Sixième réunion du Comité de coordination 22 septembre 2014 New York

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sixième réunion du Comité de coordination 22 septembre 2014 New York"

Transcription

1 Sixième réunion du Comité de coordination 22 septembre 2014 New York Résumé des coprésidents Présentation générale 1. Les membres du GCTF se sont réunis à New York pour la sixième réunion du Comité de coordination du GCTF afin de faire le point des progrès réalisés dans le domaine des objectifs du Forum, de discuter des priorités stratégiques et de mettre en relief les projets en cours et ceux qui pourraient être entrepris à l avenir. Les discussions ont porté sur trois domaines d importance mondiale auxquels le Forum accorde une attention accrue : (1) le phénomène des «combattants terroristes étrangers» qui prend de l ampleur, (2) le recours accru à l enlèvement contre rançon par les groupes terroristes et (3) la lutte contre la montée de l extrémisme violent. Les membres ont également mobilisé un appui concret en faveur des trois initiatives inspirées par le Forum, qui existent toutes désormais en tant qu entités légales indépendantes : Hedayah, l Institut international pour la justice et l état de droit (IIJ) et le Fonds mondial pour la mobilisation et la résilience communautaires (GCERF). 2. Principaux résultats et thèmes transversaux issus de la réunion : La reconnaissance de la menace posée par l État islamique en Irak et au Levant (l État islamique) et d autres groupes terroristes et les mesures prises par divers pays pour y faire face de façon concertée. Un engagement pour lutter contre le phénomène des combattants terroristes étrangers en essor. Les membres ont approuvé pour adoption par les ministres du GCTF la toute première série de bonnes pratiques internationales portant sur les combattants terroristes étrangers, le Mémorandum de La Haye-Marrakech sur les bonnes pratiques pour répondre plus efficacement au phénomène des «combattants terroristes étrangers» (Mémorandum de La Haye-Marrakech). Ces bonnes pratiques non contraignantes visent à informer et guider les gouvernements intéressés alors qu ils élaborent de vastes politiques, programmes et démarches pour s attaquer au phénomène des combattants terroristes étrangers. Les membres ont souligné l impact qu ont eu ces bonnes pratiques sur la conception de la résolution sur les combattants terroristes étrangers que le Conseil de sécurité de l ONU a adoptée par la suite le 24 septembre (la résolution 2178 du Conseil de sécurité). Les membres ont également convenu de créer un groupe de travail du GCTF, coprésidé par le Maroc et les Pays- Bas, concernant les moyens de répondre au problème des combattants terroristes étrangers.

2 - 2 - L affirmation de l importance de prévenir les enlèvements contre rançon par des terroristes et d éliminer les avantages qui en découlent, surtout en ce qui concerne une réponse coordonnée à la menace posée par l État islamique. Les membres ont mis en lumières de nouveaux efforts visant à mettre en œuvre le Mémorandum d Alger sur les bonnes pratiques en matière de prévention des enlèvements contre rançon par des terroristes et d élimination des avantages qui en découlent (Mémorandum d Alger), en particulier grâce à un nouvel ensemble de modules de formation très interactifs qui seront mis à la disposition des partenaires intéressés en arabe, en anglais et en français. Une série d ateliers de formation futurs mettra à profit ces nouveaux modules, le premier étant prévu en octobre 2014 à l IIJ et le deuxième à Alger au début de l année L avantage de la nature informelle et souple du GCTF, l élaboration par ses soins de documents sur les bonnes pratiques, non contraignants et évolutifs, et la nécessité de se concentrer sur la mise en application de ces bonnes pratiques conformément aux lois et normes nationales. Les membres ont évoqué l adoption de quatre nouveaux documents cadres du GCTF prévue lors de la réunion ministérielle plénière du 23 septembre 2014, portant sur : (1) la lutte contre le phénomène des combattants terroristes étrangers, (2) le rôle du pouvoir judiciaire pour juger les actes terroristes, (3) les recommandations sur l utilisation et la protection du renseignement lors d enquêtes et de poursuites, et (4) l éducation et la lutte contre l extrémisme violent. Comme les autres documents cadres du GCTF, ceux-ci proposent des mesures concrètes que chaque État peut adapter en fonction de sa situation particulière afin de lutter contre le terrorisme et l extrémisme violent, tout en respectant les droits de l homme et favorisant l état de droit. L importance des bonnes pratiques régionales et des plans d action thématiques qui soulignent la mise en œuvre concrète des documents cadres du GCTF. Les membres ont souligné l importance de mener de façon adaptée, concrète et pratique la mise en œuvre des documents cadres du GCTF dans un contexte régional et thématique. Le renforcement des institutions de justice pénale et de la lutte contre l extrémisme violent fait partie intégrante des travaux du Forum. Ces priorités ont été favorisées par l établissement de trois initiatives inspirées par le GCTF : Hedayah, le GCERF et l IIJ. Ces trois institutions sont peut-être les exemples les plus concrets de l impact du GCTF depuis sa création il y a trois ans. Les membres ont fait remarquer que ces institutions pourraient avoir une influence considérable sur les efforts collectifs déployés pour lutter contre l extrémisme violent et fournir une formation durable en matière de lutte contre le terrorisme à une nouvelle génération de praticiens de la justice pénale à travers l Afrique et le Proche-Orient. Les membres se sont engagés à apporter un soutien financier ou autre à ces trois institutions. La nécessité permanente de coordonner le renforcement des capacités en matière de lutte contre le terrorisme à une époque où les ressources diminuent. Les membres ont souligné l importance de coordonner les activités de renforcement des

3 - 3 - capacités au sein des groupes de travail du GCTF et entre ceux-ci afin d assurer qu ils tireront le meilleur parti possible des ressources rares, plus spécialement dans le Groupe de travail sur le renforcement des capacités de la région de la Corne de l Afrique et celui sur le renforcement des capacités de la région du Sahel. Sous les auspices de ces deux groupes de travail, les membres ont établi des plateformes de coordination du renforcement des capacités des partenaires locaux afin d attirer l attention des pays donateurs sur les différentes activités et de maximiser l affectation des ressources. La valeur de la coopération de grande envergure entre le GCTF et l ONU ainsi que les organisations régionales et la nécessité de l approfondir et de l élargir davantage. Les membres ont souligné le rôle de catalyseur que joue le GCTF dans la mise en œuvre de la Stratégie antiterroriste mondiale de l ONU ainsi que le besoin d une coopération, d une collaboration et d une coordination solides entre le Forum, l ONU et les autres partenaires pour faire progresser les priorités du GCTF, qui renforcent toutes des éléments essentiels de la Stratégie antiterroriste mondiale de l ONU. Résumé Vous trouverez ci-dessous un résumé thématique de la réunion du Comité de coordination. Il ne s agit pas d un compte rendu des débats. Déclarations liminaires des coprésidents 3. L ambassadrice Tina Kaidanow, coordinatrice pour le contre-terrorisme au département d État des États-Unis, a fait état des progrès impressionnants réalisés par le GCTF depuis l an dernier dans des domaines tels que l élaboration et la mise en œuvre des nouveaux documents cadres du GCTF ainsi que des documents cadres existants et l établissement du GCERF et de l IIJ en tant qu entités légales. La menace posée par l État islamique suscitant une attention accrue, elle a souligné le caractère opportun des importants travaux entrepris par le GCTF cette année au sujet du phénomène des combattants terroristes étrangers et la valeur que cette priorité technique et concrète a ajoutée aux efforts mondiaux déployés pour relever ce défi, particulièrement avec l élaboration du Mémorandum de La Haye-Marrakech. Elle a fait l éloge de la coordination élargie entre le GCTF et plus de 40 États non membres ainsi que des dizaines d organisations multilatérales et non gouvernementales dans les activités du GCTF, ainsi que de ses relations durables avec l ONU au sujet de questions cruciales. 4. L ambassadeur Tunç Üğdül, directeur général de la recherche et de la sécurité au ministère turc des Affaires étrangères, a souligné que la nature informelle et pragmatique du GCTF était un élément essentiel de son succès dans la lutte mondiale contre le terrorisme. Il a évoqué la capacité du GCTF au cours de l année écoulée à devenir une plateforme pour lutter contre le phénomène des combattants terroristes étrangers. Il a fait remarquer que l impact du Forum ne devrait pas se mesurer par le nombre de documents cadres adoptés, mais plutôt par la façon dont chacun d eux est mis en œuvre et a un impact sur les membres et les non-

4 - 4 - membres. Les résultats concrets du GCTF au cours de l année écoulée incluent la création d un nouveau groupe de travail sur la détention et la réinsertion des terroristes, des progrès au niveau du lancement d activités locales de coordination des bailleurs de fonds en Afrique et le lancement d un exercice de cartographie des programmes de renforcement des capacités de lutte contre le terrorisme dans toute la région de la Corne de l Afrique. L ambassadeur Üğdül a pris note du rôle central que joue l ONU dans les initiatives mondiales de lutte contre le terrorisme et fait remarquer que le Forum ne pourrait pas continuer d obtenir des résultats sans son association étroite avec l ONU, des organisations régionales, des non-membres et d autres partenaires. Séance 1 : Le point sur la mise en œuvre des documents cadres existants du GCTF, y compris les mémorandums d Ankara, d Alger, de Rabat, de Rome et de Madrid ainsi que les bonnes pratiques sur l utilisation de la mobilisation communautaire et de la police communautaire 5. En ce qui concerne la mise en œuvre des bonnes pratiques du GCTF axées sur la lutte contre l extrémisme violent, les États-Unis ont fait remarquer que le GCERF, une initiative publique-privée qui repose sur les contributions de tous les secteurs de la société, est un exemple de la mise en œuvre des principes du Mémorandum d Ankara sur les bonnes pratiques pour une démarche multisectorielle à l égard de la lutte contre l extrémisme violent (Mémorandum d Ankara). Les États-Unis ont ajouté qu ils soutiendraient les efforts d Hedayah pour former des praticiens dans le domaine de la mise en œuvre des bonnes pratiques du Forum sur la police communautaire conformément au Plan d action de Doha sur l utilisation de la police communautaire pour lutter contre l extrémisme violent. L ONU a fait remarquer que lors du quatrième examen de la Stratégie antiterroriste mondiale de l ONU, le Secrétaire général a souligné l importance de la société civile dans la mise en œuvre du premier pilier, qui encourage les États à éliminer les conditions propices à la propagation du terrorisme. De ce fait, les entités de l Équipe spéciale de lutte contre le terrorisme de l ONU (CTITF) ont accru les programmes pertinents et plus de 90 projets portent désormais sur la lutte contre l extrémisme violent. 6. Les membres du GCTF ont souligné l importance du Mémorandum de Rome sur les bonnes pratiques en matière de réhabilitation et de réinsertion des délinquants extrémistes violents (Mémorandum de Rome). Ils ont fait remarquer que le nouveau Groupe de travail sur la détention et la réinsertion, coprésidé par l Australie et l Indonésie, offre une tribune pour discuter et mettre en œuvre le Mémorandum de Rome. Les États-Unis ont signalé avoir fourni dollars É.-U. pour appuyer la mise en œuvre du plan de travail initial et des activités de lancement de ce groupe de travail. Deux autres exemples des efforts visant à faire progresser la mise en œuvre du Mémorandum de Rome incluent le coparrainage par l Institut interrégional de recherche des Nations Unies sur la criminalité et la justice (UNICRI) et le Centre des Nations Unies pour la lutte contre le terrorisme (UNCCT) d un atelier d experts qui s est tenu à Istanbul en mai 2014 et s est concentré sur la mise en œuvre efficace de programmes d aide post-carcérale et les activités d aide technique de l UNICRI en cours sur la réhabilitation et la réinsertion des prisonniers. 7. Les membres ont souligné l importance de réduire le recours à l enlèvement contre rançon par les terroristes. En janvier 2014, le Conseil de sécurité de l ONU a adopté sa première

5 - 5 - résolution sur l enlèvement contre rançon (la résolution 2133 du Conseil de sécurité) qui prend note du Mémorandum d Alger du GCTF. Les États-Unis, l Algérie et le Canada soutiennent l élaboration d un ensemble de modules de formation interactive sur la mise en œuvre du Mémorandum d Alger. Ceux-ci seront mis à la disposition des partenaires intéressés. Une série d ateliers à ce sujet, visant spécifiquement les pays de la région du Sahel, est prévue. Le premier atelier aura lieu dans les locaux de l IIJ en octobre 2014 et le suivant en Algérie. La Suisse a tiré parti de sa présidence de l Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) pour attirer l attention sur la question des enlèvements contre rançon et a rendu compte d un atelier coparrainé par l OSCE et l ONUDC à la miseptembre à Malte sur le cadre juridique international applicable à la lutte contre la prise d otages, pendant lequel il a été question du Mémorandum d Alger. 8. La mise en œuvre du Mémorandum de Rabat sur les bonnes pratiques pour des actions efficaces de lutte contre le terrorisme dans le secteur de la justice pénale (Mémorandum de Rabat) a surtout porté sur le renforcement des capacités régionales et l élaboration d orientations supplémentaires pour aider les États à mettre en œuvre les bonnes pratiques de Rabat. Deux de ces documents cadres ont été approuvés par le Comité de coordination pour adoption lors de la réunion ministérielle plénière du GCTF le 23 septembre : le Mémorandum de La Haye sur les bonnes pratiques du système judiciaire pour juger les actes terroristes (Mémorandum de La Haye) et les Recommandations sur l utilisation et la protection du renseignement lors d enquêtes et de poursuites menées par le secteur de la justice pénale et fondées sur l état de droit (Recommandations sur le renseignement et les éléments de preuve) qui portent sur la bonne pratique 6 du Mémorandum de Rabat. Il y a eu plusieurs ateliers régionaux dans la Corne de l Afrique, au Sahel et au Maghreb, et en Asie du Sud-Est au cours de l année, nombre d entre eux en association avec des organisations régionales. Ces activités se sont concentrées sur le renforcement des capacités des procureurs, des responsables des services de répression et des enquêteurs chargés d affaires de terrorisme. Les membres du GCTF ont souligné d autres activités pertinentes de renforcement des capacités, parmi lesquelles plusieurs ateliers de formation organisés en association avec l IIJ, comme le lancement d une initiative du GCTF coparrainée par le Maroc et les États-Unis visant à faciliter la coopération dans les affaires de terrorisme entre les juges, les procureurs et les enquêteurs dans toute la région du Sahel et du Maghreb. 9. Les membres ont souligné que le Mémorandum de Madrid sur les bonnes pratiques en matière d aide aux victimes du terrorisme immédiatement après un attentat et pendant la procédure pénale (Mémorandum de Madrid) sert non seulement de cadre important pour aider les familles et les victimes du terrorisme, mais également de source d information sur les aspects juridiques d une telle aide. La Colombie et l Espagne ont fait remarquer que leurs cadres juridiques nationaux respectifs concernant les victimes du terrorisme ont été influencés par le Mémorandum de Madrid. Les États-Unis ont indiqué qu ils financeraient deux ateliers visant à attirer l attention sur le Mémorandum de Madrid en Asie du Sud-Est, dans le cadre du Forum régional de l Association des nations de l Asie du Sud-Est. Séance 2 : Le point et les prochaines étapes concernant le Groupe de travail sur le renforcement des capacités de la région du Sahel

6 Les coprésidents du Groupe de travail sur le renforcement des capacités de la région du Sahel, l Algérie et le Canada, ont évoqué les récentes réalisations, les activités futures et plusieurs initiatives de renforcement des capacités de ce groupe. L Algérie a exposé les menaces terroristes actuelles dans la région, en faisant remarquer qu Al -Qaida au Maghreb islamique, Boko Haram, Al-Chabab, le Mouvement pour l unicité et le jihad en Afrique de l Ouest ainsi que plusieurs groupes en Libye et en Tunisie exploitent la religion pour viser les communautés marginalisées à des fins de radicalisation et de recrutement dans des mouvements terroristes. Ces groupes extrémistes, qui ont souvent recours à la criminalité transnationale et aux enlèvements contre rançon pour financer leurs activités, ont, en moins de 10 ans, levé des fonds à hauteur de plus de 180 millions de dollars É.-U. L Algérie, le Canada et les États-Unis ont indiqué qu ils vont organiser conjointement un atelier sur la formation concernant les enlèvements contre rançon à l IIJ en octobre 2014 et que l Algérie organisera une réunion d experts pour préparer un addendum au Mémorandum d Alger qui portera sur la prévention des enlèvements contre rançon. Les coprésidents ont précisé que la prochaine réunion plénière de ce groupe de travail aurait lieu à la fin mars 2015 en Algérie. Elle rassemblera des experts et des responsables de la mise en application de cette région et portera sur l État islamique, d autres menaces terroristes et l application des bonnes pratiques pertinentes du GCTF. Le Maroc a rendu compte du récent lancement d une initiative du GCTF visant à constituer des réseaux de coopération judiciaire dans la région du Sahel et du Maghreb. Pour ce qui est des initiatives du groupe de travail pour favoriser la coordination et la collaboration en matière d activités régionales de renforcement des capacités, les membres du GCTF ont fait le point sur les réunions locales de coordination avec des donateurs qui ont eu lieu au Burkina Faso (avec le Danemark), en Mauritanie (avec les États-Unis) et au Sénégal (avec la France). D autres initiatives suivront dans d autres parties de cette région. 11. Les membres ont pris note de l élaboration du document non contraignant d intérêt régional du GCTF, les Bonnes pratiques sur les questions de sécurité frontalière régionale relatives aux suspects de terrorisme et d autres activités criminelles transnationales dans la région du Sahel (Bonnes pratiques sur la sécurité des frontières). Ces bonnes pratiques ont été élaborées par suite de l évaluation par plusieurs acteurs internationaux et régionaux du besoin de renforcer la coopération en matière de sécurité frontalière dans la région du Sahel et d élaborer un cadre fondé sur l état de droit applicable aux contextes de poursuite immédiate qui respecte la souveraineté des États. Les Bonnes pratiques sur la sécurité des frontières sont le résultat de deux ateliers régionaux qui se sont tenus en octobre 2013 et en mars 2014 pendant lesquels des experts de la sécurité frontalière ont discuté des stratégies qui permettraient aux pays sahéliens intéressés d élaborer de nouveaux accords bilatéraux sur la sécurité frontalière, et d améliorer les accords existants. Les États-Unis vont parrainer des activités de formation axées sur certaines de ces bonnes pratiques pour les pays de la région. Comment [AG1]: A verifier Comment [AG2]: De? Séance 3 : Le point et les prochaines étapes concernant le Groupe de travail sur le renforcement des capacités de la région de la Corne de l Afrique 12. Les coprésidents du groupe, la Turquie et l Union européenne, ont présenté les récentes réalisations et les activités futures du Groupe de travail sur le renforcement des capacités de la région de la Corne de l Afrique. Celui-ci continue d accorder la priorité à la lutte contre l extrémisme violent et le financement du terrorisme. Il est aussi désormais axé sur

7 - 7 - l amélioration de la coordination des donateurs au niveau local et lancera bientôt des plateformes locales de partenariat dans les principales capitales de la région. Ces plateformes favoriseront la participation aux programmes et l appropriation partagée par les partenaires gouvernementaux et les organisations de la société civile. Les coprésidents ont indiqué qu ils allaient entreprendre un exercice de cartographie pour faire le bilan des diverses activités actuelles et prévues de renforcement des capacités de lutte contre le terrorisme dans la région. La Turquie a signalé qu elle allait s associer à la Norvège pour financer l élaboration d un programme d action qui sera mis en œuvre par le Centre mondial sur la sécurité coopérative (GCCS). Ce programme, qui s inspire d une initiative similaire du GCCS réalisée dans le cadre du groupe de travail sur le Sahel, offrira un ensemble de recommandations stratégiques cohérentes pour que les membres et non-membres du GCTF soient en mesure de renforcer leurs capacités de lutte contre le terrorisme et l extrémisme violent dans la région. 13. Plusieurs membres du GCTF ont souligné leurs initiatives dans cette région. Les Émirats arabes unis ont mentionné l aide continue qu ils apportent à la société civile et aux forces de sécurité de la Somalie dans le domaine du renforcement des capacités. Le Danemark a fait faire une étude qui fournit une analyse de référence des capacités de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme en Afrique de l Est, comme l utilisation efficace des cellules de renseignement financier et des lois sur la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Les États-Unis ont exprimé leur soutien en faveur d une initiative menée par l Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) pour renforcer les capacités des gouvernements de la région à lutter contre l extrémisme violent. Les États-Unis vont également envoyer un conseiller juridique résident du département de la Justice dans cette région pour collaborer avec l IGAD et d autres partenaires afin de faire progresser la mise en application des bonnes pratiques de Rabat. L Union européenne a annoncé que le groupe de travail compte tenir un congrès sur la lutte contre l extrémisme violent en 2015 qui rassemblera des praticiens de la lutte contre le terrorisme et l extrémisme violent, des décideurs politiques, des représentants de la société civile et des partenaires de mise en œuvre. Séance 4 : Le point et les prochaines étapes concernant le Groupe de travail sur la détention et la réinsertion 14. L Australie et l Indonésie, qui sont les coprésidents du groupe de travail récemment créé sur la détention et la réinsertion, ont présenté leurs activités et leurs priorités pour l année à venir. Lors de la réunion plénière inaugurale de ce groupe de travail, les 12 et 13 août 2014 à Bali, un plan de travail provisoire a été présenté. Il définit les quatre domaines prioritaires de ce groupe, à savoir : (1) le renforcement des capacités des responsables des services pénitentiaires et des agents pénitentiaires, (2) l amélioration de la sécurité dans les centres de détention, (3) des programmes de détention et correctionnels pour les détenus terroristes, et (4) l établissement de programmes de soutien avant et après la libération/d aide postcarcérale. Les coprésidents ont également indiqué qu ils comptent se concentrer sur la mise en œuvre du Mémorandum de Rome et ils ont mis en lumière la forte intégration des initiatives de ce groupe de travail et du travail du Forum sur les combattants terroristes étrangers et la lutte contre l extrémisme violent. Les membres se sont félicités de

8 - 8 - l établissement du Groupe de travail sur la détention et la réinsertion et ils ont souligné la nécessité qu il maintienne sa mobilisation auprès des organisations régionales et de tirer parti du travail sérieux accompli par l UNICRI dans ce domaine. En plus de la contribution américaine de dollars É.-U. visant à appuyer les activités de ce groupe de travail, le Canada a indiqué avoir fourni dollars canadiens à l UNICRI pour soutenir son travail sur la déradicalisation dans les prisons. Séance 5 : Le point et les prochaines étapes concernant le Groupe de travail sur la lutte contre l extrémisme violent 15. Les coprésidents du groupe, les Émirats arabes unis et le Royaume-Uni, ont présenté les grandes lignes des récentes réalisations et des activités futures du Groupe de travail sur la lutte contre l extrémisme violent. Ils ont donné des détails sur l attention portée par le groupe au renforcement des capacités en matière de lutte contre l extrémisme violent, de riposte aux discours terroristes, une initiative conjointe du GCTF et de l OSCE sur le rôle des femmes dans la lutte contre l extrémisme violent et la préparation de l Exposition sur les communications dans le cadre de la lutte contre l extrémisme violent qui aura lieu en décembre 2014 à Abu Dhabi en association avec Hedayah. Le Canada, qui dirige le volet Mesure et évaluation du groupe de travail, a souligné qu il faudrait que davantage de membres répondent au questionnaire qui a été distribué. Les réponses des membres à ce questionnaire portant sur l évaluation de l efficacité des programmes de lutte contre l extrémisme violent serviront à créer un recueil sur l évaluation destiné aux membres tout comme aux non-membres. Les États-Unis ont souligné l importance de la police communautaire, comme en témoigne l élaboration du Plan d action de Doha sur l utilisation de la police communautaire pour lutter contre l extrémisme violent, qui encourage les partenaires à favoriser l établissement de relations entre les étudiants et les forces de l ordre, pour renforcer les capacités des voix crédibles qui peuvent offrir des contre-discours et appuyer la formation et la création de mécanismes favorisant l amorce d un dialogue entre les communautés et les forces de l ordre. Les membres ont été encouragés par l élaboration du Mémorandum d Abu Dhabi sur les bonnes pratiques en matière d éducation pour lutter contre l extrémisme violent et par l impact qu il aura pour ce qui est de soutenir et de mobiliser les enseignants, les médias et les jeunes au sujet du rôle de l éducation dans la lutte contre l extrémisme violent. Les membres ont également exprimé leur soutien en faveur du GCERF et d Hedayah dans leur rôle de mise en œuvre et de facilitation des programmes de lutte contre l extrémisme violent. Plusieurs membres ont mentionné le problème que pose le recrutement de terroristes par les voies de communication fournies par Internet. La Russie, l Algérie et l Inde ont appuyé la proposition de la Chine au sujet d un atelier sur les moyens d empêcher l utilisation d Internet par les terroristes. Les États-Unis ont accueilli favorablement cette proposition et précisé que son programme devrait refléter les préoccupations en matière de sécurité aussi bien que la liberté d expression sur Internet. Le Royaume-Uni, qui a aussi accueilli favorablement cette proposition, a fait remarquer qu Internet est seulement une voie de communication parmi tant d autres et il a encouragé la Chine à tirer parti du travail accompli par l ONU à ce sujet. Comment [AG3]: Séance 6 : Le point et les prochaines étapes concernant le Groupe de travail sur le secteur de la justice pénale et l état de droit

9 Au nom du coprésident égyptien, les États-Unis ont présenté les progrès effectués par le Groupe de travail sur le secteur de la justice pénale et l état de droit depuis la dernière réunion du Comité de coordination en avril 2014 à Rabat. Ce groupe de travail s est concentré sur l élaboration de deux nouveaux documents cadres : le Mémorandum de La Haye et les Recommandations sur le renseignement et les éléments de preuve, qui façonneront les ateliers futurs et d autres initiatives de renforcement des capacités. L utilisation du Mémorandum de Rabat dans des programmes de formation nationaux, bilatéraux et multilatéraux continue de progresser, y compris avec des partenaires multilatéraux comme l ONUDC et la Direction exécutive du Comité contre le terrorisme ainsi que des organisations régionales comme le Programme du secteur de la sécurité de l IGAD (ISSP) et l OSCE. En association avec l Égypte, les États-Unis ont annoncé qu ils lanceraient une initiative pour faire le bilan des efforts menés pour mettre en œuvre le Mémorandum de Rabat. Elle cherchera à recenser les exemples concrets de mise en œuvre, y compris l adoption de lois et l élaboration ou la modification des règlements des organismes, et à définir les lacunes dans cette mise en œuvre. Cette initiative examinera également les autres bonnes pratiques qui sont apparues depuis l adoption du Mémorandum de Rabat et précisera celles au sujet desquelles il pourrait être utile d élaborer des recommandations, en suivant une démarche similaire à celle qui a été utilisée pour la mise en œuvre de la bonne pratique 6 de Rabat. Les résultats de cette initiative permettront d éclairer la prochaine réunion plénière de ce groupe de travail qui aura lieu au printemps 2015 dans les locaux de l IIJ. Le Japon a signalé avoir contribué 1,6 million de dollars É.-U. à l ONUDC pour réaliser des initiatives de renforcement des capacités dans le secteur de la justice pénale, y compris un événement qui se tiendra à l IIJ. Les membres ont souligné qu il est important de coopérer avec les organisations régionales et de tirer parti de l IIJ pour organiser des stages de formation et d autres ateliers relatifs à la mise en œuvre du Mémorandum de Rabat. Séance 7 : Le point sur les initiatives inspirées par le GCTF 17. La Turquie a animé une discussion sur l avancement des trois initiatives inspirées par le GCTF, à savoir Hedayah, le GCERF et l IIJ, qui existent toutes désormais en tant qu entités légales indépendantes et qui représentent les exemples les plus concrets de l attention concrète et orientée vers l action que le GCTF porte au renforcement des capacités civiles de lutte contre le terrorisme. Les membres ont évoqué le besoin d un engagement soutenu afin d appuyer les programmes de chaque organisation, que ce soit par l identification de candidats qui seront détachés et/ou par un soutien financier. Ils ont également fait remarquer que ces organisations sont bien placées pour apporter des contributions pratiques à la lutte contre l État islamique. 18. Le représentant d Hedayah a fait le point sur certaines de ses activités récentes, notamment sa collaboration avec le Maroc et les Pays-Bas sur un atelier du GCTF sur les combattants terroristes étrangers et la lutte contre l extrémisme violent en juin 2014 et un atelier organisé en association avec le Centre international de lutte contre le terrorisme de La Haye (ICCT) sur l élaboration de contre-discours pour lutter contre l extrémisme violent. Plus généralement, Hedayah a axé ses priorités sur l éducation, les communications, la police communautaire et le rôle des sports, des arts et de la diplomatie culturelle dans la prévention

10 de l extrémisme violent et la lutte contre celui-ci. En plus de l Exposition sur les communications dans le cadre de la lutte contre l extrémisme violent qu il organise en association avec le GCTF, Hedayah accueillera la première conférence annuelle sur les recherches au sujet de la lutte contre l extrémisme violent. Ces deux manifestations auront lieu à Abu Dhabi en décembre L Union européenne a signifié qu elle fournirait 5 millions d euros à Hedayah cette année et les États-Unis ont précisé qu ils continueraient d accorder un soutien financier à Hedayah pendant l année à venir. 19. Le secrétaire exécutif par intérim de l IIJ a déclaré que le lancement officiel de l Institut avait eu lieu le 18 juin 2014 à Malte et que celui-ci avait déjà accueilli plusieurs ateliers de formation, axés plus particulièrement sur les pays de la région du Sahel et du Maghreb. Il y a notamment eu un atelier organisé en association avec l ONUDC sur le renforcement de la coopération régionale entre la Libye et ses voisins pour lutter contre le financement du terrorisme. L IIJ accueillera bientôt des ateliers sur les enlèvements contre rançon organisés de concert avec l'institut d études de sécurité (ISS) de Pretoria et le premier d une série de quatre cours avec l Institut des États-Unis pour la paix (USIP) portant sur la lutte contre le terrorisme dans le respect de l état de droit. L IIJ a précisé également que plusieurs pays envisagent de détacher des experts auprès du Secrétariat exécutif et qu il accepterait volontiers d autres offres de soutien financier ou autre. 20. Le directeur exécutif par intérim du Secrétariat du GCERF a précisé que ce dernier est désormais une fondation légale de droit suisse qui tiendrait la première réunion de son Conseil de direction en novembre 2014 et comptait octroyer ses premières subventions à des organisations communautaires locales d ici à la fin L objectif du GCERF est de mobiliser des ressources des secteurs public et privé pour appuyer des projets locaux de lutte contre l extrémisme violent qui vont à l encontre de l idéologie violente qui favorise le recrutement de terroristes dans des pays comme le Bangladesh, le Mali et le Nigeria, qui se sont tous proposés pour être des pays pilotes pour des programmes financés par le GCERF. Cette fondation a également exprimé son souhait de créer une capacité d intervention rapide pour appuyer les organisations locales réalisant des projets de lutte contre l extrémisme violent visant l État islamique. Le Secrétariat du GCERF sera réduit mais efficace et son processus de financement comprendra un examen indépendant rigoureux des propositions pour garantir la transparence et le respect de l obligation de rendre compte. Il a reçu des contributions ou des promesses de soutien financier de la part de plusieurs pays. Pendant la réunion, l Australie, le Canada, l Union européenne, la Suisse et les États-Unis ont fait part de leur intention d annoncer des engagements financiers pendant la réunion ministérielle plénière du lendemain. Séance 8 : Débat sur la mise en œuvre des documents cadres du GCTF devant être adoptés lors de la cinquième réunion ministérielle 21. Les membres ont reçu des informations sur les trois documents cadres qui seront adoptés lors de la réunion ministérielle plénière et ils ont discuté de l importance de la mise en œuvre de ces nouveaux documents. Hedayah, qui a participé à la rédaction du Mémorandum d Abu Dhabi, a indiqué qu un programme d action sur la mise en œuvre et la concrétisation de ces bonnes pratiques serait établi pour appuyer des initiatives de renforcement des capacités

11 destinées aux responsables de l éducation, du développement des jeunes et des affaires sociales ainsi qu à la société civile des pays intéressés. L objectif du Mémorandum de La Haye est d aider les juges à traiter plus efficacement les affaires de terrorisme tout en veillant au respect des droits de toutes les parties impliquées dans ces affaires, en particulier les droits des accusés à un procès équitable et la protection des victimes et des témoins. Les Recommandations sur le renseignement et les éléments de preuve ont pour objectif d aider les pays intéressés à mettre en œuvre la bonne pratique 6 du Mémorandum de Rabat, qui concerne l utilisation et la protection du renseignement et des éléments de preuve pendant les enquêtes et les poursuites concernant des activités de terrorisme. Le Groupe de travail sur le secteur de la justice pénale et l état de droit, en association avec l ONUDC, a réuni des experts à deux reprises pour examiner les moyens de mettre efficacement en œuvre la bonne pratique 6 dans différents systèmes juridiques et les questions qui peuvent se poser dans le cadre d une telle mise en œuvre. Des activités de formation sur ces recommandations seront organisées à l IIJ au début Séance 9 : Le point et les prochaines étapes concernant l initiative sur les «combattants terroristes étrangers» 22. La Turquie a animé une discussion sur le travail mené actuellement par le GCTF concernant le phénomène des combattants terroristes étrangers. Les membres ont fait l éloge du leadership du Maroc et des Pays-Bas au sujet de cette grande question d actualité et du Mémorandum de La Haye-Marrakech qui en a été le fruit. Ils ont noté l impact de ces bonnes pratiques sur l élaboration de la résolution sur les combattants terroristes étrangers que le Conseil de sécurité de l ONU a adoptée par la suite le 24 septembre. Ils ont également approuvé la création d un groupe de travail sur les combattants terroristes étrangers, coprésidé par le Maroc et les Pays-Bas, qui servirait de tribune pour répondre à l intérêt croissant dans ce domaine. Le Maroc a indiqué que la réunion inaugurale de ce groupe de travail aurait lieu au début décembre 2014 au Maroc. 23. Le Maroc et les Pays-Bas ont tous deux déclaré que le Mémorandum de La Haye-Marrakech, qui est conforme au droit international et au droit relatif aux droits de l homme, représente une étape concrète décisive pour aider les États à faire face à la menace que posent les combattants terroristes étrangers dans quatre domaines de fond : (1) la radicalisation qui mène à l extrémisme violent, (2) le recrutement et la facilitation, (3) les voyages et le combat, et (4) le retour et la réinsertion. L État islamique illustre les difficultés rencontrées par la communauté internationale lorsqu elle cherche à s attaquer à la question des combattants terroristes étrangers. Le GCTF continuera de porter son attention sur des moyens concrets de mettre en œuvre ces bonnes pratiques et de renforcer les capacités à ce sujet. Plusieurs membres ont présenté les efforts entrepris par leurs pays respectifs pour préparer des lois relatives aux combattants terroristes étrangers sur leur territoire national et ont souligné l importance de la coopération et de la coordination internationales dans ce domaine. Les membres ont également mentionné plusieurs initiatives bilatérales et multilatérales déjà en cours pour mettre en œuvre les principes du Mémorandum de La Haye- Marrakech, y compris sur le contrôle des frontières, la sensibilisation de la communauté, la sûreté aérienne et la révocation des passeports.

12 Séance 10 : Questions diverses Cette séance à huis clos était réservée aux membres du GCTF. Déclarations de clôture des coprésidents 24. La Turquie et les États-Unis ont évoqué les progrès et les réalisations du Forum depuis sa création il y a trois ans et souligné l importance que revêt la poursuite d une mobilisation active pour mettre en œuvre les documents cadres existants et ceux qui seraient adoptés lors de la réunion ministérielle plénière. Les coprésidents ont remercié tous les membres et partenaires de leurs contributions aux activités du Forum et de leurs efforts pour assurer le succès continu du GCTF.

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

Le terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale.

Le terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale. Strasbourg, 2 mai 2014 CODEXTER (2014) 5 COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) COMITE EUROPEEN POUR LES PROBLEMES CRIMINELS (CDPC) CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE TERRORISME ET LE CRIME ORGANISE

Plus en détail

Qu est-ce que l OSCE?

Qu est-ce que l OSCE? Résoudre les différences, renforcer la confiance Qu est-ce que l OSCE? L OSCE, qui compte 57 États participants en Amérique du Nord, en Asie et en Europe, est la plus grande organisation de sécurité régionale

Plus en détail

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil: 1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence

Plus en détail

Assemblée des États Parties

Assemblée des États Parties Cour pénale internationale Assemblée des États Parties ICC-ASP/6/INF.3 Distr.: générale 4 décembre 2007 FRANÇAIS Original: Anglais Sixième session New York 30 novembre - 14 décembre 2007 Conférence de

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Allocution de M. Hassan B. Jallow Procureur du TPIR et du MTPI, devant le Conseil de sécurité de l ONU 10 décembre 2014

Allocution de M. Hassan B. Jallow Procureur du TPIR et du MTPI, devant le Conseil de sécurité de l ONU 10 décembre 2014 United Nations Mechanism for International Criminal Tribunals Nations Unies Mécanisme pour les Tribunaux pénaux internationaux ALLOCUTION (Destiné exclusivement à l usage des médias. Document non officiel.)

Plus en détail

exécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II.

exécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II. Conseil exécutif Quatre-vingt-dix-huitième session Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne), 4-6 juin 2014 Point 3 l) h) de l ordre du jour provisoire CE/98/3 I) h) Madrid, 15 avril 2014 Original : anglais

Plus en détail

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie. Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche

Plus en détail

NATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5

NATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 NATIONS UNIES J O U R N A L Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 PROGRAMME DES SÉANCES MERCREDI 19 MARS 2014 10 heures 9 e séance plénière Salle du Conseil

Plus en détail

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Nations Unies UNW/2015/3 Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Distr. générale 5 mars 2015 Français Original : anglais Session annuelle

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

L Organisation mondiale du commerce...

L Organisation mondiale du commerce... L Organisation mondiale du commerce......en quelques mots, l Organisation mondiale du commerce (OMC) est la seule organisation internationale qui s occupe des règles régissant le commerce entre les pays.

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Ce chapitre offre un aperçu du processus de

Ce chapitre offre un aperçu du processus de Identification des be Introduction Ce chapitre offre un aperçu du processus de planification qui sert à déterminer les besoins des réfugiés, des apatrides et des autres personnes relevant de la compétence

Plus en détail

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée

Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Nations Unies CTOC/COP/WG.5/2012/1 Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée Distr. générale 14 novembre 2011 Français Original: anglais Groupe

Plus en détail

L Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe.

L Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe. 1 1 2 2 Qui est l Union des Femmes Investisseurs Arabes? FICHE D IDENTITÉ L Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe. Elle a été créée par l Union économique arabe

Plus en détail

Sécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière

Sécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière L atome pour la paix Conférence générale GC(58)/RES/11 Septembre 2014 Distribution limitée Français Original : anglais Cinquante-huitième session ordinaire Point 14 de l ordre du jour (GC(58)/22) Sécurité

Plus en détail

Centre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e

Centre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Centre d etudes strategiques de l Afrique E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Séminaire pour hauts responsables - Lisbonne, Portugal Le premier événement

Plus en détail

À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR

À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR Photo by: Ryan Carter, Philip Cheung / Crown Prince Court - Abu Dhabi Le Prix Zayed de l énergie du futur, lancé en 2008 et géré par Masdar, représente la vision

Plus en détail

établi par le Bureau Permanent * * * REVIEW OF ACTIVITIES OF THE CONFERENCE IN REGARD TO MEDIATION drawn up by the Permanent Bureau

établi par le Bureau Permanent * * * REVIEW OF ACTIVITIES OF THE CONFERENCE IN REGARD TO MEDIATION drawn up by the Permanent Bureau AFFAIRES GÉNÉRALES ET POLITIQUE GENERAL AFFAIRS AND POLICY Doc. prél. No 11 Prel. Doc. No 11 février / February 2010 SUIVI DES ACTIVITÉS DE LA CONFÉRENCE EN MATIÈRE DE MÉDIATION établi par le Bureau Permanent

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées. Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772 Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier

Plus en détail

REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES

REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES Juin 2014 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... iii CARTE DU BURUNDI... iv SIGLES ET ABREVIATIONS... v RESUME EXECUTIF... vii CHAPITRE I : INTRODUCTION...

Plus en détail

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les

Plus en détail

A/RES/55/25 II. Protection des victimes de la traite des personnes

A/RES/55/25 II. Protection des victimes de la traite des personnes 2. L original de la présente Convention, dont les textes anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe font également foi, sera déposé auprès du Secrétaire général de l Organisation des Nations

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

Conseil de sécurité. Nations Unies S/2015/123

Conseil de sécurité. Nations Unies S/2015/123 Nations Unies S/2015/123 Conseil de sécurité Distr. générale 23 février 2015 Français Original : anglais Lettre datée du 18 février 2015, adressée au Président du Conseil de sécurité par la Présidente

Plus en détail

Des problèmes de protection ont continué à se produire le long de la frontière de la Turquie avec la Grèce et la Bulgarie.

Des problèmes de protection ont continué à se produire le long de la frontière de la Turquie avec la Grèce et la Bulgarie. En Turquie, plus de 9 200 personnes ont pris contact avec le HCR pour demander l asile, soit une augmentation de 18 pour cent par rapport à l année précédente. Près de 45 pour cent des demandeurs étaient

Plus en détail

Journal. Réunions officielles à venir. Lundi 8 décembre 2014

Journal. Réunions officielles à venir. Lundi 8 décembre 2014 Journal 5 décembre 2014 COUR PENALE INTERNATIONALE TREIZIEME SESSION DE L ASSEMBLEE DES ÉTATS PARTIES NEW YORK, 8 17 DECEMBRE 2014 Réunions officielles à venir Première séance plénière Lundi 8 décembre

Plus en détail

Plan d action 2010-2015 de la Stratégie de cybersécurité du Canada

Plan d action 2010-2015 de la Stratégie de cybersécurité du Canada Plan d action -2015 de la Stratégie de cybersécurité du Canada Sa Majesté la Reine du Chef du Canada, 2013 No de cat. : PS9-1/2013F-PDF ISBN : 978-0-660-20521-2 ii Introduction La technologie de l information

Plus en détail

politique de la France en matière de cybersécurité

politique de la France en matière de cybersécurité dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le

Plus en détail

Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques

Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques NATIONS UNIES BES Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques Plénière de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur

Plus en détail

RAPPORT DU SECRÉTAIRE

RAPPORT DU SECRÉTAIRE Mars 2011 F Point 6 de l ordre du jour provisoire QUATRIÈME SESSION DE L ORGANE DIRECTEUR Bali (Indonésie), 14-18 mars 2011 RAPPORT DU SECRÉTAIRE 1. En novembre, cela fera exactement dix ans que vous avez

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM

ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM DMED_PV(2010)1202_1 PROCÈS-VERBAL de la réunion du 2 décembre 2010

Plus en détail

Second communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition)

Second communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition) Second communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition) Introduction Le 20 décembre 2013, l'assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution en

Plus en détail

Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique

Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique Conférence sur l assistance judiciaire dans le système pénal : le rôle des avocats, nonavocats et autres acteurs

Plus en détail

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil Commission de l Union africaine Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil République de Côte d Ivoire

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information

Plus en détail

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/WG.4/2013/5 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 4 septembre 2013 Français Original: anglais Rapport de la réunion

Plus en détail

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe

Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe SEUL LE PRONONCE FAIT FOI! 17.06.2014 Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe 19 e Conférence du Conseil

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH

PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Stratégie nationale en matière de cyber sécurité

Stratégie nationale en matière de cyber sécurité Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l

Plus en détail

NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39

NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

Commission des finances

Commission des finances Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION CBD Distr. GÉNÉRALE UNEP/CBD/WG-ABS/7/1/Add.1/Rev.1 25 mars 2009 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS GROUPE DE TRAVAIL SPÉCIAL À COMPOSITION NON LIMITÉE SUR L'ACCÈS ET LE PARTAGE DES AVANTAGES Septième réunion

Plus en détail

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine 14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction

Plus en détail

DU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO

DU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi)

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016 Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) Ce rapport a été préparé par : 205, rue Catherine, Suite 300 Ottawa, Ontario K2P 1C3 Tél. : 613.230.6424 Fax : 613.567.1504

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CECI/CONF.5/1 17 mars 2009 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE COMITÉ DE LA COOPÉRATION ET DE L INTÉGRATION ÉCONOMIQUES

Plus en détail

STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017

STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 Conseil de l Europe Edition

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

Aperçu du Programme national de lutte contre le crime organisé: 2000-2006 4 MAI 2007

Aperçu du Programme national de lutte contre le crime organisé: 2000-2006 4 MAI 2007 Aperçu du Programme national de lutte contre le crime organisé: 2000-2006 4 MAI 2007 LE FORUM DES POLITIQUES PUBLIQUES Donner aux Canadiens un meilleur gouvernement Le Forum des politiques publiques est

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite

Plus en détail

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité

Plus en détail

RAPPORT. (préparé par le Secrétariat)

RAPPORT. (préparé par le Secrétariat) FR COMMISSION DES FINANCES UNIDROIT 2011 70 ème session AG/Comm. Finances (70) 9 Rome, 29 septembre 2011 Original: français septembre 2011 RAPPORT (préparé par le Secrétariat) Sommaire Action demandée

Plus en détail

LES ESPOIRS SONT IMMENSES

LES ESPOIRS SONT IMMENSES LES ESPOIRS SONT IMMENSES UN PORTE-DRAPEAU MONDIAL DU CHANGEMENT ONU Femmes est le porte-drapeau mondial du changement pour les femmes et les filles. Sa création en 2010, saluée à travers le monde, offre

Plus en détail

Copie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement.

Copie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement. PROTOCOLE ADDITIONNEL À LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CRIMINALITÉ TRANSNATIONALE ORGANISÉE VISANT À PRÉVENIR, RÉPRIMER ET PUNIR LA TRAITE DES PERSONNES, EN PARTICULIER DES FEMMES ET DES ENFANTS

Plus en détail

COMPRENDRE CE QU EST L OTAN

COMPRENDRE CE QU EST L OTAN COMPRENDRE CE QU EST L OTAN LES ORIGINES DE L ALLIANCE Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l Europe de l Est et l Europe de l Ouest se sont trouvées séparées par les divisions idéologiques et politiques

Plus en détail

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...

Plus en détail

I-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux

I-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux INTERPOL I-Checkit Pour votre sécurité I-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux criminels et

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 24 janvier 2014 Français Original: anglais ECE/CES/2014/7 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Soixante-deuxième

Plus en détail

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Préambule La quatrième conférence internationale sur la promotion de la santé : "A ère nouvelle, acteurs nouveaux : adapter la promotion

Plus en détail

la confiance dans l économie de l information

la confiance dans l économie de l information C o n f é r e n c e d e s N at i o n s U n i e s s u r l e c o m m e r c e e t l e d é v e l o p p e m e n t SERVICES fournis La Division de la technologie et de la logistique de la CNUCED propose les

Plus en détail

27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)

27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) 27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) L Assemblée des États Parties, 1 [ ] 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de

Plus en détail

RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS. Juillet 2006

RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS. Juillet 2006 RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS Juillet 2006 Préambule Considérant qu en juin 2004, à l occasion de la Onzième session de la

Plus en détail

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011 Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour

Plus en détail

Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire

Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Étude d impact IBM sur les états frontaliers - Sommaire Les États-Unis sont le marché touristique international le plus important pour le Canada et l Ontario. Par conséquent, on déploie des efforts importants

Plus en détail