39. GAZ À EFFET DE SERRE
|
|
- Christophe Josselin Barrette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 39. GAZ À EFFET DE SERRE Le lecteur intéressé par les aspects législatifs des Gaz à Effet de Serre (GES) devra compléter la lecture de la présente fiche par une consultation des fiches documentées Air 3 et 4. Cette dernière expose les accords internationaux qui visent à protéger les écosystèmes au niveau planétaire et qui concernent aussi la région de Bruxelles-Capitale (RBC). Les fiches Air 11, 12 et 13 concernent respectivement le dioxyde de carbone (CO 2 ), le méthane (CH 4 ) et le protoxyde d azote (N 2 O) et reprennent des informations plus précises sur chacun de ces GES. 1. Introduction «L effet de serre» est un phénomène naturel qui induit une température moyenne sur Terre de 15 C. Sans ce phénomène, la température serait trop basse pour y permettre la vie. Les GES sont transparents au rayonnement ultra-violet (UV) émis par le soleil ce qui permet à la Terre de recevoir la chaleur de celui-ci. Par contre comme ils absorbent et réfléchissent partiellement le rayonnement infrarouge émis par la Terre, cela induit une augmentation de la température du globe. Les principaux GES sont la vapeur d'eau (H 2 O), le dioxyde de carbone (CO 2 ), l'ozone (O 3 ), le méthane (CH 4 ), le protoxyde d'azote (N 2 O), certains gaz artificiels halocarbonés (les chlorofluorocarbures - CFC, les hydrofluorocarbures HFC, les perfluorocarbones - PFC, les hydrochlorofluorocarbures - HCFC, les halons ou bromofluorocarbures - BFC et les hydrobromofluorocarbures - HBFC) et l'hexafluoride de soufre (SF 6 ). Les halocarbures sont des composés chimiques produits par l homme qui contiennent du carbone et des éléments appartenant à la famille des halogènes (brome, chlore et fluor). Ils sont de puissants GES car leurs pouvoirs de réchauffement sont très élevés. Certains de ces gaz halocarbonés contribuent également à la destruction de la couche d'ozone. Le protocole de Montréal, concernant la protection de la couche d'ozone, contient des mesures de contrôle de leur production et de leur consommation, à l'exception des HFC et des PFC, utilisés comme substituts des halocarbonés plus anciens. Les HFC et les PFC ont donc été pris en considération dans le protocole de Kyoto qui a pour objectif de stabiliser les concentrations de 6 GES - ou familles de gaz - restants : le CO 2, le CH 4, le N 2 O, les HFC, les PFC et le SF Toxicité / effet sur l'environnement Les GES présents dans l air ambiant n ont pas d effets néfastes directs sur la santé, l environnement naturel ou l environnement bâti. Mais l augmentation des concentrations de ces gaz dans l atmosphère du fait des activités humaines modifie l'équilibre naturel du climat en renforçant artificiellement l'effet de serre Origine des GES Le CO 2 est émis lors de l extraction, la production, la distribution et la consommation de combustibles fossiles, lors des incendies et des processus naturels de respiration des organismes vivants. Le CH 4 est, en Europe, principalement émis par certaines activités agricoles. En RBC, le méthane provient des fuites dans le réseau de distribution de gaz et des pertes à l'utilisation du gaz naturel. En Europe, le N 2 O est principalement émis suite à certaines activités agricoles. En RBC, il provient principalement des hôpitaux (le protoxyde d azote est utilisé comme gaz anesthésiant) et des processus de combustion (chauffage des bâtiments et transport). En Belgique, les émissions des gaz fluorés, dits gaz F, résultent entièrement de l utilisation de ces substances dans certaines applications bien spécifiques : Les CFC et HCFC sont utilisés dans les aérosols, la production de froid et la climatisation, les mousses synthétiques et les extincteurs. Suite à la signature du Protocole de Montréal, ils ont été systématiquement remplacés par des HFC ; Les Halons sont utilisés dans les extincteurs ; Les PFC sont utilisés comme produit nettoyant (solvant) dans la production électronique et électromécanique, ainsi que comme remplaçant des CFC dans les installations de production de froid ; PAGE 1 SUR 11 JANVIER 2012
2 Le SF 6 est utilisé comme isolant électrique dans des installations de haute et moyenne tension (disjoncteurs, transformateurs) et comme isolant phonique dans le double vitrage. 2. Emissions de GES 2.1. Introduction Afin de pouvoir additionner les émissions des différents GES, chacun est pondéré suivant son pouvoir de réchauffement global. L unité commune est l «équivalent CO 2» et permet d «évaluer la contribution relative au réchauffement de la planète de l émission dans l atmosphère d un kilo de GES particulier par comparaison avec l émission d un kilo de CO 2 et compte tenu de leurs durées de vie et leurs pouvoirs radiatifs respectifs» 1. Le tableau 39.1 reprend les 6 GES pris en considération dans le Protocole de Kyoto et leur équivalent CO 2. Tableau Emissions belges de GES Equivalent CO 2 des GES Source: IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) équivalent CO2 CO 2 1 CH 4 21 N 2 O 310 HFCs >140 et <11700 PFCs >6500 et <9200 SF Répartition sectorielle des émissions de GES en Belgique pour l année 2008 La Figure 39.2 indique la part de responsabilité de chaque secteur dans les émissions de GES en Belgique pour l année La consommation énergétique compte pour plus de 82% des émissions totales de GES en Belgique et reprend différents secteurs tels que les industries énergétiques (19%), les industries de production et construction (20%), les transports (20%), le résidentiel, le tertiaire et l agriculture (23%), les autres combustions (0,05%) et les émissions fugitives de combustibles (0,4%). Les procédés industriels émettent 10% des émissions nationales totales de GES, l utilisation de solvants et autres produits 0,2%, l agriculture 7% et les déchets 1%. 1 Cinquième communication nationale sur les changements climatiques, 2009, Belgique. PAGE 2 SUR 11 JANVIER 2012
3 Figure 39.2 : Répartition sectorielle des émissions belges de GES en 2008 Source : Eionet, Central Data Repository, 2010 Belgian reporting 280/2004/EC Mise à jour22 Octobre 2010 Transports 20% Résidentiel, tertiaire et agriculture 23% Autres combustions 0,05% Emissions fugitives des combustibles 0,4% Procédés industriels 10% Utilisation de solvants et autres produits 0,2% Agriculture 7% Industries de production et construction 20% Industries énergétiques 19% Déchets 1% Répartition des émissions nationales totales des 6 GES régis par le protocole de Kyoto Globalement les émissions de GES sont estimées à ktonnes CO 2 équivalent en La Figure 39.3 indique la part de chaque GES en CO 2 équivalent dans le total des émissions belges. Figure 39.3 : Répartition des émissions de GES en CO 2 équivalent en Belgique pour l année 2008 Source : Eionet, Central Data Repository, 2010 Belgian reporting 280/2004/EC Mise à jour 22 Octobre 2010 CH 4 4.8% CO 2 88,2% N 2 O 5.5% HFCs 1.3% PFCs 0.15% SF % En 2008, les émissions de CO 2 comptent pour 88,2% dans le total des émissions belges de GES et viennent en grande partie de la consommation énergétique. Les émissions de CH 4 viennent principalement de l agriculture et comptent pour 4,8%. Le N 2 O est émis à hauteur de 5,5%, en majeure partie par l agriculture et certains procédés de l industrie chimique. Les gaz F (HFCs, PFCs, SF 6 ) comptent pour 1,5% et viennent entièrement de procédés industriels tels que la consommation de halocarbones et de SF 6 (HFCs et SF 6 ) et de la production d halocarbones et de SF 6 (PFCs). PAGE 3 SUR 11 JANVIER 2012
4 Bien qu'ayant le potentiel de réchauffement le plus faible, c'est néanmoins le CO 2 qui, vu son abondance, joue un rôle déterminant dans le mécanisme de renforcement de l'effet de serre Evolution des émissions nationales de GES entre 1990 et 2008 En 2008, les émissions totales de GES en Belgique ont diminué de plus de 4,6% par rapport à La Figure 39.4 montre l évolution respective des émissions nationales de CO 2, CH 4 et N 2 O entre 1990 et A noter que la courbe des émissions de CO 2 (en vert) se réfère à l axe de gauche et les courbes du CH 4 (en bleu clair) et N 2 O (en bleu foncé) à l axe de droite. Figure 39.4 : Evolution des émissions de CO 2, CH 4 et N 2 O entre 1990 et 2008 Source : Eionet, Central Data Repository, 2010 Belgian reporting 280/2004/EC Mise à jour 22 Octobre 2010 ktonnes CO 2 éq. 132, , , , , ,000 14,000 12,000 10,000 8,000 6,000 4,000 2,000 ktonnes CO 2 éq. 108, CO2 CH4 N2O Les émissions de CH 4 et de N 2 O ont diminué entre 1990 et Alors que les émissions de CO 2 sont plus ou moins identiques en 2008 par rapport à Les émissions de CO 2 dépendent en grande partie de la consommation énergétique pour le chauffage et les besoins de chauffage sont liés aux conditions climatiques. L année 2007 ayant été particulièrement douce (1578 Degrés-Jours - DJ) 2, les consommations énergétiques pour le chauffage et les émissions de CO 2 qui y sont liés ont nettement diminué ayant été une année plus froide (1829 DJ), les émissions de CO 2 ont augmenté. Les émissions de CH 4 provenant de l agriculture ont diminué grâce à la gestion des effluents issus de l élevage porcin, à une réduction et au changement de composition du cheptel bovins suite au passage de vaches laitières à des vaches allaitantes. Les vaches laitières mangent en effet plus d herbe que celles allaitantes entraînant ainsi une plus grande fermentation et donc une plus grande quantité de CH 4 émise : leur facteur d émission est de 122 kg/vache/année comparé à 45 kg/vache/année pour une vache allaitante. Les émissions de N 2 O ont connu une évolution croissante entre 1990 et 1996 suite à une augmentation de la production dans l industrie chimique (Figure 39.5). A partir de 1997, une diminution des émissions est constatée et s explique, d une part, par l amélioration de procédés de fabrication et la mise en place de catalyseurs dans l industrie chimique et, d autre part, par une diminution des quantités d engrais épandus et une diminution du cheptel. 2 Le lecteur souhaitant plus d'information concernant les degrés-jours est référé à la fiche documentée concernant la méthodologie des bilans énergétiques PAGE 4 SUR 11 JANVIER 2012
5 Figure 39.5 : Evolution des émissions belges de N 2 O issues des procédés de l industrie chimique et de l agriculture entre 1990 et 2008 Source : Eionet, Central Data Repository, 2010 Belgian reporting 280/2004/EC Mise à jour 22 Octobre ,000 6,000 5,000 ktonnes CO 2 éq. 4,000 3,000 2,000 1, Procédés Industrie Chimique Agriculture La Figure 39.6 représente l évolution des émissions belges des HFCs, PFCs et de SF 6 entre 1990 et Les émissions des HFCs (en bleu) ont augmenté graduellement depuis 1995, reflet de la législation actuelle concernant la substitution des CFCs. Les HFCs sont en effet principalement utilisés dans le secteur de la réfrigération et pour la production de mousses synthétiques. Les PFCs (en jaune) sont aussi utilisés en remplacement des CFCs dans les installations de production de froid mais leurs émissions ont nettement diminué depuis Les émissions de SF 6 (en orange) ont fortement diminué, suite à l utilisation de produits alternatifs pour la production de double vitrage acoustique. Cependant, les émissions de SF 6 risquent d augmenter à nouveau suite au démantèlement des installations de vitres existantes. Figure 39.6 : Evolution des émissions de HFC, PFC et SF 6 entre 1990 et 2008 Source : Eionet, Central Data Repository, 2010 Belgian reporting 280/2004/EC Mise à jour 22 Octobre ,500 2,000 ktonnes CO 2 éq. 1,500 1, HFCs PFCs SF6 PAGE 5 SUR 11 JANVIER 2012
6 2.3. Emissions en RBC des GES régis par le protocole de Kyoto Répartition des émissions régionales des GES en 2008 Les émissions de GES de la RBC comptent pour 3% dans le total des émissions de la Belgique. La Figure 39.7 indique la part des différents GES dans le total des émissions régionales pour l année Figure 39.7 : Répartition des émissions régionales des différents GES émis en RBC pour l année 2008 Source : Bruxelles Environnement, Dépt. Planification air, énergie et climat CO 2 93% N 2 O 2% CH 4 1% Gaz F 4% La répartition des émissions de GES en RBC diffère par rapport aux émissions totales de la Belgique. En Région bruxelloise, encore plus qu au niveau belge, le CO 2 domine les émissions de GES : en 2008, le CO 2 représente 93% des émissions totales de GES contre 88,2% pour la Belgique. Les émissions de gaz F sont proportionnellement plus importantes en RBC (4%). Quant aux émissions de CH 4 (1%) et de N 2 O (2%), elles occupent une plus petite place, étant donné l absence d émissions du secteur agricole dans la Région. En RBC, les émissions de CH 4 viennent en grande partie des fuites sur le réseau de distribution du gaz naturel. Les émissions de N 2 O proviennent essentiellement des gaz anesthésiants utilisés dans les hôpitaux de la Région Evolution des émissions régionales des GES entre 1990 et 2008 Les émissions de GES, en 2008, ont augmenté de 2,4% par rapport aux émissions de 1990 (Fig.39.8). Figure 39.8 : Evolution des émissions des GES en RBC entre 1990 et 2008 Source : Bruxelles Environnement, Dépt. Planification air, énergie et climat ktonne CO 2 éq % Evolution / % 8.9% 7.7% 7.2% 4.0% 7.9% 18.8% 9.0% 10.3% 7.7% 5.3% 10.0% 5.0% 8.7% 9.3% 7.5% 4.1% -4.2% 2.4% Total Gaz F N2O CH CO En 2007, les émissions avaient diminué de 4,2% grâce, notamment, à une météo clémente qui a réduit les besoins de chauffage et donc les émissions qui y sont liées (de CO 2 principalement). PAGE 6 SUR 11 JANVIER 2012
7 La réduction des fuites sur le réseau de distribution du gaz naturel a fait diminuer les émissions de CH 4 de 67% entre 1990 et Les émissions de N 2 O ont également diminué entre 1990 et 2008 de 3%. Dans le cadre du Protocole de Kyoto, 1995 est l année de référence pour les gaz F. Pour les années entre 1990 et 1994, la valeur des émissions de 1995 est utilisée à défaut d autres valeurs. Les émissions de gaz fluorés des activités de réfrigération ont considérablement augmenté, multipliées par un facteur 4 entre 1995 et Ceci étant dû à la substitution des gaz fluorés repris dans le protocole de Montréal par ceux repris dans le protocole de Kyoto Répartition sectorielle des émissions régionales de GES en 2008 Les sources principales d'émissions de GES (CO 2, CH 4 et N 2 O) sont, en 2008, les processus de combustion liés au chauffage des bâtiments des secteurs résidentiel, tertiaire et industriel (70%), le transport routier (19%), l'incinération des déchets (6%), la production de chaleur et d électricité (cogénération au gaz naturel, principalement) (1,6%), les émissions fugitives (0,7%) et les gaz anesthésiants (0,7%) (Figure 39.9). Les émissions de la catégorie «Autres» (0,9%) correspondent aux émissions du transport ferroviaire, fluvial et de l énergie, du stockage et de la manipulation de produits et des stations d épuration. Figure 39.9 : Répartition sectorielle en RBC des émissions de GES pour l année 2008 Source : Bruxelles Environnement, Dépt. Planification air, énergie et climat Incinération 6% Production électricité 1.6% Résidentiel 46% Emissions fugitives 0.7% Anesthésie 0.7% Autres 0.9% Transport routier 19% Tertiaire 22% Industries 2% Evolution des émissions de GES en RBC entre 1990 et 2008 L'évolution de l'émission des GES (CO2, CH4 et N2O) suit logiquement l'évolution des émissions de CO 2, qui représentent 93% des émissions totales de GES en La Figure représente les émissions de GES des différents secteurs en RBC entre 1990 et PAGE 7 SUR 11 JANVIER 2012
8 Figure : Evolution sectorielle des émissions régionales des GES de 1990 à 2008 (hors gaz fluorés) Source : Bruxelles Environnement, Dépt. Planification air, énergie et climat 4,500 4,000 3,500 3,000 ktonnes CO2 éq. 2,500 2,000 1,500 1, % Evolution / % 9.0% 7.8% 7.3% 4.0% 7.9% % 9.7% 6.9% 4.2% 8.7% 3.3% 6.5% 6.9% 5.1% 1.3% -7.5%-1.1% Total CO2éq 3,881 4,230 4,184 4,164 4,037 4,190 4,612 4,219 4,260 4,150 4,047 4,220 4,011 4,133 4,149 4,078 3,933 3,591 3,840 Autres Anesthésie Emissions fugitives Production électricité Incinération Résidentiel Tertiaire Industries Transport routier Les émissions de GES liées au transport routier sont restées relativement stables malgré l augmentation du nombre de voitures. Deux effets antagonistes ont participé à cette évolution. D une part, la diésélisation et le rajeunissement du parc automobile ont permis de réduire les émissions de CO 2. D autre part, l introduction du pot catalytique 3 sur les véhicules essence et l agrandissement du parc automobile ont augmenté les émissions de N 2 O. Les émissions des secteurs résidentiel, tertiaire et industriel proviennent en grande partie de la consommation de combustibles fossiles pour le chauffage et dépendent donc des températures de l air extérieur. On n observe pas d amélioration significative dans ces secteurs. Les émissions du secteur incinération comptabilisent les émissions de CO 2 issues de la combustion des déchets (hors biomasse) et les émissions de N 2 O causées par la combustion de tous les déchets (biomasse incluse). Les émissions de ce secteur ont augmenté jusqu en 1996 puis sont restées stables. Les variations de ce secteur dépendent de la quantité de déchets qui varie d une année à l autre. Aucune tendance n est observée. 3 Le pot catalytique réalise un post traitement des gaz d échappement dès la sortie du moteur. L utilisation d un catalyseur à trois voies (pour les moteurs à essence) réduit les émissions d hydrocarbures, de NOx et de CO mais augmente celles de N 2 O et de NH 3. Depuis 1989, le catalyseur à trois voies est obligatoire sur les nouvelles voitures à essence d une cylindrée supérieure à 2000 cc et depuis 1993, sur toutes les nouvelles voitures à essence. PAGE 8 SUR 11 JANVIER 2012
9 Entre 1990 et 2008, la production de chaleur et d électricité via, principalement des installations de cogénérations fonctionnant au gaz naturel, a augmenté entraînant ainsi des émissions de CO 2 plus importantes. Les émissions fugitives ont continuellement diminué entre 1990 et 2008 grâce à la diminution des fuites sur le réseau de distribution de gaz naturel. Les émissions de la catégorie «Autres» ont diminué à partir de 1992 (cela s explique par la fermeture progressive de la cokerie du Marly en 1993) et ont augmenté à nouveau par la suite. Cette évolution dépend en grande partie des variations d émissions de CO 2 dans les transports fluvial et ferroviaire. La méthode de calcul de la consommation énergétique du transport fluvial a été modifiée entre 2005 et 2006 : elle est calculée à partir des données de trafic et des consommations spécifiques par type de bateau alors qu avant elle était calculée sur base de l estimation de vente de carburants. De plus, depuis 1990, les péniches consomment moins de carburant. Les émissions de CO 2 issues du transport ferroviaire ont aussi diminué ces dernières années. Ceci s expliquant par une hausse de consommation d électricité pour la traction à la place du mazout. De plus, la gare de Schærbeek Formation a fermé en 2006 ce qui a entraîné une diminution des trajets ferroviaires en RBC et donc de consommation Comparaisons régionales En 2008, les émissions de la RBC comptent pour 3% dans le total des émissions belges. Le Tableau indique la part d émissions de CO 2, CH 4 et N 2 O pour chaque Région par rapport aux émissions totales belges. Tableau Emissions de CO 2, CH 4 et N 2 O belges et régionales en 2008 Source : Eionet, Central Data Repository, 2011 Belgian reporting 280/2004/EC Belgique Région flamande Région wallonne Région bruxelloise kt CO 2éq kt CO 2éq % / BE kt CO 2éq % / BE kt CO 2éq % / BE CO % % % CH % % 34 0,5% N 2 O % % 79 1,1% Total % % % Les Régions flamande et wallonne émettent proportionnellement plus de CH 4 et de N 2 O que la RBC. Ces émissions proviennent principalement de certaines activités agricoles telles que l élevage, la gestion des effluents et l épandage d engrais azotés sur les sols et de certains procédés de l industrie chimique. En 2008, hors gaz fluorés, la RBC a rejeté dans l atmosphère 3928 ktonnes CO 2éq d origine anthropique. Ceci correspond à 3,7 tonnes de CO 2éq par habitant et par an contre 12,5 tonnes pour la Région flamande, 13,7 tonnes pour la Région wallonne et 12 tonnes en moyenne pour la Belgique. Tableau Emissions belges et régionales de CO2, CH4 et N2O rapportées au nombre d'habitants (t/hab) Source : Institut national des statistiques et Eionet, Central Data Repository, 2011 Belgian reporting 280/2004/EC Belgique Région flamande Région wallonne Région bruxelloise Habitants CO 2 / hab 10,8 11,5 11,6 3,6 CH 4 / hab 0,6 0,7 0,6 0,03 N 2 O / hab 0,7 0,6 1,1 0,1 CO 2éq / hab 12 12,5 13,7 3,7 PAGE 9 SUR 11 JANVIER 2012
10 3. Objectifs à l'émission 3.1. Réglementation La Convention cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (New-York, 1992) a pour objectif de stabiliser les concentrations de GES dans l atmosphère à un niveau supportable par l homme et son environnement. Ce niveau est estimé à une concentration stabilisée en 2100 à 550 ppm correspondant à une augmentation maximale de la température de la Terre, d ici 2100, de 2 C par rapport au début de l ère industrielle. Les engagements de la Convention ont été renforcés par l adoption du Protocole de Kyoto (1997) qui impose aux pays industrialisés de réduire leurs émissions globales pour six gaz -ou familles- de GES : le CO 2, le CH 4, le N 2 O, les HFCs, les PFCs et le SF 6. Pratiquement, ces six gaz sont combinés en un "pot commun", chaque GES étant pondéré suivant son pouvoir de réchauffement : "l'équivalent CO 2 " (voir Tableau 39.1). La Belgique s est engagée à réduire ses émissions pour l'ensemble de ces six gaz de 7,5% par rapport aux niveaux de 1990 au cours de la période de 2008 à L accord sur la répartition des charges entre les régions et le fédéral de l objectif belge du Protocole de Kyoto attribue aux régions comme objectifs de réduction des émissions de GES par rapport aux émissions de 1990 : une diminution de 7,5% pour la Wallonie et 5,2% pour la Flandre et une augmentation de 3,475% pour la RBC 4. La somme des objectifs des trois régions ne permet pas d atteindre l objectif national. Dès lors l écart vis à vis des plafonds autorisés et l objectif national de 7,5%, soit environ 2,44 millions de tonnes (Mt) de CO 2 par an durant la période de 2008 à 2012, est pris en charge par le fédéral par le biais de l achat de crédits CO 2 et rétrocédé à la Flandre (2,02 Mt) et à la RBC (0,44 Mt). Le 19 juillet 2001, le Gouvernement régional bruxellois a approuvé l'ordonnance portant assentiment au Protocole de Kyoto Distance à l'objectif En 2008, les émissions régionales de GES régis par le Protocole de Kyoto sont 2,3% supérieures par rapport à Les émissions belges de GES sont quant à elles inférieures de 4,6% par rapport aux émissions de La réalisation de l objectif de réduction des émissions de GES à hauteur de 7,5% par rapport aux émissions de 1990 dépend en partie des conditions climatiques entre 2008 et Il est néanmoins nécessaire de mettre en place des actions supplémentaires pour assurer la réalisation de cet objectif. Selon les projections, si aucune mesure additionnelle n est mise en place, l objectif ne sera en effet atteint que si le climat est chaud durant cette période. 4. Concentrations de GES dans l air ambiant En RBC, seules les concentrations de CO 2 sont mesurées. Il n existe pas pour les GES, de valeurs limites de concentrations. Sources 1. ICEDD, mai Bilan énergétique de la Région de Bruxelles-Capitale 2008, rapport final 2. Inventaires des émissions atmosphériques en Région de Bruxelles-Capitale ; notes internes non publiées ; Dpt Planification Air Energie Climat 3. VMM, VITO, AWAC, IBGE-BIM, CELINE-IRCEL and DG Environment - Climate Change Section, April Belgium's National Inventory System for the estimation of anthropogenic greenhouse gas emissions by sources and removals by sinks under Article 5, paragraph 1, of the Kyoto Protocol, 45 pp. Liens Internet European Environnement Information and Observatory Network (Eionet), Central Data Repository, 2010 Belgian reporting 280/2004/EC for the year 2008 Update 22 October 2010, 4 Des spécificités telles que des problèmes de mobilité et d utilisation d énergie pour le chauffage des bâtiments, auxquelles il ne peut être remédié à court terme, ont en effet été reconnues pour la Région. PAGE 10 SUR 11 JANVIER 2012
11 Autres fiches à consulter Thématique Air données de base pour le plan 3. La réglementation en matière de pollution atmosphérique en vue de protéger la santé publique au niveau local 4. Les accords internationaux pour limiter la pollution atmosphérique globale afin de protéger les écosystèmes et l homme 11. Dioxyde de carbone 12. Méthane 13. Protoxyde d'azote Auteur(s) de la fiche SQUILBIN Marianne, VANHOMWEGEN Sophie Relecture : CHEYMOL Anne, BLAVIER Géraldine, VERBEKE Véronique PAGE 11 SUR 11 JANVIER 2012
Bilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailBILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1
BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne
Plus en détailRéglementation européenne prise en application du Protocole de Montréal
Réglementation européenne prise en application du Protocole de Montréal Clarisse DURAND Chargée de mission Substances appauvrissant la couche d'ozone - Gaz à effet de serre fluorés Bureau des Substances
Plus en détailCIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010
CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailFrance Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012
France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détail1. CONTEXTE...4 2. AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 3. DÉFINITIONS...7
Septembre 2011 Méthode pour la réalisation des bilans d émissions de Gaz à effet de serre conformément à l article 75 de la loi n 2010788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l environnement
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailBILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE
Bilan Carbone Agence de Services et de Paiement Auvergne Bureau Veritas Service Maîtrise des Risques HSE 21-23 rue des Ardennes 75 936 PARIS cedex 19 Dossier n 2355095/8 BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET
Plus en détailLA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1)
Incorporées aux produits (2) LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1) TABLEAU 1 TOTAUX Émissions de gaz à effet
Plus en détailPlan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois
Plan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois I - Le changement climatique A) L effet de serre 1 Un phénomène naturel. 2 Les différents gaz à effet de serre. 3 Les effets probables
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailDrôme Service Nettoyage (DSN)
Drôme Service Nettoyage (DSN) Bilan des émissions des Gaz 1/25 à Effet de Serre Conformément à L article 75 de la loi n -788 du 12 juillet portant engagement national pour l environnement (ENE) *** 21/12/2012
Plus en détailLA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE
LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LIVRET D'ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE Passer de citoyen témoin à citoyen acteur en intégrant la préservation de l environnement au quotidien, c est utile et c est possible
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailBILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE SELON LE DECRET DU 11 JUILLET 2011
BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE SELON LE DECRET DU 11 JUILLET 2011 POLYCLINIQUE BORDEAUX NORD AQUITAINE 15 RUE CLAUDE BOUCHER 33 000 BORDEAUX REVISION 0 1 DATE 11/12/12 15/12/2012 - Révision
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailRÈGLEMENTS. Journal officiel de l Union européenne L 286/1. (Actes pris en application des traités CE/Euratom dont la publication est obligatoire)
31.10.2009 Journal officiel de l Union européenne L 286/1 I (Actes pris en application des traités CE/Euratom dont la publication est obligatoire) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (CE) N o 1005/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN
Plus en détailTarifs verts Assurance voiture. Un geste pour l'environnement
Tarifs verts Assurance voiture Un geste pour l'environnement Respecter la nature, c est faire le bon choix Penser au futur Le réchauffement climatique L atmosphère terrestre contient de plus en plus de
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailINFORMATIONS LES EXPLOITANTS D ÉQUIPEMENTS CONTENANT DES GAZ À EFFET DE SERRE FLUORÉS
INFORMATIONS pour LES EXPLOITANTS D ÉQUIPEMENTS CONTENANT DES GAZ À EFFET DE SERRE FLUORÉS Équipements fixes de réfrigération, de climatisation et de pompes à chaleur Règlement (CE) n 842/2006 relatif
Plus en détailNOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE
CONSTATS ET ENJEUX CHAPITRE 1 - NOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE GRANDEURS - CDDRA DE LA DRÔME DES COLLINES - - Juin 2011 POINT INFORMATION ENERGIE 44 RUE FAVENTINES, BP 1022, 26010 VALENCE CEDEX tél. 04
Plus en détailoption pour le climat?
Biosolides municipaux Quelle est la meilleure option pour le climat? Claude Villeneuve, professeur titulaire, directeur de la Chaire en éco-conseil de l Université du Québec à Chicoutimi (Claude_Villeneuve@uqac.ca)
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailDIRECTIVE 2006/40/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
L 161/12 FR Journal officiel de l'union européenne 14.6.2006 DIRECTIVE 2006/40/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 17 mai 2006 concernant les émissions provenant des systèmes de climatisation des
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailÉconomiser l Électricité
Économiser l Électricité c est simple Document réalisé par l Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Observatoire Régional de l Énergie Midi-Pyrénées
Plus en détailLA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailPlan Climat Énergie. Territorial
Plan Climat Énergie Territorial Avril 2014 Rédaction : Anne LASTMANN, Gilles GRANDVAL, Gaël LAMBERTHOD Mosaïque Environnement Contribution et Rédaction : l ensemble des services du Conseil général de la
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailDate 16/09/2013 Révision 00 Rem. Début
Page 1 sur 8 Date 16/09/2013 Révision 00 Rem. Début Flux d'émissions Projets de dragage BeNeLux (sans avantage) Projets de dragage hors BeNeLux (outside boundery) Bureaux Bergen-op-Zoom (outside boundery)
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailsixième communication nationale de la france
Octobre 2013 sixième communication nationale de la france à la convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques Ministère de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailUN EXEMPLE D INSTRUMENT ÉCONOMIQUE DE PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT :LA RÉDUCTION DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ET LA CRÉATION D UN MARCHÉ
UN EXEMPLE D INSTRUMENT ÉCONOMIQUE DE PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT :LA RÉDUCTION DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ET LA CRÉATION D UN MARCHÉ Contribution pour les Xes Journées Juridiques franco-chinoises
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailRésumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB
Comparaison des émissions de CO 2 par mode de transport en Région de Bruxelles-Capitale Résumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB 100% Papier recyclé Janvier 2008 Résumé Déplacer
Plus en détailRéalisation. Diffusion
Édition 2004 Édition 2004 Réalisation Cette publication a été préparée par la Direction des politiques et des technologies de l énergie, Secteur de l énergie et des changements climatiques, ministère
Plus en détailRésidence des Badinières
Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)
Plus en détailLA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE
LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LIVRET D'ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE Passer de citoyen témoin à citoyen acteur en intégrant la préservation de l environnement au quotidien, c est utile et c est possible
Plus en détailTable des matières. Synthèse... 3 Introduction... 7 I. Diffusion de la climatisation en métropole... 8
Table des matières Synthèse... 3 Introduction... 7 I. Diffusion de la climatisation en métropole... 8 I.1. La climatisation des bâtiments... 8 I.1.1) La notion de rafraîchissement et de climatisation...8
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailServices Facilitateur Energie Secteur Tertiaire et aides financières pour le secteur tertiaire en Région bruxelloise
Services Facilitateur Energie Secteur Tertiaire et aides financières pour le secteur tertiaire en Région bruxelloise Horia Bali Bruxelles, le 7 octobre 2009 Aperçu des aides disponibles en RBC Les services
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailComptes de la folie (auto)routière 1
INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Rue des Fusillés, 7 B-1340 Ottignies Tél : 010.41.73.01 E-mail : idd@iddweb.be Comptes de la folie (auto)routière 1 par Philippe
Plus en détailLes devoirs du Détenteur d équipements
P o u r u n e u t i l i s a t i o n r e s p o n s a b l e d e s f l u i d e s f r i g o r i g è n e s AFCE - Association loi 1901, créée en 1995 : Groupement des industriels et utilisateurs du Froid et
Plus en détailGUIDE DE L AGENT ÉCORESPONSABLE. pour économiser les fournitures et les ressources
GUIDE DE L AGENT ÉCORESPONSABLE pour économiser les fournitures et les ressources En route vers une administration écoresponsable Aujourd hui notre planète est en danger : sa biodiversité est menacée.
Plus en détailBILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP
BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre Année 2011 P a g e 2 Sommaire 1. Description de la personne morale concernée... 3 2. Année de reporting et année de référence... 5 3. Résultats consolidés...
Plus en détailInventaire des émissions de gaz à effet de serre 2002-2003 Collectivité montréalaise
Inventaire des émissions de gaz à effet de serre 2002-2003 Collectivité montréalaise Peut être reproduit en tout ou en partie à condition d en citer la source : Logé, H. (2006), Inventaire des émissions
Plus en détailAide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009
Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale
Plus en détailCap sur la croissance!
Cap sur la croissance! EDORA Qui sommes-nous? Fédération de producteurs ER Plus de 85 Membres: Toutes les filières ER (éolien, biomasse, hydro, solaire) De la (très) grande et la (toute) petite entreprises
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détailBilan d émissions de gaz à effet de serre
Bilan d émissions de gaz à effet de serre Rapport de restitution et synthèse d action Décembre 2012 édito La réduction des GES est un levier essentiel de la croissance durable Acteur majeur de l économie
Plus en détailRemerciements. EFMA European Fertilizer Manufacturers Association Av E. Van Nieuwenhuyse, 4 B-1160 Brussels-Belgium www.efma.org
Remerciements Ce dossier technique est pour une grande part la traduction de la brochure EFMA publiée en anglais Producing bioenergy and making the best of european land sous la direction de Christian
Plus en détailGuide du bon contrôle de fuite
Projet ZERO émissions et fuite de fluide frigorigène Guide du bon contrôle de fuite Traduit et adapté à la France par l www.afce.asso.fr Page 0 Guide du bon contrôle de fuite L Institut de Réfrigération
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détailDeuxième rapport national du Canada. climatiques
Deuxième rapport national du Canada sur les changements climatiques Mesures prises en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques 1997 Mise à jour novembre 1997 DEUXIÈME
Plus en détailUn fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche
Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet
Plus en détailDiagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS)
Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : INRS, Association loi 1901 Code NAF : 7219Z Code SIREN
Plus en détailTERRITOIRES DURABLES PCT CLIMAT-ENERGIE TERRITORIAL. Construire et mettre en œuvre GUIDE MÉTHODOLOGIQUE. s s our ces. nt r e de. www.pcet-ademe.
CLIMAT-ENERGIE TERRITORIAL nt r e de GUIDE MÉTHODOLOGIQUE re Ce TERRITOIRES DURABLES Construire et mettre en œuvre un PLAN s s our ces e PCT www.pcet-ademe.fr Ce document a été édité en décembre 2009 par
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailUne formation obligatoire pour les frigoristes et les mécaniciens en protection-incendie qui travaillent avec les halocarbures.
Une formation obligatoire pour les frigoristes et les mécaniciens en protection-incendie qui travaillent avec les halocarbures. À compter du 1 er juin 2007, les frigoristes* et les mécaniciens en protection-
Plus en détailLE NOUVEAU RÈGLEMENT F-Gaz. Promouvoir l efficacité énergétique et une gestion responsable des fluides frigorigènes
Promouvoir l efficacité énergétique et une gestion responsable des fluides frigorigènes Heating and cooling is your life and our mission LE NOUVEAU RÈGLEMENT F-Gaz Introduction L EPEE (European Partnership
Plus en détail