COMPLEXITÉ D UNE RÉFECTION DE PISCINE AGPI / ASSOCIATION DES GESTIONNAIRES DE PARCS IMMOBILIERS INSTITUTIONNELS
|
|
- Marie-Noëlle Lamontagne
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AGPI / ASSOCIATION DES GESTIONNAIRES DE PARCS IMMOBILIERS INSTITUTIONNELS COMPLEXITÉ D UNE RÉFECTION DE PISCINE RÉJEAN SAVARD, M.SC., M.ING., MBA / BEAUDOIN HURENS CLAUDE POIRIER, ARCH. / POIRIER FONTAINE ARCHITECTES COLLOQUE 2014 LE MAINTIEN DES ACTIFS DANS UN CONTEXTE DE GESTION DU RISQUE
2 CLAUDE POIRIER, ARCH., DE LA FIRME POIRIER FONTAINE ARCHITECTES Architecte senior, spécialisé dans le domaine des piscines Réfection complète des bassins du Stade Olympique de Montréal Réfection du bassin de 50 mètres et l ajout d un bassin à l Université de Sherbrooke Complexes aquatiques de Dorval, Benny et Annie-Pelletier de Montréal Plusieurs réfections de piscines du milieu de l éducation RÉJEAN SAVARD, B.SC., M.SC., MBA, M.ING., DE LA FIRME BEAUDOIN HURENS Notoriété canadienne dans le domaine des piscines Reconnu par la FINA Réalisation de plus de 150 bassins au Québec, Ontario, Maritime et outre mer Réfection complète des bassins du Stade Olympique de Montréal Piscines de du parc Jean-Drapeau, FINA 2005, 11 e championnats de monde Complexes aquatique de Terrebonne, Dorval, Point-Claire, et plusieurs à Montréal Réfections de bassins des Universités Laval, Sherbrooke et Montréal Bassin de Water Polo, Jeux Olympiques de Londres 2012 Bassin Jeux Olympiques de Beijing 2008 conférenciers
3 PLAN DE PRÉSENTATION Règlementation et recommandations Enjeux de la réfection L enveloppe du bâtiment pour l enceinte piscine L étanchéité du bassin et des plages Traitement de l air Traitement de l eau Éclairage Conclusion présentation
4 RÈGLEMENTATION ET RECOMMANDATIONS Au Québec, la construction, la réfection et l opération d un bassin est fortement règlementé. Règlement sur la sécurité dans les bains publics (RRQ, c B-1.1, r11) Règlement sur la qualité de l eau des piscines et autres bassins artificiels (RRQ, c Q-2, r39) Guide d exploitation des piscines et autres bassins artificiels (ministère Développement durable, Environnement et Parcs) Code de construction du Québec (CCQ) Code de l électricité du Québec Exigences de la FINA lorsque requis Le règlement Q-2, r.17 a été aboli en Il était un précieux outil de conception. règlementation
5 ENJEUX DE LA RÉFECTION Fermeture du bassin durant les travaux Planification des activités et évaluation du délai de fermeture Perte de revenus Gestion du risque enjeux
6 FERMETURE DU BASSIN DURANT LES TRAVAUX enjeux Stade Olympique / RIO / Montréal
7 ENJEUX DE LA RÉFECTION Nouvelle règlementation Objectif : sécurité du personnel et des usagers Incidence financière Précision et exigences accrues pour les bassins de compétitions Méthodes d exécution des travaux Évaluation de la conformité des équipements de piscine enjeux
8 NOUVELLE RÈGLEMENTATION enjeux Université Laval / Québec Cégep Sherbrooke
9 ENJEUX DE LA RÉFECTION Choix de la technologie Impact sur le délai de réalisation Conséquence sur l entretien Nouvelles activités et jeux De nouvelles activités ont fait leur apparition La clientèle a de nouveaux besoins enjeux
10 NOUVELLES ACTIVITÉS ET JEUX enjeux Réfection de la piscine du Parc Delpha-Sauvé / Ville de Salaberry-de-Valleyfield
11 LE BÂTIMENT DANS L ENCEINTE D UNE PISCINE Les enjeux Toiture / murs / fondation L étanchéité La continuité du pare-vapeur La présence d un pare-air La jonction des composantes La fenestration Le pourcentage de fenestration L éblouissement et la sécurité L économie d énergie bâtiment
12 L ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN ET DES PLAGES L étanchéité est une complexité qui peut gravement affecter la structure du bassin et de la plage Processus de dégradation non apparente des composantes structurales Délaminage système membrane/céramique Étanchéité fortement sollicitée par les efforts aux points d ancrages des équipements étanchéité
13 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN étanchéité Parroi d un bassin Dalle sous la plage
14 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN Les composantes d un bassin béton céramique Mur de béton structural Apprêt Membrane cimentaire avec renfort Ciment / colle, double encollage Céramique Coulis époxydique étanchéité
15 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN étanchéité Parroi d un bassin Dalle sous la plage
16 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN étanchéité Début de l installation des parois modulaires au bassin de 50 m du Stade Olympique Réfection du bassin de 50 m de l Université de Sherbrooke
17 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN Technologies de bassins modulaires La compagnie Myrtha est sans aucun doute le plus grand fabricant de piscines au monde. Grâce à des projets majeurs à vocation compétitive ou récréative, on retrouve ses bassins dans le monde depuis 1962 et au Québec depuis une dizaine d années. étanchéité
18 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN Un seul intervenant responsable pour honorer la garantie Permet d ajuster les dimensions du bassin avec une grande précision Peut s installer sur la céramique existante réduisant ainsi les coûts de démolition Facilite l entretien Détection rapide de fuites d eau Réduit les opérations et délais de construction étanchéité
19 TECHNOLOGIES D ÉTANCHÉITÉ DU BASSIN étanchéité Réfection du bassin de 50 mètres avec plancher amovible et pont mobile utilisant la technologie de bassins modulaires à l Université de Sherbrooke
20 VENTILATION DES ENCEINTES DE PISCINES Selon ASHRAE, Application chapitre 4, les critères suivants sont recommandés ASHRAE = American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers Température de l air = Température de l eau + 2 à 4 F (maximum 86 F) Humidité relative HR = 50 % à 60 % Les traitements de l air pour les enceintes de piscines Déshumidification Climatisation / Chauffage ventilation
21 VENTILATION DES ENCEINTES DE PISCINES La capacité des systèmes de déshumidification doit tenir compte de : Température de l eau du ou des bassins Débit de ventilation Apport d air extérieur : 048 pcm / pi 2 du plan d eau et partie de la plage 7,5 pcm par personne et 0,06 pcm / pi 2 de superficie des gradins Taux de recirculation d air recommandé par ASHRAE 4 à 6 ch. / heure pour les aires des bassins et des plages 6 à 8 ch. / heure pour les secteurs gradins Équipements récréatifs ventilation
22 FILTRATION DE L EAU La filtration a pour objectif d enlever les particules solides de l eau On retrouve différents systèmes de filtration : Filtre au sable (les plus répandus) Filtre à terre diatomée Filtre à vortex Filtre à cartouches (pour les petites piscines) filtration
23 FILTRATION DE L EAU filtration Filtre au sable / Complexe aquatique de l Île-Ste-Hélène, Parc Jean-Drapeau
24 FILTRATION DE L EAU Lavage à contre-courant (back wash) Ce processus de nettoyage du filtre requiert l évaluation de la capacité du réseau d égout advenant l augmentation de la capacité de filtration Mise en garde Un réservoir de rétention ou la duplication des filtres pourrait être requis advenant une capacité d évacuation insuffisante du réseau d égout filtration
25 TRAITEMENT DE L EAU La filtration ne suffit pas à garantir les exigences de la qualité de l eau, le traitement chimique est complémentaire Le traitement de l eau a pour objectif : D oxyder De désinfecter D aseptiser De contrôler la température (pas plus de 40 F) traitement
26 TRAITEMENT DE L EAU traitement
27 TRAITEMENT DE L EAU La désinfection de l eau Détruit les germes pathogènes Le produit doit être injecté de façon continue pour maintenir un désinfectant résiduel dans l eau Le dosage se fait après la filtration traitement
28 TRAITEMENT DE L EAU traitement Contrôleurs automatiques / Complexe sportif de Gatineau
29 TRAITEMENT DE L EAU Les systèmes de désinfection de l eau Les produits à base de chlore (incluant les systèmes au sel) Le brome L azote Les systèmes UV (peuvent être complémentaires aux produits désinfectants) traitement
30 TRAITEMENT DE L EAU traitement Sytème UV / Complexe sportif Benny, Ville de Montréal
31 TRAITEMENT DE L EAU Les systèmes de traitement doivent permettre de : Maintenir les concentrations de chlore résiduel libre entre 2,0 et 3,0 mg/l Maintenir le ph entre 7,2 et 7,8 (préférablement entre 7,2 et 7,5) traitement
32 ÉCLAIRAGE Le niveau d éclairage est règlementé En tout point sur la plage et la surface de l eau 300 lux pour une piscine intérieure 100 lux pour une piscine extérieure Exigences FINA 600 lux au-dessus des plots de départ et extrémités de virage Considérations L éblouissement Aucun luminaire au-dessus de la surface de l eau Les luminaires devraient être parallèles au bassin éclairage
33 MERCI DE VOTRE ATTENTION
PISCINES ÉPHÉMERES ET TEMPORAIRES SPAS AMOVIBLES Location, Vente, Gestion et Evénementiel
PISCINES ÉPHÉMERES ET TEMPORAIRES SPAS AMOVIBLES Location, Vente, Gestion et Evénementiel Installation d une piscine temporaire à l I.N.S.E.P. Paris Le 11 novembre 2008, un incendie a totalement détruit
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailNotice d installation et d entretien HOTTE INDULINE
Notice d installation et d entretien HOTTE INDULINE Photo : Induline IDF 13-2000 INSTALLATION Avant d installer et d utiliser la hotte, lire attentivement et intégralement cette notice. Ce matériel est
Plus en détailMANUEL D INSTRUCTIONS K-STAR ÉLECTRIQUE Chauffe-piscine/spa électrique
GARANTIE (Valide uniquement pour le propriétaire initial) Le chauffe-piscine/spa K-Star est garanti à l acheteur original pendant un an à partir de la date d achat contre tout défaut de fabrication. Exception
Plus en détailB Â T I M E N T S D A C I E R
BÂTIMENTS D ACIER EXPERTISE ET SOLUTIONS Chef de file dans la conception, la fabrication et l installation de bâtiments d acier, HONCO possède un savoir-faire qui résulte d une expertise cumulée depuis
Plus en détailLa baignade en piscine est un plaisir
La baignade en piscine est un plaisir et doit le rester. C est également un facteur d attrait touristique dans notre région. Cependant une piscine mal gérée et mal entretenue peut être la source d inconfort
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailGuide d Installation pour Plomberie de Piscine Hors Terre
Guide d Installation pour Plomberie de Piscine Hors Terre Table des Matières Page 1... Pièces et Outils Requissent Page 2... Instruction de Remplissage Page 3... Installation de l Écumoire Page 4... Installation
Plus en détailMESSAGE DU CONSEIL MUNICIPAL AU CONSEIL GÉNÉRAL
MESSAGE DU CONSEIL MUNICIPAL AU CONSEIL GÉNÉRAL concernant l octroi d un crédit d engagement pour la participation de la Ville de Sion, en qualité de ville site, à la construction de six salles de gym
Plus en détailClassement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailSitué au cœur de Montréal dans l arrondissement Rosemont-La Petite Patrie, Le MASSON est un projet de condominiums, développé en collaboration avec
Situé au cœur de Montréal dans l arrondissement Rosemont-La Petite Patrie, Le MASSON est un projet de condominiums, développé en collaboration avec Ouellette Habitations Inc. Promoteur immobilier, présent
Plus en détailLOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailPOOL CONTROL. VERSION : ph +/- MANUEL D UTILISATION
POOL CONTROL VERSION : ph +/- MANUEL D UTILISATION Copyright 2009 WELTICO. Tous droits réservés. Aucun extrait de ce manuel, incluant les produits et logiciels qui y sont décrits, ne peut être reproduit,
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailL accessibilité des équipements sportifs et de loisirs
FORMATION DRJSCS BASSE-NORMANDIE 26 OCTOBRE 2012 L accessibilité des équipements sportifs et de loisirs Objectif: acquérir des connaissances sur l accessibilité des équipements sportifs. Programme Eléments
Plus en détailQU EST-CE QUE LA CHLORATION?
QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent
Plus en détailBeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m
BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.
Plus en détailVers un monde accessible GAMME PARTICULIERS PROFESSIONNELS DE SANTÉ
Vers un monde accessible GAMME PARTICULIERS PROFESSIONNELS DE SANTÉ AXSOL importe et distribue des solutions alternatives d accessibilité et de sécurité et intervient auprès des commerces, collectivités,
Plus en détailCONSULTANT EXTÉRIEUR POUR LES ÉTUDES DE GÉNIE CIVIL HORS LHC. M. Poehler. Abstract
CONSULTANT EXTÉRIEUR POUR LES ÉTUDES DE GÉNIE CIVIL HORS LHC M. Poehler Abstract Un des mandats de la division ST est la réalisation de travaux de génie civil pour la construction, la rénovation et l adaptation
Plus en détailSolution rapide d'habitation. habitaflex.com
Solution rapide d'habitation habitaflex.com DÉPLIABLEHabitaflex Habitaflex, une filiale Laprise, chef de file et fabricant-phare de la maison en panneaux pré-usinés haute performance au Québec depuis 1989,
Plus en détailÉtape 1 : Balancer la chimie de l'eau
Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent
Plus en détailBacs de lavage et équipements de buanderie
Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détailPREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES CHIRURGICALES A SUTURE UNIMED
U N I M E D S.A. CM/07.12.04 NETSTERIL.SPN Approuvé par/le: Claude Borgeaud / 08.10.13 PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détail&AITES Guide d'entretien
Guide d'entretien Tous les éléments pour une baignade en toute quiétude - simplement, efficacement et en toute sécurité. Rien de plus satisfaisant qu une eau claire et cristalline où l on peut se baigner
Plus en détailDESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS
DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique
Plus en détailCe catalogue marque le 25 e anniversaire de DOM COMPOSIT.
2014 c a t a l o g u e Ce catalogue marque le 25 e anniversaire de DOM COMPOSIT. Vingt-cinq années au cours desquelles, notre seule ligne directrice fut l innovation. Ce dynamisme et l écoute permanente
Plus en détailCOMMISSION SCOLAIRE DE PORTNEUF SERVICE DES RESSOURCES MATÉRIELLES ET FINANCIÈRES PLAN TRIENNAL DES INVESTISSEMENTS 2004-2005 2005-2006 2006-2007
COMMISSION SCOLAIRE DE PORTNEUF SERVICE DES RESSOURCES MATÉRIELLES ET FINANCIÈRES PLAN TRIENNAL DES INVESTISSEMENTS 2004-2005 2005-2006 2006-2007 PLAN TRIENNAL DES INVESTISSEMENTS ADOPTÉ AU CONSEIL DES
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailPOUR PRENDRE SOIN DE VOTRE NOUVELLE UNITÉ BAIN MAGIQUE MD
POUR PRENDRE SOIN DE VOTRE NOUVELLE UNITÉ BAIN MAGIQUE MD Merci d avoir choisi BAIN MAGIQUE MD. Comme pour toute autre acquisition de cette nature, nous comprenons l importance d un tel investissement
Plus en détail2011-2012 Visite d une Maison visant la certification LEED Platine et événements de sensibilisation au développement durable et à l environnement
2011-2012 Visite d une Maison visant la certification LEED Platine et événements de sensibilisation au développement durable et à l environnement FICHE TECHNIQUE DE LA MAISON PROJET JASMINE MAISON ÉCOLOGIQUE
Plus en détailSAUTER novapro Open : B-AWS. BACnet Advanced Workstation
SAUTER novapro Open : B-AWS BACnet Advanced Workstation SAUTER novapro Open : un système SCADA répondant à tous les besoins pour tout type de bâtiments. Ouvert pour les bâtiments publics Sûr pour FDA et
Plus en détailFrançois Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010
Repentigny, le 31 août 2010 Monsieur François Dussault, propriétaire 76 rue Vinet Repentigny, Qc. J6A 1K9 Objet : Infiltration dans la salle de bains au 76 Vinet Monsieur Dussault, C est avec plaisir que
Plus en détailDatacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité
Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité La climatisation des salles informatiques: compréhension et état des lieux Charles Vion, Responsable Service Projet Sylvain Ferrier,
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailÉVALUATION DE L EXPOSITION DU CONSOMMATEUR AU PLOMB DANS L EAU DU ROBINET ET IDENTIFICATION DE MESURES CORRECTIVES
ÉVALUATION DE L EXPOSITION DU CONSOMMATEUR AU PLOMB DANS L EAU DU ROBINET ET IDENTIFICATION DE MESURES CORRECTIVES MICHÈLE PRÉVOST, ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE MONTRÉAL Publié avril 2015 POURQUOI AVONS-NOUS
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailLe 30 novembre 2011. Mémoire sur l avenir du Parc olympique Toit ouvrant autoportant N/Réf. : P035487. Madame,
Le 30 novembre 2011 Madame Lise Bissonnette Présidente Comité-conseil sur l avenir du Parc olympique 4141, avenue Pierre-De Coubertin Montréal (Québec) H1V 3N7 Objet : Mémoire sur l avenir du Parc olympique
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailCatalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010)
Département des finances, des institutions et de la sécurité Service cantonal des contributions Section des personnes physiques Departement für Finanzen, Institutionen und Sicherheit Kantonale Steuerverwaltung
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailProcès-verbal de. formant quorum, sous la présidence de son honneur le maire, monsieur Pierre Mireault
7169 Procès-verbal de la session extraordinaire du Conseil de la Municipalité de Sainte-Julienne, tenue le 17 décembre 2007 à 20h30 à la salle municipale, 1380, Route 125 à Sainte-Julienne, lieu ordinaire
Plus en détailParadise Exists. Mirador San Jose. Un développement écologique Résidentiels et commerciales Sur la cote Pacifique de l Équateur
Paradise Exists Mirador San Jose Un développement écologique Résidentiels et commerciales Sur la cote Pacifique de l Équateur Brought to you by holaecuador.ca Bienvenue au Mirador San Jose Bienvenue au
Plus en détailLes points de vigilance au moment de la réception des travaux
Les points de vigilance au moment de la réception des travaux Pendant le chantier Expliquer l objectif de performance visé et investir l entreprise dans ce défi Rester vigilant concernant l isolation Pendant
Plus en détailpôle position Le 7250 Mile-End allie emplacement pratique et choix stratégique.
pôle position Le 7250 Mile-End allie emplacement pratique et choix stratégique. Avec une superficie totale de plus de 300 000 pi ca répartie sur 8 étages, cet immeuble de bureaux propose de vastes espaces
Plus en détailAPS 2. Système de poudrage Automatique
F Notice de functionnement et Liste de piéces de rechange Système de poudrage Automatique 17 16 Sommaire Système de poudrage Automatique 1. Domaine d'application.........................................
Plus en détailLa modularité des espaces de bureaux
La modularité des espaces de bureau Marie Laure COCOUAL ALHYANGE ACOUSTIQUE - 6, Cité de l ameublement 75011 PARIS mcocoual@alhyange.com A partir d'un bref état des lieu des normes et certifications (mise
Plus en détailMANUEL DE POSE PANNEAU ACIER. Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50)
MANUEL DE POSE PANNEAU ACIER Une structure de hauteur 1m10/1m50 DES PRINCIPES BASIQUES (UN COTE PROFOND 1M50) 2 EXCAVATION Avant le travail d excavation, il est nécessaire de préparer la plate forme du
Plus en détailInstallations de plomberie
Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant
Plus en détailFaites de votre piscine un plaisir simple
Guide du traitement Faites de votre piscine un plaisir simple Sommaire Page Pourquoi traiter l'eau d'une piscine? 3 Fonctionnement d'une piscine privée 4 Comment calculer le volume de votre bassin? 5 Le
Plus en détailRéforme des autorisations d Urbanisme
Réforme des autorisations d Urbanisme Entrée en vigueur le 1er octobre 2007 L essentiel de la réforme réside dans : - le regroupement des procédures fusionnées en 3 permis et une déclaration préalable
Plus en détailRÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA
RÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA LA METHODE DITE PAR CAPITALISATION DU LOYER BASÉE SUR LA SURFACE CORRIGÉE C.R.C.A. : Commission
Plus en détailAvant propos. Nicole KLEIN Directrice Générale Agence Régionale de Santé d Aquitaine. ARS Aquitaine - mai 2010 3
Avant propos Exploiter une piscine pour offrir aux usagers les meilleures conditions d'hygiène et de confort, tel doit être le souci de chaque responsable. En application du code de la santé publique,
Plus en détailRapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation
CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours
Plus en détailVers un monde accessible GAMME PARTICULIERS PROFESSIONNELS DE SANTÉ
Vers un monde accessible GAMME PARTICULIERS PROFESSIONNELS DE SANTÉ 2015-2016 AXSOL importe et distribue des solutions alternatives d accessibilité et de sécurité et intervient auprès des commerces, collectivités,
Plus en détailUne formation obligatoire pour les frigoristes et les mécaniciens en protection-incendie qui travaillent avec les halocarbures.
Une formation obligatoire pour les frigoristes et les mécaniciens en protection-incendie qui travaillent avec les halocarbures. À compter du 1 er juin 2007, les frigoristes* et les mécaniciens en protection-
Plus en détailMoisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014
Moisissures: un problème de qualité de l air intérieur (QAI) Laurent Groux, Ph.D. Chimiste Beaupré, le 9 mai 2014 Laurent Groux, Ph.D. Doctorat en Chimie (2003) de L université de Montréal Consultant en
Plus en détailarium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust
arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Eau de type 2 de qualité constamment élevée grâce à la technologie EDI moderne Consommation d eau optimisée auto matique ment
Plus en détailChapitre 2. Le contrat et les concepts de base de en assurance
Chapitre 2 Le contrat et les concepts de base de en assurance 2.1 Les aspects économiques et social de l assurance L assurance est une sécurité pour la société parce qu elle permet au gens de protéger
Plus en détailLe professionnel du café pour votre entreprise
Le professionnel du café pour votre entreprise Siège social Fountain Filiales Fountain Indépendants Fountain Avec la qualité et la disponibilité de tous les produits Selon les produits référencés, nous
Plus en détailProduire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?
Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailFiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²
Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailCHARLES-ETIENNE CYR Ingénieur en structure
CHARLES-ETIENNE CYR Ingénieur en structure Membre de l Ordre des Ingénieurs du Québec (#5002395) Co-fondateur de la firme, Charles-Etienne Cyr a gradué de l École Polytechnique de Montréal en 2008. Il
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A. De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel).
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel). Le réservoir galvanisé augmente l espérance de vie du chauffe-eau.
Plus en détailAvec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre
Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailQuestionnaire. Date d effet souhaitée : Nom de l entreprise à assurer : Nom et prénom du gérant : Adresse de l entreprise : Tél.
Questionnaire Questionnaire RC & DECENNALE Merci de bien vouloir nous retourner le questionnaire dûment complété et signé par: mail : contact@assurei.fr fax : 05.35.54.12.03 ou par courrier. Date d effet
Plus en détailLes gestionnaires d actifs Actions
Les gestionnaires d actifs Actions La réussite d Investissements Standard Life inc. repose sur une recherche méticuleuse et une approche rigoureuse axée sur le travail d équipe. Dans le cas des fonds à
Plus en détailEstimation & amélioration du DCiE d un datacenter
Estimation & amélioration du DCiE d un datacenter Ing. G. BAUDOIN PIERRARD Virton Dans un premier temps, le but de ce travail réalisé dans les domaines de l HVAC et de l électricité est d estimer théoriquement
Plus en détailFiabilité. Qualité. Modernité. Solidité. Design. Service. Projet ST-GEORGES. Un chez-vous sur mesure
Fiabilité Qualité Modernité Solidité Service Design Projet ST-GEORGES Un chez-vous sur mesure Quelques mots sur qui nous sommes. «Les Habitations Excellence» est une entreprise dynamique œuvrant dans le
Plus en détailMODÈLE C Électronique
MODÈLE C Électronique MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.880.5012 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER
Plus en détailDocument de présentation du projet Centre culture et environnement Frédéric Back
Document de présentation du projet Centre culture et environnement Frédéric Back Mars 2006 Le plus important regroupement d organismes environnementaux au Québec Des entreprises d économie sociale dynamiques,
Plus en détailMUNICIPALITE DE GLAND
MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,
Plus en détailPLAN DE TRAVAIL - EXPLICATIF pour le retrait de plaques en amiante-ciment à l air libre au bâtiment non-occupés par du public lors des travaux
GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG ITM-SST 1916.1. PLAN DE TRAVAIL - EXPLICATIF pour le retrait de plaques en amiante-ciment à l air libre au bâtiment non-occupés par du public lors des travaux VISA DE L ITM NON-REQUIS
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détail1. Administration du Salon
Manuel de l exposant Pour toute information : Donald Cantin Coordonnées avant le montage (jusqu au 16 octobre 2015) : Tél. : 514-286-1522 Coordonnées pendant le montage (à partir du 19 octobre 2015) :
Plus en détailPoolcontrol LOGO VISUAL à partir de 03.2008 - avec moteur pas à pas TOP
Tout simplement le plaisir de la meilleure des eaux! à partir de 03.2008 - avec moteur pas à pas TOP Instructions de montage et de service Französisch Sous réserve de modifications techniques 2010-029-62
Plus en détailPoseuse de systèmes intérieurs
Poseuse de systèmes intérieurs Le plan de formation des apprentissages (poseuse de systèmes intérieurs) Les tâches du métier de poseuse de systèmes intérieurs Tâche 1 : Tâche 2 : Tâche 3 : Tâche 4 :
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailDénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :
1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement
Plus en détailDictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013
Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013 Normes et soumission de données Notre vision De meilleures données
Plus en détailAsssurance du bâtiment en vertu de l assurance Trois-en-un MC
Proposition Asssurance du bâtiment en vertu de l assurance Trois-en-un MC Si vous avez besoin d aide pour remplir la présente, appelez le : CDSPI Services consultatifs Inc. 1 877 293-9455 (sans frais)
Plus en détailà la fonction remplie par la pièce. AMP 1200 est un système de ventilation décentralisée d'applications. AMP 1200 est une centrale
68 NOMBREUSES POSSIBILITÉS OFFERTES PAR AMP 1 69 INFORMATION PRODUIT AMP 1 Avec un Airmaster vous ne choisissez pas seulement une solution d'avenir durable - mais PLEINS FEUX SUR LA FONCTIONNALITÉ ET LE
Plus en détailQuestionnaire auto-entrepreneur Assuré
1. Nom de à assurer : Questionnaire auto-entrepreneur Assuré Nom, prénom du gérant : 2. Adresse de : Voie : Code Postal : Commune : Tél. : Fax : E-mail : 3. Date de création : 4. Numéro de SIREN : ou création
Plus en détailImbattable sur la maintenance! Des constructeurs renommés de matériels de chantier font confiance aux produits de qualité MANN+HUMMEL.
MANN-FILTER Imbattable sur la maintenance! Technologie de pointe made in Germany >> Qualité première monte Les moteurs à combustion interne modernes destinés à une utilisation intensive requièrent une
Plus en détailmurs de soutènement et dalles patio
murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détail