FORUM DES SOLIDARITES NORD-SUD (1-2-3 décembre 2005, Marseille) Synthèse et conclusions du Forum de la microfinance
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- Jean-Pascal Lachance
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1 FORUM DES SOLIDARITES NORD-SUD (1-2-3 décembre 2005, Marseille) Synthèse et conclusions du Forum de la microfinance Voici 5 ans, la GUILDE et PlaNet Finance organisaient leur premier forum consacré à la microfinance, avec le concours inoubliable de Mohamad Yunus, le «pape» de la «Banque du pauvre». L avenir du micro-crédit apparaissait très prometteur, mais qui se serait douté que nous allions assister à une véritable explosion de cette activité économique? Non seulement son développement, en 5 ans, a été très important, mais les perspectives sont aujourd hui extraordinairement favorables, sans comparaison avec celles d autres secteurs d activité, même les plus dynamiques. C est sans doute pourquoi les débats de ce forum ont été si intéressants et si riches, ne laissant guère de sujet dans l ombre et permettant de dresser un tableau très complet des potentialités, mais aussi de certaines difficultés, de développement de la microfinance dans le monde. Nous tenterons d en rendre en compte en examinant successivement : - Le développement de la microfinance - Les domaines ou secteurs d intervention de la microfinance - L efficacité de la microfinance - Quelques problèmes sensibles pour le développement de la microfinance I. Le développement de la microfinance Nous nous intéresserons successivement : - Au développement de l offre de services - Au mode de fonctionnement des IMF - Aux moyens nécessaires aux IMF 1. Le développement de l offre de services a- Ce développement a touché en premier lieu les prêts octroyés, qui portent désormais sur des utilisations largement diversifiées, au-delà du financement du fond de roulement classique : investissements productifs (avec des montants de plus en plus importants), dépenses d éducation, dépenses pour la construction ou la réhabilitation du logement. b- Mais d autres services financiers accompagnent désormais le crédit : l épargne, qui est importante pour le financement de l activité de crédit mais qui n est pas possible dans tous les pays, et l assurance qui protège le bénéficiaire (incapacité, décès), bien qu elle ne soit pas proposée par toutes les IMF. c- D autres services, dits annexes, se développent de plus en plus dans le domaine de la formation, soit à la microfinance elle-même, soit à l activité du bénéficiaire lorsque le prêt se rapporte à l exercice de cette activité, c est-à-dire pour les micro-entreprises. Cette dernière «cible» a souvent besoin d aide pour trouver des débouchés à sa production. Dans ce domaine elle peut : 1
2 - Avoir recours à l aide de diverses institutions publiques internationales, entre autres la Commission Européenne, dont Mr de Coninck nous a rappelé l importante contribution et les types de financement qu elle proposait dans ce domaine. - Avoir recours au commerce équitable, encore limité aujourd hui, mais appelé à se développer, en étroite coopération avec les IMF, dès lors qu il surmontera deux grandes difficultés : - L adéquation de l offre aux spécificités des pays concernés (pays développés) et la capacité à satisfaire les contraintes de distribution (quantités, planning d approvisionnement, etc.) - Le respect de «l équité-sur-place», c est-à-dire des rémunérations réelles de la main d œuvre locale par les producteurs, nécessitant souvent un contrôle en conséquence. - Recevoir une formation marketing élémentaire à une commercialisation sur place (pour les produits ou services commercialisés dans le pays de production). 2. Le mode de fonctionnement des IMF - Madame Javoy, de PlaNet Finance, nous a rappelé quels principes PlaNet Finance s efforce de faire appliquer par les IMF, mettant l accent sur la viabilité de l institution (efficacité organisationnelle, efficacité opérationnelle et auto-suffisance financière) et sur les conditions du succès (qualité et durabilité des services, accessibilité pour tous). - Dans cette exigence de méthodes de management rigoureuses, les mesures d impact ont une place essentielle. Impact financier certes, mais impact social tout autant. Et Madame Poursat (au nom du GRET et de CERISE) nous a expliqué que, plutôt que de vouloir mesurer des impacts sociaux difficiles à appréhender, il valait sans doute mieux contrôler les objectifs et les moyens que se donnait l IMF pour les atteindre. - Plusieurs intervenants ont d autre part démontré combien il est essentiel d adapter la forme institutionnelle de l IMF aux conditions locales, politiques notamment. Dans ce domaine il n est malheureusement pas rare que, au moins à certains stades du développement de la microfinance, ces conditions ne soient pas favorables, comme c est le cas par exemple en Chine ou dans les pays arabes ou de la zone MENA. Certes la formule de la banque commerciale spécialisée a, dans l ensemble, largement supplanté les autres formes institutionnelles qui l avaient précédée. Mais il reste encore à choisir le type d actionnariat le mieux adapté (actionnariat populaire, participation des caisses locales, etc.). 3. Les moyens a- Au niveau des moyens financiers, deux ateliers ont traité des conditions dans les quelles les IMF peuvent espérer les attirer. - En ce qui concerne le secteur privé non bancaire, les exemples sont nombreux d entreprises privées qui ont apporté leur aide au développement de la microfinance sous les formes les plus diverses : - En Mongolie, c est un donateur privé qui aide la XAC Bank à se lancer. - Dans divers PVD, c est Sanofi Aventis qui œuvre pour prévenir contre la malaria. - Aux côtés de PlaNet Finance, c est Ernst & Young qui s implique dans le domaine du mécénat des compétences. - Sans parler du cas de Mr Casagrande, homme d affaires dynamique qui crée lui-même son IMF aux îles Samoa. La condition majeure du succès vis-à-vis de donateurs du secteur privé, c est, une fois de plus, la rigueur de gestion. 2
3 - En ce qui concerne le secteur bancaire, un exemple intéressant est celui de la Société Générale, qui refinance des IMF, prend des participations dans leur capital, leur apporte une assistance technique. Mais on assiste également à une entrée directe des banques dans le secteur de la microfinance, dont des exemples assez différents ont été donnés. Cette participation des banques à la microfinance, down scaling ou apport de financement aux IMF, suscite toutefois beaucoup d interrogations sur le plan éthique. b- Au niveau des moyens opérationnels, une préoccupation dominante, celle d aller jusqu à sa cible, au prix d une décentralisation maximale au niveau du terrain. Cette condition, aiguë dans le secteur rural - nous y reviendrons -, est toutefois difficile à remplir sans hypothéquer la rentabilité des services. Mais la Te Creemos, au Mexique, nous donne une magnifique leçon d innovation dans ce domaine, en nous montrant comment on peut s appuyer sur une réseau de distribution existant, en l occurrence un réseau de drugstores. II. Domaines et secteurs d intervention Les nombreux ateliers du forum ont permis de mesurer la diversité des domaines et secteurs d intervention de la microfinance. - Santé On a pu constater que les ponts entre la Santé et la microfinance avaient leur importance. Non seulement pour ce qui concerne les polices d assurance qui accompagnent de plus en plus les prêts, mais également dans le domaine de la sensibilisation des bénéficiaires potentiels aux questions de santé (SIDA, paludisme, etc.). - Développement rural L atelier qui lui était consacré a souligné les grandes difficultés que rencontre le micro-crédit du fait de la dispersion territoriale, du niveau de pauvreté des agriculteurs, du niveau parfois élevé du risque, des problèmes créés par la saisonnalité de la production, etc. Le micro-crédit rural pose souvent de tels problèmes que l on peut se demander s il est raisonnable de le soumettre aux mêmes exigences de rentabilité que d autres applications du micro-crédit. - Tourisme rural Dans ce secteur, le micro-crédit doit être totalement adapté à l activité qu il sert : activité de service, saisonnière, très «technique» car le prestataire de service doit répondre correctement aux attentes de clients-visiteurs qu il ne connaît guère, activité générant des revenus différés et impliquant une coordination avec les pouvoirs publics. Mais le tourisme rural constitue une activité très attrayante dans la mesure où, pour une fois, c est le client qui vient au prestataire - Enseignement et formation professionnelle On voit des IMF produire des efforts importants pour ouvrir les bénéficiaires à la connaissance et à la bonne pratique du crédit : au Bangladesh, en Bolivie, au Burkina, au Maroc, etc. On voit également un effort soutenu pour améliorer la compétence des IMF, par exemple avec SANABEL dans les pays arabes. Par ailleurs les IMF doivent évidemment, dans le cadre du développement de leur gamme de prêts vers la micro-entreprise, proposer des formations spécifiques aux activités qu elles financent.. - Situations d urgence 3
4 Le micro-crédit a montré sa vulnérabilité au Bangladesh, lors des innondations de 1998, où les remboursements se sont évidemment brusquement interrompus. Mais il a montré son efficacité en Sierra Leone, lorsqu il s est agi de résoudre les problèmes des déplacés. Quant au cas du Tsunami, il est vrai hors du commun, il a montré combien le micro-crédit pouvait être déstabilisé par des arrivées massives de dons financiers. III. L efficacité de la microfinance Un atelier important a été consacré à la réduction de la pauvreté, objectif premier que tous les acteurs s accordent à donner à la microfinance. Mais il nous faut nous interroger plus largement sur les différents impacts de la microfinance. Sur ce sujet, techniquement très difficile, on peut tenter de tirer des conclusions générales, mais on peut aussi recourir, de manière plus qualitative et moins scientifique, aux témoignages des IMF. a- Quelques exemples - Lorsque la K-Rep, au Kenya, nous dit qu elle a un portefeuille de 30 millions de $ de prêts, ou l ASA, au Bangladesh, de 200 millions de $ - Lorsque la Grameen Bank nous dit qu elle a aujourd hui 5.3 millions d emprunteurs et quand on sait que l on comptabilise déjà 1.3 million de bénéficiaires dans la zone MENA, pourtant encore dans la phase de décollage de la microfinance - Lorsque l on voit l explosion de l offre de services de CARD aux Philippines ou de la Grameen Bank au Bangladesh on doit bien convenir que l activité des IMF a véritablement décollé dans le monde. D ailleurs Mr Brouwer, de Catalyst Microfinance Investors (NdL) nous a présenté des projections à court et moyen terme qui sont véritablement impressionnantes, au niveau des chiffres d affaires. comme des profits! b- Quelques résultats «scientifiques» - Mr Pariente, de PlaNet Finance, nous a fait un remarquable exposé dans ce domaine, commençant par nous exposer pourquoi l approche scientifique de l efficacité de la microfinance est un problème aujourd hui complexe et mal maîtrisé. Essentiellement par manque de données, secondairement pour des raisons inhérentes au problème posé, dans lequel les effets induits sont extrêmement difficiles à apprécier (ce qui n empêche pas la mise au point de batteries d indicateurs normalisés). - Mr Celentano, de PlaNet Finance Brazil, a renchéri sur ce constat en s interrogeant sur notre capacité à chiffrer la pauvreté, mentionnant notamment l indice GINI, qui tente de mesurer l inégalité. Il nous a d ailleurs rapporté une très intéressante étude sur l état de Santa Catarina, au Brésil, ayant montré que la conjonction d une politique de développement de la micro-entreprise et des supports de microfinance avait permis la réduction à la fois de la pauvreté et de l inégalité. - Malgré toutes les réserves méthodologiques, que peut-on dire aujourd hui? - Le nombre d emprunteurs de micro-crédit est aujourd hui de l ordre de 70 millions. Quelle que soit l évaluation de la population des «pauvres», sensiblement différente d une étude à une autre selon les critères de comptabilisation choisis, ce nombre témoigne d une pénétration appréciable. 4
5 - Les effets économiques semblent sensibles au niveau des profits des activités des microentreprises et au niveau des transactions. - Les résultats sont mitigés au niveau des investissements et des emplois, seuls les plus riches des pauvres semblant en tirer avantage. - Le micro-crédit aux petites entreprises est plus performant si l activité existe déjà. - Il a un impact positif et un effet de stabilisation de la consommation. - Il renforce le pouvoir des femmes - Les effets du micro-crédit au niveau de l éducation et de la santé sont probables mais non mesurables. En définitive le micro-crédit semble avoir des résultats plus que significatifs, mais néanmoins variables et imprécis. Au niveau des plus pauvres il n est pas évident qu il réduise la pauvreté et semble avoir plutôt un rôle d assurance et de réduction de la vulnérabilité. L accès aux infrastructures de base, à l éducation et à la commercialisation semble insuffisant. IV. Quelques problèmes sensibles A partir de tous ces constats et analyses, on voit apparaître un certain nombre de sujets sur lesquels il importe de trouver des réponses à des problèmes qui handicapent la microfinance dans son objectif d améliorer les conditions de vie des populations défavorisées. 1. L impact de la microfinance sur les très pauvres et les ruraux semble véritablement insuffisant. Le micro-crédit doit certainement développer ses services à cette cible sous une forme «spécifique», notamment avec une analyse de rentabilité adaptée. 2. Si le micro-crédit doit se développer, ce qui semble à la fois probable et souhaitable, il faut se poser réellement le problème des débouchés et lui trouver des solutions opérationnelles, notamment à l exportation. C est là un terrain d intervention étranger à la plupart des IMF. 3. Le système de prévoyance, déjà en place ici ou là, doit être développé pour protéger les emprunteurs de risques individuels. Mais sans doute doit-il se porter également, sous des formes qui restent à définir, sur les risques, climatiques ou autres, qui touchent des pays ou des régions. 4. Le développement de l éducation est un autre domaine où la microfinance doit se développer, en dépit des problèmes techniques et financiers que cela pose, du fait que l éducation n engendre pas de revenus, sinon à moyen terme. Mais la connaissance n est-elle pas le bien le plus précieux, une fois que les besoins de base ont été satisfaits? 5. Enfin nous ne saurions terminer sans mentionner un problème sensible majeur, et qui n a pas fini de l être, celui du conflit ou de l équilibre entre impératifs de rentabilité et impératifs socio-humanitaires. Mr Mutua de la K-Rep l a appelé la «tension créative» du management d une IMF, et nous lui empruntons bien volontiers cette expression qui veut positiver la difficulté. * 5
6 Pour conclure, je voudrais évoquer Mohamad Yunus, qui était avec nous il y a 5 ans lors de notre premier forum sur la microfinance, à Agen. Il nous a montré la voie et ce fut, pour beaucoup d entre nous, une révélation. Je veux saluer la manière remarquable dont sa Grameen Bank se développe, continuant de nous monter la voie quand elle transforme des «beggars» en «strugglers», quand elle développe énergiquement sa gamme de services, quand elle entretient sa philosophie d actionnariat populaire et de participation intensive des femmes au management, quand elle fait preuve de créativité en lançant ses «téléphone ladies», et tout ceci en gardant un objectif raisonnable de rentabilité. Mohamad Yunus, merci! Par Michel HUGUES Guilde européenne du Raid 6
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