Programme de formation et inter-formation sur l initiation du diagnostic de lymphome en médecine générale
|
|
- Anne-Claire Olivier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Programme de formation et inter-formation sur l initiation du diagnostic de lymphome en médecine générale 2012 Partenariat SFMG et association de patients France Lymphome Espoir (FLE) Avec le soutien de la Société Française d Hématologie (SFH) et de ROCHE
2 Plan 1. Présentation des principes et objectifs généraux du programme 2. Votre expérience personnelle et choix face aux cas cliniques 3. Epidémiologie et classification des lymphomes 4. Bilan diagnostique et pronostique 5. Les éléments de prise en charge diagnostique et thérapeutique 6. La coordination des acteurs impliqués 7. En guise de conclusion 8. Bibliographie et documents téléchargeables
3 Présentation des principes et objectifs généraux du programme Société Française de Médecine Générale
4 Pourquoi ce programme? Des besoins de prise en compte de données récentes qui modifient les stratégies de soins en médecine générale. 1) Les lymphomes, une forme de cancer dont la fréquence épidémiologique augmente 2) Des progrès importants dans le domaine thérapeutique avec une espérance de vie moyenne à 5 ans de plus de 80 % 3) Le constat : si les médecins généralistes connaissent les services d onco-hématologie, ils n ont pas de référent hématologique 4) Le renforcement de la place du médecin généraliste comme médecin traitant dans le parcours de soins 5) La place désormais incontournable des associations de patients dans le champ de la santé, comme ressource supplémentaire pour les malades et les professionnels de la santé
5 Echanges professionnels / usagers Des échanges entre associations de patients et sociétés savantes (SFMG SFH) aboutissant à un programme d actualisation et d optimisation des procédures médicales focalisées sur la phase diagnostique Un programme téléchargeable sur site internet de la SFMG et des actions régionales de formation pour : o Une meilleure visibilité des acteurs impliqués o Le développement d une circulation des informations utiles à tous pour des soins de qualité
6 Rappel important Ce programme vise à sensibiliser à certains des aspects diagnostiques et thérapeutiques actualisés liés aux problèmes posés par les lymphomes dans les pratiques de médecine générale. Il s inscrit dans une réflexion professionnelle sur la gestion des risques fréquents ou rares en médecine générale : o Il incite à un usage optimisé des ressources disponibles selon les cas. o Il participe à la réflexion du MG sur son exercice et ses choix dans une situation donnée. Ce programme sera le plus souvent lu en plusieurs temps. Les réponses de chaque médecin aux questions posées participent à une approche réflexive : s interroger sur ce que je fais ou ferais et sur ce qui pourrait l être. Les documents bibliographiques téléchargeables sont en nombre volontairement limité, pour préciser les aspects évoqués dans le diaporama.
7 Logique de recherches utiles Dans un grand nombre de consultations, le doute et/ou l inquiétude du patient comme du médecin sur une éventuelle évolution et/ou émergence d une pathologie grave ou/et handicapante conduit le médecin à investiguer la situation cliniquement et par des examens et demandes d avis de diverses spécialités. La gestion de ces risques prend implicitement en compte la fréquence du problème mais surtout sa gravité et l intérêt d un diagnostic précoce pour initier un traitement spécifique et efficace quand cela est devenu possible. Identifier ce que le «patient n a pas» est aussi important qu établir «ce qu il a». Cette fonction de repérage et de hiérarchisation des risques possibles, même rares, est un élément central des stratégies de décision en médecine générale.
8 2009 : des éléments récents Les données de l enquête «Perceptions et pratiques des médecins français pour Initier le Diagnostic de Lymphome en 2009» (IDIL) : o Enquête réalisée auprès de MG, ORL et radiologues suite au sentiment d errance diagnostique exprimé par les patients de l association de France Lymphome Espoir (FLE) o Un polymorphisme symptomatique très important et donc une multiplicité de risques et diagnostics différentiels possibles o Une découverte qui reste fortuite dans un cas sur deux o Un délais déclaré d un mois avant l établissement du diagnostic
9 Des approches différentes Des changements de perspective : o Les Lymphomes sont d emblée des affections généralisées qui ne correspondent pas aux représentations habituelles des cancers : «tumeur locale» «extension locale» «métastase à distance» Des changements dans les procédures diagnostiques pour réaliser des biopsies : o A coté des techniques chirurgicales traditionnelles o Les évolutions de l imagerie interventionnelle
10 Objectifs principaux Actualiser des données sur ce thème en particulier sur les procédures et les parcours diagnostiques Optimiser les échanges réciproques entre les acteurs impliqués, principalement les MG, les patients et le réseau des ressources hématologiques et associatives Accroître la lisibilité des responsabilités, des tâches, des missions et des compétences respectives de chacun dans le parcours de soin du patient Améliorer la qualité des soins à la phase diagnostique des lymphomes Faciliter secondairement les modalités du suivi thérapeutique immédiat puis du suivi au long cours Développer son réseau de ressources professionnelles
11 Votre expérience personnelle et choix face aux cas cliniques Société Française de Médecine Générale
12 Votre Expérience? Ces dernières années avez-vous été confronté(e) à titre professionnel ou personnel à: o Un patient ayant eu un antécédent de lymphome traité? o Un patient en cours d investigation pour un suspicion de lymphome? o En cours de traitement spécifique pour un lymphome? o Si oui, quel(s) type(s) de lymphome(s)? o Les signes d appel étaient-ils ganglionnaires ou extraganglionnaires? Dans ces circonstances, quelles difficultés particulières avez-vous alors rencontrées : o Pour vous? o Pour le patient?
13 «Et si c était un lymphome?» (1/2) En tant que médecin généraliste, quelles sont les situations cliniques qui vous conduiraient à évoquer l hypothèse d un lymphome? A qui vous adresseriez-vous dans de telles circonstances compte tenu de votre contexte et lieu d exercice?
14 «Et si c était un lymphome?» (2/2) Parmi les points suivants, quels sont ceux pour lesquels vous ressentez le plus de besoin d informations? o Les facteurs de risque o Les symptômes des lymphomes o Les examens pour établir le diagnostic o La coordination des soins à l étape diagnostique o L évolution de ces maladies o Leurs traitements o Les effets secondaires des traitements o La coordination de la prise en charge thérapeutique o La physiopathologie o Le pronostic
15 Cas cliniques Si vous aviez été confronté(e) en tant que médecin traitant aux trois cas cliniques qui vont suivre, qu auriez-vous pensé et fait pour chacun d eux? o Fait d emblée et pourquoi? o Fait dans un second temps et pourquoi? o Fait de votre propre initiative? o Fait après une demande de conseil? (avis labo, pairs associés, correspondant, par entretien direct ou téléphone)
16 Cas clinique n 1 Monsieur A, agriculteur non fumeur, producteur de pommes à la retraite âgé de 66 ans, suivi pour HTA et dyslipidémie Constat d une fatigue inhabituelle, d un essoufflement et une toux persistante et découverte d une anomalie du médiastin lors d une radiographie pulmonaire
17 Cas clinique n 2 Monsieur B, professeur des écoles âgé de 23 ans, grand utilisateur d Internet, consulte pour une adénopathie visible, indolore du cou apparue pendant les vacances, il y a moins d un mois L entretien médical et l examen clinique général attentif n apportent pas d autres éléments d orientation
18 Cas clinique n 3 Madame C, mère de famille de 45 ans avec un tableau clinique de poly-adénopathies Adénopathies multiples axillaires et inguinales non inflammatoires, sans éruption associée avec splénomégalie clinique
19 Fréquence & Gravité Face à chacune de ces trois situations cliniques avec des adénopathies diverses, à quelles affections auriez-vous pensé selon l âge, la localisation et sa durée (symptomatologie récente puis persistante) : o Les situations les plus fréquentes : A B C etc. o Les situations les plus graves : etc.
20 Bilan initial et secondaire (1/2) Bilan initial Bilan secondaire Hémogramme CRP Transaminases LDH Sérologie VIH Sérologie VHB Autre(s) sérologie(s) Cyto-ponction ganglionnaire Β 2 -microglobuline
21 Bilan initial et secondaire (2/2) Bilan initial Bilan secondaire Radio pulmonaire Consultation ORL Scintigraphie abdominale Scanner abdomino-pelvien Scanner thoracique IRM Consultation interniste Consultation hématologue Autre investigation
22 Approches diagnostique et pronostique Société Française de Médecine Générale
23 Une clinique variable Avec des anomalies cliniques palpables et/ou visibles Avec des anomalies non cliniquement visibles et/ou peu accessibles Avec des anomalies persistantes lors de consultations de contrôle et de suivi planifiées Avec des troubles et/ou anomalies non expliqués par les hypothèses, les investigations ou traitements initiaux
24 Société Française de Médecine Générale Quelques étiologies possibles
25 L intrication possible des troubles Comme la fréquence des lymphomes augmente avec l âge, les symptômes peuvent être masqués ou être intriqués avec d autres manifestations cliniques non liées, le nombre de problèmes de santé augmentant également avec l âge Graphique du nombre moyen de problèmes pris en charge par consultation de médecine générale en fonction de la tranche d âge du patient. Observatoire de la Médecine Générale SFMG. Exemple de lecture : plus de 2,6 problèmes par acte pour les ans.
26 MG & intrication pathologies chroniques Part des pathologies chroniques (%) Age Nbre de patho chroniques par patient Nbre de patho chroniques par acte Classe 1 Classe 2 Classe 3 Classe 4 Classe 5 Classe 6 37,83 23,14 14,34 13,34 7,52 3,83 > 60 ans Deux tiers de plus de 70 ans < 60 ans, dont la moitié entre 26 et 39 ans De 40 à 69 ans ans et ans ans 4 à 9 7 à 8 1 à 4 4 à 6 1 à 4 1 à 2 3 à5 > 6 1 à2 2 à3 1 à2 1 à2 L association des problèmes est une difficulté à l étape du diagnostic initial, mais aussi dans la gestion des consultations et hiérarchisation de traitements multiples
27 Escalade des investigations (1/2) Quelque soit le tableau clinique, en dehors de complications urgentes, le bilan ambulatoire initial vise à vérifier par la biologie et l imagerie des hypothèses différentes pour confirmer ou infirmer une maladie infectieuse ou systémique, selon les localisations ganglionnaires et les symptômes associés. Les délais pour obtenir ces investigations et les premiers résultats ne doivent pas conduire à différer une biopsie sur une adénopathie accessible avec les techniques existantes si l évolution clinique persiste ou s aggrave. La diversité des tableaux cliniques des lymphomes peuvent conduire à des recours successifs à différents spécialistes (gastro-entérologue, pneumologue, dermatologue, interniste, etc.) avant confirmation de l origine hématologique des troubles.
28 Escalade des investigations (2/2) La demande d un avis hématologique est : o Parfois secondaire aux résultats de la biopsie o Parfois plus précoce car la biopsie a été «idéalement» réalisée dans un service d onco-hématologie Compte-tenu des particularités et du niveau de spécialisation des investigations nécessaires au bilan d extension et à la classification du lymphome comme préalable au choix thérapeutique, la coordination et les échanges réguliers d informations entre le médecin traitant et les spécialistes en hématologie sont indispensables.
29 Bilan initial Lymphome Source : Delarue.R. Devant quel tableau clinique suspecter un lymphome et comment orienter la prise en charge. Rev praticien 2010;80:41-52.
30 Adénopathies médiastinales Société Française de Médecine Générale
31 Typologies des lymphomes Le diagnostic de lymphome, le bilan pronostique et le choix des traitements nécessitent : o Une analyse anatomopathologique o Une analyse immuno-histochimique o Une analyse cytogénétique et moléculaire L importance de l analyse histologique dans les choix thérapeutiques impose donc d évoquer explicitement l hypothèse «lymphome» lors de la demande de biopsie : o Conditions du prélèvement o Conservation du prélèvement Biopsies par chirurgie classique ou par radiologie interventionnelle selon les localisations et les ressources des circuits de consultation
32 Source :??? Techniques de biopsie Société Française de Médecine Générale
33 Repères épidémiologiques et classification des lymphomes Société Française de Médecine Générale
34 Lymphomes : quelques chiffres Les lymphomes comme 5 ème cancer le plus fréquent Augmentation de l incidence pendant 40 ans, puis stabilisation récente En France, nouveaux cas par an notifiés en 2009 Augmentation des Lymphomes Non Hodgkiniens (LNH) qui sont les plus fréquents des lymphomes (80 %) Stabilité des Lymphomes Hodgkiniens (LH) (20 %) Nombre de nouveaux cas par an (incidence annuelle) des LNH 12/ pour l homme et 8,2/ chez la femme Parfois une susceptibilité génétique avec un risque familial accru
35 Rappel historique : la maladie de Hodgkin La maladie, décrite en 1832 par Thomas Hodgkin (anatomopathologiste) et caractérisée par les cellules de Reed-Sternberg, a connu des appellations diverses allant de «lymphogranulomatose maligne» à celle «lymphome hodgkinien» Ce type «historique» de Lymphome, aujourd hui minoritaire, présente une incidence bimodale avec deux pics d âges : l un chez l adulte jeune (vers ans) et l autre vers ans Prédominance masculine Les cellules de Reed-Sternberg sont majoritairement des cellules Lymphoïdes B Le LH peut être classé en 4 sous-types histologiques selon la classification de Lukes-Rye
36 Evolution des terminologies La variabilité des termes utilisés, selon les périodes, pour désigner les cancers du système lymphatiques ne facilite pas la visibilité des lymphomes : Sarcome, cancer de la lymphe, néoplasie du tissu lymphoïde, hémopathie maligne, syndrome lympho-prolifératif, maladie de Hodgkin, lymphomes indolents, lymphome hodgkinien, lymphome non hodgkinien L évolution des classifications internationales (OMS, Américaine ou Européenne) se fait autour de trois grandes catégories de lymphomes avec des sous-groupes : o Lymphomes hodgkiniens o Lymphomes non hodgkiniens à cellules B o Lymphomes non hodgkiniens à cellules T
37 LNH agressifs ou indolents? Société Française de Médecine Générale
38 Des situations d alerte Les formes ganglionnaires : o Apparition d un ou plusieurs ganglions indolore(s) Les formes extra-ganglionnaires les plus fréquentes : o Digestives, découverte lors d une endoscopie pour bilan digestif o ORL au niveau du pharynx ou des glandes salivaires o Hépatiques secondaires o Splénique, mammaire, testiculaire, pulmonaire, cérébrale
39 Risques & Complications Des tableaux cliniques variés en fonction des localisations et de leur durée d évolution avec des complications révélatrices, parfois urgentes : o Compressions veineuses o Compressions lymphatiques o Compressions des nerfs périphériques o Syndrome obstructif digestif o Complications métaboliques o...
40 Quid des lymphomes cutanés? Les lymphomes cutanées sont des lymphoproliférations ne touchant que la peau au moment du diagnostic avec une distinction entre : o Les lymphomes à localisation cutanée initiale, o Et les lymphomes initialement extra-cutanés avec extension cutanée secondaire. 2 types : les lymphomes cutanés T (80 %) et les lymphomes cutanés B (20 %) Le pronostic est variable selon les extensions des lésions cutanées, des lésions ganglionnaires, des atteintes viscérales et des atteintes sanguines
41 Des situations particulières Les patients connus (ou non) ayant des antécédents ou des affections à risque de lymphomes : o Patients VIH + o Patients HTLV+ o Patients VHB+ et VHC+ o Patients exposés aux pesticides o Patients traités par chimiothérapies anticancéreuses o Patients porteurs de certains déficits immunitaires ou pathologies auto-immunes o Patient présentant un syndrome sec o Autres risques
42 Classification d Ann-Arbor Stade I : atteinte d un seul ganglion ou d un seul site ganglionnaire (médiastin, rate, anneau de Waldeyer) Stade II : atteinte de plus de 2 sites ganglionnaires d un même coté du diaphragme. Stade III : atteinte de part et d autre du diaphragme Stade IV : atteinte extra-ganglionnaire non contigüe d une atteinte ganglionnaire (foie, moelle, etc.) Pour chaque stade, la classification prend également en compte : la présence d extension locale [E], d une atteinte de la rate [S], de l absence [A] ou la présence [B] de signes d évolutivité clinique (fièvre, amaigrissement, sueurs)
43 ECOG : indice d activité Cet indice permet d apprécier l impact de l affection sur la vie quotidienne : o o o o o Indice 0 : activité normale chez un patient asymptomatique Indice 1 : poursuite de l activité ambulatoire avec symptômes Indice 2 : incapacité à travailler + alitement dans la journée (< 50 % du temps de veille) Indice 3 : incapacité à travailler + > 50% d alitement dans la journée Indice 4 : confinement au lit et besoin d une tierce personne
44 IPI : Index Pronostique International La définition de l IPI permet de préciser non seulement le pronostic évolutif mais aussi de définir les protocoles thérapeutiques. Il est la résultante des stratégies d investigations dans le cadre du «bilan d extension». L IPI permet de distinguer les LNH indolents des LNH agressifs o IPI des LNH agressifs : 1. Age > 60 ans 2. Stade III et IV 3. Nb localisations extra-ganglionnaires = 2 ou >2 4. LDH > ou = normale 5. Indice d activité (ECOG) > ou = 2
45 Coordination des acteurs impliqués Société Française de Médecine Générale
46 Des étapes essentielles Le constat : la déclaration du médecin traitant est effective chez 88 % des femmes et 83 % des hommes ainsi que chez 96 % des plus de 60 ans, 90 % des ans mais seulement 72 % des ans L organisation des recours et retours d investigations facilitant l accès et le déroulement optimal du parcours de soins pluridisciplinaire impliquant : Le médecin traitant et les autres professionnels consultés Particulièrement le réseau onco-hématologique La rédaction du protocole d ALD par le médecin traitant décrivant les actions et ressources à mobiliser Le bon usage du dossier médical du médecin généraliste avec la disponibilité effective des informations utiles et actualisées pour : Le médecin traitant Son remplaçant ou son associé
47 Des dispositifs prévus Les réalités et limites variables des dispositifs prévus comme «Le dispositif d annonce» «Le plan Personnalisé de soins» «Les Plans cancers successifs»
48 Les phases d attente et d incertitude Les doutes, craintes, incertitudes quelles soient diagnostiques, thérapeutiques ou pronostiques concernent : o Le patient o Son entourage o Les soignants eux-mêmes La multiplication des investigations et demandes d avis peuvent participer au sentiment d errance vécu par certains patients. Dans le parcours de soins, importance du recours précoce à des compétences hématologiques pour infirmer ou confirmer le diagnostic de lymphome et définir le projet thérapeutique
49 Que dire au patient? Quand? Quelles sont les explications nécessaires et utiles en prenant en compte les multiples sources d informations disponibles et/ou les besoins rapportés par les patients au sein des associations? Les explications et réponses aux interrogations du patient varient selon les moments. Elles visent à une optimisation et une cohérence des soins et favorise l observance : Au cours du bilan initial de «débrouillage» pour argumenter les besoins voire l urgence d investigation servant à infirmer ou confirmer une hémopathie ou une autre affection maligne Au cours du bilan complémentaire demandé par l hématologue Au cours du suivi immédiat ou à distance
50 Lymphome : Google test Société Française de Médecine Générale
51 France Lymphome Espoir : Société Française de Médecine Générale le point de vue des patients (1/2) Avant le traitement 1. Comprendre ce qu est un lymphome : o Questions à son médecin. o Brochures et site France Lymphome Espoir. 2. Établir une relation de confiance avec l équipe soignante 3. Régler les problèmes pratiques : o Prise en charge 100 % o Rôle de l assistant(e) social(e) o Compatibilité avec l activité professionnelle 51
52 France Lymphome Espoir : le point de vue des patients (2/2) Pendant le traitement 1. Connaître les effets secondaires : o Les dépister et les signaler o Traitements curatifs et/ou préventifs possibles 2. Adapter son style de vie : o Fatigue et dépression o Diététique o Activité physique o Libido et relations sexuelles o Vie sociale et risque infectieux 3. Coopération médecin référent / équipe soignante / médecin traitant 4. Rôle des associations de patients 52
53 Le site Internet ACCES MG -Le Lymphome, pourquoi y penser? -Les Lymphomes -Le diagnostic -Rôle du médecin traitant 53
54 Eventail des thérapeutiques En fonction de la nature, de la classification, du stade évolutif du lymphomes, mais aussi des effets des traitements déjà entrepris,, le service spécialisé et le référent hématologique proposeront des schémas thérapeutiques variés dans le cadre de protocoles bien établis ou parfois dans le cadre d essais thérapeutiques Les moyens mis en œuvre peuvent comporter : o Abstention thérapeutique avec surveillance o Mono ou poly-chimiothérapies o Radiothérapie parfois seule ou plus fréquemment associée o Immunothérapie (interféron, anticorps monoclonal) o Autogreffe o Allogreffe
55 Un schéma explicatif différent Par rapport aux autres domaines de la cancérologie, le schéma explicatif «atteinte locale métastase ganglionnaire métastase à distance» n est pas applicable aux lymphomes. Ces derniers sont d emblée et toujours une maladie virtuellement disséminée qui ne peut bénéficier d un traitement local ou loco-régional
56 Pronostics sous traitements (1/2) LH survie à 5 ans selon le stade : o Stade I et Stade II = 80 à 90 % o Stade III A = 75 à 85 % o Stade III B et Stade IV = 60 % Les LNH ont également une survie à 5 ans variant de 30 % à 80 % selon l âge et l index IPI. Ces données sont celles liées aux chimiothérapies standards et elles ne prennent pas encore en compte les bénéfices des nouveaux traitements avec anticorps monoclonaux (Cf. schéma diapositive 58) Source : Cancers. Pronostics à long terme. INSERM 2005
57 Pronostics sous traitements (2/2) Le risque résiduel de décès* à 10 ans est limité : o Maladie de Hodgkin : risque de 1,24 % pour les hommes et 0,81 % pour les femmes o LNH : risque de 4,28 % pour les hommes et 4,2 % pour les femmes * cancers rarement évolutifs : risque évolutif < 2 % cancers peu évolutifs : risque entre 2 et 5 % cancers avec risque > 5 % incluant les cancers avec métastases et ceux avec évolution chronique stable Source : Cancers. Pronostics à long terme. INSERM 2005
58 Évolution de la mortalité Source : INVS Cedepic INCA, 2010 Société Française de Médecine Générale
59 Guérisons? / Rémissions? / Rechutes? La rémission complète est affirmée par le bilan post-traitement et la notion de maladie résiduelle chronique est d actualité dans les formes indolentes La vigilance et surveillance périodique coordonnée contrôle l absence ou l existence d une rechute avec des reprises de traitement La prise en charge et les procédures spécifiques indispensables au suivi d un patient ayant ou ayant eu un lymphome ne doit pas conduire à oublier les autres problèmes de santé non hématologiques ou risques (aigus ou chroniques) associés
60 Des liens durables et synergiques Développer à toutes les phases de la prise en charge des patients, la logique de mise en réseau des professionnels impliqués est le moyen et la garantie de cohérence des discours et des actions Quelle que soit la nature de la pathologie hématologique en cause, la réciprocité et la traçabilité des échanges sont essentielles, tant du MG vers l hématologue que de l hématologue vers le MG Les transferts rapides et en temps utile des courriers et comptes-rendus, des choix de traitements (avec leurs effets bénéfiques et secondaires), des données de suivi au long cours. Cette communication adaptée illustre la personnalisation des liens impactant la qualité de soins et de vie du patient, mais aussi la qualité d exercice des professionnels eux-mêmes Ces échanges sont les leviers et les marqueurs du développement durable d un réseau de ressources hématologiques pour des aides diagnostiques, des suivis thérapeutiques coordonnés et des suivis au long cours cohérents Mise en place d une communication et d une synergie entre les acteurs des divers niveaux de soins ambulatoires et hospitaliers
61 En guise de conclusion Société Française de Médecine Générale
62 Que retenir en pratique Les Lymphomes comme un ensemble hétérogène d hémopathies malignes pouvant présenter un risque évolutif grave à évoquer précocement devant des tableaux cliniques variés ou atypiques Un fil rouge essentiel : «Y penser» Une affection cancéreuse dont les progrès et innovations thérapeutiques ont transformé le pronostic et qui nécessite un suivi très structuré au long cours Des questions transversales au thème général des cancers mais avec des aspects spécifiques aux LNH et LH Un cadre modélisant de parcours de soins associant le médecin traitant aux services spécialisés en onco-hématologie, avec des besoins pour une communication personnalisée réciproque qui reste à optimiser Des dynamiques nouvelles avec les associations de patients comme ressource pour les patients et leurs proches mais aussi pour l ensemble des professionnels de la santé
63 Bibliographie et documents téléchargeables Société Française de Médecine Générale
64 Eléments de bibliographie OMS INCA CIRC. «Le cancer dans le monde». IARC Press. Lyon INCA. «Survie attendue des patients atteints de cancers en France : état des lieux» Dossier Lymphome. Monographie. Revue du Praticien; vol 10, 20 janvier Association FLE. «Comprendre le lymphome non hodgkinien. Un guide d information pour les patients et leurs proches». Site :
65 Documents téléchargeables Détails du dossier Lymphome. Monographie. Rev Prat; vol 10, 20 janvier 2010 o Salles G. Lymphomes. o Maynadier M. Epidémiologie des lymphomes. o Delarue R. Devant quel tableau clinique suspecter un lymphome et comment orienter la prise en charge? o Molina TJ. Classification des lymphomes. o Bachy E, Salles G. Facteurs pronostiques des lymphomes. o Tilly H. Stratégie thérapeutique dans les lymphomes non hodgkiniens. Ingen-Houz-Oro S, Bagot M. Lymphomes cutanés. Mise au point. Rev Prat, vol 59, 20 nov 2009 HAS. Guide ALD LNH, septembre Feugier F et al. Perceptions et pratiques des médecins français pour initier le diagnostic de lymphome en 2009 : IDIL. Correspondances en Onco-Hématologie, Vol.V, N 1.Jan Fev Mars 2010
66 La SFMG et ses partenaires vous remercient pour l intérêt que vous portez à ce programme.
67 Contact : sfmg@sfmg.org Site web : Société Française de Médecine Générale
Lymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailComprendre les lymphomes non hodgkiniens
France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détaill'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015
ANNONCE PRESSE Un donneur pour chaque patient en attente d'une greffe de moelle osseuse, de la chimère à la réalité grâce à la révolution de la greffe haplo mismatch Marseille, le 26 mai 2015. L'Institut
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailBulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,
Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailLes traitements du cancer du rein
MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailRNV3P Recherche de pathologies émergentes
EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailmon enfant a un cancer www.e-cancer.fr
mon enfant a un cancer GUIDE d information à l intention des familles www.e-cancer.fr mon enfant a un cancer Ce guide a été édité en août 2009 par l Institut national du cancer (INCa) et la Société française
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détail