Enquête Escal Janvier 2005

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1 Enquête Escal Janvier 2005

2 L enquête Escal a été réalisée par la Cellule inter-régionale d épidémiologie (Cire) Antilles-Guyane et l Observatoire de la Santé de la Martinique (OSM). Analyse des données : Rédaction : Financement : Vanessa Cornély Claude Flamand pour la préparation de la base de données Vanessa Cornély Sylvie Merle pour l introduction Caisse générale de la Sécurité Sociale Martinique Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 2

3 Introduction 4 Population et méthode 6 Résultats 7 1. Description de l échantillon Escal 7 2. Consommation de tabac chez les adultes (plus de 15 ans) 8 Fumeurs occasionnels et réguliers 9 Types de cigarettes consommées et approvisionnement des fumeurs actuels 10 Anciens fumeurs occasionnels et réguliers 10 Tabagisme et mode de vie Consommation de tabac chez les jeunes Avis sur le tabac 13 Discussion 13 Bibliographie 16 Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 3

4 INTRODUCTION Il est désormais admis que la consommation de tabac est un facteur de risque de nombreuses maladies et qu un fumeur sur deux mourra de son tabagisme. Devant l impact de plus en plus marqué en termes de santé publique de cette substance psycho-active, la politique nationale de lutte contre le tabagisme a été renforcée. En Martinique, la Caisse Générale de Sécurité Sociale (CGSS) est un des relais chargés d informer le grand public et les professionnels et de mettre en place des actions de prévention avec comme objectif notamment de réduire la prévalence du tabagisme dans la population. Avant de mettre en place ces actions, il est nécessaire de connaître précisément les caractéristiques du tabagisme en Martinique. Chez les jeunes scolarisés, des enquêtes menées régulièrement depuis 1994 par les médecins de santé scolaire et l Observatoire de la santé de la Martinique permettent de suivre la consommation de tabac [1,2,3]. Depuis 2000, l Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l Appel de Préparation A la Défense (ESCAPAD) élargit l étude de la consommation de tabac à une population de jeunes non scolarisés [4]. Dans le reste de la population et notamment chez les adultes, les connaissances sont moins précises. Les deux sources utilisées jusqu à présent sont l enquête ACSAG (Analyse des Comportements Sexuels aux Antilles et en Guyane) [5] et l enquête «Alcool en médecine générale» [6]. En 1992, à la demande des pneumologues, des questions sur la consommation de tabac ont été intégrées au questionnaire de l enquête ACSAG. Pour la Martinique, un échantillon de personnes de 18 à 69 ans a été interrogé en face à face. En , les observatoires régionaux de santé ont réalisé dans chaque région une enquête avec la clientèle des médecins généralistes. Si cette enquête a montré que la Martinique était une des régions où l on fumait le moins, elle a aussi concerné une population majoritairement constituée de femmes et de personnes âgées de 65 ans et plus qui ne sont pas les plus consommatrices de tabac. Il devenait donc nécessaire de disposer de chiffres récents sur la consommation de tabac en population générale. Parallèlement à cette problématique tabac, la Direction de la santé et du développement social (DSDS) de Martinique a décidé de faire de la nutrition une priorité de santé publique s inscrivant dans le Programme National Nutrition Santé (PNNS). La dernière enquête relative à l état nutritionnel et aux habitudes alimentaires de la population martiniquaise avait été menée en 1981 par une équipe de l'office de la Recherche Scientifique et Technique Outre-Mer (Orstom 1 ) associée à de nombreux 1 Actuel Institut de Recherche et Développement (IRD) Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 4

5 professionnels locaux [7]. Cette enquête avait concerné 445 familles, soit un total 1937 personnes et servait de référence pour les études et les décisions de santé publique dans le domaine de la nutrition en Martinique. Cependant, 20 ans après, les conclusions de cette enquête n étaient probablement plus adaptées aux conditions socio-économiques de la société martiniquaise. Afin de mieux connaître l état nutritionnel et l état de santé en rapport avec l alimentation de la population martiniquaise, la DSDS a demandé à l Observatoire de la santé de la Martinique de réaliser une enquête en population générale permettant d actualiser les connaissances dans ce domaine. Ce contexte est le point de départ de la mise en place d ESCAL, Enquête sur la Santé et les Comportements ALimentaires en Martinique. L enquête ESCAL a pour objectifs principaux de : Connaître l état de santé de la population martiniquaise Connaître l état nutritionnel de la population Connaître les habitudes alimentaires et les modalités d approvisionnement de la population martiniquaise. L'Observatoire de la santé de la Martinique s est associé à la Cellule inter-régionale d épidémiologie (Cire) Antilles-Guyane pour mener à bien cette enquête. La Caisse Générale de Sécurité Sociale de Martinique a financé la réalisation d un volet spécifique pour recueillir des informations relatives à la consommation de tabac dans la population générale. Si l enquête Orstom du début des années 1980 s était intéressée à l épidémiologie de l alcoolisme en mesurant des critères biologiques permettant de diagnostiquer l exposition aux pathologies alcooliques, la question du tabagisme n avait pas été abordée [7]. L enquête Escal est donc l occasion de mieux connaître le tabagisme et ses caractéristiques dans la population. Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 5

6 POPULATION ET METHODE L enquête Escal est une enquête épidémiologique descriptive transversale. La population cible de l étude est la population martiniquaise âgée de 3 ans et plus soit personnes (recensement 1999 INSEE). La base de sondage est la base «1999- îlots 15» de l INSEE. Elle partage la Martinique en îlots regroupant un ensemble de foyers (résidences principales). Un sondage par grappes à deux degrés a été effectué. Premièrement, des îlots ont été tirés au sort. Ensuite, dans chacun de ces îlots, 5 foyers ont été tirés au sort. Au sein de ces foyers, les personnes interrogées étaient celles vivant dans le logement et répondant aux critères d inclusion suivants : Vivre dans le foyer tiré au sort au moins 4 jours par semaine Résider en Martinique depuis plus de 12 mois Etre âgé de 3 ans et plus Etre capable de répondre au questionnaire. Escal s est déroulée en 2 phases, du 17 novembre au 5 décembre 2003 et du 27 janvier au 13 février Trente-cinq binômes d enquêteurs issus de diverses institutions 2 ont mené l enquête Escal dans les foyers martiniquais tirés au sort. La passation des questionnaires se faisait en face à face au sein des foyers. Lors de la première phase, deux questionnaires étaient administrés dans les familles. La personne référente du foyer répondait à un questionnaire relatif à la composition et aux caractéristiques socioéconomiques du foyer. A chaque individu, était administré un questionnaire Santé. Les informations recueillies concernaient les maladies et affections chroniques (hypertension artérielle, diabète, asthme, cholestérol), les habitudes alimentaires, l activité physique, le rappel des 24 heures (aliments ingérés les 24 heures précédant le jour d enquête) et le tabagisme. Ce questionnaire Santé existait en 2 versions, une pour les adultes (plus de 15 ans) et une plus courte pour les enfants (3 à 15 ans). Lors de la seconde phase, le questionnaire Approvisionnement permettait de renseigner les lieux d achat des produits alimentaires consommés dans le foyer. Le questionnaire fréquentiel sur la fréquence de consommation individuelle de différents produits était posé à chaque membre du foyer. 2 Conseil Général (services des actions de santé et de la protection maternelle et infantile), Association départementale d aide aux familles et d action éducative, Comité martiniquais de prévention et d éducation pour la santé, Institut de formation en soins infirmiers, Mairies des Anses d Arlet, de Bellefontaine, du Diamant, du Lorrain, du Marigot, de Schoelcher, du Gros Morne et des Trois-Ilets, Direction de la santé et du développement social (service santé environnement, inspection de la santé, démoustication lutte anti-vectorielle), Centre hospitalier du Saint-Esprit, des étudiants et divers professionnels. Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 6

7 Des mesures anthropométriques (taille, poids, tours de taille et de hanches) ont été prises lors de la première phase pour chaque personne enquêtée. La pression artérielle a été mesurée chez les adultes, lors des deux phases. La majorité des questions sur le tabagisme sont extraites du questionnaire du Baromètre Santé adultes [8]. Elles sont relatives à la consommation de tabac, aux caractéristiques des fumeurs actuels et anciens, aux motivations d arrêt de l usage de tabac et à l avis sur le tabac. Les fumeurs actuels sont : des fumeurs réguliers, personnes fumant au moins une cigarette tous les jours. des fumeurs occasionnels, personnes fumant moins d une cigarette par jour tous les jours. Les anciens fumeurs occasionnels et réguliers ont arrêté toute consommation de tabac depuis au moins une année. Pour les jeunes âgés de 3 à 15 ans, le questionnaire comportait une question filtre sur l expérimentation du tabac posée uniquement aux jeunes de 10 à 15 ans. La saisie des questionnaires, réalisée avec le logiciel Epi-Info 6.04, a été centralisée à l OSM. L analyse statistique a été réalisée sous Stata version 7. Les tests statistiques utilisés sont le test du chi2, pour les variables qualitatives, le test de Student et l analyse de variance pour la comparaison des moyennes pour les variables quantitatives. Le seuil de signification est fixé à 5 %. Les résultats sont présentés en deux parties : la première est une description socio-démographique de l échantillon Escal et la seconde partie concerne le tabagisme et ses caractéristiques. RESULTATS 1. D ESCRIPTION DE L ECHANTILLON ESCAL Le nombre d îlots tirés au sort dans l échantillon est de 165. Ces îlots sont répartis sur 34 des 36 communes de la Martinique. Dans ces îlots, 817 foyers ont été enquêtés correspondant à un total de individus. Le taux de participation individuel est 93 %. Les femmes ont plus souvent accepté de participer à l enquête que les hommes, leurs taux de participation étant respectivement de 96 % et de 90 %. On observe aussi un taux de participation plus faible chez les individus âgés de ans. Plus de la moitié (52 %) des 817 foyers enquêtés sont composés de 2 à 3 personnes. Les personnes vivant seules représentent 23 % des foyers. A l opposé, 15 % des foyers sont constitués de 4 personnes, 8 % de 5 personnes, enfin 4 % ont au moins 6 membres. Au total, 1965 personnes ont participé à l enquête Escal, 1504 adultes âgés de plus de 15 ans et 461 jeunes âgés de 3 à 15 ans. Dans notre échantillon, la proportion de femmes est de 55 %. Les personnes âgées de 60 ans et plus représentent 23 % de l échantillon. La répartition par tranches d âge Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 7

8 est présentée dans la figure 1. La répartition par tranche d âge de la population martiniquaise est également indiquée dans cette figure. Figure 1- Répartition par tranches d âge de la population martiniquaise et des individus ayant accepté l enquête 27% 29% 32% 21% 24% 27% 15% 11% 6% 8% 3-19 ans ans ans ans 75 ans et plus population martiniquaise échantillon ESCAL La majorité des personnes enquêtées (98 %) ont la nationalité française. On recense 34 personnes de nationalité étrangère (dont 16 saint-luciens, 7 haïtiens, 2 dominicains et 9 autres nationalités). Au moment de l enquête, 39 % des adultes déclarent avoir une activité professionnelle, 16 % sont au chômage et 27 % à la retraite. Le reste de l échantillon regroupe des étudiants (7 %), des femmes au foyer (6 %) et des inactifs (5 %). 2. C ONSOMMATION DE TABAC CHEZ LES ADULTES (plus de 15 ans) Au moment de l enquête, la majorité de la population martiniquaise ne fume pas (77 % de non-fumeurs et 10% d anciens fumeurs). La proportion de fumeurs réguliers est de 10 %, celle des fumeurs occasionnels de 3 %. Les hommes fument plus que les femmes (Figure 2). Hommes Figure 2- Prévalence tabagique selon le sexe 16% Femmes 6% 5% 62% 12% 89% 1% 2% 3% 4% Non-fumeurs Fumeurs réguliers Fumeurs occasionnels Anciens fumeurs réguliers Anciens fumeurs occasionnels Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 8

9 La proportion de fumeurs actuels est de 21 % chez les personnes âgées de 25 à 34 ans, de 18 % pour les ans, elle n est plus que de 4 % chez les personnes de plus de 65 ans. Parmi les individus de moins de 25 ans, 9 % sont des consommateurs de tabac au moment de l enquête (Figure 3). L observation de la consommation de tabac en fonction du niveau socio-économique fait apparaître une différence entre le niveau socio-économique le plus élevé et les autres. Ainsi 18 % des individus de cette classe sont des fumeurs alors que ces derniers ne représentent que 11 % dans les autres classes. Cette classe regroupe des individus cadres ou occupant des professions intermédiaires, ayant suivi des études supérieures, bénéficiant d un certain confort (ordinateur, Internet, lave-vaisselle) et estimant avoir des revenus suffisants ou ne pas se priver financièrement. Les personnes célibataires, séparées ou divorcées sont plus souvent concernées par le tabagisme (15 %) que les personnes vivant en couple (7 %) ou veuves (3 %). Figure 3- Répartition selon les grandes tranches d âge (ans) des non-fumeurs des fumeurs actuels et anciens 65 ans et plus 82% 65 ans et plus 4% 14% ans 80% ans 12% 8% ans 74% ans 13% 13% ans 75% ans 18% 7% ans 71% ans 21% 8% ans 84% ans 9% 7% anciens fumeurs (anciens fumeurs réguliers et occasionnels) fumeurs actuels ( fumeurs réguliers et occasionnels) Fumeurs occasionnels et réguliers Les fumeurs occasionnels sont en moyenne plus jeunes (37 ans) que les fumeurs réguliers (42 ans). Par contre, l âge moyen de première expérimentation du tabac déclaré autour des ans ne diffère pas dans ces deux groupes. Les fumeurs réguliers Ils sont devenus consommateurs réguliers en moyenne à l âge de 19 ans. La moitié a une durée de consommation quotidienne de tabac d au moins 22 ans. Le doyen, âgé de 85 ans, est consommateur depuis 70 années. Au moment de l enquête, 24 % des fumeurs réguliers fument quotidiennement plus de 20 cigarettes par jour et 38 % moins de 10 cigarettes. On peut noter que les individus fumant moins de 10 cigarettes par jour sont en moyenne plus jeunes (37 ans) que les autres fumeurs réguliers (46 ans). Soixante dix-neuf pour cent des fumeurs réguliers déclarent prendre leur première cigarette de la journée dans l heure Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 9

10 consécutive au réveil. Le délai entre le réveil et la première cigarette de la journée est associé au nombre quotidien de cigarettes fumées (Tableau I). Tableau I Répartition du délai entre le réveil et la première cigarette en fonction du nombre de cigarettes fumées par jour chez les fumeurs réguliers Nombre de cigarettes fumées par jour au moins 20 Délai inférieur à 5 minutes 011 % 015 % 031 % entre 6 à 30 minutes 018 % 037 % 032 % entre 31 à 60 minutes 016 % 011 % 027 % après 60 minutes 055 % 037 % 010 % Total 100% 100% 100% Au moment de l enquête, environ 7 fumeurs réguliers sur 10 envisagent d arrêter de fumer. La proportion des fumeurs réguliers ayant fait au moins une tentative d arrêt d une année est de 35 %. Le nombre de ces tentatives était de 3 chez les femmes et de 1 pour les hommes. Cependant, la durée moyenne cumulée de ces tentatives d arrêt est la même quel que soit le sexe (32 mois). Par contre, leurs motivations étaient différentes. Les femmes concernées étaient surtout motivées par la naissance d un enfant ou une grossesse puis par la prise de conscience des conséquences du tabac sur la santé. Les hommes ont justifié ces tentatives par la peur de tomber malade, la naissance d un enfant, la volonté de se défaire de la dépendance et la prise de conscience des conséquences du tabac sur la santé. Types de cigarettes consommées et approvisionnement des fumeurs actuels Plus de 8 fumeurs réguliers sur 10 choisissent des cigarettes normales avec filtre, cette proportion est de deux tiers chez les fumeurs occasionnels. Les autres types de cigarettes fumées sont des cigarettes «light» et 1 fumeur régulier a déclaré acheter des cigarettes sans filtre (Figure 4a). Une proportion non négligeable des fumeurs, 4 sur 10 chez les occasionnels et 1 sur 10 chez les réguliers, ne connaît pas le type de tabac constitutif des cigarettes consommées. Environ 7 fumeurs réguliers sur 10 et 4 fumeurs occasionnels sur 10 fument du tabac blond (Figure 4b). Le choix du conditionnement des cigarettes est associé à un usage régulier ou occasionnel du tabac. En effet, les fumeurs occasionnels ont plus souvent recours au paquet de 10 cigarettes 3 (43 %) et à l achat de la cigarette à l unité (19 %) que les fumeurs réguliers (respectivement 13 % et 3 %). Ces derniers préfèrent le paquet de 20 cigarettes (77 %) ou la cartouche (34 %) (10 paquets de 20 cigarettes) (Figure 4c). 3 lors de la première phase d Escal, les paquets de 10 cigarettes étaient toujours en vente avant la suppression définitive de leur vente à la fin du mois de décembre Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 10

11 Les stations services, principal lieu d approvisionnement et le marchand de journaux sont des lieux d achat communs aux fumeurs réguliers et occasionnels. L achat dans les épiceries ou dans les grandes surfaces concernent davantage les fumeurs réguliers (Figure 4d). Deux fumeurs occasionnels sur dix s approvisionnent en demandant à d autres fumeurs. Figure 4a Répartition des fumeurs en fonction du type de cigarettes Figure 4b Répartition des fumeurs en fonction du type de tabac normales sans filtre 1% 0% tabac blond 36% 73% "light" 13% 33% tabac brun 16% 25% normales avec filtre 67% 86% ne sait pas 11% 39% fumeurs occasionnels fumeurs réguliers fumeurs occasionnels fumeurs réguliers Figure 4c Répartition des fumeurs en fonction du conditionnement des cigarettes Figure 4d Répartition des fumeurs en fonction du lieu d achat 76% 57% 47% 45% 19% 3% 43% 13% 34% 8% 31% 27% 21% 16% 4% 25% à l'unité paquet de 10 paquet de 20/25 cartouche stations services épiceries marchands de journaux grandes surfaces fumeurs occasionnels fumeurs réguliers fumeurs occasionnels fumeurs réguliers Pour les 4 questions, les totaux par groupe de consommation sont supérieurs à 100% car plusieurs réponses étaient possibles. Anciens fumeurs occasionnels et réguliers La moyenne d âge des anciens fumeurs réguliers est de 54 ans, celle des anciens fumeurs occasionnels de 48 ans. La première cigarette a été fumée à 17 ans chez les anciens fumeurs réguliers soit en moyenne 2 ans plus tôt que chez les anciens fumeurs occasionnels. Les anciens fumeurs réguliers En moyenne, 19 ans est l âge à partir duquel ils sont devenus consommateurs réguliers de tabac. Soixante et onze pour cent fumaient plus de 10 cigarettes par jour dont la moitié plus de 20 par jour. Avant d arrêter définitivement de fumer, 21 % des anciens fumeurs réguliers avaient réussi à ne pas fumer pendant au moins une année. Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 11

12 La majorité des anciens fumeurs réguliers ont cessé de fumer seul (93 %). Les autres ont été aidés par un médecin (3 %) ou par leur entourage (4 %). Le plus souvent l arrêt a été volontaire radical (84 %) ou par réduction progressive de la consommation (12%). Cependant, 2 % ont eu recours à l acupuncture. Les cinq principales raisons les ayant poussés à l arrêt définitif sont la prise de conscience des conséquences du tabac sur la santé (23 %), la peur de tomber malade (20 %), la naissance d un enfant (16 %), l entourage familial (17 %) et l envie de se défaire de la dépendance (11 %) (Tableau II). La religion a été évoquée par 4 % des anciens fumeurs réguliers comme motivation d arrêt. Tableau II Raisons ayant motivé l arrêt de la consommation de tabac chez les anciens fumeurs Raisons Répartition - prise de conscience des conséquences du tabac sur la santé 23 % - peur de tomber malade 20 % - naissance d un enfant ou grossesse 17 % - famille 16 % - se défaire de la dépendance 11 % - lassitude 06 % - aucune raison particulière 06 % - avoir déjà un problème (ou une maladie) lié au tabac 06 % - avoir une bonne condition physique 05 % - prix des cigarettes 05 % - odeur du tabac 05 % - religion 04 % - saturation à l égard du tabac (image sociale, enfant) 04 % - avoir déjà une maladie ou un problème non lié au tabac 03 % - interdiction de fumer dans certains endroits 03 % - éviter de gêner un proche ou son conjoint 03 % - campagne de lutte contre le tabagisme 02 % - entourage autre que familial (amis, collègues) 01 % - évènement particulier de la vie (retraite, accident) 01 % - proche ou ami atteint d une maladie due au tabac 01 % Tabagisme et mode de vie Les fumeurs actuels sautent plus fréquemment l un des trois repas principaux (petit-déjeuner, déjeuner, dîner) que les anciens fumeurs et les non-fumeurs (52 % contre 40 %). Ils auraient également tendance, tout comme les anciens fumeurs, à manger un peu plus salé que les non-fumeurs en rajoutant du sel quasi-systématiquement dans leurs repas (respectivement 8 %, 10 % et 4 %). La pratique d'une activité sportive ne diffère pas entre les fumeurs actuels et les non-fumeurs (36 %), elle est moins fréquente chez les anciens fumeurs plus âgés (28 %). L adoption d un régime alimentaire particulier afin de maigrir, en raison de problèmes de santé ou par conviction est plus marquée chez les non-fumeurs (26 %) que chez les fumeurs actuels (16 %), les anciens fumeurs occupant une position intermédiaire (20 %). Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 12

13 3. C ONSOMMATION DE TABAC CHEZ LES JEUNES Aucun jeune âgé de 10 à 13 ans ne déclare avoir expérimenté la consommation de tabac. Parmi les jeunes âgés de 14 à 15 ans, 16 % ont fumé du tabac au moins une fois dans leur vie. L âge de la première expérience varie de 11 à 15 ans. Une jeune fille a affirmé consommer 2 cigarettes par jour tous les jours et un jeune homme se considère comme fumeur occasionnel. 4. A VIS SUR LE TABAC Dans l ensemble, pour plus de la moitié des personnes enquêtées, avoir fumé au moins une cigarette est dangereux pour la santé. Cependant, on observe une différence entre les non-fumeurs et les fumeurs actuels, les anciens fumeurs occupant une position intermédiaire. En effet, 72 % des nonfumeurs et 66 % des anciens fumeurs considèrent que la consommation de tabac est dangereuse dès la première cigarette contre 57 % des fumeurs actuels. Le tabac est dangereux à partir du moment où la consommation est quotidienne pour 27 % des fumeurs actuels, 21 % des anciens fumeurs et 16 % des non-fumeurs. La fumée générée par la consommation de tabac dérange 73 % des anciens fumeurs et 84 % des nonfumeurs. Elle ne dérange pas du tout 47 % des fumeurs occasionnels et 73 % des fumeurs réguliers. Par ailleurs 9 fois sur 10, les fumeurs actuels affirment respecter les zones non-fumeurs. DISCUSSION L enquête Escal a permis d estimer la prévalence du tabagisme et de mieux connaître ses caractéristiques dans la population martiniquaise. La population est constituée de 77 % de nonfumeurs, de 10 % d anciens fumeurs et de 13 % de fumeurs. Parmi les fumeurs actuels, l usage régulier prévaut (10 %) sur l usage occasionnel (3 %). Chez les adultes, le tabagisme actuel concerne davantage les hommes (22 %), la tranche d âge des ans (21 %), les classes sociales aisées (18 %) et les personnes célibataires, séparées ou divorcées (15 %). Dans l enquête ACSAG, la proportion de fumeurs, en 1992, était de 24 % chez les hommes et de 8 % chez les femmes, ces résultats ne diffèrent pas statistiquement de ceux d Escal (22 % chez les hommes et 6 % chez les femmes) [5]. A l instar d Escal, le tabagisme était plus fréquent parmi les cadres : 30 % chez les hommes et 17 % chez les femmes. Cette caractérisation du tabagisme s explique certainement par des séjours plus fréquents et prolongés des cadres (souvent lors des études et pour le travail) en France hexagonale où la consommation de tabac est nettement plus importante qu en Martinique. Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 13

14 En 2000, lors de l enquête Alcool, la prévalence du tabagisme était de 18 % dans la tranche d âge des ans et de 32 % chez les moins de 25 ans [6]. Dans l enquête Escal chez les ans, la consommation de tabac est légèrement inférieure (16 %). Par contre, dans l enquête Alcool, les ans étaient les plus concernés par le tabagisme. Dans Escal, la consommation de cette tranche d âge 9 % est plus faible que celle de leurs aînés de ans. Ces comparaisons ne permettent pas de parler de diminution de la consommation de tabac entre 2000 et 2003, du fait de la différence des populations étudiées dans Escal et dans l enquête Alcool. En 2000, une enquête en milieu scolaire situe la consommation de tabac, autour de 14 % chez des collégiens martiniquais en classe de 3 ème âgés en moyenne de 15 ans, de 20 % chez des lycéens âgés de 19 ans en moyenne [3]. En 2002, parmi 1001 jeunes appelés dans le cadre de la journée d appel de préparation à la défense âgés de 17 à 19 ans, la proportion de fumeurs actuels était de 19 % chez les jeunes femmes et de 25 % chez les jeunes gens [4]. Au vu des résultats de l enquête Alcool et des enquêtes auprès des jeunes martiniquais sur le tabagisme, il semble que les personnes âgées de 16 à 24 interrogées dans Escal aient sous-déclarées leur usage de tabac. La principale explication à cette sous-déclaration réside certainement dans la passation d Escal au domicile et en présence de la famille. Cependant, l ensemble des résultats d Escal maintient la Martinique parmi les régions françaises où la consommation de tabac est la moins élevée. En 1999, au niveau national, la prévalence tabagique était de 41 % pour les Français âgés de 15 à 19 ans, elle atteignait un maximum de 48 % chez les ans, et chez les ans elle était de 32 % [8]. Au niveau national, les décès annuels attribués à la consommation de tabac ont incité les autorités à renforcer les politiques anti-tabac [9]. Dès 1976, la loi Veil visait à interdire toute publicité et propagande dans les publications destinées à la jeunesse, à la télévision, dans les salles de cinéma, sur les panneaux d affichage, à interdire le patronage des manifestations sportives par les fabricants de cigarettes, à obliger de mentionner la composition intégrale des cigarettes (teneur en nicotine, en goudron ) avec l impression des termes «Nuit gravement à la santé». En 1991, la loi Evin renforçait la loi Veil en interdisant toute publicité ou propagande directe et indirecte autour du tabac. Sur le paquet de cigarettes, un ou plusieurs messages à caractère sanitaire étaient inscrits. De plus, l accent était mis sur le respect des zones non-fumeurs dans les lieux publics et leur non exposition au tabagisme passif. En 2003, la lutte contre le tabagisme était affichée comme priorité du plan quinquennal de lutte contre le cancer. De plus, la loi du 31 juillet 2003 interdisait la vente de cigarettes au moins de 16 ans, prévoyait pour le mois de novembre la suppression de la vente des paquets de 10 cigarettes et le remplacement de l indication «Nuit gravement à la santé» par «Fumer tue» [10]. En 2003, en France hexagonale, le Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 14

15 prix du paquet de cigarettes a augmenté de 30 % [10]. Depuis 1999, la Martinique longtemps épargnée par les hausses de prix du tabac rattrape son retard. En 2003, le prix du tabac a augmenté de 27% [11]. Dans un contexte national de «guerre déclarée au tabac», Escal fait ressortir que la dangerosité du tabac est largement perçue dans la population. En effet, pour plus de la moitié des personnes interrogées, avoir fumé au moins une cigarette est dangereux pour la santé. Au moment où la dernière campagne nationale a pour thème le tabagisme passif [12], les non-fumeurs (84 %) et les anciens fumeurs (73 %) affirment être dérangés par la fumée de cigarettes. Parmi les cinq premières motivations d arrêt du tabagisme chez les anciens fumeurs, trois sont relatives aux effets du tabac sur la santé. Il faut souligner le rôle quasi inexistant des campagnes de lutte contre le tabagisme dans l arrêt de la consommation (1%). Même s il existe un possible biais induit par le fait qu Escal soit une enquête sur la santé, 7 fumeurs réguliers sur 10 ont répondu avoir l intention d arrêter de fumer. En ce qui concerne l approvisionnement, les cartouches sont le deuxième mode de conditionnement choisi par 34 % des fumeurs réguliers et 27 % d entre eux affirment s approvisionner en grande surface. Dans un contexte de lutte anti-tabac accrue, il serait intéressant de savoir quelles raisons justifient, en Martinique, la vente dans les grandes surfaces de cartouches de cigarettes et leur positionnement à proximité des caisses. Les résultats de l enquête Escal montrent qu il existe en Martinique un contexte favorable aux futures campagnes martiniquaises de lutte contre le tabagisme. En termes de prévention primaire, pour tirer un bénéfice de l image défavorable dont semble bénéficier le tabac dans la population, améliorer et poursuivre la communication autour des méfaits du tabac pour les fumeurs et du tabagisme passif pour l entourage semblent incontournables. En termes de prévention secondaire, des mesures devraient favoriser un meilleur accompagnement des volontaires au sevrage, puisque, dans notre échantillon, ils seraient nombreux à vouloir mettre fin à leur consommation. Au vu des prévalences élevées du tabagisme en France hexagonale, estimer sa prévalence en Martinique était important. Toutefois compte tenu des résultats observés, le tabac devient-il pour autant une priorité de santé publique? Peut-être auprès des jeunes martiniquais dont la consommation de tabac semble supérieure à celle leurs aînés et souvent associée à l usage de produits comme le cannabis et l alcool. La lutte contre le tabagisme devrait probablement s insérer dans une démarche plus globale de lutte contre les consommations de drogues (tabac, alcool, cannabis). Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 15

16 BIBLIOGRAPHIE 1. Observatoire de la santé de la Martinique. Consommation de tabac, d alcool et de drogues illicites chez les jeunes martiniquais scolarisés. OSM Flash 1994 ; Observatoire de la santé de la Martinique. Evaluation de la consommation de tabac, d alcool et de drogues illicites en milieu scolaire. OSM Flash 1998 ; Merle S, Bottius F. Evaluation de la consommation de tabac, d alcool et de drogues illicites en milieu scolaire [rapport d étude] Beck F, Legleye S, Pierre-Louis K, Merle S. Usage de produits psychoactifs entre 17 et 19 ans à la Martinique : Résultats de l enquête ESCAPAD OSM Flash 2003 ; Giraud M, Gilloire A, Halfen S et al. Les comportements sexuels aux Antilles et en Guyane, Paris, ANRS Boudan V, Merle S, Rosine J. Principaux résultats de l enquête alcool en médecine générale. OSM Flash 2001 ; Delpeuch F, Jirou-Nayou JL, Chevalier P, Dyck JL, Frontier-Abou D. Consommation alimentaire et état nutritionnel à la Martinique. Travaux et documents de l Orstom 1984 ; 177. Paris : Orstom ; Baromètre santé Vanves : INPES : Volume 1. Méthode. Guilbert P, Baudier F,Gautier A, Goubert AC, Arwidson P, Janvrin MP : 144 p. Volume 2. Résultats. Guilbert P, Baudier F., Gautier A (sous la dir.) : 480 p. Disponible sur ; URL :< > 9. Observatoire Régional de la santé d Ile de France, Centre Régional d Information et de Prévention du Sida en Ile-de-France. La consommation de tabac chez les jeunes : données épidémiologiques et prévention. Bulletin de santé 2003 ; 7 : République française Loi n du 31 juillet 2003, visant à restreindre la consommation de tabac chez les jeunes. JO du 3 août 2003, p Institut National de la Statistique et des Etudes Statistiques. Prix de détail. Antiane Eco 2003 ; 15 : < Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 16

17 Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Résumé Escal, Enquête sur la Santé et les Comportements ALimentaires en Martinique a été l occasion de mieux connaître le tabagisme et ses caractéristiques dans la population martiniquaise. L enquête Escal est une enquête épidémiologique descriptive transversale. Elle s est déroulée en 2 phases entre novembre 2003 et février Trente-cinq binômes d enquêteurs issus de diverses institutions ont mené l enquête dans les foyers. Huit cent dix-sept foyers répartis sur 34 des 36 communes de la Martinique ont été enquêtés. Au total, 1965 personnes ont participé à l enquête Escal, 1504 adultes âgés de plus de 15 ans et 461 jeunes âgés de 3 à 15 ans. Au moment de l enquête, la majorité de la population martiniquaise ne fume pas (77 % de non-fumeurs et 10% d anciens fumeurs). La consommation de tabac en Martinique (13 %) reste en deçà de celle observée en France hexagonale (32%). Le tabagisme semble concerner plus souvent les hommes (21%), la tranche des ans (21%), les classes sociales aisées (18 %) et les personnes célibataires, séparées ou divorcées (15 %). Dans l ensemble, la population est consciente des dangers du tabagisme. Pour plus de la moitié des personnes interrogées, avoir fumé au moins une cigarette est dangereux pour la santé. Parmi les anciens fumeurs, les principales motivations d arrêt du tabagisme sont liées aux effets du tabac sur la santé. De plus, 7 fumeurs réguliers sur 10 ont répondu avoir l intention d arrêter de fumer. Les résultats de l enquête Escal montrent qu il existe en Martinique un contexte favorable aux futures campagnes martiniquaises de lutte contre le tabagisme. Le tabagisme et ses caractéristiques en Martinique en 2003 Enquête Escal 17

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