Licenciements économiques et marchés financiers. Introduction :
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- Gabriel Sévigny
- il y a 8 ans
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1 Licenciements économiques et marchés financiers. Introduction : «Que notre économie soit florissante et nos entreprises prospères ou que la conjoncture flirte avec la récession, les plans sociaux et les suppressions d emplois se succèdent indifféremment. En période de croissance, les entreprises licencient pour augmenter leurs profits, créer de la valeur boursière et réorganiser leur production avec comme seule variable d ajustement l emploi. En période de stagnation, elles prétendent anticiper la baisse de la production et se réorganiser pour assurer leur survie.» Jacques Desallangre dans sa proposition de loi visant à proscrire les licenciements boursiers. Les critiques sont en effet nombreuses vis à vis des grandes entreprises qui sont soupçonnées de pratiquer des licenciements boursiers, c est à dire qui supprime des emplois dans le seul but de valoriser leurs actions. Le licenciement est alors considéré par le dirigeant comme un signal donné au marché de sa volonté d améliorer la rentabilité financière de l entreprise et d engager les restructurations organisationnelles nécessaires. Les différentes réformes des systèmes monétaires et financiers effectuées dans un premier temps dans les PDEM puis dans les économies émergentes ont eu pour conséquence un rôle accru des marchés financiers dans le financement des entreprises. Ces marchés financiers permettent aux entreprises cotées qui ont des besoins de financement de se procurer les fonds nécessaires à leurs investissements auprès des investisseurs. Les entreprises qui y ont accès émettent sur les marchés primaires des titres comme des actions ou des obligations pour financer leurs projets. Elles font donc appel à l épargne publique. Sur le marché secondaire, les titres sont échangés et leur valeur est fonction de la performance de l entreprise. Plus l entreprise a un capital confiance important auprès des investisseurs, plus son titre sera demandé et donc sa valeur augmentera. La fluctuation de la valeur du titre a une grande importance dans les capacités et les coûts du financement de l entreprise. Celle-ci doit donc répondre aux critères de performance des investisseurs. La multiplication des plans de licenciements économiques ces dernières années est souvent analysée comme le résultat de la pression des investisseurs sur les marchés financiers. Ceux-ci en exigeant une rentabilité forte imposeraient à l entreprise une logique de court terme. Le licenciement pour motif économique est défini par l article 321 du code du travail en France comme «un licenciement effectué par un employeur pour un ou plusieurs motifs non inhérents à la personne du salarié résultant d'une suppression ou transformation d'emploi ou d'une modification, refusée par le salarié, d un élément essentiel du contrat de travail, consécutives notamment à des difficultés économiques ou à des mutations technologiques Un licenciement économique est donc justifié par la détérioration des performances économiques de l entreprise ou par des restructurations liées à l introduction de nouvelles technologies. Comment expliquer les licenciements d entreprises qui affichent de bons résultats économiques. L emploi n est-il pas une variable d ajustement privilégié par les dirigeants pour répondre aux exigences des investisseurs en matière de rentabilité financière? Ces licenciements sont-ils toujours justifiés économiquement? Problématique : Dans quelle mesure les marchés financiers favorisent-ils l utilisation de l emploi comme variable d ajustement dans les entreprises et sont-ils responsables de la multiplication des plans sociaux? Plan :
2 Première partie : Le fonctionnement des marchés financiers explique la multiplication des licenciements économiques Deuxième partie : La responsabilité des marchés financiers dans les licenciements économiques doit être relativisée. I. Le fonctionnement des marchés financiers explique la multiplication des licenciements économiques. 1. La logique de court terme a modifié la relation d emploi et favorise l utilisation de l emploi comme variable d ajustement. La critique souvent effectuée à l encontre des marchés financiers est leur court termisme. Les actionnaires exigeraient des dirigeants des résultats immédiats en terme de rentabilité et de création de valeur pour répondre à leurs intérêts. Pour cela, ils disposent de moyens de contrôle comme le conseil d administration ou peuvent se désengager du capital (vote avec les pieds). Cette pression des marchés financiers a des conséquences importantes sur la relation d emploi comme le constate les théoriciens régulationnistes ou J. Stiglitz qui insistent sur la fragilisation de la relation salariale. Les salariés deviennent la variable d ajustement la plus efficace pour baisser les coûts, augmenter la productivité et améliorer les profits de court terme. Ce qui diffère de la logique fordiste qui mettait en place un lien durable entre le salarié et l employeur. Le mode de production fordiste était, en effet, fondé sur une logique d emploi à vie dans la mesure où cette sécurité permettait à l employeur d attirer les salariés les plus compétents. Les licenciements économiques sont aujourd hui conçus par les dirigeants comme le moyen de donner aux marchés financiers un signal attestant d une gestion saine et orientée vers la performance financière. Lorsque l entreprise a des résultats qui se détériorent, ces licenciements peuvent facilement être justifiés. C est le cas pour les licenciements prévus chez Alcatel- Lucent en 2007 ( emplois sur 3 ans). La fusion a eu pour conséquence une détérioration des performances financières de l entreprise. Les licenciements s inscrivent dans le cadre d une restructuration qui vise à améliorer la rentabilité de l entreprise. Cette détérioration des résultats est toutefois à nuancer car les revenus de cette entreprise ainsi que les contrats continuent à augmenter. Lorsqu une entreprise en bonne santé financière licencie, l incompréhension est grande et les licenciements sont qualifiés de boursiers. Ainsi l affaire Michelin en 1999 a suscité un émoi important en France. Cette entreprise a en effet annoncé au même moment une augmentation de 20% de ses bénéfices et une suppression d emploi de salariés. Plus récemment Allianz en juin 2006 a annoncé la suppression de emplois alors que cette compagnie d assurance a fait des profits records en Ces licenciements sont alors considérés comme ayant pour objectif de rassurer les marchés sur l amélioration des performances financières de l entreprise. Le développement actuel des LBO pour financer les PME en France laisse craindre que la pression des actionnaires se développe hors des marchés financiers. La pression des actionnaires souvent qualifiée de «tyrannie des marchés financiers» serait donc à l origine d un nouveau mode de régulation qui fragilise la relation salariale car fait des salariés la variable d ajustement privilégiée. Cette importance des marchés financiers dans les restructurations à l origine de licenciements économiques est renforcée par les fortes fluctuations économiques qu impose le fonctionnement de ces marchés.
3 2. Les fluctuations importantes des marchés et les crises récurrentes favorisent les vagues de licenciements économiques. Une des conditions de l efficience des marchés financiers est que l ensemble des acteurs puisse accéder aux informations nécessaires pour effectuer leurs anticipations et que tous les agents aient accès à la même information. Les analyses récentes ont montré que l information sur ces marchés est imparfaite et que l asymétrie d information sur ces marchés est forte. Les acteurs sur ces marchés, bien que rationnels, ne fondent pas nécessairement leurs anticipations sur la valeur fondamentale du titre (les noise traders par ex ont un comportement mimétique). De ce fait, les marchés financiers tendent à être inefficient au sens de Fama (c est à dire que l ensemble des informations disponibles concernant chaque actif financier coté sur le marché n est pas intégré dans le prix de l actif). Se forment sur ces marchés des bulles financières qui éclatent lorsque la valeur sur le marché des titres s éloigne trop de la valeur fondamentale. D autre part, les périodes d euphorie boursière telles que celles qu ont connu les pays industrialisés à la fin des années 90 ont pour effet d augmenter le recours des entreprises à l endettement puisque qu elle entraîne des plus-values latentes qui diminuent le ratio dettes/fonds propres. Lorsque le marché se retourne, le niveau d endettement des entreprises se révèle trop important et les sources de financement se raréfient. Enfin le mode de gouvernance des entreprises a eu des effets pervers dans le comportement des dirigeants et a été à l origine de faillites retentissantes comme celle d Enron. La conséquence de cette inefficience des marchés financiers se traduit par des faillites, des restructurations source de licenciements économiques. Ainsi le krach de 2001 a été à l origine d une remontée du taux de chômage importante aux E.U (6% en 2003). Le capitalisme financier est souvent rendu responsable des vagues de licenciements que connaissent les grandes entreprises cotées en bourse. Cette représentation est justifiée par le fonctionnement des marchés financiers et leurs conséquences sur la politique de l emploi des entreprises. Cependant, les licenciements économiques doivent juridiquement être justifiés par des motifs économiques au risque d être remis en cause par le juge. Les marchés financiers ne suffisent pas à expliquer le développement depuis vingt ans des licenciements économiques. II. La responsabilité des marchés financiers dans les licenciements économiques doit être relativisée. 1. Les marchés ne réagissent pas forcément positivement aux licenciements économiques et peuvent au contraire favoriser la création d emplois par le rôle qu ils jouent dans le financement des entreprises. De nombreux licenciements qualifiés de boursiers sont en fait des ajustements qui répondent à des objectifs stratégiques de redéploiement des activités sur le plan international ou d amélioration des avantages compétitifs. Par ailleurs, les entreprises
4 florissantes qui ont aujourd hui des titres qui sont attractifs sur le marché sont des entreprises qui embauchent et créé des emplois. Les restructurations dans l automobile par ex ont des conséquences importantes sur l emploi de ce secteur. Que ce soit les constructeurs ou les équipementiers, tous prévoient des suppressions de postes qui pour certains se traduisent par des licenciements économiques. Ce n est pas pour autant que ces stratégies ont pour conséquence une hausse du cours de la bourse. Ainsi lorsque Ford a annoncé la suppression de postes en 2006, les marchés n ont pas réagi positivement à cette annonce. Ce secteur en maturité sur les marchés occidentaux fait face à une concurrence intense. La concurrence des pays émergents est de plus en plus importante ce qui nécessite d améliorer sans cesse ses avantages compétitifs. Ce secteur connaît de nombreuses délocalisations qui se traduisent par des plans sociaux dans les pays d origine. Par ailleurs, l amélioration de la productivité se traduit souvent par un redéploiement des emplois. En revanche, les restructurations bancaires aujourd hui ne donne pas lieu à des licenciements. Ce secteur est source de création d emplois. Ces restructurations ont pourtant pour objectif de créer de la valeur actionnariale par l obtention de gains en terme d efficience ou en terme de pouvoir de marché. Ce secteur qui connaît de profondes modifications depuis vingt ans du fait de la libéralisation des marchés financiers et de l introduction de nouvelles technologies est en plein développement. L exemple du secteur de la nouvelle économie comme les biotechnologies aux E.U qui est essentiellement financé par les marchés financiers et qui est fortement créateur d emploi atteste aussi que la pression des marchés financiers ne suffit pas à expliquer les licenciements économiques. Par ailleurs, de nombreuses études montrent que les marchés financiers ne réagissent pas forcément favorablement aux annonces de licenciements (cf. texte les attentes des marchés financiers de Tristan Boyer). Si les licenciements économiques sont la conséquence de choix stratégiques qui assurent la survie de l entreprise. Pourquoi les marchés financiers sont-ils si souvent considérés comme responsables des plans sociaux? 2. Les marchés financiers : boucs émissaires? Pour Tristan Boyer, les licenciements boursiers seraient dus à une mauvaise interprétation que font les dirigeants d une gestion conforme aux principes du gouvernement d entreprise. Les dirigeants pour améliorer leur performance financière à court terme pratiquent un ajustement des effectifs. Cependant, les fonds de pension et les investisseurs institutionnels peuvent au contraire voir dans ces licenciements un manque de stratégie et anticiper de mauvais résultats de l entreprise. Les pratiques qui résultent du mode de gouvernance de l entreprise aujourd hui peuvent en revanche être à l origine de dysfonctionnements dont les risques sont supportés par les salariés ou d autres parties prenantes comme les fournisseurs, les clients. C est le cas pour la faillite d Enron. De même, les pratiques des dirigeants qui consistent à fixer ex ante la rémunération perçue par l actionnaire peuvent générer un décalage entre la sphère financière et la sphère réelle qui se traduira par la formation non pas d une bulle financière mais d une bulle réelle dont les conséquences peuvent être importantes sur l emploi. Les entreprises sont fortement encadrées en France en matière de licenciement économique et si ces licenciements ne sont pas justifiés, le juge peut prononcer des dommages et intérêts à l encontre des entreprises qui licencient sans motif suffisant. Ainsi, Valeo a été condamné en septembre 2006 par le conseil des prud hommes à verser
5 des indemnités aux salariés licenciés après la fermeture d une de ses usines pour motif insuffisant et manque d information sur les reclassements. Conclusion : L importance prise par les marchés financiers dans le financement des entreprises a modifié les modes de régulation économiques. Les entreprises ont recours plus souvent à un ajustement des effectifs et cherchent à améliorer la flexibilité des coûts salariaux. C est la raison pour laquelle, les actionnaires sont souvent considérés comme les responsables des licenciements économiques, ceux-ci se faisant plus nombreux depuis vingt ans. Cependant, ces licenciements économiques sont souvent nécessaires pour assurer la survie des entreprises et sont le résultat de restructurations qui ont pour objectif d améliorer la compétitivité de l entreprise dans un contexte hyperconcurrentiel. En revanche, le fonctionnement de ces marchés financiers est à l origine de crises financières récurrentes qui ont des conséquences importantes sur la sphère réelle et se traduisent par des faillites et des licenciements économiques nombreux. Les marchés financiers peuvent donc être tenus pour responsables dans ce cas des licenciements économiques. Au delà du fonctionnement des marchés financiers, la mondialisation et la concurrence accrue entre les entreprises sur tous les marchés (dont les marchés financiers) a pour conséquence de modifier considérablement la relation salariale en introduisant une flexibilité accrue dans la gestion du personnel.
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