a et b sont deux entiers, a.b = b.a - La multiplication est associative ce qui signifie que dans un produit de plus de deux facteurs, la manière de les grouper n influence pas le résultat. (2 (-3)) (-4) = 24 = 2 ((-3) (-4)) = (2 (-4)) (-3). Codage : si a, b et c sont trois entiers, (a.b).c = a.(b.c) = (a.c).b - 1 est le neutre pour la multiplication ce qui signifie que multiplier un nombre par 1 donne un produit égal à ce nombre. 1 (-2) = -2. Codage : si a est un entier, a.1 = a - 0 est absorbant pour la multiplication ce qui signifie que multiplier un nombre par 0 donne un produit égal à 0. 0 (-2) = 0. Codage : si a est un entier, a.0 = 0

Chapitre 5 : Les fractions. 1. Notation, définition : Une fraction représente un partage et un quotient. La forme générale d'une fraction est a b où a est le numérateur et b est le dénominateur. Le dénominateur détermine le nombre de parts égales par lequel l unité choisie est partagée. Le numérateur détermine le nombre de parts égales prélevées. Une fraction est le quotient d un entier par un entier non nul. 4 11 est une fraction dont le numérateur est 4 et dont le dénominateur est 11 4 et 11 sont les termes de la fraction. 2. Représentation de fractions : Une fraction est un nombre représentant l abscisse d'un point d'une droite. 3. Comparaison de fractions : Si deux fractions positives ont le même numérateur, la plus petite est celle qui a le plus grand dénominateur. 24 24. 19 15 Si deux fractions positives ont le même dénominateur, la plus petite est celle qui a le plus petit numérateur. 13 20. 27 27 Si deux fractions positives ont des numérateurs et des dénominateurs différents, il faut les réduire au même dénominateur. La fraction qui a le plus grand numérateur est alors la fraction la plus grande. 10 12 > 2 3 car 10 5 12 6 et 2 4. 3 6

4. Fractions égales : Pour trouver une fraction égale à une autre fraction donnée, il suffit de diviser (ou de multiplier) le numérateur et le dénominateur de la fraction par un même nombre non nul (différent de 0). a a. n Si a et sib, n 0, alors. b b. n Une fraction est nulle si le numérateur est nul. 0 0 15 Une fraction est égale à 1 si ses deux termes sont identiques. Exemples : 9 1 9 Une fraction est égale à son numérateur si son dénominateur est 1. 13 13 1 Une fraction n existe pas si son dénominateur est nul. 6 0 5. Simplification de fractions : Pour simplifier une fraction, il suffit de diviser le numérateur et le dénominateur de la fraction par un même nombre non nul. 12 4 15 5 Une fraction qui ne peut pas (plus) être simplifiée est dite irréductible. 6. Les fractions décimales : Une fraction décimale est une fraction dont le dénominateur est une puissance de 10. Exemples : 0, 79 79 /100 63,125 63125 /1000

7. Opérations sur les fractions : a. L'addition et la soustraction de fractions : Pour additionner (ou soustraire) deux fractions, il faut : - Les simplifier si possible. - Les réduire au même dénominateur. - Additionner (ou soustraire) les nouveaux numérateurs en conservant le dénominateur. - Simplifier, si possible, la fraction ainsi obtenue. Quels que soient les nombres a, b et d ( d 0 ) on a : a b a b et a b a b d d d d d d 10 25 5 5 15 10 5 4 15 2 3 6 6 6 b. La multiplication de fractions : Pour multiplier deux fractions, il faut : - Multiplier les numérateurs et les dénominateurs entre eux. - Simplifier, si possible, avant d effectuer les produits. Quels que soient les nombres a, b, c et d ( b 0 d 0 ) on a : 7 1 8. 1 8 8 8.. 21 5 3 5 3.5 15 a c a. c b d b. d

Chapitre 6 : Le calcul littéral. 1. Produit algébrique : Pour réduire un produit algébrique, il faut : - Multiplier les facteurs numériques entre eux. - Ecrire les facteurs littéraux dans l ordre alphabétique. 4 a.2 a.3b 24 2 a b 2. Somme algébrique : On appelle termes semblables des termes qui ont la même partie littérale. Pour réduire une somme algébrique de termes semblables, il faut : - Conserver la partie littérale. - Additionner les parties numériques (coefficients). 2 2 2 2 3 5 7 3 a b a a b 3. La distributivité simple : Pour multiplier une somme par un nombre, il faut multiplier chaque terme de la somme par ce nombre et additionner les résultats obtenus. 2 a. 3y z 2 a.3y 2 a. z 6ay 2az 4. Double distributivité : Pour multiplier une somme par une autre somme, il faut multiplier chaque terme de la première somme par chaque terme de la deuxième somme et additionner les résultats. 2 2 2 2 2a 5 b. 3a 2b 2 a.3a 2 a. 2b 5 b.3a 5 b. 2b 6a 4ab 15ab 10b 6a 11ab 10b 5. La mise en évidence : Lorsque tous les termes d une somme possèdent un (des) facteur(s) commun(s), on peut transformer cette somme en un produit de facteurs en mettant ce(s) facteur(s) commun(s) en évidence. On dit qu on a factorisé par la mise en évidence. 25 a 35 5.5. a 5.7 5. 5 a 7

6. Suppression des parenthèses : Dans une somme algébrique, on peut supprimer des parenthèses et le signe + qui les précède sans rien changer. 4a 2b 3c 4a 2b 3c Dans une somme algébrique, on peut supprimer des parenthèses et le signe - qui les précède à condition de changer le signe de tous les termes compris dans les parenthèses. 5x 4y 2z 5x 4y 2z 5x 4y 2z

Chapitre 8 : Les équations. Une équation est une égalité qui peut être soit vraie soit fausse en fonction de la valeur donnée à l inconnue. Résoudre une équation, c'est trouver la ou les valeurs pour lesquelles l'égalité est vraie. Ces valeurs s'appellent les solutions de l'équation. Une équation du premier degré est une équation dans laquelle les puissances de l'inconnue sont de degré 0 et 1 uniquement. Pour résoudre un problème par mise en équation, il faut : - Poser l inconnue. - Coder le problème par une équation. - Résoudre l équation. - Répondre en français à la question posée.

Chapitre 9 : Repérage. 1. Lire les coordonnées d un point : Pour repérer un point dans le plan, il faut : - Tracer deux droites sécantes (souvent perpendiculaires). - Les repérer à partir de leur point d intersection : l origine O(0 ;0). Les deux droites ainsi graduées forment un repère cartésien du plan. La position d un point est connue grâce à un couple de nombres. Ces deux nombres sont appelés les coordonnées du point. La première coordonnée est appelée l abscisse du point ; elle se repère sur l axe horizontal (x). La seconde coordonnée est appelée l ordonnée du point ; elle se repère sur l autre axe (y). 2. Effets des transformations du plan sur les coordonnées d un point : La symétrie orthogonale d axe x remplace l ordonnée de tout point par son opposé. La symétrie orthogonale d axe y remplace l abscisse de tout point par son opposé. La symétrie centrale de centre O remplace les cordonnées de tout point par leurs opposés. La translation ajoute (retire) un même nombre à (de) l abscisse et un même nombre à (de) l ordonnée de tout point. 3. Milieu d un segment : Les coordonnées du milieu d un segment s obtiennent en calculant la moyenne arithmétique des abscisses et la moyenne arithmétique des ordonnées des extrémités du segment. xa xb ya yb Si A(X A ; Y A ) et B(X B ; Y B ) et M le milieu du segment [AB], alors M ; 2 2.

Chapitre 10 : Les proportions et les pourcentages. Deux grandeurs directement proportionnelles (x et y) sont deux grandeurs telles que le quotient d une valeur de y par la valeur correspondante de x est constant ; ce nombre est le coefficient de proportionnalité (k = y : x ou y = x.k). Lorsque deux grandeurs (x et y) sont directement proportionnelles, si l une d elle est multipliée (divisée) par un nombre, alors l autre est multipliée (divisée) par le même nombre. Une valeur de la deuxième grandeur (y) peut être calculée en multipliant la valeur correspondante de la première grandeur (x) par le coefficient de proportionnalité ou en utilisant un rapport interne. Une valeur de la première grandeur (x) peut être calculée en divisant la valeur correspondante de la deuxième grandeur (y) par le coefficient de proportionnalité ou en utilisant un rapport interne. Les points du graphique qui représentent une relation de proportionnalité directe sont sur une droite passant par l origine.1 L échelle est le rapport entre la longueur sur le plan et la longueur réelle, exprimées toutes deux dans les mêmes unités. L échelle est donc le coefficient de proportionnalité entre les deux grandeurs.