Cent cinquante et unième session

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Cent cinquante et unième session"

Transcription

1 ex Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture Conseil exécutif Cent cinquante et unième session 151 EX/20 PARIS, le 1er avril 1997 Original français Point 6.1 de l'ordre du jour provisoire ETUDE SUR LES MOYENS POSSIBLES DE LIMITER LE NOMBRE DE PROJETS DE RESOLUTION ET D AMENDEMENTS POUVANT ETRE PRESENTES PAR UN SEUL ETAT MEMBRE RESUME Cette étude a été préparée à l intention du Conseil exécutif en application de la résolution 28 C/37.1 et en consultation avec le groupe de travail sur la structure et la fonction de la Conférence générale. Le Conseil exécutif souhaitera peut-être la prendre en considération en vue des observations qu il formulera sur le rapport de ce groupe de travail (doc. 151 EX/21). Les principales questions soulevées sont reflétées dans les conclusions du document (par. 23 et 24). 1. Par la résolution 28 C/37.1, le Directeur général a été invité à présenter au Conseil exécutif "une étude sur les moyens possibles de limiter le nombre de projets de résolution et d'amendements pouvant être présentés par un seul Etat membre". Dans leur très grande majorité, les projets de résolution visent à apporter des amendements au Projet de programme et de budget : ce sont ceux-ci qui font l objet des propositions contenues dans le présent document. 2. Après consultation du Président de la Conférence générale et du Président du Conseil exécutif, le Directeur général a soumis le projet de cette étude au groupe de travail ad hoc sur la structure et la fonction de la Conférence générale (rés. 28 C/37.2), qui l a examiné à sa deuxième session, en novembre 1996 : les recommandations du groupe de travail sont reproduites dans la partie V du présent document. Les quatre premières parties du présent document représentent une version résumée et légèrement révisée du projet.

2 150 EX/20 - page 2 I. FAITS ET CHIFFRES 3. A sa vingt-huitième session, la Conférence générale a été saisie de 545 projets de résolution au total, soit 28% de plus qu à la session précédente (425). Soixante-trois Etats membres n ont déposé aucun projet, tandis qu un Etat a présenté, seul ou conjointement, plus de 60 projets, que 3 Etats en ont présenté plus de 30, 10 Etats plus de 20 et 17 plus de Ces écarts s accompagnent logiquement par des différences sensibles dans la répartition des crédits alloués à certains projets de résolution au titre de la réserve prévue pour leur financement dans le Projet de programme et de budget (1,5 million de dollars dans le 28 C/5). L analyse des montants accordés par la vingt-huitième session de la Conférence générale au titre de cette réserve montre une corrélation entre le nombre de projets présentés par un Etat membre et le total des sommes allouées à tout ou partie des projets dont cet Etat était l auteur. 5. Le nombre des projets de résolution comportant "la prise en charge de nouvelles activités ou un accroissement sensible des dépenses budgétaires" 1 a connu une croissance considérable au cours des dernières sessions, de même que le volume global des dépenses budgétaires d un montant "sensible" liées à ces projets : Session Nombre d Etats membres Nombre de projets de résolution à incidences budgétaires sensibles Montant global des incidences budgétaires de ces projets 25 C $ 26 C $ 27 C $ 28 C $ 6. Au cours des années, des critiques ont été émises sur le nombre des projets de résolution déposés à chaque session. En effet, le soin que la Conférence générale doit accorder aux projets de résolution la conduit à consacrer une part importante de son temps à de nombreuses questions de portée limitée ou d intérêt local, plutôt qu aux orientations générales dont la définition constitue pourtant sa mission constitutionnelle fondamentale. Un autre effet de cette situation est que la réserve pour le financement des projets de résolution tend à revêtir un intérêt des plus importants aux yeux des délégués. Or elle ne représentait guère, à la vingthuitième session par exemple, que 0,29 % du budget proposé, et la Conférence générale doit bien sûr se prononcer sur l ensemble de ce budget. 7. Le traitement des projets de résolution, du fait de leur nombre comme des procédures utilisées, est coûteux. A la vingt-huitième session, 334 projets, sur les 545 présentés au total, comportaient des implications budgétaires (i.e. d un montant au moins égal à dollars : voir ci-dessous), pour un total supérieur à 26 millions de dollars, dont 7,3 millions étaient susceptibles d être financés au titre de la réserve. Or le montant de celle-ci était seulement de 1 Article 78A du Règlement intérieur de la Conférence générale (avant les amendements introduits par la vingt-huitième session de la Conférence générale).

3 151 EX/20 - page 3 1,5 million de dollars, tandis que le coût du traitement des projets a été évalué à environ dollars 2, soit plus que la réserve elle-même. II. EVOLUTION DE PROCEDURES 8. Au fil des ans, les procédures applicables aux projets de résolution (à l heure actuelle articles 78 et 78A du Règlement intérieur) se sont peu à peu diversifiées au point de devenir assez complexes, en particulier par le nombre élevé des catégories distinguées dans les projets comportant des amendements au Projet de programme et de budget. Par sa résolution 37.1, la Conférence générale, à sa vingt-huitième session, a toutefois apporté des simplifications considérables à cette situation, en réduisant à deux les catégories. 9. Un principe constant paraît avoir présidé à l évolution des procédures, sous des formes variables, à savoir que les projets dont le contenu était important devaient être reçus plus tôt par le Secrétariat, de manière à être communiqués aux Etats membres assez longtemps avant la Conférence générale pour qu ils aient le temps de les étudier en détail. C est traditionnellement l ampleur de leurs éventuelles implications budgétaires (renforcement des crédits prévus dans le C/5 pour certaines activités, ou proposition d activités non prévues) qui a servi de critère d importance et ce critère demeure après les simplifications susmentionnées apportées par la Conférence générale : aux termes du Règlement intérieur de la Conférence générale tel qu amendé à la vingt-huitième session (article 78A), les projets comportant "des modifications importantes du programme ou du budget" doivent parvenir au Directeur général 11 semaines au moins avant l ouverture de la Conférence générale, de manière à être communiqués aux Etats membres sept semaines au moins avant cette date. 10. A partir de la quatorzième session de la Conférence générale (1966), il a été décidé, sur recommandation du Conseil exécutif, de fixer à dollars le seuil à partir duquel les modifications proposées étaient "importantes" (ou plutôt comportaient "un accroissement sensible" des dépenses proposées, selon la rédaction utilisée à l époque dans le Règlement intérieur). Ce seuil a été confirmé jusqu'à la vingtième session, puis a été porté à dollars à partir de la vingt et unième session (1980), chiffre toujours en vigueur à la vingt-huitième session bien que fort peu élevé. 11. A partir de la quatorzième session (1966), sur recommandation du Conseil exécutif, la Conférence générale a considéré comme irrecevables les projets relatifs au plan de travail du C/5 ou à des activités relevant du Programme de participation, dispositions qui ont été incorporées dans le Règlement intérieur après la vingt-sixième session. Dans la décision 72 EX/ adoptée à cet effet en 1966, le Conseil exécutif jugeait déjà "souhaitable de réduire le nombre des projets de résolution présentés à la Conférence générale". 12. Jusqu'à présent, les tentatives faites pour endiguer les projets de résolution se sont traduites par des conditions plus restrictives apportées à leur recevabilité. Mais la Conférence générale n a jamais mis en place un mécanisme de contrôle strict de la recevabilité des projets, dont le résultat serait notamment que seuls les projets recevables seraient traduits, reproduits et distribués 3. Le Directeur général, ne pouvant se substituer à la Conférence générale dans la 2 3 Chiffre comprenant coûts directs et coûts indirects (notamment temps de travail estimé des fonctionnaires concernés) relatifs à la préparation des notes du Directeur général, à la traduction, à la reproduction et à la diffusion des projets. Le «Comité des résolutions» créé pendant la dix-septième session, et non renouvelé par la suite, avait un mandat différent.

4 150 EX/20 - page 4 responsabilité qui est la sienne en matière de recevabilité, a été constamment amené à diffuser et à commenter sur le fond aussi bien les projets irrecevables que les projets recevables, si bien que les uns comme les autres sont soumis dans les mêmes conditions à la Conférence générale et se voient parfois conférer un statut assez proche. 13. A sa vingt-huitième session, la Conférence générale a introduit une innovation importante dans l article 78A : "Pour être considérés comme recevables, les projets de résolution tendant à l adoption, par la Conférence générale, d amendements au Projet de programme doivent porter sur l orientation et la ligne de conduite générale de l Organisation, notamment par des modifications apportées aux résolutions proposées dans le Projet de programme" (1re phrase du nouveau par. 3). Il en résulte que seuls, désormais, les projets touchant aux orientations générales du programme pourraient en principe être examinés et faire éventuellement l objet d une décision, et que les projets de portée purement nationale ou locale, ou portant sur des points de détail, n auraient plus à faire l objet d une quelconque décision de l ensemble des Etats membres réunis en Conférence générale. III. MOYENS DE LIMITER LE NOMBRE DE PROJETS DE RESOLUTION POUVANT ETRE PRESENTES PAR UN SEUL ETAT MEMBRE Une consultation des Etats membres a été entreprise en 1994 par le Conseil exécutif, à la demande de la Conférence générale 5, sur les méthodes de travail de la Conférence générale. Les résultats de cette consultation ont été présentés à la 145e session du Conseil dans le document 145 EX/4, préparé par le Président de la Conférence générale. Plusieurs réponses recommandaient d introduire "des restrictions par rapport à la pratique actuelle, soit en stipulant que les projets de résolution, pour être recevables, doivent être présentés par plusieurs pays conjointement (4 ou 5 sont les chiffres généralement mis en avant), soit en limitant le nombre de projets de résolution par Etat, soit encore en imposant des délais de présentation plus courts" (145 EX/4, par. 52). En adoptant la résolution 28 C/37.1, la Conférence générale paraît s être prononcée en faveur de la deuxième option ci-dessus. 15. A la vingt-huitième session, 341 projets ont été présentés avec la signature d un seul Etat, par un total de 65 Etats. 60 projets : 1 Etat 5 à 30 : 3 Etats 4 à 14 : 20 Etats 1 à 3 : 41 Etats (dont 26 ont déposé un seul projet) Selon ces données, si le nombre de projets pouvant être présentés par un seul Etat membre avait été limité par exemple à 3, 24 Etats auraient dû présenter moins de projets. En supposant que chacun de ces derniers en ait soumis 3, on aurait obtenu en principe, au lieu de 341 projets, environ 130 projets seulement, c est-à dire, avec les projets conjoints (204 à la vingt-huitième session), un total d environ 330 projets pour la session au lieu de 545. Mais si tous les Etats membres avaient décidé d utiliser pleinement leur quota, on aurait obtenu quelque 550 projets présentés par un seul Etat, soit, en ajoutant les projets conjoints, un total de l ordre de 750. En résumé, toujours selon les données de la vingt-huitième session, limiter à 3 le nombre de 4 5 Il est rappelé que seuls sont envisagés ici les projets de résolution proposant des amendements au Projet de programme et de budget. Résolution 26 C/19.3.

5 151 EX/20 - page 5 projets pouvant être présentés par un seul Etat membre aurait situé le nombre total de projets entre 330 et 750. Certes, ce plancher et ce plafond sont théoriques, mais la conclusion importante tient à la considérable marge d indétermination des effets de la mesure envisagée. 16. On est ainsi amené à penser ou bien qu il faudrait limiter à 2, voire à 1, le chiffre ci-dessus, ou bien qu il ne faudrait pas agir sur les projets individuels sans agir également sur les projets conjoints. On aboutit ainsi à plusieurs options possibles : (a) limitation à 2 par Etat le nombre de projets individuels : le plancher et le plafond ci-dessus seraient réduits respectivement à environ 290 et 570 ; (b) limitation à 1 : le plancher et le plafond deviendraient 260 et 390 ; (c) (d) limitation du nombre total (individuels et conjoints) de projets par Etat : si cette limite était fixée par exemple à 3, le plafond se situerait à 550 ; le plancher est plus aléatoire à estimer mais, au cas où seuls des projets conjoints seraient présentés, pourrait être d environ 200 à 270 ; en d autres termes, les effets numériques de cette option devraient être assez proches de ceux de l option (a) ; obligation, pour tous les projets, de comporter plusieurs signatures, par exemple cinq ; cette option, si elle était retenue, créerait une situation neuve, probablement restrictive quant au nombre global de projets mais aux conséquences difficiles à chiffrer ; à titre indicatif, on peut noter que 136 projets étaient signés par cinq Etats membres ou plus lors de la vingt-huitième session. IV. AUTRES MESURES ENVISAGEABLES 17. D autres mesures pourraient être envisagées en vue de réduire le nombre des projets de résolution ainsi que pour faire évoluer leur contenu et pour introduire plus de rigueur dans les procédures qui leur sont applicables. 18. En premier lieu, les délais de présentation pourraient être réexaminés. A l heure actuelle, seuls les projets comportant des incidences budgétaires importantes, négatives ou positives, sont soumis à un délai de présentation (11 semaines au moins avant la session selon l article 78A.1 du Règlement intérieur). Les autres doivent seulement être présentés au plus tard cinq jours ouvrables avant le débat concerné (article 78A.2), ce qui est très tardif si l on considère que, à la vingt-huitième session, une centaine de projets ont été déposés après l ouverture, d où une charge de travail supplémentaire considérable pour les délégués, qui doivent en prendre connaissance, comme pour le Secrétariat, qui doit assurer leur traitement. En fait, il pourrait être envisagé de soumettre un délai plus important, par exemple trois semaines avant l ouverture de la session, la soumission de projets ne comportant pas des incidences budgétaires importantes. 19. A la vingt-huitième session, 174 projets de résolution, soit 32 % du total, étaient irrecevables en application de l article 78A, soit parce qu ils avaient été présentés au-delà du délai ci-dessus lorsqu ils comportaient des incidences budgétaires importantes, soit parce qu ils visaient exclusivement le plan de travail, soit enfin parce qu ils proposaient des activités susceptibles d être financées au titre du Programme de participation. Pourtant ces projets, de même que les commentaires rédigés par le Secrétariat pour chacun d entre eux, ont été diffusés

6 150 EX/20 - page 6 comme les autres, dans les six langues de travail de la Conférence générale. On peut ainsi estimer à dollars le coût du traitement de ces projets. A l issue de la consultation menée en 1994 auprès des Etats membres, 26 réponses, parmi 32 se prononçant sur cette question, estimaient "que seuls les projets de résolution recevables devraient être traduits et diffusés dans toutes les langues de travail, et par conséquent qu un contrôle préalable de leur recevabilité devrait être opéré avant l ouverture d une session" (doc. 145 EX/4, par. 57). 20. La Conférence générale pourrait autoriser le Directeur général à ne plus diffuser les projets qu il considère irrecevables en application du Règlement intérieur, tout en conservant pour elle-même la décision finale en cas de désaccord de la part des auteurs. Dans ce cas, les phases ci-après pourraient être envisagées : (a) (b) (c) (d) si un projet parvenu au Secrétariat est estimé irrecevable, aucune mesure n est prise en vue de sa diffusion ; l Etat ou les Etats concernés en sont informés par écrit dans un délai de 10 jours ouvrables après la réception ; si le ou les auteurs du projet maintienne(nt) leur intention de présenter le projet à la Conférence générale, il ou ils informe(nt) le Directeur général qu il(s) ne partage(nt) pas son interprétation, par une lettre qui devrait parvenir au Secrétariat trois semaines au moins avant l ouverture de la session, afin que soient préparées en temps voulu les phases suivantes ; au début de la session, le Bureau de la Conférence générale, dès qu il est constitué, crée en son sein un groupe d examen des projets dont la recevabilité est litigieuse ; ce groupe fait rapport au Bureau dans les tout premiers jours de la session, et le Bureau se prononce définitivement. Une autre possibilité pourrait être de confier cette tâche au Conseil exécutif, ou encore au Comité juridique ou à un organe ad hoc de la Conférence générale qui serait constitué, comme le Comité juridique, lors de la session précédente, afin de pouvoir siéger immédiatement après l ouverture de la session, voire quelques jours auparavant ; les projets finalement déclarés recevables par le Bureau sont alors reproduits et diffusés dans les plus brefs délais. 21. Des enjeux plus importants qu à l heure actuelle pourraient être exigés des projets de résolution, à la fois en augmentant substantiellement le montant de la réserve que comporte le Projet de programme et de budget pour leur financement et en privilégiant les projets "lourds". La réserve pourrait être portée par exemple à cinq millions de dollars. De même, il pourrait être décidé que, parmi les projets comportant des incidences budgétaires, chaque projet, pour être recevable, devrait représenter un montant d au moins dollars. En ce qui concerne les conditions de recevabilité des projets à incidences budgétaires, il s agirait d un changement radical, puisque, au lieu d un plafond au-delà duquel les projets sont soumis à des procédures un peu plus formelles, on passerait à un plancher en deçà duquel les projets ne pourraient être pris en considération par la Conférence générale.

7 151 EX/20 - page 7 V. COMMENTAIRES ET RECOMMANDATIONS DU GROUPE DE TRAVAIL AD HOC SUR LA STRUCTURE ET LA FONCTION DE LA CONFERENCE GENERALE 22. Les commentaires formulés à ce propos par le groupe de travail ad hoc sur la structure et la fonction de la Conférence générale figurent aux paragraphes 44 à 53 de son rapport (doc. 151 EX/21). Le groupe adresse à la Conférence générale les six recommandations ci-après : 1. étant donné la portée du nouveau paragraphe 3 que comporte l article 78A du Règlement intérieur de la Conférence générale à la suite de sa résolution 28 C/37.1 (par. 1), le groupe invite le Directeur général à prendre les mesures nécessaires pour sensibiliser les Etats membres sur les conséquences qui vont en résulter, dès la vingt-neuvième session, en ce qui concerne la recevabilité des projets de résolution visant le Projet de programme et de budget ; 2. plutôt que d adopter des mesures réglementaires restreignant la possibilité pour les Etats membres de présenter des projets de résolution, le groupe recommande que, en complément des effets positifs attendus d un Programme et budget de conception rénovée, il soit fait appel à l autodiscipline et à l esprit de responsabilité des délégations pour limiter le nombre de ces projets, et de rendre public, au cours de chaque session de la Conférence générale, le nombre de projets présentés par chaque pays ; 3. le groupe recommande que parmi les projets de résolution comportant des incidences budgétaires, seuls doivent être considérés comme recevables ceux dont les incidences sont d un montant égal ou supérieur à dollars ; 4. le groupe recommande que le contrôle de la recevabilité des projets de résolution soit effectué préalablement à la Conférence générale. Le Directeur général serait habilité à effectuer ce contrôle préalable, et les projets jugés par lui irrecevables ne seraient ni traduits ni diffusés ; toutefois, les auteurs de ces projets pourraient faire appel devant le Comité juridique ; 5. compte tenu des nouvelles dispositions réglementaires qui s appliquent à la recevabilité, le groupe recommande que soient revus les délais de présentation des projets de résolution et de fixer avec précision le calendrier de la procédure de contrôle de leur recevabilité ; 6. afin de simplifier la forme des projets de résolution et d aider les Etats membres à les présenter de façon homogène, le groupe recommande que le Secrétariat mette un formulaire approprié à la disposition des Etats membres. VI. CONCLUSIONS 23. La première question qui se pose au Conseil exécutif est de savoir s il convient ou non de limiter par voie réglementaire le nombre de projets de résolution présentés par un même Etat membre. Le groupe de travail s est prononcé par la négative sur ce point, estimant qu il fallait privilégier plutôt des moyens de persuasion. 24. Le Conseil exécutif souhaitera peut-être par ailleurs indiquer, à la lumière des recommandations du groupe de travail, s il estime souhaitable de modifier les délais de

8 150 EX/20 - page 8 présentation des projets de résolution (par. 18), d instituer un nouveau mécanisme de contrôle de la recevabilité des projets de résolution (par. 19 et 20), de maintenir et le cas échéant d augmenter la réserve pour le financement des projets de résolution (par. 21), et enfin de prévoir que, pour être recevable, les projets à incidences budgétaires devraient représenter un montant minimal, dollars par exemple (par. 21), ou dollars selon la recommandation du groupe de travail.

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

Règlement intérieur du Conseil d administration

Règlement intérieur du Conseil d administration Règlement intérieur du Conseil d administration Le présent règlement intérieur a été adopté par le Conseil d administration à sa première session, le 14 décembre 1977. À sa cinquante-quatrième session,

Plus en détail

RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE

RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE L 82/56 2.6.204 RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE LE CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE

Plus en détail

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES»

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES» RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE UNITÉ «FONCTIONNAIRES» Adoptées par le Conseil syndical du 14 juin 2013 25-CS-02 Amendées par le Conseil syndical des 15 et

Plus en détail

Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations

Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège Article 1 er Chapitre 1 er Composition des formations Les membres composant le Collège restreint, les sous-collèges

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * * CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le

Plus en détail

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR 20 mai 2015 Ce règlement intérieur complète et précise certains articles des statuts de l association modifiés et approuvés le

Plus en détail

Projet de loi n o 58. Loi regroupant la Commission administrative des régimes de retraite et d assurances et la Régie des rentes du Québec

Projet de loi n o 58. Loi regroupant la Commission administrative des régimes de retraite et d assurances et la Régie des rentes du Québec PREMIÈrE SESSION QUARANTE ET UNièmE LéGISLATURE Projet de loi n o 58 Loi regroupant la Commission administrative des régimes de retraite et d assurances et la Régie des rentes du Québec Présentation Présenté

Plus en détail

UNEP/OzL.Conv.10/4. Programme des Nations Unies pour l environnement

UNEP/OzL.Conv.10/4. Programme des Nations Unies pour l environnement NATIONS UNIES EP UNEP/OzL.Conv.10/4 Distr. : générale 5 août Français Original : anglais Programme des Nations Unies l environnement Conférence des Parties à la Convention de Vienne la protection de la

Plus en détail

RESTRUCTURATION DU SERVICE DE RESTAURATION

RESTRUCTURATION DU SERVICE DE RESTAURATION CP 12-742 Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2012 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france LYCEE COLBERT A LA CELLE

Plus en détail

- 29 - TABLEAU COMPARATIF

- 29 - TABLEAU COMPARATIF - 29 - TABLEAU COMPARATIF Projet de loi portant modernisation du marché du travail Article 1 er I. - L article L. 1221-2 du code du travail est ainsi modifié : 1 Le premier alinéa est ainsi rédigé : «Le

Plus en détail

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010

Plus en détail

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION - AGENCE DU REVENU

RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION - AGENCE DU REVENU RÈGLES DE FONCTIONNEMENT RELATIVES À LA NÉGOCIATION - AGENCE DU REVENU Adoptées par le Forum Revenu du 13 juin 2013 25-FARQ-01 Amendées par le Forum Revenu du 16 avril 2014 25-FARQ-03 Amendées par le Forum

Plus en détail

LES HOTELS BAVEREZ. Société Anonyme au capital de 10 127 050 euros Siège social : 2, Place des Pyramides, 75001 Paris 572 158 558 R.C.S.

LES HOTELS BAVEREZ. Société Anonyme au capital de 10 127 050 euros Siège social : 2, Place des Pyramides, 75001 Paris 572 158 558 R.C.S. LES HOTELS BAVEREZ Société Anonyme au capital de 10 127 050 euros Siège social : 2, Place des Pyramides, 75001 Paris 572 158 558 R.C.S. Paris ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DU 15 JUIN 2015 AVIS PREALABLE A L

Plus en détail

HAUT COMITE DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE GUIDE D APPLICATION DU CODE AFEP-MEDEF DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE DES SOCIETES COTEES DE JUIN 2013

HAUT COMITE DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE GUIDE D APPLICATION DU CODE AFEP-MEDEF DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE DES SOCIETES COTEES DE JUIN 2013 HAUT COMITE DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE GUIDE D APPLICATION DU CODE AFEP-MEDEF DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE DES SOCIETES COTEES DE JUIN 2013 Janvier 2014 Ce guide a pour objet de préciser l interprétation

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/34 Conseil économique et social Distr. générale 22 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs Groupe

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032

Plus en détail

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Introduction Rapport explicatif 1. La Conférence de haut niveau sur l avenir

Plus en détail

Cadre réservé à l administration : Demande reçue le. Collège communal du :

Cadre réservé à l administration : Demande reçue le. Collège communal du : Commune d Esneux Cadre réservé à l administration : Demande reçue le. Collège communal du : Aides déjà octroyées sur l exercice : oui / non FORMULAIRE A REMPLIR POUR LA DEMANDE DE MISE A DISPOSITION GRATUITE

Plus en détail

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience

Plus en détail

Marquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc.

Marquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc. 11 mars 2005 Marquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc. 2004) Introduction Tous les produits de construction

Plus en détail

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE CLARIFICATION POUR L APPLICATION DE LA DÉFINITION D ÉTABLISSEMENT STABLE DANS LE CADRE DU COMMERCE ÉLECTRONIQUE : MODIFICATIONS DES COMMENTAIRES SUR L ARTICLE 5 22

Plus en détail

27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)

27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) 27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) L Assemblée des États Parties, 1 [ ] 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de

Plus en détail

LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES

LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES Introduction Dans les présentes conditions, l'on entend par : - Abonné : toute personne physique ou morale qui utilise un service

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 61 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2010 PROPOSITION DE LOI sur les sondages visant à mieux garantir la sincérité du débat politique et électoral,

Plus en détail

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de

Plus en détail

INTERNATIONAL TRAIL-RUNNING ASSOCIATION. ITRA Association. Route du Lac 3, 1094 Paudex Suisse STATUTS

INTERNATIONAL TRAIL-RUNNING ASSOCIATION. ITRA Association. Route du Lac 3, 1094 Paudex Suisse STATUTS INTERNATIONAL TRAIL-RUNNING ASSOCIATION ITRA Association Route du Lac 3, 1094 Paudex Suisse STATUTS Approuvés par assemblée générale constitutive en date du 1 er août 2013 à PAUDEX 1 SOMMAIRE Article 1

Plus en détail

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION

QUESTIONS D ORGANISATION. Ordre du jour provisoire annoté INTRODUCTION CBD Distr. GÉNÉRALE UNEP/CBD/WG-ABS/7/1/Add.1/Rev.1 25 mars 2009 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS GROUPE DE TRAVAIL SPÉCIAL À COMPOSITION NON LIMITÉE SUR L'ACCÈS ET LE PARTAGE DES AVANTAGES Septième réunion

Plus en détail

Assemblée des États Parties

Assemblée des États Parties Cour pénale internationale Assemblée des États Parties ICC-ASP/6/INF.3 Distr.: générale 4 décembre 2007 FRANÇAIS Original: Anglais Sixième session New York 30 novembre - 14 décembre 2007 Conférence de

Plus en détail

Statuts de l Association Internationale de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescents, et des Professions Associées Constitution Amendé 2004

Statuts de l Association Internationale de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescents, et des Professions Associées Constitution Amendé 2004 Statuts de l Association Internationale de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescents, et des Professions Associées Constitution Amendé 2004 Statuts IACAPAP version française 2004 p. 1 Statuts de L Association

Plus en détail

Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France

Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil

Plus en détail

Structure et lignes de conduite

Structure et lignes de conduite Structure et lignes de conduite Comité provincial du site Web des AA du Québec Adopté le 29 mai 2004, à Trois-Rivières Modifié le : 26 février 2005, 18 juin 2005, 25 février 2006, 24 février 2007, 26 janvier

Plus en détail

conforme à l original

conforme à l original REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail Copie certifiée -------------- conforme à l original DECISION N 006/2012/ANRMP/CRS DU 22 MARS 2012 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE J. DELAF CONTESTANT

Plus en détail

Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles

Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles Renaud Lacroix Direction Générale des Statistiques CNIS Commission Système financier et financement de l Économie 8/10/2013 Une

Plus en détail

Annexe 2. A la Résolution d Ensemble sur la Facilitation des Transports Routiers (R.E.4)

Annexe 2. A la Résolution d Ensemble sur la Facilitation des Transports Routiers (R.E.4) Annexe 2 A la Résolution d Ensemble sur la Facilitation des Transports Routiers (R.E.4) Adoptée à la 94 ème Session du Groupe de Travail des Transports Routier (S.C.1) de la Commission Economique pour

Plus en détail

LES G AR ANTIES INTERNATIONALES

LES G AR ANTIES INTERNATIONALES E N T R E P R I S E S C O M M E R C E I N T E R N A T I O N A L LES G AR ANTIES INTERNATIONALES Facilitez vos échanges internationaux 2 GARANTIES À L EXPORT Face à un environnement commercial international

Plus en détail

CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE

CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE : LA RECHERCHE POLITIQUE RELATIVE AUX CONTRATS ET COMMANDITES PAGE: 1 Adoptée: CAD-5355 (15 06 93) Modifiée: CAD-5869 (27 02 96) CAD-5971 (18 06 96) CAD-6138

Plus en détail

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ Société de Réassurance mutuelle régie par le Code des Assurances Siège Social : 65, rue de Monceau - 75008 PARIS STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ ARTICLE PREMIER - FORMATION -

Plus en détail

CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988)

CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988) CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988) LES ETATS PARTIES A LA PRESENTE CONVENTION, RECONNAISSANT l importance d éliminer certains obstacles juridiques au crédit-bail

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

Framasoft c/o Locaux Motiv 10 bis rue Jangot 69007 Lyon

Framasoft c/o Locaux Motiv 10 bis rue Jangot 69007 Lyon Article 1er Dénomination Statuts de l association Framasoft TITRE 1 CONSTITUTION Il est fondé entre les adhérent-e-s aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret

Plus en détail

DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013

DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013 N/Réf. : CODEP-CAE-2013-056982 Monsieur le directeur de l établissement AREVA NC de La Hague 50 444 BEAUMONT-HAGUE CEDEX

Plus en détail

Débats et Prospectives

Débats et Prospectives Débats et Prospectives CONSOLIDATION DE LA TVA : UNE PREMIERE ETAPE VERS LE «GROUPE TVA» Très tôt dans le droit communautaire de la TVA est apparue la notion de «groupe», consistant à considérer comme

Plus en détail

ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session

ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session Participation des organisations

Plus en détail

ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS

ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS ARTICLE 1 - OBJET Le Compte Epargne Temps permet au salarié, à son initiative, d accumuler des droits à congés rémunérés ou de bénéficier d une rémunération, immédiate

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture Conseil exécutif ex

Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture Conseil exécutif ex Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture Conseil exécutif ex Cent vinet-sixième session 126 EX/33 PARIS, le ler avril 1987 Original anglais/français Point 8.2 de l'ordre

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

CIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00)

CIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00) Rabat, le 11 mars 2002 CIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00) RELATIVE A LA RELATION ENTRE LES SOCIETES DE BOURSE ET LEUR CLIENTELE DANS LE CADRE DE L ACTIVITE D INTERMEDIATION Aux

Plus en détail

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 1 La Spécialité Section 4 L unité Section 2 L Annualité Section 5 L Universalité Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 6 La Sincérité Raymond FERRETTI 2 Raymond FERRETTI 3 art. 7.I

Plus en détail

PROCES-VERBAL DE L'ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE EN DATE DU 22 AVRIL 2014

PROCES-VERBAL DE L'ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE EN DATE DU 22 AVRIL 2014 Soitec Société anonyme au capital de 17 258 079,50 Euros Siège social : Parc Technologique des Fontaines Chemin des Franques 38190 BERNIN 384 711 909 RCS GRENOBLE PROCES-VERBAL DE L'ASSEMBLEE GENERALE

Plus en détail

Contrat de création d un site web

Contrat de création d un site web http://www.droitbelge.net infos@droitbelge.net Contrat de création d un site web Auteur: Me Frédéric Dechamps, avocat AVERTISSEMENT Ce document est une version d évaluation du contrat. Il a pour seul objectif

Plus en détail

PORTANT AVENANT N 1 A LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES ETAM DU BÂTIMENT DU 12 JUILLET 2006

PORTANT AVENANT N 1 A LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES ETAM DU BÂTIMENT DU 12 JUILLET 2006 ACCORD COLLECTIF NATIONAL DU 26 SEPTEMBRE 2007 RELATIF A LA CLASSIFICATION DES EMPLOIS DES EMPLOYES TECHNICIENS ET AGENTS DE MAITRISE (ETAM) DU BATIMENT PORTANT AVENANT N 1 A LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Etat de la mise en oeuvre des recommandations du Commissaire aux Comptes

Etat de la mise en oeuvre des recommandations du Commissaire aux Comptes ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE COMMISSION DE VERIFICATION DES COMPTES DU CONSEIL EXECUTIF Septième réunion Point 2.1 de l ordre du jour provisoire EBAC7/2 30 décembre 2002 Etat de la mise en oeuvre

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret n o 2014-736 du 30 juin 2014 pris pour l application de l ordonnance n o 2014-326 du 12 mars 2014 portant réforme de la prévention

Plus en détail

S T A T U T S DES INGENIEURS GEOMETRES DE LA SUISSE OCCIDENTALE (IGSO) * * * * * * * I. Dénomination

S T A T U T S DES INGENIEURS GEOMETRES DE LA SUISSE OCCIDENTALE (IGSO) * * * * * * * I. Dénomination S T A T U T S DES INGENIEURS GEOMETRES DE LA SUISSE OCCIDENTALE (IGSO) * * * * * * * I. Dénomination Article premier - Les "ingénieurs géomètres de la Suisse occidentale" (IGSO) est une association régie

Plus en détail

Copie Certifiée Conforme à l original

Copie Certifiée Conforme à l original REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail ------------- Copie Certifiée Conforme à l original DECISION N 010/2015/ANRMP/CRS DU 02 AVRIL 2015 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE KINAN CONTESTANT

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite

Plus en détail

SYNDIC. - Création d une immatriculation obligatoire de toutes les copropriétés au sein d un registre national.

SYNDIC. - Création d une immatriculation obligatoire de toutes les copropriétés au sein d un registre national. SYNDIC 1- Immatriculation de la copropriété 2- Gestion de la copropriété 3- Transparence et prévention des difficultés 1- Immatriculation de la copropriété Portée - Création d une immatriculation obligatoire

Plus en détail

(Actes législatifs) DIRECTIVES

(Actes législatifs) DIRECTIVES 18.6.2010 Journal officiel de l Union européenne L 153/1 I (Actes législatifs) DIRECTIVES DIRECTIVE 2010/30/UE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 19 mai 2010 concernant l indication, par voie d étiquetage

Plus en détail

CONVOCATIONS ASSEMBLÉES D'ACTIONNAIRES ET DE PORTEURS DE PARTS CAFOM

CONVOCATIONS ASSEMBLÉES D'ACTIONNAIRES ET DE PORTEURS DE PARTS CAFOM CONVOCATIONS ASSEMBLÉES D'ACTIONNAIRES ET DE PORTEURS DE PARTS CAFOM Société anonyme au capital de 43 488 913,80 Siège social : 3, avenue Hoche 75008 Paris 422 323 303 R.C.S. Paris Avis de réunion Mesdames

Plus en détail

STATUTS GRAND PARIS SEINE OUEST ENERGIE, AGENCE LOCALE DE L ENERGIE

STATUTS GRAND PARIS SEINE OUEST ENERGIE, AGENCE LOCALE DE L ENERGIE STATUTS GRAND PARIS SEINE OUEST ENERGIE, AGENCE LOCALE DE L ENERGIE Article 1 - Constitution La présente association est une association régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901.

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/21. Conseil économique et social. Nations Unies. Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs

ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/21. Conseil économique et social. Nations Unies. Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs Nations Unies Conseil économique et social ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/21 Distr. générale 9 janvier 2015 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs Groupe

Plus en détail

Chapitre IV. La certification des comptes

Chapitre IV. La certification des comptes Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine

Plus en détail

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet

Plus en détail

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la

Plus en détail

CREATION PAR LE GREFFIER DE FONDS D'AFFECTATION SPECIALE. Section 1

CREATION PAR LE GREFFIER DE FONDS D'AFFECTATION SPECIALE. Section 1 Cour Pénale Internationale International Criminal Court Instruction Administrative ICC/AI/2004/005 Date : 04 novembre 2004 CREATION PAR LE GREFFIER DE FONDS D'AFFECTATION SPECIALE Section 1 L'article 116

Plus en détail

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES --- N/Réf. : GO10 329 01 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES Exercices 2003 à 2009 22 5.3 Les renégociations

Plus en détail

D. 30-01-2014 M.B. 09-04-2014

D. 30-01-2014 M.B. 09-04-2014 Docu 39922 p.1 Décret relatif à l'enseignement supérieur inclusif D. 30-01-2014 M.B. 09-04-2014 Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : CHAPITRE

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE CONVENTION SUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE CULTUREL SUBAQUATIQUE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE CONVENTION SUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE CULTUREL SUBAQUATIQUE 5 MSP UCH/15/5.MSP/INF4.3 REV 15 janvier 2015 Original : anglais Distribution limitée ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE CONVENTION SUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE

Plus en détail

PROPOSITION DE LOI N 2 (2009-2010) RELATIVE AUX CONTRATS D ASSURANCE SUR LA VIE. Examen en commission : Mercredi 31 mars 2010 A M E N D E M E N T

PROPOSITION DE LOI N 2 (2009-2010) RELATIVE AUX CONTRATS D ASSURANCE SUR LA VIE. Examen en commission : Mercredi 31 mars 2010 A M E N D E M E N T N 1 Rédiger ainsi cet article : ARTICLE 1ER I. Le I de l article L. 132-9-3 du code des assurances est complété par une phrase ainsi rédigée : «Elles s informent selon une périodicité au moins annuelle

Plus en détail

Méthodologie d Ouverture, de Dépouillement et d Evaluation des Offres Relatives à la Consultation 09 S V.E.De.R

Méthodologie d Ouverture, de Dépouillement et d Evaluation des Offres Relatives à la Consultation 09 S V.E.De.R Programme Projet Instrument Européen de Voisinage et de Partenariat - Coopération Transfrontalière Italie- "Valorisation Energétique des Résidus V.E.De.R PS2.3/02" Composante.2 Communication et Diffusion

Plus en détail

N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI

N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI Document mis en distribution le 21 avril 2009 N 1619 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 15 avril 2009. PROJET

Plus en détail

Annexe 5. CONTRAT CYBERPLUS PRO Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières

Annexe 5. CONTRAT CYBERPLUS PRO Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières Annexe 5 Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières DESIGNATION DE L ENTREPRISE ci-après "le Client" Nom ou Dénomination sociale... représentée par.. (Nom et prénom du représentant

Plus en détail

ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS

ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS 1 ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS ARTICLE 1 - DENOMINATION La présente Association a pour dénomination : «Habiter Enfin!». ARTICLE 2 - SIEGE Le siège de l association est fixé au : 14

Plus en détail

Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement

Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement MESURE 1 - ANNEXE Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement Responsabilité découlant de situations critiques pour l environnement Les Parties, Préambule

Plus en détail

3.04 Prestations de l AVS Age flexible de la retraite

3.04 Prestations de l AVS Age flexible de la retraite 3.04 Prestations de l AVS Age flexible de la retraite Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Lorsque vous atteignez l âge ordinaire de la retraite, vous avez droit à une rente de vieillesse. Cet âge est fixé

Plus en détail

RESPONSABILITE ET ASSURANCES

RESPONSABILITE ET ASSURANCES RESPONSABILITE ET ASSURANCES 1 CHAPITRES Pages 1 RESPONSABILITE CIVILE 3 2 RESPONSABILITE PENALE 4 3 DIRIGEANTS D ASSOCIATION ET RESPONSABILITE 4 4 OBLIGATION D INFORMATION DES ASSOCIATIONS SUR LES ASSURANCES

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI NOTE : Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqar. La version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration. RÈGLEMENT

Plus en détail

1. Contexte de l activité.

1. Contexte de l activité. REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE TERMES DE REFERENCES relatifs AU DEUXIEME APPEL A PROPOSITIONS DANS LE CADRE DU PROGRAMME D'APPUI

Plus en détail

Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs

Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds Texte de référence : article L. 214-24, I du code monétaire et financier. L AMF applique l ensemble

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l environnement

Programme des Nations Unies pour l environnement NATIONS UNIES EP Programme des Nations Unies pour l environnement UNEP/OzL.Conv.8/INF/3- UNEP/OzL.Pro.20/INF/4 Distr. : Générale 31 octobre 2008 Français Original : Anglais Huitième réunion de la Conférence

Plus en détail

CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES

CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES COMMISSION DES TEXTES CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES Depuis le 1er janvier 2013, la conclusion de conventions d honoraires est devenue obligatoire en matière de divorce, par application

Plus en détail

LE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

LE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE LE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE Introduction Les surfaces disponibles Les prix La tendance Les axes de développement INTRO CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE Surface

Plus en détail

GUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS

GUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS GUIDE POUR LE SUIVI DES PROJETS, L ÉTABLISSEMENT DE RAPPORTS, LA RÉVISION ET LA PROLONGATION DE PROJETS Pour tous les modèles de rapports, veuillez visiter le site du FNUD : http://www.un.org/democracyfund/information-grantees

Plus en détail

STATUTS DE l ASSOCIATION SPORTIVE ANTONY VOLLEY

STATUTS DE l ASSOCIATION SPORTIVE ANTONY VOLLEY STATUTS DE l ASSOCIATION SPORTIVE ANTONY VOLLEY Article 1 : Constitution et siège social Il est fondé, le 12 mai 1998, entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet

Plus en détail

Statuts. Les soussignés :

Statuts. Les soussignés : Statuts Les soussignés : APICIL PRÉVOYANCE, institution de prévoyance régie par le titre III du livre IX du Code de la Sécurité sociale, dont le siège social est situé 38 rue François Peissel 69300 Caluire

Plus en détail

Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts

Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts MUTUELLE VAUDOISE, Société Coopérative Statuts I. Raison sociale, siège, but de la Société Art. 1 La MUTUELLE VAUDOISE, Société Coopérative, ci-après «la

Plus en détail

F Distribution: GÉNÉRALE RESSOURCES, QUESTIONS FINANCIÈRES ET BUDGÉTAIRES. Point 6 de l'ordre du jour

F Distribution: GÉNÉRALE RESSOURCES, QUESTIONS FINANCIÈRES ET BUDGÉTAIRES. Point 6 de l'ordre du jour Session annuelle du Conseil d administration Rome, 25 28 mai 2015 RESSOURCES, QUESTIONS FINANCIÈRES ET BUDGÉTAIRES Point 6 de l'ordre du jour Pour examen NOTE DE LA DIRECTRICE EXÉCUTIVE SUR LE RAPPORT

Plus en détail

Info Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive!

Info Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive! Allianz Suisse Case postale 8010 Zurich www.allianz-suisse.ch Info Finance 01 YDPPR267F et Prévoyance Édition 01, mars 2013 EXCÉDENTS LPP En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale

Plus en détail