Deuxième trimestre de 2013 Aperçu du Comité de répartition des actifs de Gestion de patrimoine TD Le Comité de répartition des actifs de Gestion de patrimoine reste d avis que nous sommes dans une période de faiblesse persistante de la croissance économique et des rendements des placements. Dans ce contexte, le comité privilégie un portefeuille diversifié qui inclut : 1. les actions de qualité élevée donnant droit à un dividende croissant, qui offrent un revenu courant et un potentiel de croissance à long terme; 2. les obligations de sociétés, qui procurent la sécurité d un certain revenu; La volatilité des marchés boursiers a récemment augmenté et les taux des obligations gouvernementales ont augmenté en raison des craintes que la Réserve fédérale américaine ne commence à réduire son programme d achats mensuels d actifs de 85 G$ en 2013. Même si nous sommes d avis que les achats d actifs resteront élevés, nous pensons également que comme la volatilité boursière est incroyablement faible en raison du programme, il est légitime de s attendre à ce qu une réduction réelle ou présumée du programme entraîne une augmentation de la volatilité. Nous croyons que la volatilité reviendra ainsi à un sain niveau qui créera des occasions, et non au niveau extrêmement élevé et nocif que l on a connu lors de la crise financière. Titres à revenu fixe. Du côté des titres à revenu fixe, les taux d intérêt restent très faibles en dépit des récentes augmentations des taux obligataires et le comité s attend à ce que les taux d intérêt à court terme restent bas pour le reste de l année. Les taux plus élevés des obligations de sociétés par rapport aux obligations d État justifient notre préférence pour les obligations de sociétés par rapport aux obligations d État. La récente baisse des écarts de taux des obligations à rendement élevé a créé une occasion à court terme et, à l heure actuelle, les écarts de taux des titres à rendement élevé sont relativement attrayants. Dans l ensemble, le comité s attend à des rendements obligataires très faibles au cours des années à venir. En termes réels (après inflation), les rendements des titres à revenu fixe devraient être très faibles, voire négatifs, au cours des prochaines années. Actions. Pour ce qui est des actions, nous constatons un changement des meneurs. Les flux de trésorerie demeurent solides et les évaluations sont raisonnables. On peut toutefois s attendre à une croissance modeste des bénéfices, car les marges sont déjà à des sommets records et la croissance économique des pays développés est limitée. Notre préférence pour les titres de grande qualité donnant droit à un dividende croissant a été très profitable au cours des dernières années, en partie grâce au soutien des porteurs de titres à revenu fixe qui ont commencé à utiliser les dividendes pour compléter les faibles taux des titres à revenu fixe. Même si nous prévoyons que ces types de titres resteront attrayants d un point de vue du rendement ajusté au risque et par rapport aux titres à revenu fixe, il est possible qu ils ne continuent pas à obtenir de meilleurs résultats que les indices généraux. Sur le plan géographique, le comité a une préférence pour les. En dépit d un repli potentiel des évaluations boursières à court terme, c est aux que l on retrouve le choix le plus vaste et le plus intéressant de sociétés de qualité à l échelle mondiale. De plus, la croissance économique modérée et le modeste redressement du marché de l habitation aux ainsi que des changements sur le marché de l énergie nordaméricain favorisent les. Nous sommes toujours attentifs aux facteurs macroéconomiques, notamment à la faible croissance économique mondiale et aux niveaux élevés des dettes souveraines. Même si certaines difficultés persistent, la probabilité que des événements économiques et boursiers extrêmes surviennent a récemment diminué, à la faveur des améliorations économiques aux et des niveaux toujours élevés des liquidités déployées par les banques centrales à l échelle mondiale. Le comité prévoit que les gouvernements maintiendront leurs politiques expansionnistes pendant un certain temps encore.
Indice composé S&P/TSX Performance sectorielle: 2 e trimestre 2013 Secteurs les plus Soins de santé courante discrétionnaire Indice composé de rendement global S&P/TSX (dividendes compris) Niveau de l'indice 37200 34400 28-Mar avril 25-Apr mai 23-May 20-Jun juin Source: GPTD Indice de rendement global S&P 500 (USD) (dividendes compris) Niveau de l'indice 3000 11.0 8.8 8.6 Secteurs les moins Matières premières Services de télécommunication Services publics Source: Valeurs mobilières TD 2700 28-Mar avril 25-Apr mai 23-May 20-Jun juin -22.8-10.6-4.5 Indice S&P 500 (USD) Performance sectorielle: 2 e trimestre 2013 Secteurs les plus Services financiers discrétionnaire Soins de santé 7.3 6.8 3.8 Secteurs les moins Services publics Matières premières Énergie -2.7-1.8-0.4 Source: Valeurs mobilières TD Source: GPTD Les graphiques et tableaux sont en date du 30 juin 2013. Marchés boursiers Les marchés boursiers ont produit des résultats contrastés au cours du trimestre. En Amérique du Nord, les actions américaines ont progressé alors que les actions canadiennes ont perdu du terrain. À l étranger, les actions japonaises ont obtenu des résultats positifs au cours du trimestre dans un contexte où les mesures d assouplissement quantitatif étaient importantes, alors que les actions européennes et des pays émergents se sont repliées. Les actions canadiennes se sont dépréciées durant le trimestre, en raison des difficultés du secteur des matériaux, malmené à cause de la baisse de la demande d or et d autres métaux précieux. De plus, les secteurs sensibles à l évolution des taux d intérêt comme les services publics, les fiducies de placement immobilier et les télécommunications se sont repliés, les investisseurs craignant une hausse des taux d intérêt. Les bonnes nouvelles économiques en provenance des (amélioration de l emploi, du marché de l habitation et de la consommation) auraient dû être encourageantes pour le, mais elles n ont pas suffi pour compenser le coup de frein dû au secteur des matériaux, qui a perdu plus de 20 durant le trimestre. Globalement, l indice composé S&P/TSX a perdu 4 au cours du trimestre, car quatre des dix secteurs de l indice ont régressé, en particulier les secteurs des matériaux, des télécommunications et des services publics. L indice S&P 500 a progressé de 3 au cours du trimestre. Sept des dix secteurs de l indice ont gagné du terrain, notamment les services financiers, la consommation discrétionnaire et les soins de santé. Après avoir enregistré de bons résultats au premier trimestre, les actions américaines ont continué leur ascension d avril à mai, soutenues par les politiques expansionnistes des banques centrales mondiales et les nouvelles économiques intérieures positives, comme les améliorations de l emploi, du marché de l habitation et de la consommation. Toutefois, les actions sont devenues volatiles et ont perdu une partie de leurs gains en juin, en raison des craintes d une réduction imminente du programme d achat d actifs de la Réserve fédérale américaine, qui représente actuellement 85 G$ par mois. D autres indices américains ont également grimpé. Le Nasdaq 100 a crû de 3 (7 en CAD), la moyenne Dow Jones des industrielles, de 2 (6 en CAD) et l indice S&P 400 des actions à moyenne capitalisation, de 0,6 (4 en CAD). Marchés internationaux Dans l ensemble, les marchés boursiers internationaux ont enregistré une légère baisse au cours du trimestre, l indice MSCI EAEO s étant déprécié de 2 en USD (apprécié de 1 en CAD). Collectivement, les marchés boursiers européens ont légèrement fléchi, car la région a continué à souffrir de la récession et le chômage a atteint un sommet cyclique. Alors que l indice français CAC 40 a grappillé un faible gain de 0,2 (5 en CAD), l indice britannique FTSE 100 et l indice allemand DAX ont perdu du terrain. Le FTSE a perdu 3 (gagné 0,4 en CAD) et le DAX s est replié de 0,8 (apprécié de 4 en CAD). Au Japon, l indice Nikkei 225 a connu 2
un autre trimestre positif, la croissance du marché boursier étant alimentée par un important programme d assouplissement quantitatif et les signes d une modeste amélioration de l économie nationale. L indice a bondi de 10 pendant le trimestre (8 en CAD). Nous continuons de surpondérer les actions, en raison, entre autres, des bilans solides, des flux de trésorerie positifs et des évaluations raisonnables d un point de vue historique, en particulier par rapport aux obligations. Cependant, des risques assombrissent les perspectives des bénéfices, car la croissance économique n a pas atteint son plein potentiel. Nous privilégions les titres de grande qualité donnant droit à un dividende croissant; cependant, il se pourrait que ces derniers ne continuent pas à surpasser les indices généraux. À l échelle mondiale, un nombre inhabituel de titres de grande capitalisation offrent un taux de dividendes supérieur au taux des obligations. Les investisseurs devraient commencer à considérer les actions comme une source de revenus, un rôle qu elles n ont pas joué depuis des années. Sur le plan géographique, le comité a une préférence pour les. En dépit d un repli potentiel des évaluations boursières à court terme, c est aux que l on retrouve le choix le plus vaste et le plus intéressant de sociétés de qualité à l échelle mondiale. De plus, la croissance économique modérée et le modeste redressement du marché de l habitation aux ainsi que des changements sur le marché de l énergie nordaméricain favorisent les. Marchés obligataires Dans l ensemble, les obligations canadiennes ont baissé au cours du trimestre, car les taux obligataires ont augmenté par anticipation et en réaction aux commentaires de la Réserve fédérale américaine concernant la réduction progressive éventuelle du programme d assouplissement quantitatif. Les obligations d État et les obligations de sociétés ont reculé, et les premières ont été surpassées par les secondes. Les obligations canadiennes, représentées par l indice obligataire universel DEX, ont perdu 2,36 au cours du trimestre et 0,17 au cours des 12 derniers mois. Les obligations à rendement réel ont fléchi de 9 au cours du trimestre. Dans l ensemble, les taux obligataires ont augmenté de 43 points de base entre avril et juin, le taux moyen de l indice DEX clôturant à 2,66. Toutes échéances confondues, les taux obligataires ont augmenté; à court terme de 37 points de base pour atteindre 1,82, à moyen terme de 60 points de base pour atteindre 2,89 et à long terme de 46 points de base pour atteindre 3,80. Au cours du trimestre, les taux des obligations d État et des obligations de sociétés ont augmenté, toutes échéances confondues, en particulier pour les titres à moyen terme. Les taux des obligations de sociétés à court et à moyen terme ont enregistré une hausse plus importante que celle des obligations d État. Cette meilleure performance a entraîné une augmentation des écarts de taux. Le 29 mai 2013, à l issue de la dernière réunion où Mark Carney siégeait à titre de gouverneur, la Banque du (BdC) a annoncé que le taux du financement à un jour serait maintenu à 1. Dans l annonce, la BdC a également noté le progrès des économies américaine et japonaise, le ralentissement de la croissance économique chinoise et la récession qui sévit toujours en Europe. La BdC estime que la croissance économique canadienne, soutenue par une modeste augmentation des dépenses de consommation et un robuste bond des investissements des entreprises, correspondra à ses prévisions. Elle s attend à ce que l inflation demeure modeste et qu elle atteigne la cible de 2 au plus tôt au milieu de 2015. La BdC a maintenu sa position relativement au retrait de ses mesures de relance économique, notant de nouveau que la détente monétaire en place «demeurera probablement appropriée pendant un certain temps». Les obligations américaines ont cédé du terrain au cours du trimestre. Représentées par le Barclays Capital Aggregate Bond Index, elles ont enregistré un recul de 2 (hausse de 1 en CAD). 3
Le 19 juin lors de la présentation de sa politique, la Réserve fédérale (Fed) a annoncé qu elle maintenait les taux d intérêt dans la fourchette de zéro à 0,25, ainsi que les seuils de l emploi (chômage inférieur à 6,5 ) et de l inflation (supérieure à 2,5 ) auxquels elle réexaminerait cette fourchette. Elle a noté que la croissance économique était modérée en dépit des contraintes budgétaires et que les risques de baisse de celle-ci avaient diminué. La Fed a annoncé qu elle maintenait son programme d achat d actifs à 85 G$ par mois, mais qu elle était prête à augmenter ou diminuer ce montant en fonction de l évolution du marché de l emploi et de l inflation. Au cours de la conférence de presse qui a suivi la présentation de la politique de la Fed, Ben Bernanke, le président de la Fed, a confirmé que l emploi et la croissance économique étaient en amélioration, et qu il pourrait s avérer approprié de réduire le volume des achats de la Fed, potentiellement à compter de cette année. La réduction des achats se ferait de façon graduelle et la Fed continuera de surveiller la croissance économique afin de s assurer qu elle demeure conforme à ses attentes. Du côté des titres à revenu fixe, les taux d intérêt restent très faibles en dépit des récentes augmentations des taux obligataires et le comité s attend à ce que les taux d intérêt à court terme restent bas pour le reste de l année. Les taux plus élevés des obligations de sociétés par rapport aux obligations d État justifient notre préférence pour les obligations de sociétés par rapport aux obligations d État. La récente baisse des écarts de taux des obligations à rendement élevé a créé une occasion à court terme et, à l heure actuelle, les écarts de taux des titres à rendement élevé sont relativement attrayants. Dans l ensemble, le comité s attend à des rendements obligataires très faibles au cours des années à venir. En termes réels (après inflation), les rendements des titres à revenu fixe devraient être très faibles, voire négatifs, au cours des prochaines années. Portrait économique Au, l économie a progressé à un taux annualisé de 2,5 au premier trimestre de 2013, ce qui représente une légère amélioration par rapport à la croissance morose enregistrée au second semestre de 2012. Les facteurs de croissance ont été l accroissement des exportations et les investissements d entreprises. Pour l essentiel, la création d emplois au est restée stable en avril et en juin, mais a affiché de bons résultats en mai, avec la création de 95 000 nouveaux emplois, soit le gain mensuel le plus important en plus de 10 ans. Le taux de chômage a baissé à 7,1 au cours du trimestre. L inflation est demeurée très faible, avec une hausse de 0,7 du taux global sur 12 mois en mai, et d une augmentation de 0,2 du taux global mensuel. Le taux de base a progressé de 1,1 par rapport à mai 2012 et le taux de base mensuel n a pas changé. La Banque du prévoit que l inflation n atteindra pas le centre de la fourchette cible de 2 avant le milieu de 2015. Dollar canadien Le dollar canadien a reculé de 3 par rapport au dollar américain au cours du trimestre et pendant les 12 derniers mois. Le dollar canadien a clôturé le trimestre à 0,9506 par rapport à 0,9841 USD au début du trimestre et 0,9837 USD il y a un an. Nous sommes d avis qu à court terme, la valeur du dollar canadien semble raisonnable par rapport au dollar américain. À plus long terme, la croissance économique relative et les avantages structurels pencheront en la faveur du dollar américain. La valeur du huard a été inégale par rapport aux autres grandes monnaies, s appréciant par rapport au yen et fléchissant en regard de l euro et de la livre sterling. L économie américaine a progressé à un taux annualisé de 1,8 au premier trimestre de 2013. La croissance a été alimentée par la consommation privée, les investissements privés dans les stocks et les investissements dans des immobilisations résidentielles. 4
En juin, les emplois non agricoles ont augmenté de façon marquée, soit 195 000 nouveaux emplois, ce qui était légèrement supérieur aux prévisions. Le taux de chômage est resté inchangé à 7,6. L inflation est restée faible aux, avec une augmentation de 0,1 du taux global en mai. Le taux global annualisé a augmenté à 1,4. En mai, l inflation de base a progressé de 0,2 et le taux de base annuel est demeuré identique à 1,7. Marchés internationaux L économie de la zone euro (pour laquelle les données sur le PIB ne sont pas annualisées) est toujours en récession, car le PIB s est de nouveau contracté, perdant 0,3 au premier trimestre de 2013. Après une baisse au quatrième trimestre de 2012, le PIB allemand est redevenu positif au premier trimestre de 2013, enregistrant un gain de 0,1 d un trimestre à l autre. En revanche, le PIB de la France a baissé de 0,2 pour le deuxième trimestre consécutif. Le marché de l emploi de la zone euro est resté décevant, car le chômage dans la région a atteint un sommet cyclique de 12,2 en mai. En mai également, l inflation a augmenté pour atteindre un taux annuel de 1,4 (en hausse par rapport au 1,2 en avril, mais en baisse par rapport aux 2,4 en avril 2012). Au cours du trimestre, l euro a gagné 1,5 par rapport au dollar américain. Le yen a fléchi de 5 par rapport au dollar américain. Ce fléchissement du yen a permis d améliorer la compétitivité des exportations japonaises. L économie japonaise a connu une croissance économique positive au premier trimestre de 2013, enregistrant une augmentation de 1 par rapport au trimestre précédent (taux annualisé de 4,1 ). Nous croyons toujours que nous sommes dans une période marquée par une faiblesse persistante de la croissance économique et des rendements de placement. Nous continuons de surpondérer les actions et de fortement souspondérer les titres à revenu fixe. Nous sommes toujours attentifs aux facteurs macroéconomiques, notamment à la faible croissance économique mondiale et aux niveaux élevés des dettes souveraines. Même si certaines difficultés persistent, la probabilité que des événements économiques et boursiers extrêmes surviennent a récemment diminué, à la faveur des améliorations économiques aux et des niveaux toujours élevés des liquidités déployées par les banques centrales à l échelle mondiale. Le comité prévoit que les gouvernements maintiendront leurs politiques expansionnistes pendant un certain temps encore. Atteignez vos objectifs les plus importants Gestion de Placements TD inc. est l une des plus importantes sociétés de gestion de placements au et offre une gamme complète de solutions de gestion de placements aux sociétés, aux caisses de retraite, aux institutions, aux fonds de dotation, aux fondations et aux particuliers à valeur nette élevée. 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