Position des deux opérateurs
|
|
- Dominique Bois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 3 PARTIE III : LES PRINCIPALES OPTIONS STRATÉGIQUES CAS PRATIQUE N France Télécom et Deutsche Telekom NOTIONS À MOBILISER Avantage concurrentiel (chapitre 8) Diagnostic interne (chapitre 7) Différenciation (chapitre 9 ) Diagnostic externe (chapitre 6) FICHES DÉMARCHE L analyse d un contexte de management (fiche démarche n 1) L analyse d un problème de management (fiche démarche n 2) FICHES MÉTHODE Analyser un texte (fiche méthode n 2) Rechercher des informations sur Internet (fiche méthode n 4) DOCUMENT 1 France Télécom et Deutsche Telekom, une longue amitié? Ils ont partagé une longue histoire commune. Alliances stratégiques et participations croisées ont animé une amitié d une dizaine d années, qui, croyait on, à l époque, finirait par un grand mariage franco allemand. Des fiançailles brutalement rompues, lorsque Deutsche Telekom a voulu jeter son dévolu sur Telecom Italia. C était en Depuis, les chemins se sont séparés mais les parcours individuels ont été très similaires. Anciens monopoles d État plongés dans le grand air de la concurrence avec la libéralisation du marché des télécoms en 1998 France Télécom et Deutsche Telekom luttent depuis pour défendre leurs positions. Marianne PY, Le Revenu français, n 821, 27 mai DOCUMENT 2 Denis/Réa. Position des deux opérateurs POSITION DES DEUX OPÉRATEURS (sur leur marché domestique respectif) 83% 67% 67% France Allemagne Téléphonie fixe Téléphonie mobile ADSL Didier Lombard P-DG de France Télécom 48% 39% 47% France Allemagne France Allemagne Kai-Uwe RICKE Président du directoire de DEutsche Telekom Marianne PY, Le Revenu français, n o 21, 27 mai AFP Photo/DDP/J. Luebke. France Deutsche Télécom Telekom Nombre d employés Place principale de cotation Paris Francfort Performance boursière sur un an + 21 % + 8 % Performance boursière sur trois ans + 21 % + 10 % Capitalisation boursière 1 58,7 62,4 Chiffre d affaires ,2 57,9 Cash-flow 2 libre en ,2 Résultat net ,8 2,2 Marge brute d exploitation ,7 % 33,5 % Marge d exploitation ,8 % 16,4 % Rentabilité des fonds propres % 14 % Ratio dettes sur fonds propres % 110 % 1. En milliard d euros. 2. Le cash-flow ou capacité d'autofinancement (CAF) quantifie au cours d'une période, le potentiel de l'entreprise à dégager des ressources de par son activité. Ces ressources internes pourront être utilisées notamment pour financer la croissance de l'activité, financer de nouveaux investissements, rembourser des emprunts ou verser des dividendes aux propriétaires de l'entreprise. 117
2 PARTIE III : LES PRINCIPALES OPTIONS STRATÉGIQUES DOCUMENT 3 Stratégie : l intégration, nouveau maître-mot Lancé il y a deux ans par France Télécom, le concept d opérateur «intégré» a vite fait des émules auprès de Deutsche Telekom. Il découle d un constat : les frontières sont, de plus en plus ténues entre les différents métiers des télécoms, Internet débarquant sur le mobile (avec l UMTS), le téléphone transitant par l ADSL (avec la voix sur IP 1 )... Dont acte. Après avoir profité des valorisations très généreuses accordées aux télécoms, les deux groupes ont décidé de retirer de la Bourse leurs filiales, à des prix qui ont indigné les actionnaires minoritaires. T-Online est en passe d être réintégré chez Deutsche Telekom. Orange, Wanadoo et Equant sont revenus dans le giron de France Télécom. Les groupes espèrent ainsi être mieux armés pour freiner le déclin de leurs parts de marché, notamment dans la téléphonie fixe, principale activité «vache à lait» traditionnelle des deux sociétés. La stratégie de France Télécom est plus offensive. Face à la menace que constitue l essor de la voix sur IP, qui permet de téléphoner beaucoup moins cher, l opérateur français a lancé sa propre offre. Il comptabilise contrats à fin mars, ce qui est un record pour un opérateur historique. De son côté, Deutsche Telekom ne lancera son offre que cette année. Globalement, le groupe allemand affiche une croissance interne plus forte (+ 5,8% en 2004, contre + 4,1% pour France Télécom). Il le doit au dynamisme de sa filiale américaine TMobile US, dont le chiffre d affaires a bondi de 39% l an passé! La faible maturité du marché américain, où le taux de pénétration du mobile est inférieur à 60% (contre plus de 80% en Europe), explique cette forte croissance. Mais T-Mobile US est aussi devenu une réelle épine dans le pied de Deutsche Telekom : le groupe va devoir réaliser des investissements colossaux pour lancer aux États-Unis la téléphonie mobile de troisième génération (3G). Un sujet d inquiétude majeur pour les investisseurs. -> Avantage : France Télécom. 1. IP : Internet Protocol (la voix est transmise par le réseau internet). Marianne PY, Le Revenu français, n 821, 27 mai DOCUMENT Indicateurs comparés Mobile (orange) Fixe Autres (2,6%) CHIFFRE D AFFAIRES PAR ACTIVITÉ FRANCE TÉLÉCOM DEUTSCHE TELEKOM 41,7% 37,8% TP Group (7,9%) Internet (Wanadoo) (5,5%) Entreprises (Equant) 4,5%) Fixe (T-com) Internet (T-Online) (3,1%) 42,5% 38,3% 16,1% Bien qu en perte de vitesse, le fixe reste la première source de revenus des deux opérateurs. Le pôle Internet est marginal, mais sa montée en puissance rapide. Mobile (T-Mobile) Entreprises (T-Systems) SUITE
3 France Télécom et Deutsche Telekom SUITE DOCUMENT 4 CAS PRATIQUE n 3 RÉPARTITION DU CAPITAL FRANCE TÉLÉCOM DEUTSCHE TELEKOM Public État français Actionnaires institutionnels État allemand 56% 41,1% 45% 38%* 17% Salariés (2,9%) Actionnaires individuels * Dont 15 % indirectement entre les mains de la banque publique KFW. Principaux actionnaires, les États allemands et français pourraient céder une partie de leurs titres cette année. Cette perspective pèse sur le cours des deux actions. ÉVOLUTION DE LA DETTE NETTE FRANCE TÉLÉCOM DEUTSCHE TELEKOM 68 En milliards d euros En normes nationales 61,1 En milliards d euros En normes nationales ,2 43,9 35, Estimation 2005 La restauration du bilan reste une priorité pour l opérateur français , , ,5 Estimation 2005 Le désendettement de l opérateur allemand a été plus rapide. Marianne PY, Le Revenu Français, n 821, 27 mai Source des graphiques : sociétés concernées. 119
4 PARTIE III : LES PRINCIPALES OPTIONS STRATÉGIQUES DOCUMENT 5 Positions concurrentielles : un contexte plus paisible dans le mobile en France Sur leur marché national respectif, principale source de revenus et de résultats, la situation est nuancée. Deutsche Telekom profite d une situation exceptionnelle dans l ADSL, avec une position inégalée pour un opérateur européen (une part de marché de 83 %!). L Allemand a bénéficié jusqu à présent d une réglementation favorable, mais qui pourrait se durcir. Dans le mobile, le contexte est plus porteur pour France Télécom, le marché français étant «l un des plus favorables d Europe : le taux de pénétration est faible, les parts de marché sont relativement stables et les marges demeurent élevées», soulignent les analystes de Merrill Lynch. Et l arrivée récente des opérateurs mobiles virtuels (MVNO) ne semble pas pour l instant bien menaçante. À l inverse, TMobile, la filiale de téléphonie mobile de Deutsche Telekom, perd du terrain en Allemagne (sa part de marché est passée de 40,6 % à 38,5 % en 2004). Enfin, TMobile US devrait souffrir d un durcissement de la concurrence, après la récente vague de fusions dans le secteur (Cingulax-AIT Wireless et Sprint-Nextel), qui fait désormais de T-Mobile US un «petit» numéro quatre du secteur. -> Avantage : France Télécom. Marianne PY, Le Revenu français, N o 821, 27 mai DOCUMENT 6 Qualité du bilan : la dette ne menace plus la survie des opérateurs Les bilans des deux sociétés ont été sérieusement dégradés par une expansion internationale au prix fort, au début de la décennie. Deutsche Telekom, notamment, avait racheté T-Mobile US (ex-voicestream) 40 milliards de dollars en Depuis trois ans, le désendettement a été la priorité des deux sociétés, qui ont parcouru un long chemin (recapitalisation, restructurations), avec une longueur d avance pour Deutsche Telekom. En baisse de 11,4 milliards d euros en 2004, sa dette nette n est plus «que» de 35,2 milliards, représentant 1,8 fois son résultat brut d exploitation. Avec une dette nette de 43,9 mil- liards, ce ratio est de 2,4 fois pour France Télécom. Mais si les deux sociétés figurent toujours parmi les opérateurs européens les plus endettés, cette situation ne les met plus en péril. La très bonne rentabilité des deux opérateurs (marge brute d exploitation de 38,7% pour le Français et de 33,5 % pour l Allemand) et la baisse des investissements leur permettent en effet de dégager des cash-flow phénoménaux. -> Avantage : Deutsche Telekom Marianne PY, Le Revenu français, n 821, 27 mai
5 France Télécom et Deutsche Telekom 1 FICHE DÉMARCHE N 1 À l aide du site site caractérisez l entreprise France Télécom Type : Missions : Objectifs : Stratégie : Secteur d activité : Champ d action : CAS PRATIQUE n 3 2 Listez les facteurs clés de succès sur le marché des télécommunications. FICHE DÉMARCHE N 1 121
6 PARTIE III : LES PRINCIPALES OPTIONS STRATÉGIQUES 3 FICHE DÉMARCHE N 1 Présentez les éléments principaux des diagnostics externe et interne de France Télécom Précisez le problème stratégique auquel est confronté France Télécom dans le secteur des télécommunications. 5 Présentez les solutions mises en œuvre sous l autorité de M. Lombard. FICHE DÉMARCHE N 2 FICHE DÉMARCHE N 3
L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailChiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino
Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailHausse de 78% du résultat net record à 313 millions d euros. Signature d un contrat d itinérance 2G / 3G avec Orange
RESULTATS ANNUELS 2010 Paris, le 9 mars 2011 Chiffre d affaires à plus de 2 milliards d euros Marge d EBITDA Groupe à plus de 39% Hausse de 78% du résultat net record à 313 millions d euros Signature d
Plus en détailStratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France
Les nouveaux enjeux et défis du marché immobilier Chaire Ivanhoé Cambridge ESG UQÀM Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France 1
Plus en détailsofipaca UNIVERSITE D ORAN ES SENIA Michel POURCELOT 17-18 FEVRIER 2007 1
sofipaca UNIVERSITE D ORAN ES SENIA Michel POURCELOT 17-18 FEVRIER 2007 1 1 GENERALITES SUR LE CAPITAL INVESTISSEMENT LE CAPITAL DEVELOPPEMENT ET LE CAPITAL TRANSMISSION 17-18 FEVRIER 2007 2 2 DEFINITIONS
Plus en détailCroissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance
Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression
Plus en détailFinancement d une entreprise étrangère qui exerce des activités au Canada
Financement d une entreprise étrangère qui exerce des activités au Canada Le Canada offre des occasions d affaire à ceux qui souhaitent financer une entreprise étrangère au pays et présente tout un éventail
Plus en détailLes valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8
Les actions 3 Les droits et autres titres de capital 5 Les obligations 6 Les SICAV et FCP 8 2 Les actions Qu est-ce qu une action? Au porteur ou nominative, quelle différence? Quels droits procure-t-elle
Plus en détailDISCOUNTED CASH-FLOW
DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détail5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines
5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailSynthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3
Semaine du 25/05/2015 au 29/05/2015 Synthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3 Sur le plan international - Lafarge-Holcim : Cèdent 6,5 milliards d'actifs Sur le plan national
Plus en détailETATS FINANCIERS CONSOLIDES
ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 DECEMBRE 2002 BILANS CONSOLIDES Avant répartition ACTIF Note au 31 décembre au 31 décembre au 31 décembre en millions d'euros 2002 2001 2000 Immobilisations incorporelles
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailSuccès de l introduction en bourse de Tarkett
Succès de l introduction en bourse de Tarkett Prix de l offre : 29,00 euros par action, correspondant à une capitalisation boursière d environ 1.848 millions d euros Taille totale de l opération : environ
Plus en détailCommuniqué de Presse. S1 2015 S1 2014 Exercice 2014
Contacts Relations Investisseurs : Patrick Gouffran +33 (0)1 40 67 29 26 pgouffran@axway.com Relations Presse : Sylvie Podetti +33 (0)1 47 17 22 40 spodetti@axway.com Communiqué de Presse Axway : croissance
Plus en détailLes clés de l évaluation. Hervé Bardin
Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation
Plus en détailAu second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :
11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010
Plus en détailINTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE
INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de
Plus en détail1 er trimestre 2014-2015 : Résultats en ligne avec les objectifs annuels
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 10 mars 2015 1 er trimestre : Résultats en ligne avec les objectifs annuels Solide croissance organique de 3,3% EBITDA en hausse de 1,5% Résultat net multiplié par 3,3 Perspectives
Plus en détailCommuniqué de presse. Le 5 novembre 2014
Communiqué de presse Le 5 novembre 2014 Alstom : niveau record de commandes et amélioration de la profitabilité au premier semestre 2014/15, Etapes clés franchies dans le projet avec General Electric Dans
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailMobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement
RESULTATS ANNUELS 2014 Paris, le 12 mars 2015 16 millions d abonnés (fixes et mobiles) Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement Chiffre d affaires dépassant pour la première fois
Plus en détailI) Le diagnostic externe
Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux
Plus en détailNouvelles règles de sous-capitalisation : Révision nécessaire et optimisation des financements intra-groupe
Nouvelles règles de sous-capitalisation : Révision nécessaire et optimisation des financements intra-groupe Conférence du 21 octobre 2008 Intervenants: Dominique GAVEAU Avocat fiscaliste, diplômé Expert-Comptable,
Plus en détailAOF. L analyse fondamentale. bourse. mini-guide. Comment investir en Bourse? Mai 2009
AOF mini-guide bourse «Comment investir en Bourse? L analyse fondamentale Mai 2009 L analyse fondamentale SOMMAIRE Les objectifs de l analyse fondamentale p. 4 Comment lire les comptes d une société cotée?
Plus en détailUFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM
COMMUNIQUE de Presse PARIS, LE 13 JANVIER 2015 UFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM UFF Oblicontext 2021 est un
Plus en détailGLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES
GLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES Action Valeur mobilière représentant une part du capital d'une société. Le détenteur d'une action bénéficie d'une rémunération sous forme de dividendes et a normalement un
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailCommuniqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012.
Communiqué de presse Lille, le 29 juin 2012 Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014 Pour le semestre clos au 31 mars 2012. L Entreprise organise une conférence téléphonique
Plus en détailRésultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Communiqué de presse La Fouillouse, le lundi 9 décembre 2013 Résultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Plus en détailUE Marketing Stratégique
UE Marketing Stratégique Modèles et Méthodes du Marketing Stratégique Les différents modèles et méthodes en Marketing Stratégique Introduction Analyse des besoins (du marché de référence) Analyse d attractivité
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailNouvelles règles fiscales de sous-capitalisation en France : Conditions de déductibilité des intérêts financiers*
Nouvelles règles fiscales de sous-capitalisation en France : Conditions de déductibilité des intérêts financiers* * sur compte courant ou prêt Sommaire 1. Avant propos 2. Ancien dispositif 3. Pourquoi
Plus en détailL'ouverture à la concurrence
[Extrait] CONSOMMATION ET CONCURRENCE RÉGLEMENTATION Services en réseaux L'ouverture à la concurrence Article du bureau Économie des réseaux, de la direction de la Prévision et de l analyse économique.
Plus en détailFiscalité de l épargne et financement des entreprises. Eléments de constat et propositions
Le 11 février 2013 Fiscalité de l épargne et financement des entreprises Eléments de constat et propositions Les lois de finances adoptées au cours de ces deux dernières années ont appréhendé les revenus
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailUNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL. N 73 Mars 2004
Lab.RII UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL N 73 Mars 24 La Bourse en Chine : éléments clés Peng YANG 1 La Bourse en Chine : éléments
Plus en détailN 2. Generix fait figure de pionnier dans le Software as a Service, qui va bouleverser l univers du commerce et de la distribution.
LA LETTRE AUX ACTIONNAIRES ÉTÉ 2009 N 2 MESSAGE DU PRÉSIDENT DU DIRECTOIRE Madame, Monsieur, Cher actionnaire, J ai le plaisir de vous présenter le deuxième numéro de notre lettre aux actionnaires. Dans
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailMarketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique
Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailAnnexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION
FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailIMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS
IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS Loi relative à l impôt sur le revenu (amendement) de 2005 Loi relative à la contribution spéciale à la défense (amendement)
Plus en détailDossier 1 ETUDE DE CAS
DSCG session 2012 UE2 Finance Corrigé indicatif Dossier 1 ETUDE DE CAS 1. Evaluation de GRENELLE: 1.1. Valeur des fonds propres Vcp par la méthode des DCF Evolution du chiffre d affaires (TCAM : 6,7%)
Plus en détailEmerging Manager Day 18 décembre 2013 1
Emerging Manager Day 18 décembre 2013 1 FACTEURS DE RISQUES L Le FCP sera principalement investi dans des instruments financiers sélectionnés par la société de gestion. Ces instruments sont soumis aux
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailAnnées 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 TOTAL 45 35 38 37 38 Moyenne europ. 42 37 37 36 34 Moyenne mond. 54 55 56 54 52
Quelques ratios boursiers couramment utilisés comme données de l élaboration du benchmarking du groupe Total : Total (avant les fusions avec Fina puis Elf) comparé aux moyennes des pétroliers (européenne
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailGrégoire Sentilhes et Thierry Ortmans. 23 mars 2015. Orienter l épargne vers les entreprises de taille moyenne
Grégoire Sentilhes et Thierry Ortmans 23 mars 2015 Orienter l épargne vers les entreprises de taille moyenne Orienter l épargne existante vers les entreprises de taille moyenne : la meilleure manière
Plus en détailLES MATINALES DE. Avec le Soutien de la Délégation de l Union Européenne
LES MATINALES DE Avec le Soutien de la Délégation de l Union Européenne Yazid Taalba Hôtel Hilton - ALGER 3 Juin 2014 SOMMAIRE 1- Qu est ce qu est le capital investissement? 2- Qui intervient dans ce métier?
Plus en détailLES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA
LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA Plan INTRODUCTION 1 / LA SOCIÉTÉ DE BOURSE DE CASABLANCA 2 / L AUTORITE DE SURVEILLANCE (CDVM) 3 / LES SOCIETES DE BOURSE 4 / LES ORGANISMES DE PLACEMENT
Plus en détailCegedim : Un chiffre d affaires 2013 en léger recul en organique*
SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière Trimestrielle au 31 décembre 2013 IFRS - Information Réglementée
Plus en détailCinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks)
Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks) Par Jean Estin Président, Estin & Co Il y a cinq véritables sources de création de valeur. La (profitable) Accélérer fortement la d un groupe.
Plus en détailNE PAS DISTRIBUER LE PRÉSENT COMMUNIQUÉ AUX AGENCES DE TRANSMISSION AMÉRICAINES ET NE PAS LE DIFFUSER AUX ÉTATS-UNIS
NE PAS DISTRIBUER LE PRÉSENT COMMUNIQUÉ AUX AGENCES DE TRANSMISSION AMÉRICAINES ET NE PAS LE DIFFUSER AUX ÉTATS-UNIS NEUF DES PLUS GRANDES INSTITUTIONS FINANCIÈRES ET CAISSES DE RETRAITE CANADIENNES PRÉSENTENT
Plus en détailRésultats intermédiaires
Résultats intermédiaires Rapport semestriel 2000 du groupe Zurich Financial Services y compris les rapports semestriels d Allied Zurich p.l.c. et de Zurich Allied AG Principaux chiffres en millions de
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détail«Mécanismes» et contraintes budgétaires
Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr
Plus en détailManuel de référence Options sur devises
Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à
Plus en détailQuestions fréquentes Plan de restructuration
Questions fréquentes Plan de restructuration 1. Quel est l objectif du plan de restructuration proposé? 2. D où vient cette dette de 126 millions d euros due le 1 er janvier 2015? 3. Y avait-il d autres
Plus en détail3. Le pilotage par le cash
Cependant, l allocation du capital engagé ne peut pas toujours être opérée à des niveaux très fins. Il est néanmoins intéressant de tenter de le répartir sur de plus grands périmètres (diverses activités
Plus en détailRecherches mises en valeur
Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février
Plus en détailAUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments
Plus en détail5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations
5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition
Plus en détail24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10
Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Agenda 1. Fiche d'identité de Solucom 2. Marché et activité du 1 er semestre 2010/11 3. Résultats semestriels 2010/11 4. Les ressources humaines, un enjeu
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailUNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE
UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE Partant d une situation déjà défavorable au financement des entreprises par fonds propres, les mesures fiscales
Plus en détailRÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques
COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record
Plus en détailSERVICOM mise sur l internationalisation. Analyste chargé de l étude. Naira KAOUACH neira.kaouach@ameninvest.com.tn
Analyste chargé de l étude Naira KAOUACH neira.kaouach@ameninvest.com.tn SERVICOM mise sur l internationalisation Contact: Tel: (+216) 71 965 400 Fax: (+216) 71 965 426 E-mail: analyse@ameninvest.com.tn
Plus en détailUne banque engagée et responsable
Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013
Plus en détailDELHAIZE GROUPE, UN DISTRIBUTEUR ALIMENTAIRE LEADER
DELHAIZE GROUPE, UN DISTRIBUTEUR ALIMENTAIRE LEADER Le Groupe Delhaize détient des positions de leader en distribution alimentaire dans des marchés clés. Nos sociétés opérationnelles ont atteint ces positions
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailOuvrir un compte personnel
www.iiroc.ca 1 877 442-4322 Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières Ouvrir un compte personnel Ce que votre société de courtage doit apprendre sur vous et pourquoi Investment
Plus en détailChapitre X : Monnaie et financement de l'économie
Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement
Plus en détailMARCHÉ DE L ÉLECTRI- CITÉ : CONCURRENCE ET DÉSENCHEVÊTREMENT DU «SWISS GRID»
MARCHÉ DE L ÉLECTRI- CITÉ : CONCURRENCE ET DÉSENCHEVÊTREMENT DU «SWISS GRID» La Suisse est-elle prête pour la concurrence et pour l Europe? Urs Meister, Avenir Suisse Document de discussion Ce document
Plus en détailSopra Group communique sur l'incidence comptable de la distribution exceptionnelle en numéraire et de la distribution des actions Axway Software
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailAccor : une nouvelle dynamique
Communiqué de presse Paris, le 19 mai 2010 Accor : une nouvelle dynamique Accor devient un «pure player» hôtelier concentré sur : Son portefeuille de marques et ses clients Son métier d opérateur et de
Plus en détailSynthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire
Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable
Plus en détail4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années
Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l
Plus en détailRésultats 2014. Progression de +7,0% du résultat d exploitation à structure et taux de change comparables hors VNA
Paris, le 25 février 2015 Résultats Progression de +7,0% du résultat d exploitation à et taux de change comparables hors VNA Croissance interne de +2,2% ; +0,2% au avec un ralentissement des volumes Effet
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailLe grand test réseaux de téléphonie mobile
Le grand test réseaux de téléphonie mobile Souvent copié, jamais égalé: pour la 16 e fois de suite, connect teste la qualité des réseaux mobiles. A une époque où le LTE est en pleine expansion, quel opérateur
Plus en détailSOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE
SOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE - Bilan consolidé - Compte de résultat consolidé - Tableau de flux - Annexe simplifiée 1 SOMMAIRE DE L ANNEXE SIMPLIFIEE 1 EVENEMENTS SIGNIFICATIFS
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailLE RAPPORT ANNUEL DE GESTION ETABLI PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION
LE RAPPORT ANNUEL DE GESTION ETABLI PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION I- SOCIETE NE FAISANT PAS APPEL PUBLIC A L EPARGNE Le conseil d'administration doit établir un rapport de gestion écrit qui expose :
Plus en détailSOMMAIRE INTRODUCTION 9 CHAPITRE 1. LES MÉCANISMES DE BASE 11 CHAPITRE 2. LES PRODUITS NÉGOCIABLES EN BOURSE 31. 1. Les actions 31
SOMMAIRE INTRODUCTION 9 CHAPITRE 1. LES MÉCANISMES DE BASE 11 1. Le rôle de la Bourse 11 2. Les acteurs de la Bourse 13 La société Euronext 14 L Autorité des marchés financiers (AMF) 14 3. L organisation
Plus en détailChapitre 8 L évaluation des obligations. Plan
Chapitre 8 L évaluation des obligations Plan Actualiser un titre à revenus fixes Obligations zéro coupon Obligations ordinaires A échéance identique, rendements identiques? Évolution du cours des obligations
Plus en détailInformation Le secteur des services financiers canadien
L industrie canadienne des valeurs mobilières Vue d ensemble L industrie canadienne des valeurs mobilières joue un rôle clé au sein du secteur canadien des services financiers. Elle permet aux entreprises
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailCOMMUNICATION FINANCIÈRE DU 19 MAI 2014
COMMUNICATION FINANCIÈRE DU 19 MAI 2014 Plan A. Présentation du groupe B. Les indicateurs opérationnels audités de l exercice 2013 C. Les liens entre TELNET et Syphax Airlines D. TELNET INNOVATION LABS
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailRapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé
Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,
Plus en détail