Service de presse octobre 2015
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- Jean-René Leroy
- il y a 8 ans
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1 Service de presse octobre 2015 Eau potable et installations sanitaires dans les écoles Les élèves sensibilisent leurs familles en matière d hygiène Thorsten Reckerzügl Almanach Politique du développement 2015 de Caritas Suisse Pour un agenda du développement de l avenir Iwona Swietlik Les droits de l homme et la libre circulation des marchandises Sur les traces des marchandises de Carletti Geert van Dok Le service de presse de Caritas Suisse propose à la libre utilisation des articles de fond. Les auteures et auteurs de ces textes sont à disposition pour répondre à d éventuelles questions. Télécharger en PDF sur (accès non public)
2 - 2 - Eau potable et installations sanitaires dans les écoles Les élèves sensibilisent leurs familles en matière d hygiène Beaucoup d écoles des pays en voie de développement ne sont pas ou sous-équipées en installations sanitaires et en eau potable. Caritas travaille à résoudre ce problème. Les élèves sont les premiers bénéficiaires de cet équipement de base. Ils sont aussi formés en matière d hygiène. Les élèves sensibilisent ensuite leurs familles aux questions de l hygiène ce qui permet de faire évoluer les traditions dans ce domaine. Chaque année, les enfants manquent presque un milliard de jours d école à cause de maladies dues à une mauvaise hygiène et l utilisation d eau non potable. C est la raison pour laquelle les Objectifs de développement durable (ODD) récemment adoptés par les Nations Unies prennent en compte tout particulièrement l approvisionnement sanitaire et en eau potable. L UNICEF estime que dans les pays les moins développés (least developed countries), environ la moitié des écoles ne disposent pas d installations sanitaires ni d eau potable, et dans les pays en voie de développement, un tiers des écoles sont concernées. Il ne suffit pas d installer les équipements sanitaires nécessaires, car ces derniers sont souvent peu adaptés aux besoins des enfants plus jeunes ou des enfants handicapés, ou alors leur utilisation devient un facteur de risque supplémentaire pour la santé, par manque d eau courante ou d entretien. De plus, d autres problèmes se font régulièrement jour, manque de ressources financières et en personnel, manque de transparence dans les responsabilités ou conditions-cadres juridiques lacunaires. Il est donc nécessaire de mieux comprendre les problèmes d hygiène. Et les enfants ont un grand potentiel dans ce domaine puisqu ils peuvent contribuer à inscrire dans la société les questions d hygiène et devenir des multiplicateurs (change agents) dans ce domaine. C est pourquoi Caritas s engage dans les écoles en matière d eau et d hygiène. En étroite collaboration avec les directions d école, les autorités compétentes et les groupes de parents, Caritas informe concrètement des améliorations nécessaires. Lors de la planification des mesures techniques, il est indispensable de prendre en compte les besoins spécifiques des enfants et des enseignants afin de garantir à long terme l utilisation des installations et leur acceptation. Par exemple, il faut prévoir des installations séparées en fonction du genre pour protéger les filles. Il faut aussi tenir compte des aspects écologiques, notamment en prévoyant une utilisation durable de l eau potable ou le traitement des eaux usées. Apprendre par le jeu les bons comportements d hygiène Les règles d hygiène et de santé, comme le fait de se laver régulièrement les mains ou de ne boire que de l eau de provenance sûre, sont souvent négligées dans les pays en voie de développement. Pour faire le lien entre les comportements inadaptés en matière d hygiène et les problèmes de santé, et pour améliorer les connaissances et faire un travail de prévention, on propose aux élèves des cours d entraînement sous forme de jeu en fonction de leur âge. Caritas a développé l instrument CHAST (Children Health and Sanitation Training) spécialement dans ce but. Caritas coopère étroitement avec
3 - 3 - les autorités scolaires afin de garantir une meilleure efficacité et une meilleure portée aux formations en matière d hygiène. Au Somaliland par exemple, CHAST a été intégré au programme national d apprentissage. Assurer le nettoyage et l entretien Dans beaucoup de pays, les écoles n ont pas les moyens financiers d entretenir quotidiennement les installations sanitaires et de distribution d eau. Ce sont donc souvent des groupes bénévoles d enfants et d enseignants qui s en chargent. Ce n est pas une solution à long terme : si l on veut ancrer le thème durablement dans les esprits, la direction de l école doit en prendre la responsabilité. De plus, il faut intégrer les groupes de parents et les autorités locales dans les instances de contrôle. Lorsqu on parle de formation en matière d hygiène, les menstruations des filles sont un thème important. Souvent, lorsque les conditions-cadres sont culturellement et techniquement insuffisantes, les filles manquent l école durant leurs règles et elles ont donc des lacunes d apprentissage par rapport à leurs camarades masculins. Démonstration du cycle de l eau dans des jardins scolaires Dans des pays comme le Soudan du Sud, le Mali, l Éthiopie ou le Bangladesh, Caritas complète ses projets de formation en matière d hygiène et d eau en installant des jardins pour les élèves. Les enfants peuvent ainsi comprendre concrètement les liens entre le cycle de l eau et l alimentation. Cette compréhension est nécessaire si l on veut pérenniser les ressources. Les jardins scolaires servent également à compléter de manière saine les menus des enfants. L un des défis majeurs reste l exploitation à long terme et sécurisée des installations sanitaires et d approvisionnement en eau potable. La plupart du temps, on n arrive pas à changer à court terme les comportements dans ce domaine. C est pourquoi Caritas privilégie les approches à long terme intégrant toutes les parties concernées. Thorsten Reckerzügl, responsable du Service eau, climat, énergie, Caritas Suisse, courriel : treckerzuegl@caritas.ch, tél
4 - 4 - Almanach Politique du développement 2015 de Caritas Suisse Pour un agenda du développement de l avenir Caritas Suisse lance une nouvelle série de publications. L «Almanach Politique du développement» s intéresse à la pauvreté et aux moyens de la combattre dans le monde, ainsi qu aux défis futurs de la politique du développement. Sa première édition, qui vient de paraître, est consacrée aux perspectives de la coopération au développement. La coopération au développement se trouve actuellement à un tournant : la fin de l année 2015 marque la conclusion des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) adoptés lors du changement de millénaire. Les Nations Unies les ont récemment remplacés par un nouvel agenda qui aspire à un développement durable de la planète. Pour Caritas Suisse, ce changement ne remet pas en cause la nécessité de la coopération au développement, bien au contraire. Mais il fait apparaître l utilité d un débat public sur l agenda du développement, sur la politique du développement internationale et nationale, de même que sur les outils et les approches de la coopération au développement. Caritas Suisse entend participer activement à ce débat. C est pourquoi l «Almanach Politique du développement», la nouvelle série de publications de Caritas Suisse, se penchera chaque année sur la question de la pauvreté et des moyens de la combattre dans le monde, sur les tâches actuelles et les défis que la coopération au développement devra relever à l avenir, sur l agenda pour le développement et la politique du développement, sur les anciens et nouveaux acteurs, ainsi que sur leur rôle et leurs potentiels dans le cadre de la coopération au développement. Cet ouvrage, qui sera publié en allemand et en français, traite à chaque fois d un thème actuel de la coopération au développement et de la politique du développement sous ses différentes facettes. Quelle coopération au développement en 2030? Le premier numéro de l «Almanach Politique du développement», qui a pour thème les perspectives de la coopération au développement, ouvre sciemment largement l éventail des points de vue et positions. Des acteurs de la coopération au développement multilatérale, publique et privée, des représentants de groupes d intérêt de la société civile et de l économie privée, des responsables politiques, des critiques, des journalistes, des experts du Nord et du Sud élaborent leur vision d un agenda pour le développement ainsi que leur rôle dans la coopération au développement en Une introduction historique à la coopération au développement et à la politique du développement de la Suisse sert de point d ancrage à ces visions et complète ce volume. Iwona Swietlik, éditrice de l Almanach Politique du développement, Caritas Suisse, courriel : iswietlik@caritas.ch, tél On peut demander un exemplaire de presse par courriel à l adresse info@caritas.ch. Le 27 octobre, Caritas organise le Forum Politique du développement (14 h à 17 h au Generationenhaus, Berne). Pour de plus amples informations et pour s inscrire :
5 - 5 - Les droits de l homme et la libre circulation des marchandises Sur les traces des marchandises de Carletti Le 2 mai 1602, le commerçant florentin Francesco Carletti écrivait dans son journal de bord alors qu il se trouvait dans l archipel Fernando de Moronha : «Je vais là où mes marchandises vont, quoi qu il advienne.» Deux mois plus tôt, Carletti, rentrant d un voyage de huit ans qui l avait amené de Macao vers l Europe. Il avait été capturé par un navire-corsaire néerlandais qui avait volé toute sa marchandise. Carletti avait tout perdu, sauf sa maxime de la libre circulation des marchandises qui prévaut encore aujourd hui. Mais ce qui est permis aux marchandises ne l est pas à leurs producteurs. Pour eux, les frontières restent le plus souvent fermées. Francesco Carletti naviguait autour du monde pour acheter des marchandises : des biens de tous genres destinés à améliorer le bien-être en Europe. Il achetait des esclaves au Cap-Vert et les revendait à Lima contre de l argent qu il échangeait aux Philippines contre de la soie, de la porcelaine et des épices. Il voyageait avec sa marchandise et rien ne devait entraver sa progression jusqu à ce qu il croise un navire-corsaire dans les environs de Sainte-Hélène. Carletti a très bien résumé l idée à la base du développement de l Europe : s agissant de commerce et de possibilités de gains, il n y a de frontières ni pour les commerçants ni pour les marchandises. Personne ne se soucie de savoir ce que les populations concernées pensent du fait que les bases de leur existence leur sont ôtées et que leur dignité humaine est foulée aux pieds. À l époque, les Européens avaient le privilège des voyages, ils s installaient partout sans le moindre scrupule, occupaient la place et mettaient à sac la région, soumettaient les indigènes, les exploitaient et souvent, les tuaient. Je vais là où mes marchandises vont, quoi qu il advienne. (Francesco Carletti, commerçant florentin, ) La route des marchandises, la route des réfugiés 400 ans plus tard, la libre circulation des marchandises est toujours d actualité. Des marchandises du monde entier traversent les océans pour être proposées à la consommation dans nos magasins de nantis. Les textiles fabriqués à bas salaire en Asie sont revendus en Europe. On trouve des fruits exotiques toute l année, des légumes venant d Afrique de l ouest, du café colombien, de l or du Pérou, des diamants du Botswana ; les matières premières n ont pas de frontières. La libre circulation des marchandises est l une des bases de la richesse de l Europe. Depuis longtemps, les habitants des anciennes colonies fuyant la violence, la persécution et la misère empruntent eux aussi ces routes commerciales, celles-là mêmes que l Europe a tracées militairement et politiquement en son temps. Dans leur misère, ils cherchent à tout prix à arriver jusque dans les pays riches et pacifiés d Europe. Ils paient des sommes astronomiques à des passeurs et ne se laissent pas décourager par les énormes difficultés et par le danger de mort réel qui existe à traverser la Méditerranée. Leur résolution ne plaît pas. Au mieux, lorsque la dissuasion n a pas suffi, on leur accorde quelques provisions et des hébergements de fortune, dans un geste humanitaire. Ceux qui prétendent que les réfugiés, quel que soit leur nombre, ont le droit de trouver la protection dans nos pays sont accusés d irresponsabilité, on dit qu ils encouragent la fuite.
6 - 6 - Droits de l homme droits des marchandises «Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l asile en d autres pays» selon la Déclaration universelle des droits de l homme de 1948 (art.14) de l Organisation des Nations Unies (ONU). Le fait d inscrire le droit d asile dans les canons des droits de l homme était alors une évidence pour la communauté internationale marquée par l horreur de la Seconde Guerre mondiale. Ceux dont la vie est menacée doivent trouver protection, car «Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits.» (article premier). Deux ans après la déclaration, l ONU instituait une autorité spécialement dédiée au droit des réfugiés, le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR). Mais aujourd hui, le droit de l homme à l asile est plus contesté que jamais. C est aussi en 1948 qu est entré en vigueur l Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), relayé par l Organisation mondiale du commerce (OMC) en Son but était et est encore de réduire les obstacles douaniers mis au commerce et de garantir par là le droit de libre circulation des marchandises. Ce qui est interdit aux producteurs de marchandises des pays pauvres est permis s agissant de leurs produits : ces derniers peuvent migrer partout dans le monde. Même si l OMC a perdu beaucoup de son éclat et que son ensemble de règles sombre dans l incohérence, l axiome de la libre circulation des marchandises continue d être valable. Le libéralisme économique et le protectionnisme humain sont les deux faces d une même médaille. Les pays pauvres sont économiquement et écologiquement exploités, leurs produits sont négociés à la baisse sur le marché mondial et leurs populations sont tenues à l écart des pays riches où leurs ressources sont vendues. Carletti et la Suisse Si Francesco Carletti vivait aujourd hui, il pourrait être de Zoug ou de Genève, ces plates-formes internationales des matières premières abritant des entreprises comme Glencore ou Trafigura qui s approprient les revenus des matières premières du monde entier. L économie suisse dépend de la libre circulation des marchandises. Sans elle, la richesse du pays ne serait pas possible. L économie extérieure avec les pays en voie de développement et les pays émergents a généré en 2014 un bilan commercial excédentaire de 52 milliards de francs. Un tiers des exportations (93 milliards de francs) est parti vers ces pays, et un sixième des importations (41 milliards de francs) en est arrivé. À l heure où les milieux de droite remettent en cause la libre circulation des personnes, discréditent le droit d asile et cherchent à fermer les frontières à ceux qui risquent leur vie pour fuir la violence et la misère, il est utile de rappeler cette vérité toute simple : les marchandises arrivant d Afrique sont bienvenues, mais pas les personnes. À l époque, Francesco Carletti allait là où ses marchandises allaient «quoiqu il advienne». Il ne savait pas que toute personne est égale en droits et en dignité. Mais aujourd hui, nous ne pouvons plus ne pas le savoir. Geert van Dok, responsable du Service Politique du développement, Caritas Suisse, courriel : gvandok@caritas.ch, tél
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