Diagrammes HR et amas globulaires
|
|
- Jean-François Vachon
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diagrammes HR et amas globulaires Année : TD 4 Résumé du TD : Ce TD est divisé en 2 parties : La première partie concerne des aspects pratiques de la construction des diagrammes HR La deuxième partie concerne leur utilisation pour l estimation de la distance et de l âge d un amas d étoiles. Objectifs du TD : Comprendre la construction des diagrammes HR Comprendre l utilisation des diagrammes HR pour les mesures de distance (paralaxe spectroscopique) Comprendre l utilisation des diagrammes HR pour les mesures d âge 1 Construction des diagrammes de Hertzsprung-Russel : L(T) Les diagrammes de Hertzsprung-Russel sont extrêmement utilisés en astrophysique car il permettent d appréhender de nombreux aspects de l évolution stellaire. De manière générale, ils représentent la luminosité bolométrique L des étoiles 1 en fonction de leur température de surface T : L(T). Cependant, comme il existe plusieurs moyens d estimer ces deux grandeurs, plusieurs types de diagramme HR peuvent être utilisés. Figure 1 Spectre solaire mesuré hors de l atmosphère terrestre. Les parties grises montrent approximativement les position des bandes B à 450 nm et V à 550 nm. 1. On appelle luminosité bolométrique la luminosité totale, intégrée sur toutes les longueurs d onde (ou toutes les fréquences) 1
2 1.1 Rappels sur le corps noir Le spectre des étoiles est souvent proche de celui d un corps noir à une température donnée. Par exemple, la Fig. 1 donne le spectre du soleil. L émissivité d un corps noir est donnée par la loi de Planck : I λ (T ) = 2hc2 λ 5 1 e hc/λk BT 1 (W/m 2 /str/m) Le flux bolométrique d un corps noir augmente fortement avec sa température. Il est donné par la loi de Stefan : F bol = σ S T 4 (W/m 2 ) où σ S = W/m 2 /K 4 est la constante de Stefan. Le maximum de l émissivité I λ se situe à une longueur d onde qui diminue avec la température. Il est donné par la loi du déplacement de Wien : λ max = σ W /T avec σ W = K.m. 1.2 Mesures de Température Pour mesurer la température de la surface d une étoile on suppose que celle-ci émet un rayonnement de corps noir. Voici 3 différentes manières d estimer la température des étoiles. Loi du déplacement de Wien 1 - En utilisant la loi de déplacement de Wien et le spectre solaire de la Fig. 1, estimer la température de surface du Soleil. 2 - Quelle peut être la limitation d une telle méthode? Loi de Stefan-Boltzmann 3 - En utilisant la loi de Stefan, relier la luminosité d une étoile à son rayon et sa température. 4 - Sachant que le rayon et la luminosité du soleil sont de R = m et L = W respectivement, estimer la température de surface du soleil. 5 - Quelle peut être la difficulté à utiliser cette méthode pour des étoiles autres que le soleil? Indices de couleur Souvent, les observations d étoiles ne donnent pas accès à tout le spectre, mais seulement à une ou quelques bandes bien spécifiques de longueur d onde (par exemple la bande B centrée sur 450 nm et la bande B centrée sur 550 nm). Lorsque l on a accès à ces deux bandes B et V, on peut estimer la température des étoiles grâce à la différence de magnitudes : B-V= m B m V. Cette différence s appèle l l indice B-V. 6 - Exprimer l indice B-V en fonction du rapport de flux F B /F V dans les bandes B et V. Montrer qu il est indépendant de la distance de l étoile et qu on peut donc l utiliser à toutes les étoiles peu, quelle que soit leur distance. 7 - En se basant sur la forme du spectre de corps noir, montrer que deux étoiles de luminosités différentes, mais de même température auront le même indice B-V, alors que deux étoiles de même luminosité mais de températures différentes auront des indices différents. En déduire que l indice B-V est un bon indicateur de la température des étoiles. 8 - Un exemple de relation B-V(T) empirique (calibrée sur des étoiles de référence) est montré sur la Fig. 2 à gauche. En se basant sur la position des bandes B et V par rapport au pic de la loi de Planck, expliquer qualitativement l allure de cette courbe (forme, signe, position du zéro...).
3 9 - Plus précisément, la calibration de la Fig. 2 à gauche donne la relation suivante : B V 3.68 log T (K) A partir du spectre solaire de la Fig. 1, estimer le rapport de flux F B /F V dans les deux bandes. En déduire l indice B-V du soleil et sa température (on donne que le flux de référence par unité de longueur d onde intervenant dans la définition de la magnitude est FV 0 = W/m 2 /µm dans la bande V et FB 0 = W/m 2 /µm dans la bande B, (Tokunaga 2007)). Figure 2 À gauche : Calibration de l indice de couleur B-V(T) (Reed, JRASC 92, 1998). À droite : Calibration de la correction bolométrique m BC (T ) en bande V ; 1.3 Mesure de Luminosité Le diagramme HR implique la luminosité (ou magnitude) bolométrique des étoiles. À nouveau, les observations d étoiles ne donnent malheureusement pas accès à cette luminosité totale, mais uniquement à la luminosité dans une ou quelques bande bien précises (par exemple la bande V). Cependant, en supposant que le spectre est celui d un corps noir de température T, on peut relier la magnitude m V mesurée dans la bande V à la magnitude bolométrique m bol recherchée. Une telle relation est de la forme : m bol = m i + m BC (T ) où m BC (T ) est appelée correction bolométrique. La Fig. 2 (à droite) donne un exemple empirique de correction calibrée sur des étoiles de référence Exprimer la correction bolométrique m BC en fonction du flux bolométrique F bol et du flux F V dans la bande V. Montrer qu elle est indépendante de la distance d une étoile et qu on peut donc l utiliser pour toutes les étoiles, quelle que soit leur distance En se basant sur la position de la bande V par rapport au pic de la loi de Planck, expliquer qualitativement l allure de la courbe m BC (T ) de la Fig. 2 à droite (forme, signe, maximum...). En conclusion, différents types de diagrammes HR existent. Selon les utilisations, l ordonnée des diagrammes H- R peut être la luminosité intrinsèque L bol de l étoile ou bien sa magnitude absolue M V en bande V ; et leur abscisse peut être la température de surface T, ou l indice B-V. Les modèles mènent plus naturellement à des diagrammes L(T ), alors que les observations mènent plus naturellement à des diagrammes M V (B-V). Les relations empiriques comme celles de la Fig. 2 permettent de comparer les deux.
4 2 Distance et âge de l amas globulaire M12 L amas M12 est un amas d étoiles de notre Galaxie. Nous allons tenter de déterminer certaines de ses propriétés. Figure 3 L amas globulaire M Diagramme HR Figure 4 Diagrammes HR de l amas de Hyades (à gauche) et de l amas M12 (à droite). La magnitude des étoiles de M12 est apparente alors que celle des étoiles des Hyades est absolue. Des observations étoile par étoile ont permis de mesurer les magnitudes apparentes en bandes B et V de plusieurs étoiles de deux amas : l amas M12 et l amas des Hyades. La calibration de la partie précédente a permis de convertir l indice B-V en température. La distance de l amas des Hyades étant connue, les magnitudes apparentes ont pu être converties en magnitudes absolues. Le diagramme HR M(T ) ainsi obtenu est représenté sur la Fig. 4 à droite. La distance de M12 n étant pas connue, le diagramme de cet amas n est pas un diagramme HR M(T ), mais un diagramme m(t ) entre magnitude apparente m et température T.
5 1 - Sur les diagrammes de la Fig. 4, identifier la séquence principale, la branche des géantes et le point de retournement. 2.2 Distance de l amas : parallaxe spectroscopique 2 - Pour quelques valeurs de températures, comparer les magnitudes des étoiles de la séquence principale dans les deux amas, et en déduire la distance de M Des mesures indépendantes ont permis de montrer que l absorption interstellaire était de A V = 0.57 magnitudes dans la bande V. En présence d absorption, le module de distance s exprime : µ = 5log(D/10pc)+A. En déduire une nouvelle estimation de la distance de M12. La comparer à la valeur trouvée dans la littérature : D = 4.9 kpc. 2.3 Relation entre âge et luminosité 4 - Rappeler qualitativement la manière dont le temps de vie typique t (M, L) d une étoile dépend de sa masse M et de sa luminosité L. 5 - Par ailleurs, des mesures de masse montrent que les étoiles de la séquence principale ont des luminosités corrélées à leur masse suivent une relation de la forme : L M α, avec α 3 4. En déduire comment le temps de vie dépend qualitativement de la luminosité seule d une étoile : t (L). Les étoiles les plus lumineuses vivent-elles plus ou moins longtemps? 6 - Afin d éliminer les constante numériques de proportionnalité, on choisit de se référer au soleil. Exprimer le rapport t /t entre le temps de vie d une étoile donnée et celui du soleil, en fonction du rapport L/L de leur luminosité. 2.4 Age de l amas : point de retournement Les amas sont des groupes d étoiles formées toutes en même temps, depuis le même nuage moléculaire. Toutes les étoiles d un amas ont donc le même âge. Cependant, selon leur masse, elles évoluent différemment et ont des temps de vie plus ou moins longs. 7 - Justifier que la mesure de la luminosité des étoiles au point de retournement permet de déterminer l âge de l amas. De l observation du diagramme HR de M12 (Fig. 4), trouver la magnitude apparente de ces étoiles. 8 - Exprimer le rapport L/L en fonction des magnitudes apparentes de ces étoiles (m) et du soleil (m ), ainsi qu en fonction de leur distances respectives D, D (pour simplifier, on ne tiendra plus compte de l absorption). Sachant que le soleil possède une magnitude apparente en bande V de m = 26.5, calculer ce rapport pour les étoiles au point de retournement. 9 - En déduire l âge de l amas (on donne t ans et on pourra prendre α = 3.5.). Quelle conclusion peut-on tirer sur l âge de l univers? L âge de l univers est estimé à environ 14 milliards d années. Que peut-on dire de l âge de l amas. 2.5 Taille et densité de l amas 10 - De la même manière que précédemment, exprimer le rapport de luminosité L cl /L entre la luminosité totale de l amas et celle du soleil en fonction de leurs distances respectives, de leur magnitude apparente et de l absorption La magnitude apparente totale de M12 est de m V = 6.7. En supposant que les étoiles de l amas ont en moyenne la luminosité du soleil, en déduire le nombre d étoiles regroupées dans l amas M Sachant que l image de la Fig. 3 fait 20 par 30, donner une estimation de la taille de M12. La comparer à la distance entre nous et l étoile la plus proche (1pc).
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailLes objets très lointains
Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailNotre galaxie, la Voie lactée
Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailComment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?
Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment peut-on donner un âge à l'univers? Dans l'univers, il y a beaucoup de choses : des étoiles, comme le Soleil...
Plus en détailLE CORPS NOIR (basé sur Astrophysique sur Mesure / Observatoire de Paris : http://media4.obspm.fr/public/fsu/temperature/rayonnement/)
LE CORPS NOIR (basé sur Astrophysique sur Mesure / Observatoire de Paris : http://media4.obspm.fr/public/fsu/temperature/rayonnement/) Le corps noir est... noir D'où vient le terme corps noir? Notons tout
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailCAISSE ENREGISTREUSE ELECTRONIQUE SE-G1
AISSE ENREGISTREUSE ELETRONIQUE SE-G PROGRAMMATION SIMPLIFIEE 20/0/204 SOMMAIRE PROGRAMMATION SIMPLIFIEE.... Introduction... 2. Programmation... 4 Initialisation de la caisse :... 4 Programmation de base
Plus en détailTHEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.
THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des
Plus en détailMagnitudes des étoiles
Magnitudes des étoiles 24/03/15 Observatoire de Lyon 24/03/15 () Magnitudes des étoiles Observatoire de Lyon 1 / 14 Magnitude apparente d une étoile Avant la physique... Hipparque, mathématicien et astronome
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailUne application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies
Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détail! analyse du fonctionnement
Coloreau chaude MT V P1 V MT! Le composant repéré TH1 sur le schéma structurel et une thermistance. Son rôle est de détecter une grandeur physique la température, et de la convertir en une grandeur électrique
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailSpectrophotométrie. Spectrophotomètre CCD2. Réf : 701 606. Version 1.0. Français p 2. Version : 4105
Réf : Version 1.0 Français p 2 Version : 4105 Spectrophotomètre CCD2 1 Avant-propos et description Chère cliente, cher client, nous vous félicitons d'avoir choisi notre Spectrophotomètre CCD2 pour réaliser
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détaila. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)
VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale
Plus en détailExo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation
Collège de France Chaire d Astrophysique Observationnelle Exo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation Cous à Paris les mardis de Janvier et Mars cours à Marseille le 20 Février, à Nice
Plus en détailLa magnitude des étoiles
La magnitude des étoiles 1.a. L'éclat d'une étoile L'éclat d'une étoile, noté E, est la quantité d'énergie arrivant par unité de temps et par unité de surface perpendiculaire au rayonnement. Son unité
Plus en détailLa Fibre Optique J BLANC
La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES
Plus en détailSi la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile
Red shift or blue shift, that is the question. a) Quand une source d onde se rapproche d un observateur immobile, la longueur d onde λ perçue par l observateur est-elle plus grande ou plus petite que λo
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailGaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine
Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailLa spectro, c'est facile
La spectro, c'est facile OHP Spectro Party Observatoire de Haute Provence 25-30 juillet 2014 François Cochard francois.cochard@shelyak.com La spectro, c'est facile à certaines conditions OHP Spectro Party
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1
TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une
Plus en détailExplorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique
Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique Responsables : Anne-Laure Melchior (UPMC), Emmanuel Rollinde (UPMC/IAP) et l équipe EU-HOUMW. Adaptation du travail novateur
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailLes réseaux cellulaires
Les réseaux cellulaires Introduction Master 2 Professionnel STIC-Informatique Module RMHD 1 Introduction Les réseaux cellulaires sont les réseaux dont l'évolution a probablement été la plus spectaculaire
Plus en détailPour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction
Compétences exigibles au baccalauréat Savoir que l'importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d'onde aux dimensions de l'ouverture ou de l'obstacle. Exercice 19 p : 78 Connaître
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailLes stations météo Vantage Pro2.
Les stations météo Vantage Pro2. La précision et la grande variété des mesures à un prix abordable par tous. Nos stations météo Vantage Pro sont de très bonne qualité, polyvalentes et évolutives. Elles
Plus en détailQuelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand
Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif
Plus en détailEnregistreur de données d humidité et de température
Manuel d utilisation Enregistreur de données d humidité et de température Modèle RHT Introduction Toutes nos félicitations pour votre acquisition de cet enregistreur de données d'humidité et de température.
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailMise à jour: 29 janvier 2008. Instructions Paiement en ligne
Mise à jour: 29 janvier 2008 Instructions Paiement en ligne Instruction générales Bienvenue sur la page de Paiement en ligne. Elle a été conçue pour vous permettre de faire un paiement facilement et de
Plus en détailDocumentation Technique du programme HYDRONDE_LN
Documentation Technique du programme HYDRONDE_LN Réalisation du programme H.GUYARD Réalisation du matériel électronique C.COULAUD & B.MERCIER Le programme HYDRONDE_LN est un programme qui permet de visualiser
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailMICROSENS. Module Bridge Ethernet / Fast Ethernet. fiber optic solutions. Description. Construction
Module Bridge Ethernet / Fast Ethernet MICROSENS fiber optic solutions Description Le Bridge permet de connecter entre eux des segments Ethernet et Fast Ethernet de norme IEEE802.3u en adaptant automatiquement
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détail[ F ] Fig.1 enregistreur indicateur HD30.1 MicroSD Card. Entrée sonde HD30.S1- HD30.S2. MiniUSB Ethernet Alimentation chargeur batterie
[ F ] [ F ] Description Le HD30.1 est un instrument fabriqué par Delta Ohm pour l analyse spectrale de la lumière dans le champ visible et ultraviolette. L instrument a été conçu en conjuguant fl exibilité
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailPlus de précision. Mesure thermique sans contact : fondements
Plus de précision Mesure thermique sans contact : fondements 2 Fondements physiques Seul le monde exposé au spectre visible est percevable par l oeil humain. La lumière visible ne constitue qu une petite
Plus en détailBest.-Nr. 22877 2012-08-24. Manuel d utilisation logiciel Lindab Analysis. Logiciel pour la gestion des appareils de mesures Lindab PC 410 et LT600
Best.-Nr. 22877 2012-08-24 Manuel d utilisation logiciel Lindab Analysis Logiciel pour la gestion des appareils de mesures Lindab PC 410 et LT600 Application Sommaire 1 Application... 3 2 Configuration
Plus en détailLES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES
MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailInitiation à Excel. Frédéric Gava (MCF) gava@univ-paris12.fr
Initiation à Excel Frédéric Gava (MCF) gava@univ-paris12.fr LACL, bâtiment P2 du CMC, bureau 221 Université de Paris XII Val-de-Marne 61 avenue du Général de Gaulle 94010 Créteil cedex Plan de cette année
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détailKIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE
PARALLELE ENERGIE KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE Ce kit solaire est un système solaire facile à utiliser. Il s agit d un «générateur solaire» qui convertit la lumière du soleil en électricité, et qui peut
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailGenevais Jérémy & Dubuc Romuald
Genevais Jérémy & Dubuc Romuald 1 Sommaire Introduction: Qu est ce que la DSL L ADSL SDSL et SHDSL, le DSL symétrique La VDSL G.lite, splitterless ADSL, ADSL simplifié ADSL2, ADSL2+ READSL (Reach Extended
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailQu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle
Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailLe pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck
Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris riazuelo AT iap.fr Gap, 21 août 2014 Préc. Suiv. FS Fin Plan 1. Introduction (rapide!) à la
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailProcédures de tests en réflectométrie. Septembre 2013
Procédures de tests en réflectométrie Septembre 2013 Procédure de certification des liaisons optiques avec un réflectomètre Pour les mesures optiques quelques rappels: - Outils calibré et avec le dernier
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détail