Bataille de la Somme

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1 Bataille de la Somme 1 er juillet - 18 novembre 1916 Il s agit de la première offensive conjointe franco-britannique de la Grande guerre, conçue en décembre 1915 par le général Joffre 1, dans un secteur du front relativement calme durant l année La deuxième conférence de Chantilly (14 février 1916) fixe le début de l offensive au 1 er juillet Joffre prépare l opération avec l armée française comme acteur principal et nomme Foch 2, commandant du Groupe d Armées Nord, responsable de l opération. Douglas Haig 3 remplace John French en décembre 1915 à la tête du corps expéditionnaire britannique dont les six divisions professionnelles ont été décimées en La nouvelle entité est composée de volontaires des forces territoriales et de la nouvelle armée Kitchener. Si Haig collabore volontiers avec Joffre il n en souligne pas moins l indépendance du corps expéditionnaire anglais. Le 21 février 1916, l Allemagne lance son attaque sur Verdun. Haig propose l aide britannique mais Joffre estime que l armée française peut faire face sans l appui anglais. Il le presse cependant de mettre en place au plus tôt l offensive de la Somme. L engagement français à Verdun ponctionnant de plus en plus de troupes françaises initialement prévues pour l offensive de la Somme, fin mai 1916, l armée britannique est désormais l élément principal de l opération. Elle se voit confier l offensive au nord du fleuve entre Méricourt et Bapaume, l armée française étant au sud, entre Méricourt et Lassigny. Le plan initial change : le front d attaque se réduit, passant de 70 km à 40 et surtout, il ne s agit plus de réaliser une percée décisive mais d user l ennemi. 1

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3 Les Allemands ne prennent aucune disposition particulière dans cette zone : l état-major s attend à une offensive alliée en Artois ou en Alsace et prend les préparatifs ennemis pour du bluff. Dans cette zone, les troupes allemandes, aidées par la nature du terrain, ont constitué un réseau de tranchées efficace pour une défense en profondeur. Si les Alliés se positionnent de part et d autre du fleuve et aménagent leurs arrières (gigantesques entrepôts, chemins de fer, aérodromes, hôpitaux militaires), les forces allemandes occupent presque toutes les hauteurs, la ligne de crêtes séparant les bassins de la Somme et de l Escaut. Leur front se découpe ainsi : - une première position forte, avec des tranchées de première ligne, d appui et de réserve, et un labyrinthe d abris profonds au confort moderne ; - une ligne intermédiaire, moins forte, protégeant des batteries de campagne ; - une seconde position un peu en arrière, presque aussi forte que la première. - à l arrière, se trouvent des bois et des villages fortifiés reliés entre eux constituant ainsi de nouvelles lignes de défense bétonnées. Dans les territoires occupés, la terreur règne avec déportation de population, réquisitions en argent et en nature, pillages, destructions... La II e armée allemande du général Fritz von Below 4 comprend 8 divisions en ligne et 13 en réserve, 454 canons de campagne, 390 canons lourds (le tiers de la puissance de feu des Alliés) et 129 avions face aux 300 franco-britanniques. Le Groupe d armées du Nord du général Foch totalise 14 divisions en ligne, 4 de réserve et 4 de cavalerie sur un front de 15 kilomètres. L artillerie aligne quant à elle plus de pièces de tous calibres. Le groupe d armées du général Haig (troupes anglaises, écossaises, galloises, irlandaises, canadiennes, australiennes, néo-zélandaises, sud-africaines et le corps des travailleurs chinois) comprend 26 divisions en ligne et 3 de cavalerie sur un front de 25 kilomètres appuyées par plus de pièces d artillerie. Le pilonnage d artillerie initialement prévu pour durer cinq jours, débute le 24 juin. Après divers tirs de réglage et de destruction, le bombardement des lignes allemandes s intensifie à partir du 26, systématique et continu, notamment grâce à des canons à longue portée sur voie ferrées de 380 et 400 mm. En une semaine, l artillerie britannique tire coups ; les tranchées allemandes des premières lignes sont presque totalement détruites mais les abris souterrains restent intacts. Il tombe les premiers jours une moyenne de cinq obus pour chaque soldat allemand. 3

4 Le 1 er juillet 1916 à 6h25, le bombardement lançant l offensive des Alliés débute. Les tirs d artillerie atteignent une cadence de coups/minute, produisant un bruit si intense qu il est perçu jusqu en Angleterre. L armée anglaise a placé, sur 35 km, un canon tout les 18 mètres. Le 1 er juillet 1916 à 7h28, les sapeurs gallois placent 27 tonnes d ammonal 5 à 16 mètres de profondeur à La Boisselle. L explosion soulève une colonne de terre à mètres de hauteur. Le cratère de 100 mètres de diamètre et de 30 de profondeur est aussitôt occupé par les Britanniques. Au même moment, une autre mine (18 tonnes d ammonal) explose à Beaumont-Hamel. Le cinéaste britannique Geoffrey Malins 6 est témoin de l explosion, sa caméra se trouvant à 500 mètres de là : «Le terrain où je me tenais a été secoué par une énorme convulsion. Le sol a été secoué et balancé. Je me suis agrippé à mon trépied pour ne pas tomber. Puis, pour tout le monde comme une gigantesque éponge, la terre s'est expansée en l'air à jusqu'à une hauteur de centaines de pieds. Elle montait de plus en plus haut, et avec un terrible rugissement la terre broyée est retombée sur elle-même, ne laissant qu'une montagne de fumée.» Le 1 er juillet 1916 à 7h30, soldats britanniques sortent des tranchées baïonnette au canon, à l assaut des tranchées ennemies. Lourdement chargés (plus de 30 kg d équipement), ils ont ordre de ne pas courir, le commandement anglais craignant que les troupes perdent le contact et se dispersent. De plus, persuadé que les défenses allemandes ont été anéanties par l artillerie, il exige que les soldats avancent au pas. Les Allemands accueillent alors les Britanniques à la mitrailleuse, les fauchant en masse. On estime à le nombre de victimes (tués et blessés) dans les 6 premières minutes de la bataille. Le 1 er juillet 1916 à midi, l état-major britannique annule l ordre de marcher au pas, trop peu de soldats pouvant atteindre les tranchées adverses. A l issue de cette première journée de combat, la plus meurtrière de toute l histoire militaire britannique, le bilan est très lourd : hommes hors de combat soit près de 18 % de l effectif engagé ( hommes). Certaines unités comme le Régiment royal de Terre Neuve est quasiment anéanti (92 % de ses effectifs hommes - sont à terre à Beaumont-Hamel, une demi-heure environ après le début de l attaque). Les pertes allemandes sont estimées à seulement hommes. Suite à l échec du 1 er juillet, le commandement britannique souhaite arrêter l attaque mais Joffre s y oppose, préparant la prise du saillant de Fricourt par un pillonnage d artillerie. Le 3 juillet 1916, la 9ème division écossaise occupe le bois de Bernafay (à l est de Montauban). 4

5 Le 4 juillet 1916, les Britanniques prennent La Boisselle. Le 7 juillet 1916, ils lancent une série d attaques simultanées sur les villages d Ovillers, Contalmaison et le bois de Mametz. Le 10 juillet 1916, ils prennent le bois de Mametz en contournant le saillant de Fricourt. Mametz est prise le 12 juillet par les Gallois de la 7 e division britannique après 8 jours de combats acharnés et de très lourdes pertes. En 10 jours, les Britanniques comptent morts et blessés. Durant cette période, la VI e Armée française du général Fayolle 7 progresse en profondeur sur un front de près de 20 km, prenant le plateau de Flaucourt. Elle fait prisonniers et s empare d un matériel considérable. Malgré cela, l artillerie allemande domine toujours le terrain. Du 3 au 13 juillet, la IV e armée britannique prépare l assaut de la crête de Bazentin. Mais la fragmentation de la préparation cause souvent plus de pertes dans les rangs britanniques ( victimes) qu allemands. Le plan d attaque d origine (qui propose notamment une progression de nuit) est jugé trop complexe par le général Haig, surtout pour des troupes inexpérimentées. Il propose un plan alternatif impliquant d attaquer à partir du bois de Mametz. Le 14 juillet 1916 à 3h20, l artillerie britannique bombarde intensément les tranchées allemandes. Le 14 juillet 1916 à 3h25 les tranchées de seconde ligne sont visées pendant deux minutes, permettant aux troupes britanniques de franchir le no man s land. Celles-ci se trouvent alors confrontées à un complexe de tranchées allemandes fortement défendues au-delà duquel se trouve le bois de Bazentin-le-grand. Les deux divisions du XV e corps capturent le village de Bazentin-lepetit en milieu de matinée. L attaque menée vers Bazentin-le-grand depuis Montauban n est pas aussi efficace. Les fils de fer allemands sont intacts et les défenseurs agressifs. Un tir de barrage allemand pilonne le no man s land, mettant à mal les unités de soutien britanniques. Une autre attaque britannique, venant du bois de Bernafay, permet de s emparer du bois des Trônes, provoquant encore de lourdes pertes. Du côté allemand, après la réorganisation du front de la Somme (35 divisions sont retirées du secteur de Verdun et réaffectées) le général Sixt von Arnim 8 prend en charge le secteur et ordonne à ses troupes de s accrocher au terrain. Sentant la percée tant attendue proche, les troupes britanniques se rassemblent et convergent en direction de «High Wood» la troisième position allemande. Une reconnaissance de cavalerie indique que le lieu semble désert mais l état-major de la IV e armée refuse d utiliser une brigade de réserve et dépêche sur les lieux une division de 5

6 cavalerie indienne. Quand enfin à 19h, les deux régiments de la cavalerie indienne chargent à la lance en direction de High Wood les Allemands ont eu le temps de se réorganiser pour défendre leurs positions par des tirs d artillerie et de mitrailleuses. High Wood atteint, la cavalerie indienne tient la position la nuit du 14 au 15, mais sans renfort, elle doit se replier au matin du 15 juillet. La perte de la crête de Bazentin amène les Allemands à construire une nouvelle ligne de tranchées connue sous le nom de «ligne Switch», reliant la deuxième position près de Pozières à leur troisième position. Cette ligne, passant par la pointe nord de High Wood, ne peut être prise sans prendre également High Wood et réciproquement. Dans le même temps, une offensive est menée au bois de Delville par les forces britanniques et notamment sud-africaines. Il s agit là du premier engagement majeur de la 1 re brigade d infanterie d Afrique du Sud sur le front occidental. La prise de ce bois doit permettre d atteindre de nouveaux objectifs, afin de pouvoir aligner les lignes britanniques et françaises. Les pertes humaines à Delville sont effroyables des deux côtés, en raison de l apport continuel de renforts. La 1 re brigade sud-africaine subie des pertes comparables à celles subies par les troupes britanniques le premier jour de la Somme. La bataille du bois de Delville est un des derniers cas de combats de sections d infanterie pouvant s engager au corps-à-corps sur le front occidental. Après cela, les chars remplacent la cavalerie et les tirs de concentration de l artillerie prévalent sur les combats de sections d infanterie. Du 23 juillet au 7 août 1916, la bataille de Pozières s engage pour la conquête du village et du plateau. Si à la fin des combats, les Alliés (bataillon essentiellement australiens) sont maîtres du nord du plateau et de l est du village menaçant ainsi l arrière des fortifications allemandes de Thiepval, le coût en vies humaines est énorme. La préparation de l attaque commence par un intense bombardement du village et des lignes allemandes pendant plusieurs jours avec notamment du phosgène et du gaz lacrymogène. Le premier assaut enlève la tranchée bordant le sud du village mais les Australiens buttent ensuite sur une forte résistance. Ce n est qu à la nuit que le village est sécurisé grâce à l arrivée de renfort. Le commandement allemand ordonne la reprise du village ; trois tentatives échouent le 23 juillet. Les Britanniques ayant relâché la pression sur le reste du front, les Allemands affectent l artillerie pour un bombardement acharné et méthodique leur permettant ainsi de reprendre le secteur le 25 juillet. Dans la nuit du 28 au 29 août, une nouvelle attaque sur les lignes allemandes est décidée ; la 7 e brigade australienne ayant tardé à se mettre en place, les assaillants sont accueillis par les mitrailleuses allemandes. L attaque est un échec. 6

7 Le 7 août à 4 h, les Allemands lancent une dernière contre-attaque sur un front de 400 mètres. Avec l aide de renforts, les Australiens prennent l avantage ; les Allemands ne font alors plus aucune tentative pour reprendre Pozières. En septembre, les Australiens qui ont subi de lourdes pertes (autant d hommes en 6 semaines que durant l ensemble de la campagne de Gallipoli) sont remplacés par le Corps canadien ; les anciennes tranchées allemandes deviendront la ligne de départ canadienne pour la bataille de Flers- Courcelette. Le 3 septembre 1916, c est l échec des attaques britanniques à Guillemont, Ginchy, Thiepval et au bois des Fourcaux. La ferme du Mouquet est enlevée par les Australiens puis reprise par les Allemands. Le 4 septembre 1916, la X e armée française enlève toutes les premières positions allemandes entre Deniécourt et Vermandovillers et prend Soyécourt et Chilly. Le 9 septembre 1916, les Britanniques prennent Ginchy. Une nouvelle offensive générale des Britanniques sur l ensemble du front nord de la Somme est prévue pour le 15 septembre. Le 12 septembre 1916, la VI e armée française attaque au nord de la Somme. En raison du mauvais temps, Foch suspend l offensive du 18 au 25 septembre. Le 15 septembre 1916 : c est début de la bataille de Flers-Courcelette avec l apparition des premiers chars d assaut britanniques. (voir encadré) Le 17 septembre 1916, au sud de la Somme, la X e armée française s empare de Vermandovillers, Deniécourt et Berny-en-Santerre Le 25 septembre 1916, une nouvelle offensive conjointe anglo-française débute. Le 26 septembre 1916, Français et Britanniques entrent dans Combles évacués par les Allemands ; dans le même temps au nord, les Britanniques enlèvent Thiepval grâce à l utilisation de mines. Le 28 septembre 1916, l offensive cesse pour consolider les postions acquises. En octobre 1916, de multiples petites offensives sont lancées mais les forces alliées sur la Somme s essoufflent. Le 5 novembre 1916, les Français attaquent Sailly-Saillisel sans obtenir un réel succès ; au sud, la X e armée conquiert Ablaincourt-Pressoir. Le 13 novembre 1916, les Britanniques contrôlent la vallée de l Ancre mais ne progressent plus. A partir du 18 novembre, les conditions climatiques se dégradent considérablement et mettent en échec toutes les offensives. C est la fin effective de la bataille de la Somme. 7

8 Le 21 novembre 1916, le général Haig décide l arrêt des offensives britanniques. Le 11 décembre 1916, le général Foch ajourne une offensive de la X e armée. Le 18 décembre 1916, Joffre renonce définitivement à l offensive mettant ainsi officiellement fin à la bataille de la Somme. En cinq mois, les Alliés ont progressé de 12 km au nord de la Somme et de 8 au sud. La percée attendue par Joffre s est transformée en une bataille d usure, comme à Verdun, et aucun des objectifs principaux (Bapaume et Péronne) n est atteint. Les pertes humaines varient selon les sources. On considère cependant que : - pour les Britanniques, le nombre de morts représentent 30 % des victimes, les disparus 19 % et les blessés 51 % ; - pour les Français, le nombre de morts représentent 20 % des victimes, les disparus 13 % et les blessés 67 % ; - pour les Allemands, les chiffres en valeur relative ne sont pas connus. Pour des résultats similaires sur le terrain, la tactique française s est avérée moins coûteuse en vies humaines que celles des Britanniques. Pour limiter les pertes, Foch demandait aux commandants d unités de faire courir les hommes d obstacle en obstacle. Les pertes journalières se répartiraient en moyenne comme suit : Allemands (contre durant les 302 jours de la bataille de Verdun) Britanniques Français (contre à Verdun) La bataille de la Somme dura 141 jours pour de très faibles gains territoriaux. Les Allemands furent très impressionnés par le bombardement de préparation des Alliés. Suite à cette bataille, le hautcommandement allemand décide d engager la guerre sous-marine à outrance, provoquant l entrée en guerre des Etats-Unis. La bataille de la Somme a été d une ampleur considérable tant par le nombre de nationalités impliquées, de morts, de disparus, de blessés, que par l ampleur des destructions et des traces qu elle a laissées dans le sol. 1 Joseph Jacques Césaire Joffre (12 janvier janvier 1931) : Général français artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la Marne, nommé maréchal en 1916, il est l un des chefs militaires les plus controversés du XX e siècle en raison de son «offensive à outrance» extrêmement coûteuse en vies humaines pour de médiocres résultats sur le terrain. Remplacé par Nivelle en 1916, il est élu à l Académie française en

9 2 Ferdinand Foch (2 octobre mars 1929) : Commandant en chef des forces alliées sur le front de l ouest, il est fait maréchal de France le 6 août Il est l un des signataires alliés de l Armistice de 1918 à Rethondes. Il est également élevé à la dignité de maréchal du Royaume-Uni et de Pologne. Le jour de l Armistice, il est nommé à l Académie des sciences et dix jours plus tard à l Académie française. Adepte de l offensive à outrance, on lui a reproché sa frilosité envers les nouvelles armes (avions, chars...). Son corps repose aux Invalides. 3 Douglas Haig (19 juin janvier 1928) : 1 er comte Haig, il est à la tête du corps expéditionnaire britannique en France de 1915 à Nommé maréchal en 1917, il est qualifié de «boucher de la Somme» Dans ses «carnets secrets» publiés par son fils, il est très critique vis-à-vis de l armée française. 4 Fritz von Below (23 septembre novembre 1918) : Général d infanterie, il est envoyé sur le front ouest en avril 1915 et participe à la bataille de la Somme. En juin 1918, il participe à l attaque allemande sur l Aisne ; le 7 août 1918, il est mis en réserve et à la retraite en novembre Ammonal : Explosif composé d un mélange de nitrate d ammonium, de trinitrotoluène et d aluminium en poudre dans les proportions d environ 22/67/11, le nitrate d ammonium servant d oxydant et l aluminium d amplificateur de puissance. Sa vitesse de détonation est d environ m/s. Il est employé dès le début 1915 par l armée britannique pour ses mines. 6 Geoffrey H. Malins (18 novembre février 1940) : Scénariste et réalisateur britannique envoyé par la société Gaumont en Belgique à l automne 1914 pour enregistrer des images de l armée belge en action. Avec John McDowell, il filme, en 1916, la bataille de la Somme. Ce film sort en salle, à Londres, quelques semaines après. Considéré comme le premier long métrage documentaire sur la guerre, il doit avant tout remonter le moral des spectateurs. Au contraire, les images montrent toute la violence de la guerre moderne et choque le public. A l automne 1916, 20 millions de Britanniques l ont vu. Il est inscrit depuis 2004 au Registre international «Mémoire du monde» de l UNESCO. 7 Marie Emile Fayolle (14 mai août 1928) : Polytechnicien, général de brigade en 1910 parti en retraite en Rappelé en août 1914, il devient général de division en Nommé à la tête de la VI e armée, il mène lors de la bataille de la Somme des offensives qui n ont guère de succès. Artilleur de formation, il combat en Italie en 1917, puis est victorieux lors de la seconde bataille de la Marne. On lui décerne le titre de maréchal de France le 19 février 1921 et devient inspecteur général de l aéronautique de 1921 à Son corps repose aux Invalides. 8 Friedrich Bertram Sixt von Arnim (27 novembre septembre 1936) : Général prussien, il participe à la guerre franco-prusienne de 1870 puis à la Première Guerre mondiale sur le front de l ouest. Lors de la bataille de Passchendaele (mars 1917), il est surnommé le «Lion des Flandres». Il démissionne de l armée le 2 janvier 1919 et devient conférencier. Il est enterré avec tous les honneurs militaires. 9

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