ALGÉRIE Note d information Contexte socioéconomique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ALGÉRIE Note d information 2010. 1. Contexte socioéconomique"

Transcription

1 ALGÉRIE Note d information Contexte socioéconomique La population algérienne était estimée à 34,8 millions de personnes au 16 avril , date du dernier recensement, et atteindrait 35,7 millions d habitants au 1 er janvier 2010 pour autant que le taux de croissance démographique se soit maintenu au niveau actuel de 1,7%. Il s agit pour l essentiel d une population jeune dans laquelle la tranche d âge 0-14 ans représente 33,5% de l ensemble de la population. L espérance de vie est de 75,7 ans (2008). La population active au sens du BIT a été estimée à 10,3 millions de personnes en décembre 2008, avec un taux d activité de 41,7% qui enregistre une légère augmentation par rapport à 2007 où il était de 40,9%. La population active occupée est estimée à 9,1 millions de personnes, soit un taux d occupation de 26,6%. Les femmes représentent 15,6% de l ensemble des individus occupés : 16,6% en milieu aggloméré et 10,0% en zone éparse. La structure de l emploi selon le secteur d'activité fait ressortir la prépondérance du secteur du commerce, de l administration publique et des autres services qui emploie plus de la moitié (56,6%) de l'ensemble de la population occupée, suivi de loin par le BTP avec 17,2% du total des individus occupés. L'agriculture et l'industrie viennent en troisième et quatrième positions. La population au chômage (au quatrième trimestre 2008) est estimée à 1,2 millions de personnes, soit un taux de 11,3% en légère baisse par rapport à Le chômage touche davantage les femmes que les hommes les femmes représentant 25,8% de l ensemble de la population active au chômage mais plus particulièrement les jeunes. En effet, près de trois chômeurs sur quatre sont âgés de moins de 30 ans et 87,8% ne dépassent pas 35 ans. Sur le plan économique, les performances macroéconomiques de l Algérie étaient plutôt modestes en 2008 et ont été peu affectées par la crise mondiale. Ainsi, selon les statistiques de la Banque mondiale, le PIB algérien n a progressé que de 3% en 2008 contre 3,4% en Cette croissance a été particulièrement tirée par le secteur des hydrocarbures et, en moindre mesure, par celui des non-hydrocarbures. Même si le pays apparaît immunisé contre la crise économique mondiale vu la faible exposition de son système financier, cette crise et la faiblesse de la demande qu elle a engendrée n ont pas manqué d affecter les recettes du pays provenant de l exportation des hydrocarbures. C est ainsi que l'excédent commercial a chuté à 512 millions de dollars lors les quatre premiers mois de 2009 en raison de la baisse du prix du pétrole, contre 13,23 milliards de dollars durant la même période l'année précédente 2. Pour stimuler le développement économique du pays, le gouvernement a adopté un plan d'action pour la période dont le volet économique prévoit des investissements publics de 150 milliards de dollars qui devraient créer les «conditions objectives» d'un développement «équilibré et pérenne» ne se basant pas seulement sur la rente pétrolière. Ce programme comprend notamment des aides publiques au secteur agricole de 10 milliards d'euros, la réalisation de km de lignes ferroviaires, 1 million de logements ou la construction de 10 nouvelles centrales de dessalement de l'eau de mer. 1 Site de l Office national des statistiques : 2 Selon le Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) des douanes. 1

2 Ce plan d action fait suite au plan couvrant la période , doté d'une enveloppe financière de 100 milliards de dollars US, qui avait pour objectif d'accompagner les processus de réformes engagés dans tous les secteurs et au niveau institutionnel pour la mise à niveau de l économie et la promotion du secteur privé. Il prévoyait la création d au moins 2 millions d emplois dont la moitié par les agents économiques et l emploi public, et le reste par les programmes à haute intensité de main-d œuvre. Une évaluation de ce programme ne semble pas être disponible pour voir si les objectifs ont été atteints et tirer des enseignements utiles pour le plan actuel. 2. Questions clés des politiques et stratégies sectorielles de développement du capital humain Sur le plan des ressources humaines, l Algérie est en bonne voie pour atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement. La scolarisation dans l'enseignement primaire est quasi universelle avec des taux de plus de 95% et des taux légèrement inférieurs pour les élèves âgés de 6 à 15 ans (94% pour les garçons et supérieur à 92% pour les filles). Le système scolaire a principalement amélioré ses performances au niveau de l enseignement secondaire dont le taux de réussite au baccalauréat de l ordre de 20% durant plusieurs décennies a presque doublé ces dernières années (42% en 2004 et plus de 50% en 2006). Cependant, le système éducatif connaît des problèmes de qualité et d'efficacité. En effet, sur 100 élèves qui entrent en première année de l enseignement primaire, seuls 11 d entre eux arrivent à intégrer l'université. Ces faibles performances du système éducatif seraient dues principalement à la formation insuffisante du corps enseignant (85% des enseignants du primaire ne seraient pas titulaires du baccalauréat) et à la mauvaise qualité des programmes scolaires et des outils pédagogiques. L éducation nationale compte près de 8 millions d élèves. Pour ce qui est de l enseignement supérieur, le défi à relever est d ordre tant quantitatif que qualitatif. Sur le plan quantitatif, la population estudiantine devrait atteindre 2 millions en 2010 ce qui se traduit par la mobilisation de ressources supplémentaires, notamment humaines. Sur le plan qualitatif, la réforme est axée sur la réorganisation de l architecture des enseignements supérieurs et sur l actualisation des curricula ; elle vise l adaptation de l université aux concepts universels par la révision de la durée et de la conception des cycles. Elle s articule autour de trois paliers : licence, maîtrise et doctorat. En ce qui concerne la formation professionnelle, le gouvernement a défini un plan d'action pour la période qui s'articule autour des axes suivants : la mise en œuvre du cursus d'enseignement technique et professionnel délaissé par le ministère de l'éducation ; la généralisation de l'utilisation des technologies de l information et de la communication ; le développement de l'enseignement professionnel à distance ; l'adoption et l'encouragement de formations intensives qualifiantes, dans toutes les spécialités, d'une durée égale ou inférieure à six mois ; la réhabilitation des métiers manuels pour accompagner les grands projets de l'état ; la revalorisation des métiers de l'artisanat traditionnel qui, selon le gouvernement, peuvent constituer une solution pour résorber le chômage. Toutefois, le principal axe porte sur la mise en place des organes prévus par la loi d'orientation de la formation et de l'enseignement professionnels dont, notamment, le conseil de partenariat, la conférence nationale et les conférences régionales ainsi que l'observatoire. Ce conseil de partenariat est une instance consultative qui sera amenée à donner son avis sur l'élaboration et la régulation de la politique nationale du secteur. Il regroupera des opérateurs économiques, des artisans, des experts en matière de formation et des représentants des différents départements ministériels. Trois observations peuvent être faites à ce propos. La première porte sur la lenteur caractérisant la mise en œuvre de ces organes essentiels dans la gouvernance de tout système de formation professionnelle, puisque près de deux ans après la promulgation de la loi d'orientation (23 février 2008), ils ne sont toujours pas en place et encore moins 2

3 opérationnels. La deuxième porte sur le caractère purement consultatif de ces organes et donc sur le faible impact qu ils peuvent avoir sur le système. La troisième remarque souligne l'absence d une des principales parties prenantes dans la gouvernance de la formation professionnelle, à savoir les partenaires sociaux. 3. Intervention de l Union européenne et des autres bailleurs de fonds Par rapport aux autres pays du Maghreb, l Algérie bénéficie d un appui relativement réduit de la part des bailleurs de fonds en matière de développement des ressources humaines. L Union européenne reste l un des plus importants intervenants dans ce domaine. La coopération UE Algérie remonte aux protocoles financiers La stratégie dans ce domaine vise une politique active de développement des ressources humaines dans la perspective de leur adéquation aux besoins de l économie de marché et aux impératifs macroéconomiques. Elle a pour finalité la réduction de la pauvreté et l amélioration des conditions de vie des citoyens. Dans le cadre des programmes MEDA I et II, la Commission européenne intervient dans plusieurs projets présentant un lien avec le développement des ressources humaines. Il s agit (i) du programme d appui au développement des PME (MEDA I) mis en œuvre à partir de l année 2000, avec un volet formation ayant nécessité une restructuration ; et (ii) du projet d appui à la mise à niveau de la formation professionnelle prévu pour la période , qui vise la mise à niveau du système de formation et d enseignement professionnels (formation initiale et continue) et son fonctionnement selon une logique de la demande (et non de l offre) axée sur les besoins en compétences des entreprises. De loin le projet le plus important qu ait connu ce secteur, MEDA II comporte trois volets : l amélioration de la fonction pilotage du système pour mieux asseoir les décisions relatives au développement du secteur ; l amélioration de l offre de formation du système pour qu il réponde mieux aux besoins en matière de compétences des entreprises et des individus ; l appui à l émergence des besoins en matière de qualifications des entreprises. Le projet a connu un démarrage difficile, imputable en partie à son ampleur et à sa complexité. Au niveau de l éducation nationale, l UE finance un projet de réforme dont l objectif est d améliorer la qualité, l efficience et l équité de l éducation pour l ensemble des cycles d enseignement (primaire, moyen et secondaire). Le programme bénéficiera aux personnels du ministère de l Éducation nationale, aux enseignants, aux gestionnaires administratifs et financiers des établissements scolaires, aux instituts de formation de formateurs et à la population scolaire. L Algérie bénéficie également d un appui visant à développer la coopération avec les universités des pays l Union européenne dans le cadre de la modernisation du système d enseignement supérieur. En comparaison des autres pays du Maghreb, l Algérie est le pays qui bénéficie le moins d appuis extérieurs dans le domaine de l éducation et de la formation. Elle occupe la sixième place parmi les pays méditerranéens dans le cadre du programme MEDA. 4. Stratégie d intervention de l ETF La stratégie à moyen terme de l ETF vis-à-vis de l Algérie devrait s articuler autour de deux piliers : la poursuite de l appui fourni dans le cadre de projets déjà engagés et en cours de réalisation, visant le développement de la capacité institutionnelle ; un appui éventuel, à la demande de la délégation de la Commission européenne et à l égard des bailleurs de fonds, dans l élaboration et la mise en œuvre de l'instrument de la politique européenne de voisinage entrée en vigueur en

4 L'ETF mettra en œuvre ses projets et activités en complémentarité des autres projets implantés par les bailleurs de fonds. 4.1 Soutien au développement des politiques de réforme En 2009, les principales activités entreprises par l ETF en Algérie ont porté sur l'apprentissage en ligne. L'Algérie a été l'un des pays les plus actifs en la matière dans le cadre du projet régional MEDA-ETE. Un appui supplémentaire lui a été accordé en En 2010, l appui de l ETF s articulera autour de trois activités : la mise en place du processus dit de Turin, l'étude sur la coopération entre le système éducatif et le monde de l'entreprise, et un projet sur les qualifications dans le secteur du bâtiment. Le premier projet autour duquel s articulera l intervention de l ETF en 2010 porte donc sur la mise en place du processus de Turin. Cette initiative vise à documenter les analyses relatives à l'efficacité interne des systèmes d'enseignement et de formation professionnels et à la contribution des politiques et systèmes d'enseignement et de formation professionnels aux objectifs de développement socioéconomique durable du pays afin de permettre aux décideurs d'évaluer les options politiques futures. L'analyse des résultats de ce processus permettra d'identifier les projets susceptibles d être mis en œuvre pour appuyer les politiques en la matière. Elle constituera également une précieuse référence pour l'etf dans le cadre des demandes formulées par la Commission européenne en vue d'obtenir des suggestions concernant les programmes d'assistance externes de l'ue. L'Algérie bénéficiera également d'un appui de l'etf pour une analyse approfondie de la coopération entre le secteur de l'enseignement et le monde de l'entreprise. Cette étude dressera la carte des politiques, mécanismes et processus à l œuvre dans le pays et qui soutiennent ou freinent la coopération entre le secteur de l'enseignement (enseignement supérieur professionnel et enseignement et formation professionnels) et le monde économique. Il est à noter que ces deux activités le processus de Turin et l'étude sur la coopération entre l'éducation et l'entreprise seront conduites dans tous les pays partenaires de l'etf. Ainsi, l'algérie pourra faire valoir auprès des autres pays ses bonnes pratiques en la matière et pourra saisir cette occasion de tirer des enseignements des expériences des autres pays utiles à sa politique. Enfin, un projet sur les qualifications dans le secteur du bâtiment sera lancé en Ce projet vise à améliorer la transparence des qualifications dans le secteur du bâtiment et s'inscrit sur une durée de trois ans. La mise en œuvre de ce projet a été réalisée grâce à l appui financier du Portugal, d'un montant initial de Un projet de plan d'action a été développé mais ne sera finalisé et prêt à l'implantation qu'après sa validation par les partenaires portugais et algériens. Ce projet ouvrira la voie à un travail plus en profondeur sur un cadre algérien des qualifications. Ce travail permettra aussi d'aborder la question de la qualité et de l'assurance qualité, notamment dans les phases de construction et d évaluation des qualifications. 4.2 Appui à la Commission européenne et/ou à la délégation de la Commission européenne L ETF dispose d une bonne connaissance des réalités du pays en matière d éducation, de formation et de marché du travail, et pourrait donc répondre positivement à des sollicitations de la Commission européenne ou de la délégation de la Commission européenne en Algérie pour l élaboration et la mise en œuvre de l instrument européen de voisinage et de partenariat (IEVP), notamment les plans d action. 4

5 Algérie 2010 tableau récapitulatif Intervention Thèmes et fonctions Résultats escomptés Activités Produit dans le cadre du projet Durée Processus de Turin Thème A Un rapport sur l'analyse concise et documentée des réformes en cours en matière d'efp en Algérie, incluant l'identification des tendances politiques majeures, des défis et des contraintes ainsi que des bonnes pratiques et des opportunités Le renforcement des capacités des institutions algériennes dans l'élaboration de rapports d'analyse sur le système de la FP Confirmer l'intérêt du pays à prendre part à cette initiative par la nomination d'un coordonnateur national Réaliser un travail d'analyse documentaire pour collecter le maximum d'information pouvant servir à la réalisation du rapport Organiser des réunions et ateliers de travail avec les principales parties prenantes Organiser un séminaire de diffusion des résultats de l'étude Rapport pays janvier septembre 2010 Étude sur la coopération entre l'éducation et l'entreprise Thème A Un rapport sur l'état de la coopération entre l'éducation et l'entreprise L'identification de pistes d'action pouvant améliorer l'articulation entre ces deux mondes Collecter et analyser les informations disponibles en la matière Organiser des réunions et ateliers de travail avec les principales parties prenantes Organiser un séminaire de diffusion des résultats de l'étude Mettre en place un groupe de travail avec une identification claire et précise de ses rôles et responsabilités Organiser un voyage d étude afin de renforcer les capacités du groupe et de partager une compréhension commune des problématiques liées aux qualifications et aux cadres nationaux des certifications Faire bénéficier le groupe des travaux réalisés par le projet régional sur les qualifications Établir un état des lieux des certifications dans le secteur du bâtiment Analyser l offre de formation dans le secteur Analyser les mécanismes et processus de certification et les institutions qui en ont la charge Rapport pays janvier septembre 2010 Analyse des qualifications dans le secteur du bâtiment Thème A Fonction 2 L amélioration de la transparence des qualifications dans le secteur Une majeure compréhension des enjeux liés aux qualifications de la part des principales parties prenantes Une visibilité accrue par rapport au possible engagement du pays dans la mise en œuvre d'un cadre national des certifications 5

6 Bibliographie Agence française de développement, «Appui à la qualité du système éducatif algérien», AFD, 2006, site Internet de l'afd. Banque mondiale, Algeria economic update Spring 2009, Banque mondiale, Washington D.C., Ministère de la Formation et de l'enseignement professionnels, «Note d'orientation n 4 du 15 juin 2009 relative au plan d'action », 2009, site Internet du ministère. Office national des statistiques, Emploi et chômage (au quatrième trimestre 2008), ONS, Alger, Premier ministère, «Formation professionnelle : plus de nouvelles places pédagogiques pour la rentrée 2009/10», portail du ministère. 6

TUTORAT. U Guelma. Guide du Tuteur FMISM

TUTORAT. U Guelma. Guide du Tuteur FMISM TUTORAT Guide du Tuteur Définition. Le tutorat est une mission de suivi et d'accompagnement permanents de l'étudiant afin de faciliter son intégration dans la vie universitaire et son accès aux informations

Plus en détail

Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC)

Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC) Cadre européen des certifications Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC) Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses

Plus en détail

COMPOSANTE 3 Objectif 3.C

COMPOSANTE 3 Objectif 3.C TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02

Plus en détail

Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT?

Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT? Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT? Le plan d investissement pour l Europe sera constitué d un ensemble de mesures visant à libérer au moins 315 milliards d euros d investissements publics et privés

Plus en détail

L EMPLOYABILITE DES JEUNES AU MAROC

L EMPLOYABILITE DES JEUNES AU MAROC L EMPLOYABILITE DES JEUNES AU MAROC Remerciements : Je tiens, tout d abord, à remercier l Université de Barcelone et tous les Organisateurs et les Organisatrices de cette Conférence LINKING-MED-GULF de

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

AUDIT MAINTENANCE CURATIVE MAINTENANCE PREVENTIVE HOTLINE

AUDIT MAINTENANCE CURATIVE MAINTENANCE PREVENTIVE HOTLINE Fort de son expérience auprès des PME et Collectivités, MDSI vous propose la gestion complète ou partielle de votre système informatique en associant au sein d'un même contrat : audit, conseil, maintenance

Plus en détail

OBJECTIFS. Objectif général

OBJECTIFS. Objectif général Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement

Plus en détail

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique?

Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique? Formation et pratiques d enseignement en questions Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique? Abdel-Jalil AKKARI 1, (HEP-BEJUNE) et Sylvain RUDAZ (IFMES) Elément structurel des nouvelles

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi. Résumé du Schéma Directeur Statistique (SDS)

REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi. Résumé du Schéma Directeur Statistique (SDS) REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi Résumé du Schéma Directeur Statistique (SDS) Avril 2008 Sommaire SOMMAIRE... 2 I INTRODUCTION... 3 II L ETAT DU SSN... 3 III LE SCHEMA DIRECTEUR DE LA STATISTIQUE

Plus en détail

Expert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)

Expert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior) 1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts

Plus en détail

Synthèse du questionnaire en ligne

Synthèse du questionnaire en ligne èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

AGENCE DE COORDINATION ET DE PLANIFICATION DU NEPAD

AGENCE DE COORDINATION ET DE PLANIFICATION DU NEPAD AGENCE DE COORDINATION ET DE PLANIFICATION DU NEPAD Termes de référence pour le recrutement d'un expert spécialiste des infrastructures de transport 1. TITRE DU POSTE: Expert en infrastructures de transport

Plus en détail

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION

Plus en détail

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,

Plus en détail

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 1. Présentation de la filière Économie et Entreprise La filière «Economie et entreprises» de quatrième année de SciencesPo Strasbourg donne aux étudiants, dans

Plus en détail

Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining)

Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining) Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining) Description de projet Mise à jour le 18 mai 2006 Coordinatrice: Equipe de projet: Laura Muresan, EAQUALS / PROSPER-ASE, Roumanie Frank Heyworth,

Plus en détail

1 - Diag26000. Le réseau de partenaires. La formation partenaires. Diag26000. FORMITEL. Stratégie méthode - outils

1 - Diag26000. Le réseau de partenaires. La formation partenaires. Diag26000. FORMITEL. Stratégie méthode - outils 1-1 2 3 Le réseau de partenaires La formation partenaires co-construit par des experts Issu d'un groupe de travail Centrale Ethique, Diag2600 permet de réaliser un diagnostic RSE basé sur les 7 questions

Plus en détail

CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT

CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT PLAN DEPARTEMENTAL D'ACTIONS POUR LE LOGEMENT DES PERSONNES DEFAVORISEES DEPARTEMENT DE LA LOIRE CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT Les mesures d'accompagnement Social Lié au Logement (A.S.L.L.)

Plus en détail

Innover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso,

Innover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso, Innover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso, Président de la Commission européenne, au Conseil européen des 24 et 25 octobre 213 Indice de compétitivité

Plus en détail

Le nouveau programme 2014-2020. Investir dans l éducation, la formation et la jeunesse en Europe. www.erasmusplus.fr

Le nouveau programme 2014-2020. Investir dans l éducation, la formation et la jeunesse en Europe. www.erasmusplus.fr Le nouveau programme 2014-2020 Investir dans l éducation, la formation et la jeunesse en Europe www.erasmusplus.fr 2014-2020 Un programme plus efficace pour l emploi des jeunes Un programme plus simple

Plus en détail

MASTER INFORMATIQUE COLLABORATIVE EN ENTREPRISE (ICE)

MASTER INFORMATIQUE COLLABORATIVE EN ENTREPRISE (ICE) MASTER INFORMATIQUE COLLABORATIVE EN ENTREPRISE (ICE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine : Sciences, Ingénierie et Technologies Présentation Le Master Informatique Collaborative

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Plus en détail

GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000

GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette

Plus en détail

COOPÉRATION EN ÉDUCATION

COOPÉRATION EN ÉDUCATION CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur

Plus en détail

Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse

Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse ODR, Bases de données administratives à différentes échelles spatiales Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse 2èmes journées de recherches en sciences sociales INRA SFER CIRAD 11 & 12 décembre 2008 LILLE, France

Plus en détail

Centrale de Communications Luxembourg S.A. Rapport de Gestion

Centrale de Communications Luxembourg S.A. Rapport de Gestion Centrale de Communications Luxembourg S.A. Rapport de Gestion 2004 Rapport de gestion du Conseil d administration relatif à l exercice 2004 à l assemblée générale des actionnaires du 28 avril 2005 Centrale

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

Les métiers du secrétariat et de la bureautique

Les métiers du secrétariat et de la bureautique Les métiers du secrétariat et de la bureautique Présentation des métiers Alors que l'on avait annoncé la quasi-disparition des secrétaires, supplantées par les ordinateurs, elles bénéficient aujourd'hui

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional

VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une

Plus en détail

Feuille de route sur les achats innovants

Feuille de route sur les achats innovants Feuille de route sur les achats innovants 20/01/14 Page 1/7 Sommaire 1. Présentation de l Agence de services et de paiement (ASP)... 3 1.1 Un opérateur public au service des politiques publiques... 3 1.2

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Thème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire

Thème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

Maitriser la fonction approvisionnement

Maitriser la fonction approvisionnement Maitriser la fonction approvisionnement Comprendre les techniques de base : éviter les ruptures tout en minimisant le niveau de stocks. Maîtriser la relation quotidienne avec le fournisseur et être efficace

Plus en détail

Comité économique et social européen Section spécialisée "Emploi, affaires sociales, citoyenneté" Observatoire du marché du travail

Comité économique et social européen Section spécialisée Emploi, affaires sociales, citoyenneté Observatoire du marché du travail Comité économique et social européen Section spécialisée "Emploi, affaires sociales, citoyenneté" Observatoire du marché du travail Étude pilote sur la mise en œuvre au niveau national des politiques de

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

Tâche complexe 1ère : Comment placer son épargne?

Tâche complexe 1ère : Comment placer son épargne? Tâche complexe 1ère : Comment placer son épargne? Tâche complexe réalisée par : Marie-Camille Renard et Daniel Parant (Lycée de la Chimie Albert Camus, Mourenx) Thème : Monnaie et financement Durée estimée

Plus en détail

S INITIER AUX FONDAMENTAUX DE LA "SUPPLY CHAIN"

S INITIER AUX FONDAMENTAUX DE LA SUPPLY CHAIN S INITIER AUX FONDAMENTAUX DE LA "SUPPLY CHAIN" Comprendre le rôle de la chaîne logistique. Acquérir des outils et méthodes indispensables à la maîtrise de la SCM Maîtriser la mise en place de solutions

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Attentes liées aux prestations

Attentes liées aux prestations Appel à propositions du 26/05/2014 "Diagnostics de Sécurisation des Parcours Professionnels" Attentes liées aux prestations Projet SECURI'PASS 2.0 Cette opération bénéficie du soutien financier de l'etat,

Plus en détail

E-Commerce en Afrique du Nord

E-Commerce en Afrique du Nord ECommerce en Afrique du Nord Etat des lieux et recommandations Mustapha Mezghani Consultant Rabat 46 avril 26 1 Plan Echanges commerciaux entre les pays d Afrique du Nord Comment les TICs peuvent dynamiser

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et

Plus en détail

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire Décision n 2014-246 L Nature juridique de l article L. 723-23 du code rural et de la pêche maritime Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel 2014 Sommaire I. Normes de référence...

Plus en détail

Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.

Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo. Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.org I- PRESENTATION DU CRADAT A- Création - Siège Le Centre Régional

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet

Plus en détail

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Développer, Optimiser, Maintenir la Performance de lhomme et de lentreprise PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Le «Risque Social» doit être pris en charge comme nimporte quel autre type

Plus en détail

Annexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF

Annexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif

Plus en détail

Date de diffusion : Rédigé par : Version : Mars 2008 APEM 1.4. Sig-Artisanat : Guide de l'utilisateur 2 / 24

Date de diffusion : Rédigé par : Version : Mars 2008 APEM 1.4. Sig-Artisanat : Guide de l'utilisateur 2 / 24 Guide Utilisateur Titre du projet : Sig-Artisanat Type de document : Guide utilisateur Cadre : Constat : Les Chambres de Métiers doivent avoir une vision prospective de l'artisanat sur leur territoire.

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA)

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA) Présentation de la pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) et de ses spécialisations Pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) Adeline ALONSO UGAGLIA

Plus en détail

BTS - Assistant de gestion PME-PMI

BTS - Assistant de gestion PME-PMI Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 18/08/2015. Fiche formation BTS - Assistant de gestion PME-PMI - N : 0079468 - Mise à jour : 09/07/2015 BTS - Assistant de gestion PME-PMI

Plus en détail

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS

Plus en détail

LE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES

LE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES LE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES François Ossama Prix RFI NET AFRIQUE 2006 du Meilleur site Internet Africain Chef de la Cellule Informatique du MINDUH Président du Réseau

Plus en détail

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux

Plus en détail

La Commission européenne

La Commission européenne La Commission européenne Représentation en France Conférence - débat «Le Partenariat pour le Commerce et l Investissement entre les Etats-Unis et l'europe» Olivier Coppens, Attaché économique Représentation

Plus en détail

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.)

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100 Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100.01 Titre I : Dispositions générales Art. 1 - Le Diplôme Européen de Compétences Professionnelles

Plus en détail

Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations

Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION Licence Professionnelle Management des Organisations Spécialité Ressources Humaines et Conduite de Projets Formation initiale/ Contrat

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

LICENCE : INFORMATIQUE GENERALE

LICENCE : INFORMATIQUE GENERALE LICENCE : INFORMATIQUE GENERALE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Licence (LMD) Domaine : Sciences, Ingénierie et Technologies Mention : Informatique générale Objectifs Le diplôme offre une formation

Plus en détail

FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE

FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24

Plus en détail

Le test logiciel comme vecteur de qualité et d'optimisation des coûts

Le test logiciel comme vecteur de qualité et d'optimisation des coûts Le test logiciel comme vecteur de qualité et d'optimisation des coûts DOSSIER DE PRESSE 11 rue du Clos Courtel CS 30817 35708 Rennes Cedex 7 Tel 02 99 84 88 28 Fax 09 72 11 68 80 info@factoryconsulting.fr

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Colloque Groupama AM CEPII. La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle?

Colloque Groupama AM CEPII. La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle? Colloque Groupama AM CEPII La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle? Table ronde 1 : la stabilité et l unité du système financier européen vont- elles être rétablies? Patrick Goux et Christophe h Morel

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

I. PRESENTATION DE LA CHAIRE

I. PRESENTATION DE LA CHAIRE PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER

CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012

Plus en détail

AFD Danielle Segui. Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud

AFD Danielle Segui. Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud L AFD et la mésofinance AFD Danielle Segui Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud Besoins de financements 100 000 Grandes PME Banque traditionnelle TPE/PE {Chaînon manquant Les

Plus en détail

Septembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien.

Septembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien. Réponse de l Ordre national des pharmaciens de France au livre vert de la Commission européenne «Moderniser la directive sur les qualifications professionnelles COM/2011/367» Septembre 2011 Remarques préliminaires

Plus en détail

Comment monter un projet de sécurité routière

Comment monter un projet de sécurité routière Comment monter un projet de sécurité routière 2014 www.aisne.pref.gouv.fr Sommaire Avant-propos Les orientations générales Enjeux - orientations p3 p4 p5à7 Clarifiez votre projet p8 Comment monter votre

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe

Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe 11 mars 2015 Didier REYNDERS Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères et européennes - 1 - Table des matières I. Situation économique

Plus en détail

INC - Répertoire des Métiers. Présentation des évolutions pour 2014

INC - Répertoire des Métiers. Présentation des évolutions pour 2014 INC - Répertoire des Métiers 1 Présentation des évolutions pour 2014 Rappel général du cadre 2 Le Répertoire des Métiers 3 Un principe conventionnel Protocole d accord du 30 novembre 2004 Des finalités

Plus en détail

RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000

RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000 A Hydro-Québec Requête R-3401-98 RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Original : 2000-11-21 HQT-13, Document 1.1.2 (En liasse) 1 1. PRINCIPES ET RÈGLES DE FACTURATION INTERNE

Plus en détail

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail.

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail. Contrats éducatifs locaux missions et la formation des coordonnateurs de cel Réflexions du groupe de travail relevant du groupe de suivi interministériel des cel 1. Informations L'outil informatique de

Plus en détail

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Résumé : «Diagnostic sectoriel de la main-d œuvre du secteur des technologies de l information et des communications 2011»

Résumé : «Diagnostic sectoriel de la main-d œuvre du secteur des technologies de l information et des communications 2011» Résumé : «Diagnostic sectoriel de la main-d œuvre du secteur des technologies de l information et des communications 2011» (Étude préparée par Raymond Chabot Grant Thornton) Faits: Le PIB généré par le

Plus en détail

Demande de transformation de la formation qualifiante TEMIR : Technicien En Maintenance Informatique et Réseaux en diplôme d université (DU)

Demande de transformation de la formation qualifiante TEMIR : Technicien En Maintenance Informatique et Réseaux en diplôme d université (DU) Demande de transformation de la formation qualifiante TEMIR : Technicien En Maintenance Informatique et Réseaux en diplôme d université (DU) Motivations La formation TEMIR est une formation qualifiante

Plus en détail

Politique de gestion documentaire

Politique de gestion documentaire Politique de gestion documentaire L application de cette politique est sous la responsabilité du cadre de direction qui remplit les fonctions de secrétaire général Adopté par le conseil d administration

Plus en détail